Le StephanaisUn labod’avant-gardeSGS Multilab, spécialiste enexpertise chimique, inaugureses locaux au Technopôle duMadrillet.

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Les jardiniersrécompensésLa remise des prix de Fleurir la

ville a lieu vendredi 30 sep-

tembre à la salle festive.

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L’odysséeJules VernePlongez dans la littératured’anticipation scientifique enoctobre à l’occasion de Lire enfête.

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Belle journéedes loisirsRetour en photos sur lamanifestation qui s’est tenue le3 septembre

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Tennis de tableL’ASTT espère vous passionnerpour la petite balle.

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La question du logement devient de plus en plus essentielle pour les personnes âgées et leur famille. Dossier p.7/10

Logement des seniorsl’éventail des solutions

La piscine metl’eau à la bouchePremière ouverture des nouveauxlocaux de la piscine Marcel-Porzou le lundi 19 septembre. Rendez-vousaux scolaires, Sport pour tous et auxclubs. p.2

Bimensuel municipal d’informations locales Saint-Étienne-du-Rouvray du 15 au 29 septembre 2005 n°2

Le Stéphanais2

La piscine Marcel-Porzou reprend progressivement ses activités à partir delundi avec la remise en forme et la piscine réservée aux scolaires, à l’aqua-gym et aux clubs. L’ouverture complète est prévue début 2006.

Michel Rodriguez, maire adjoint et Hervé Réaux, responsable du service des sports, en visite sur le chantier.

Temps fort� Mairie

L’accueil estouvert de 8 h 30 à17 h 30 du lundiau vendredi. Lesamedi de 9 h à12 h Place de laLibération. Tél :02 32 95 83 83.

� Maison du CitoyenHoraires d’ouverture : 8 h 30 - 12 h et 13 h - 17 hLe vendredi fermeture à16 h, le samedi de 9 h à12 h. place Jean-Prévost, 02 32 95 83 60.Maison de la justice etdu droit : 02 32 95 40 43.

� Guide de villeLe Guide de Saint-Etienne-du-Rouvray a été distribué à tous lesStéphanais la semainedernière. Ceuxsouhaitant desexemplairessupplémentaires peuventles trouver chez lesdépositaires (librairies etmarchands de journaux)au prix de 8 €.

� Place de crèche Une place reste vacanteen crèche familiale de lamaison de la petiteenfance Anne-Frank.Renseignements 10, rue Bourvil, 02 35 66 86 10.

Àvo

tre

serv

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L e 19 septem-bre, la nouvellesalle de remiseen forme de la

piscine Marcel-Porzou ouvreau public. Les adhérents deSport pour Tous vont ainsireprendre leurs cours de step, musculation et gymnas-tique. Vous pouvez encorevous y inscrire au trimestre(20 ou 26 € selon l’activité)ou à l’année (50 ou 65 €), mais vous pouvez aussi utili-ser seul, hors cours, mais avecles conseils d’un éducateur,les appareils de musculation.L’accès libre aux appareilscoûte 4,20 € la séance d’essai ou 65 € l’abonnement

annuel, à raison d’une séancepour 1 h 30 par semaine.Dans le même temps, la pis-cine sera accessible aux scolai-res, aux cours d’aquagym deSport pour Tous et aux clubsde plongée et de natation. Enrevanche elle ne sera pasouverte au grand public, carles vestiaires et les douchessont en cours de finition. En attendant la mise en service du nouveau halld’accueil, les inscriptions auxactivités se font à l’entrée pro-visoire, dans la maison du gar-dien. En effet, même si lesconditions d’ouverture nesont pas optimum, la munici-palité a fait le choix de réou-

vrir chaque équipement dèsqu’il est prêt, d’où cet accueiléchelonné. Prochaine étape le 15 octo-bre, date de l’inaugurationdes nouveaux équipements.Le hall d’accueil ouvrira avecsa cafétéria et son espacerelaxation. Le sauna et le ham-mam entreront ensuite en ser-vice ; ils sont conçus comme

des compléments aux activi-tés sportives et sont doncréservés aux adhérents deSport pour Tous, à raison de3 € la séance ou 13 € l’abon-nement de cinq séances. Deséquipements que vous pour-rez tester gratuitement pen-dant le week-end d’inaugura-tion. �

journal municipal d’informations locales.Directeur de la publication : Jérôme GosselinRéalisation : service municipal d’information et de communication 02 32 95 83 83serviceinformation@ser76.comBP 458 – 76806 Saint-Étienne-du-Rouvray CEDEXMise en page : Aurélie MaillyConception : AnatomeInfographie : Daniel Coat, Emilie RevêchonRédaction/photographies : Michel Chaussade,Nicole Ledroit, Dan Lemonnier, Francine Varin,Marie Paire.Photographes : Marie-Héléne Labat, JérômeLallier, Pierre Pytkowicz, HEKA.Distribution : Claude AllainTirage 15 000 exemplairesImprimerie : ETC, 02 35 95 06 00Publicité : Médias & publicité, 01 49 46 29 46

Le Stéphanais

Derniers travaux

Dans le courant du mois de septembre, les travaux se poursui-vent sur les vestiaires de la piscine, pour les rendre plus fonc-tionnels et séparer les circuits « pieds chaussés » et « piedsnus ». Cette deuxième tranche de travaux durera jusqu’à findécembre. La piscine réouvrira toutes ses portes début 2006.Vous pourrez alors passer de la gym au sauna pour finir par unplongeon dans le bassin, sans sortir du bâtiment.

Marcel-Porzou seremet dans le bain

SGS a installé seséprouvettes auM a d r i l l e t .

L’inauguration officielle desnouveaux locaux de ce labora-toire d’avant-garde avait lieu le15 septembre. Un moment-clépour l’entreprise qui a quittéRouen afin de trouver auMadrillet un espace propice àson développement, avec 4 000 m2. « C’est une étape trèsimportante pour nous », sefélicite Yvon Gervaise le direc-teur, « doubler notre capacité

va nous permettre d’augmen-

ter notre activité ». Le labora-toire compte 100 employés –dont 60 ingénieurs – et pré-voit de passer à 150 d’ici quatreans. SGS est leader mondial desexpertises et certificationschimiques. Ses missions ? Larecherche de pesticide dansles produits alimentaires ou deradioactivité dans les produitsagricoles importés, la vérifica-

tion de la biodégradabilité detelle lessive, analyse de la nontoxicité d’un parfum ou duplastique d’un jouet pourenfant… Signe des temps, « SGS a doublé son catalogue

d’essais écotoxicologiques pour

répondre aux besoins d’évaluer

l’impact des produits, des

matériaux et des rejets sur les

écosystèmes. Nous travaillons

aussi à évaluer les interactions

environnement /santé », pré-cise Yvon Gervaise. L’arrivée deSGS vient enrichir leTechnopôle du Madrillet. C’est

en effet la plus grosse entre-prise privée à s’y implanteraprès ETSm, Geisa, Areelis,Degitec et Lifco. Et SGSMultilab complète les labora-toires publics déjà présents etprincipalement dédiés à lamotorisation. �

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SGS Multilab s’est installé sur le Technopôle du Madrillet. Leader mondial de l’expertise chimique, l’entreprise emploie cent personnes.

Dans le laboratoire de chimie organique.

Nouvelaccès auMadrilletLes travaux de finition de larue Newton ont commencéavec le revêtement définitifde la chaussée et la pose del’éclairage public. La rue seralivrée à la circulation à la mi-novembre. La rue Newton vaainsi devenir une porte d’en-trée du Technopôle duMadrillet. Elle sera aussi unevoie d’accès à la forêt.

Le labo se transplante au Technopôle

Le renouvellement urbainconstruit l’insertion

C’est en cours

Le renouvellement urbain au service de l’in-sertion professionnelle. C’est ce que permet-tent les clauses d’insertion de jeunes sans qua-lification proposées par la Ville, à l’occasion duchantier de renouvellement urbain du quartierVerlaine. La MIEF (Maison d’information surl’emploi et la formation) propose à quatre jeu-nes de se former dans le but d’apprendre unmétier puis de décrocher une embauche.

Logiseine et Quille, le gestionnaire et l’entre-prise du chantier ont accepté de jouer le jeu.Une expérience qui a fait ses preuves : deux jeu-nes Stéphanais en ont bénéficié au cours de lapremière tranche de travaux menée sur Verlaine: ils se sont formés aux métiers du bâtiment etont obtenu leur CFP. Les mêmes clauses d’inser-tion ont été mises en place sur le chantier ducentre Déziré avec l’entreprise T2C.

� Recherchesurveillantsde cantineLes restaurantsmunicipauxrecrutent pour

les écoles despersonnes intéresséespar 1 h 35 desurveillance surl’heure du repas.Renseignement au 02 32 95 83 50.

� Permanence de la CCI de RouenGuy Touflet tient unepermanence à Saint-Étienne-du-Rouvray, le7 octobre de 17 h à19 h, au départementdes affaireséconomiques de laVille. Sur rendez-vous :contacter Marie-Claude Roger, à la CCI(02 35 14 37 78),marie-claude.roger@rouen.cci.fr

� Cours de langues• Cours d’anglaisorganisé sous forme dedialogue : mardi aucentre Jean-Prévost(débutants) à 18h15,mercredi (2è année) à17h et 18h15.• Cours d’italien lundiau Chantier Moisan,229, rue de Paris, de 18h30 à 20h.

� Assembléesgénérales• Le comité local de laFnaca se réunira le 20 septembre à 14 h aucentre de loisirs SNCF.• L’association PlaceBlériot tiendra sonassemblée le23 septembre à 19 h,salle festive.

C’est fait

Vit

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Le Stéphanais4

Un jardin fleuri... et habité.

Rendez-vous

Chaque année, la passion estintacte : lesStéphanais par-

ticipent au concours Fleurir laville par défi comme pour lesimple plaisir de réussir unbeau massif ou de nouveauxsemis et contribuer ainsi àaméliorer notre cadre de vie.Verdict le 30 septembre à la

salle festive, à partir de 18 heu-res, où près de 600 famillesstéphanaises se retrouverontpour la remise des prix duconcours.La Ville et les organismesHLM récompenseront leslauréats, avec la participationd’entreprises horticoles. Cettecontribution à l’embellisse-ment de la ville est très bien

dotée : de 160 € pour les pre-miers prix jusqu’à des lots de 8à 10 €, selon le classement.Pour départager les passion-nés de la « main verte », lejury, composé d’un technicienhorticole municipal et d’unreprésentant des associationsde jardins ouvriers, a inspectéchaque participant au mois dejuin. Le rendez-vous, qui

� Les élus dans votrequartierJoachim Moyse,élu délégué à la

Politique de la Ville,tiendra une permanencejeudi 22 septembre de10 h à 12 h, au 15, rueGeorges-Courteline. Pourles habitants du quartierJean-Macé.

� Ligne directeVous pouvez joindre leSSIAD (Service de soinsà domicile) directementà ce numéro : 02 32 95 93 28.

� Grand nettoyageLes 26 et 27 septembresera procédé un grandnettoyage dans le cadrede «Ma ville en propre»dans les rues del’Industrie, Saint-Adrien,Lambert-Lafontaine,Georges-de-Moor, Riesh,Parmentier, Weber etCoumont.

� Nouvellesdirections d’écoles• Écoles maternelles :Kergomard, ÉmiliePerez ; Langevin,Véronique Corroyer ;Curie, MichèlePasdeloup ; Macé, CécileLefrançois ; Duruy,Mauricette Morelle ;Wallon : SabineLetellier ; Robespierre,Christel Corbel. • Écoles élémentaires :Ampère, KristinaSamardzija ; Curie I,Sonia Buquet.

� Foire-à-toutdimanche 2 octobre surle parking Intermarché,avenue Saint-Yon.

Vit

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Jardiniers, récoltezvos lauriers

Plus de 20 000 végétaux plantésGarder la ville verte réclame untravail de toutes les saisons.Pendant l’été, il a fallu faire avec lasécheresse « La pluie n’a

jamais été suffisante, il a

fallu un arrosage plus

continu », explique VincentNeveu du service municipal desEspaces verts. Un arrosage qui ne

rime pas avec gaspillage : « Lemanque d’eau crée des

dépérissements, des bloca-

ges de développement des

plantes et des arbres, et une

moindre résistance aux

maladies. C’est un tout éco-

logique, les végétaux aussi

participent à l’équilibre ».

Ceux-ci ne sont pas tirés d’af-faire : « C’est à l’automne que

se font les réserves des plan-

tes. »

Un gros chantier attend d’ailleursle service à l’automne : les planta-tions du parc de l’Orée du Rouvrayvont débuter en octobre. Ellescomptent pas moins de 13 766

arbustes parmi lesquels genêtsd’Espagne, cotonéasters, charmes,saules, bambous, millepertuis,quelques pruniers des sables, desglycines du Japon… et 7 891 plantesvivaces, principalement des grami-nées : fétuques, inules, roseaux,oenothères et pennisetum pourhabiller les landes et talus.

représente une des plus gran-des manifestations de fleuris-sement sur l’agglomération,accueillera cette année uneexposition de coloquintes etpotirons réalisée par leChouett’Club CPN de Petit-Quevilly. De quoi donner à lasalle festive un petit air cham-pêtre et semer des idées denouvelles plantations… �

Vendredi 30 septembre, 600 familles stéphanaises ont rendez-vous à la salle festive pour les résultats du concours Fleurir la ville.

Capitale de la tulipe

Le 13 avril 2006, la com-mune sera la capitale dela tulipe. Cette manifesta-tion professionnelle deportée nationale seraorganisée au parc Henri-Barbusse. Notre communea été choisie parmi plu-sieurs villes au regard deson implication pour lefleurissement. Unmélange de bulbes serabaptisé du nom de Saint-Étienne-du-Rouvray.

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Le parvis de l’église rénové

En projet

Après les travaux de la rue Gambetta réali-sés en 2004/2005, la ville prévoit de poursui-vre, l’an prochain, l’aménagement du centre villeavec la rénovation du parvis de l’église. Les tra-vaux seront conçus en liaison avec la restructu-ration du centre Georges-Déziré : la ruelle entre

l’église et l’école Pauline-Kergomard sera retra-vaillée pour donner une continuité visuelleentre la rue Gambetta et l’entrée du centreGeorges-Déziré, tout en assurant la sécurisationdes accès au centre et à l’école.

Un coup de jeune sur le centre villeLa rénovation du centre ville continue avec la partie sudde la rue de la République, désormais sécurisée.

Des trottoirs confortables, rue de la République.

C’est fait

L a partie de la rue dela République com-prise entre les rues

Jean-Jaurès et Roger-Salengroa été rendue aux piétons etaux automobilistes après deuxmois de travaux.La diminution de la vitesseétait un des objectifs del’aménagement. Une chausséerétrécie dans sa largeur et unplateau surélevé devantl’école Jean-Jaurès incitent lesautomobilistes à ralentir. Le

secteur est d’ailleurs limité à30 km/h. Ce nouvel agence-ment amène plus de sécuritéet de confort pour les piétonsnombreux sur cette voie, lestrottoirs sont élargis et le sta-tionnement de voitures estclairement matérialisé. Enfin l’accessibilité aux personnes à mobilité réduitea été fortement améliorée surtous les trottoirs et notam-ment à l’arrêt des bus de laTCAR et près du cabinet de

kinésithérapie. L’aspect visuelet la qualité de l’aménagementont été particulièrement soi-gnés dans la continuité de cequi a été fait rue Gambetta :les trottoirs sont en enrobérouge, les places de stationne-ment en béton de couleurclaire. Le mobilier, identique àcelui utilisé rue Gambetta, vaêtre bientôt installé. Le cœurde Saint-Étienne-du-Rouvrayse revitalise peu à peu. u

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Seniors : laquestion clédu logement

La question du logement devient essentielle pourles personnes âgées et leur famille : comment rester chez soi le plus longtemps possible sans se couper des autres ? où trouver des structuresquand on devient moins mobile ? Des questionspour lesquelles la Ville et ses partenaires essaient de construire des réponses. L 'Institut natio-

nal des étudesdémographi-ques l'annon-

çait en mars : l'espérance de vievient de dépasser 80 ans. À cette évolution s'ajoutedepuis 2005 un effet de générations avec le passage à la retraite des enfants dubaby-boom. À Saint-Étienne-du-Rouvray, comme ailleurs, ce « papy-boom » pose, entreautres, la question du bien vieil-lir dans son logement.

Logement individuel pour lespropriétaires – plus de la moitié des personnes âgéesstéphanaises – qui doivent faire face à l'entretien courantde la maison et du jardin, voireà des travaux d'aménagement.Logement collectif dont lataille doit être adaptée et l'ac-cès facilité, ou habitat spéciale-ment conçu pour les personnesdépendantes, voire structuresmédicalisées… Dans tous lescas, c'est aujourd'hui qu'il fautréfléchir pour proposer

Dossier

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Le Stéphanais8

demain les solutions dont nosaînés auront besoin. Le secteurmarchand a déjà anticipé cetteévolution en proposant deslogements à prix d'or.De son côté, la Ville s'estemparée de la question dansla logique d'une politique dyna-mique de solidarité. Elle a solli-cité dès 2002 l'Observatoirerégional de la santé pour menerune enquête sur les conditionsde vie des plus de 65 ans. « L'enquête a révélé que beau-

coup de Stéphanais sont en

attente de placement dans des

structures médicalisées »,explique Christine Raillot, res-ponsable de l'habitat et dessites d'hébergement pour per-sonnes âgées. « Quant à ceux

dont le logement n'est plus

adapté à leur perte d'autono-

mie mais qui n'ont pas pour

autant besoin d'une résidence

médicalisée, ils font des

demandes à la résidence

Croizat faute de pouvoir rester

chez eux. » Face au problème, un comitéde pilotage a vu le jour : il réu-nit trois à quatre fois par anélus, responsables administra-tifs, professions médicales,partenaires de la Ville pour

élaborer les projets. Avec unephilosophie que résumeSandrine Da Cunha Leal, res-ponsable des affaires sociales :d'une part « Lutter contre l'iso-

lement et conserver l'autono-

mie et la sociabilité des per-

sonnes en organisant les servi-

ces à domicile nécessaires » et

d'autre part « se mettre à la

place des personnes pour ima-

giner un parcours résidentiel

qui réponde à tous les besoins

de l'autonomie complète en

HLM à la grande dépendance

en structure médicalisée. » « L'adaptation du logement est

un problème fréquent et il n'est

pas facile de trouver une solu-

tion pour que les personnes

restent chez elles. La réflexion

menée par la ville sur la ques-

tion est très encourageante »estime Fabienne Martin, coordi-natrice du centre local d’infor-mation et de coordination pourles personnes âgées (Clic).

Au restaurant du foyer Bourdon.À mon avis

Le logement est un souciprioritaire des familles etle logement des personnesâgées une question toutparticulièrement sensible. A S a i n t - É t i e n n e - d u -Rouvray tout un travailest en cours qui conjuguele développement de ser-vices de maintien à domi-cile et la réalisation delogements et d’établisse-ments adaptés. Très pro-chainement la construc-tion d’une résidence évolutive au Madrillet etun service de transportpour les personnes àmobilité réduite vonttémoigner de cette politi-que municipale. Nousallons aussi déposer undossier de réalisation d ’ É t a b l i s s e m e n td’Hébergementpour PersonnesA g é e sD é p e n d a n t e s(EHPAD) auprès

des autorités sanitaires etsociales. Pour accélérercette indispensable actionpublique, il convient d’ob-tenir une augmentationsans précédent des créditsd’État qui, seuls, permet-tent de faire fonctionnerces services et ces établis-sements de plus en plusspécialisés. Des maisonsde retraite de qualité,comme des crèches et deslogements locatifs, voilà lapriorité d’une politiquenationale que pourraientfinancer des impôts plusjustes, prélevant davan-tage d’argent sur les pro-fits financiers et les grossesfortunes. Ce n’est pas lechemin pris par le gouver-nement de droiteVillepin/Sarkozy.

Hubert WulfrancMaire,C o n s e i l l e rGénéral

Un souci prioritaire

Francine Goyer, élue déléguée à l’action en directiondes personnes âgéesNous développons beaucoup d'actions et de services pouréviter que les personnes âgées ne s'isolent, une réactionmalheureusement très fréquente et dramatique. En plusdes goûters, du voyage annuel, des repas à thèmes au res-taurant Croizat, nous avons lancé au printemps des sortiescinéma une fois par mois à Elbeuf.

Pascale Mirey, élue déléguée au logementLe groupe de travail nous permet de faire avancer laréflexion sur les problèmes de logement des personnesâgées et de répondre à leurs besoins. Il est important quele service des personnes âgées et le service logement tra-vaillent ensemble, pour avoir une approche cohérente desproblèmes et d'y apporter les solutions les plus pertinen-tes.

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Les retraités logés à quelle enseigne ?

A u mois dejuin, Deniseet HenriMessier, 76

ans, s'installent dans un T2 dela RPA Croizat : « Nous étions

propriétaires de notre appar-

tement place René-Binet et s’ il

y avait eu un ascenseur, nous

serions restés, mais au 3e étage,

mon mari ne pouvait plus sor-

tir et moi je peinais dans les

escaliers », regrette Denise. Sil'installation d'un ascenseurest un problème quasi insolu-ble, il suffit parfois de quel-ques travaux d'aménagementintérieur pour que les person-nes restent à leur domicile.Mais il faut en assumer le coûtou se lancer dans des démar-ches compliquées pour obtenirles aides financières existantes.Fruit du travail mené par laVille, une convention est encours d'élaboration avec leCentre départemental d'amé-lioration de l'habitat (CDAH).« L'objectif est d'installer une

permanence dans les locaux

de la mairie pour aider les

personnes à monter les dos-

siers de réhabilitation et aller

à la pêche aux subventions

auprès des organismes finan-

ceurs » , exp l ique HervéCatteau, le directeur adjointdu CDAH. Autres partenaires :les bailleurs sociaux, invités àidentifier les plus de 60 ans etleurs difficultés au sein de leurparc à loyers modérés. Dans lecadre des opérations derenouvellement urbain notam-

ment, des logements sont sys-tématiquement prévus pourdes personnes à mobilitéréduite. En plus de ces actions, desprojets novateurs sont avan-cés par Saint-Étienne-du-Rouvray. Première piste : laconstruction d'un ensemble delogements prévus pour s'adap-ter aux difficultés de mobilitésusceptibles d'apparaître après60 ans. Un projet né de la col-laboration des élus avec desprofessionnels de l'urbanismeet de la santé. Murs renforcéspour accueillir d'éventuellesbarres d'appui, sols granulés

pour éviter les dérapages, pla-cards avec crémaillères pouradapter les hauteurs, douchetrès large avec un receveurassez bas… « Finalement, ce

sont des choses très simples »,rappelle Olivier Mouret, ergo-thérapeute au CHU de Rouen -hôpital d'Oissel, qui a large-ment contribué à la réflexionmenée, « ce qui pèse sur le

coût, c'est la double cage d'as-

censeur pour réduire les dis-

tances avec les entrées des

appartements. » Cet ensemblede 30 logements évolutifs vaêtre realisé par le FoyerStéphanais sur le terrain mis à

disposition par la Ville rue duMadrillet. Saint-Étienne-du-Rouvray offre également un

terrain en face du Rive Gauchepour accueillir un projetd ' E t a b l i s s e m e n t

M. et Mme Danilo dans leur logement de la résidence Papillon.

Des trajets, bien accompagnésAu début de l'année 2006, un nouveau service de transportadapté aux besoins des personnes âgées sera proposé auxStéphanais. Le minibus de la Ville spécialement aménagéavec l'ergothérapeute Olivier Mouret ne se limitera pas àemmener ses passagers d'un point à un autre : le chauffeurles accompagnera dans leurs déplacements et les aidera encas de besoin, par exemple pour faire des courses ou desdémarches administratives. Sur rendez-vous, 6 à 8 person-nes pourront bénéficier de ce service, qui fonctionnera qua-tre demi-journées par semaine pour commencer.

Listes d'attente pour les résidences et soucis de logements inadaptés à une perte d'autonomie : la ville s'est emparée de ces problèmes pour tenter de répondre auxbesoins des Stéphanais.

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d'hébergement pour person-nes âgées dépendantes(EHPAD), résidence médicali-sée de 80 places. Pour monterle dossier, la ville a missionnéla Mutuelle du Bien Vieillir.« Nous avons été séduits par

les établissements visités à

Montpellier : la qualité de la

prise en charge, le respect de la

dignité et de l'intimité, le cadre

de vie… cela s'apparente plus à

un hôtel, à un tarif qui n'est pas

prohibitif comme dans beau-

coup de résidences privées »,explique Francine Goyer, éluedéléguée aux personnesâgées. Le projet dépend main-tenant de la décision desreprésentants de l'assurancemaladie, de la Région et duDépartement qui rendront unavis via le Comité régionald'organisation médico-socialauprès duquel le dossier estdéposé. �

Au-delà du nombre croissantde personnes âgées, en quelstermes se pose le problème dulogement ?YM : Les besoins des personnes

âgées ont beaucoup changédepuis les années 70. À cetteépoque là, les problèmes poséspar le logement relevaient duconfort et les personnesconfrontées à une perted'autonomie étaient bienmoins nombreuses. On a doncconstruit les foyers-logementpour des personnes encorevalides mais mal logées.Aujourd'hui la donne a changé,les foyers ne répondent plus àla demande, d'autant que l'onconstate également unisolement social important despersonnes âgées. L'idée d'unlogement évolutif répond

plutôt bien à la situation, demême que les services quiévitent l'isolement.Le logement adaptable enfonction du degré d'autonomieest-il une solution qui fait sonchemin en France ?YM : Malheureusement, la

réflexion est loind'être généralisée. ÀSaint-Étienne-du-Rouvray, il existe unevolonté politique trèsdéterminée en faveurdes personnes âgées.Les projets en ce quiconcerne le logementsont très intéressants,et la Ville ne ménagepas ses efforts pourfaire aboutir ce projetde logementsévolutifs comme ledossier pour laconstruction d'unEHPAD. Au-delà decette question, c'estune réflexion globalequi est menée. Peu devilles sont prêtes àinvestir dans une

enquête pour connaître lesbesoins des personnes âgées.L'action de la commune vadans le bon sens : les servicesde portage de repas et de soinsà domicile fonctionnent trèsbien. La reconnaissance du Clicet le soutien que lui apporte laVille sont exemplaires. À partirdu moment où les acteursdécident de travaillerensemble pour offrir unemeilleure qualité de vie auxpersonnes âgées, çafonctionne.

M. et Mme Cor, dans les nouveaux logements du quartier Verlaine

Offrir une meilleurequalité de vieProfesseur Yves Moynot,chef de service gériatrieau CHU de Rouen, hôpitalde Oissel.

Le Stéphanais10

Le guichet unique à votre écoutePreuve de son utilité, le guichet unique mis en place par laVille pour les personnes âgées fonctionne à plein. Un peuplus d'un an après sa mise en place, il reçoit près de 80appels chaque mois. Portage de repas, soins à domicile, ani-mations, téléalarme, allocations… au bout de la ligne, SylvieBeaudoin répond à toutes les demandes des plus de 65 anset leur évite nombre de démarches en s'occupant decontacter les personnes chargées de chaque prestation. Leguichet unique vient compléter les services gérés par laVille pour favoriser le maintien à domicile des personnesâgées. À ce jour, 500 personnes bénéficient des servicesd'aides-ménagères, 100 personnes voient leur repas porté àdomicile chaque jour, et 28 ont recours aux soins infirmiers.Guichet Unique : 02 32 95 83 94.

Interview

Le Stéphanais12

Embarquez pourl’Odyssée Jules Verne

Cu

ltu

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À l’occasion de Lire en fête, en octobre, voyagez dans l’univers de Jules Verne, sesromans de voyages et d’aventures, ses inventions.

V oilà cent ansqu’il est mort

mais lesromans de

Jules Verne passionnent tou-jours : Vingt mille lieues sous

les mers, Le tour du monde en

80 jours, Cinq semaines en

ballon, L’île mystérieuse, De la

terre à la lune, Voyage au cen-

tre de la terre… Pour replongerdans l’univers de l’écrivain, unevéritable « Odyssée JulesVerne » vous est proposée enoctobre dans les bibliothèqueset les centres socioculturels. « C’est un écrivain rassem-

bleur » estime Danièle Hibon,directrice des bibliothèques,« il intéresse les jeunes comme

les plus âgés ; le thème a d’ail-

leurs inspiré plusieurs services

d’où l’ampleur de la manifes-

tation. En même temps, Jules

Verne est un écrivain scientifi-

que et ces différentes initiati-

ves sont à rattacher à Sciences

en fête qui se tiendra les 14, 15

et 16 octobre avec tout un

« village des sciences » au

Technopôle du Madrillet. »

Au programme de cetteOdyssée : trois expositions,des films et des spectacles, ouencore des animations autourdes dirigeables et montgolfiè-res dans les centres de loisirs.Parmi ces rendez-vous, onnotera, dimanche 2 octobreune sortie familiale à Amiens,sur les traces l’écrivain dans sa ville natale : expo, cirque, hortillonnages... (inscriptionsau 02 35 65 00 12). Autretemps fort : une après-midimusiques et lectures, samedi15 octobre à 14 h à la bibliothè-que Elsa-Triolet avec la choraled’enfants de l'école municipalede musique et de danse, diri-gée par Corentin Pavie pour un« Tour du monde en 80 chan-sons », avec Marie-ChristinePognon au piano et Geneviève

Martinet au chant. Vous pour-rez participer à l'atelier de lec-ture à haute voix animé par leThéâtre Musical Coulisses. Àcet effet, des stages de prépa-ration sont organisés à labibliothèque les samedis 24septembre et 8 octobre à14 h 30, le mardi 27 septembreet les jeudis 29 septembre, 4 et13 octobre à 17 h (renseigne-

ments au 02 32 95 83 68).Ajoutez sur votre agenda unerencontre avec Edouard Brasey,écrivain et conteur qui évo-quera les univers de JulesV e r n e ,vendredi 14 octobre à 18 h à labibliothèque Elsa-Triolet. Enfin, pour les tout jeuneslecteurs, deux spectacles : lesmarionnettes embarquent les 3

à 8 ans dans un Voyage sous-marin, par Emmanuel Dufay etChristophe Basset, samedi8 octobre à 15 h au centre deloisirs SNCF (3€/pers.) ; les 6-12 ans, découvriront Jules

Verne ou la machine à Jules

mercredi 19 octobre à 15 h, par la compagnie Vizavie(3€/pers.). Bon voyage. �

• « Jules Verne : le roman de la science » du 11au 29 octobre à la bibliothèque Elsa-Trioletplace Jean-Prévost.• « Escales dans l'univers Jules Verne », du 11au 28 octobre, au centre Jean-Prévost et à labibliothèque Elsa-Triolet, place Jean-Prévost.Voyage au travers d’affiches de cinéma, livres,cartes postales, bandes dessinées...• « Inventions autour de Jules Verne » du 5 au28 octobre au centre de loisirs SNCF: réalisa-tions plastiques de Michèle Jullian, d'Eric

Note, graffeur, des ateliers du centreGeorges-Déziré, et des enfants des centresde loisirs.• « L'espace de Jules Verne, version 2005 » du11 au 15 octobre au Périph’ : concours d'affi-ches et tournage de courts-métrages sur cesanimations.• Projection de films le 16 octobre après-midiau centre Jean-Prévost : Vingt mille lieues

sous les mers (1915), Les enfants du capitaine

Grant, La destinée de Jean Morenas.

Expositions : suivez le guide

A gauche, une caricature de Jules Verne. ci-dessus une illustration du Maître du monde.

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� Sorties desseniorsLe servicemunicipal despersonnes êgéespropose dessorties à Rouen,

jeudi 22septembre et jeudi 13octobre de 14h à 16h ;visite de la cathédrale,du Gros Horloge, duPalais de justice...).Rendez-vous face àl’Office de tourisme à14h (4 € par personne).Réservations au Guichetunique : 02 32 95 83 94.

� Repas à thèmeRepas normand avecanimation musicale auxfoyers Ambroise-Croizatet Geneviève-Bourdon,mercredi 28 septembre.Renseignements etinscriptions : 02 32 95 83 94.

� Les ateliersdessindes centres Georges-Brassens et Jean-Prévost exposent leurstravaux du 20 septem-bre au 6 octobre. Aucentre Brassens, du lundiaprès-midi au samedimatin ; au centrePrévost, du mardi ausamedi.

� Destination sciencesL’équipe d’animateursaccueille les parents etles enfants, sur le cen-tre de loisirs maternelLouis-Pergaud samedi 17 septembre à 15 h 30.Au programme : bilan ducentre de loisirs en juilletet août, projection dephotos, lancement demicro-fusées, collation...

Les jeunes rentrent en chantant

L es jeunes choristessont invités à don-ner de la voix.

L’école municipale de musiquepropose désormais une cho-rale pour les 8/13 ans. Elle ferale lien entre la chorale despetits et celle des adultes etpermettra aux jeunes chan-teurs de commencer un vraitravail de chœur sur des parti-tions classiques ou contempo-raines. La direction en est assu-rée par Martine Bécuwe. Cettenouvelle chorale est ouverte àtous, même aux débutants. Lesrépétitions auront lieu àl’école Duruy le mardi de 17 h à18 h. Autre nouveauté, un coursd’écriture de partition com-plètera les cours de formationmusicale. Il constituera unesorte de travaux pratiques pourcomprendre une partition etapprendre à en composer. C’estun cours optionnel accessibleaux élèves de niveau 5 en for-mation musicale dont l’ensei-

gnement est confié à Marie-Christine Pognon. En musiquesactuelles, une troisième annéeest créée pour compléter laformation d’harmonie. Lescours, assurés par EmmanuelleBobée, visent à maîtriser lesenchaînements d’accords (ou

grilles), ils sont destinés auxélèves des classes de jazz, gui-tare basse et électrique. Enfin,à côté des cours de guitareclassique, l’école met en placeun ensemble de guitares pourfavoriser une pratique deconcert pour compléter l’en-

semble de musique anciennedéjà existant. Il est accessibleaux élèves en fin de premiercycle, il est placé sous la direc-tion de Philippe Cuny.Renseignements, inscriptions àl’école, 02 35 64 04 45. �

S amedi 24 septem-bre, le Rive gauchelance sa saison avec

un bal ouvert à tous et denombreux artistes chargésd’animer la soirée. La Fanfaronede Grabbuge pour commenceret ses cinq musiciens en fanfarequi attendent une célèbre can-tatrice… qui n’arrive pas.Chacun joue, interpelle le

spectateur, l’entraîne dans ladanse pour faire oublier l’ab-sence de la diva... Après cetteentrée en matière, les specta-teurs sont invités à retrouverl’équipe du Rive Gauche pourles « qui, comment, pourquoi »de la saison. Puis LaurentDehors animera son « bal ».Pour ceux qui auraient manquéle délirant bal de la Saint-

Valentin de l’an dernier, Laurentet son big band vous ferontdanser sur les plus grands tubesde la variété, cocktail explosifde jazz, rap, musette, rock,disco, pour d’incroyables ver-sions de Bowie, Cloclo etJ o h n n y .À partir de 19 h, bal vers 21 h,entrée libre. �

Le Rive Gauche démarre en fanfare

En c

ou

lisse

s

Parmi les nouveautés de l’année à l’École de musique, figurent la créationd’une chorale pour les 8/13 ans ainsi que d’un ensemble de guitares.

Apprendre à chanter en choeur.dessin de D.Y.Coat.

Rendez-vous

École de musique

Le Stéphanais14

En images

La journée des loisirs a encore une fois connu uneaffluence record. Cette année, sous le soleil, les modè-les réduits tenaient la vedette et les démonstrationsont attiré les visiteurs. Succès également pour lesstands sur lesquels de nombreux Stéphanais se sontinscrits à l’activité de leur choix. À L’image du servicedes sports qui a enregistré 200 nouveaux inscrits.

Une belle journée des loisirs

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� À vos marquesProchains matchsdu FC SER25 /09, 15 h, stadeYouri –Gagarine :FC SER/Mont-Saint-Aignan.9 /10, 15 h, stadedes Sapins :

CCRPortugais/BihorelGCO 2.9 /10, 15 h, stadeCélestin-Dubois :AMSCB 1/Houppeville.

� Taï chi chuanUne erreur dans le Guidede ville récemment parudonne un mauvaisnuméro de téléphone àl’association culturelleeuro-chinoise. Voici lebon : 02 35 66 26 31.

� Course à piedLe Rouvray Athletic 76tient son assembléegénérale le 23septembre à 18h aucentre Jean-Prévost.L’assemblée est ouverteà tous ceux et cellesintéressés par la courseà pied, la randonnéeloisir ou la randonnéecyclotouriste.Renseignement : ThierryBichard, 02 35 66 10 25.

� Full-contactLes cours ont repris augymnase Robespierre lesmardi et jeudi de 19 h à21 h, pour les adultes. Lemercredi de 15 h 30 à17 h et samedi de 14 h à16 h pour les jeunes àpartir de 6 ans. Énergie-full pour les femmes, le samedi de 16 h à17 h 30. Renseignementssur place ou au 06 03 94 24 21.

A v

os

mar

qu

es

U ne seconde jeu-nesse pour leclub, Christian

Coté, président del’Association Stéphanaise deTennis de Table, s’y emploie.« Pour cette nouvelle saison,

le club qui a fêté ses quinze ans

l’année dernière, met en chan-

tier plusieurs pistes », expli-que-t-il.Pour relancer l’activité pon-giste, les dirigeants ontengagé une campagne decommunication : « Nous

allons distribuer dans les boî-

tes aux lettres et dans les

commerces des infos, et nous

adresser aux médias pour

faire passer le message. » Lesresponsables du tennis detable stéphanais ont constituéun dossier en direction del’Inspection académique. « Il ya un fort potentiel dans les

écoles élémentaires », pensel’organisateur depuis 1994, desfinales de District, et départe-

mentales du Premier pas pon-giste. Cette compétition ras-semble des centaines de jeunesscolaires, non licenciés, mais leclub n’en tire pas bénéfice. Uncomble pour Christian Coté etson équipe de l’ASTT. Le club

met aussi l’accent sur la prati-que loisir et l’accueil des fémi-nines, avec une cotisationmoins élevée. « Nous conti-

nuerons la compétition, mais

les adhérents qui veulent uni-

quement taper la balle pour

s’amuser doivent pouvoir le

faire sans problème ». L’équipedirigeante s’est renforcéeautour du président, secondépar Nathalie Gonfreville. pourséduire de nouveaux pongis-tes. �

U ne belle récom-pense. Invaincueà 8 ans, après une

demi-douzaine de tournoisdisputés en Normandie,Charlène Fillon va recevoir uneaide financière de la Liguerégionale de tennis. « Un cer-

tain nombre d’heures d’entraî-

nement avec Sébastien Louvel,

seront prises en charge par

l’instance régionale », expli-quent les parents de Charlène,repérée cette saison.Charlène a rencontré les diri-

geants du Tennis Club deSaint-Étienne-du-Rouvray aucours d’une fête de l’écolematernelle Paul-Langevin.R a p i d e m e n t , l a j e u n eStéphanaise montre de réellesqualités à l’école de tennis,puis sur les courts. « Elle cogne

fort, a le sens du jeu et un bon

revers. C’est une gagneuse ! »,confie admiratif son père.Pourtant pas question de met-tre la pression. « Six heures

d’entraînement hebdomadaire,

plus les matches, c’est déjà

beaucoup. Le tennis doit rester

un jeu pour elle ». Charlène l’abien compris, à peine l’entre-

tien terminé, elle enfourcheson vélo pour rejoindre sescopains du quartier . �

Charlène Fillon, elle promet

Preuve de sa volonté de rebondir : Le 3 septembre lors de la journée des loisirs, l’ASTT était présente avec une table et offrait des démonstrations.

La vie des clubs

Elle vaut de l’or

ASTT, le temps du rebondL’Association Stéphanaise de Tennis de Table relance son activité en misantsur l’intérêt des scolaires et des féminines.

Le Stéphanais16

Les bonnes notesd’Angèle Bertrand

Élève du collège Louise-Michel, Angèle Bertrand s’est glissée en juilletparmi les cinq meilleurs Normands au brevet des collèges. Elle brilleégalement dans ses autres activités.

Portrait

Un jugement confirmé par sa sœur jumelle, Louison. Fière desrésultats d’Angèle, Nicole Laurent, la principale du collège précise: « Cette année six élèves, à parité, filles et garçons, ont été reçus

au brevet avec une note comprise entre 16 et 19 ». Louison, lajumelle obtient 15,28… « Louise-Michel est un bon collège, j’y ai

passé quatre superbes années » confirme Angèle avec un brin denostalgie. �

A vec 19,12 de moyenne au brevet des collèges,Angèle Bertrand pourrait prétendre à la perfec-tion... « Non j’ai fait des fautes en histoire/géo et

en français », répond-elle modestement. Cetexcellent résultat place la collégienne de Louise-Michel parmi lescinq lauréats régionaux, qui obtiennent le diplôme avec plus de19 de moyenne générale. « C’est ma voisine qui nous a appris la

nouvelle, elle l’a lue dans le journal », explique Dominique, lamaman.Réservée et calme, Angèle savoure tout juste sa place parmil’élite des collèges. « Pas facile de parler de soi quand on a 15 ans

», souffle la maman. Derrière ses lunettes, qui lui donnent unpetit côté intello, qu’elle réfute aussitôt, se cache une jeune filletrès active aux goûts éclectiques.L’appareil numérique offert par Pascal, le papa, pour le brevet estau bord de la surchauffe. Partie deux semaines en centre devacances, avec la Ville, à Cadéac dans les Pyrénées, Angèle a mul-tiplié les prises de vues. « C’est bien le numérique, ça permet de

vérifier si les photos sont bonnes ». Le petit boîtier affiche déjàplus de trois cents photos au compteur… Angèle a plusieurs cordes à son arc même si elle ne pratique pasle violon mais le hautbois à l’École municipale de musique, avecJean-François Lefebvre. « Papy Jules jouait de la trompette… ». Etla natation jusqu’en 2004 au Club nautique stéphanais : « la brasse

en compétition ». Encore indécise sur son avenir – « je change

souvent d’avis » – Angèle a fait sa rentrée au lycée Marcel-Sembaten seconde générale, option latin, enseignement de détermina-tion, espagnol, sciences éco et sociale. « Un choix large qui per-

met un recadrage plus tard pour un bac S », explique la lycéenne.Angèle voit s’ouvrir un large éventail dans le choix de sa futureprofession ; elle se destine néanmoins à l’enseignement : « prof

d’espagnol ou de sciences et vie de la terre, ou institutrice ». Danssa chambre, quelques dessins attirent l’attention : « J’ai participé

à une classe d’arts plastiques au collège. » « Elle est douée pour le