Patrick Gudon

BIEN JOU !

Guide pdagogique

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http://www.fle.hachette-livre.fr

Conception et ralisation : Marion FernagutCouverture : Encore lui !Secrtariat ddition : Marie-Bndicte Majoral

ISBN : 2-01-155180-3 Hachette Livre 2002, 43, quai de Grenelle, 75905 PARIS Cedex 15

Tous droits de reproduction et dadaptation rservs pour tous pays.

Le Code de la proprit intellectuelle nautorisant, aux termes des articles L.122-4 et L.122-5, dune part, que lescopies ou reproductions strictement rserves lusage priv du copiste et non destines une utilisation col-lective, et, dautre part, que les analyses et les courtes citations dans un but dexemple et dillustration, toutereprsentation ou reproduction intgrale ou partielle, faite sans le consentement de lauteur ou de ses ayants droitou ayants cause, est illicite. Cette reprsentation ou reproduction, par quelque procd que ce soit, sans autori-sation de lditeur ou du Centre franais de lexploitation du droit de copie (20, rue des Grands-Augustins 75006Paris), constituerait une contrefaon sanctionne par les articles 425 et suivants du Code pnal.

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CONSIDRATIONS GNRALESSUR LA MTHODE

Le quatrime niveau de Bien Jou ! sadresse des adolescents ayant dj tudi trois niveauxde franais en milieu scolaire.

COMPOSITION DE LA MTHODEBien Jou ! 4, comme les niveaux prcdents,comprend : - un livre de llve,- deux cassettes audio utiliser en classe parle professeur (dialogue douverture, dialogueen squences segmentes, documents oraux),- un cahier dexercices comprenant unevingtaine dexercices par unit,- un guide pdagogique pour lenseignant avecdes indications mthodologiques pour lexploi-tation du livre et du cahier, des indications cul-turelles complmentaires, les solutions des exer-cices et des tests dvaluation pour chaque unit.

Rappel des points forts de la mthodeUne approche communicativeLa mthode Bien Jou ! rpond une approchede type communicatif et plus prcisment fonctionnel . Lobjectif final est en effet defournir llve un ensemble de comptenceslinguistiques et dans une certaine mesuresocioculturelles , en lien avec son ge et sesintrts, qui lui permettent de communiquer.

Les quatre comptences (comprhensionorale et crite, production orale et crite) sontdonc au centre de chacune des units duniveau 4, comme elles ltaient aux trois autresniveaux. Loral vient toujours avant lcrit,comme dans la vie relle. Il sagit donc den-seigner :- savoir comprendre un message oral, pluscomplexe et plus long maintenant que dans lesautres niveaux ;- savoir parler, cest--dire produire desmessages oraux qui soient directement lis des besoins de communication spcifiques.Lapprentissage est ainsi plus concret etmotivant ;- savoir lire, cest--dire comprendre desmessages crits plus articuls et complexesquauparavant ;

- savoir crire correctement des textes de plusen plus labors, non seulement du point devue strictement linguistique (orthographe etgrammaire), mais aussi du point de vuetextuel (des textes logiques et cohrents dediffrentes natures : description, narration,argumentation).

Une mthode progressive Une mthode adapte aux exigences et auxpossibilits relles de lenseignement

Le mme critre de mesure a guid la ra-lisation du niveau 4. Le matriel a t dos etprpar en fonction des possibilits rellesdapprentissage et denseignement : peudheures par semaine, gnralement dans uncontexte o la langue maternelle domine lar-gement. En tenant compte de ces fortes limi-tations, les auteurs ont dcid que leur objec-tif premier tait de donner les bases les plussolides possibles sur lesquelles llve pourraensuite continuer construire sa comptencelangagire. Cest pourquoi, le quatrime niveau maintientla scansion de rubriques bien identifiables(coute et dbats !, couter et comprendre,Travailler sur la signification, etc.) qui per-mettent llve de se reprer facilement etde toujours savoir ce quon attend de lui. Enoutre, la progression grammaticale et lexica-le est toujours rigoureusement contrle.Enfin, des tests priodiques qui figurent dansle guide du professeur permettent de faire lepoint sur les progrs accomplis et les difficul-ts rencontres. Ainsi, llve continue dtreau centre du processus dapprentissage.

Un lexique contrlLattention accorde au lexique ne se dmentpas au quatrime niveau. Les mmes critresont guid le choix : frquence demploi et per-tinence pour parler de tel ou tel sujet. Danschaque unit, on trouvera donc la prsen-tation de diffrents champs lexicaux avecune attention particulire porte aux motsde lunivers quotidien. Llve engrange ainsi du vocabulaire dont on redcouvrelimportance dans lapprentissage deslangues aprs des annes o lon a privi-lgi les structures .

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la fin du livre figure un rcapitulatif dulexique appris, prsent par ordre alphab-tique et traduit en plusieurs langues.

Une grammaire en spirale Lattention accorde la grammaire est aussiscrupuleuse dans le quatrime niveau. Les rai-sons en sont les mmes : Un apprentissage par imitation, comme celuidun enfant qui apprend parler sa proprelangue, est impossible dans un contexte scolai-re o le nombre dheures est rduit, et o toutlenvironnement est en langue maternelle. Un apprenant ayant dj structur sa proprelangue maternelle passe ncessairement tra-vers le filtre du raisonnement linguistique lors-quil apprend une langue trangre. Il faitspontanment des comparaisons avec sapropre langue. Cest pourquoi il convient deconsacrer du temps cette rflexion sur lesstructures et les formes quon apprend, carcest prcisment ce travail danalyse linguis-tique qui favorisera la mmorisation. On neretient pas mcaniquement, mais parce quona compris un fonctionnement. Cette impor-tance accorde la grammaire se traduit parle choix dy consacrer une double page danschaque unit intitule Coin grammaire.

Fidle au principe de grammaire en spirale ,le niveau 4 complte donc des sujets dj intro-duits aux niveaux 1, 2 et 3 et prsente de nou-veaux points syntaxiques. Ainsi le cadre se com-plte-t-il au fil des leons afin qu lissue de ceniveau 4 llve ait rvis les structures de baseindispensables dans chacune des catgories gram-maticales pour communiquer librement et conti-nue affiner ses comptences de comprhensioncrites et orales. La catgorie des indfinis estcomplte, la rflexion sur lemploi du subjonc-tif ou de lindicatif se poursuit, les voix active etpassive sont nouveau travailles, un travail defond est effectu sur les relatifs (pronoms etdmonstratifs), sur lexpression de lhypothse etde lobligation, et sur les prsentatifs. Toutes lessubordonnes sont maintenant bien accessibles.La rflexion linguistique se fera toujours selonle principe : observation dduction de largle application afin dviter dapprendrepar cur des rgles. Peu de termes de mta-langue ont t utiliss en franais afin demettre prcisment en relief les exemples-cls. Lensemble des donnes syntaxiques estensuite rorganiss dans un prcis grammati-cal la fin du livre.

Une mthode ancre dans la culture franaise et francophone Langue et cultureQue la langue soit imprgne par la culture,cest aujourdhui une certitude. Cest pour-quoi en travaillant sur la langue, sur les mots,on fait dj de la culture. Ainsi, ds le niveau 1,laccent a t mis sur la valeur socioculturellede certaines structures et expressions linguis-tiques : le vouvoiement, les niveaux de languequi impliquent de bien choisir entre les troisformes de linterrogation (avec intonation, est-ce que ou inversion du sujet), etc.

Culture et socitOn sait en outre que pour communiquer effi-cacement, il faut aussi connatre un certainnombre dlments culturels partags partoute la communaut franaise qui affleurentcontinuellement dans le discours. Cest pour-quoi, ds le niveau 1, on a trouv des infor-mations sur la France (et sur le monde fran-cophone), qui pouvaient tre utiles un ado-lescent qui viendrait en France en voyage, ouqui aurait loccasion de rencontrer desFranais, ou tout simplement qui voudraitcomprendre un article de journal. Le poids des informations culturelles a aug-ment considrablement au deuxime niveauo les lves auront notamment dcouvertParis et auront continu lexploration de la viequotidienne (la poste, la sant, le sport, les ani-maux, la BD, etc.). Dans le troisime niveau,les lves sont partis avec les hros de lhistoi-re dans un tour de France, car, on ne la pasoubli, la France nest pas seulement Paris !Dans ce quatrime niveau, six grands thmesbien distincts sont abords. Les apprenantsvont voyager dun milieu un autre et dcou-vrir la vie et les centres dintrt de groupesdamis (les sports extrmes, lcologie, la cui-sine, les nouvelles technologies).

Comment le livre intgre-t-il les donnesculturelles ?

Les donnes culturelles sinscrivent daborddans le dialogue qui sert dillustration auxthmes abords dans lunit, mais cest sur-tout dans les pages Notre Monde et Dhier aujourdhui quon les trouvera grce denombreux articles brefs et prcis, riches eninformations, pertinents et trs illustrs.On trouvera en outre loccasion de prsenterquelques rgions de France et daborder desthmes dactualit intressant les adolescents.

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Ces pages dinformation, consacres au tra-vail sur lcrit travers des documents authen-tiques ou textes de prsentation, privilgientles documents iconographiques et proposentune approche trs synthtique de la gogra-phie, de lhistoire, de la science, des problmesdactualit et de la posie. Car mme si loninterprte le mot culture dans son sens leplus large, cest--dire lensemble des com-portements et modes de vie, de lorganisationsociale et conomique, des ides et descroyances dun peuple, on noubliera pas quele mot dsigne aussi, avec une connotation trspositive, des connaissances sur lhistoire, lessciences, lactualit et la posie !

Toutes les photos reproduites dans chaqueunit devraient toujours tre exploites parlenseignant comme support pour des activitsde classe dobservation et de commentaire carelles ne sont pas simplement dcoratives maisservent concrtiser le discours culturel.

Structures du livre et du cahierStructure du livreLe niveau 4 comprend une unit de rvisionde 10 pages, six units de 12 pages (units 2 7) et une unit de bilan de 8 pages (constituedexercices de grammaire et dexpression cri-te ainsi que dun projet). Chaque unit cor-respond 10-12 heures de cours. On trouve-

ra les mmes rubriques que dans le troisimeniveau, mais avec quelques lgres variations.En effet, pour mieux sadapter aux besoins dervision, de rebrassage et de mise au point desconnaissances acquises, tout en proposant descontenus plus riches et plus varis que dansles niveaux prcdents, les rubriques ont tlgrement modifies : les rubriques Que dit-on pour, Mots etMettre en pratique ont disparues ; les rubriques Comprendre et crire et Madocumentation ont pris de lampleur, cdantainsi leur place aux intercalaires Notre mondeet Dhier aujourdhui ; la rubrique Mes projets a t conserve etdveloppe.La structure en double page a t conserve.

PREMIRE RUBRIQUE : COUTE ET DBATS !Cette premire double page (units 2 7) estconsacre lcoute et la comprhension.En page de gauche, une illustration decontextualisation permet de mettre en placedes activits dobservation visuelle et de rep-rage dinformations qui, leur tour, permet-tront dinfrer les sujets de lunit et lesgrandes hypothses de travail. Ces hypothseset remue-mninges ont ici une place de choixavant daborder le travail dcoute et decomprhension.

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3

des heures ! Et toi, il parat que tu veux essayer

le saut llastique?

Audrey : Oui ! Jadore les sensations fortes !

Jai besoin de sentir mon cur battre 100

lheure.

Fabrice : Tu vas vraiment sauter du viaduc?

Audrey : Eh oui ! On plonge la tte la premire

dans le vide et il parat quon remonte deux ou

trois fois avant de toucher terre.

Fabrice : Et en plus, cause du vent, tu vas te

balancer de droite gauche. Moi, jaurais horreur

de a !

Audrey : Alors il vaut mieux que tu partes avant

moi. Allez, bon vol !

Fabrice : Et toi, bon baptme de lair ! Rendez-

vous en bas !

coute le dialogue etrponds aux questions.

1. Quel est lquipement des parapentistes ?

2. Que doivent-ils attendre pour dcoller?

ton avis, pourquoi?

3. Comment saute-t-on llastique ?

1 coute le dialogue et chasse lintrus.1. Fabrice vrifie

les ficelles - llastique - les freins.

2. Il va partir

tout seul - avec Audrey - sans moniteur.

3. Audrey va sauter

du pont - du viaduc - de la montagne.

4. En sautant llastique

on plonge la tte la premire - on remonte deux ou

trois fois - on senvole.

1. que Fabrice adore le parapente.

2. quAudrey aime les sensations fortes.

3. quil est prfrable quAudrey parte aprs

Fabrice.

4. les diffrentes tapes du saut llastique.

4. On remonte deux ou trois fois :

a. On remonte deux ou trois fois jusquau viaduc.

b. On remonte en lair deux ou trois fois.

6. Donnez vos camarades une description prcise de votre sport prfr et justifiez votre choix. Rpondez ensuite

leurs questions.

7. Aimeriez-vous pratiquer des sports extrmes comme le parapente, le saut llastique, la varappe ou lescalade ?

8. Imaginez un dialogue deux : lun a trs peur de pratiquer un des sports cits ci-dessus, lautre le rassure et lui

explique que cest passionnant.

1. Jai mis mon harnais :

a. Jai mis mon casque.

b. Jai mis mon quipement de protection.

2. Il suffit de ne pas regarder en bas :

a. Il est conseill de regarder en bas.

b. Il ne faut pas regarder en bas.

3. Jai limpression dtre un oiseau :

a. Je me sens comme un oiseau.

b. Je fais les mmes mouvements quun oiseau.

2coute le dialogue, dis si cest vrai ou faux et justifie ta rponse.

1. Fabrice est prt partir.

2. Il na plus peur.

3. Audrey aime les sensations fortes.

TRAVAILLER SUR LA SIGNIFICATION

PRENEZ LA PAROLE !

COUTER ET COMPRENDRE

Sensations fortes

Audrey : Salut Fabrice, tu es en forme ce matin?

Alors, tu es prt partir ?

Fabrice : Oui, dans quelques minutes, enfin,

jespre ! Jai mis mon harnais et je suis en train

de vrifier les freins et les ficelles.

Audrey : Tu vas partir tout seul aujourdhui ? Sans

moniteur?

Fabrice : Oui, il faut bien commencer un jour !

Jattends quil y ait les bons courants ariens.

Audrey : Tu nas plus peur maintenant?

Fabrice : Si encore un peu, mais il suffit de ne

pas regarder en bas quand on dcolle.

Audrey : Tu ne tennuies pas l-haut? quoi est-ce

que tu penses?

Fabrice : Jai limpression dtre un oiseau, cest

gnial ! Jai envie de planer comme a pendant

Lnergie de la per formanceLnergie de la per formance

DELF

4317

4 Choisis la significationcorrecte.

5 Retrouve dans le dialogueles phrases indiquant

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COUTE ET DBATS !

6TROISIME RUBRIQUE : COIN GRAMMAIRELa grammaire est encore aborde sur unedouble page et elle procde toujours de lob-servation do la prsence des petites lunettesqui symbolisent lobservation attentive lnonciation de la rgle rsume dans un petittableau. Elle propose quelques exercices dap-plication immdiate (exercices de transfor-mation, exercices trous ).Ce niveau 4 permet la fois de rcapituler et

daffiner les connaissances des apprenants (lespronoms relatifs qui, que, dont, o ; les hypo-thses avec si ; les verbes impersonnels ; lesadjectifs et les pronoms indfinis ; les voix acti-ve et passive ; lexpression de lobligation)et daborder de nouveaux points grammati-caux (les locutions avec le verbe avoir ; lesdmonstratifs relatifs ; le choix de lindicatifou du subjonctif ; les prsentatifs et la mise envaleur).

Le dialogue se trouve en dessous de cetteillustration. Le professeur demandera sys-tmatiquement aux lves de le couvrir lorsde la phase dobservation et de formulationdes hypothses.La page de droite propose des activits dap-profondissement de la comprhension dutexte. La rubrique couter et comprendreoffre des activits faire aprs une ou plu-sieurs coutes du texte sans avoir le texte sousles yeux : il sagit dexercices de reprage etdaide la comprhension. La rubriqueTravailler sur la signification permet unecomprhension dtaille ; elle aide lappre-nant mieux assimiler la signification des motset expressions.La rubrique Prenez la parole ! permet de tra-vailler la production orale dans une optiquede prparation aux preuves orales du DELFpremier degr et dbouche sur le dbat dides.

DEUXIME RUBRIQUE : NOTRE MONDELa rubrique Notre monde permet de travaillerla comprhension orale (les textes ont t enre-gistrs) et crite. Aprs ltude des textes riche-ment illustrs au sein desquels les apprenantspuiseront de nombreuses informations enri-chissantes, on passera la vrification de leurcomprhension travers les activits de larubrique Jai compris ! Cette vrification impli-quera une phase de production crite, en lientroit avec la thmatique des textes. Langue etculture tant troitement lies, il apparatlogique que ce travail soit galement conupour vhiculer des informations culturelles.En outre, les thmes abords dune unit lautre sont trs varis (lectricit et lectro-magntisme, pollution et cologie, les cuisinesdu monde, lunivers et le systme solaire, lesanimaux et leur protection, la montagne). Cette rubrique comporte deux ou quatre pages.

QUATRIME RUBRIQUE : DHIER AUJOURDHUILa rubrique Dhier aujourdhui est consa-cre la comprhension crite travers lamise en perspective de sujets varis, dans uneoptique historique (histoire de lnergie lec-trique et de ses applications, histoire desmoyens de transport, histoire de la naviga-

tion maritime et sous-marine, histoire destlcommunications, histoire de la trans-mission du son et des images, histoire delagriculture).Elle est suivie de la rubrique Je fais le point !qui propose des activits de production criteset orales permettant lexpression dopinionspersonnelles.

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Lnergie de la performanceLnergie de la performance

COIN GRAMMAIRECOIN GRAMMAIRE COIN GRAMMAIRECOIN GRAMMAIRE

Complte librement lesphrases en employant desconstructions avec le verbe avoir .1. Elle na pas mang depuis trois jours, 2. Lors de notre expdition dans le dsert, 3. Je nai pas voulu prendre lavion, 4. a sent le brl, 5. Aujourdhui, je ne veux pas travailler, 6. a fait trois nuits que je dors peu

AVOIR DANS TOUS SES TATS IL PLEUT SANS ARRT !

Observe1) Il pleut.2) Il fait froid.3) Il y a du vent.

Complte librement lesphrases avec des constructionsimpersonnelles.1. J'entends le tonnerre, 2. Prends ton parapluie,

Attention ! Avoir peur peut tre employ seul,comme avoir faim , avoir soif ou suivide de ou que .Ex. : Jai peur!Jai peur du vide!Jai peur de me noyer!Jai peur que mes parents mempchent depratiquer un sport extrme.

Attention !Il existe d'autres constructions impersonnelles,telles que :Il faut bien commencer.Il suffit de ne pas regarder en bas.Il parat quon remonte deux ou trois fois.Il vaut mieux que tu partes avant.

Transforme, comme dansl'exemple.

J'ai besoin d'acheter un ordinateur.-> J'ai besoin que tu m'achtes un ordinateur.

1. J'ai horreur de partir en vacances.2. J'ai l'impression d'tre le dindon de la farce.3. J'ai envie de m'amuser.4. Jai peur dtre en retard.5. Jai le sentiment de mtre tromp.

Complte les questions.1. As-tu limpression (nous) (parler) trop vite?2. Ont-ils peur (aller) se promener seuls en fort ?3. Est-ce que vous avez envie (les enfants) (faire)la cuisine?4. As-tu besoin (on) (venir) taider prparer ta fte ?5. Avez-vous toujours horreur (se coucher) tt ?

Complte librementles phrases, comme danslexemple.

Il est temps de > Il est temps de partir parce quil est tard.

1. Il sagit de 2. Il a suffi de 3. Il est lheure de 4. Il vaut mieux 5. Il parat

3. Ce matin, la campagne tait toute blanche, 4. Cet arbre ne donnera pas de fruits cette anne, Faites un feu de chemine ce soir,

Quelles expressions avec avoir sontsuivies de la prposition de ?Lesquelles sont suivies dun nom ou duninfinitif ?

Y a-t-il une autre construction possible ?

Que remarques-tu dans ces constructions ? Daprs toi, peut-on changer le sujet ?

Pourquoi ?

Constructions avec avoir

faim / soifchaud / froid

avoirpeur / horreur de + nom/infinitifenvie / besoin

+que

l'impression de + infinitifle sentiment

+que

Constructions impersonnelleslies aux conditions

mtorologiques

Verbes impersonnels : pleuvoir/neiger/grler/geler

Il fait chaud/froid/bon/du vent/orageux

Il y a de la neige/du vent/de l'orage/ du soleil

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Tu nas plus peur. Comme il y a du vent !

Jai limpression dtre un oiseau.

Jai envie de planer.

Jai besoin de sentirmon cur battre.

Jaurais horreur de a.

Observe1) Le voyage a t long. J'ai faim et mes amisont soif.2) Tu peux ouvrir la fentre, si tu as chaud.3) Pourquoi as-tu peur de ne pas russir ?4) Nous avons envie de plonger dans la piscine.5) J'ai l'impression que tu ne m'coutes pas.6) Il a besoin d'aide.

Dcris le temps qu'il fait.

a.

b.

8Un pome du XXe sicle (pomes dApollinaire,dluard, de Prvert, de Queneau) destin rappeler la dimension potique de la langue(Coin posie) est propos la fin de chaquerubrique.Cette rubrique comporte deux ou quatre pages.

CINQUIME RUBRIQUE : MES PROJETSLa rubrique Mes projets invite les apprenants des ralisations concrtes dans une pers-pective interculturelle et dans un espritludique, dynamique et collectif. On y trouve

essentiellement des jeux de simulation (imagi-ner une brochure touristique, une exposition,raliser une carte des activits industrielles deson pays, prparer un journal de sa classe,imaginer une chane de tlvision, faire la pro-motion dun film, inventer une scne dethtre [improvisation], raliser une enqutesur les moyens de tlcommunication, raliserun horoscope, prparer le Jeu des portraits et y jouer). Ici, les apprenants peuvent plei-nement mettre en pratique toutes leursconnaissances et comptences en franais : onpasse du savoir au savoir-faire.

Structure du cahier Le cahier progresse en parallle avec le livre ;il est divis en trois rubriques : Grammaire,Mettre en pratique, Jeux. Il propose chaquefois une vingtaine dexercices complmen-taires de fixation et de remploi des struc-tures syntaxiques et des fonctions communi-catives. Instrument de travail, le cahier peuttre utilis en classe pour certaines activitscomplmentaires, mais surtout la maison

pour un travail autonome, avec correctionen classe. Il est donc un bon instrumentdvaluation des comptences propres dechaque lve. En outre la section Jeux per-met de tester plus agrablement les connais-sances des lves travers des grilles de motscroiss, des devinettes..., et elle offre desactivits stimulantes comme des sondages oudes tests de personnalit susceptibles de fairenatre des discussions.

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ME

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Le Passage des Alpes par Bonaparte, du peintre David.

AU COURS DE NOTRE HISTOIREIl s'agit de prparer un parcours historique de votre pays, avec des textes, des photos, des documents,des encadrs chronologiques

Choisissez ensemble quatre grandes priodes historiques que vous voulez couvrir. Formez quatre groupes et attribuez une priode traiter chacun.

Dans chaque groupe, partagez ensuite les tches par petits groupes (sous-groupes) : l'un vas'occuper dtablir le cadre chronologique, avec les dates et les principaux vnements, sousforme de tableau ; un autre sera charg de trouver des photos et des documents correspondant la priode convenue ; un autre rdigera une notice biographique des personnages marquantsou un rsum des principaux vnements.

Exemples du travail fournir

Prparation

Napolon Bonaparte (1769-1821)

N en Corse, il tudie lcole militaire de Brienne, dans lAube,et se distingue par son talent militaire lors des campagnes dItalieet dgypte. Il organise un coup dtat contre le Directoire, le9 novembre 1799, appel ds lors 18 Brumaire. Dabord consul,puis consul vie, il mne une importante rforme lgislative avecla cration du Code civil. En 1804, le Snat le proclame Empereur,sous le nom de Napolon Ier. Il se lance la conqute de lEuropeet sort victorieux lors de grandes batailles Austerlitz, Ina,Friedland, Wagram La bataille quil perd Waterloo marque lafin de son rgne. La coalition europenne dcrte son exil danslle de Sainte-Hlne, o il meurt en 1821.

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La Bataille de Waterloo (18 juin 1815), du peintre Dighton.

La bataille de Waterloo (18 juin 1815)

Waterloo est une commune belge, situe 18 km de Bruxelles. Lechamp de la bataille qui porte ce nom se trouve 5 km au nord decette commune. Les troupes de Napolon s'y sont battues contre lesAnglais et les Prussiens, qui ont remport la victoire. Cette dfaiteprovoque la seconde abdication de Napolon et la chute de sonempire. La bataille de Waterloo a inspir de nombreux crivains,tels que Stendhal (La Chartreuse de Parme) et Victor Hugo.

Chaque groupe fait une prsentation de la priode historique traite.

La prsentation doit commencer par le sous-groupe ayant prpar le tableau chronologiquequi sera affich et comment oralement aux autres groupes.

Le sous-groupe ayant rassembl des photos et de la documentation les prsente aux autres enles situant par rapport au tableau chronologique avec de brefs commentaires et en dessinant desflches qui les relient aux diffrents moments de l'histoire.

Les textes avec les notices biographiques ou les rsums sont ensuite joints. Un ou deuxmembres du groupe font un commentaire oral sur leur contenu.

Mise en commun

IMPROVISATIONS

Il faut prvoir trois petites botes destines recevoir des fiches :

Prparation

Formez six groupes.

Chaque groupe doit dcider dune situation interprter (scne de mnage, hold-up, conflitentre actionnaires dune socit).

Une fois les situations choisies, les mettre en commun en grand groupe pour carter lesdoublons et confirmer dfinitivement une situation diffrente pour les six groupes.

Chaque membre de chaque groupe tire ensuite sept papiers : un dans la bote personnages ,un dans la bote descriptions et cinq dans la bote actions .

Les six groupes se sparent pour dcouvrir les personnages quils doivent interprter, comptetenu du caractre tir au sort et des actions quils doivent raliser dans la situation attribue.

Chaque groupe sisole pour se mettre rapidement daccord sur la scne interprter, comptetenu des contraintes tires au sort et de la situation qui lui correspond.

Les six groupes joueront la scne, face tout le monde, en improvisant les rpliques.

Les spectateurs doivent prendre connaissance des contraintes, qui seront crites au tableau,pour voir si toutes les actions prvues ont lieu et si les personnages jouent en accord avec leurcaractre.

la fin de chaque improvisation, chaque spectateur remettra un papier sur lequel il aura critune note allant de 1 10 pour valuer la performance du groupe.

On comptabilise au tableau les points attribus chaque groupe et on proclame le groupechampion dans lart de limprovisation!

Mise en commun

Prsentation

Droulement

personnages descriptions actions

Chaque membre de la classe doit concevoir, sansse concerter, trois types de fiches sur des feuilles depapier :

1. une fiche avec le nom dun personnage invent ;2. une fiche avec la description du caractre dunpersonnage (faible/fort - sympathique/antipathique -timide/extraverti - rigolo/cynique) ;3. cinq fiches comportant la description duneaction (se lever - claquer une porte - se gratter latte - gifler son interlocuteur).

Une fois ces fiches rdiges, chaque lve plie lesfeuilles de papier en quatre (il doit y avoirsept papiers au total) et les dpose dans les botescorrespondantes : personnages , descriptions et actions .

faiblecynique a souvent des colres rentrescapable de tout

Madame Crvecur

casser un vase

9EXPLOITATION PDAGOGIQUELe niveau 4 maintient sensiblement la mmemthodologie et les mmes techniques pda-gogiques quaux niveaux prcdents. Bien sr,compte tenu de lge des lves, on privilgie-ra davantage la rflexion (notamment sur lesdocuments crits) et la production. La languede communication dans la classe devrait leplus possible tre le franais. Les paragraphes suivants retracent les grandeslignes de la mthode.

PREMIRE SQUENCE DE TRAVAILSUR LE DIALOGUEPREMIRE TAPE : LA PHASE DE MOTIVATIONMotivation initialePar motivation , on entend une phase destimulation de lintrt des lves indispen-sable pour que lenseignement porte ses fruits.Si les lves ont chang de professeur duneanne sur lautre, cette phase est indispen-sable pour crer des liens . Il est galement possible ce niveau de stimu-ler les lves en leur proposant de passer lafin de lanne quelques-unes des units duDELF Ados (diplme lmentaire de languefranaise) dlivr par le ministre de lduca-tion nationale franais. Lenjeu de ltude dufranais prend alors une dimension trs concr-te. La plupart des activits proposes dans BienJou ! 4 servent de prparation efficace cespreuves. Lensemble de la srie Bien Jou !prpare au DELF 1er degr (A1, A2, A3, A4).

Susciter lintrtLes thmes des diffrentes units sont toujourschoisis en fonction des intrts de jeunesadolescents et de la vie quils mnent.Contrairement aux autres niveaux de la mtho-de, le niveau 4 de Bien Jou ! ne prsente pasdhistoire continue mais ouvre sur le mondeparticulier de six groupes de jeunes. Chaqueunit nous prsente un univers spcifique, unethmatique prcise, une proccupation propreaux jeunes daujourdhui. Ainsi, on sinitieraaux sports extrmes avec Audrey et Fabrice(Unit 2), on se sentira concern par les pro-blmes de pollution avec Aurlien, Marjorie etRaphal (Unit 3), on abordera le sujet de lali-mentation travers lchange entre Assan etIsabelle (Unit 4), on sintressera aux nou-veaux moyens de communication (Internet) avecGabriel, Constance et Benot (Unit 5), on dcou-vrira une rgion et une fte populaire avec Joset Maryse (Unit 6) et on dcouvrira les Pyrnes

en compagnie de Margaux et Louis (Unit 7).Pour aller plus loin et garder une mme coh-sion thmatique dans chaque unit, les pagesNotre monde et Dhier aujourdhui appro-fondissent toujours lun des points culturelsabords dans le dialogue douverture. Lesapprenants trouveront ainsi beaucoup de plai-sir dcouvrir, lire, sinstruire.Comme toujours, le principe sera dessayer defaire ressortir les similitudes ou les diffrencesentre ce que vivent les personnages et le vcudes lves, entre le contenu informatif destextes et la ralit culturelle des jeunes et dedcouvrir galement les diffrentes facettes dela France et des Franais travers les simili-tudes et les diffrences quoffrent les rgionset les comportements, ainsi que dans sonpropre rapport avec certains objets ou inven-tions mondialement connus et utiliss, avec cer-taines notions universellement rpandues etpas toujours interprtes de la mme faon.Le questionnement interculturel trouve dci-dment bien sa place dans ce quatrime niveau.

Aplanir les difficults dordre psychologiqueet linguistiqueLe fait que chaque unit souvre sur des acti-vits prliminaires lcoute est la concrti-sation du principe didactique de motivation. En effet, cette phase prparatoire permet llve de mobiliser ensuite toutes ses capa-cits de comprhension au lieu dtre angois-s et certain, ds le dpart, quil ne compren-dra rien. Les photos pallient le manque din-formations drives de la situation de com-munication et, en les observant, on peut ddui-re des lments sur le lieu, sur le moment, surles personnages et leurs actions, sur leurs sen-timents, etc., qui sont importants pour la com-prhension du message oral.

La technique dobservation et de crationdhypothses est encore la mme au quatri-me niveau. Les lves y sont sans nul doute habi-tus, et cette phase de reprage des informa-tions dans limage et danticipation sur le sensdu dialogue se fera certainement beaucoup plusvite quauparavant. Lenseignant toutefoisinsistera pour que ce travail soit maintenanttoujours fait en franais. Les lves disposentdun bagage suffisant pour parler et formulerles hypothses en langue trangre.Ces hypothses seront ensuite vrifies aprs lesdiffrentes coutes. Le travail dcoute nest doncjamais gratuit mais finalis, ce qui est toujoursimportant pour soutenir lintrt de la classe.

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DEUXIME TAPE : LA PHASE DCOUTEET DE COMPRHENSION

Nature des textesLa forme dialogue a t maintenue au niveau 4.Il sagit toujours de dialogues construits pourles besoins de la mthode et de la progression,et par consquent contrls du point du vuede la nature des structures nouvelles intro-duites et de la quantit de mots nouveauxintroduits. Bien qu artificiels , ces dia-logues ont t tests auprs de jeunes Franaisqui ont jug de leur authenticit fictive.Composs de faon tre les plus ralistes pos-sible, ces dialogues contiennent toujours aumoins un exemple de chacun des objectifs lin-guistiques de la leon. Cest dire que lensemblede lunit est construit autour du dialogue dedpart et cest toujours en partant de lobserva-tion du dialogue quon largit ensuite la rflexionet quon introduit du matriel nouveau.La grande diffrence par rapport aux niveauxprcdents sera la longueur de ces dialogues :ils apparaissent en effet plus longs, et articulsen plusieurs interventions. Toutefois, cette lon-gueur ne posera pas de difficult majeure (len-registrement ne dpasse jamais 3 minutes), carla quantit de nouveauts introduites ne variepas, et par consquent, le proportion de nou-veaut par rapport au connu baisse. Ainsi, leslves auront-ils la satisfaction de comprendreplus de texte. Llve a, de plus, la possibilitdcouter la rubrique Notre Monde (sauf pourlunit 4) ainsi que le pome de la rubriqueCoin posie.

LcouteElle se fait bien sr toujours sans le texte critsous les yeux. Lenseignant a intrt main-tenir plusieurs coutes successives, avec desconsignes diffrentes de reprage des lmentslinguistiques. Le plus souvent, les activits dela rubrique couter et comprendre se ferontavec lensemble de la classe dans un dialogueprofesseur-lves. Ainsi, llve qui a moinsbien compris peut voir sclairer le texte encoutant les rponses de ses camarades. Maislenseignant peut maintenant utiliser les exer-cices vrai/faux comme activit de contrleindividuel de la comprhension aprs deuxcoutes par exemple, avant de passer la cor-rection collective. Ou bien il peut choisir detravailler progressivement question par ques-tion. Il demande aux lves de faire un signepour stopper le droulement de la cassettequand ils entendent la phrase qui permet dedonner la rponse.

Dans les questionnaires, il sagit dapprendreaux lves non seulement rpter la phrasedu texte qui correspond la question, mais la reformuler de faon lgrement diffrente.Cest une autre comptence dvelopper pourprparer faire un rsum.

TROISIME TAPE : LE TRAVAIL SUR LE TEXTECette phase consiste dabord en un travail surla prononciation et la lecture, puis un travaildaffinement de la comprhension du texte.

Prononciation et lectureLe processus est le mme quen premire anne: coute sans le texte sous les yeux, rptition,coute avec le texte, lecture.Lenseignant dispose toujours sur la cassette dunenregistrement en squences segmentes du dia-logue afin de permettre la rptition des lves.Il peut commencer ce travail sans que les lvesaient encore vu le texte ; il sagit alors dune fixa-tion de la prononciation et en mme tempsdune mmorisation de la forme orale des mots. Dans un deuxime temps, les lves rcoutentle texte tout en regardant sa forme crite.Lenseignant profitera de cette activit pourrevoir les points de phontique qui posentencore problme. Les dialogues du quatrime niveau ne se pr-tent pas vraiment une dramatisation, mais ilsse prtent fort bien un travail sur lintona-tion et la vitesse dlocution. On ne cessera derpter aux lves que souvent on nest pascompris quand on parle une langue trangre,moins parce quon fait des erreurs de pro-nonciation, que parce que le ton et le dbit nesont pas justes. Lenseignant pourrait doncdemander systmatiquement aux lves dap-prendre par cur un rle (il y a toujours plu-sieurs locuteurs) et faire redire le dialogue plusieurs voix, sans texte sous les yeux, demmoire uniquement.

tude plus approfondie du texteLa rubrique Travailler sur la signification estsimilaire celle du niveau 3. Elle propose desexercices pour consolider lassimilation du dia-logue douverture. On observe des mots, desexpressions idiomatiques, la structure de cer-taines phrases ; on essaie de comprendre lesniveaux de langue, les intentions de commu-nication. On travaille sur la synonymie et laparaphrase. Ces activits conduisent une com-prhension plus fine que celle qui a t obte-nue uniquement travers les exercices oraux.

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DEUXIME SQUENCE : APPROFON-DISSEMENTS LINGUISTIQUESUne fois que le texte est bien compris, on peutpasser aux phases danalyse et dassimilationo lenseignant va reprendre, expliquer etamplifier certains faits de langue prsents dansle dialogue douverture. Il sait quil doit dve-lopper le lexique, les fonctions linguistiqueset la grammaire. Pour viter la lourdeur dune tude systma-tique de lensemble de la double page degrammaire, lenseignant peut intercaler pr-sentation du lexique et points de grammaireou intgrer la grammaire lintrieur des acti-vits de la rubrique Travailler sur la significa-tion sil saperoit que celle-ci pose problme la classe. Ainsi, il profitera du moment o ilexplique une structure nouvelle ou un mot nou-veau dans le dialogue pour ouvrir une fentresur le point grammatical ou sur le champ lexi-cal. Puis il continuera ltude du dialogue. Lemanuel Bien Jou ! 4 se veut flexible et leprofesseur est donc tout fait libre dabordertelle partie dune unit avant telle autre.

LA PHASE DE COMPRHENSION ET DE FIXATIONDU LEXIQUE

Lenrichissement linguistique se fera autantau moyen des remue-mninges au dbut dechacune des sances que lors du travail appro-fondi des rubriques Notre monde et Dhier aujourdhui, trs riches en lexique contex-tualis choisi pour sa pertinence lintrieurdune thmatique prcise. Par exemple, enparlant de lUnivers, on trouvera les mots cra-tre, graviter, trajectoire, axe, satellite arti-ficiel, orbite, capsule, scaphandre, astro-naute, navette, constellation, la gravit, trounoir, big-bang, galaxie, Voie lacte, etc. Lesthmes suivants seront complts : les mtiers,les tlcommunications, la nature, les ani-maux, lagriculture, lalimentation, les moyensde transport, les sciences et la technologie.

Pour prsenter le lexique, les techniques nechangent pas : lenseignant peut faire couterla prononciation des mots et les faire rpter,en expliquer la signification. Il pourrait aussiorganiser des jeux pour en faciliter la mmo-risation. Par exemple, on crit au tableauquelques-unes des lettres qui composent un desmots de la rubrique, et les lves doivent le com-plter. Ou bien lenseignant peut donner ladfinition en franais du mot (mme avec desphrases qui ne seront pas comprises dans leurtotalit) et les lves doivent reconnatre cer-

tains dtails quils pourront relier un desmots de la liste. Enfin, on peut toujoursdemander aux lves dutiliser chaque motdans une phrase, ou encore, on peut propo-ser aux lves des phrases o il faut insrer lemot qui manque.

propos de la prononciation et de lor-thographeTout comme pour le niveau 3, le niveau 4 necomporte pas de rubrique spcifique pour laprononciation et lorthographe. Cest que lacorrection phontique et orthographique estau cur de chaque activit. Dans linterpr-tation des dialogues douverture, par exemple,lenseignant devra exiger une prononciation etun rythme dlocution corrects et tre assezintransigeant. On distinguera ainsi la com-ptence de lecture comme dchiffrage et lacapacit sexprimer spontanment sans quelaccent entrave la comprhension : ce ne sontpas toujours les mmes erreurs qui appa-raissent. Quant lorthographe, elle seraexerce dans les multiples activits critesproposes. Lenseignant peut toujours ren-voyer les lves aux livres prcdents pour desrvisions ponctuelles.

Si cela na pas t fait, lenseignant peut intro-duire lcriture phontique dans le cadredune initiation lutilisation dun diction-naire o la prononciation est toujours repor-te. En outre, apprendre les symboles phon-tiques dont certains sont communs la languematernelle et au franais permet dentamerune rflexion linguistique plus gnrale sur cequest une langue vivante.

LA PHASE DE LANALYSE GRAMMATICALELe retour la grammaire qui a caractris lestrois premiers niveaux ne se dment pas auquatrime niveau. La grammaire reste un despoints forts de la mthode. Claire, simple etfacile daccs, elle est aborde de faon activepar les lves invits rflchir sur les mca-nismes linguistiques quils observent. Le travail sur la grammaire peut toujours sedrouler en langue maternelle et, par souci desimplicit, les titres des paragraphes ne com-prennent pas de noms abstraits, mais desexemples. En effet, il est difficile pour un jeunede comprendre des explications mtalinguis-tiques en franais. Mais en quatrime anne,il peut tre intressant pour lenseignant din-troduire quelques-uns des noms mtalinguis-

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tiques en franais en les comparant avec ceuxde la propre langue des lves (les termes necorrespondent pas toujours), dautant plusque, dans le cahier dactivits, les noms desclasses grammaticales sont utiliss pourdmarquer les divers sujets abords. De mme,il pourra tenter dintroduire le franais, mmedans les explications, en reformulant deux foisson discours, en langue maternelle puis en fran-ais. Il pourra galement utiliser les exercicespour faire reformuler aux lves les rgles enfranais.

La technique de lanalyse demeure identique.Lenseignant guidera les lves dans lobser-vation des phrases slectionnes dans le dia-logue de dpart ou inspires de ce dialogue. Illes poussera expliquer ce quils observentpour que ceux-ci dcouvrent la rgle par eux-mmes. Alors, lencadr qui figure dans le livreest une synthse des dcouvertes et les lvessy rfrent lorsquils en ont besoin pour faireleurs exercices. Ce mcanisme, observation-formulation de la rgle par les lves, a lavan-tage de solliciter le raisonnement et de rendrelapprentissage plus conscient et plus profi-table. Il se prolonge par des activits imm-diates de fixation qui sont proposes dans lelivre mme pour que lapprenant passe de laphase inductive (je dcouvre) la phase dduc-tive (japplique). Insuffisants en quantit dansle livre, ces exercices sont multiplis dans lecahier dactivits.

Ce mcanisme dcrit est valable pour chacundes arguments proposs dans la double page.Chaque fois, on peut revenir au dialogue dedpart, on observe, on extrait la rgle.Lenseignant nest pas du tout oblig de fairetoute la grammaire dun coup, mais il peutaborder les diffrents arguments au fur et mesure de ses besoins. Par exemple, si en tu-diant le dialogue de dpart, il a constat desdifficults pour comprendre tel ou tel mca-nisme, il peut tout de suite partir sur larflexion grammaticale.

Un autre lment est important dans lap-prentissage dune langue, mais ne pouvaitapparatre dans ce livre dans la mesure o lesdestinataires sont de nationalits diverses : lacontrastivit. On sait que ce sont le plus sou-vent les diffrences de structuration entre lalangue maternelle et la langue trangre quiprovoquent lerreur. On sait aussi quunerflexion consciente sur ces diffrences peutaider lassimilation de la structure tran-

gre, ne serait-ce quen mettant un frein lau-tomatisme de la traduction directe de la langue1 dans la langue 2. Par consquent, lensei-gnant peut, sil le dsire, complter cetterubrique Coin grammaire par des flashs :Attention ! Contraste !Il est ensuite possible davoir une visioncomplte et organique des structures pr-sentes dans le prcis grammatical la findu volume. Celui-ci est particulirementutile, notamment en phase de rvision pourprparer un test de sortie de quatrime anneou pour se prparer aux preuves du DELFAdos.

LA PHASE DE LANALYSE ET DE LA FIXATIONDES EXPRESSIONS FONCTIONNELLES On ne peut plus parler ici de progression enspirale, mais dun parcours travers lven-tail de la typologie textuelle, en partant destextes les plus faciles (informations) pour arri-ver aux textes les plus complexes : largumen-tation, qui ntait quune simple prise de posi-tion (daccord, pas daccord) au niveau 2, exigedsormais la matrise des rapports de cause effet, de lexpression de lopposition, etc.

Lenseignant partira des exemples donns dansla rubrique pour faire rflchir les lves surle fonctionnement de la langue. Puis il pourrase reporter au dialogue de dpart pour recher-cher les lments similaires ceux dveloppsdans la rubrique. Il pourra conclure son tra-vail de rflexion en faisant remplir un tableau,ou en formulant les rgles dcouvertes de faonexplicite. Des propositions dexploitation pda-gogique sont formules dans ce guide.

TROISIME SQUENCE : ACTIVATIONDES CONNAISSANCESREBRASSAGE DES CONNAISSANCESDans ce troisime temps du travail didactique,on voudrait que lapprentissage se transfor-me en acquisition , cest--dire que lesnotions doivent passer du niveau dappren-tissage volontaire un niveau plus profonddemploi spontan.Les rubriques Jai compris ! et Je fais le point !proposent des activits de remploi aussi biengrammaticales que fonctionnelles et permettentdaider les lves mobiliser toutes leursconnaissances et, par consquent, tre plusautonomes dans leurs comptences linguis-tiques dans la mesure o les exercices proposs

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laissent plus despace la crativit des appre-nants. Les activits peuvent tre proposesoralement avec lensemble du groupe-classe,ou bien par crit, chacun faisant son exerci-ce avant la mise en commun.

EXERCER LA COMPRHENSION ORALELe professeur pourra entraner sa classe lacomprhension orale grce lenregistrementde la rubrique Notre Monde qui se prteradonc deux types de travail : ce travail decomprhension orale ainsi quun travailde comprhension crite, en fonction desbesoins des apprenants et des objectifsdapprentissage.

EXERCER LA COMPRHENSIONET LA PRODUCTION CRITES

La rubrique Notre Monde a t largementtendue. Les jeunes sont en effet en mesure decomprendre des textes plus longs et complexes,et le texte crit servira son tour de modle la production personnelle des lves.Lenseignant peut procder de plusieursfaons. Il peut lire lui-mme haute voix leou les textes. Lavantage est que la lecture qui marque les pauses, souligne certains mots,etc. aide les lves comprendre. Il pourraaussi faire couter le texte enregistr sur lacassette. Mais si lon veut directement mesu-rer la comprhension du texte crit, il vautsans doute mieux laisser du temps aux lvespour dchiffrer en silence les diffrents textesproposs. Il nest pas conseill de faire lire haute voix les lves sans que ceux-ci aient eula possibilit de prendre connaissance du texteauparavant. En effet, llve risque dtre plusattentif la prononciation quau contenu dutexte. Le texte mal oralis ne sera pas trs biencompris par les autres, et llve qui a lu nau-ra pas eu la possibilit de rflchir sur le sensde ce quil lisait. Cet exercice de lecture oralesans prparation, typique dans lenseignementde la langue maternelle, est manier avec pru-dence en langue trangre, car il met en jeuen mme temps des comptences dordre dif-frent.

Pour vrifier le degr de comprhension desdocuments crits, lenseignant procdera parphases qui reproduisent en quelque sorte lestapes du processus de la lecture en languematernelle.Lorsquon se trouve face un texte crit, unesrie dindices oriente le lecteur dans sa lec-ture future, avant mme quil ne se lance dans

la lecture proprement dite : il sagit de la dis-position du texte sur la page, des titres, desillustrations, des mots en majuscules ou critsen caractres diffrents, des dates que lonpeut reprer, etc. Sur la base de ces indices,le lecteur se construit mentalement et incons-ciemment une grille dhypothses. Ce quifait quon ne lit jamais un texte en tant tout fait neutre, on lit avec un horizon dattentes.Lenseignant pourra exploiter consciemmentcette fois cette activit mentale qui est natu-relle dans sa langue, et lest bien sr moins enlangue trangre.Il fera ainsi remarquer le titre, fera natre deshypothses partir de lobservation desphotos, etc.On remarquera que cest cette technique quiest aussi utilise dans la prsentation du dia-logue initial dans une unit didactique.Puis, on passera la lecture du texte. Le butest de guider les lves dans le reprage desinformations principales et des informationssecondaires, et dans la formulation de lidegnrale. On notera que cest l le travail pr-liminaire au rsum.

Lenseignant proposera donc un questionnaire.Ce questionnaire peut tre fait avec lensemblede la classe : lenseignant pose oralement lesquestions, les lves rpondent. La classe estdonc plus anime et les lves interagissentcontinuellement avec lenseignant. Lensei-gnant pourra choisir de se limiter aux rponsesorales, ou bien il fera faire ses lves un pasde plus vers la composition en travaillant aveceux sur la faon de rpondre par crit unequestion. Cest ainsi, par exemple, quil leurfera prendre conscience quon ne rpond pasde faon elliptique une question par crit,mais que la rponse devrait tre intelligible enelle-mme sans quon ait besoin de recourir la question pour comprendre. En dautrestermes, on leur apprendra reprendre laquestion lintrieur de la rponse.Par exemple, la question En tinspirant enpartie des textes, cite des exemples dappa-reils lectromnagers (p. 25), les lvesrpondront loral aspirateur, mixeur,robot , mais lcrit, il faudra reformulerla rponse. Dans un premier temps, onacceptera Laspirateur, le mixeur et le robotsont des exemples dappareils mnagers olon reprend la question ; dans un deuximetemps, on essaiera de pousser les lves reformuler de faon plus autonome : Parmiles diffrents exemples dappareils mnagers

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prsents dans les textes, on peut plus parti-culirement remarquer laspirateur, le mixeuret le robot.

Lenseignant peut aussi donner le question-naire directement par crit, par exemplecomme travail la maison. Dans ce cas, il peutdu mme coup vrifier la comprhension et laproduction. La correction se fera en classe.

Enfin, il passera la production crite auto-nome, laquelle ltude des textes prcdentsaura largement prpar. Les activits de pro-duction crite pourront tre faites en travailde groupe en classe, ou bien en travail individuel( la maison) avec correction personnalise.

QUATRIME SQUENCE : LES NOTIONSCULTURELLESAu niveau 3, les doubles pages culturellesconcluaient le travail de chacune des units,mais lenseignant pouvait intervenir toutmoment de lunit didactique avec les lmentsculturels si le besoin se prsentait dans laclasse, et en particulier au moment de lalecture des textes de Comprendre et crirequi avaient une forte charge culturelle.Dans le niveau 4, cette partie culturelle est aucur de louvrage (six pages par unit, rpar-ties entre les rubriques Notre Monde et Dhier aujourdhui).Lenseignant pourra toujours choisir entre untravail avec lensemble de la classe ou un travailpar groupes pour lobservation des documents.

Les activits de projet continuent. Elles ontlavantage de proposer une utilisation de lalangue en situation. Elles se feront toujoursen groupes et le professeur contrlera la par-ticipation active de chacun. Le problme estlutilisation intensive de la langue maternellepour raliser le projet. Bien sr, les comp-tences des lves seront peut-tre parfoislimites, mais lenseignant pourrait exigerquils sexpriment en franais entre eux enessayant de se faire comprendre, pendant,par exemple, un temps dtermin lavance

(2 minutes, 5 minutes, etc.). Celui qui intro-duit un mot de sa langue maternelle a un gage.En outre, ces activits de projet trouveraientleur pleine justification sil existait une cor-respondance (traditionnelle ou par Internet)avec une autre classe de franais dans un autrepays, ou bien avec une classe francophone. Lefranais deviendrait alors vritablement unelangue vhiculaire dinformations et les acti-vits ne seraient plus de simples simulations.La motivation des lves en serait considra-blement accrue.

CINQUIME SQUENCE : LVALUATIONLvaluation est toujours fondamentale pourllve et lenseignant. En effet, si llve estconscient de ses progrs et de ses difficults,il se sentira davantage concern par sonapprentissage soit parce quil se sent gratifi,soit parce quil comprend o et comment ilpeut agir pour samliorer. Sa motivation sentrouvera accrue. Lenseignant pourrait dureste faire tenir llve sa propre fiche dau-to-valuation afin quil apprenne se juger,et quil soit vritablement partie prenante dansson apprentissage.

Pour lenseignant, la phase dvaluation estfondamentale pour sa programmation. Il pro-posera, la fin de chaque unit, des tests decontrle qui figurent dans ce guide pdago-gique. Sur la base des rsultats obtenus, il orga-nisera des activits de renforcement pour leslves les plus faibles et de perfectionnementpour ceux qui sont en mesure de donnerdavantage.

Lvaluation finale que le professeur donnerade chaque lve tiendra compte, bien sr, nonseulement des rsultats chiffrs aux tests quisont des instruments de mesure, mais aussi dela disponibilit de llve et de son parcourspersonnel (une note moyenne na pas la mmevaleur chez un lve pour qui cest le plusmauvais rsultat et chez un lve qui a fait desprogrs immenses !).

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CONSEILS ET CORRIGSDES UNITS 1 8

DU LIVRE DE LLVEET DU CAHIER DEXERCICES

Rappelle-toi !

CONTENUS ET OBJECTIFS : Situations : se saluer se prsenter prendre cong demander et dire lheure quil est Thmes : villes et prnoms franais noms propres trangers et de villes trangres Grammaire : rvision : les articles, linterrogation, la ngation, les pronoms possessifs et

dmonstratifs, le nombre et le genre, limpratif, les verbes (modes et temps),le COD et le COI, le pass (imparfait et pass compos)

Culture : la France, les Franais et la langue franaise (gographie, francophonie,culture gnrale) la tour Eiffel la presse en France

Projet : fabriquer un plateau de jeu, raliser des cartes-questions travailler engroupes, respecter des rgles activer ses connaissances en franais

Que dit-on pour...Faire observer les diffrents lments (des-

sins et bulles).Les apprenants devront dabord, individuel-lement, faire correspondre bulles et dessins,puis ils dsigneront, lors dune participationorale, la fonction illustre.

Dessin du haut, gauche :Ae ! Oh ! Pardon. (Sexcuser.)

Dessin du haut, droite :Bonjour, monsieur. Bonjour, madame.Comment allez-vous ? Trs bien, merci. (Saluer.)

Dessin du bas, gauche :Au revoir, Paul. Salut, Julie ! bientt. (Prendrecong.)

Dessin du bas, droite :Tiens ! Merci beaucoup. (Remercier.)

Avant de commencer lactivit, bien faireobserver les deux dessins : le premier repr-sente un couple dadultes et le second uncouple denfants.Les adultes se serrent la main. Derrire eux,on aperoit la lune : faire donc dduire quelchange a lieu dans la soire ( Bonsoir ).Les enfants sont gnralement peu formels,alors que les adultes le sont lors de situationsprofessionnelles, de premires rencontres oude prsentations. On rservera par consquentles formules Salut ! Tu tappelles comment ? et Moi, je mappelle aux premiers et lesformules Enchante , Trs heureux , Permettez-moi , madame , monsieur aux seconds.Dessin de gauche : Bonsoir, madame. Bonsoir, monsieur.

Livre de llve, pp. 6 15 - Cahier dexercices, pp. 3 11

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Pour cette premire leon de lanne et enguise de prise de contact, le professeur peutinviter les lves feuilleter leur livre afinquils en prennent connaissance de faon glo-bale (reprage des diffrentes rubriques, dessimilitudes et des diffrences entre ce manuelet les prcdents, familiarisation avec lesthmes).Puis il rpondra aux questions que les appre-nants se posent concernant la maquette dulivre, les sujets abords, etc.Il leur fera alors noter les rubriques identiques celles des niveaux prcdents, celles qui ontdisparu, et les fera rflchir sur lorganisa-tion de ce nouveau livre qui rpond davanta-ge aux besoins dlves qui sont en quatrime

anne dapprentissage. Il insistera aussi surle fait que la premire unit est une unit dervision et que la huitime est une unit debilan.De plus, lenseignant exposera aux apprenantsla mthode qui sera toujours la sienne pourles dialogues des units 2, 3, 4, 5, 6 et 7, allant chaque fois de la comprhension globale la comprhension dtaille.Par exemple, lorsquil abordera lunit 2,avant de commencer les activits de la pre-mire double page, il vrifiera que les lvesont mmoris les diffrentes tapes du travailen classe : observation de la photo (il ny aplus de dessins ce niveau), reprage din-formation, formulation dhypothses, etc.

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Permettez-moi de me prsenter. Je suis PierreDufour. Enchante, Pierre. Moi, je suis Denise Corbel. Trs heureux de faire votre connaissance, Denise. Dessin de droite : Salut ! a va ? Salut ! Tu tappelles comment ? Je mappelle Mathieu et toi ? Moi, je mappelle Caroline.

Les deux dialogues proposs ici illustrent lamme fonction de salutation et de prsenta-tion ; les diffrences ne concernent pas le sta-tut de lchange langagier mais sa forme.

Faire travailler les apprenants par paires.Chaque binme observe les horloges. tourde rle, lun demande lheure, lautre ditlheure quil est.Pendant lexercice, faire le tour de la classeet aller de binme en binme afin dcouterchacun des lves poser une question ou don-ner une rponse.1. Quelle heure est-il ? Il est une heure. / Ilest treize heures. 2. Tu peux me dire lheure quil est, sil te plat ? Oui, il est six heures et quart. / Oui, il est dix-huit heures quinze. 3. Excuse-moi, est-ce que tu as lheure ? Oui,il est huit heures (du matin / du soir). / Oui, ilest vingt heures. / Oui, il est huit heures pile. 4. Est-ce que tu peux me donner lheure ? Oui, bien sr ! Il est dix heures moins le quart. /Il est neuf heures quarante-cinq. 5. Est-ce que tu aurais lheure, sil te plat ? Oui, il est onze heures moins dix. / Oui, il estdix heures cinquante. 6. Est-ce que tu sais lheure quil est ? Oui, ilest trois heures et demie. / Oui, il est quinzeheures trente.

La France, les Franais et la langue franaise

A. 1. Paris ; Toulouse ; Marseille ; Lyon ; Lille ;Bordeaux ; Caen ; Strasbourg ; Amboise ; Avignon ;Rouen ; Giverny...2. Il y a 22 rgions en France, parmi lesquelles :la Bretagne ; la Normandie ; lAlsace ; le Paysbasque ; le Barn ; la rgion Rhne-Alpes ; laBourgogne ; la Provence ; l le-de-France...(Cf. Bien Jou ! 3, page 16.)3. Il existe 96 dpartements, parmi lesquels : leLoiret ; le Loir-et-Cher ; les Vosges ; le Finistre ;le Var ; le Calvados... (Cf. Bien Jou ! 2, page 92.)4. La France ; le Qubec ; la Belgique ; la Suisseromande ; le Luxembourg ; lAfrique francophone

(le Mali, le Sngal, le Cameroun, Madagascar...)...(Cf. Bien Jou ! 1, page 22 et Bien Jou ! 3,page 87.)5. Paris ; Montral ; Bruxelles ; Dakar ; Antananarivo...6. La Belgique ; le Luxembourg ; lAllemagne ; laSuisse ; lItalie ; lEspagne ; le Royaume-Uni.7. Les Vosges ; les Alpes ; le Massif central ; lesPyrnes.8. La Seine ; le Rhin ; le Rhne ; la Loire ; laGaronne.9. Passy.10. Sophie Marceau ; Valrie Lemercier.

B. 1. Vrai au Qubec et un peu en Louisiane.2. Vrai (Cf. Bien Jou ! 1, page 22).3. Faux, il y a plus de 2 millions dhabitants (Cf. BienJou ! 1, page 40).4. Vrai (Cf. Bien Jou ! 1, page 58).5. Vrai (Cf. Bien Jou ! 1, page 76).6. Faux, cest un plat du Sud-Ouest (Cf. BienJou ! 1, page 94).7. Faux, cest la Socit nationale des chemins defer et elle relie les villes entre elles.8. Faux, lEurostar relie Paris Londres (Cf. BienJou ! 1, page 103).9. Faux, cest le Service dassistance mdicale dur-gence (Cf. Bien Jou ! 2, page 45).10. Vrai (Cf. Bien Jou ! 2, page 44).11. Faux, il date du XXe sicle (Cf. Bien Jou ! 2,page 69).12. Vrai (Cf. Bien Jou ! 2, page 80).13. Vrai (Cf. Bien Jou ! 2, page 104).14. Vrai (Cf. Bien Jou ! 2, page 91).15. Vrai (Cf. Bien Jou ! 2, page 81).

1. un... des... des - 2. le - 3. un - 4. la - 5. au...les - 6. du - 7. les... du... de la - 8. cet... la... la...l... la.

1 d - 2 c - 3 a - 4 f - 5 b - 6 e.

1. Non, il ny a personne dans la maison.2. Non, il ne pleut plus.3. Non, je ne veux rien de plus.4. Non, il ne parle pas toujours en franais.

1. ton - 2. leur - 3. cet - 4. cette - 5. ses - 6. ma.

A. 1. Les pres de mes copains sont ing-nieurs.2. Les oncles de ces garons ont des fils.3. Ces hommes et leurs assistants travaillent ici.4. Nous connaissons bien les fils des boulangers.Ils sont grands et blonds.

B. 1. La mre de ma copine est ingnieur.2. La tante de cette fille a une fille.

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3. Cette femme et son assistante travaillent ici.4. Elle connat bien la fille de la boulangre. Elleest grande et blonde.

C. 1. Les mres de mes copines sont ingnieurs.2. Les tantes de ces filles ont des filles.3. Ces femmes et leurs assistantes travaillent ici.4. Elles connaissent bien les filles des boulan-gres. Elles sont grandes et blondes.

A. 1. Rends-moi le livre de biologie. / Est-ceque tu peux me rendre le livre de biologie ?2. Prte-moi des CD de rap. / Est-ce que tu peuxme prter des CD de rap ?3. Fais attention la marche !4. Viens au cinma avec moi ! / Est-ce que tupeux venir avec moi au cinma ?

B. 1. Rendez-moi le livre de biologie ! / Est-ce quevous pouvez me rendre le livre de biologie ?2. Prtez-moi des CD de rap ! / Est-ce que vouspouvez me prter des CD de rap ?3. Faites attention la marche !4. Venez au cinma avec moi ! / Est-ce que vouspouvez venir avec moi au cinma ?

A. Par groupes : verbes du premier groupe en -er : jaime ;vous mangerez ; il parle ;

verbes du deuxime groupe en -ir : il finit ;elle rougissait ; elles grandiront ;

verbes du troisime groupe en -ir : tu partais ;je viendrai ;

verbes du troisime groupe en -oir : ils voyaient ; verbes irrguliers en -re : nous disons.

B. par temps :prsent : jaime ; il parle ; il finit ; nous disons ;imparfait : elle rougissait ; tu partais ; ils voyaient ;futur simple : vous mangerez ; elles grandiront ;je viendrai.

1. l... lui. - 2. vous... vous. - 3. leur... les... leur... m.

Ctait lt. Nous tions en vacances sur laCte dAzur. Soudain, nous avons trouv uneplage o il ny avait personne. Nous y sommesalls. Le sable tait fin. Mais le soleil sest cachet nous avons dcid de rentrer.

Comprendre et parlerFaire couter les extraits au moins deux foischacun.

1 f - 2 c - 3 i - 4 h - 5 g - 6 b - 7 a - 8 e - 9 d.

Attention ! Prciser pour cet exercice queles termes proposs dans la liste reproduitedans le manuel peuvent tre employs plu-sieurs fois (gare, TGV).Le voyage de LucieLucie habite prs de Lille. Elle a pris le TGV Lille-Paris. Une fois Paris, la gare du Nord, ellesest rendue la gare Montparnasse, probable-ment par le mtro. L, elle a pris le TGV Paris-Rennes. Arrive Rennes, elle a pris le train jus-qu Pontorson et, de l, un car qui allait au Mont-Saint-Michel.

1. Quel ge a ton frre ? / Quel est lge deton frre ?2. Comment tappelles-tu ? 3. Tu viens du Qubec ? Tu viens de Montral ?Tu es qubcois ?4. Dans quelle classe est-elle ? Dans quel collge ?5. Est-ce que tu aimes danser ?6. Est-ce que tu joues souvent au foot / tennis /basket-ball ?7. O tais-tu ?8. Quand tes-vous arrivs ? / Vous tes arrivsquand ?

1. Tu aimes le rock ?2. Oui, mais je prfre le rap.3. Moi, je naime pas tellement le rap.4. Tu joues de la guitare ?5. Non, je joue de la batterie.6. Jai une guitare. On va jouer ensemble.7. Super ! Jadore jouer de la musique !

1 d - 2 b - 3 a - 4 c.

1. Jhabite un appartement dans unimmeuble.2. Au troisime tage.3. Non, je partage ma chambre avec mon grandfrre.4. Si, cela arrive parfois. / Non, jamais, on sen-tend trs bien.

Exemples de rponses attendues :Bonjour. Je mappelle Marion, je suis franaise etjai 14 ans.Jhabite Toulouse, dans un immeuble, au 12,rue de la Garonne. Je vis avec ma mre, qui travaille comme htessede lair pour Air France laroport de Blagnac,et avec mon frre Romain, qui a 17 ans. Romainest en terminale et, moi, je suis en classe de 4e

au collge Apollinaire.Pendant les vacances, jaime bien voir mes amies,me promener le long du fleuve, faire les maga-sins et aller au cinma.

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Salut. Je mappelle Sebastian, je suis espagnol etjai 15 ans.Jhabite Comillas, une petite ville prs deSantander, dans une grande maison. Mon adres-se, cest Calle Alvarez, 6.Je vis avec mes parents et mes deux surs,Manolita et Esperanza.Cette anne, jai chang dtablissement scolaire.Je suis un peu perdu ici : lcole o jallais aupa-ravant tait beaucoup plus petite...Pendant les vacances, je suis all en France, chezdes amis de mes parents, Grenoble. Nous avonsfait des randonnes dans les Alpes presque tousles jours ; moi, jtais super content car jadore lanature et me promener.

Comprendre et crire1. Vrai. - 2. Vrai. - 3. Faux. - 4. Faux. - 5. Faux

(le texte dit pour admirer la ville ) et vrai (latour Eiffel se trouve sur une berge de la Seine,donc on peut admirer le fleuve depuis sonsommet).

1. Un quotidien parat tous les jours ; un heb-domadaire toutes les semaines.2. Ils sont distribus dans toute la France et di-ts Paris.3. On trouve des nouvelles nationales et inter-nationales, lactualit politique et conomique,ainsi que les faits divers, des vnements spor-tifs, des critiques de spectacles, des petitesannonces.4. Le journal quotidien Lquipe ne parle que desport.5. Spirou, Okapi et Phosphore sont des revuesfranaises pour les jeunes.

La salade de concombreA. Ingrdients2 cuilleres soupe dhuileun peu de menthedu sel et du poivrele jus dun demi-citronun concombreun yaourt

B. Prparationplucher le concombre et le couper en petitsmorceaux.Mlanger dans un bol le yaourt et le jus de citron.Placer les morceaux de concombre dans unsaladier.Verser la sauce dans le saladier et mlanger.Servir.

La mousse au chocolatA. Ingrdients2 cuilleres soupe de caf2 cuilleres soupe de sucre6 ufs30 grammes de beurre200 grammes de chocolat

B. PrparationFaire fondre le chocolat dans une petite casse-role avec le beurre.Ajouter les jaunes duf, un par un, en les mlan-geant au chocolat fondu.Monter en neige les blancs duf avec le sucre.Mlanger trs dlicatement les deux prparations.Mettre au rfrigrateur deux heures au minimum.

Il y a de fortes chances pour que la corres-pondante de Miguel soit Amandine. En effet, ellepartage les mmes passions (musique et sports)et rpond ses exigences physiques (brune auxyeux bleus).

Rponse libre.

Mes projetsLe jeu-testSuivre les indications du manuel. Demanderaux lves de sexprimer en franais duranttoutes les tapes prparatoires du projet. Sicela est difficile lors du travail de groupe (soitpour des raisons linguistiques, soit parce quetrop artificiel), exiger le franais au moins aumoment du jeu.

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Grammaire1. l... de - 2. un... une... de... des - 3. les... du -

4. de - 5. de - 6. de... de la... de - 7. des - 8. le...des... du... du... de la... un... la... aux - 9. la... les...le... au - 10. de.

1. leurs - 2. mon - 3. sa - 4. son - 5. ses -6. leur - 7. cette... cet.

1. Avec qui discutez-vous ?2. Quel parfum voulez-vous ?3. Do viennent-ils ?4. Quel pull vas-tu mettre ? (Lequel vas-tu mettre ?)5. Combien cote ce CD ?6. Qui est-ce ?7. Pourquoi est-ce quelle ne vient pas ?8. Depuis combien de temps habite-t-il Lyon ?9. De quoi avez-vous parl ?10. Jusqu quand vont-ils rester ?

1. ne... jamais -2. n... ni... ni - 3. ne... que...n... plus - 4. personne ne... ni... ni - 5. ne... plus -6. n. . . aucune - 7. ne... rien.. . n. . . jamais -8. ne... qu.

1. Le garon est sous un arbre, sur une chaiselongue.2. Le chat est sur le toit de la maison.3. Le vlo est dans le jardin, sur lherbe, ctde larbre.4. La maison est au fond du jardin, gauche delimage, derrire larbre.5. La table est ct de larbre, derrire legaron.6. Le baladeur est par terre, sous la chaise longue.7. Le ballon est sous la table.8. Les livres sont dans le cartable, sur la table.

1. au bout du - 2. prs... au bout de - 3. en -4. au - 5. loin du - 6. ... dans... chez... en - 7. prsde - 8. aux... au - 9. dans - 10. au.

a discut - ont accept - tait - a prpar -est all - a achet - avait - faisait - tait - a russi- est parti - est arriv - attendait - sont rentrs -a tlphon - tait bien arriv - allait bien - sontpartis

1. Non, je lai oubli au gymnase.2. Oui, ils lui ont crit.3. Oui, je te la prte pour le week-end.4. ... je leur ai laiss un message pour les inviter notre soire.

5. Je vous en ai envoy une pendant les vacances.6. Non, il ne nous les a pas donnes.7. Oui, il peut le lui prter.

1. Offrez-lui-en !2. coute-le !3. Souhaitons-leur une bonne soire !4. coute-moi, sil te plat !5. Racontez-moi une blague !6. Remercions-les pour leur cadeau !

Mettre en pratique

Rponse libre.

Rponse libre.

Rponse libre.

Proposition :

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C A H I E R

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Bruxelles, le 3 novembre

Chre Maria, Bonjour ! Comme on ne se connat pas enco-

re je vais me prsenter. Je mappelle Antoine,jai 14 ans et jhabite Bruxelles. Jaime lesmaths, la littrature, les langues trangres etla musique et je naime pas les gens dsa-grables !

Je fais beaucoup de sport : je joue au foot,au tennis et je fais aussi du judo.

Pour les vacances, jaime bien aller la mero je fais du bateau avec mes amis.

Dans ma famille, nous sommes trois enfants,mon frre, ma sur et moi.

Et toi, quest-ce que tu aimes faire ? Parle-moi de toi, de tes gots, de ta ville. Commentsont tes amis, as-tu des frres ou des sursou bien es-tu fille unique ?

Rponds-moi vite !

Amicalement,Antoine.

P.S. : Est-ce que tu pourrais menvoyer unephoto de toi, sil te plat ? Merci davance.

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Rponse libre.

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Lettre 1

Lettre 2

1. Le deux fvrier sept cent onze.2. Le premier septembre mille quatre cent quatre-vingt-douze (ou : quatorze cent quatre-vingt-douze).3. Le quatorze juillet mille sept cent quatre-vingt-neuf.4. Le dix-huit juin mille huit cent quinze.5. Le onze novembre mille neuf cent dix-huit.6. Le deux mars deux mille.7. Le quatorze janvier deux mille deux.8. Le vingt-deux mai deux mille dix.

Rponse libre.

Rponse libre.

Jeux1. Le Monde - 2. Le Figaro - 3. Libration -

4. LHumanit - 5. Le Point - 6. Ouest France -7. Lquipe - 8. Okapi - 9. Phosphore - 10. Elle

Rponse libre.

Chers copains,Quest-ce quon est bien en vacances ! Je ne

fais pas grand-chose. Je me repose au soleil.Il fait toujours beau et chaud ici. Je passe mesjournes sur la plage boire des boissonsfraches. Je suis dj tout bronz. Jaimerais bienne pas avoir rentrer au bureau !

Bonjour tous,Jacques

Le 3 janvier...Ma chrie,Me voil Montral. Cest une belle ville mais

il fait trs froid : les tempratures sont nga-tives, il y a beaucoup de vent et il neige : je suisgel. Jai hte de rentrer en France. Je revien-drais volontiers au Qubec mais la belle sai-son, au printemps ou en t, lorsquil fait pluschaud.

Je tembrasse,Philippe.

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coute et dbats !Demander dabord aux lves de masquer ledialogue de la page 16 (avec une feuille depapier, un livre...).Puis faire observer la photo.Inviter les lves la dcrire (objets, lieux,couleurs, actions...) : Quels sentiments celle-ci leur inspire-t-elle ? Leur demander do, leur avis, la photo at prise (gratte-ciel, hlicoptre, avion, del-taplane, ULM [ultra-lger motoris]...).Durant la description, essayer de faire pro-duire les mots saut llastique, peur et, sipossible, sensations fortes.Demander aux lves sils ont dj saut llastique, sinon, sils souhaiteraient le faire ;sils ont dj pratiqu des sports extrmes ;lesquels ? Rechercher quels sont les sportsextrmes pratiqus dans leur pays. Recenseralors au tableau les diffrents types de sportscits, puis inviter les lves les classer duplus au moins dangereux. Ajouter les termessaut llastique et parapente (sport quiconsiste sauter avec un parachute spcial,en dcollant du sol, partir dun terrain for-tement en pente), sils nont pas t voqus ;les expliquer si ncessaire.Proposer ensuite aux lves de sinterrogersur le titre du dossier : Lnergie de la per-formance . Que signifie la notion dnergie ?On parlera de lnergie dont on a besoin pourvivre (avoir de lnergie, tre dynamique...)mais aussi de lnergie lectrique (nergie natu-relle et nergie domestique par lhomme),afin de prsenter les grands thmes abordsdans lunit. Puis orienter la rflexion deslves vers la notion de performance : les invi-ter en rechercher une dfinition. On peutaussi leur proposer de trouver des synonymes(exploit, record, succs).

couter et comprendreFaire couter le dialogue une premire fois,livre ferm. Puis, livre ouvert et texte cach,faire lire les questions de lexercice 1 avantdcouter le dialogue une deuxime fois. Pource premier exercice, demander la classe derpondre collectivement.

1. llastique - 2. avec Audrey - 3. De la mon-tagne. (On considre que pont et viaduc sont

synonymes.) - 4. On senvole.

Faire lire les questions de lexercice 2 avantdcouter le dialogue une troisime fois.Interroger ensuite quelques lves et leurdemander de justifier leur choix.

1. Vrai (Audrey demande Fabrice sil estprt et il rpond : Oui, dans quelques minutes,enfin, jespre ! ).2. Faux (Fabrice rpond Audrey qui lui deman-de sil a peur : Si... encore un peu... ).3. Vrai ( Oui, jadore les sensations fortes ! ).

Pour le troisime exercice, faire lire les ques-tions et demander aux lves de noter leursrponses en coutant le dialogue. Sils ne com-prennent pas le mot parapentiste, leur rap-peler le mot parapente vu prcdemment pourles aider en deviner la signification.

Variante :Faire couter le dialogue et demander auxlves de lever la main pendant lcoute, lors-quils entendent les lments attendus pour larponse.

1. Lquipement des parapentistes estconstitu dun harnais, de freins et de ficelles.Et, bien sr, dun parapente (une grande voilerectangulaire).2. Pour dcoller, les parapentistes doivent attendre

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Lnergie de la performance

CONTENUS ET OBJECTIFS : Situation : Sensations fortes (deux jeunes pratiquent des sports extrmes) Thmes : lectricit, lectromagntisme et autres types dnergie Grammaire : lemploi du verbe avoir dans diffrentes locutions les constructions imper-

sonnelles Projets : prparer un parcours historique de son pays raliser le matriel nces-

saire pour faire des improvisations, jouer des scnes

Livre de llve, pp. 16 27 - Cahier dexercices, pp. 12 20

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les bons courants ariens. Il faut attendre des cou-rants dair qui montent afin de pouvoir dcolleret ensuite planer.3. On plonge la tte la premire dans le vide, dunpont (ou encore dun hlicoptre !).

Travailler sur la significationDemander aux lves de retirer le cache etfaire couter le dialogue avec la transcriptionsous les yeux.Proposer ensuite les exercices 4 et 5.

1 b - 2 b - 3 a - 4 b.

1. Cest gnial ! Jai limpression de planercomme a pendant des heures.2. Jadore les sensations fortes !3. Alors il vaut mieux que tu partes avant moi.4. On plonge la tte la premire dans le vide etil parat quon remonte deux ou trois fois avantde toucher terre.

Interroger quelques lves pour vrifier leursrponses et corriger les exercices.Puis procder un exercice de lecture seg-mente : le professeur fait couter une rpliquedu dialogue et demande ensuite un lve dela lire en imitant la voix entendue. Cet exer-cice oral a pour but de travailler la pronon-ciation des phonmes, le rythme et la proso-die de lnonc franais. Si llve a des diffi-cults rendre le rythme, procder des rp-titions par ajouts successifs (ex. : Eh oui ! //On plonge la tte la premire / dans le vide /et il parat quon remonte / deux ou trois fois /avant de toucher terre //). Le professeur pro-nonce la premire partie de la phrase, la faitrpter, puis il la relit, ajoute un lment (uneunit de sens) et fait rpter. Il procde ainsijusqu la fin de la phrase. Bien respecter lespauses rythmiques entre chaque unit de senset faire un rappel sur llision du [e] (le e muet).

Aprs cet exercice de lecture, vrifier auprsdes lves que le sens et le vocabulaire du dia-logue sont bien compris. Interroger la classe(rponses collectives) sur la signification decertains mots tels moniteur, dcoller, planer,balancer, etc. (rechercher des synonymes oudes dfinitions : un moniteur est une personnequi encadre, cest un professeur ; senvoler,voler, faire un va-et-vient dans le vide).

Proposer ensuite aux lves de travailler pargroupes de deux ou trois.

Les lves reliront le dialogue et relveront lesmots qui rfrent aux sports extrmes, mat-riel, conditions naturelles, actions, lieux : har-nais, freins, ficelles, moniteur, courantsariens, dcoller, planer, saut llastique,sensations fortes, viaduc, plonger, vide,remonter, balancer de droite gauche.Faire galement noter baptme de lair :expression utilise pour qualifier une premireexprience de vol, dans les airs.

Prenez la parole !

Exemple de rponse attendue : Mon sport prfr, cest le football. Dabord parcequon peut jouer plusieurs, avec ses amis.Ensuite, parce quil y a un objectif au jeu ; cestmarquer des buts. Et enfin, on peut courir, sau-ter, faire des passes : cest un sport la fois phy-sique et technique.

Exemples de rponses attendues :a. En ce qui me concerne, je sais que je ne pra-

tiquerai jamais un sport extrme : jaurais bientrop peur de me faire mal ou de me casserquelque chose ! Et puis, en plus, jai peur du vide ;jai dj le vertige quand je suis au troisime tagedun immeuble... Je crois que je prfre faire duvlo...b. Moi, je suis un peu partag. Dun ct, jado-rerais faire du saut llastique et dun autre ctje crois que je serais incapable de sauter, ou alors,il faudrait que le moniteur me pousse ! Mais jaidj pratiqu la varappe et a mavait bien plu :presque tout le monde peut en faire, mais cesttrs fatigant.

Exemple de rponse attendue :A : Salut Franois. Ton pre ma dit que tu allaisfaire du saut llastique. Tu vas vraimentsauter ?B : Oui, oui, je vais sauter cet aprs-midi du via-duc.A : Mais tu nas pas peur ? B : Un peu, si.A : Moi, je ne pourrais pas sauter, jaurais le ver-tige.B : Tu sais, il suffit de ne pas regarder dans le videet de plonger, comme la piscine.A : Peut-tre, mais jai peur rien que dy penser.

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DELF Ados, Unit A2, oral : prsentationet dfense dun point de vue

DELF Ados, Unit A1, oral 1 : simulationde dialogue

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B : Cest dommage, car quand tu dpasses tapeur tu ralises quel point cest gnial. Moi, jetrouve a vraiment passionnant !

Notre monde : lectricit etlectromagntismeAvant lcouteFaire remarquer les visuels et demander auxlves de les dcrire : Que voient-ils ? (Feu dar-tifice, clairs, cerf-volant, arc-en-ciel, tornade.) Est-ce quils aiment les photos ? Faire avancer des hypothses partir destitres de la page, des paragraphes et des illus-trations. Ainsi, les lves se sentiront rassu-rs et seront prts couter les textes, livreferm.

LcouteFaire couter la totalit des textes et deman-der aux apprenants de citer certains mots,noms ou expressions quils ont entendus.Poser des questions de comprhension globa-le ; ce stade, rester trs gnral et ne pasentrer dans les dtails : Quels sont les diff-rents sujets abords ? Proposer une deuxime coute et poser desquestions plus fines et dtailles.Arrter le magntophone la fin de chaquearticle/texte. Interroger les lves sur le voca-bulaire et la signification des termes nouveauxemploys.

La lectureLe professeur peut : choisir dinviter chacun une lecture silen-cieuse, individuelle : chaque lve travailleseul ; choisir de scinder la classe en groupes : cha-cun lit alors et tudie un texte particulier attri-bu par le professeur ; choisir de faire lire plusieurs lves hautevoix.Le travail en groupes se rvle souvent plusprofitable : tout le monde travaille, il y a unvritable change, chacun a loccasion de par-ler et de sexprimer. De plus, ce type de tra-vail est apprci des lves et dynamise lerythme de la classe.

Aprs la lectureDemander si les textes sont bien compris.Vrifier, le cas chant, par des questions de

comprhension globale : Quels sont les dif-frents sujets abords ? , etc.Proposer chaque groupe de prsenter le textesur lequel il a travaill ou bien interrogerquelques lves au hasard afin quils rsumentla teneur de certains des textes.Faire relever le vocabulaire nouveau, soit aufil de la lecture, soit de faon plus systma-tique, par thmes (par exemple, les types devent, les types de pluie, la lumire, etc.).Une fois que la comprhension globalesemble satisfaisante, passer la rubrique Jai compris ! .

Jai compris !

1. On dit que la Terre ressemble un aimantparce quelle produit des courants lectriques etcre un champ magntique.2. Le temps change dun jour lautre alors quele climat reste stable.3. Lclair se voit alors que le tonnerre sentend(cest une dtonation de lair chauff par les clairs).4. Il a fix une barre de mtal un cerf-volant eta attach une cl au bout de la corde. Pendantun orage, des tincelles se sont produites causede la barre en mtal, et Franklin a senti un choclectrique car le courant est pass par la corde eta atteint la cl. Son exprience a t loriginede linvention du paratonnerre.5. Cest Hans Christian Oersted qui a t le pre-mier comprendre le lien entre llectricit et lemagntisme.

1. Quand les rayons du Soleil traversent lat-mosphre, certains sont diffuss par les parti-cules de poussire et deau contenues dans lair.2. Les rayons bleus qui sont diffuss en prioritpar rapport aux autres couleurs arrivent jusqunous de tous les cts : cest pourquoi nousvoyons le ciel tout bleu au-dessus de nous.3. La lumire parat blanche, mais en fait ellecontient des couleurs.4. On aperoit les couleurs de larc-en-ciel quandles rayons du Soleil traversent les gouttes de pluie.5. Pour produire soi-mme un arc-en-ciel, on peututiliser un arrosoir : il suffit de verser leau dansun rayon de soleil.6. Le vent est un souffle dair froid qui prend laplace de lair chaud quand il monte.7. Les ouragans se forment au-dessus de locanet les tornades se forment au-dessus des terres.

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DELF Ados, Unit A3, crit 1 et oral : analyse de contenu

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Suggestion :Le temps quil fait est dtermin par lenchane-ment de diffrents lments. Dabord, il y a le Soleilqui est un lment principal : cest lui qui rchauf-fe la terre et la mer. Ensuite, la chaleur accumuledans la terre et la mer rchauffe son tour lairsitu au-dessus. Enfin, quand lair est rchauff, ilmonte et il est aussitt remplac par un courantdair plus froid, crant ainsi le vent. Plus le soleilchauffe fort, plus lair est chaud. De plus, lorsquele Soleil chauffe, une partie de leau de la Terresvapore et se maintient dans lair sous forme degaz. En se refroidissant, cette vapeur deau rede-vient de leau et donne naissance la pluie. Parfois,quand lair est charg dlectricit, des orages explo-sent, on voit des clairs et on entend le tonnerre.Un certain type de climat correspond une zoneclimatique particulire : cest le type de tempsquil fait habituellement dans une zone gogra-phique dtermine.

Coin grammaireBien suivre les indications du manuel quiorientent la rflexion mtalinguistique.

Avoir dans tous ses tatsDemander un lve de lire les cinq exemplestirs du dialogue. Puis proposer lexamenles six phrases du tableau Observe , inviterles lves lire les questions situes au-dessous et y rpondre.

Expressions avec avoir suivies de la prpo-sition de : avoir limpression de (+ infinitif) ;avoir besoin de (+ infinitif ou nom) ;avoir horreur de (+ infinitif ou nom) ;avoir peur de (+ infinitif ou nom) ;avoir envie de (+ infinitif ou nom).

Autre construction possible : avoir limpression + que + phrase subordonne.

Lire le tableau Constructions avec avoir etcomparer avec les observations faites par leslves. Lire ensuite lencadr Attention ! ,qui prsente les deux constructions possiblesutilises avec avoir peur/faim/soif. Fairelexercice 1.

1. Elle na pas mang depuis trois jours, alorselle a trs faim.2. Lors de notre expdition dans le dsert, jai eulimpression que jallais mourir de soif.3. Je nai pas voulu prendre lavion, car jai peurde voyager.4. a sent le brl, jai horreur de cette odeur.5. Aujourdhui je ne veux pas travailler, jai besoinde prendre des vacances.6. a fait trois nuits que je dors peu, cest pour-quoi jai trs envie de dormir.

1. Jai horreur que tu partes en vacances.2. Jai limpression que tu es le dindon de la farce.(tre le dindon de la farce est une expressionqui signifie tre celui qui se fait avoir, celuidont on rit .)3. Jai envie que tu tamuses.4. Jai peur que tu sois en retard.5. Jai le sentiment que tu tes tromp.

1. As-tu limpression que nous parlions tropvite ?2. Ont-ils peur daller se promener seuls en fort ?3. Est-ce que vous avez envie que les enfantsfassent la cuisine ?4. As-tu besoin quon vienne taider prparer tafte ?5. Avez-vous toujours horreur de vous couchertt ?

Il pleut sans arrt !Faire lire lexemple Comme il y a du vent ! .Proposer aux lves dexaminer les troisphrases du tableau Observe relatives lamtorologie. Leur demander ensuite de lireles questions situes au-dessous et dyrpondre.

Que remarques-tu dans ces constructions ? Les trois phrases commencent par il.

Daprs toi, peut-on changer le sujet ? Non, parce que ces trois verbes nacceptent pasdautres sujets. Impossible de les utiliser avec je,tu, elle, nous, vous, ils ou elles.

Lire le tableau Constructions impersonnelleslies aux conditions mtorologiques ainsique lencadr Attention ! .

1. Jentends le tonnerre, il va pleuvoir.2. Prends ton parapluie, il fait orageux.3. Ce matin, la campagne tait toute blanche, caril a neig cette nuit.

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DELF Ados, Unit A4, crit 1, exercice 1 :comprhension et transmission dinforma-tions partir dun ou plusieurs documentscrits brefs

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4. Cet arbre ne donnera pas de fruits cette anneparce quil a fait trop froid au printemps.5. Faites un feu de chemine ce soir, il y a duvent et il va faire froid cette nuit.

Avant lexercice, vrifier que les rgionsde France sont bien connues et faire rappelerles noms suivants : Nord, Sud, Est, Ouest,Centre, Bretagne, Cte dAzur, Pyrnes,Alpes, Auvergne, Vosges...

Rponses possibles :a. Il y a des nuages sur le nord de la France (Nord-Ouest, Nord et Nord-Est) ainsi que sur les Alpes,mais le soleil brille. Il fait beau sur lle-de-Franceainsi que sur la Cte dAzur et dans le Sud-Ouest,ce qui nest pas le cas en Auvergne et dans leCentre-Ouest o il y a de lorage.

b. Il y a des nuages au nord de la France et surlle-de-France. Il pleut en Bretagne et sur lesVosges ainsi que sur le Centre-Ouest. Il neige surles Alpes et dans le Sud-Ouest. Le soleil est timi-de sur lAuvergne/il fait bon en Auvergne. Il faitbeau sur la Cte dAzur.

Rponses possibles :1. Il sagit de prsenter la mto la tlvision.2. Il a suffi de parler du beau temps pour quilarrive.3. Il est lheure de rentrer la maison.4. Il vaut mieux que tu prennes ton parapluie.5. Il parat quil fait souvent trs beau en Bretagne.

Dhier aujourdhuiBien faire observer les illustrations de ladouble page ainsi que le titre Dhier aujourdhui : De quoi va-t-on parler ? Attirer lattention des lves sur les deux pho-tos en noir et blanc (lallumeur de rverbreset une femme utilisatrice de la premire machi-ne laver), qui reprsentent le pass, puis surcelle de laspirateur-purificateur, qui symbo-lise la modernit.Bien faire dcrire les photos, les actions et lemessage. De quelle poque datent les pho-tos ? Si on prenait une photo du mme coin derue en 2002, que verrait-on ? Comment seraithabille la femme ? Pour ce qui est de la partie lecture-compr-hension crite, se reporter aux paragraphestraitant de cette comptence dans la rubrique Notre monde .

Je fais le point !

1. Exemples t