camille saint-saëns, samson et dalila
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PURCHASED FOR THE
UNIVERSITY OF TORONTO LIBRARY
PROM THE
HUMANITIES RESEARCH COUNCILSPECIAL GRANT
The Age of Debussy and Mahler:
Romanticism to Modernism
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in 2010 with funding from
University of Ottawa
http://www.archive.org/details/samsonetdalilaoOOsain
SAMSON ET DALILA
MADAME VIARDOT-GARGIA
Tihnoii/nar/e de rcconnaissanrc des Auteurs.
;/
S4MS0N ET II4LILA
Opéra en 3 Actes et 4 TableauxIl I-.
FERDINAND LEMAIRE
TRADUCTION ALLEMAND!-:
RICHARD POHL
MUSIQUE
C. SAINT-SAËNSPartition. Chant cl Piano rddiiitc par l'Auteur
-'S
PARIS
A . 1) U R A N 1) K T !<'I L S . K I ) I T K Ü HS
4, PLACE DE LA MADELEINE, 4
l'ropriélé pour lous pays. — Déposé selon les traités internationauj-.
Droits de représentation, de traduction et d'exécution réservis.
Première Représentation à Weimar
THÉÂTRE GRAND-DUCAL, le 2 Décembre 1877
Directeur de l'Orchestre: M. EDOUARD LASSEN, maître de chapelle.
D.VLILA
Mllr MÜLLER
SAMSONM. FÉRENCZV
II.E GRA.M) PRÊTRE
M . MILDE
Prewrt0<-e Représentation en France, à Rouen
_'
s U R I. !;
/théâtre des arts, le 3 Mars 1890
IHrecleur : M. HENRY VERDHURT
SAMSONM . LAFARGE
l.K GRAND PRETREM. MONDAUD
MM. FERRAN, VERIN. CARBONAL, ANQUETIN, DELTOMBE
Première Représentation à Paris
THEATRE LYRIQUE DE L'ÉDEN, le 31 Octobre 1890
Db-ecleur : 5
M. HENRY VERDHURT\
Chef d'Orchestre :
M. GABRIEL MARIE
f>Al.lLAI
SAMSON|
LE GRAND PRÊTRE• M.TALAZAC j
MM. FERRAN, DINARO, PORTEJOIE, ARSANDEAUX, MONPLET
M". ROSINE BLOC^ M. BOU HY
SAMSON ET DALILAPremière Représentation à Paris, à l'Académie Nationale de Musique
LE 23 NOVEMBRE 1892
Direction de MM. BERTRAND et CAMPO-CASSO
Personnages. Rôles.
DALILA Mezzo-Soprano . .
SAMSON T<hior
LE GRAND PRÊTRE DE DAGON. finryton
ABIMÉLECII, Satrape de Gaza. ./' fiasse
UN VIEILLARD HÉBREU ... 2" Basse
UN MESSAGER PHILISTIN . . . Ténor
PREMIER PHILISTIN Ténor
DEUXIEME PHILISTIN Basse
Hébreu.x. — Philistins.
luterprùtos.
M""" Descuamps-Jehin.
MM. Vergnet.
Lassalle.
fournets.
CüAMBON.
Gallois.
Laurent,
douaillier.
Clief d'Orchestre : M. Edouard Colonne. — Chef des Chœurs : M. Léon Delahaye
Chef du Chant : Paul Vidal
Dioeriissemenl réglé par M. H. Hansen. — Régisseurs : MM. Lapissida el Coleuille
Décors de MM. Amable et Carpezat
Costumes de M. Biancuini
Pour traiter des représentations, de la location de la partition, des parties de chœur et d'or-
chestre, de la mise en scène, etc., s'adresser à MM. A. Durand et Fils, éditeurs-propriétaires pour
tous pays, place de la Madeleine, 4, à Paris.
SAMSON ET DALILA
PERSONNAGES
DALILA.
SAMSON.
LE GRAND-PHÈTHE ÜE DAGÜN.
ABIMÉLEGH, Satrape de Gaza.
UN VIEILLARD HÉBREU.
UN MESSAGER PHILISTIN.
PREMIER PHILISTIN.
DEUXIÈME PHILISTIN.
HlCUREU.\, PuiLisriNS.
SAMSON ET DALI LA
ACTE PREMIER
Uuo place publique dans la ville de Gaza, ou Palestine; à gauche,le portique du temple de Dagon. — Au lever du rideau, uuo fouled'Hdbrcux, hommes et femmes, sontrdunis sur la place dans l'atti-
tude de la douleur et de la prière. Samson est parmi ou.x.
SCÈNE PREMIÊIIE
SAMSON, LES HÉBREUX
LE CHŒUR.
Dieu d'Israël! écoute la prièi'e
De les enfaiils l'implorant à geuoux.Prends en pitié ton peuple et sa misèreQue sa douleur désarme Ion courroux!
LES FEMMES.
Un jour, de nous tu détournas la face,
El de ce jour ton peuple fut vaincu!
SAMSON KT DALILA.
LE CHŒUR.
(Jiioi! veux-lu donc qu'à jamais on efface
Des nations celle qui l'a connu?
Mais, vainement tout le jour je l'implore;
Sourd à ma voix, il ne me répond pas!
Et cependant, du soir jusqu'à l'aurore,
J'implore ici le secours de son bras!
LES HÉBREUX, basses.
Nous avons vu nos cités renversées,
Et les gentils profanant ton autel.
LE CHŒUR.
Nous avons vu nos cités renversées
Et les gentils profanant ton autel,
El sous leur joug nos tribus dispersées
Ont tout perdu, jusqu'au nom d'Israël!
N'es-tu donc plus ce Dieu de délivrance
Qui de l'Egypte arrachait nos tribus?
Dieu!
As-tu rompu celle sainte alliance,
Divins serments, pai' nos aïeux reçus?
SAMSÛN, surtaiit do la lulllo ;i droite.
Arrêtez, ô mes frères!
Et bénissez le nomDu Dieu saint de nos pères!
Car l'heure du pardon
Est peul-èlre arrivée!
Oui, j'entends dans mon cœur
Une voix élevée!
C'est la voix du Seigneur
ACTE I. — SCENE I.
Qui parle par ma lioiiclie.
Ce Dieu plein de bonlé.
Que la prière touche.
Promet la liberté!
Frères, brisons nos chaînes.
Et relevons l'autel
Du seul Dieu d'Israël !
Hélas! paroles vaines!
Pour marcher aux combats,
Où donc trouver des armes?
Comment armer nos bras?
Nous n'avons que nos larmes
L'as-tu donc oublié.
Celui dont la puissance
Se nt ton allié?
Lui qui, plein de clémence,
A si souvent pour loi
Fait parler ses oracles,
Et rallumé ta foi
Au feu de ses miracles?
Lui qui, dans l'Océan,
Sut frayer un passage
A nos pères fuyant
Un honteux esclavage?
LE CHŒUR.
Ils ne sont plus, ces temps
Où le Dieu de nos pères
SAMSON ET DALILA.
Protégeait ses enfants,
Entendait leurs prières!
Malheureux, taisez-vous!
Le doute est un blasphènne !
Implorons à genoux
Le Seigneur qui nous aime!
Remettons dans ses mains
Le soin de notre gloire.
Et puis, ceif,'nons nos reins,
Certains de la victoire!
C'est le Dieu des combats,
C'est le Dieu des armées!
Il armera vos bras
D'invincibles épées!
LE CIIÜiöB.
1.0 souflle du Seigneur
A passé dans son ümelChassons de notre cœur
Une terreur infâme.
Et marchons avec lui
Pour notre délivrance,
.léhovab le conduit
Et nous rend l'espérance!
ACTE I. — SCENE II.
SCENE II
Les Mêmes, ABIMELECH, PHILISTINS
fAbimélech entre par !a gauche, suivi de plusieurs cruorriors et
soldats philistins.)
.\BIMELECH.
Qui Jonc élève ici la voi.x?
Encor ce vil troupeau d'esclaves,
Osant toujours braver nos lois
Et voulant briser leurs entraves!
Cachez vos soupirs et vos pleurs
Qui lassent notre patience;
Invoquez plutôt la clémence
De ceu.\ qui furent vos vainqueurs!
Ce Dieu que votre voix implore
Est demeuré sourd à vos cris,
Et vous l'osez prier encore
Quand il vous livre à nos mépris?
Si sa puissance n'est pas vaine,
Qu'il montre sa divinité!
Qu'il vienne briser votre chaîne,
Qu'il vous rende la liberté!
Croyez-vous ce Dieu comparable
A Dagon, le plus grand des Dieux,
Guidant de son bras redoutable
SAMSO.N KT DAl.IKA.
Nos fiucrriers victorieux?
Voire divinilé craintive,
Tronihiaiile fuyait devaiil lui.
Comme la colonilic plaintive
Fuit le vautour qui la poursuit!
C'est toi (jiK! sa bonclie invective,
Et la terre n'a point tremblé?
Seigneur! l'abîme est comblé!
Je vois aux mains des anges
Briller l'arme de feu,
Et du ciel les plialanges
Accourent venger Dieu.
Oui, l'ange des ténèbres,
En passant devant eux.
Pousse des cris funèbres
Qui font frémir les cieux!
Enfin, l'Iieure est venue,
1,'lieure du Dieu vengeur,
Et j'entends dans la nue
Eclater sa fureur.
Oui, devant sa colère
Tout s'épouvante et fuit!
On sent trembler la terre,
Aux cieux la foudre luit!
LK en CE IUI (Uoljrnux).
Oui, (levant sa colère
Toul s'épouvaiile et fuit!
ACTE I. - S CENE 11.
Un sent Iroiiililer la terre,
Aux cieux la foudre luit!
ABIMÉLECH.
Arrête! insensé, téméraire!
Ou crains d'exciter ma colère!
Israël ! romps ta chaîne!
peuple, lève-toi !
Viens assouvir ta haine!
Le Seigneur est en moi!
loi, Dieu de lumière,
Comme aux jours d'autrefois
Exauce ma prière
Et combats pour tes lois!
LES HKIiREl'X.
Israël! romps ta cliaine!
peuple, lève-toi!
Viens assouvir ta haine!
toi, Dieu de lumière,
Comme aux jours d'autrefois
Exauce ma prière
Et combats pour les lois!
Oui, devant sa colère
Tout s'épouvante et fuit!
On sent trembler la terre
Aux cieux la foudre luit!
Il déchaîne l'orage.
SAMSON ET nALILA.
Commande à l'ouragan,
On voit sur son passage
Reculer l'Océan!
LES HÉBREIX.
Israël! romps ta chaîne!
peuple, lève-toi!
Viens assouvir ta haine!
Le Seigneur est en nioil
toi, Dieu de lumière,
Comme aux jours d'autrefois,
Exauce ma prière
Et combats pour tes lois!
Israël! lève-toi!
(Abimélech se précipite sur Samson l'épée à la main pour le frapper.
Samson lui arrache l'épée des mains et le frappe. — Abiraélech crie
en tombant : A wioi.' — Les Philistins qui accompagnent le satrape
veulent le secourir; Samson, brandissant son épée. les éloigne.— II
occupe la droite de la scène; la plus grande confusion règne parmieux. Samson et les Hébreu.x sortent à droite. — Les portes dutemple de Dagon s'ouvrent; le grand prêtre, suivi do nombreuxserviteurs et gardes, descend les degrés du portique ; il s'arrête de-
vant le cadavre d'Abimélech; les Philistins s'écartent devant lui.)
SCENE III
Les Mêmes, LE GRAND PRETRE,SERVITEURS, GARDES
LE GRAND PRETRE.
Que vois-je? Abimélech ! frappe par des esclaves!
Pourquoi les laisser fuir'? (Courons, courons, mes braves!
ACTE I. — SCENE IV.
Pour venger votre Prince, écrasez sous vos coups
Ce peuple révolté bravant votre courroux !
PREMIER PHILISTIN.
J'ai senti dans mes veines
Tout mon sang se glacer;
Il semble que des chaînes
Soudain vont m'enlacer!
DEUXIÈME PHILISTIN.
Je cherche en vain mes armes,
Mes bras sont impuissants.
Mon cœur est plein d'alarmes,
Mes genoux sont tromlilants!
LE GIIAND PRÊTRE.
Lâches! plus lâches que des femmes!
Vous fuyez devant les combats!
De leur Dieu craignez-vous les flammesQui doivent dessécher vos bras?
SCÈNE IV
Les Mèmks, UN MESSAGER PHILISTIN
LE MESSAGER.
Seigneur! la troupe furieuse
Que conduit et guide SamsonDans sa révolte audacieuse
Accourt, ravageant la moisson!
SAMSO.N i:t dami.a.
PREMIER ET DIÎUXIKME PHILISTINS.
Fuyons un daiiyer inutile!
Quiltons au ])lus vile cos lieux;
Seigneur, aljandoiinons la ville
Et cachons notre honte aux yeux.
LE MESS.\nER.
Quittons au plus vile Cfs lieu.x ;
Seigneur, abandonnons la ville
Et cachons notre honti' aux yeux.
LE GR.^ND PRÊTRE.
Maudite cà jamais soit la race
Des enfants d'Israël!
Je veux en ell'acer la trace,
Les abreuver de lie! !
Maudit soit celui qui les guidi^!
J'écraserai du pied
Ses os brises, sa gorge aride.
Sans frémir de pilié !
Maudit soit le sein de la feinnie
Qui lui doinia le jour!
Qu'eiilin une compagne infâme
Trahisse son amour!
Maudit soit le Dieu qu'il adore,
Ce Dieu son seul espoir!
VA dont ma haine insulte encore
l.'aiilcl cl le iiouvdir!
ACTE I. — SCENE V.
LE MESSAGER, PREUIER ET DEUSIEUE PHILISTINS.
Fuyons dans les montagnes.
Abandonnons ces lieux.
Nos maisons, nos compagnes,
El jusques à nos dieus!
(Ils sortcDt par la gauche, emportaal le cadavre d'AIûmélech. Aumoment où les Philistins quittent la scène suivis du grand prêtre,
les Hdbreux, vieillards et femmes, entrent par la droite. Le soleil
se lève complètement.)
SCÈNE V
LES FEMMES et LES VIEILLARDS HEBREUXpuis SAMSON suivi des HÉBREUX vicloricux.
LES VIEILLARDS.
Hymne de joie, hymne de délivrance,
Montez vers l'Éternel !
U a dai)»né dans sa toute-puissance
Secourir Israël !
Par lui le faible est devenu le maître
Du fort qui l'opprimait!
11 a vaincu l'ûrgueiileu.K et le traître
Dont la voix l'insultait!
(Les Hébreux conduits par Samson entrent à droite.]
UN VIEILLARD.
Il nous frappait dans sa colère.
Car nous avions bravé ses lois!
Plus tard, le front dans la poussière,
SAMSUN ET Ü A LI LA.
Vers lui nous élevions la voix.
11 dil à ses tiibiis aimées :
Levez-vous, marchez aux combats!
Je suis le Seigneur des années,
Je suis la force de vos bras!
LES VIEILLAIIDS.
Il osl venu vers nous dans la délresse,
Car ses fils lui sont chers.
Que l'univers tressaille d'allégresse!
Il a rompu nos fers !
Hymne de joie, hymne de délivrance,
Montez vers l'Élernel !
Il a daigné dans sa toute-puissance
Secourir Israël !
SCÈNK VI
SAM S ON, DALILA, LES P II I L 1 STIN ES,
LE VIEILLARD HÉBREU
I^es portes du tomplo du Dayon s'ouvrent. Dalila eutro, suivie des
femmes philistines, tcuant dans leurs mains des guirlandes de
fleurs.)
L K S l' U I L 1 s ï 1 N K ;
Voici le printemps, nous portant des Ik'urs
Pour orner le front des guerriers vain([ueurs!
Mêlons nos accents aux parfums des roses
A peine écloses !
Avec l'oiseau chantons, mes sœurs!
ACTE I. — SCENE VI.
Beauté, don du ciel, prinlemps de nos jours,
Doux charme dos yeu-t, espoir des amours!
Pénèlre les cœurs, verse dans les âmes
Tes douces flammes!
Aimons, mes sœurs, aimons toujours!
DALILA, s'adressaut à Samson.
Je viens célébrer la victoire
De celui qui règne en mon cœur.
Dalila veut pour son vainqueur
Encor plus d'amour que de gloire!
mon bien-airaé, suis mes pas
Vers Soreck, la douce vallée.
Dans cette demeure isolée
Où Dalila t'ouvre ses bras!
SAMSON, à iJart.
U Dieu! toi qui vois ma faiblesse.
Prends pitié de ton serviteur!
Kernie mes yeux, ferme mon cœur,
A la douce voix qui me presse!
Pour toi, j'ai couronné muii Iront
Des grappes noires du troène.
Et mis des roses de Saron
Dans ma chevelure d'ébène!
LE VIEILLARD HÉBREU.
Détourne-toi, mon fils, de son chemin!
Évite et crains cette fille étrangère.
Ferme l'oreille à sa voix mensongère.
Et du serpent évite le venin!
SAMSON ET DA LILA.
Voile ses traits dont la beauté
Trouble mes sens, trouble mon âme !
Et de ses yeux éteins la flamme
Qui me ravit la liberté!
Doux est le muguet parfumé;
Mes baisers le sont plus encore;
Et le suc de la mandragore
Est moins suave, ô bien-aimé!
Ouvre tes bras à ton amante,
El dépose-la sur ton cœur,
Comme un sachet de douce odeur
Dont la senlinir est enivrante!
Flamme ardente (jui me dévore.
Et qu'elle r'avive en ce lieu.
Apaise-toi devant mon Dieu.
Pitié, Seigneur, pour celui (jui t'implon
LK VIKILLAKl) HEUUEU.
Malheur à toi, si tu subis les charmes
De cette voix plus douce que le miel :
Jamais tes yeux n" auront assez de larmes
Pour désarmer la colère du ciel!
Les jeunes tilles nui ont acconvpagné Dalila dansent en aRitaut des
guirlandes de fleurs qu'elles tiennent h la main et semblent provo-
quer les guerriers ht'hreux qui aceompagncnt Sanison. Ce dernier,
profondément troubli^ cherche eu vain il cHiter les regards de
Ualita; ses yeux, malgré lui. suivent tous les mouvements de l'en-
ACTE I. — SCÈNE VI.
cbanteresse, qui reste au milieu des jeimes Pbilistiucs. preuaut part
à leurs poseg et à leurs gesles voluptueux.)
DANSE DES PRETRESSES DE DAGOX.
Printemps qui commence.Portant l'espérance
Aux cœurs amoureu.\,
Ton souflle qui passe
De la terre efface
Les jours malheureux.
Tout brûle en notre âme.
Et ta douce tlamme
Vient sécher nos pleurs;
Tu rends à la terre,
Par un doux mystère.
Les fruits et les Heurs.
En vain je suis belle !
Mon cœur plein d'amour.
Pleurant l'infidèle,
.\ltend son retour !
Vivant d'espérance,
.Mon cœur désolé
Garde souvenance
Du bonheur passé.
lïj'adressaut à Samsoa, tournée vers lui.)
A la nuit tombante.
J'irai, triste amante,
M'asseoir au torrent.
L'attendre en pleurant
SAMSU.N ET IJALILA.
Chassant ma tristesse,
S'il revient un jour,
A lui ma tendresse
Et la douce ivresse,
Qu'un brûlant amour
Carde à son retour!
LK VIEILLARD IIKBRKL".
L'esprit du mal a conduit cette femme
Sur ton eliemin, pour troubler ton repos.
De ses regards fuis la brûlante flamme !
C'est un poison ([ui consume les os!
Chassant ma tristesse,
S'il revient un jour,
A lui ma tendresse
Et la douce ivresse
Qu'un brûlant amour
Garde à son retour!
(Dalila regagne en chaniaut les degrés du temple et provoque Samson
du regard ; celui ci semble sous le charme. Il lidsite, il lutte et trahit
le trouble de sod àme.)
ACTE II
Lo Ihéàtra rcpi-L-seuto la vallée de Soreck, eu l'alcsliuc. A gauche I;
«temcure do Dalila, précédée d'un léger portique et cutouréc dplautcs asiatiques et do liaues luxuriautos. — Au lever du rideaula nuit commence, et se fait plus complète pendant toute la duréido l'acte.
SCÈNE PREMIÈRE
DALILA,
(Kilo est plus parée qu'au premier acte. Au lever du rideau, elle estassise sur une roche, près du portique do sa maison, et semblerêvouse.)
Samson, recherchant ma présence,
Ce soir doit venir en ces lieux.
Voici riieure de la vengeanceQui doit satisfaire nos dieux !
Amour! viens aider ma faiblesse!
Verse le poison dans son sein!
Fais que, vaincu par mon adresse,
Samson soit enchaîné demain !
Il voudrait en vain de son âmePouvoir me chasser, me bannir!
Pourrait-il éteindre la flammeQu'alimente le souvenir'?
SAMSON Kï IJALII.A.
11 est à moi ! c'est mou esclave !
Mes frères craignent son courroux ;
Moi seule, entre tous, je le brave,
El le retiens à mes genoux !
Amour, viens aider ma faiblesse !
Verse le poison dans son sein !
fais que, vaincu par mon adresse,
Samsou soit enchaîné demain!
Contre l'amour, sa force est vaine;
Et lui, le fort parmi les forts,
Lui, qui d'un peuple rompt la chaîne,
Succombera sous mes efforts!
SCENE II
DALILA, LE GRAND PRÊTRE DE DAGON
LE GRAND FRÉTÉE.
J'ai gravi la montagne
Pour venir jusqu'à toi !
Dagon qui m'accompagne
M'a guidé vers ton toit.
Salut à vous, mon père !
Soyez le bienvenu,
Vous qu'ici l'on révère !
LE GR.^^ND PRÊTRE.
Notre sort t'est connu !
La victoire facile
ACTE II. — SCENE II.
Des esclaves hébreux
Leur a livré la ville.
Nos soldais devant eux
Ont fui, pleins d'épouvante.
Au seul nom de Samson
Dont l'audace effrayaulc
A troublé leur raison.
Fatal à notre race,
H reçut de son Dieu
La force avec l'audace.
Enclminé par un vœu,
Samson, dès sa naissance,
Fut marqué par le ciel
Pour rendre la puissance
Au peuple d'Israël !
DALIL.\, amèrement.
Je sais que sou courage
Bpave votre courroux.
Et qu'il n'est pas d'outrage
Qu'il ne garde pour vous.
LE GR.\.\D PRÊTRE.
A tes genoux, sa force
Un jour l'abandonna.
Mais depuis, il s'efforce
D'oublier Dalila.
Ou dit que, dans son âme.
Oubliant ton amour.
Il se rit de la llamme
Qui ne dura qu'un jour!
9AMS0N ET DAI.II.A.
Je sais que de ses frères
Écoutant les discours
El les plaintes amères
Que causent nos amours,
Samson, malgré lui-même,
Combat et lutte en vain;
Je sais combien il m'aime
Et mon cœur ne craint rien.
C'est en vain qu'il me brave :
Il est fort aux combats.
Mais il est mon esclave
Et tremble dans mes bras!
LE GRAND PRÊTRE.
Sers-nous de ta puissance.
Prête-nous ton appui!
Que, surpris sans défense,
11 succombe aujourd'hui!
Vends-moi ton esclave Samson !
Et pour te payer sa rançon,
Je ne ferai point de promesses!
Tu peux choisir dans mes richesses.
Qu'importe à Dalila ton or!
Et que pourrait tout un trésor
Si je ne rêvais la vengeance!
Toi-même, malgré ta science,
Je t'ai trompé par cet amour.
Samson sut vous ilomi)tor un ,j«ur;
ACTE II. — SCE.\E II.
Mais il n'a pu me vaincre encore,
Car autant que toi je l'abliorre !
LE GR.4ND PRÊTRE.
J'aurais dû deviner la haine et ton dessein!
Mon cœur en t'écoutant tressaille d'allégresse.
Mais sur son cœur déjà n'aurais-tu pas en vain
Mesuré ta puissance, essayé ton adresse ?
Oui... déjà par trois fois, déguisant mon projet,
J'ai voulu de sa force éclaircir le secret.
J'allumai cet amour, espérant qu'à sa flamme
Je lirais l'inconnu dans le fond de son âme.
Mais, par trois fois aussi, déjouant mon espoir,
Il ne s'est point livré, ne m'a rien laissé voir.
En vain d'un fol amour j'imitai les tendresses,
Espérant amollir son cœur par mes caresses!
J'ai vu ce fier captif, enlacé dans mes bras,
S'arracher de ma couche et courir au.x combats !
Aujourd'hui cependant, il subit ma puissance;
Car je J'ai vu pâlir, trembler en ma présence.
Et je sais qu'à celte heure, abandonnant les siens,
Il revient en ces lieux resserrer nos liens.
Pour ce dernier combat j'ai préparé mes armes :
Samson ne pourra pas résister à mes larmes.
LE GRAND PRÊTRE.
Que Dagon, notre Dieu, te prête son appui!
Tu combats pour son culte, et tu vaincras pour lui!
DALILA.
Il faut, pour assouvir ma haine,
SAMSON KT DAI.ll.A.
II fallt que mon pouvoir l'onchaine!
Je veux que, v.iinru par l'amour,
Il courbe le front à son tour !
LE GRAND l'H h'iTRE.
.|p veux, pour assouvir ma haine,
Je veux que Dnliia l'enchaîne;
Il faut que, vaincu par l'amour.
Il courhe le front à son tour!
DALILA.
Il faut, pour assouvii- ma haine, etc.
LE C. nA.Nri l' HÊTRE.
En toi seule est mon espérance,
.\ loi l'honneur de la vengeance!
Je veux pour assouvir ma haine,
Je veu.x que Dalila l'enchaîne;
Je veux que, vaincu par l'amour,
I11 courbe le front à son tour!
Unissons-nous tous deux !
Mort au chef des Hébreux !
A moi l'honneur de la vengeance!
Il faut, pour assouvir ma haine.
Il faut (juc mon pouvoir l'enchaîne !
Je veux que, vaincu par l'annuir,
Il courbe le front à son tour !
Unissons-nous tous deux!
Mort au clicf des Hébreux!
LE CIIANU l'RÈTHE.
Samson, nie di-^ais-Ui, dans ces lieux cloit se rendre?
ACTE II. SCENK III.
.Je l'attends!
LE GliAND PUÈTRE.
Je m'éloigne, il pourrait jious sur[)reiidro
Bientôt, je reviendrai par de secrets chemins.
Le destin de mon peuple, ô femme, est dans tes mains.
Déchire de son cœur l'invulnérable écorce,
Et surprends le secret qui nous cache sa force.
(Il sort.)
DA LILA se rapproche de la gaucho de la scène vers lo portique
de sa miiison, et s'appuio rêveuse à uu des piliei-s.
Se pourrait-il que sur son cœur
L'amour eût perdu sa puissance?
La nuit est sombre et sans lueur...
Hien ne peut trahir sa présence.
Hélas!
Il ne vient pas!
(S.Tmsoa arrive i)ar la droite. Il somhle ému, troublé, hésitant; il
regarde autour de lui. La nuit s'assombrit de plus on plus.)
SGÈNIi III
DALILA, SAMSdN
(liclairs lointains.)
En ces lieux, malgré moi, m'ont ramené mes pas...
Jo voudrais fuir, hélas! et ne puis pas.
Je maudis mon amour... et pourtant, j'aime encore.
Fuyons, fuyons ces lieux que ma faililesse adore!
SAMSON ET nALILA.
D A L I L A s avance
C'est loi, mon bien-aimé ! J'aLlendais ta présence.
J'oublie, en te voyant, des beures de soufTrance.
Salut! salut! ô mon doux maître !
Arrête ces transports,
Je ne puis t'i^coiiler sans bonté et sans remords!
Samson ! ô toi, mon bieu-aimé !
Pourquoi repousser ma tendresse?
Pourquoi de mon front parfumé,
Pourquoi détourner tes caresses?
Tu fus toujours chère à mon coîur,
Et tu n'en peux être bannie !
J'aurais voulu donner ma vie
A l'amour qui fit mon bunbeui !
l'rès de moi pourquoi ces alarmes?
Aurais-tu douté de mon cœur?
N'es-tu pas mon maître et seigneur?
L'amour a-t-il perdu ses cliarmes?
Hélas! esclave de mon Dieu,
Je subis sa volonté sainte;
Il faut, par un dernier adieu,
Hompre sans murmure et sans crainte
l^e doux lien de notre amour!
ACTE II. — SCKNE III.
D'Israël renaît l'espérance !
Le Seigneur a marqué le jour
Qui verra notre délivrance!
11 a (lit à son serviteur :
Je t'ai choisi parmi tes frères,
Pour les guider vers le Seigneur
Kt mettre un terme à leurs misères!
Qu'importe à mon cœur désolé
Le sort d'Israël et sa gloire!
Pour moi le bonheur envolé
Est le seul fruit de ta victoire.
L'amour égarait ma raison
Quand je croyais à tes promesses,
Et je n'ai bu que le poison
En ni'enivrant de tes caresses!
Ah! cesse d'aftliger mon cœur!
Je subis une loi suprême...
Tes pleurs ravivent ma douleur!
Dalila! Dalila! je t'aime!{Éclairs lointains.)
Un dieu plus puissant que le tien,
Ami, te parle par ma bouche;
C'est le Dieu d'amour, c'est le mien!
Et, si ce souvenir te touche,
Rappelle à ton cœur ces beaux jours
Passés aux genoux d'une amante
Que tu devais aimer toujours,
Et qui seule, hélas! est constante!
SAMSO.N KT DA 1,1 I.A.
Insensée! oser ni'accuscr!
Quand pour toi tout parle à mon Ame!
Oui, dût la foudre m'écraser!
Dussé-je périr de sa llamnie!
(Éclairs plus rapprochés.)
l'ouï- toi si arratid est mon amour,
Que j'ose aimer malgré Dieu même!
Oui ! dussé-je en mourir un jour,
Dalila! Dalila! je t'aime!
Mon eœur s'ouvre à la voix, comme s'ouvrent les tl
Aux baisers de l'aurore!
Mais, A mon bien-aimé, pour mieux sécher mes pie
Que ta voix parle encore!
Dis-moi qu'à Dalila lu reviens pour jamais;
Uedis à ma tendresse
Les serments d'autrefois, ces serments que j'aimais
Ah ! réponds à ma tendresse !
Verse-moi l'ivresse!
Héponds à ma tendresse!
SA M SUN.
Dalila! D.ilila! je l'aime!
Ainsi qu'on voit des blés les épis onduler
Sous la brise légère.
Ainsi frémit mon cœur, prêt à se consoler,
A la voix qui m'est chère!
La tlèche est moins rapide à porter le trépas.
Que no l'est ton amante k voler d.uis les bras!
ACTE II. — SCENE III.
Ah! réponds à ma tendresse!
Verse-moi l'ivresse !
Par mes baisers, je veux sécher tes larmes,
Et de ton cœur éloigner les alarmes !
s AM s ON.
Ualila! Daiila ! je t'aime!
(Violeut coup (le tonnerre.
-Mais!... mou! quu dis-je, hélas! la triste Daiila
Doute de tes paroles!
Egarant ma raison.
Tu me trompas déjà par des serments frivoles!
Quand pour toi j'ose oublier Dieu,
Sa gloire, mon peuple et mon vœu!
Ce Dieu qui marqua ma naissance
Du sceau divin de sa puissance!
DALIL.\.
Eli bien! connais donc mou amour!
C'est ton Dieu même que ji'uvie!
Ce Dieu qui te donna le jour.
Ce Dieu qui consacra ta vie!
Le vœu qui t'enchaîne à ce Dieu
Et qui fait ton bras redoutable,
A mon amour fais-en l'aveu,
Chasse le doute qui m'accable!
(Éclairs et tonnerre lointain.
SAMSOiN KT DA LI I.A.
Ualila, ijiie veux-tu de moi?
Crains que je ne doule Je toi !
DALILA.
Si j'ai conservé ma puissance.
Je veux l'essayer en ce jour!
Je veux éprouver Ion amour
En réclamanl ta confiance !
(Éclairs et tonnerro de plus en plus ra|iprüehL<s.)
SAMSOiN.
Hélas ! qu'importe à ton bonheur
Le lien sacré ijui m'enchaine?
Ce secret que garde mon cœur"?
DALILA.
Par cet aveu soulage ma douleur!
SAMSON.
Pour le ravir, ta force est vaine!
u A L 1 L A
.
Uni! vain est mon pouvoir,
Car vaine est la tendresse!
Quand je veux le savoir,
Ce secret qui me blesse,
Dont je veux la moitié,
Oses-tu, dans ton âme.
Sans honte et sans pitié,
M'accuser d'être infâme ?
D'uni' immense douleur
Ma pauvre àme accablée
Implore le Seigneur
D'une voix désolée !
ACTE II. — SCÈNE 111.
J'avais paré pour lui
Ma jeunesse et mes cliainies!
Je n'ai plus aujourd'hui
Qu'à répandre des larmes!
Dieu tout-puissant
J'invoque ton appui!
Pour ces derniers adieux
Ma voix est impuissante!
Fuis! Samson, fuis ces lieux
Où mourra ton amante!
1).\L1LA.
Ton secret V
Je ne puis!
DALI LA.
Ton secret?
Ce secret i\m cause mes alarmes.
L'orage sur ces monts
Déchaîne sa colère !
Le Seigneur sur nos fronts
Fait gronder son tonnerre!
SAMSÜN ET UALILA.
DALI LA.
Je Ic lirave avec toi!
Viens!
h A M s ü N .
Non!
DALILA.
Viens!
<AMï IN.
Laisse-moi!
UALILA.
Que m'inipoile la foudre!
s AM s (IN.
Ji' ne puis m'y résoudre...
SA MScl.N.
C'est lu voi.x de mon Dieu!
Lâche! conir sans amonr!Je te méprise! Adieu!
(Iialila coiin vci's sa (k'mouro; l'üi-ago est dans toute sa lui'cuf. Sam-soii, levant les bras au ciel, semble invoquer Dieu. Il s'i'lance k lasuite (le Dalila. hdsite, et culiu outre dans sa demeure. — Par ladroite arrivent des soldats philistins qui s'approchent doucementdo la demeure de Datila.)
(Violent coup do tonuerre.)
Ü A L I L A, paraissant à sa fenêtre.
A moi ! Philistins ! à moi !
SAMSON'.
Tialiison!
(Les soldats so précipitent dans la ilemeure de Dalila.) Rideau.
ACTE 111
PREMIER TARLEAU
La prisuii do Gaza.
SCENE fremiéru;
SAMSON, LES HEBREUX
Sainsou, cuchaîaé, avouglc, los cheveux coupös, loiiruo la moule.Dans la coulisse, chœur des Hébreux captifs.
)
Vois ma misère, liélas! vois ma détresse!
Pitié ! Seigneur ! pitié pour ma faiblesse !
J'ai détourné mes pas de ton clieniin :
Bientôt de moi lu détournas la main.
Je t'oll're, ô Dieu, ma pauvre àme brisée!
Je ne suis plus qu'un objet de risée !
Ils m'ont ravi la lumière du ciel;
Ils m'ont versé l'amertume et le liel!
LE CHŒUR.
Samson, qu'as-tu fait du Dieu de tes pères?
Qu'as-tu l'ait de tes frères'.'
3
SA.M SON ET DA LI LA.
Hélas! Israël dans les fers,.
Du ciel attirant la vengeance,
A perdu jusqu'à l'espéraiice
l'ar tous les maux qu'il a soullerls!
Que nos tributs à tes yeux trouvent uràce.
Daijîne à ton peuple épargner la douleur!
Apaise-toi devant leurs mau.ii, Seigneur,
Toi, dont jamais la pitié ne se lasse!
LE CHŒL'B.
Dieu nous confiait à ton bras,
Pour nous guider dans les combats;
Samson ! qu'as-lu fait de tes frères?
Qu'as-tu fail du Dieu de tes pères?
Frères! votre chant doulüureu.\.
Pénétrant dans ma nuit profonde.
D'une angoisse mortelle inonde
Mon cœur coupable et malheureux!
Dieu ! prends ma vie en sacrifice
Pour satisfaire ton courroux !
D'Israël détourne les coups,
El je proclame ta justice!
LES H li 11 K E C .\
.
Pour une femnie il nous vendait,
De Dalila payant les charmes.
Fils de Manoah, (]u'as-lu fait
De notre sang et de nos larmes?
ACTE III. — SCENE H.
A Les pieds, brisé, mais suiuiiis.
Je bénis la main qui me frappe.
Fais, Seigneur, que ton peuple écha]ipe
 la fureur des ennemis !
LE CHŒUR (Hébreux).
Samson ! qu'as-tu fait de tes frères ?
Qu'as-tu fait du Dieu de tes pères?
(Les Philistins eatreut dans ia prison; ils entraînent Sainsou.)
Changement.
DEUXIÈME TABLEAU
Intérieur du temple do Dagon.— Statue du dieu. Table dos sacriticcs.
— Au milieu du sanctuaire, deux colonnes de marbre semblentsupporter Tédifico.
SCÈNE II
LE GRAND PRÊTRE, DALILA,LES PHILISTINS
(Lo grand prétro do Dagon est entouré do princes philistins. Üalila,
suivie dos jeunes Philistinos, couronnöcs do fleurs, dos coupes à la
main. Uno foule de peuple remplit le temple. Le jour se lève.)
CHŒUR DES PHILISTINS.
L'aube, qui franchit déjà les coteaux.
D'une nuit si belle éteint les flambeaux;
Prolongeons la fête, et malgré l'aurore.
Aimons encore :
L'amour verse au cœur l'oubli de nos maux.
SAMSON ET LIAI. H.A.
Au venl du malin, l'ombre de la nuit
Comme un léger voile à l'horizon fuit.
L'orient s'empourpre, el sur les montagnes
Le soleil luit.
Dardant ses rayons au sein des campagnes.
BACCHANALE.
SCÈNE m
Les Mkmks, SAMSON, comluit pur un onlü
LE ÛKAN IJ I' UKTllE.
Salut au juge d'Israël,
Qui vient par sa présence égayer notre l'été!
Dalila, par tes soins, qu'une coupe soit prête;
Verse à ton amant l'hydromel !
Il videia sa coupe en chantant sa maîtresse
Et sa puissance enchanteresse !
LES PUlLiSTINS.
Sanison! nous buvons avec loi
\ Dalila, ta souveraine !
Vide la coupe sans effroi :
L'ivresse dissipe la peine !
S.\MSON, h part.
L'âme triste jusqu'à la mort.
Devant toi, Seigneur, je m'incline;
Que par ta volonté divine
Ici s'accomplisse mon sort !
ACTE III. SCENE III.
D.\L1L.\, s'approchaul de Samso iipe à la ma
Laisse-moi prendre ta main
Et te montrer le chemin,
Comme dans la sombre allée
Qui conduit à la vallée,
Le jour où, suivant mes pas,
Tu m'enlaçais de tes bras !
Tu gravissais les montagnes
Pour arriver jusqu'à moi,
Et je fuyais mes compagnes
Pour être seule avec toi.
Souviens-loi de nos ivresses !
Souviens -toi de mes caresses !
L'amour servait mon projet !
Pour assouvir ma vengeance
Je t'arrachai ton secret :
.le l'avais vendu d'avance !
Tu croyais à cet amour;
C'est lui qui riva ta chaîne !
Dalila venge en ce jour
Son dieu, son peuple et sa haine!
S.VMSON, à part.
Quand tu parlais, je restais sourd;
Et dans le trouble de mon âme,
Hélas! j'ai profané l'amour
En le donnant à cette femme.
LE GR.^ND PIIÈTRE.
Allons, Samson, divertis-nous.
En redisant à ton amante
SAMSON ET DAI.If.A.
Les doux propos, les chants si doux
Dont la passion s'alimente.
Que Jéhovah compatissant
A tes yeux rende la lumière !
Je servirai ce Dieu puissant
S'il peut exaucer ta prière !
Mais, incapable à te servir,
Ce Dieu, nue tu nommes ton père,
Je puis l'outrager, le haïr,
En me liant de sa colère !
Tu permets, ô üi(3ii d'Israël,
Que ce prêtre imposteur outrage.
Dans sa fureur et dans sa rage.
Ton nom, à la face du ciel !
Que ne puis-je venger ta gloire
Et par un prodige éclatant
Retrouver pour un seul instant
Les yeux, la force et la victoire !
LES PUILISTIN», riant.
Ah I ah ! ah ! ah !
Rions de sa fureur !
Tu ne nous fais pas peur !
Dans ta rage impuissante, Samson, tu n'y vois pas !
Prends garde à tes pas !
Ah ! ah ! ah ! ah !
LE GRAM) l'ItÈTIlK.
Viens, Dalila, rendre grâce à nos dieux
Qui f(uit trembler Jèhovah dans les deux
ACTE !IÎ. SC EM-; III.
Du grand Dagon consultons les auspices;
Versons pour lui le vin des sacrifices !
îDalila et Je grand prêtre se dirigent vers la table des sacridces, surlaquelle se trouvent les coupes sacrées. Ua feu brûle sur fautequi est orné de fleurs. Dalila et le grand prêtre, prenant les coupesfont une libation sur le teu sacré qui s'active, puis disparaît pourreparaître au troisième couplet de l'invocation. — Samson est restéau milieu de la scène, ayant près de lui l'enfant qui le conduit : il
est accablé par la douleur et semble prier.)
DALILA, LE GRAiND PRÈTnF.
Il aidait
Inspii^int à
Gloire à Dagon vainqueur !
ma faiblesse
ta faiblesse
mon cœur
ton cœur
Et la force et l'adresse !
toi ! le plus grand entre tous,
Toi qui fis la terre où nous sommes,Que ton esprit soit avec nous,
maître des dieux et des hommes !
LE CHŒL'R.
.Marque d'un signe
Nos longs troupeau."?;
Mûris la vigne
Sur nos coteaux !
Rends à la plaine
Notre moisson,
Que, dans sa haine.
Brûla Samson !
DALILA, LE GRAND PRÊTRE.
Reçois sur nos autels
Le sang de nos victimes.
SAMSON KT nALU.A.
Que t'otlVent des mortels
Pour expier leurs crimes!
LE CIIŒIH.
Gloire à Dagon !
DALILA, LE GRAND PHÊTIiK.
Aux yeux de tes prêtres divins,
Pouvant seuls contempler ta face,
Montre l'avenir qui se cache
Aux regards des autres humains!
LK CHŒUR.
Dieu, sois propice
A nos destins !
Que ta justice
Aux Philistins
Donne la gloire
Dans les comhats;
Que la victoire
Suive nos pas !
nALILA, LK GRAiNU PRÊTRE, LK CHŒUR.
Dagon se révèle.
La llamme nouvelle,
Sur l'autel, renaît de la cendre.
L'immortel pour nous va descendre!
C'est le Dieu,
Qui par sa présence
îWontre sa puissance
En ce lieu !
LE liRAND PRÊTRE, à Sarason.
Pour que le sort soit favorable.
Allons. Satnsnn, viens avec nous.
ACTE HI. — SCENE III.
A Dagou, le Dieu redoutable,
Offrir ta coupe à deux genoux !
(A 1 enfant.)
Guidez ses pas vers le milieu du temple,
Pour que de loin le peuple le contemple.
Seigneur, inspire-moi, ne m'abandonne pas I
Vers les piliers de marbre, enfant, guide mes pas!
(L'enfant conduit Sarasou entre les deux piliers
LE CHŒUR.
Dagon se révèle.
La flamme nouvelle.
Sur l'autel,
Renaît de la cendre.
C'est le Dieu
Qui par sa présence
Montre sa puissance
En ce lieu.
Dieu, sois propice
A nos destins !
Que ta justice
Aux Philistins
Donne la aloire
Dans les combats !
Que la victoire
Suive nos pas !
Devant toi, d'Israël
Disparait l'insolence !
Nos bras, guidés par ton esprit,
Dans les combats, ou par tes charmes.
SAMSUN i:r IIA 1.1 LA.
Ont vaincu ce peuple maudit,
Bravant la colère et tes armes !
A nos destins,
Dieu, sois propice;
Que ta justice
Aux Philistins
Donne la gloire
Dans les combats !
Que la victoire
Suive nus pas !
Gloire à Dagon !
Gloire !
SAM SON, placi entre les deux piliers et cherchaut aies ébranler
Süuviens-loi de ton serviteur
Qu'ils ont privé de la lumière !
Daigne pour un iiislant, Seigneur',
Me rendre ma force première !
Qu'avec toi je me venge, ô Dieu !
En les écrasant en ce lieu !
(Le temple s'écroule au milieu des cris.)
TOUS.
Ah!
FIN
INDEX
PREMIHU ACTE
SCÈNE 1. - Samsu.n, Les Hebheux (Chœur S. C. Ï. B.) 1
Arrêtez Ô mes frères! {S.\^so}i) i'-i
Implorons à fjenoitx [SAyisoii) 31
— II. — Abimélecu, Samso.n, Les Hébreux (Chœur s. C. T. B.) 40
Ce Dieu que votre voix (Abimélech) 42
Israël romps ta chaîne (Samson) 50
— III.— Le Grand Prètbe, 1" et 2" Piiit-isti.ns 58
— IV. — Les .Mêmes. Un Messager ^ 62
.Maudite à jamais soit In race (1.kGh\^d Prêtre) 63
— V. — L'.v Vieillard HÉBREUX, Les Hébreux (Chœur T. B.) 68
— VI. — Samsox, Dalila, Le Vieilurd hébreu, Chœur des Philistlnes (S. C),
Chœur des Hébreux (T. B.) 73
Voici le printemps (Chœnr S. C.) 73
Je viens célébrer la victoire (Dalila, Samson, Le Vieillard). ... 76
Danse des prétresses de Dagon 84
Printemps qrui commence (Dalila; 88
DEUXIÈME ACTE
Prélude 'J4
SCÈNE I. — Dalila 'J6
Amour, viensaiiler ma faiblesse 97
— II. — Dalila, Le Grand Prêtre 103
Il faut pour assouvir ma haine 110
— III. - Dalila, Samson • 131
M<jn c£ur s'ouvre à ta voix (Dalila) 147
TROISIÈME ACTE
PREMIER TABLE AU
SCÈNE I. — Samsox, Les Hébreux (Chœur S. C. T. li.) 174
DEUXIÈME TABLEAU
— II. — Dalila, Le Granu Prètr.':, Les Philistins (Cliœur S. C. ï. B.) ... 188
Divertissement :
N° 1. — Réveil des Prêtresses 194
N" 2. — Bacchauale 198
— III. — Dalila, Samson, Le Grand Prètbe, Les Philistins (Chœur S. C. T. B.). 214
L'dme triste jusqu'à la mort {Sxnios) -'9
Gloire à Dagon! (Dalila, Le Grand Prêtre) -34
Paris. — Typ. Chamerot et Renûuard. — Sîtii*.
Sämson et Dälila
itKA FN TROIS ACTFS CAMILLE SAINT SAENS
Atie I
liic pliici- piililn|ui' il:iiTi l;i mII'' dn Gn/.-i
I'al.>(ine-, ;i j.';iiii!n' K- ]imlii|iie du ltin|ilr
D:.i..in.
All li-\cr du rideau une foule d l!rl,r( u\. Ii
Hieb cl teinmes, s<in( rcunis ?.ur l.i jiIm . d
l'.,nill;,l. ,\,- I., ,\„n\rw el de I;, |,ner, .
Sanisnn est parmi eux.
Akl 1
Fnirr l'hit: in Ijir.n
/,m iinlru. (^/^ l^'.itul dif- Priciun-Tiinjirls
Biim Jii/';/rlu-ii des J',i/i,iiiiis ist :,i/,lrci'/fs Hi- -
liiiiisiliri li,lk,iläimiT und Flaiini, (iiif dem Platze
ler^inixmelt mit •i'limeizl irlieii und J'/e/ieiiden
t.rherden .
Stnnsnn unter ihnen.
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»Hs/ /;,(/ MW 7>(.-/ .N(l./,/ hri- _^ llir .Irr, Ti.'lh hlri/jindll (j/ir, o Hri-r.lur »»_»</•
yi—i'i !i -y-^r-tftr-i^ ^;änifiit lonl It joui' jflini-plii _ r«'; Sourd a ma voix, il iit-mt' it'pouil
uns'. Tu;/ mil 7'ar/ si iikl Ihr ^ iiir _ Acr, Tiinh hirilil Priii (ihr. n Hrrr.fïir ilii^scr^m ß r
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Srlit! fier l.riilkiiiiii/if ii _ /irr iliii^ dri- Herr lint ihn qr _ srii
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(h;is _ sons (If no _ lie codi V _ ne l('r_ n-iir m _
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Ah! cniissons de noire <(eiir l' _ ne (eirenr m _ là
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El iii;ir«b(ii)s a_\er lui, El iiinr.
Il _ lit Fiinlit .<>/ vt'rl'fihiit, h- _ dr
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wi^=fcg ^»lions ii_\i'<- lui iViui
hiirilil \fi vrrhiniiil lier
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lioiis a_\ec lui l'fnir no
I iiiilii sei vii-l iiiiil, lier idim
lif (1.- Il _ Vian
vus nu- drrf
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_ chon^ a_\eç lui l'uni iio _ (|-e dé _ li _ vrai)
h'iiii/it sfi verftnind. Der lilnii _ /n- kriirt uns irir der!
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LES MEMES, ABIMELECH, S;i(r:i|ii- (!.• üii/.i. IKK Vi)|tM.K.\, ABIMF.LKi.H.
Il nilii' |i,ir l.'i i;;iMrlic, -.iiiNi de |ilir>l<'(/r» j;mhi-- Hill Ion links iiiif, mil lufiilijc iiini kririjvvh
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vv- .-1 >,.I,I;,K l'Iiili-lniv
Ail" moclt'iai.. Ml(>- J)
S ABIMKI.ECII.
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'i r-T^'-' -:==^=r=^SEr 1 ^
Qui (idiic <_ lè\f i_(i lii \oix?
\\,i- isl'.s vnii (Irm dtrBuf rr _ tout?
En _ cor ce villrfii'|)tMii<l<s.
Sin/i'.s irir - ilir jr _ m- ffi.ijiii
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()s;iiil (oiijoiirs bi'axt'f nos lois El voiilanl hri
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Qui las _ sent notre pa _li _eti.
Ich jTd-rh^tc Siclits -fiiiii Ver ^ m .
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ce; lii_vot|uez plii.lot la clemeii
lliv, li'ich min ist irxr/iiip/f iinsn- linn
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- Pin :,l|r-,-o.(|H2= *'
-J^lTTf^ ^^ -#—f-f^ Î=Ê(>e Dieu (|ue \o-lie ><>ix iiii_|j|ü_re Es! ileiii»'ii_ié sourd à nos
lirr Holt, dru Ihr :ii ' ni _ /en H'if/t ht v _ //•/(/ i,,iih tu _ rvm
VOUS 10 _ sez j)ii
lill t't\, iin.\s ilnii A.H. Il
-m- V» *- ^ m •
^^gfgff^^gfP P^ ÜZ^
_fi- eu _ CO _ le, Quand il vous livre à nos nu' _ pris?
yoih Ihr khi . (jrtP Ihr Mi-ihl ilrr hiirrlilschiift dm II i\i' . irriht.
Si s;
Wiini .V(
puis _ siU) _ ce n'est pa;
iir Miulit Ijuli kdiiii tr
mM^jt -0- ^ A
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4.'^
^Hi _ lie, Qu'il mon _ (re >..i cli_vi_iii _ N !
. ri't _ ?(•«, Stn;i ' r hir _ nb ton sriiirw Thrnii!
Q.r;i/-/•
vifOiiH Dfi _ ser
konittii' mir srlhst^
(j _ lie tliaT _ iiij Qu'il voushfi( li^ l-.ii _ rr Hit _ /(;/ f;/ _ i-ciii
_ de l;i li _ ber _ lé! _
^PIP^
f lt>^ . ^i
f-fig-f^^i
^Bmn^^^^p'pd
Croy _ ez- vous re DieunjinpH _ rable A l).i_j;()n, le jilus f^niiid des
o hhi^iit Ihr Ell .rill t:nlf irr.tjlrii h, i, mit lioii->>i^ itim hor/istrii
Vo _ Ire (li_vi_iii _ (é ciain _ li _ ve, Ti'Piii
Uli _ IT l.aiiil mil il Uli), zum liiiii hr^ l.n _ rnii
.blan_le l'uy_ .'il devan( lui,
(.7(1« _ fx'ii sprr . i/irii irir Hnhn^
Coin _ me l;i CO
Wir ririi hol _ kill
\•J^gtpïM
45
_ loiiibf [ilaiii _ li _ M' Fuit If Villi ^ (oui (|m i;i pintr
.///(/// ili,' mil . It,; Hiih .h: _ hn _ in i-iti- //„
>T—^—
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—^ .1 i.]^rrp#, . gf-f^,»
U Sflllpre AU 'I44=#) SAMS()?i in^iiiie'f.s^.VS/» V /«//mv/,;'/.)
Œ r T r nrrr-f-^ f -] p 9t—p^
(^fsl (oi (|iie s;i f)(>ii( lii' iii_\fc _ li
/*» liistiisl dcii lioll iiiis^rir \ii
Kl I,-.
/'/• l/ii/,/i.
lt'i_ie n\i point treiii _ bli'? Sei _ j;murfc/-- fir iirsclildiiii du II noch mihi? Vit _ Ivi- iiini!
l'.i _ Ijiiiif est < i)m_
Es iinlil ,t,is r.r .
Ped-r
.K'Miis ;iiiMn;iins Hfs ;iiii;i'sPiillc'il'';irtii<- île Un,
l.iii En - qii hiiiiml, :ii vw Iwii liait !•n I ini^rrUn'il,
El (lu < ifl If S pli.i _l;iii^is An unitMil \enj;fr'
/il stin _ Ji II ititn Vir/irrihrii Siii.riiiijl fr Sriiiltnniiiiiii
.
.Ile _ bres, En passjinl clfv.ml eux,
Si/inri _ Il II h'ti/irt ir :iiiii Hfniipf In r ^ un.
Pousst- (les (IIS In.
SI liiiiillifnrl liriiiii' _ ilir
47
éE^^—0- 'Ê^m "i^-
.lit"- _ l)ies Qui luiil trt'niir Ifs cieux!
/'ii/i _ rrii! lin Sliiriii h'ih' ich sic iKili'ii.
.^..11, j_..j vin ii.ir- ,i,.ii:- ,! mil' E<l.i_U'r s;i In _ l'eiir. Oui,
irnilit, l/iif \riii \'(ilk ist hc _ reit, Sein i:r_/)iit sri vollljrnrhl
.
Hnr!
vaut sa v<)_\v
Vor nciiii->ii lirini
JE.
Toiil sVpoii _\an(H el f'iiil!
/// _ trrt (in- h r _ liciiriiiKl!
Oll sfiil (reiiil)ler hl 1er _ re, Aux cieiix l;i Coii _ die luil! _
Wj'r liii - i-fii liritii- Sfiiii - IUI Im Hon nti- iurd sir hiil((l!
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Ui) sent Ireiiihli'i- Ni lent-. Aux <ieiix |;i Idiidin linl!
Wir liiin-n lni_iir Sli
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Oii seul (r<'iiilili'i- |;i IfiiH, Aiixcieiix l.i l'oïKlie Iml!>!// Il'-' Il II lui _ III Sliiiiiiir^ lin liKhiiri-'riiil \ir Kiiiirl'
±ziam m m m m-J m -0— # -fe ^ 0^
Ou seul (iHiil)!''!' la ii-ri'e. Aux <a'ux la toudiv Itiil!
Wir Ihirrii lui _ iir Stiinnir,
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Wir liiiri II Ih i _ III- stiiiiiii
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Alix (ieijx la ruuilif liril'
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50
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/.s/ t-.llrh \l - Un <]> - '"'•</
loj! Viens a>M)ii\li la liaîiit'l Lt' Sei_{^neur esl en moi!
Itir/i/ I iiiiht/'nrrliiHn .rlif sii, Siih^Dciii i:<itt kiintfift fiiv IikIi! Ii,r
[g^^^(ni, Dieu (le ln_iiiière, CoinrDe aux jours d'an! re _ lois
Ihrr liilirl iiii.ur Srliiri-rt, Wir liiist /./• mil nus iriii;
Ex _ au _ ce ma pii.
Sri/i \,ilk /ml /./• Il- -
51
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^.ère, El coiiibal^ pour (es lui>!
.Iiiiit,l.tiil\t :ii!ii Sity Si'i . iif Sc/irinr!
Sii|). t'( CiMit. nnù. f
m\ y i\"I-i_i"i _ t'I! rf)iii|)> t;i <li.i;'iie! (>
/\_/r/ .(7, '(V7- _ ./r frnl Miin
É r r I r r^rrrls_i;i _ fl! r<)iii|is t;i <Ii,hiU'! O/s _ m _ (/, «(/ _ (il- j'nil M, 111
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peu. pie, II' _ Ne - lui! Viens assouMi- la liaîne! Le S('i>;iieur l'sl ei
t'iii<litliarf1ic Hn^i/ic xn\ Si,/i^liiiii (.ntt hämfift für
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t-i^rr fV-^^;^^pen_p|e, le - \e - loi!
Volk ir.llc _ Ar hiihl
Aiens ass(iu>ii- l;i liaîiie! Le Seij^ncur est en
l'iin-lif/xirdir Ha . (lie sci^ Sii/ijiiiii (iiitt kfiiiif)!'/für
52
ln± ^=^^ ' ' r ^\ M nr
iii<h! () loi, llii'ii (II' lu _ llii""it', (."(ifiiiii>;iii\ jDiil s ir.iii_(!<'J'((is K.\ .
Iiii/if Ihr Hill- JTiliil iiiis.ir Sdninl, U/V Er rinst mil iiii>. 'ifn; Sriii
/J^ -^ P ^^=f=y=I I k / :
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iiini! O (oi, Dieu de lu _ iiiièif, fÀiniinr ;iux joui> tl";Mi_lifrois
///,/(/ //(; //./•/ fii/irt lins, r Srliir, ri, Wii l-.r rinst mit uns. nur
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Oui, (|i'\;iiiI sa eu _
Hi I r/ riir liri _ iiriii
,n\ _ ( f iii.i |)ii^ »'le, El (oiiiLals puiir les lois!
W//A /lut rr rr- Inul, I riiU :iiin S/r// Sri _ iir Srlninr!
ic ma |)i i _ tie, Kl coiiibals [)utir (»-s lois!
t«./A liiit rr rr- lii'il. I iiiKt ziim Si,;/ Sri _ nr Sr/innr.
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It' _ If Tout sV _ poiivjinlf t't l'ml,
/;///( _ Jiir El- _ ti,lil der Er ^ den _ mild.
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Hirilit- l'or ilir Ha _ < /»
^^lieu _ pie, le - ve - loi!
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Viens ;is_siiii\ ir- l;i
hiiriht^hnr dir Hu _ ein-
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hlllrhl_hnr dir H,i _ , /„
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55
h;ii _ ne, I.e Sfi . f^m-ur e-s( en moi!
.s,/, Sic/i,l!' III C.iitt kn.'/ift fiir Dir/i!
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h;ii _ ne, Le Sei_^netii- es( en moi!
>,/ .Si<7/, llriii lintt />iiiiipf't für liiili'.
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i)()iif tes lois!
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Sii(i Sri _ .vr Schnnr!^ i; $äB
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les lois!
Iir Sl/llliirJ^^Is_rH-ël!
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(es lois!
57
le _ %»" - lui!
vir - lie fin!ve-loi! ,
il- ftii!
-^m.^ ti^.-M-lè _ >e - loi!
nrr - <tr firi!
^e-loi!
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t-le _ ve - loi!
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le _ ve - loi!
inr. ilr fni!
\e-loi!
itc fin!
^t^^-.m ^z^ ^±--^~ y-±: <êi
mP^ îSEÉ
^m m ^Aloiiiflecli se preci^ilf sur Sairi»i)ii ' ^iiee ;i Ih iii;iii> |ii>iii'leri':i|i|iei': S;iiimiii lui ai-rarhe lepeedf« iii»iiis el je
Afiiiiif/i t/i I lyrrif'/ ici'ii S( /m ,-r/ iiiif/ yfi'iii:/ .st'c/i iiiif'S/iiiiiOii wii iliiizii(liii(lil'iilii-iii.Siiiii>,iiii(iiliii\s.1ihiiiiliis. Silin erl,iiii(i
É^* E£ ^f^^f^^î^q^^^
ti;i|)|)«'. ABIMELECH im (oniliinit) ,\ moi.' ].fi I'tMlt-tiiis(|iil H<t'Uin|)»::iiHiil li'ï^;itiii|>H \eiilfiil Ih ,Hcoiirii: S.iiiMiii In ;<m(I1»siii(s(H!
mIi/üi// \hiiiii/i'li ziiHcIiii *RI>IF1.FCH '«.i.</,i«^;,r. "rf)\V.4i mw' hii-iihilktaàchiii hn'iyrririilhui \hiii,c/i lii :ii llHll'rii!rii, Siiiii.\,,„
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i'|i/eJt-sêluijjIieJ|so<-(Mi|HMiH;i(li((ilHHt'lHsiènHj;i|Ju»jiiHII(lr.iMilii-i.>iM-.-^lie|);Mniiieii\.SjMiv(,iHMli'^l^^ii^^
tn i/ilsiiiiiit itiiiiSi/iiii I h :iiiiit k. Xlliji null,, s. liit\it:iiiiiiiil\\nriiniiiii.Siiiiiyi,i,.iHi(ii,itiliii Hr/niii ii, /i iiiiiipliiiriift ni/ils ti/i
58
Le«. l'(>i(<- ilii (••iii|)lf (le l):ij.tiM -.'oin relit , Ir
('ii;ill(l |ilè(Ç-c MllM (If IKlIllIlll \ vi'l \ llclll> fl
j;.inlr~ i|i~i'CII(l |r^ (lr;^rc» illl |liil( i (|llf; il s'hT-
irlf ,l.\:uil Ir r.'.il^iM-.' d' Al.i ili.'l.vli; |i-s l'Iiilis-
(iii> s'éi-îiilPiil (lf\;iii( lui.
///(• l'/diliii ifi.\ liii'imi'l' iiiiii/.\ l'iliii-ii .su-li. lin-
!•/,, i-intl Atl r t /'' /irllll, IIIIHir/., Il ton ll,i,l, l-ili-
^fini, Ti iiipi l-lii( ntvii iiiui llïidi-ii tr \tiii/l die
Il inyil-sliifin li,i;i/i liii/i hhihl ii,r A/uiiirlir/ist,-
li'ii, liir l'/iili\li r wrivliiii ihif'iirilil.\i(i//:iir'iiik.
SCENE III.
Stesso tempo.
5y
H/)tl|-_(|lMil les l.!l^^t|• l'ilil?
lll'l Ihr lossl Ml- rnt/tirh'll'l' Hirhri! rr _
_ se/ sdiis Noscoups Cf |)eu|)lf itnuLlf Liii _ vaiil vo _ (r<- cotii, i i)ii.\!
_ p'ô - ifv t)i:\liiij't! Vir- tiiihtit jviu's \(ilk, ilo-s uns :ii tiutzcn ivik/i!
W^^ i^J j-
^^ =0ilà •
1^
1.' l'HILlM IN. (r.HSTF.R /'HII.ISTI h)
Jai senti d;iijs lm•^
/// t/ri/ A _ (/lin rf
.
iO
M-i _ m'sTuiif mon s;in>; st- j;l;i- <'*'r; Il sein _ lili- t|iie dt
Inr Hiiii'/ nur mir »jr
( Ij.iiiii's S(jii(linii \<iiil iirfiil.i _ ^yv.
_ /(ih)iit,(lir dosSiInvn-l fr.jii illi II luit.
'!<: vH^\\>\\^.(/ul III u i-iiiiisiiii)
m M t^ . p
Ji' cht'ichf •'!! N.iill mes ;ir _ _ lin-s, MrsMil II Ail _ i/r nur ijr _ liliii _ _ idf. Ihn
UÊ C 9
\iv,y> iMXil iiiipiiis _ sauts,
iimliïill.lr yiiiht,
Mot) <(i III- l'st plfiii (l'a.
hii hnijl kl In- h tr.\t
üffq
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Il (.'.' iMiiir.i OiHiHrhiii sTiJi.)?j2.--
ÉÉEÊLa hes! plus 1*1
////• f/n ht
f—f f i-Vä:^^
l;ii-_ iiiL'h,Mes ge_ii()ux soiil lrenil)l;tiilsl
n ir _ (Av, Als der Marii srhun vullhroilit!
'mE,1 ^BLiJL-C-
f
rlirs (|Ut' (If.s It'm _ IlH's!
/r;/- jr ^ Hvn Siliiittcheii?
A'ous fuj_
F* ^i^Hr>^=îi
gaï;^^ if^t ^?~^ä
^^^ -^^I . ^it=^
_ fz (lt'_v;m( les (Olli _ Ijnts!
_ :// - liit loi ih . nui liotl't'
!>.• I.ur
hiirihti I
i ^#§s ¥
ii
.E5HÎ^^i [*-•
ïl^^ m I" ^ M-
J)iiii ciui^iu'z-Yous k's flainmes, Qui doi _ veiil dt's.st'i her v(
////• iiiiMi/it . Iiri _ !! Hii . ihir, niiiniY h'.iuh ein \\i hr _ /« _ A(
SCENE lY.
1:n MKSSvr.i i: IIIII.IsTIN.
Sei-^ncur!
O Hrrr!
hi liiiii|if lu-i I _ l'U _ M' Olli' ((iiidiiil (I ;;ui_(lf Saiii_
/i/i.s \ii/K (Il r //' - liiii _ ij\(l<i\iiiii Sniii\(iii ijifiilirt^siih iiii
-
b.JIS?
Bftra'jt?I
?^ E P=:pJ=^P-P^ ^-f^-J-^^i-J^
(jii D.iiis s;i ré _ \ol- (e ainl.i _ <i _ eu _ se, Accoiii I iii\;i^»Mii( hi iiiui-
ti'i'iit, vcraïl _ slrt fil- clli'iiil un - scr lild; Srliiin ist inis'rr l.rii-li zif-
_ SOI).
iv' l'Hii.iviiN. (i:hsti:h i'hiiistih)
Fil von s
\S'i/i' lins.'
QiiiUoiis
\i r/as.'.f
un &.iu<i,fi i _ nu _ li
Fuy_on^ un dyn^^ei' i_ nu _ ti
\V,/i uns! Hnr is/ HÜ/ - Jr nr _ </«
I.! Qui(_
hfiis! >>;•_
l.-l Quii.
tirns! »//•_
fi:i
'.^^
;iii |ilus vi_ te ces lieux. Siij^iieiir, ;
r/ir.Mti btn.tiijrli Oit. llilT^ :
ban.. (loilllull!> la vil - le. Kl ca.
•I lil _ t(U uns riii-s l.r-liiii, l'iti .. Iirii
^^r r f r rFixn±2= P^ î=F
tons au |jlus vi_le<es lieux. Seigneur,
, Idsst (titsiii Ij/ii ^ ti'niii inl. tt Hi-rr, :
bnu _ donnons hi vil _ le, Kl ca.
7 /(/ _ /( ;/ uns fins l.i-bcK, /•//(•_ /)(//
P È^^ t=^ ^i f Ff rr'-'f
-^j-^^tons au |)lus vi _ te ces lieux. Sei^tieiic, a _ hau_ doinions la vil _ le, Kt ea_
lii\st diisii, IjiK.tiijiii <irl. (1 Hirr, :ii ni _ lui uns ,l„.s Ir.liili, llir.licii
i^_r^^_Mi'C Le (ll)uljle plus lent, (Lte(.|>ell l;iiij;v; i) 92:
1 lidiis n<p|ie li(in.;le aux vt-ux.
Ilw in (lie lUv _ _</< .' l-oi-t!
>Ë
_ chons noire boii_leau\ veux.
wir i)i die Hrr _ yc! Iml!
-g? ffï' •l'^^f^«bons notre bon- le aux veux
Le double plus lent. (li..(,|)elil;(ii'>sHiiiei)
M (.:' t'i,\TUi.JnHi:Hi'Hii:sTi:H.)
XSi -^ •^ fUnr ^f-rr^ â^ï^i3=Hr
Mau _ di _ le à jaiiiais!>oit la la _ ce Des enlanls d'Isia _ el!
l-litrh h.iirh! En-'ijcr hlitch Enum S(amini; Ihr hiiidir /s _ ru _ vil
M.-:m.M. ±.
lu
J>- veux fti (!_ t';i(f|- l.f (i;i_(f, Li-s jilirfuvtr tir l'icll,
M,//' /.//./// \ri/i7,/t.uiM//,.',r(/ri-.\o.Ui(;\oiii Vu/kr /a_ iat/!_
^^m^^0^^0mm^mM:lE^ f '^'^r'-fr^T=r
M;iu(lit soil (r.lui (|iii les j;ui _ dt-l
fllltli liir^ lin- i/ii.s Volt, liât Ici-- lii _ lif,
65
tVéïiiir de pi -lié!
(l<ii Hii.s-s silinöf ich Dir!
M.iii _ (lit soil le sein tie la l'eiiLiiif Qui lui (Imiiia le jüuil
IIikIi llir dicii'ityiiilrrij.-.lii>.iin;Hii(li,\\tiij,tulit iliii hull
•p • ' ii'f . . . ^
'^ ^ f3-5: m.
g^ ^^ÊÊêi^^Êmm(.'! SQu'enfin u_.nt; conipaj^ue inlâ _ me Tia_hi^se son aniouil
liiiWii/' i/i l.ii/> (Hii. r(ii,(ifi' ii> au ihm \iriiitli!
Maudit soit le Dieu (iiril a_iio . iv^
HiK/iiirmUott, lin, J, _ „,, ,,i(h _ nt.
fi^i
Ce Dlt'ii, son seul .
(I< III l.iiU, dir ihn luit irliiUt'.
esjjo 1 1•t El *l<wil iii;i liiiiiH-
Si in ïi III _ pil Ali
iiisiilli" fiHO _ !*• Laiilfl el le |)(nivoir, I';iulel
ion nui iit-hic _ iit^ siiii Al _ lut- ni :rr_ .sCuilj nin Al
^ f ffgsget II' (>()U>oiiI
_ lin- sii .-</_ stiift!
u Ml s^\(.ir, ,1 le r.' i'nu.iMi.\hHIl.asHOTE. EHSn.H l'HILISTlh
VJ. •I I I ' . . ril I ..•;.
Il' 'i<: l'HlLI^||^.(/l^7./^A« riui.isrin)
^
Fu^<ms (l.iiis It's mon- 1;i;;ik!s, Alcindoiinonh ces
/Irin cm/ liât lins nr. /ii.s_i,,n^ irii-flirlirn <1ii.\rn
i r Vr g F r I g rM 1
^!' gEg^Wl
Fiijoiis (l;ins les nioii_ l;i;;nes, Aluindonnoiis ces
liiiiiiiolt luit mis tcf - lii.s..sin, iiivfliihrn (lir^.\rn
à^ nÀ-^^^1^
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Oii'i^-i'âel î^oil iiiiiiidif
îs.nii'l mi iir//iir/it
^5 àd,ir<h
nos IhciiN
«Ö—il
lieux. Nos nlall^on^«, nosconip.ij^'iics , Efju>qiiesa nos Dieux!
Ori, hiiiiiiii mil fiiix
,
iit (tic Hriyr, H'ir niiilirii Hiil/c ifiirl !
Ml",! r >p pr ^pp i ^'fTfi^Èlieux. Nos niju^ons,
f)/Y , Kiiiiini mil iiiix ,
noseoM)|i;i^iifs, Ktnisfjues à nos Dieux!
/// rf/c Hirgt-, U II- ^iir/ii II Hiilfr liait!
Ils sortent par la gauche, einportiiiit le cadavre d'Abimélech . Au iiiDiiienl on les l'hi-
/)/(' Vliilialir liiiiiiqiii dm Olitrpiiiütrr zur h'Iin lil , iind ri/iii inuli liiif.xiii'i , A/'iiiu icr/ix liic/ie
^h\i ^, l , -f^
_listiiis (jiiittcnt la stelle suivis du Griiiiil Pntre , les Hébreux , vieliards ot l'euiines
mit airli iiiliiiiiii(t . Hi /ii-iiiailir Friiinii iiiiii liirisr viliii l'on rrclits liirtui . Snniiiti
eriliiMit p;ir- la droite. Le soleil se lève comp I « U' ment
.
Aii/ifiiiig . Hillir Tfiq .
ftV.
S;iiii»i)ii siiixi (lc>i UthiHiix \ ictorieiix.
Hrbfäisctlf h'rfiHtn und l^iiii,t_Spi'ilir SamsDIi
mit dvn sùgreic/wH Hfirätrti.
S('s>o U-iiij)
se EUE V.
±£ =^ T—«^P^-^ ^
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:^ aE^ s s s:^ =^ ^ :^
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A AlIclHIllino.J:: J)
VIKILl.AJtllS HKliltKT'X
lt;isses du Clid'ur (c/ior rlrr Mfinner^ Hfisstfiiiiwe?/) ^HMii_iie de joi _ e, flMiiiu' df (Jcli _ \i;in_<e, Monlez vt*rs IV/lej" _
1.1). litt diu Hrrrn! TÖii't, ihr Jiilnt - lif ~ du; Stiù/t ium Hiiinm/ fini.
m
«9
H
70Li's lli'-liii-ii\ cmidiiils |i;ii' S;iiii-( iiln-iil .1 droilc.
///(• sùiiriii/iiii Hilifäri-, iiiii SaiiiMiti iii/iilirt, Intiti niif.
IN VIKU.l.Alil> IIKIÜ'.I r
H.\ AI.TEH UIHHAh h g
Il iiuiis ri;i[) _ jKiil lia II-- >a
//(•;/( (•Il ni - iiif
ft^=tÉ
5^ PI* F^^J=-Ï^ m^ i
T-f-^—<•-
Cai' nous a _ vioiis Ijiavt' Sfs lois.
11, il nt'i- iir _ aihtvl Si in (.>• _ /•"'/
Plus lard, If
His lin- II-
II, ml dans la |K)iis _ siè _ re, Vers lui nous é_le _ viotis la
/,,; _ //,/, (//,.s _ /•(• Stiiinnr, Ihn tir - Ji 11 in i/ir tiij' _ »tni
suis le Seijjiieur (Ifs ar_mf_fs, J>- mus la loi.- ce dt- vos
Arm lie _ irclittf If tinii nitdir, Sci'/i \(ilk\, ir iiidcht' es nir-rf,r
mip^
MKII.I \i;i»SHH:(ll l\.
i^vT-rTTT^^gjs^T I
\' n^ -^^^^rfIl <\s( M' _ nu Vfis nous dans la dt' _ (ivs _ se, Cnr se> fils lui sonl ( liers
/,/• lint siiii \iilk nun trir _ d<i- </• . ho _ (ifii, aux dit- hnccUtsrhnfl ^ Sdiitiur/i,
^ ^ #"^pitl cri:\r.
l»f^--TlLTr[!^3t^FJ
p fmm•^ ß\
,-- ^^mm^Que l'uni- \eis livs_saiLle d'allé- j;res_se! tl a rompu nosVor .sciiiiin '/.orn die tnn _ de zer _ iUi ^ l>>n Wer Ihn Iwhm; untirpi il rrrsc.
jc-^.—:
—
V rj ß r \ (^ W- fTg^BQue Tuni-VeiN lieS-saiLle d'alli' _ j;res-sel J| ;i loinnu nos\(ir srUKiii y.orn die Irin _ de :er- i/o . hm Wer Ihn /löfint} uuter_
n
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^^^^^^ ^^ ^m^f^^^H\in_ ne ilo j<ii _ e! Hmiiih- dr dt'll _ MHiue, Mon
.
/.«/ _ /lit ilr II llernd Tiiii'l //// Jii/,1 . Ui.ttrr, /.uni
=F=^ ^? -—ir^£^fi'^rzzrm
r.Ts! Hviii _ III' df joi _ f.'
îu - hit ri' Il Hirrii!
Ë£a£^HMiiiie df dt'li _ viiiiK f, Moii_Tun'l i/ir Juin! . lir^H'i- /.um
SJ^'-tfTTf^^^?^-^ ß ^^
tfZ Nfl'S i'Kit'l _ Il
Hun - nul st Kjt hiu _ iih\
m e^ÉEf^EÈp-1—^-
Il il d.il_ ;.i|i' d.ili^ s;i ((Jlllr )illi«
El aar uni um, Er tr _ tö.ste iiu\
fiim.
FM_ m Pgpglez vers l'Kltr _ iii^l.
Hiiii - met i,tiiift hin _ nn\
[I a dai _ >^\w. <l;ins ^a loiid' |iiiis_
Er nar mit um, Er ir_ lo-Ste uu-s
^é^ '^.
P )c=ï
:^^^ -i*-^
. san_(e Se(ou_rJr Is_ia _ t'lî_
?r/r _ rfrr. Er luit t.'roiM \ yr _ Ihnii!
San - ce St'tou- iii- Is_ra _ «il!
Itir - liir. Er hat Unisys (je - tluiiil
^
7.'<
S*MSON,DAlILA, CHCF.ÜR DES PHILISTINES, LE VIEILLARD ii SA.MSiA D\Llli i:HuK iiFK J'HII ISTRIM.HE^ HlAi:PN,FIN
HÉBREU, r.HliUR DES HÉBREUX. ' ii.TKK II HdlAEH, CHUI! lifK HKUHXth
l.>> |.i)i(.-. du tciii|.li' (If Il;if;<)ii ^'(mM .iit . Il.illl.i j lUf ly,»!,/! (A» liiiijiii'.lnii^nis «(p'in l-icli iritiltr.
eiific ^immV iIi-, (.iriiiir^ l'Iiili-lliii-- l('ii;.ii( (I,mi> Dnliln crscltiiiil, (;// (.V/"/</r >//,'/-/• M'ïitc/i, ii iiml Irmi.
leurs iii.-Hiis il. -s j(iiiil.iiF(li-^ (11- ri.'iii-< Vrii, \ll, nul Hliiinnihrdti:, ii iiisthii,ii<ki iiiiil l.idihni.
\\(iii, in tl,:i 11,1,1,1, II.
ITii |wii [jltis liiil (T'i - #)
N CI _ Il If |iiiiilfiii|is ii<ni> |ior_ timides hfiu-s
I
., h, .s l.iii. :,!, ml - I,' Ulli . ihfii _ fini, h!
N()i_ <i If |iriiilfiii|i> iinii- 11(11 _ l.iiil «les I If MIS
/(r.N r« // _ ,-(.s VkI - /' /.'/» - llfii - fii-iiilil _
I«.»— ^^
1 OUI- (II- _ lier It/ t'ioiil (les ^iit'i_riei> v;iiiii|iK'ur!
//. // IIJ . lii/i s,i sif dur- ijf _ linulil!
r^Liit
F =F=F= :^£3
IVuir (II- _ lier le lion! «les ^iier_riers \;iiii(|iii nis!
SCI *(( r/«/- _ //(• _ lirii'lil' ./y.// //(/ _ du
^^mVC- _ hms nos ;ic_rt'iils ;iu iwifiim des ro _ se» A |iciiif
liiiisst Sc/tirc stein sii- M _ A-, \iit /iiLlim Silml _ /c, sii„ii JnJ,,/
^
M«- _ Ions I1U-. ;K-_(enls ;iii |i,ii luiii (Ifs ro _ st-s A ikiiu- é-i;iiisst Schive.Stiiii sir \l , /,-, V;7 /nLInn S, liai . Ir, ^Siih/I .liiji,/ .
aP**#f«^clo _ st'sj Axt'c I <)i_sf:iu (lijiM. (oiis, nies sf»'iii>!
-Ut', ifi'i; W'vil lirlilir Ivir.it, iTir_,l,r la, ht!
^ #^^4=4=^^«lu _ ses! Av<'c I ();_!m;ui ( li;iii_ toiis^, iiii-s sd'iirs!
/,lf - rt'cc llW/ holiiir Iric^ilf nir.i/ir Inc/il!
..^AAl^eJ^
ciel, iji iiitemiisdeiiosjoui'Sy.
Heiz, (ftr Si/iii)i/i<it Ulim:
J)«)U.\ (h;iiiiie (Its JSeu.\. es^puii <lfs ;i.
Hiiit mit ifim I liili-lili'l l-J.r/i ddt
ciel, prmleiiips de ll(*^J(J^l^s,
Hci:, dit- Siliàiilint Uliin:
Duiix (liarihe (ïo \vii\. .«.^iiuir des a.
fut mil iliiii iriitiJiiiij lui II (it'ii
MIUUI
iMfiii:
i*t' _ Ile _ ll>- It'h rd'uis., \ey
Dil- hol _ ri, I il _ /'(,
se d.ilis les
mit s IIS ^Si III
IV _ ni- _ Ile les P(L'uis,, \er
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se d:iiis |e>
it Mis^snu
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lies Tes douces f'Iam _ iiiesl Aiiiiuiis.iiies sœurs,, iii _ tuuns lou _
Trie _ lii\ >,ii- niiikt vus trie _ itrr^ 11111I Inédit h'.inli :ii Sfiirl und
j.-;j'j.'>ii t-^^r"j> j.^i ~h N ^ ^ ss ii.
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Tes duuces t'hiiii _ me»! .\iiii()iis.iiies su'Uis, iii _ moiis luu
iirniiikt mis 11 \f _ div, und Inédit l.inh zu Sfiil und
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mil tii^ilit i.ii.h :ii S/i/r/
\iiiiiiiis,,mt's Sdui;-., ;ii _ m()n^.
DAt.II.A s'adressjiil ;i S.mix.M D
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,1(11 _ II' l'i' ti'_liii ijiii ifj;ii(' (Il 1111)11 <(riir.
hrir . ijir, i/ir mi'ii Viilk hi^J'iii i:t nun liM<,f
t^ÛL- r<j'' cU%t 'ßilatusäroUi Jîà - t^ {i^ m ^jfcf ^Äliiiltissiwu
^è ^ ^ T T
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I»a_li_la veiil pour son viiiii<|Uriii- Kik ui |il(i* il :iiii"iii-
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I e(k la (lou_«L' Val!»' _ f.,
>rk , (/.»/ /iV- Mirlini, Vit, . /,•,
Unis cri. If ilflllciill' i_S()_l('_ !
/('/;/' mir iniii iniii l'i'ii _ ili'ii^iiiii/ulr
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O 1),..,,! (m <|iii Ml-, ma taiMi> _ se, PhikIs iti
-feùJfikHS^êdcsm^ r-,7L */]cc^ areù"^,^^*^ ^^'^^i'
-
^m^^^- ggfegg-jiii rduroiiiK-ituiii l'ioiit Id-s ^^liip _ [n-s iKJiies du li(>_ë _ Hf,
. nir iriiikl ({irS(/ii'iiiteLo/iii. SiV/i*" »»VA //( ; i(_ _ /;c vr^ijlU^lnit!
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hioft, iiuih /lier nie zuvor.' >tiili. -le iin'in Hiiz,
lei_ nieiuonco'ur A li doiii e
/ilif^^sr iiiiiii o/ir HiiiiTiiii dir rillt
Kl mis (les ro _ ses <lc S;t-r<)ii I);ms m:i clie.xe.Iii _ le délie
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yiitfHvh' iiKiiiSii/in, ((;>rA/ji-.s.'s<' ilir llfiii Olir, Sii/ciU liiilinin- 1» <li _ '<
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Sus_sir,(ils tfir iroiiJn' l><if't. Sind die
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nihiiiiihf imiiif lie Ir nu lit! pu atolzilHrld ii(tii,ir Allanen l.ülit,
j-etL àr tttccf (k Jene Jiütu/ . jLi-vctdt^i'lfäuikrsc-^ia la.i^titüt*.ä '
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liciiiiriil ;i l:i iii;iiii,fl »i-iiililfiil pi iiNoiiii.ilo ^iiii_
1111» Ui'liii'iix ijiii ;ii((Piiil):ij:iit'iil S^im-iiii Ci- di-i-,
IUI I-, iiioliiiuliMiii'iil liiiiilili-, «lifichf III \:iiii -1 (Mlir
!>•» n-iiîil'ds (II- l»;illl;); se«. _>fii\, iiiiilfjit- lui .-uix'iit
1.1 i> If, iii(iii>t-iii''iit» <!'' l'iii<li:iMlcii'--f.(|ui ie»(.-
:ui iiiilicii (l.'s jiiiii.'» )iliili»liiics,|)rfii;iiit |i;iil ;. Inii-
|i..-.i'- .1 ;i Iciii'- ;;i-.li'> \<iIm|.Iii<-ux.
Iiif junijHi \U!i1iliiii iii llttlilnh t.i/c/f/c liiiiiiiiiinii
III II iniiiliiiiniiiisilii II Tun: mil Uni ii Hiiinzin iiint
liiih/iiiiili II, itiiiiiit .M. ilh /ii/iriiisi/ii II Urii i/ir nn:ii
lui km siiiliiii Snilisini in liiilrns, /n,/ lli, i.rr in,
iliiiiij, i-iiilit nr/ji/jins liiililii\ H/i' ke :u t'iiiiiiiiftii,
il'iili ri^tnl'i ml /l'Ii/ni siinr Aiiiji n •'li ii ilii iii nr^
fii/iirnsi/irii Kl iiiiimiijiii . Ilalilu nimmt m .Milti
liir Tini:<iiiliii , lin llinii l'iinliinnniiii iiml iiyl'i^jiii
lUh.nlin Un il.
P .\llf-r.-llo(l()4
KAISSK DKS l'UKTKKSSKS l»K DAdONT*NZ IHR VRIKSTf KINNFiy nAGIIN's.
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.f? ,.'^Juj^
\iiil.iiili- (8^-0 )
Printemps c^ui commtncp, Por_tant l'espé-ran _ ce
m m J-M iJ'IJ ;-ntt^
Auxcœui> arnoureux.,
, I lin hiissn 'II,' HU)^.
I
Ton soiif-ftequi pas_se Detes z^ui iliircli f1,f Inii.ii'. i
'-jy^ ( ^/.
^^i^: J^ iJ^^^'
m ^j i r r i-i'^
la tci-i e êr _ fa _ ce Les jours malheureux.
brûle en noire âme, El ta douce flam
hdii _ tut ilir S(hiiiir:in. {tir ein - fn.iiir llir
^^.—
r
II -I I II—
:iii, l.oiiii Vir.
\^^m w.
±AP^i^
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iU-::i J_r=:
ft>l
iV '^ 1 m^ mk
D«.. .._ J »1 ^^_»lier nos pleurs; lu rends a la (fr_re, Par un doux m_ys-tè
silnyic-ifii i/iiiilt. tiiil tic _ lirs (.'(_ diui_hii, Itiirili^ziJùiiih. m- Sflirtin
Ytai^r kt^tt fiiifst ^^ inri st^-ûci if^*>-ä£r hvciXffaki , a&i*^ l/rùà"irit %
i i
^_ li i: Ik:^^F
1^^^^ MJ'oro ;iriiin;i((i
^^ Oïre, Les fruits e( les fleurs. En vain
lull, Hof - fi'iiil "i^i'i - 'li-gc )>''''•/ '"'' - """"
je sjûi/
.V,- d,s
V<anfl£y~ i I^i^t^^^ns fhaiir jii^^c/ sma'^ùti - ^ %ii{uv~ A£
I). r^ *^ Tfvi-^n^^^^Tf
_ rfinf lin _ fi _ dele, "
i ^bel- le! Mon cœur pleindamour, Pieu
l.r - liriis, /iv siliniii _ (//7 sf> f'ii/ff, Un liini- iirxt
^ Jl#^*^J -Jol^ g t=t^ T=^=î^^ ^
-tend son re_ tour! Vi _ vant d'espe'_ran_ ce, IMon cœur dé_so-
hr Gf.nnll. Iihl ivifst liii rir. <]is . .\rli, tiiil tust iliiicr
alt tuet 1^/erù fint((iù:i~ rm c/i s nt'c a6:'>i
I
Siiiii«<iil, (oui llfC M'l* Illl).
B., ^ ! I ~Kart 5
Jl'^CfunKn <^' fi^t «L' i<€ittcrmitç
TTï. j' ii -
r
#* ^
la nuil fom_4)an - te J'i_rai, friste a-nian _ te, /M asseoir au tor
ruf ihn mit Thrn-ncii, Si-iii linrr' ich mil S*7i - um, Hix /-.'r irirrfn:
4^
/•cc^ laiJlitikeM •'Ènil / ! -ta
:±ÈÎ,SE ÈS E ^1). ^_ renl,
- kehrt.
L'attendre en pleurant!
Dir l.ir - hr rr ^ hört!
Citas _ sanf
lloilll ni//
ma tris_
irh Ihti
^ 11^' Jß ! Cil - ^ L^^^a Lm ^cr'f^'^ mJ^Lj^y^C -
revient un jour, A lui ma (en _ dres
mermfhv von w\y, h'e.ster ihn um _ fns
^m fe^ cJfti^ dullet^dJL l7/^i^- nais_ _ nocfl. aim
TTTWr^se Et la douce i_vres
H, kiissin für iiiid fiir!
se Ouunhrn - lant
O II II iroii _ «1 _ gt-
acrrl.
le _ // _ (;f
I vil. J U '
lionr Giirde ;i son ri'_ tonr!
y.ixl . I) irnrst Im nirhl mrlir . vi'il!|H MEII I.AKIt MKIiHFl
M.TfB HmRXhH-
a tempo
L'esprit du
lin h'n _(,;
T^^ ^* I*-7^?— »• #-=! rn-ff :-
I
' f^^^-f^—^cetJe fem _ me Surtonehemin Pourlronhlertonre.
ntis-t'i'^ kl) _ ;('/(, liirziiw yrrrlirli, HiiinVitr/ith hriilit
m;il a con_diiif
i:ri^t lint ilirs Wii/'
i^^P^ i ^ JJJ 'lijjlJ i.W
;^.JLfc Ê=ê^ t9-P~ ±_ pos. |)i' ses Vf - fr.inls
h'itl - iji Un- liii lil.
P^fiiis |;i Ijinliinf»'
sKiisI l,ist lin iif.
m r 1-^ J j Mfiam nif»! C'est un poi _ sot) qui cori _ su
itici j /le« Riit) eh'x zu.H/i>" mit j mil Riif eh» :ii
,
siml :
m^-Arr\ \r.—y-^^
P» /«/os /<m.7-"//„ , Un p'-ii |i(irs hiiitfTS-*).^,,/ liAI.II,^ I^Ü^
ChnssnnI ma Iris _ tes _ se,
iuiiin irill ii/i ihn '"V •?- /'"»^^; j-^t^ ù ~ oc
I
v/^ t/g .
yg—?-
le les os!
( li.ilil.i i.'-.i-iM' fil cIkiii.'miiI lf>i ilii;!«- du (eiii|iie e( |)rovot|ii«' Sainsoii du rfgjird; celui-ci m-imIiI.
(wilhniiil ilirrx l^rsniiiir\ hnt su h hniilii iiiflir inirl nii lir zm'iirk qrznfini iinrl dir Tfiiiprl\tiifiii
sciiiprr
'•. i
I I
sciiiprr
D -fm^ ^(frt'S _ se !
-m- -0- -^ -0- -m-
Uni /( -atirû, '^^ ^ '
u.gjg^FXT UJ ^g m
ten _dres_se Ei la douce i_IUI)
/''//-v''>'"> /'"' ^dk'' - ^''"^ ''"'
É=^ i=^=» ^''l'<~^
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-7-
tj j ,c^ Ij-J-^-pm 'f^f r-r- r
,is^
±fe
>^(iii- le cliiiiinf. Il lic'sid', il liillc^ cl (r;ihiJ le (riiiibic de «>oii Aine.)
nieder hrstii-iini. — snnnnii,>i/ifir dent Znuher ihrer Klivkr, zaudert iwd kiimpj'liii Irideiisi /m/l/ii her
più piniio. lit.
rd^r-^ ^^_/vres_ se
kïm . seil!^ (ju'nn bni _ laut a.diour (î^rde à son re_
^^;
1 i
fErregiinq.)
Plus li'O) ( l.nii,/sniiiii).
T f' TH Idem f'ftcr Vorlinti,/ (nîtl)
94
Acte II.
l.f i|ih;)|i H i»'()if'«^eiiif' l.i »HlleV de Soieck en P:t-
Icslllie. A i;:uii lif, l;i (liMiifiii»' de DHlil;i^pi»T»'d«»'<iiMi
!i'f;pi- iiiMliiiiie cl ciiUpiiicV de |)l;(iilp^ ji-inliijiifK el de
li; ~ liiMiiiiiiilcs.
An li'M'i idi liiiliMir l:i imil (•iiiiiiiieiicf^''l ^e (.'ill (jIii«.
,niii|,li'le |,.-iid.iii( (mile lii durée de l'icle.
Akt If.
nns Tlin/ Sonkiii rn/i slum. — links llnli/a's Hmis
{ti:\Sf' tllKlIllliJ tl'll lintlll /il: /l.'lll l\llil.ll.\ll!;lltn.lll
isL — Cepuigc Hlftttpflnimu und Sf/iliinjgindclisr
iiiiigri'i-ii dn$ Hchiwdc.Hiiiii \iii,iil,iii 'Ir-s \,iili,iii,i^
hrgiinit dir ynrhf und his zniii Sc/iliiss dis Akiisnird
is iiniiirr diiiikli r.
IModerafo assai. (fi9r#)
VI I'0 "^-tj^- ^-tj- ^-^^ ^M^- ^
gi^i^j^^'C-^'"
p=^-^^^
Hfi
JALIlA (-fiilp)
Ellf fvl |iliis |);iiHf (|ii :iii piflilif r ;irlf . An \h\ri-
lin i-irlf:iii »-Ile *( ns^ist- sur iiuf inch»' (il»'* flu |>i)i-
(niH»" il<' s;i ni:iisiiii,Hl seiiilil)* rexeiivc.
Dvcr \'ii//i lui
SIC isf ;;(/(•/» vriihi}- ijni hiiiiirkt n/s im fi\lrii aU.
Hiiiii Xiißirlirii (ifs Xnrhfiiigs silzl sir, in ilrr y'„lir
ilirrx Hnusrs imchrlfiiknid nuf riiirm t'clshlock.
PAH"H^ila(o (leiO-#).
SCENE I.
m
5E
\^.^m
-^
5 ^
Anime _/
SB^F=^ ^È
"J^^
Sam-son^.
Sniii _ SX'»!—
recherchant ma pre.
hir^xe \n( ht niiiss ihi'i
fUÎ' t'-/«/" »1^^^ ^''^^'^
iii»^^ ^"" 1- P^
iModiTMlO.
_ sen _ ce, Ce soir doit venir en ces lienv.
brin _ (in)- Er ktijiniit, nirine liat^ tvird (jr - krouij
fin- 'cl^i ^'-^-^rz/fe/'f«''^ ^^""/-»"^Örato.
\oi_cl l'heii-^e de la ven_gean _ ce Qui doit sa-fis _
Mri^ve , , Rn ^ che wiisx hnit nr ~ li/i^ _ r/ni ' /;;,- Jin _ sr _ »vl-Mn^ve ..R(i ^vne nwsshnit pr^- i>m u - (ini
^ 7/ rxpifxs.
fui _ rc rjos difiix!
dot _ Irr VIT - '"'^"y-,
^- _ séries "^J-ud-
i^DAI.ll.A.
3=fr-"'—ff- Äviens aider ma fai_
fr^'=^=j^ 3=^77i'rr:=3s_ bles e! Vei' _ se le poLson dans son sein!
98
^ ^I S # h<r /
(lf'_ niiifi!_ se S;im _ son soif t'i:cli;iî _ ne
Iç^ Silin _ goii, ev- lir.q' yr _ fes^.siit i-cr wir.
"f
u^cL i)(rii, dut ùihiùs {ia<i^ Lj ^e^ ttf iû-^At //laut, Jef /^^'
1^*; # I»
:^-g^-t- i^voir nn^ fli;is_scr, nip liMiiiiir!
(je/; _ li-ihi:i, th'n _ rii^trx Xiili il!
PoiiiTiiit - il (•'_ teiii _ (Ire Ih
/lir hr _ iiiiirmiq kniiii rr ni, ht
Y/^/ - ^ A^i^/yï/^fty ^<«ft mr Jiü^^ na/{ô3 i^^ '
l::^-:Jii:i ^n-H fV-^^'•'•'"-
1(»0 j^ ^ «
Ihn II m;/A/ r« iiiiriui.n /ä.v .
miinem Hn^s strh'' zur >-ei
\fv _ Se le poi _
liriii siis-ses^tei
un
pur moi) a _ die^
snl ihm J>c _ rri.^Srliirk _/ snl ihm J>c _ rji,
^ai-n näu^ sc ^c Tttj^
se, Saiu _ SOI) soi( »-im liai-
Je Snni - ßi'H, n:lirq' ,,,-_^^
.m^f=^ ^fori pHrmi Ifs foi'fs,
strick _ .«fc, imiter _ lieqt,^
Lim, qui dur) i>pn
' - ^t hat- mst r/
Iti2
mKSiic_com_be _ ra sous mt's ei..
Ir, Vpii fi-iu-w , \yei _ lit- niyri/- er h/
kçjrjy U CK ^t-^" ^ f'^ ^rompt la cliaî
Ai-iA riiiii h'il
^ft/if:r in 4rr l'-fiir)
(frlüii«; loinl.-iiii«).. I^i It-lltlll-* MIIIII.IIIIS
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1^ ^ ;5 1.:^ ^'' '
'
In.S
SCENE II.
Allegro. (I.S2r#).
DALILA.
LE (;KAM) PKETI'.EAM) PKETI'.K X);j,.
K HAGON. !>:/
OKh.RPRIf.^im.
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Jaip'a_vi la monta-frr." PoiirvtMiir jiis(|iià
/(•/; erklomm dif S'- tr/_.\rn l'iii nl'riii ftiih :ii
1^y£
-^w^^^^^\^^ _!T jg^M*^* ;^dî^
b^if ^r r * ^*—=-1: ^ it^ .i, ^^^^^^^ :±^ ^ -=*-
foi;
S/AV/;
i
Pi
DM_goii qui maocom_pa_gne Ma gui -divers tor)foil
lin _ çwii , der midi i]p _ seii-drt, firss kein l eidmirnrsrbi'h n.
S P m ÉÉVP
104
Sa _ Inf àvoiis,nioii |jf _ i---! Soyez If ImVum. nii,voiisqii'iii l'on re
ü/i ()!-iis_sf Eh '\iiiriti Vn _ trrf Sùiri fn'ilimUkovmunmir^ lir ijeluir xntii h'iiih
'i:z^ &T r
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.^ 4^' ^3r-4j—V4:V
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oHyKi'hii su li.
I.K i;-* l'UKTItF.
AikI'" roi) tiioto.(8R-#1
. &=sort f psf oon _ nii
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La vie _ (oi
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ro lii _ ci _ lf> l)fses<l,ivt>slli'_
105
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M M.
£EE ^r=r^breiix L'iira livre l,i vil _ le. jNos soldat»; devant
Sc/iiiiir, ine iiiiarf StndI be^ziiim _ grn^ Als ISiciiinnd nliti te Gf
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»IIX ()f,t fui. pleins de _ poiivan
irnr furrht _hr ^th'm-l^
\\\ seul nomHfi (il-m Mn
de San) _ son^ Dont laii_daoe elTrav _
i/c\v hiihilhrit un - er _
/±5^ .. ^iSG'' p.
_ ante A trou
_ Ucri; Srihxt die
Lie leur
Tnp - fei
rai _ son.
steii flfhn.
P?±i ""H—ifv
lat«! a no _ fre ra _ ce, Il recufdeson
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Diou La force avec l'iii.il.i _ ce.
<;<// ihn \yiiii_drrkrnft ev_iriT _ Ifii,
L!ncliai_ne' |);ii' miJr^d.v iriiL srhru Mnelit zum
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Spnft
Sani- son, dès sa t)ais_saM
Smn - son ist nvs _ er_ irnh
Fut mHni'if' pa
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Poiii- rendre la puis.
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107
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Dir 'Ulli dnii l.ntiii zum
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IJr.l _ M^' VoJlf COIUTOIIX,
Jiiq _ À\i-h 1)1)1 Enrh hf^ riinh'n,
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^ti£/' - ^*'t nci^ r*J /laûu. fiXji /ff^n< ^*'
_l / L ^^"JÄV^ ?tcH _ ge O^u'il lie "^r
Sehn - den, s,')_»r hrnj't
fie pour vous.
il»irbt Ehch Hnl)„.
maLE G"* l'RKTHE. (oHKRPRIESTtRi
m -gj^=^=i^ ^7 rr^
A tes genoux sa force un jour iH-lianfioii _
In Driiifm Ami dir hvnj't Kr eiiist su h stiiniii/iiii
^fcrg^^lfcaB qir * -
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_ ria; Mais (l<|)iiis, il sV*Lf'or_ce d'oiililier Dali _ la.
Art// lui hnl fr siili rr- iiKiiiiifl lliili :iiJliih i' Kiili - In.
Ml.'irro.
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,V/i;/ srt'/', rf<i.<.v liii-iif 'y/- '""Mil II X
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^'iibli _ aiil (oïl amour,1 1:1 van ihm nii-/i irrlnrlil,
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Il se ril (Il flam_me//«1s\ ^171 Wyi,- er vi-r^sclimn-hii,
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maime, tt rnoii coetir ne crHi'nt
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C'est en vain qu'il me Lr.i _ ve; liest fort hiix cnni.
Mir tih ht nagt er zu Irai/! zeii, AVrim er. h:th>fi . .aiich hc
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mAgifnu-o rit.
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il est mon es _ cl;t _ ve Ht treniMe diuis_ bats, iMais
,/^-sieqt. ^ t,r , hlril't /strts dach mein SWfl; _, jr, \}i'iim wir im Arm-/- .«.r
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AhiiHs- moi (on es_ola -vc Sam. son ! t( nour (e |j,i\im' k,i rain^nn ,
Vn- - kniif Deinen Sk/n _ reii mir, l'iii je/ini l'rriSj ieh znht' ihn Dir,
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Je ne ferai point de |irome.s _ ses;
Lieferst Hilden Feind uns ge~ fnn _ gcH,
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Tu p^iix choisir dans mes ri _
tiûifst kiifin den hihhstcii l.nhii lui ti-i-j.
Jfau jdt^UaMiLT itu**^ SkaCLt. ^^(
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.S'iV »/'f ViT^rnlh für kfiiirn -^'fff j Hntt' ich ilnii iiirlil Rn ^ rho qc -
kt:^^=^à^z^>»- -^ m m » ij^ m m ~i-m
löi-mt'me, mal'^r'f f;iS('i_on
l)nni\a'l'en niniiir irrii''>i'r^liiVC II ,0 ÜniiM'a'/>fn niniiirirny'rrr^li' _ ir»
R1 ^Ffi =n fT] ^ ^ F^ ,^
115.
_ lef un ji)tij-;M;iis il lùi pii iiii- v.iiiiciv eiu ij_ re, C;ir, :iu(;iiil Hiiif lui je lali
mich hfSiiiiit; Mm^iwr in I irlf i<h ihii "»' -Jl'i'j'^i)^ il 'nrti,iiiliriil\_ Un iili ,l,i.
J'tiuihis (lu (lf'_vi _ iii-i- l;i h.iiiie t-l Inn dfs _ siMiil Mon (•»•iifeii l'e_coii_
Wiihl linh' il h litiiiiii Ho« ijinh/it. lii n flnn rr , kiiiiut^ Mi in Criai iliitihsiUimU-
'^m^
^tiçi
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114
Modcriilo.
.i^ie.
M;ns sni siiii ((eiiidé-jà ii';iiiiais-(u |»;is en v.riii iiif_si»_ic' (;i |niis.
Ijvili, '•'' tv Itir iir.nixx' Hnt iiii- i-r xir/i n- iiiniiiit liii_ ni-rVar/it zii ii,l.
Lfùt er-du nhfict' tiu ^ -'Jki kit hau cy A^'sJ^t ^n^ ÄcmA^*^ af
xt^m-.
115
. lu «If SI Idl'ct'
_ /iiiinniys/lii Kivft,
eclaii'cir If sf _ (lel.
flii- ihn slalill :ii rlHi-ihyliniriij
^^^P^ ivk f' h>J h=^hJiillriiii;ii cel iiiiKnir,
/'// uiiixtiiik.tr ihn inu'
es_pfi.iiit (|irà s;i lliim _ me .If li_
i(lijjfn(nni sciiii- l.ii' . Ac, ,111^/ ii
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_iHis riiuon_iiu <l;ins le (oiici
, h(iff_ te (iiias (tjLUn ISiihts rcvhnr ,
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iUU mil- IJir - ,/'/•.
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M, lis, p;ii' trois fni> iiiissi (ifjuii.'iiil iiinii fsiioir,
//''"'A /''''y^ /""' tiiiisrhl' er mil h , Uii i- nlnlimt vuyi Hi imliliil ,, ,
Il iifsVs(|iiiiiil li\ rt',
J^^ kjcCjJCr 4'hklL P^lt,
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(i II- ihm siJir
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irril ir iiiriurii Sijiii fikupatirril n- iiii-iucii Sijiii ifvhiuwm
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jiilljiwiii/Jil K II ir,^ yri/^
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_ t'IlS. lice (IfriiiHi- coin. |j;il j'iii |)i é|);i_ié mes ;ir _ mes: S;iin_
Jjl iii(Sfill lrl:lill H/iliihf'sollxl lliixiriir// iilii/l .y _ /(///.• Siiiii.llJ iiiiwnii lit: h II hiiiiipf fi'ilxl luixirijiyi mil h .y»
_soii riepouiia |>;i> résister h mes lai
iiriiiiiiht iridersti,ion knmnmiiivn Tbrà - - iiriiiiiiM iriftfistr- _ hrii..
Que Dation, iio.lre l)i eu,daigne é(t'D_drc son
l'nd Dnijiiii. iiiisrr liott^ unit ilhj :iir si iti
bras! Tim(iiii1i;i(s pour sa gloi _ re,
tiLi,! lui.iilni kämpfst fh'-^p'» J<i i. h'
fU ! liu iUJ mmf'cr jcT Ifm :
par lui tu vain..
Ail" moderalo. CJ^T«)^ ^
,.'ii. gBgF
l'iiul, poiri- jissoiiMr- ma h
(?•/// ^ )i\n iiii-i)iru Hnsu zji ki'ili
III", Il faul (|iie iiinii pouvoir l'en.
Itn: t.r uyjll im. Il . lii'i lût ._ tru
^^i f^
fiih ^ - h,,'. fr ..,, fiiinll/irl.ir - / l'i t'';. '"Vi/. /_ H,\jlta — e-'T-- ^ati JaL ckt/ci- jik-r-uJ^^ ^cfm/i—^ -c
4, L L /Ê- _= / -«** ^^
\10
l?i^m -.^
Il c' \'\<^^Ky.ulH^:Hl•H^^i^^H)
^fc=P: T^^^v—rr- ^=r-^
coiir _ Ix' le fVoiil ;i s<)iv lom!
n ,r liirriiii StfUifi vor/iiiir /iiiiüf
Sfta ~ ret<,sm krf^-^ 'Jt'^ mir
ilf M'(i.\, |)ip|ii- assouvir ma/ h iiill^ Kill im im II H/isx :ii
n.il.
/( iili
lie Je \eux tjiie l>a_li_la IVii _ dia?
Ini^ I r xiill lla^U-ln\'< h,t _ frii J'iili
faul ((iie,vaiii(ii |);ir l:i - nioin'',
His
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coiirlie le tVnnl a son
,,' er hitr im SUiäJi iinty^niii
tour! II laiil,ponr assou\ii- iiia lianie, iP t'aiil cji/5 Pliiiid , Ich i'iil/, /Ulli, iiiriijrii Hihsi , pi ,*ii/i _ Irii Kr" soft Da.
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50,f kr ltc*-^^^JauisL:<^2' r^;, ÜcU^ ^cr t&^^Ml 'il
iS£ N s, 1 >• ^ =?=*=2=
iiioi) |iiiii\Mir I i-n _ cliHiii''!
^ÉiJf \tiix que, VHincu |i;ii' r.i
mE T r 4^=N^#:
i/ j/ T r ^£EEn toi st'iilf t'sl mon fs _ pe _ riin.ce,
Auf luv (il . Il in ruht nW iiiriii Hoffi n^
3S
. inodi", Il coiirhfj il cour _ [»-It- tVoiil à son lonr!
/-/"?/V "/* 'î"' "" Slaiih /! hifi- i,trr mir l'yf/f/
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iflâcii 1 dm ^'^'^ i^,Scn^' fur Lrr JAtisTùdi m Ut- Lii ,t
^ ^ ^A loi l'ho
jMf HiU . rhrrs
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=*=3c:
_ iieur! ;i moi! ^
Riihm Sri iiniri!
r;iiil,|)<>iir;issoiivii-
/(/» (m7/, wilnitiif II H'i
^S iN^ f=^^=^ É f • ß f^a
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J— K ^ ' kr-lr-i :
< JpÛi^C4.L , )//« /i£ty^^ AäK-
\eiix qiie,\aiiirii par la _ ilioui-,
'( ttinriiriie l.ir - /n- lu- - '"iit',
il coiiibc le tVoiil à sciii
Wf II hin- im SInuhror mir
Jt- \f»x (nif,v;iiii( Il par I a _
/;?• \ii diivi II /lie /.!<_ hf he
I2;i
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IVoiit ;i son (om!
Slniih vor mir liif/t!
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If Iroiil ;i son lour!
tr hirr vor iiiir ' Ui/ià! f
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Sans raient il-
^ ïU . nissuns - lions loii> lifiix! U - m>siiris-
125
ohet des H'bienx!
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Il {.'' v\ \\r,h .'l'umi'Rii <irH)
Jf' r.iU.iiils!
Sirlirvlirli! I,
Siiiii-oiyiif (lis;iis-lu d;iiis(es lit'iix (l()i[ se ivii _ (lie?
*ès^ '
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I h a} l'RM Ki-..0;///;fl/'«//;.sï>.7()
. lnioiieil|M)niiHil iioiisMirpren _ die. Bienlùl je iH-vifiuliHi p:ii- Hese(ie(s die.
nalil! f/i' ir iiii/i''t^iiiiiss iih gc _ /irti; l'/i kchrC Imlil :ii-rii(l, niif ilnn qr _ /iiiiiirii
„liiij. Le (Ifs-liii <lf iiiiiii |M'ii|ilf,ô rcmiiit', t'sl (l;iiis (fs
fif^f/ ttax Ce . sc/iiil,- uni . lus VoU's '« riilil in Ihi. iirr
iiijiiiis. I)('(lii.if (le soincfiiil lintiliit'.riililf e' . cur _ ce, El siiipreiuls le m' .
Hniifi! Ihn SihliisscliiiK.ssI :n sri^ _ innt ytilrnii'n liii fin - diii^ Uns (ir^ /irimiiiss ilrr
\^ . N M,Ml";.ss:n. J = «^V»)
.ciel qui nous cailK- Sil l'ir _
hi'iff liir >liiixrhiit:tUii IV . ji-"» -
1-27
D.ilil.i -.• n,(.()ii.(li,
liuliln lihhiit siih lniiii<
U.IIhIh' (II' l.l »Iflle MM— 11- |1M1 (i(|llc
7( iII ri III Hiiinf -III- l.iiikin und Irhiit
(le »^i liNii-uii^.el -s'jiiipuie it-Xfii^e h un ilc-s |)ilifi-..
s.ii II im Viinii riinni/i uni htit iikeiid nii liiinn l't'ciirr.
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S;iiii><>ii .-irrive |).ii- ia droile; il sfinblf eiiiii,lioii-
lilc, lit'silaiil; il ipj;.iicle aiilmir df lui. I.H iiiiil shs-
siiriilii'it Hh plus cil |ilii-.
Sriin.\ti/i kniiiiiit II')/ ilir nilittu S< ili; zuuiliriid
rrrrijt^ in VirinniiiK/,
Dir Surfil nirii (iil.^trirr.
Fcr >r m.
Ail" ;.-il;i»o/J = If^O)
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.Icvoiiilijiis l'iiii, lit-l.i-.!
Irli tfILtr fliilrii lin, II,,'.
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j';il_(eiicl;iis ta pir _ seii _ i e! Jonlut. ii/r liuiT'' irh iiiit , S,rh _ invulf! HmiUi
blie. en UIl r_,jrs _ xr/i
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AUrhl Hôiiin (jinf irhJnrll.-nirliliihrll/irsrllùirlit lit- - Jkg- m her t diu y^i^ "^Xiiu û'j 9c*~ /
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Jliir hc .
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_soii, Tu nie trompas dé_JM|iar des serments frivo. les!
^tliört, p'k ein . mal si/ion gesc/io/i, Als ir/i Iticli so/lt' m-lif.irn!
QiiiiikI [)fnir toi
\l,i7 lui Dir
i fTî
^^ l
f^^^ ±^iT*- -f E-fr^tf.V=^tzjn
j'ose oufilierDieu, Sa gloi _ re, mon peuple et mon vœu!
ich Gdt.h'svertiass^ yuin (U- .liili _ rfc, iiieiiiVnlk, xt'iii ^'c _ l>ot!
Ce Dieu tjui marqua ma nais _ san _ ce Du. Dl'ii Herrn, dtr mich qna.diii er _ mihi . te^ /Mil
158li\Lll.x.
J-a leaipo.
arec 'rtirijii'
* ^ . W?^^ ^^ V^:x:-^—ä»-#—0-
-ft—
^
Kh bifü! cnnnHisdoncuiuii a _ uinur!
\PAii</i ni( , .tollst nuiin Herz nun rliirch _ schimiä/ '
Cesl loi) Di
±1 ±:ÏE
^ X PIT-T^
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me _ au- t^ue jen-vi - e!
;'(•/ iit'a. d\n ich ii,i_ _ '/y.
Ce Dieu qui te rlfuiiia le
k^^=^:&L^ snv tu fiZtcù.m
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jour, Ce Diiii cjiii con.sacra la vi _ el Le vu'U (|ni iVnrhMmc ii
Vrmfn !iii fvl<i''f, iriikj-pifi ir/idiinhliiih It^ - lù! yj": "-j'^'J""'
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Dieu El ((iii fait lou bras rednu . ta.ble, A mon a_moui- fais-en la.
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y^ti ^ ckiii Tlirii . neu -Flu - thenl ,flieli! Stim.srin die. seil (),
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Ou iiiour - r;i Ion a.iii;iii - le!
i.H.s.v' stUl nirùk Hirz «fv _ bin _ Un
^âd m'j hr- fc^ ^m - äc_
.'ifiij-^-wrli^stMß- l'in ;iflf;;to.
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_ni<)ur! Je U' mé_|)rl _' se! A _ dieu!
^ iiidi' iiih\iili ver.oc/i - tr Dii/i! hiifir' liiii'.
l);ilil.i coin I MTs s.i r|eiiieiii-e ; l'oiii-ie e>.l d.iiis toute ^.l liireiii-. S;i(ii«iiii, le>:iiil les br.is .{ii
Ualiln flieht iii (1(i\ Hiiiis Uni. V.firiltir toht mit /"''l'thnrir Wiilh . Sninsini lubt dif \niic jIiIhikI
l'iel, setiilile iii\(H|iirc Dieu. Il s'él.-iiice à l.i -.iiile lie ll;ilil;t, liésile, et ende enfin diiiis s.i denienie
zum Hiiiimit irif uni <rhutz dort zu sui/icii, blril'l nifdcr zögvntä slr/nii^uiiil stürzt dann, nolilnnoih iu\ ilmi.
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l'/iilistms(lie hntfjs/tiilc komwi II von Rrr/its, iaiiiiinln sich riii:\i</ifii/ uni dus Hnti>< rmi linli/n
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(Vii'liMit r..ii|i r!.- fiiiiiime) Ii\LIL.\ p.M;iiNs;int sur la terrasseH<jn,j,r luuiuirsihl.i.j ßalih /"„,ii si</, nus dvr Tcrtasst
iK2 f ^ ^ t=àà.^2S ^^^
moi! riil_lislins! -i uhuI Tiiiliisoii!
I. h^ — -^ — i.-^ -— ?*- — -fr -j— 7^ —
Les soldais se |jie<i|iil»'iil <\u\t> l;i dcinfiii c <lf ll:ili!.i
Hrùycr iliirzi-ii herhii miri dfriiiijen sii h iifig in's llims.
I7.S
.mN f
HIDEAU(lui- \oi/i,iiig fdllt)
^3
4ote III.
l'I' TABLEAU.
lA l'RlSON DE G\/.\.
SCENE I
S:iii)-iii; 1111 II. une, :i\<-ilL:lr, le^ i|h-mmi\ ((uilié-,
liMinif hi iiK'iilt'
|l;iMs l;i (»iill-.!', Cliiriii- ,1.- Mt-lii-.-ii\ ciiiitlf^
Aiiil.ink' (76= à )
Akl III
I".' TABLEAU.
•OErxNGNI.SS IN r,i7.\
SCENE I
.sf;///.M//( iii Killen (/rs: /iiiiii'fii l.fieiiii' llnmv sintl
i/i kiir:t,!,dm' \iiueii gi iltiidet- s. „son Hnhi tun-
H,n,.l„„Ulli\
I liiii- lit r .(/</" '/•'/; II, hi'nr liinfir tirr Scfiic
SAMSIO~
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Ti'iiois .
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ibi.^m3^
Aiiil.iiil.
m ff .0' Jt' ~Z^ Ji»— />*I !
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_(ié!S.-i-ii<Mir!
Iiiiaii'liirli iiifiii.
|)i_ lié |Hiiii 111,1 r;iililrs_<e!
lier (ich' su tief (jf^fiil ,li II'
.1 iii (iéloiiiiK- mes pas de ton elle
Ile// !<u/i iiHÎri lii\^ icni 1/ roiii m/ilrn
17«^
I.
. iinn; Bifii_4.ôl (Jf 1110? lu re.iiras la in.iiii.
Htit fin-cliUilirh !irsliai/„uJi l),i.i,r Hniid!
If I oft'it'.ô Dieu. iiia|>;iii\ie âme bii_st''_e! Je lu* •«iiis |)lu^ (itruimlijel (!«• ii_
WnminilhtDn ni _ den méiti hit.te.ro Imlr/ij' \\ni,i,iiiii/i /'..frr'iii nus idr HiiiMiiiniinr
y' F F M ' ^ f* p ^^
Ils III uni i;i - \i la lu _ iiiiè _ if di
liif. \ii . (/('/( _ lii/it's ha _ f)iii \ir iiiiili /il
sf _ ei
i àjp
»^i(r^
fc^^^^iO-i;
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p g F ^ ^< it'l; Ils nionl veisé laiiieituiiie et le fiel!
muht, lud hnu.f'tn Srhiiinrh^çjrmnmn Hithij niif niihi Hnti/it'
Z.^=^L^X) ; 1, j"C =5*^
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lolis lrsili;ill\ <|ll'll il souITtM'lsl
ul . le Srliiilil dir IS ici: hriirli'
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"iâ_ce! D-ii"!!»';! Ion [leuple épjiif'ner la doiileui ! A|iaise-(oi-<levaiil lvursiiiaii.\,Sei_
%ii (un !<<>/l Ihi-iif lUiii - iti' nus iiir »nlnrr. hliilni \\ inu ii iinvi\idli(ücS( InilHinrimJiriir .
_j;iit'iiil Tili. (idiil jamais la |)i _ lit' ne se las_se!
.:i(li'ii't' UiY/a/ /'// /'('/// \iit. lit: lui, lins c _ m;/ nriiiiiii
liicd aiiiilialo
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Wiis llmùt lui iltiii i.flt liiiiiir \a _ /,/•'
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Dn.iini Hni.diVii'^ \\ ils l/iiil'sl lin ilnii Hnll linii,r\i
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(.Iiiiiil cl<>iil<'Ui-eu\, l't'_ni'_lf;inl djius um nuil |unrou_(ie. Dune ;iri
hin . (jr-ijr .sini'l \n, /i ,1ns ,V^:,rv uin . iirr Iri.iUi, rrriii, Il . rrl' Mri . Iir
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lui dem Cotl Itiiiiir \ii _ tir?_
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riiijlisrn S/iDixon roii der Kette Ins und fiiliren ihn
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Iiit.ii.iir <lii l.'iiipl.' (!.• |l:ii;oii Sl;itni' (lu
Ihill. T;illli' <!•> -:m 1 il'i. .s_ Au lllili'll (lu >-^ilir-
lii.iii> il.iix ((ili.nii'S (If niiiihif miiiM> lit >u|i-
jicl.i 1'..IiIm-c.
Li' (ii\iii(l-Pi.-tri> (!•• D.ifroii ciitcmn: (Lsjuiii-
. > l'Iiili-liiis DiilÜM, suivie (!•< jiirii. s I'IjiIi—
liii~, couiimiiet'S i\>- ('leurs, d's rdippfi j I;i iiiiiii.
Vlu- I ni.- il.' jlrlljile [.fll]ilil h' temple, l.e Ji.lir
>e |,A,..
•i':^ TABIEAU.
lias: liiiiiif tirx liiuiiiii ^Tiiii pfts.\iir ilry (i)l(i:i-
snl-Slntilf rifs liotlts fin (iji/rr-iltnf :ii irr/c/iriii
Sliif'fii liiiinii fuhren .^ In drr Villr fii-s irinfx/x^
dit ht ntheii rinnndri; znri Mninuirsoiilrn, niif
nilihcn rins liich-n-dfiriil/'r inlil.
Ihr Oherpripstcr^ rnn inr/ir/iintn l'Iii/iMlirii und
Mifiihrrrn drr Hriiijrr iiingr/irii,/iii/rr/ii''/,t, i/i l'i'nUr,
liiihin iinnitlrnjiiiiijrr Miidrhfu mit RIuwl'II _</<-
nclim'ùkt/rriukschnlrnviid hnniirn in den Hiindrn.
fine firiifxr Miiiijr rmi Vnlk rrflillt nllr Trin/ii /-
HniiNif. Iii r Tii'l />ricfit 'an.
SCENE II.
S(i|)r.iii()-.. g
^lA^o.
Le double nliis Iciil. '/">•» Inipfulte Inniistimcr)
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^Le (lollKle |)llis It'lll.
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_ AllfKrcllo.(* = "i^)
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L";iu_bt' uni l)l;iii-('hil de_jà les co _ le;m\^
llii- Sun _ ne IT - nrirlil^ ilcr Taq hriilil lier - i tu! _
L'jui _ Le i|iii Lhin^rhil (lé_jà les co _ le;iii\^.
Ilic Son . iir i-r . nnrlil^ iln- l'nq hrirhl lier _ <;>// _iliil.
L'H(i_lje i^iii bl;m_th)l dt'_j;i les co _ le;uiXj_
/)/(' Son . ne Vf- nrir/il^ (fir Toçj hviiht livr ^ ein!
4'/.I NA I ] I _^^
L';iii_lie (jiii lil;iii_(liil (le_jà les co _ (e;tu>
Dir Sun _ ne i-r . niiilit der Tnij hrirht lief _ ein! .
D'une iiiiil si helle é_li'iiil les t'iaiii _ beaux;f'ntl die liir_ kel er. hieielil liei)n rn _ .v/ . <4en Schein .
I)'line nuit SI
l ml ilir Inr _ hlbelle é_(iiiil les riiim _ }>eHU*;
hieii-lil l:ri)n III . •» _ ijen >^*eiii_
D'une null si
Ind die fne_ k,l
belle e_(eiiil les f'Idai _ be<iux;
lileiehl ftri)ii m _ xi _ qen St'hein
D'une nuit si belle é_leinl les fliim_liiü««;l'nd die hne . hl hl, nhl liei)n m _ ,«/ _ </,« Sihein .
r;)()
I'i()_liinj;t()ns 1,1 iVle, el m;ilj;it' l'iiu _ ro _ le, Aillions i-n
.
th^rr fis.1 _ liilirii Si)ic_/r xi)// il- iiiihl tili _ //c//^ Wir mi/lrll
I*i()_loii^(oiis l;i Irl»', el
lli.'.rr Jisl . Ilillrll Sflich
iii;ii;^if I ;iu _ ro _ le,.
tiiil er iiiiht trii _ /if/i
.
Aiiiuiiis en.Wir millrn
Pii)_ longeons hi
I iisi-r Fcs _ trs
f'èle, el iiiiilfiié l';iii_i(> _ re, Aiiii«iris en.Sfiie.lr xii/l i-r ni, ht tri) _ A»« Wir nolli-ii
l*|-t)_liil)jit'(iilN la
I ii:<rr Fes . lis
l'èle, el inalj;ie Taii-ro _ ic, Aiiiiniis en
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Si)ir_li- xiill rr iiidil trii _ htii Wir im/lrn
_co_ie:l';im<>ui^e^seall^(elll roiihli de nos maux,
lii/ifn llrrh'rriid'' ni ^ Irin uns der hol - dm nrili\i .
unis.
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Mir d,r
.(()_ ie:I!,aill(Hll\el>e ail(<eni l'nllMl (le nos lliaiix,
tir!,
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llrrl-niiiP id . Irin uns dir Iml . dm iirili'n.
\eisf an
.00. re:Haiii()iiivei>eau*üeur, Neiseaiica'ur lou - l)li de nos maux, ><Tse ai
li,l,rn llrrlrriid^ ni _ Irin ja, drr Fi-md' ni _ 1,/n inr uns nriliUi Mir ,tr
.CO- ie:l'ainoni \erseaiH<jeui; \eiseau eü-in Ion . Iili de nos nianx, ^el•se au
lii'hrn lirrFrmiP ni . Irin ja, ilrrFiruiViil _ Irin irir nns irrili^i ynr drr
«Ka£ èf r r J r rcoeui'
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l'oubli dn
/«' niillfu iiir
IIKIIIX.
ai'ih'n
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du ma .
-Ar rf,.s
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é» 0»0»rouljji de n<3s uiini.x.
hi' no/lii nir iina onh^n
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Au \eiil dtl ma .
rhf /il s
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cœur l'ouliii de nos maux.
/.iV _ h- irolCn nir nus ariH'n.
Au \eiU
Vor'm Uni.
(lu uia.
l'ouldi dn iTos maux.he noileii nir mit viih^n.
Au veiil
VV:»- III Hou
.
du IIIÜ.
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-a
_(lii, i'om _ bre de la iiiiil
Miirfifiis fiitftii In t dit- \ni ht .
_tin, rom _ bie dn la iiiiil
Miiff/mx entfliehet die .\oe/it.
Comme un li';;ef
/'/( ny///_ ///• iifir
Connue un li'^er
iw
lin, I'om _ bie île la iniil
Vni-ijelia entfliehet die \neht .
\ ^ r. s
Connue w\ \v-^ny
lue lVoH_ ne nur
.lin, l'ijin _ bie de la nriil .
il'il'fleli'i eiitfliihrt die \Hfht.
Cfimme un I.'-er
/'" Wnii _ ,,, nur
I'.)2
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\oilc
uns
\i riioiizoïi i'iiii.
Jiiliit liiit (/( _ hriirlit
.
P^Pt h r h h
P\oilcuns
M l'IlUlIZOll luit Loneiil s'eiii
Sinkt ilir San _ iif
>r-|^-fr-fTFi4é d dé r J'J'J^
Mille à riioiizon ruil._
/i«S Juliil liât ijr _ A;v;r/(/
l'oiiclll ^'t•|||
Sinkt du- Sun _ ;<(
.|)<iui|ii<', et sur les mon _ la _ f;iit"!>
znin Srhlunimrr nie _ r/c/:.
Le so_ Ifil liiil, Daidiiiil ses i:i> .
Iifinn h'finniie. Im ht wif'irr I ir. lus
.ijoiiii)! f, et Mil' It's iiir)i»_la _ fiiK'h Lf so_leil liiil, Danlaiil ses ray_
irir _ f/rr :nni Silihiniinir nif - ilri; Dnnn^h'riniulc, Ini/it wici/rr lir./icji_
i iJ\Jl\h â--^—^.F t Vf'. .M HL«' s()_l('it luil, Dartiaiil si's iay_
r/rr Ininiih'niinilc. liir/il wir'irr l.ii'^hrs-
|t<)iir|iie, f
(
iiii- _ »/(/•_
sur les mou -la _
:uni Srlihimiiirr ni
_ pourpre, el sur les mon _ la _ f;nes_ l,e so_ leil luil, Diinlaiil ses i-a)'
ivir - lirr ziiiii Srhiiiinmi'r nu- _ ilir^ Dnnn.lii innlr^ la, ht wiiilrr l.ic.hrs
l .ft--5t^
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Pt^^Ttons aiisciridf's CHii) pa _
(•liii k iii/s mit siissriii Hlick
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gncs, Au sein fl('scam|),i
W'icdiTiiiixHcrl icfif (iliirk
g-i^-^jr-N
^ M^IJ J'JvJ-'-^
_ ntis ail sfliKirs caiii pa _
liliiik iiiis mit siissini Hlick.
Au St'ilJ dn'iCKDp;! _
Wilder iiiix l.ifhfs (U'ûck
%' ,rnr^^ i F=^iJ
OTIOS, Al_ nrisaii sein div; cam pa _
llliick lins mit niisxfm Hlir k.
1 sein (les campa _
/(/ Kiiaitrrl.irhe (iliirk
^^r r- F r-^ j ' ;^ i^^s
_ ons au sein fies cam pa _
liliiik vus mit sii.isetii Hliik .
Au sein des campa\\ii(trriiiis(iiTl.ie6t' i.liirk.
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DIVERTISSEMENT
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DIE VORIGEN
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SCENE III.
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S;iiii_son! iiiiiis 1)11- Noii-- a.Mcloi
Sffiii _ s'.H. /"vs" »;is ///" Lu nul Pir!
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Sum SI, Il
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/;/» l.,,i mil fl,r'
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/.«>v nil-li-l«. ,lir Srliii _ II,
'217
i f-^ljn^^^^=V=^ ^. k I r =y=y:\i_(Jf la Clin poiiris <'l - lr<ii: Li _ m'cs _ sc dis, m _ yi- ia |ifi
/'-,, sr ,/,, Unilihri, hnl _,1r /.icr! dri »'in n iid ,1 ir Am/'/ ilirdrr ,,,
h t ^j-j j J ; p^4^^^^ r r7iTTr'l R
Vi_(lc la ciiii-ptsans t'l'_ IVoi: Li_ vn;.
Pnisr (Irr »mlrhrii hui (Ir Zirr' dir Ifrlii
M' (11^ . M _ pc la |ici
rird dir Arf/ft iiicdrr t/r
^ •';i.J'i'J'r7^J';r rTTTTT^^-^^^Vi. dl' la coii-pesaiis ei'_ iVoi: . I^i . vi-cs _ sc dis- si _ pc la |)c
Pnisr drr tladrhrn hiLdr Xirr' drr If./ii „inidir/traß irirdrrijr
*k rf-^rrrFrf rrr.r f f^ir Kr i-i
lai-iic! M.dc la c(»ii-pç sans cr_ IVoi: Li _ vrcs . sc dis ^ si _ pela pci
!,-_ lim' l'rrisr drr Vildclimliid-dr Zirr! drr Ißrli, iiirdiln/fniß virdrrgr
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C Aiidanlino. ( X" = J SAMSON.di li;i|-( )(//'/ Sri/
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"^'"•^'i 7m// :,( Snw>-'.ii. cm. Trinksvlmh- ii, ,1. i ll.ui.l'
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IIsa lu _ rciir!
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-s*-Tii Ile nous fais pas [kmu'.
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•—5»-
Dans la i'aj;e im_ puis .
\ir_siii/i \ mil liri _ iiiy
Wf^ 7 r 1^ i^s-
Tu ne nous Inis pas priii'!
Diiii \nii liiit kci IH Viichl! ; K
;gf- y" h ' f-^-ti_san_le, banisoii, fu ny vois pas!
Hn.ihel Sniiixt'ii. Iiiisihr<rk>liiris niilit
- ^ött-
I^t=^ -^v-fr N N 4
* ^
Samson, In nv vois pas! ,•' ' (lu,
Sni)i<!,)}i. Ilii ^i/inrkst mis iiiChl
T-^fici'n <;<if/, /(.'Vf fiiVA
:it^^^ ^^£~v—;.r 5^. ^V^
^5*
_san_{t', Saiiis<ni, (11 nv vois pas! Tu nv vois pas! Prends ^ai_f^'' a les
Kn_i7)r' Sniiisiiii. Iliisi hniksi uns iiiil'l. Un stlitYikf:/ uns itiviitf Hein Call^ iï'i'vt Hiili
nein r.t<it,irl,\irt liirh
-• *
—
»-
Ah! ail!
hn' fin!
^ * ^ * =^5^ 5 ^ -0-
Tu u\ VOIS pas! Prends ^ar_ (II' à les
1)11 silirirkst uns nirht! min (.'nf/, hiirt liii h
^^;^^=i^^ sfti=Ä
^^ff^
231
r^fO-Ö«-^
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^ j '1' ^mTu n'y vois pas! Prends garde a les pas! Samson,lu n y vois
l\ii sihreckst tins nicht, I>ein Cott, hhrt nkh tiiclit! Snni.sonjni srfirerkstuns
î^l
aJ{-^
Tu n'y vois
f)H srfirefkst uns
pas! Prends f;ar(le à les
nicht. Dein l'-ott. hört flieh
ü—^ -! * T g=
i)as! Samson! Sain_son!
tiicht' snwsD/i' Snm _ snn!
Tu n y vois
Uli schreckst uns
^^.pas!
nicht!
Samson! S,im_son!
Somson! Saw-Siin!
-r-rr^
m
|ias!
niehl
Sani_s()n!
snin _ si'w.
Sani _ son, Tu n'y vois pas!
.SI»« _ son, im schreckst uns nirht!
,.n^ ^^^^^^=î mm » t * * ^-^ '*
nicht!
Sam. son, Tu n'y vois pas!
Snm _ son, lui schreckst uns nicht!
Sam _ son! Saui
Sfim_ snn Sn/n
-^ö,lL
=F^=^^=^
pas! Pi'ends «jaitle à (es pas!
nicht! Pein Colt hört Dich nicht
rf-T, =r=^Saui-son, Tu n'y vois
Snni_so>i, Im sehreeèist uns
Tu n'y vois pas! Piends ^aide à ff
/)// sehreekst uns nicht! Drin r.ott' h'^Wt Dich
Coli! 8-^m
2.s2
Jt=^^^
Tu ny vois pas! Prends ;^;irde a (es |>as, l'ien(lsf;;ir(le ;i (es
1)11 sihrrikil mis nùhtl liiiii (.'<)// hört ln'rh iiirlit, Ihitt Cott hört Dith
-'-'. ^ J> ' --^ m s
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_S(>n,Tu n y vois [i;isl S:iin_sün! S;ims</n! S;im_ son! Prends j;;irdeH les
_snn,liiischreckstmis nicht. sain ^ sorti Sniimwl Sniii . »on, iirhi i:ntt hört' liith
ä< , s , »r -»^
p;is! S;itnsoii, lu n'y vois p.is, Tu ny ^ois pus, Prends gjirdr ;i
niiht, SniniiO)! Oiurhrfiki^tiiiis nicht Im sr/n eckst uns nicht l>r>n Hiitt hört
les
fUTr:j::^ -^r^r--7^-r
p;is!Tu n y vois pas, (u n'y vois pas. Sanison!
nicht, lin schreckst lins niclitjln schrrckst uns niiht! Snmson!
Sam_S(,n, l*iends parde ?t (es
Snni- son. Hein iintt hört Hich
ginmcoirs"-
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=F=^pas! Sa co.lère est plaisan.le !
nicht] KnnnlHch nicht sehend ninchcn!
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Hn! hn! hnl hn\ hn\ hnl hn\ hn\
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' \0 0'Ah! ah! ah! ah! ah! ah! ah! ah!
Hn\ hn\ hnl hnl hn' hnl hnl hnl
|)as! Sa co-lèreesl plaisan.le!
nieht Ihnnnliiehnicht sehend tnnchcn!
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Sa io_lèi"e est plaisan.le! Ah! ah! ah! ah!
Kann liich nicht seihend mnclicnl Hnl ha l hnl hnl
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/(ij /nss i/«s yVi _ erii den Tm;,
Qui fonl (rem.bler .Ié_hi)vnh d;iiis les
Wo I)nr)flii^s yinch( Jr_lin_rn iiii _ tfv _
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-l^G''!»:-^?:^ Ê Ecieuxl Du grand Da _ gon coii.suLton« les aus _ ni _ ces;
./ni;.' VMy VII _ vrj' f.'orf sfcf.« tiei _stnnd v<r . Zci _ liiii\.
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Arj> ^ Op _ fer zu nei _
234
IIhIIUi <-I If »;i;iii(l Pi-r-tit- >f (liii'^fiil >tM>
ia (iililf il''- sacnrico, >ui- la(|iielle se li-i)ii-
Miit les lOiipes ^aciei's . Un fi-ii iiiùlc sur
ra.it<-l (|Hi .-t i.riH- (!.• fh'ins. Ha! lia el li'
(ivaiid l'irrlif, ()irii:wil les coiipi's^ f'oiil iiiif li-
balioii Hiir \r feu sacie (jiM ^'aclivi' puis
()i>|taiaîl, |i(iiii' ii'|iara!lie au 3'(i)ii|jK'l (If I Ui-
xicaliiïii.
Saiiisdii fsl rfsif au luilifu «If la >ifiif.
avant |ii-fN (If lui iVutaiil (pii If coiuluil; il
fsl ac.al)lf \):iv la diuilfur fl sfinlilf (uiff.
It(ilil" iiiiil (tif (i/iiT/inc.s(cr irviiden silli (icifni rifn
();// '|/^^•, /'(Steigen seine Stufen^ und eri\reij\ii^
die/ieiliii' Il (.(/(Vam._ \iif' diin^ inti filiirnen ge _
schniiUktfii Altne, viird ein opj'erj'cuer entz'iindei
.
liiilUii und der Dlierprtesler yiessen mis dru /iri_
tiil<n ili-fiisseii rniiikiipfev in die h'lnniiih\ in lihe
niij'loderl. dnpn nieder lersehwindel ^ nlur hei
dir dritten Strophe des Dpfergesiiiiges lu» h eni_
pur siiiliif]!
Sninson steht m dir \title der Seene einsam
mit seinem hniilien. \om Sihmer: tief ijehenip.
sehiint er un Ce/ut nesnnken.
GIdll'f H I);i _
II
I
DnCl _ ifon sei
fe; M^fe^Gtoi.
Un
M.
il I);i _ f^dii v;iiiK|iieur!
;.i// su Innifi nehrneht. lin
r. I);,
fiï^ ^.jjon >;iin.(|iii-iii! (île
liiiiik ijeliriitiil. Ihi
;i Da . j;i>n vam.inifiir!ipui sei Imnk gehrneht
,>'iJ- vci^ iai^t 7r^ i(t^ siûJ iKd viU. ii' djL2.s5
.guii \;iin_(|iic'iii!
\uink çifhrnrht.
^ fei
Il ;ii _ (l;ul m;i l.n . ItJt-s
/'(•)• iin'i'li ijnh ^ ffi'i i-r _ vn'ilit _
(zaif /fU'i
ll)s|)| _
'/Il f/nii
r=r= / ' '^^ -y-iht=tl
Il ;ii _<I.Ml t:i ÏM . LIhs
/),/• flieh ytiH _ flifj cf _ rrrihU
se, Iiis|)i _ r;ml a ((jiMdiii- Kl l.i
te /.Il dnn WnkztvQ srùivr >hiilil .('ml mit
§[2, fc
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ils |;i U-ne où nous soin _ mes, Que (od es .prit
S4mr^ u Ici^d. ^t nitituux 04.1- osiiù âc\^,
soil A _vec
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üdiii _ uii's, Que Ion es _ pril
tiiu _ gni Ih's _ sin Ui' _ luit
soll ;i_\e(' nous, ui.iî _ he ili
W _ /('.. . !• _ Ail//. \l'o//s< 1/»» _ rf/fl
^.^
nous, ni.iî _ tiv des ilinix et di's honi _ niesl
huit: Wollst (iii'ii _ riif\ zii ii'is jit:iiii,hnii _ lynl
mM:u' _ (|iit' (I ni) si _ i;iieNos
Sic<j _ iir liiii \\t'iii>.li'ik.>ni(l
^ ^Q! 11^43 ! P --"1
f- -0- -0- -0- -JT^M;ii- _ que (I un si _ fineNos
h h I h ^Miir - (jue d un si _ j^neNos
Sfiij _ III' liiii \\ehixl<iik,iiiiri^=^ ^=T-M;u* _ (jue d un si _ f;neNos
Sirq - »«' din \ Vriiislti k^initi
2:i:
l.iiij;s lroiU)eaiix;Mii_ris l;i vigoeSur nos coteaux; Rends à l;i plai.iie
un _ srr hcld, liie Hcer ^ (h- aregin^dni Hn- _i. ii m, Idl; linss stets .ics Fricdni's
^ -0- -9- -é-S- \j
^l.iiH's trou|ieaux;Mù.ris la vigneSur oos coteaux; Kciids a la |ilai_n<
jiti - ser Ftlrl liir Hier- tie .sii;in>;àrn Hir _ ! » >"> Zilt,- Imas siét.s des Frirdrnf
lon<ïs (roiipeaiix;Mri.ris la \ij^QeSur nos coleaiix; Rends à la plaLne
vil _ sirirld, lue Heer^ dr '«•rgin; di n Itiv .Irii im /fil. Iinxs stets des Frifdeih
^'^7Tl(in;;s troiipeaux;Mù-ris la vigueSuv nos - coteaux; Rends à la plaLne
lin _ sa-yAd, nie Heer, de seegiiejirn Hiv .Im im Mt; Dnss stets des Friedens
./4S».-t^
^^^\ \
\ —r-j- -*-*-^
No - lie moisson Que, dans sa hai . ne. Biù.la Sam _ son!
Sein _ lie lins seheint, Sehir _ nie dein Volk, Herr, leir je. dem Feind'.
m ^^ 11_ iJlNo _ tre moisson Que, dans sa hai _ ne. Bru. la Sam _ son!
son . ne uns seheint. Sehir. nie dein Volk, Herf. ror je. dem Feind'.
r nît^ r^g"
5 lEÎ^ ^ jL *
No - tie moisson Que, ilans sa hai _ ne, Bnî.la Sam .son'.
son _ ni- mis seheint . Sehir. me deinVnIk. Herr, vor je.dein Feind]
^0?
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* * r
VNo _ tre moisson Que, dans sa hai _ ne,Bnj_la Sam _ son'.
Son _ ne vns seheint, seliir. me dein Volk, Herr vor je. dem Feind'
> 0^ I . ,
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Pou_v:inl seuls c(iiilein|iler (a fa _ ce, Monlre I ave _
vi'iyjst ritr / ii _ kiiiift Du of^fen . hn _ ri:n, l.ns_se deinenRhrk
4^ ^ â.^^maU'- ^(le les |irc_lres di _ vins,
Pries _ ter liei _ U . qem Hlick
}'ou_vanl seuls fonlem|>ler la
M'iigst die 7.n _ hwft du of - feti
lÄl&&^-T-^- r i^Ä^i* ^^--L^: F^>=^
•240 1% ':^mù'dias Vaa ^d^ seynf'^ftdr^d^I'Mf <^^<^'^ «ncl
mginii
TTFT:ai
(hoAiixrfi{;irds(les ;iii
reii hundeinins^n s Vot
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krx (.r .
LL^h^^î^ÈÇa _ (•«, Miinlif I ;ive _ iiir (|ui se cm _ clie Aux if^jirdsdfs aulivshii.
./'(/ _ lin l.iis\i' liiiiiiii gtiiii - l'i _ ;;i7* Sdiiiii - rrii K'iiiiitfii iiiis_Vi:\ Vol - kcs lU:.
lÎ^^ ^te~jp
mîÇ^£! m^^ ^^m-tti-é-^
F#^fiUü
;^_ mains l
schick!
.iiuiin'il
xchickl
V4^rj J I J J J^
Dieu, Suis prü_|)ice A nos
fiH<<, sei mis gtiii -dig für
(lt's_linsl vQue [» jus _ tif
i/wf* /'''/ Im l'ei _ «('» Sehnt:
! ^- l# ^^
Dieu, Sdis |iro_|ii(e A nos des_tiiis! Que t;i jus _ lice
i.ntt
,
sei lins gii'n ^ diq für und für! Im llci _ «cw S(hiil:
^^^^ i J. JMJ iXr-Dien, sois pro_pice À nos
lù>n, sei vns qn'ii^dig für'
fles_liiis! Que (.i jus _ lice
tind für! Cm llci _ nen Sehnt:
âîftU^ =»=f==t=
Dieu, sois |)ro_pice A nos
Ci'tl, sei MIS gnii _ di'j für
iles_tins! Que t;i jus _ tice
lind f'iir! Im liei ^ nen Sehnt:
^attetete
241
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J ^ 52..
Aux Phi_lisJins
^/i7( // irir :ii Un-
Don _ ne l;i f;l()j_'i''
Ham - si'ii (jnfixt Ihi ml);iiis les coiiiliils;
ir_ rc Mirelit:
^5^tAux Phi_lis_tins
Hih n irir :n Dirl
Don _ ne lu j^lui-ie D;ins les roinliafs;
.SffW _ snii flohst l>ii in tiii _ »>"_ rv Vniht;
m -tr-fr -*—#-
=ftrîC :t=tAux l*hi_iisJins
Flvh'n nir zu liirl
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Sam _ «n» t/r/ftsf /)m i«
les (oinhHls;
se- rr ^nrht:
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Aux Plii_lisjins Don _ ne la j^loiJie Dans les conihals;
Flih'n ivir zu Dir! Savi _ sou gabst nu, in un _ se_re^niht;
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re Su) _ ve nos iiasl
(fnnz /il Fnll gr _ hrniht!
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re Sui _ \e nos pas!
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Qu<- la \i(_lüi _ re Sui _ ve nus pas!
Hiist Is^ m _ el gnnz 7.h Fnll gr _ hrnrht]
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^"^on se re_veè _ If!
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Diufjon se re_M' _ le!
Mii^(Ii<ii stiitit liiiiiii: _ (/()•
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h'Iiiiiiiiit ii^liiiljini riji- ^ _ (iii
La tl.iiniiii' luiin
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Sur iHu.t.'i Re_Hr'( /) cm /'(IC, '«"/"vi
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f^%<^T} VfI);i^on se re-Ve _ le!
Iln.fjo/istiiql lirniir _ Hir!
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l),ij;on se i'e_ve _ le!
lin^qoH itcigt Inriiic _ (irr
La li.imme nouvel _ le
Fhmimcnjodern nw^^ der-^^le^ .siisMn itou Qir
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\0^La flamme nouvel _ le
llnmmcn liuinii rur___ der
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Hot h em _ yov Auf hei _ //_ tjer
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hlninmeii /nrlrni irie
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a- migtstin o/ir Des \ol_k,shiisscwGibf - te! Un _. gaii's UmJiU Sr
mC'.sl I.-
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bûir sich hiur'nli _ nii. Ihm sii nmik i/id Eh/,-' ,lnr - qc
^E -rf-r-rfG''(^ E
dieu
Miuhl
Qui par
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sa pré_ sen _ ce M.jufre sa puis_ sauce Eu ce
sic/» Ac _ Drt/i _ rni , Ihm sn liniik und Ehr' ilnr _ qc _
ft^51 aLj^jLSe ^â^^'?-*
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_ Innrht!
Cîs( If (lieu Qui [p.ir sa pré_sfii _ ce Monlin sa |iiiis_
.Si Af hitr »iiA hf^irn/i- nii. Ihm sfi Itntik und
C'ejit le dieu Qui |iar sa pieLseii _ ce Minitrc sa |iiir-i-
l>o _ g'>n's Miiibt Si-ht fiirr si<-h hf -nnh_ nii, Ihm <ci Dnukinid
Cest If (lien Qui par sa pre-seii _ ce Moni re sa puis.
Iiii _ (ji'ii's Mnclil Siht hier si<h hf ^ irn/i- rni, Ihw si'i l^nkiinä
C'est le «lieu Qui par »-a pie'sell - i e Mim_lie s.i [mis
lin - qi'ii's ^(uht Siht hiiv .viVA hr-inili _ nii, Ihm s< i Dn'ik iinrl
^-3 *«.
—
i—124H
-ö-
_ sance En re lieu.
Ehi-' dnr _ </( _ brniht!
t&«-
-JSHtiie
Klir'
En,1„r
ce lieu,
fli" _ In-iuht'.
t yg-^sauce En ce lieu.
t"Ar' (frt»' _ fl('_ hrncht!
LK C' PRfcTHf-. fil S;i.ns.)MV
OHh-.m'HIESTrR ':,, Snmsnii).
^ O.S.
'rr • p ^ »=FFf E^ ^Ö£
l'niir (iiie le sort
fi// viisn-n SiV(/
soi! fa_vo_ra_bfi-, ALIoiis, S.un _ son,
irwr _ f'ig :ii kro^nen, Hir-hri, Sniii _ snii,
'dii3^ ff^T7^ß-J^
viens avec nous
,
A Da _ fjon , le ditMi redoiLta _ 1)1«^
hii r :iim Al^lnr! Vnr t'u _ q'>" ktiii ' vif _ fiiv hii stnii _ //c.
ï^^
i5()
OLfiii" l^<^ <oii|)t' ;i tli'ux j;e _ iidiix!
Hriiig iinserm Hotl liti Op^Jif ilar:
(), IVnfiiiit).
(:inii Kunhfv).[
Mnesloso. Quiisi Heci(;iti\o.C7fi-J).
"j{»~> Ht- y F f n IT f-^=lE(îiiLdez ses pas ^e^s le milieu du tfiii _ ^tU'^ Pour que de
h'iihr' ihn :it inii^, Cr- M - le .v<i_nc Srhrit - ti\ Al _ /<;/ :>;»
loin le |)eu|ile le (on. lem _ pie
Srhnii, hiiT in dis Tniipil'x M\t _ te.malin espirxiiro.
Seigneur, ins _ |)i_re-nioi,
O^ Hrrrl Dir Hliiii _ de i.v< fin,
ne iiinbiio-don - ne
iSiir jffzt nr. /rt\.«' wiih
(à IViifaiil)
(zum hiinhtit)
ad tih.
251
(LViih'iil <'<>ii(Miil Sîiiiixiii
AU" iiiod'" f^lh-r Hiinbc /aht Sniiisnii
jjiisl Vers 1rs piliers Heiiuirbre, Euliml, guide mes pHsI
MiVAf.' Fiilir tmch zum Snïilin fnnr, *1tiii hiiid, fiirchtr lUrli nicht!^^vm^
Cllllt' Ihs (Ii'IIX (nlifis.)
:iri<i(hiii dir Inidni Vnrnifirsniilrn .)
ûJÜAL» !» ß ß »y
'
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iM
pM^oi) se |-e_ve _ le,
liiiqi'inlivilhiriiir _ der,
f'm 1^
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Diifion sei-e_ve _ le,
liriqiinstfiglhiTinc - dir.
ftrTTiv? h h ^1 ^J^ * ^ * ^i
D;i^on se re'_ve _ le,
Oaçionsteiqlhn-nif _ rfcr.
Lüllimime nou\el _ le
Hiiiiiiiun Indrrii irii' _ «/iT,
-»-n»rTT~i^
Diifjnnse re-ve - le
fin(]nnslritp himir _ rfr'
Liif'Iaiiiiiie nouvel _ le
Flniiiiiini liidrrn nie _ drr
-^^ i ^ .A^-^ '^f—1 » *5=^-" ß ^ m
p'î Ç ^'^''' ^ ^^
La('!.iiiiiri»'n(iii\fl _ If
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Siii' liiuU'J Re _ naît (fc la cell- «Ire,
Hdch l'iii-fjoi- A'if hil _ li - gtr Stiit _ li!
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Lariamiiieiiointl _ le
thitiiiitii Indrrn irie _ der
Sur i autel He _ nait «le la «en.die,
Hiuh rw/_/)<)r Auf hti _ li ^ grr Sttit - til
. ^^^^^tSur lliu _ tel Re _ oail de la cei)_«lie,
Hcih rm _ ^or Auf hei _ li^grf SInt _ t<!
I ^m *^—0-
Sur lau _ (el Re _ na^t «!•• la ceu-«ire,
Hoih un - por Auf hii _ li^gir stht - tr!
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* Z-* *-:
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T!^t-i i^ ^ -i-#-
Sur l'.iulcl Re _ liait «le la cen-dre; C'est I«' dit'U Qui
Hi'c/i fwpor Auf hii_ li - gir Slht - tr! Un _ ynii's Mnthl Sr/i!
'-^ ^Ç^:3t=-
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Surl'iiitel Re _ nail de la «eu-dre, C'est If dieu
Hri/innii"!- \iif lui ^ li - g"' >^tnt - tr'. thi _ goi/'s Mnchi
^^ M 7 f ' ' 'J
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de la ceii-dre; Ces=T=
ÄSur l'ai _ tel Ke _ n.iil de la cen-dre; C'est le dieu
Hiuh lin _ por iiif hii - li-yrr Stnl ^ te! Im _ (/oii's Mncht
: Ï0 w -
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-^ » » W . VM-• P- m -a#
Qui
^YK-f- ^ ^r=ir^ I
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Sur Tau _ tel Re - naît de la «en-dre; C'est le dieu
Hflih rm - por Auf lui _ /i ^ i/rr Stnt - le! lin _ ijoii\ Mnrht
un.
p;ii' sa piv'st'n _ ce Mon _ he sa |)uis _ sauce
hiir siih hvnäh _ '•en, Ihm sri Dank iiiirl t'.hr'
Eji ce
dnr _ gr
|)ai- sa|ii-t'sen _ ce Mon _ Ire sa puis _ saiice En ce
/lier .vJr/( hiir'ii/i _ r/'n, Ihm sei Dank iniil Khv' dnr _ gn
par sa pie'sen _ ce Mon _ (l'e «a puis _ sauce En c
/)((( xiih l'iivàli _ IV7' //'"' S'i Oniik und Ehr' <lar _ gc
00 f f —T*
par sa pre'sen _ ce Mon. de sa puis _ saufe En ce
h\ir sich hurnh _ rcii Ihm sei Dank und Ehr' dnr _ <//
'254
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Jfsiiinirv^Dieu, sois |)io_ |iii f
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Dk'u , <<>is |iro_ jjice
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Dieu, sols |H'o_i)i(e
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DiVu, sois |>io_ (lice A nos (lesJiiis!
tin_giiti, ti<'f' mis!
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A nos destins!
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Q'iie (;i jus_li(e AuxSif-giir Dein Volk, H/rih,
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lis_ (ins
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A nos dfsdiis! Que (a jus _ lue Ai
lla^gnii, li'or' uns! Sic^giir llmi \nlk, filr.h.
l'hl
Hrn-.
lis_ tins
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'255
If83
DoD-iie la fi loi
Hinhxfn- tin- lirt
le Dans Its couibals!
tiT, Cirh uns strts Sirfl!
t ^ i r r
I)i)n_iie la ^i'ii - re I);ins les (oiiihats!
HÎ'chstfr der Ui'it _ ter, i:iih tnis strts Siiç/!
%~W—W^r ^^^" " l^ \' ^ ^ =7=
Duruiie la ^joi _ re Dans It-s couiljals! Que la vii_(oi _ re
Hihhit<T itiy <;',,t _ /<;; 6'irV( hhs i/i7.< Sieg! Tihi' viis'_ iv fein _ de,
?'^ y F r ^c:E i^^ £î
D()n_n»' la glol - n» Dans It-s comlials! Qui:' la \ic_ (oi _ re
Hiichster dey Cht _ te<\ lUih uns stets Sieg! Tilg' uiisL. re Fem _ de
Qw ia ^ le _ loi _ iv Siii.vt- n<is pas!
Tifq' iirix'^ re f'iiii _ de, Hi tr nir fl.h'ii liieh'
LiJ^
T ^'!^' £=£
^»=1*-#—#—#-
Que l;i \ ic _ toi
Tilç^ w»s'_ re Feiu
mle Sni_ve nos pas!
de, Herr n'ir fleh'n nie,','
au5i^
Sni_ve nos pas!
Herr trie fleh'ii Dieh'
\m^^^Sni_ve n<is pas!
Herr, n-ir fhh'n liieh
& *
i.08
I F=^J).'_\;tnt (ui d'Is_ia _
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SE45?? PD'_V,iMt loi tl"I<_l;i .
Vnd Jr_ho-ra blieb
•^ TV . . I t » •!¥* *. I 1* I
De_vant (oi d'Is-ra _ el I)is_p;traîl l'iiuso _ Icii.ce!
/.« _ rn_el nnrd diircli hieb !\iin fin' ininicr ;;/• . s(hln_qrn
9^.^^^=^f'F
'rrTnrrTTin^ ^^D('_vanl loi (l'Is_i:i _ il Dis _ pacaît l'iii_so _ lfn_(H!
/s _ rn_el nnrtl Hin-cli lli(h yini fur iiiniur ijr - scliln-ipn
W^ * * !•.
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_ fl I)is_ |ial"n( rill- so _ Itii
tniih Al _ ti't) Hil-tcn nnd hin
èA-tt ii_ K N K
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_ tl Dis_[iai;ul l'in _ so _ l*"n
tntih Al _ Ifii Rit-leti iivd hin
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Nos hras guidf's
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rPar loti «'S-prit,
lh:iik l'ir, /ln_fjnii!
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Nus hras guides
lui (^iiliit uns Sir;},
Par Ion ps_|)ril,
linnk Dir, l)n_qnnl
X?.
Oll |);ir (es <h;irmes, Oiit v^nncu ce |)hii _ ple iii;iu_di(,_
ipe dit h vcr.Äfch-tni , StyiiJ^lnt vi'c, J,- ^ hn - in zum Hohn,
-^ \ * f *^=^ ^ *3#
7 i^ • T=y- i \ y
Oll |j;ir les cluirmes, Oiit viiiiicu ee [itni _ [il-' iikiii _ <lil.
Aii' ilirh tn-_fTfh_tni, strnj'-li'.tt sir, .Ir _ ho - vn ziiiii Hnlin,^^p--a '' y ^ V / ^^ ¥=^ * -, -0--
Ou |):ii' tes rh;i|-mes,
ti\e dich ri'r_ richjrn,
^m
Onl vaincu ce [if-ii _ |)le niau _ (lil,_
straf, trst Mr^ .h _ ho - rn zfini Hi'hu,
^.^l^t^^Olli vaiiK II ce
Slnif- li'üt siV, ./, _
«58
mAh!_
Ah!
t^^t=-Y.r-^:\'^X'' r"^ f^
Ont v;iin_(ii ( < |uii|ili' ni;iii(lit liiii_v;iiit t;i ( o _ Km»
Stiiit'_ tr\t sic, Jf - ho -1(1 :ntii Hohil, Kir lu ui Yacht -(je _ Im/
&^ PP^gjf_4 ä ^îf^Ont v;iin_ru lo |)tii|i!t' iiuiikM Ri;i_\;inf l.i co _ itTf
.sM<i/"_ tist aie, Je _ hn^va znaiHohli^ lue Ihm Mnclil^çic _ hn(
!««,î'. P=^' pii^ ;^E^5=^^
Oui vaincu ce [iciiple maudit Bia_vanl (a co.
Slynf _ test .vie, ^c _ ho-Vn zinit Hi'hii, Hic Hein Vachl^nr-
pfimlf mauciif , Ont vainni ce |icn|>lc inandil Hia_\anlla ci».
_ ho-in zum Hi'hii, Stvnf- test xir, -le - ho-vn zitiii H<hii,
lue H, in Mncht-fjc.
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I k =F=î^=î^ :n^iizmes! A nos (Irs _ dus,
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t;un-riuf mi «h.v,
I'l<-ll,sois |i|-(> _
Hilf, liir II ml
3t=T T-1^ ' ^ p P T' M — ^ i^ 4^=i
mes! A nos (les _ (ins, I)iVii,sois pro _
te»] diin^ii] ^ri mis, Herr tii' inid
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^^'K-f-r~'ç iT^r fT^"rr~rir t ^ r
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^' 'rj/ p I K^ ' n^ ^^ ^^ 5E^picelQueta jus _ lice AiixPhlIis _ (lus Dnns les <:om_ bals
fiir, Im lii'iiiiii Sriiiit: H,h'iinir:ii Dir! Smnso/i qnhst Un In uns' _ re
th Mwjv.jMj'>i,;;'j'i„;.j ;j uj j^
_ pice.'Que (a jus _ lice AuxPhilis- lins Don _ ne la
ßh; Im Deinen Sthnl: F!eh)inir :u Ihr! Herr! Samson
g loi _ le Dans
gnhst nu gnnz in
fe=t ^f^:ez :?=
|jice!Que (a jus_ ti(e AuxPliilis - tins Don _ ne la eloi _ re Dar
fiir, Cm lifiiicii Schilt: h lihhnir :ii Dir! Hiii! Snmsivt qnh\t Dn {l'^ii: '"
»^./TTc^pr^^m^n^T rr— i rr rrpice.'Que la jus _ lice AnxPhiiis _ lins Don _ lU' la jiloi _ re Dans
J]n\ Im Deinen Sehnt: Flehhinr :ii Dir! Herr! Samsnn grihut [In gnnz in
r ^^•
^4 tt a». * 0~
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262
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Mncht, Hnst (<-rn _ el
Sui \e nos
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Gloire à Da^on!
//n//A- Dir^ ftngnii!
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Gliiiiy il Daoo'n!
Ruhm Dir, UnijOii!
^^_ hrncht
l
^ll^Gloire à Diigon!
Iinnk Ihr, linqoi)!
i.^ af^^m
Gloiie à Ddf^oii!
Kiihin Utr, Pognii!
—l
—
m—^ m—«împasl
hrnrht!
w»:, r -, r
Gloire à Dagon!
flniik nir, Hngniil
Gloire ;i DagOllI
Hiihiii nir, ringnn!
^(>as!
hrnrht!
GKtire à Da^on!
Pnnk llir, f)ngoiil
\^
Giiiire a Dagon!
fliihiii Dir, lingnn!
^m- ÉfeÉfl
'2(^4
{Hnt iiiitiTffessi-n dieSniilen mit siiiirii Ai-mni iwisrfilmi(ii ntiiirf zu rschiillnii t n !iiii /ili.
w €--
Mm^(-i
'a
Dir!
-iU_s^V-
ms^nir!
Air'modemlo (144-*-
2fi6
M * m m m m m m
J I
1^/ '^- * ) ^=Souviens- loi de ton servi_teur
Stnrker llo<'.! <r-liftr_nif llirh itieih'.
ti«7
«^ne [jour- un instant, Sfi_ faneur,
nolti'st mir mir jitit ri'V _ Irth'n
-•i
'^f : r r^
Me ren_dre ma t'oi' _ l'e |iiv
liif Krnft, die Un gnlLilm ennl yi _
f),
ff-5^-
IBin Ifs •' - (ra_
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(I,e (('in|ile s Vri-oiilf :ui milieu dfs cris.l
,-^llirr Ti-iiiiirl sliirtzt ziisntnmen, vntrr dein y^'r/incsc/irfi des
saiit en ce lieu'
Viilk rivm Tod' zu xri'ih'ii!
itn^ dcr^ Ja -^ q^nu '^<j.' ^
268
»^ -r'-T^^^f^'ffrff^y^rrrrrr^ mlLffi'bffi
t^2^"ffi2Ë' tSEs"L.PAKb'NT.GiMv; R.Ro(lier49.
In,,,; ll.i.MpIlv « ( \: s. ÜI1I1S, 51-53
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