billet mensuel nov 2016
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Le billet mensuelN°11 – Novembre 2016Pour nous contacter :
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Vous avez tout essayé, la méthode douce, la méthode participative, la méthode impliquate, la méthode responsabilisante,…… bref, TOUT, SAUF LA COLERE !!!! Why not?
N’êtes vous pas en train de confondre, Pouvoir et Autorité. Une petite clarification s’impose.
« Mais, C’est MOI LE CHEF ! »
Il n’y a pas d’exercice du Pouvoir sans Reconnaissance de sa Légitimité. Le Pouvoir procède d’une relation établie entre un dominant et un dominé. L’exercice de ce Pouvoir implique qu’il soit reconnu et accepté par autrui.
Plus le pouvoir d’un individu est légitime, moins il a besoin de faire preuve d’autorité.
Pouvoir et Autorité
Si un pouvoir est
parfaitement légitime
Les individus s’y
soumettent « librement »
La contrainte est
intériorisée
Nul besoin de faire preuve de
sa puissance
Ceux qui font le plus preuve de leur autorité par la force sont ceux dont le pouvoir est le moins respecté
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" Un bon dirigeant, c’est comme un éléphant. C’est impossible à définir en
théorie mais, quand vous en rencontrez un, l’évidence s’impose à vous ! »
L’autorité pose le groupe comme facteur de création du leader. Le leader est le bénéficiaire d'une cristallisation des représentations collectives qui, se portant sur sa personne, font de lui le support de l'autorité. La cohésion du groupe est favorisée par la représentativité du leader. Son autorité est fonction de l'objectif dominant que le groupe lui reconnaît
L'efficacité du commandement est
d'autant mieux assurée que le
leader vient plus directement de la
collectivité.
Cette distinction faite, elle pose la nécessité de différencier le profil
du Dirigeant Manager du Dirigeant Leader
Frédéric de Broglie, DG de 3I société de capital-risque