SOMMAIRE

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Projets technologiques

«Pour qu’une entreprise soit compé-titive et qu’elle génère des profits,elle doit développer des biens oudes services à grande valeur ajoutée,ce qui nécessite d’innover en per-manence.» Le postulat de départest simple. Limpide. Le GenevaCreativity Center (GCC) se pose enoutil indispensable au développe-ment de l’industrie genevoise.Carmine Senatore et NicolaGiandomenico, l’un chercheur auDépartement de physique de lamatière condensée de l’Universitéde Genève, l’autre professeur à laHaute école du paysage, d’ingénie-rie et d’architecture (hepia), ycroient dur comme fer. À eux deux,ils animent, depuis un peu plusd’une année, et avec une passioncontagieuse, cet espace unique decollaboration, de stimulation etd’émergence d’idées, dans lequelchercheurs et partenaires industriels

peuvent confronter besoins, idéesou problèmes. Afin d’élaborerensemble des solutions novatrices.

Les entreprises au cœur de larechercheAvec le GCC, la recherche fonda-mentale de l’Université de Genèveet celle plus appliquée de l’hepia secôtoient, apprennent à se connaîtreet se complètent. «Grâce à cetteinterface, nous pouvons mieux com-prendre nos compétences et décou-vrir nos équipements respectifs»,explique Carmine Senatore. Mais leplus intéressant, c’est que «nousallons également à la rencontre desentreprises pour aider celles qui nesavent pas nécessairement commentdévelopper un programme derecherche scientifique». Et c’est là la grande nouveauté surlaquelle revient Nicola Giandomenico:«Nous voulons nous placer en

Original, improbable, novateur, le Geneva Creativity Center vient de fêter la première année d’un partenariat inédit entrel’Université de Genève, l’hepia, l’OPI et l’UIG. Véritable plateforme d’excellence, le centre cherche à doper l’innovation techno-logique et à permettre aux entreprises genevoises d’explorer des pistes auxquelles elles ne faisaient que rêver jusque-là. Arrêtsur un programme aussi ambitieux que prometteur pour notre Cité avec les animateurs du Geneva Creativity Center, CarmineSenatore et Nicola Giandomenico, tous deux chercheurs à Genève.

Genève se dote d’un centre decréativité innovant

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DU COPIEUR À LA GED Bulletin d’information de laChambre de commerce, d’industrieet des services de Genève

Février2012 No1

MENSUEL

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infoSPONSORSEn période de crise et d’incertitude, comment anticiperune baisse de son chiffre d’affaires et pérenniser sonbilan: conseils pratiques de la BCGE.

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infoCHAMBRELa défense de l’économie fait partie des missions essen-tielles de la CCIG: arrêt sur les coulisses d’une votationet d’un engagement politique ferme.

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Votations du 11 marsÀ l’approche des votations du mois de mars, trois objetsretiennent particulièrement l’attention de la CCIGet méritent quelques éclaircissements.

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L’école de langues rigoureuse. En route pour le succès.

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amont du processus d’innovation,pour accompagner les entreprisesdès les débuts. En une année, descontacts ont ainsi été mis sur piedavec une vingtaine d’interlocuteurset plusieurs projets prometteurs ontété mis en route.» Et les entretiensparlent d’énergies renouvelables, debiotech, d’horlogerie, de méca-nique, d’électronique, de matériauxet traitements de surface, d’infor-matique et de télécommunications,ou encore d’agronomie, d’architec-ture et de génie civil. Un éventail deprestations aussi large que sédui-sant, qui répond déjà largement auxattentes et aux besoins d’un nom-bre croissant d’entreprises.

La nouveauté avant toutSoumis au tandem, les projets doi-vent bien sûr répondre à des critèresde nouveauté et de diversification. Ilne s’agit pas d’une simple aide à laproduction ou à l’industrialisation detel ou tel produit. Carmine Senatoreillustre le propos avec l’exempled’une manufacture genevoise quidoit aujourd’hui réformer son modede production pour répondre à denouvelles normes européennes envoie d’adoption. Celles-ci régiront,en effet, de façon plus stricte, lacomposition de produits réalisésselon une technique établie depuisplus d’un demi-siècle. Le scientifiqueajoute que, après avoir réalisé uneétude de faisabilité financée par leGCC et obtenu des fonds de laCommission pour la technologie etl’innovation, un véritable projet derecherche va être mis en place en

partenariat avec l’entrepreneur. Si ceprojet est concluant, les adaptationsintroduites permettront d’apporterun souffle concurrentiel, voire avant-gardiste, à l’entreprise, tout en ren-forçant sa présence sur le marchéeuropéen, à l’heure où la force dufranc mine les exportations suisses.

En ce qui concerne les moyens mis àdisposition de ce dialogue, a prioriinimaginable, entre théorie et pra-tique, ils sont des plus impression-nants. Les deux centres académiquesouvrent les portes de leurs labora-toires et mettent à disposition lesexpertises de dizaines de leurs pro-fesseurs. «La physique et les sciencesabritées à l’Université ainsi que lesmatières maîtrisées par l’hepia sont àl’honneur, mais il est envisageabled’aller encore plus loin, peut-êtremême avec le concours de juristes,d’économistes ou de spécialistesd’autres domaines», s’enthousiasme,visionnaire, Carmine Senatore. Côtéinstitutionnel, l’Office de Promotiondes Industries et des Technologies etl’Union industrielle genevoise renfor-cent ce partenariat inédit, qui pour-rait bien s’inscrire dans une loi canto-nale pérennisant le GCC pour lestrois prochaines années.

Le géniteur MaNEPSi l’avenir semble briller pour leGCC, sa genèse rappelle à quelpoint Genève fourmille d’initiatives,parfois trop discrètes, mais telle-ment attrayantes. Et celle-ci, le pro-fesseur Øystein Fischer l’a choyée

2 MaNEP au cœur des matériaux du futurEDITORIALTraversée du lac: pas questionde baisser les bras

3 infoPOLITIQUEVotations du 11 mars :l’économie et la formationen jeu

4 infoCOMMERCEINTERNATIONAL

- Mission économique en Inde- Convention Annuelle sur l’Investissement

- Sommet mondial des matières premières

5 infoCHAMBREMidis de la Chambredu 15 décembre 2011 etdu 19 janvier 2012

6 infoCHAMBRE- Nouveaux membres- Les dessous d’unecampagne de votation

7 infoSPONSORS- Pérenniser son bilan est essentiel pour une PME

- L’oncologie ambulatoire au cœur de Genève

8 infoAGENDA- Midi de la Chambre du23 février 2012

- Forum Uni-Emploi- Séminaire :Stratégies d’investissement vers l’Asie et le Japon

- Mettez votre entreprise en valeur lors du Dîner annuel de la Chambre

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Séance inaugurale du Geneva Creativity Center : un centre original pour stimuler l’innovation.

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2Février2012 No1

NATHALIE HARDYNDirectrice adjointe

ÉDIT

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IAL

Le Conseil fédéral n’a pas retenu la traversée du lac dansson récent message sur l’extension du réseau des routes natio-nales. La CCIG s’est largement exprimée dans les médias pourmanifester sa déception et son incompréhension. Décep tionde voir que Berne n’a pas mis le contournement de Genève aumême niveau que celui de Morges. Incompré hension, enapprenant que, contre toute attente, le contournement du Locleet celui de la Chaux-de-Fonds figuraient soudain au programme.

Pour autant, il n’est pas question de baisser les bras. LaConfédération sait qu’elle doit trouver une solution pour sup-primer le goulet d’étranglement genevois. Pour la régionlémanique d’abord, puisque la saturation quotidienne de l’au-toroute de contournement entrave le trafic en provenance ducanton de Vaud et de la Suisse sur le couloir Est-Ouest. Pourfluidifier une partie des liaisons internationales de la Suisseensuite, étant donné que cet axe accueille une partie considé-rable du trafic routier reliant l’Allemagne au Sud de la Franceet à l’Espagne. Enfin, sur le plan local, le projet que le Conseild’Etat a présenté à Doris Leuthard au printemps 2011, en luidemandant expressément de l’inscrire au programme de cetteannée, recèle un très intéressant potentiel de désengorge-ment du centre-ville de Genève.

Maintenant, de deux choses l’une: soit les Chambres fédé-rales réparent l’oubli du Conseil fédéral et intègrent la réalisa-tion de la traversée du lac au cours de ces prochains mois, soitle dossier sera reporté à 2014, date du programme suivant. Lerisque sera alors de voir notre projet entrer en concurrenceavec toute une série de projets d’autres cantons et d’avoir unecompétition des plus âpres pour les financements fédéraux.

Pour Genève, la priorité est de trouver un consensus poli-tique sur le principe même de la traversée du lac. Le Conseild’Etat devra s’y employer en associant étroitement nos parle-mentaires fédéraux, qui sont particulièrement bien placéspour jouer de leur influence auprès de leurs collègues.Parallèlement, il ne faut négliger ni les élus cantonaux, ni lescommunes potentiellement concernées. Les Genevois sontparvenus à s’unir pour défendre le dossier CEVA, ils devrontrépéter l’opération pour la traversée du lac.

Traversée du lac :pas questionde baisser les bras

pendant trois ans pour la porter àmaturité. À l’origine, ce physiciendirige MaNEP (voir encadré), de l’an-glais Materials with Novel ElectronicProperties, sous l’égide del’Université de Genève. Depuis 2001,l’objectif de ce pôle national derecherche, sélectionné comme l’undes dix premiers par le Fonds natio-nal de la recherche scientifiquesuisse, est de contribuer par unerecherche fondamentale à la com-préhension des propriétés des nou-

veaux matériaux, de développer destechniques pour leur fabrication etd’élaborer les bases nécessaires pourleur application. Après avoir pubénéficier d’un important soutiende la Confédération, MaNEP sera,dès 2013, intégré dans les pro-grammes de l’Université de Genève.C’est ainsi que le professeur Fischerimagine le GCC, comme une suitelogique de la philosophie dévelop-pée au sein de MaNEP pour le trans-fert de technologie.

À n’en pas douter, avec le GCC,le tissu économique genevois atrouvé une fascinante plateformed’évolution. De quoi passer allègre-ment du fantasme à une réalité lancée à cent à l’heure sur les auto-routes du savoir, de l’innovation etde la compétitivité.�

Zahi Haddad

suite de la page 1

� SUR INTERNET

www.creativitycenter.chwww.manep.ch

Centre d’excellence, MaNEP est dirigé par le professeur Øystein Fischer et rassemble 250scientifiques à travers la Suisse, dans les deux écoles polytechniques fédérales, lesUniversités de Genève (institution hôte), de Berne, Fribourg et Zurich, les deux laboratoiresnationaux que sont l’Institut Paul Scherrer et le laboratoire fédéral d’essai de matériaux etde recherche, ainsi que dans plusieurs industries.

Sa vision est que les matériaux aux propriétés électroniques exceptionnelles vont jouer unrôle central dans le développement des technologies de demain. Leur potentiel est à la hau-teur des défis posés par les nouvelles technologies dans la course à la performance et à larapidité. MaNEP a ainsi pour objectif d’étudier ces matériaux et de les faire évoluer pourdonner corps, toujours un peu plus, à la créativité humaine. Parmi ces composés se trou-vent notamment les matériaux ferroélectriques, magnétiques ou supraconducteurs, dontcertains sont déjà présents dans notre quotidien.

L’exemple de la supraconductivité, qui vient de fêter ses cent ans, est particulièrement intéressant. Certains maté-riaux, dits supraconducteurs, ont la propriété exceptionnelle de laisser passer le courant sans aucune résistanceélectrique, lorsqu’ils sont refroidis au-dessous d’un seuil appelé «température critique», et permettent ainsi deréduire la perte d’énergie. On les trouve dans les dispositifs d’imagerie par résonnance magnétique (IRM), présentsdans les hôpitaux ainsi que dans le grand collisionneur du CERN. Ils offrent pour l’avenir des solutions nouvelles etplus efficaces, non seulement pour transporter ou stocker l’énergie électrique, mais également pour les télécom-munications et les transports du futur. C’est ainsi que les trains se préparent à flotter au-dessus de leurs rails, lesbateaux à perdre du poids et les voitures à être plus économes.

L’une des missions de MaNEP consiste à élaborer les bases nécessaires pour que ces matériaux trouvent une appli-cation concrète. Cela a été le cas, par exemple, pour des senseurs à gaz ou encore pour la technologie du micro-scope à effet tunnel qui a donné lieu à une technique de marquage, actuellement en élaboration pour diversesapplications comme pour l’horlogerie. «Bien que l’objectif de MaNEP soit de développer des connaissances debase au niveau de la recherche fondamentale, ces matériaux joueront sans aucun doute un rôle important dansla technologie du 21e siècle, et nous avons donc d’ores et déjà plusieurs projets de développement et d’applicationen partenariat avec l’industrie», conclut le professeur Fischer.� ZH

MaNEP au cœur des matériaux du futur

Le Professeur ØysteinFischer, directeur deMaNEP et initiateurdu Geneva CreativityCenter.

Pastille en lévitation grâce au phénomènede supraconductivité.

Démonstration d’un véhicule supracon-ducteur en lévitation.

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Les supraconducteurs au cœur du grandcollisionneur du CERN.

VOTATIONS

1 1 M A R S 2 0 1 2

3No1 Février2012

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Six semaines de vacances: le par-tenariat social par-dessus bord?La loi fixe actuellement la durée desvacances à quatre semaines au mini-mum par an (cinq pour les jeunesjusqu’à 20 ans). Chaque semaine devacances supplémentaire représen-terait un coût additionnel de 2%pour les entreprises, soit environ6 milliards de francs au total. Dansun pays où le coût du travail estdéjà élevé, une telle hausse ne man-querait pas d’avoir un impact néga-tif sur les prix, la compétitivité, lessalaires, voire l’emploi.

En Suisse, 88% des sociétés sontdes micro-entreprises occupantmoins de dix salariés. L’aug men -tation de la durée des vacances leurposerait un problème financier, maisaussi organisationnel, notammentpour remplacer les collaborateursabsents ou gérer le report descharges ou le stress ainsi induits.À noter qu’en matière de vacancesla Suisse est comparable àl’Allemagne, l’Italie et les Pays-Bas.Grâce au système en vigueur, elle

peut assurer de bons salaires, unrisque de chômage bas et une éco-nomie qui a montré sa solidité autravers des dernières crises.

Enfin, l’acceptation de cette initiativeaurait un impact négatif sur le parte-nariat social puisque la durée desvacances constitue l’un des points denégociation traditionnels. Une pres-sion à la baisse sur les salaires et lesautres avantages aux employés pour-rait poindre et vider de leur sens lesconventions collectives. C’est peut-être l’une des raisons qui expliqueque l’initiative de Travail.Suisse nesuscite qu’un enthousiasme trèsmodéré des autres syndicats, plusattachés à d’autres objectifs(salaires, flexibilité des horaires) queles vacances. Il convient donc deconserver la flexibilité du droit du travail et la tradition de partenariatqui ont fait le succès du modèle helvétique et, pour ce faire, de direNON à cette initiative.

Horaire scolaire: renforcerl’école, assurer l’avenirLa modification de la loi sur l’ins-truction publique prévoit une demi-journée d’école supplémentairepour les élèves de la 5P à la 8P, lemercredi matin. Les plus jeunes, dela 1P à la 4P, bénéficieraient d’unencadrement renforcé, mais conser-veraient le mercredi de congé.

Genève connaît aujourd’hui unesituation unique en Suisse. Depuis1997 et la suppression de l’école lesamedi matin, il est en effet le seulcanton dans lequel les écoliers, entre

8 et 11 ans, ne se rendent à l’écoleque quatre jours par semaine, soitbeaucoup moins que dans le restede la Romandie. Rappelons aussique Genève recueille de mauvaisrésultats aux tests PISA.

Parallèlement, avec l’ensemble descantons romands, Genève a adhéré auconcordat HarmoS et au plan d’étudesromand qui harmonisent la durée desdegrés d’enseignement, leurs objec-tifs et le niveau de connaissance desélèves. Or, sans augmentation dutemps passé à l’école, les élèvesgenevois ne pourront pas satisfaire àces nouvelles exigences, notammentdans l’apprentissage des langues.

Les conditions de travail des ensei-gnants ne seraient, quant à elles,pas péjorées par cette loi. Le nou-veau texte augmente en effet lenombre de postes d’enseignants etalloue 20 millions de francs supplé-mentaires à l’enseignement afin degarantir une adaptation harmo-nieuse aux nouvelles exigences. Lesentreprises ont aussi toutes les rai-sons de se mobiliser en faveur de

cette loi. De futurs apprentis etjeunes collaborateurs bien formés,maîtrisant les langues et à l’aise enmathématiques, sont autantd’atouts précieux. Pour toutes cesraisons, la CCIG vous recommandede voter OUI à cet objet.

Résidences secondaires:une intolérable mise sous tutelle L’initiative écologiste sur les rési-dences secondaires pose une bonnequestion, mais donne la plus mau-vaise réponse possible. Personne nepeut contester les problèmes d’amé-nagement du territoire suisse maiscette initiative, qui entend imposerune solution à taille unique à toutesles communes suisses, est beaucouptrop excessive et limitative.

Elle ignore les développementsrécents de la loi fédérale sur l’amé-nagement du territoire qui imposeaux cantons et aux communes de

infoPOLITIQUE

Votations

L’économie et la formation en jeuLe 11 mars prochain, sept objets seront soumis au peuple. Trois d’entre eux retiennent l’attention de la CCIG. Ils portent surdes thématiques aussi variées que l’augmentation du nombre de semaines de vacances, l’introduction de cours le mercredimatin à l’école, ainsi que des limitations aux résidences secondaires. Eclairages et recommandations de vote.

Recommandations de vote de la CCIG pourles autres objets

Votation fédérale

Acceptez-vous l’initiative populaire «Pour un traitement fiscal privilégié

de l’épargne-logement destinée à l’acquisition d’une habitation à usage

personnel ou au financement de travaux visant à économiser l’énergie ou à

préserver l’environnement (initiative sur l’épargne-logement)»? OUI

Acceptez-vous la loi fédérale du 18 mars 2011 sur la réglementation du

prix du livre (LPL)? NON

Votation cantonale

Acceptez-vous la loi modifiant la loi sur les manifestations sur le domaine

public (Manifestations à potentiel violent) (LMDPu) (F 3 10 - 10615),

du 9 juin 2011? OUI

prendre des mesures contre la proli-fération des résidences secondaires.Cette loi définit un niveau decontrainte suffisant, tout en laissantla marge de manœuvre nécessaireaux collectivités locales et régio-nales, les mieux placées pour trou-ver des solutions appropriées.

Fixer un seuil maximum de 20% derésidences secondaires, comme leprône cette initiative, promet dereporter leur construction dans descommunes qui n’ont pas atteint cepourcentage, aggravant ainsi le pro-blème en le diffusant. En outre, l’ac-ceptation de l’initiative aurait poureffet un arrêt brutal des construc-tions dans de nombreuses com-munes touristiques ou de montagne,régions périphériques qui n’ontguère d’alternative économique.Disons donc NON à cette initiativesuperflue, contreproductive etcontraire au fédéralisme!�

� INFORMATIONS

Philippe Meyer : p.meyer@ccig.ch - tél. 022 819 91 11

4Février2012 No1

Comment se déroulera la missionet quels contacts pourront êtreétablis sur place?La mission comprendra des visitesd’entreprises, des rencontres avec desChambres de commerce et des asso-ciations professionnelles, des «one-to-one meetings» ainsi que des repasd’affaires permettant le networkingavec les entreprises locales.

Au vu des différences culturelles,quels sont vos conseils pour inves-tir sur le marché indien?Je recommande à une entreprise

suisse, pour ses premiers contacts etleur suivi, de connaître quelqu’un surplace pour qui le marché et la cul-ture indiens sont familiers. Il fautsavoir que les Indiens aiment déve-lopper une relation de confianceavant de commencer à discuter desaffaires. Il s’agit donc de faire preuvede patience et de compréhension.Enfin, les Indiens sont très diplo-mates et ne disent jamais «non».C’est à travers leur comportementque l’on comprend s’ils sont intéres-sés ou non et s’ils veulent en savoirplus sur leur interlocuteur.

Comment se présente la conjoncture en Inde à moyen-long terme?Le PNB augmente à un taux d’envi-ron 8% et le pays se développe àune vitesse extraordinaire. Le gouver-nement joue un rôle actif dans ledéveloppement international dupays. L’Inde compte le plus grandnombre de jeunes employés qualifiésdu monde et son avenir me paraîttrès positif. Etant d’origine indienneet très attachée à mon pays, je nesuis peut-être pas très objective. Maisles chiffres ne me contredisent pas.�

Mission économique en IndeDu 15 au 21 avril 2012 à Delhi, Pune et Bangalore

Le prix des matières premières joueun rôle critique dans l’économiemondiale en raison de son impactsur l’inflation et la croissance écono-mique et, par conséquent, sur lemarché des actions et des capitaux.

Ce Sommet, organisé pour la première fois par le Financial Times,représente une occasion uniquepour les sociétés commerciales,investisseurs, acheteurs et produc-teurs de rencontrer les décideursdes secteurs de l’industrie financière.

L’événement permettra égalementde recueillir des renseignementsstratégiques et de recevoir des

conseils avisés sur les réglementa-tions et les possibilités d’investisse-ments sur le marché mondial desmatières premières.

Durant ces deux journées, les intervenants, des représentants desprincipales sociétés de trading enmatières premières, répondrontaux diverses interrogations desentrepreneurs et des investisseursliées aux problèmes que connaîtactuellement le secteur des matièrespremières.�

Sommet mondial desmatières premières Les 24 et 25 avril 2012, Beau-Rivage Palace, Lausanne

Pourquoi une entreprise suissedevrait-elle participer à l’AIM?L’objectif premier de l’AIM est decréer une plateforme durable visantà encourager la coopération entreles marchés en développement etles régions à forte croissance, ainsique des synergies entre promoteursde projets et investisseurs.

Les entreprises suisses en recherchede nouveaux partenaires écono-miques dans des secteurs phares telsque les énergies renouvelables, lestransports, l’agrobusiness, les indus-tries lourdes, les télécommunications,le tourisme et l’immobilier, aurontl’occasion de discuter avec les por-teurs de projets gouvernementaux ouprivés de plus de 50 pays émergents.

Quelles sont les particularités dela Convention, en ce quiconcerne les opportunités d’af-faires et d’investissements?L’événement inclut des présenta-tions de pays, des ateliers et destables-rondes ministérielles.La présence d’officiels permetd’engager des relations straté-giques et surtout de matérialiserles opportunités d’affaires etd’investissements.

Comment va-t-elle se dérouleret quels contacts pourront êtreentrepris sur place?L’AIM offre aux entreprises participantes une plate-formepour présenter leurs projets, uncalendrier de réunions B2B /B2Gpréétabli avec des investisseurs institutionnels, des entreprises etdes particuliers cherchant à placerleurs capitaux dans des projets fiables.�

Convention Annuellesur l’Investissement Du 1er au 3 mai 2012 à Dubaï

infoCOMMERCE INTERNATIONAL

L’Inde est un partenaire économique important de la Suisse. Raison pour laquelle la CCIG orga-nise, en collaboration avec l’Office de Promotion des Industries et des Technologies et le Swiss-India Business Forum (SIBF), une mission économique dans trois villes indiennes. Interview avec

Renuka Cavadini, Présidente du SIBF, qui livre quelques informations aux entreprises genevoises intéressées àparticiper à cette délégation, dont les thèmes principaux seront les «biotech» et les «cleantech».

Centré sur les Investissements Directs Etrangers (IDE)dans les pays émergents, la Convention Annuelle surl’Investissement (AIM) offre un excellent aperçu des

opportunités d’investissement dans les marchés en développement, detransition et à forte croissance. Prudence Kolong, Directrice de Projetdu Comité d’organisation de l’AIM, présente la seconde édition de cetimportant événement.

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Nexavis, société genevoise, aide lesentreprises à réduire drastiquementles coûts de formation et de sup-

Six présentations de quatre minutes pour réseauter.

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idier Jordan

Midi de la Chambredu 15 décembre 2011

Midi de la Chambredu 19 janvier 2012

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6Février2012 No1

Les dessous d’unecampagne de votation

Etape 1: Suivre l’actualité. Pourqu’il y ait votation, il faut qu’il y ait unobjet. Qu’il s’agisse d’initiative ou deréférendum, cantonal ou fédéral, leuraboutissement conduit inexorable-ment à mettre en marche le processusde votation. L’activité de la Chambreconsiste, à ce stade, à s’informer et àrecueillir les avis des milieux intéressés.

Etape 2: Monter le dossier. Onentre dans la phase concrètelorsque le Conseil fédéral ou leConseil d’Etat annonce les sujets devotation. Il est temps de consoliderles informations collectées et depréparer les dossiers destinés à laprise de décision du Bureau et duConseil de la Chambre sur chaqueobjet touchant à l’économie.

Etape 3: Décider et communiquer.Le Conseil arrête les positions de laCCIG et les transmet à la Chancel -

lerie. Celles-ci apparaîtront dans labrochure explicative envoyée avec lematériel de vote, pour autant que 50signatures valables de citoyens soientdéposées au Service des votations. Larécolte de ces paraphes permet éga-lement de bénéficier d’emplace-ments d’affichage politique gratuit.

Etape 4: Réunir pour mieuxconvaincre, l’union faisant la force.La Chambre bénéficie d’un réseaudense de partenaires économiques etpolitiques sur lesquels elle s’appuielors de ses campagnes. Un comité decampagne est systématiquementcréé, sous la conduite de la CCIG oude l’un de ses partenaires tradition-nels. Il aura la charge de mener àbien le plan d’action envisagé.

Etape 5: Expliquer, démontrer,convaincre. Oui, mais comment?Différents vecteurs de communication

1.31Conseils Internet, marketing digital

3MUNDI (3JSC)Organisation de voyages d’affaireswww.3mundi.ch

ADP SUISSE SAGestion des salaires etdes ressources humaineswww.adp.ch

ASSOCIATION AGENCE-TRTAgence de placement de personnes àl’aide socialewww.agence-trt.ch

AGO DESIGN SARLDécoration, rénovationwww.agodesign.ch

ALPAHACONSULTINGPrestations de conseils

AVOCATS ASSOCIESCabinet d’avocatswww.avocatsassocies.net

BBGI GROUPConseils en investissementswww.bbgi.ch

BIOLOR SARLCommerce de cosmétiqueswww.biolor.com

CODEION SABureau d’architecture, design industrielwww.codeion.com

ELCO AGFabrication et production d’enveloppeswww.myelco.ch

ETUDE BARTH & PATEKCabinet d’avocatswww.barth-avocats.ch

FLORAMAT SàrlUrbanisation floralewww.floramat.ch

FONDATION DES PARKINGSConstruction et exploitation de parkingswww.geneve.ch/parkings

Madame GEISMAR CarolMembre individuelBAECHLER/5 à Sec

INVOLVE SàrlConseils en ingénieriewww.involve.ch

JIVA HILL PARK HOTELHôtellerie, restauration,séminaires, événementswww.jivahill.com

KEYTRADE BANK SA, Bruxelles,Succursale de GenèveSuccursale de banque étrangèrewww.keytradebank.ch

LUZ & PARTNERS SàrlConseils patrimoineswww.lutzpartners.com

MICRONETICS INC. LTD (PANAMA)Succursale de LancyFabrication de composantsmicro-électriqueswww.mn-micronetics.com

MINO SAChauffage, climatisation,ventilation et régulationwww.mino.eu

NOBLE RESOURCES SANégoce international dematières premièreswww.thisisnoble.com

ORANGE BUSINESS SERVICESInternational mobilitywww.orange.ch

QUIRY – ZIMIZ PROMOTIONSOrganisation d’événementswww.zimizpromotions.ch

RS.SOLUTIONS SAAtelier de photolithographiewww.rs-solutions.ch

SWISS PERSPECTIVEConciergeriewww.swissperspective.ch

TESLA MOTORSSWITZERLAND GMBHVéhicules électriqueswww.teslamotors.com

TRIAL PROJECT ASSOCIATIONOrganisation d’événements sportifswww.trial-project.org

Bienvenueaux nouveaux membresadmis lors de la séance de Direction du 16 janvier 2012

infoCHAMBRE

La défense de l’économie fait partie des missions essentielles de la CCIG, qui prend régulièrementposition et s’engage politiquement, auprès des autorités, des entreprises et de la population afin deles informer au mieux des enjeux liés à tel ou tel sujet. La Chambre est ainsi active lors des quatre àcinq scrutins qui rythment l’année, comme pour les objets qui seront soumis à votation le 11 marsprochain (voir page 3). Guidés par cette actualité, nous vous proposons de découvrir les coulisses d’unecampagne politique menée par la CCIG, au travers de sept étapes.

peuvent être actionnés pour formerl’opinion des votants. L’utilisation desmédias, notamment pour des débatscontradictoires, est essentielle. L’af -fichage, traditionnel sur des pan-neaux ou plus mobile sur des véhi-cules TPG, est une manière demarquer le territoire: encore faut-ildisposer d’un visuel porteur et accro-cheur! Ce visuel sera ensuite déclinéau travers de flyers, d’annonces dansla presse et diffusé par les différentssupports de communication de laCCIG dont son site Internet.

Etape 6: Faire le bilan. Les dés sontjetés, le peuple a rendu son verdict.C’est l’heure des commentaires, desanalyses et des constats. Commu -niqués de presse, interviews et infor-mations aux membres sont au menudes heures et des jours qui suivent lavotation. Viendra ensuite la remisedes comptes de campagne imposéepar la loi sur les droits politiques, pré-lude à l’archivage du dossier.

Etape 7: Rester mobilisé. Retouraux étapes 1 et 2, car l’avantage denotre démocratie est que le fréquentappel aux urnes favorise le mouve-ment continu.

Parfois peu visible, voire lisible,ce travail de fond est absolument fondamental pour la protection d’uneentreprise libre et satisfaisante, encoreplus dans un contexte de crise écono-mique et de réflexes de repli.�

Charles Lassauce

Deux campagnes menées avec succès parla CCIG.

Le Centre d’oncologie des Eaux-Vivesgarantit une prise en charge de tout pre-mier ordre pour les traitements du cancer.

François Kirchhoff - BCGE, chef du départe-ment Financements PME et indépendants

7No1 Février2012

L’oncologie ambulatoireau cœur de Genève

Pérenniser son bilan est essentielpour une PME

Cette structure genevoise privéedotée de 7 médecins et de 14 colla-borateurs garantit aux patients unaccès complet aux techniques lesplus modernes de diagnostic et detraitement, qu’ils soient assurés enclasse commune ou en classe privée.La prise en charge étant assurée defaçon ambulatoire, les tarifs dessoins prodigués au Centre sontbasés sur le TARMED. Un service detransport est gracieusement offert,lorsque cela s’avère nécessaire, auxpatients traités par radiothérapie.

Une prise en charge multidiscipli-naire est proposée grâce aux diffé-rents intervenants dans lesdomaines de la radio-oncologie etde l’oncologie médicale. L’équipe

médicale a également pour missiond’accueillir les patients sans délaid’attente.

Au sein de l’Unité de radio-oncolo-gie, un accélérateur linéaire de dernière génération permet de traiter plus de 30 patients par jour,grâce à une technologie délivrantdes irradiations de haut débit etde très grande précision.

De plus, le Centre met à dispositionde ses patients plusieurs sallesconfortables et chaleureuses pourles traitements de chimiothérapie oud’immunothérapie.

Appliquant les plus récents acquisdes recherches en oncologie, lesmédecins du Centre ne cessent d’affiner leurs connaissances pourpermettre aux patients de bénéficierdes dernières avancées thérapeu-tiques.

L’objectif du Centre d’Oncologie desEaux-Vives est non seulement detraiter la maladie mais aussi d’assu-rer aux patients la meilleure qualitéde vie possible, tout en restant àleur écoute.�

Pour répondre à ce besoin, la BCGEpropose le prêt professionnel, unesolution simple et rapide pour desbesoins de liquidités allant de20 000 à 150000 francs, sur desdurées de trois à cinq ans. Ce prêts’adresse aux petites entreprises,aux indépendants et aux personnesexerçant des professions libérales. Ila, par rapport à une limite encompte courant à court terme,l’avantage de ne pas être réviséchaque année en fonction des résul-tats de l’entreprise. Il perdure tantque les intérêts sont payés et le pland’amortissement respecté.S’agissant d’un financement à courtterme, la limite en compte courantpeut, elle, être révoquée en touttemps, notamment quand la situa-tion se détériore, amplifiant ainsi lerisque de liquidités.

Le prêt professionnel permet definancer un investissement ou lebesoin en fonds de roulement.Pour ce dernier, il s’agit du finance-ment des actifs circulants, commeles débiteurs, les stocks ou les tra-vaux en cours. Le crédit d’investisse-ment concerne surtout le finance-ment d’actifs immobilisés tels quedes équipements de production, desvéhicules ou des aménagementsintérieurs.

Les décisions d’octroi du prêt pro-fessionnel sont simples et rapides.Ces prêts ont un taux d’intérêt com-pris entre 5.4%, pour les crédits àtrois ans, et 5.7% pour ceux à cinq

En cette période d’incertitude, les petites et moyennes entreprises sedoivent d’anticiper correctement une possible baisse de leur chiffre

d’affaires et un rallongement des délais de paiement de leurs clients. Pour ce faire, il leur fautsimuler leurs besoins financiers et rechercher des solutions de financement supplémentairescomme des prêts bancaires. Les entreprises ont également à s’assurer que les actifs circulantssoient toujours plus importants que la somme des dettes à court terme, faute de quoi elles ris-quent à tout instant une crise de liquidités.

infoSPONSORS

Un partenaire de confiance pour vos projets immobiliers

Au béné� ce d’une grande expérience du marché local de l’immobilier et de la construction, M&R accompagne ses clients, qu’ils soient privés ou publics, dans leurs projets.Nous nous positionnons comme un interlocuteur indépendant et neutre pour assurer la défense des intérêts de nos mandants.

M&R conseils projets immobiliers SA, Avenue Godefroy 1 - 1208 Genève – T +41 22 700 25 46 – www.mr-conseils.ch

Situé au centre-ville, le Centre d’Oncologie desEaux-Vives, membre du groupe Genolier SwissMedical Network, est un pôle de référence en

cancérologie à Genève. Le Centre assure une prise en chargerapide, personnalisée et complète des patients, tant dans ledomaine des tumeurs solides que dans le cadre des patholo-gies hématologiques malignes. ans. Ces taux sont fixés pour toute

la durée du contrat. Ils sont majorésde 1% pour les prêts compris entre20000 et 50000 francs. Le rem-boursement classique se fait sur unedurée comprise entre trois et cinqans et est effectué chaque trimestre.Dans certains cas, le prêt est entiè-rement amorti à l’échéance. Il estégalement possible de panacher lesdeux variantes. L’amortissement suitles règles propres à toute affairesaine; il correspond idéalement àla durée d’utilisation de la dépenseengagée: une machine dont ladurée de vie est de cinq ans doitêtre amortie sur la même période.�

François Kirchhoff

Centre d’Oncologie des Eaux-VivesRue Maunoir 261207 GenèveTél. 022 319 77 77www.eaux-vives.com

Cette représentation rend hommage au Pop Art. Tout comme la fameuse boîte de conserveCampbell’s qui lui a servi de modèle, le prêt professionnel est une solution rapide et simple.

2012Sponsors Co-sponsors Partenaires

8Février2012 No1

IMPRESSUM

bulletin d’information de la CCIG.Paraît 10 fois par an, 3200 exemplaires

Responsable d’édition:Zahi HaddadRédaction:Sonam Bernhard, Fabienne Delachaux,Zahi Haddad, Charles Lassauce,Marc Rädler et Géraldine Siegenthaler

Publicité:Promoguide SA - Tél. 022 809 94 62Concept et Graphisme:ROSS graphic design - RolleImpression:SRO-KUNDIG SA -Genève

Informations:publications@ccig.ch

Un peu moins d’un an après la plusgrande catastrophe naturelle que leJapon ait connu et un peu plus dedeux ans après l’entrée en vigueurde l’accord de libre-échange entre laSuisse et ce pays, JETRO (JapanExternal Trade Organization) orga-nise, en collaboration avec la CCIG,ce séminaire sur les stratégies d’in-vestissement des entreprises suisseset japonaises.

Différents orateurs prestigieux serontprésents dont Pierre Schaufelberger,Vice-président de la Zone AOA chezNestlé SA, et Martin Godel, directeur

du SECO, section PME. Ils décrypte-ront les clefs qui permettent depénétrer les marchés asiatiques d’unepart, et japonais d’autre part. Quantà Manabu Eto, Directeur général deJETRO Genève, il présentera son ana-lyse de la stratégie d’expansion desentreprises japonaises en Asie.

Cet événement à ne pas manquersera suivi d’un apéritif accompagnéde spécialités japonaises.�

Séminaire

Stratégies d’investissementvers l’Asie et le Japon

Midi de la ChambreJeudi 23 février 2012 de 12h à 14hCCIG, bd du Théâtre 4, Genève

Mercredi 7 mars 2012 de 16h à 19hHôtel Beau-Rivage, Quai du Mont-Blanc 13, Genève

Plateforme de contact privilégiée, leForum Uni-emploi permet aux entre-prises de rencontrer des étudiants etjeunes diplômés issus de toutes lesfilières d’études de l’Université deGenève. Présentations d’entreprises,stands clefs en main ou personnali-

sés et tables rondes offrent auxsociétés des conditions idéales pourse présenter aux étudiants et prépa-rer la relève!�

Forum Uni-Emploi Du 6 au 15 mars 2012Uni-Mail, Genève

Venez assister aux présentations des entreprises suivantes :

infoAGENDA

4, boulevard du Théâtre - 1204 Genève

Adresse postaleCase postale 5039 - 1211 Genève 11Tél. 022 819 91 11 - Fax 022 819 91 00

� PROGRAMME ET INSCRIPTIONS www.ccig.ch (Agenda des événements)

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www.unige.ch/forumemploi

Mettez votre entrepriseen valeur lors du Dîner annuelde la ChambreVous souhaitez présenter votre entreprise de façon originale?Louez un stand! La CCIG met à votre disposition l’espace nécessaire lorsdu Dîner annuel de la Chambre précédé de l’Assemblée générale, quiaura lieu le mardi 3 avril 2012 au Starling Geneva Hotel and ConferenceCenter. Plusieurs centaines de participants viendront nouer des relationsd’affaires – il ne reste qu’à laisser libre cours à votre imagination!

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Contact avant le 16 février 2012 - Sonam BernhardTél. 022 819 91 24 - s.bernhard@ccig.ch

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Nathalie Cornier, JETRO Genèvecornier@jetroge.ch

Après avoir complètement refait sonsite, désormais disponible en cinqlangues (français, allemand, italien,anglais et chinois), SWISSFIRMSadapte ses dépliants à sa nouvelleligne graphique.

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