bulletin de s -g...d’amour, des processus de maturation de sa liberté, de formation, de...
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BULLETIN DE SAINT-GEORGES
BULLETIN N° 300 DECEMBRE 2017
Eglise Saint-Georges Quai Fulchiron 69005 Lyon
www.eglisesaintgeorges.com secretariatsaintgeorges@gmail.com
Logement des prêtres : Maison Sainte-Blandine (MSB)
12 bis rue Sala 69002 Lyon 04 72 77 07 90
Abbé Hugues de MONTJOYE, recteur 06 65 23 07 92 abbedemontjoye@gmail.com
Abbé Laurent SPRIET, chapelain 06 14 18 07 61 abbespriet@gmail.com
Abbé Marc-Antoine DOR, vicaire à la Primatiale 06 77 35 33 65 abbedor@gmail.com
« Tu lui donneras le nom de Jésus (c’est-à-dire : Le-Seigneur-sauve),
car c’est Lui qui sauvera son peuple de ses péchés »
i je vous pose la
question : « De quel
évangile est tiré cette
phrase, et à qui est-elle adressée ? »,
je ne serai pas surpris que beaucoup
d’entre vous me répondent : de saint
Luc (l’évangile de l’Annonciation) et
parole adressée à Marie. Eh non ! La
citation est de saint Matthieu (1,21)
et ce sont les paroles de l’ange à
saint Joseph. Avouons que nous
connaissons assez mal les Saintes
Ecritures, et même l’évangile. Hum !
Hum !!
Cependant je voudrais attirer
votre attention ailleurs. Dès avant la
naissance de l’Enfant-Dieu, il est
clair pour Joseph et Marie, que Jésus
est bien le Sauveur promis par Dieu
depuis les origines, dont la venue a
été annoncée et préparée depuis des
siècles par les prophètes. Et il est
tout aussi clair qu’Il ne vient pas
libérer le peuple de la domination
romaine, mais de l’esclavage du
péché. « Tu lui donneras le nom de
Jésus (c’est-à-dire : Le-Seigneur-
sauve), car c’est lui qui sauvera son
peuple de ses péché ».
Pourquoi 2000 ans après le
Christ continuons-nous à attendre de
Jésus qu’Il nous délivre de la
maladie, du chômage, des
souffrances grandes ou petites que
nous devons porter dans notre corps,
dans notre cœur, dans notre esprit ?
Pourquoi surtout doutons-nous de
Lui s’Il ne nous exauce pas comme
nous l’attendions. « Et pourtant
j’avais tant prié ! ». Messes,
communions, neuvaines, prières en
tout genre, tout cela est bon et plaît à
Dieu, mais à condition qu’il n’y
manque pas la prière parfaite du
Notre Père, avec ses demandes
hiérarchisées. « Que votre Nom soit
sanctifié, que votre Règne arrive, que
votre Volonté soit faite ». Ensuite
vient « Donnez-nous aujourd’hui
notre pain de ce jour, pardonnez-
nous nos offenses, comme nous
pardonnons à ceux qui nous ont
offensés, et ne nous laissez pas
succomber à la tentation, mais
délivrez nous du mal ». Vous me
direz peut-être : la demande de pain
semble prioritaire sur la victoire sur
le péché. En fait, le pain quotidien
c’est d’abord le Pain de Vie
descendu du ciel, nourriture
essentielle de notre âme, pour
prendre des forces et repousser les
tentations de l’Ennemi.
Nous pouvons, bien entendu,
demander les biens matériels (une
maison, de quoi nous nourrir, des
habits, une voiture, et même tout ce
qui n’est pas nuisible à notre âme),
les bien du corps (la santé), et ceux
de l’esprit (la science, la réussite aux
examens, etc.), mais sans jamais
oublier que, puisque Jésus n’est pas
venu pour cela, s’Il permet que nous
soyons pauvres, malades,
abandonnés de tous, cela ne
signifiera pas qu’Il ne nous entend
pas, qu’Il nous abandonne,… qu’Il
n’existe pas !
Il nous propose bien plus que
tous ces biens périssables (qui sont
tout de même des biens, tant qu’on
n’en fait pas un mauvais usage en les
tournant contre Dieu) : Il nous
propose son Amour, un Amour
éternel et infini. Il n’y a rien de plus
grand, rien de plus beau, rien de plus
désirable ! Et combien n’y pensent
pas ! Il est vrai que quand on a le
ventre vide, il est difficile de penser
à autre chose qu’à la faim qui
tenaille, et c’est pourquoi saint
Vincent de Paul (un exemple parmi
tant d’autres) cherchait à nourrir les
corps pour mieux nourrir les âmes
ensuite. Mais pensez aux martyrs
d’hier ou d’aujourd’hui (peut-être
nous demain) : à la liberté et à tous
les biens promis en échange de leur
apostasie, ils ont préféré la croix,
conscients qu’ils y retrouveraient le
Grand Crucifié pour y partager la
folie de son amour. Ils témoignent de
la vraie hiérarchie des biens.
Redisons-le : demandons par-
dessus tout à l’Enfant qui va naître
dans la pauvreté de la crèche ce qu’Il
vient nous porter : la libération du
péché, le pardon de nos péchés,
l’union parfaite à Dieu par la grâce
sanctifiante, le salut éternel.
Demandez tout le reste ensuite, si
c’est conforme à la volonté de Dieu,
à sa plus grande gloire, au plus grand
bien de votre âme. Sans vous attrister
si vous n’avez que l’essentiel et non
l’accessoire. Vous seriez tellement à
plaindre si vous aviez l’accessoire et
non l’essentiel. Il y a tant de
malheureux qui s’ignorent, parce
qu’ils ont l’accessoire, le superflu,
sans l’essentiel.
S
Les paroles de Jésus dans le
sermon sur la montagne résonnent
durement à nos oreilles modernes
habituées aux discours sirupeux sur
le Jésus-tout-doux-qui-ne-sait-que
bénir : « Mais quel malheur pour
vous, les riches, car vous avez votre
consolation ! Quel malheur pour
vous qui êtes repus maintenant, car
vous aurez faim ! Quel malheur pour
vous qui riez maintenant, car vous
serez dans le deuil et vous
pleurerez ! Quel malheur pour vous
lorsque tous les hommes disent du
bien de vous ! C’est ainsi, en effet,
que leurs pères traitaient les faux
prophètes » (Luc 6, 24-26). Il
faudrait bien sûr lire tout le chapitre
6 pour mettre ce passage dans son
contexte. Néanmoins il doit nous
secouer : ne sommes-nous pas visés
par Jésus ? Nous savons que le terme
de « riches » ou de « pauvres » ne
désigne pas les riches ou les pauvres
selon le monde, mais l’attitude du
cœur qui nous rend suffisants ou
pauvres de cœur. Nous comprenons,
même confusément, que le Christ
renverse les valeurs de ce monde, la
sagesse de ce monde. Il leur substitue
les pensées de Dieu, les voies de
Dieu, la sagesse d’en Haut.
Le chrétien, disciple de Jésus,
doit être dans le monde, sans être du
monde. Alors pourquoi continuer à
juger selon le monde, à courir après
des bulles de savons ou des mirages
comme si notre bonheur dépendait
d’eux ? La société de consommation,
matérialiste et hédoniste, nous fait
creuser notre propre fosse, dans
laquelle nous nous noierons de
tristesse, si nous ne savons pas
mettre une juste hiérarchie dans les
biens qui nous entourent. C’est une
grave responsabilité des parents aussi
d’apprendre à leurs enfants à faire un
juste usage des biens, sans en devenir
les esclaves.
Que reste-t-il du charme
poétique de Noël quand il n’y a plus
rien à attendre en cette « douce nuit,
sainte nuit » que des cadeaux ?
Essayons de vivre ce temps de
l’Avent dans un vrai recueillement,
dans une prière plus fervente, en
demandant comme grâce de nous
reconnaître pécheurs et perdus, pour
laisser grandir en nous le désir du
salut, le désir du Sauveur, le désir de
Dieu. « Venez Seigneur Jésus ! »
« Venez Divin Messie ! »
Abbé Hugues de Montjoye +
Recteur
Première épitre de saint Jean chapitre 2
01 Mes petits enfants, je vous
écris cela pour que vous évitiez le
péché. Mais si l’un de nous vient à
pécher, nous avons un défenseur
devant le Père : Jésus Christ, le Juste.
02 C’est lui qui, par son sacrifice,
obtient le pardon de nos péchés, non
seulement les nôtres, mais encore
ceux du monde entier.
03 Voici comment nous savons
que nous le connaissons : si nous
gardons ses commandements.
04 Celui qui dit : « Je le
connais », et qui ne garde pas ses
commandements, est un menteur : la
vérité n’est pas en lui.
05 Mais en celui qui garde sa
parole, l’amour de Dieu atteint
vraiment la perfection : voilà
comment nous savons que nous
sommes en lui.
06 Celui qui déclare demeurer en
lui doit, lui aussi, marcher comme
Jésus lui-même a marché.
07 Bien-aimés, ce n’est pas un
commandement nouveau que je vous
écris, mais un commandement ancien
que vous aviez depuis le
commencement. La parole que vous
avez entendue, c’est le
commandement ancien.
08 Et pourtant, c’est un
commandement nouveau que je vous
écris ; ce qui est vrai en cette parole
l’est aussi en vous ; en effet, les
ténèbres passent et déjà brille la vraie
lumière.
09 Celui qui déclare être dans la
lumière et qui a de la haine contre
son frère est dans les ténèbres
jusqu’à maintenant.
10 Celui qui aime son frère
demeure dans la lumière, et il n’y a
en lui aucune occasion de chute.
11 Mais celui qui a de la haine
contre son frère est dans les
ténèbres : il marche dans les ténèbres
sans savoir où il va, parce que les
ténèbres ont aveuglé ses yeux.
12 Je vous l’écris, petits enfants :
Vos péchés vous sont remis à cause
du nom de Jésus.
13 Je vous l’écris, parents : Vous
connaissez celui qui existe depuis le
commencement. Je vous l’écris,
jeunes gens : Vous avez vaincu le
Mauvais.
14 Je vous l’ai écrit, enfants :
Vous connaissez le Père. Je vous l’ai
écrit, parents : Vous connaissez celui
qui existe depuis le commencement.
Je vous l’ai écrit, jeunes gens : Vous
êtes forts, la parole de Dieu demeure
en vous, vous avez vaincu le
Mauvais.
15 N’aimez pas le monde, ni ce
qui est dans le monde. Si quelqu’un
aime le monde, l’amour du Père n’est
pas en lui.
16 Tout ce qu’il y a dans le
monde – la convoitise de la chair, la
convoitise des yeux, l’arrogance de
la richesse –, tout cela ne vient pas
du Père, mais du monde.
17 Or, le monde passe, et sa
convoitise avec lui. Mais celui qui
fait la volonté de Dieu demeure pour
toujours.
RAPPEL : Le chapelet est récité tous les jours de la semaine à 18h
jeudi pour les prêtres vendredi pour la conversion des musulmans
Soyons nombreux à prier à ces belles intentions
Une belle coutume populaire de l'Avent : les messes « Rorate »
Les messes « Rorate » sont ainsi appelées en raison de l'Introït « Rorate, cœli, desuper »
« Cieux répandez d'en-haut ». Leur origine serait à rechercher au XVe siècle, dans les
régions alpines. Initialement, la messe Rorate était une messe votive en l'honneur de Marie,
Mère de Dieu, et fut donc célébrée essentiellement les samedis du temps de l'Avent. Elle fut
aussi appelée "Office angélique" (parce qu'on lisait l'évangile de l'Annonciation : Lc. 1, 26-
38) ou "Messe dorée". La particularité de la messe Rorate est qu'on la célèbre à la lumière
des cierges. Pour donner à l'Avent son empreinte particulière, on peut donc célébrer une telle
messe Rorate une ou plusieurs fois, les jours de férie du temps de l'Avent – mais seulement
jusqu'au 16 décembre, selon les normes de l'Église. L'important est qu'elle ait une certaine
solennité, qu'on célèbre à la lumière des cierges, et qu'on chante de manière appropriée le
« Rorate cœli » comme chant d'entrée.
Nous chanterons la messe « Rorate » à la lueur des cierges
Les samedis 9 et 16 décembre à 7h.
Un petit-déjeuner sera offert à la MSB pour ceux qui sont à la messe.
Préface de l'Avent
l est vraiment juste et nécessaire, c’est notre devoir et c’est notre salut, de vous rendre grâces toujours et
partout, Seigneur, Père saint, Dieu éternel et tout-puissant, par le Christ notre Seigneur. Lui qu’en votre
miséricorde et votre fidélité vous avez promis comme Sauveur au genre humain en perdition : dont la
vérité instruirait les ignorants, dont la sainteté justifierait les impies, dont la force soutiendrait les faibles.
Maintenant donc qu’approche le moment où doit venir celui que vous allez envoyer et que luit déjà le jour de
notre délivrance, confiants en vos promesses, nous exultons de saintes joies. C’est pourquoi, avec les Anges
et les Archanges, avec les Trônes et les Dominations, avec la troupe entière de l’armée céleste, nous
chantons une hymne à votre gloire, redisant sans fin : Sanctus…
LA CHORALE DE NOËL RECRUTE
Si vous êtes présents à la nuit de Noël (veillée à 22h, messe de la nuit à 22h30) n’hésitez pas à rejoindre la chorale (polyphonique et/ou grégorienne). Les enfants sont les bienvenus
Répétitions :
- mardi 12 de 20h à 21h (polyphonie) - samedi 16 de 15h à 17h (polyphonie) - mardi 19 : de 19h15 à 20h (grégorien); puis de 20h à 22h (polyphonie) - samedi 23 de 15h à 15h30 (grégorien et choeur d’enfants) puis de 15h30 à 17h30 (polyphonie)
GRAND MENAGE DE NOËL AVEC VOUS !
Samedi 16 de 14h à 16h Il ne se fera pas sans vous ! (vous pouvez venir avec vos enfants)
CONFESSIONS DE NOËL
Samedi 23 de 9h30 à 10h30 et de 17h à 19h – dimanche 24 de 17h à 19h
DEJEUNER DE NOËL A LA MSB POUR LES PERSONNES SEULES (LUNDI 25)
Nous prévenir avant le samedi 23, pour une bonne organisation de ce repas festif et fraternel
Nous cherchons parmi les paroissiens
un comptable ou expert-comptable S’adresser à l’abbé de Montjoye
I
Textes de la liturgie de l’Avent
ANTIENNES DES VEPRES DU PREMIER DIMANCHE DE L’AVENT :
1. Ant. Au jour du Messie, les montagnes distilleront la douceur, et le lait et le miel découleront des collines. Alleluia.
2. Ant. Réjouis-toi, fille de Sion ; tressaille, fille de Jérusalem. Alleluia
3. Ant. Voici que le Seigneur va venir, et tous ses Saints avec lui ; et il paraîtra en ce jour-là une grande lumière. All.
4. Ant. Vous tous qui êtes altérés, venez aux fontaines : cherchez le Seigneur pendant qu’on peut le trouver. Alleluia.
5. Ant. Un grand Prophète viendra bientôt, et il renouvellera Jérusalem. Alleluia.
CAPITULE (Rm 13,11) : Mes Frères, l’heure est venue de sortir du sommeil : car notre salut est plus proche que
lorsque nous avons commencé à croire.
HYMNE Creator alme siderum, basé sur le Conditor Alme Siderum (hymne du VIIème
siècle). Le Pape Urbain VIII l’a
mis à jour dans le bréviaire romain en 1632.
1. Puissant Créateur des astres, lumière éternelle des croyants, Jésus, Rédempteur de tous, écoutez nos vœux
suppliants.
2. Pour empêcher le monde de périr par la ruse du démon, Vous êtes venu, poussé par l’amour, le guérir de ses maux.
3. Pour expier du monde le crime universel, Vous sortez du sanctuaire virginal, victime sans tache, pour la croix.
4. Devant la puissance de votre gloire et au seul son de votre nom, Les cieux tremblent et les enfers courbent les
genoux.
5. Nous vous en supplions, grand Juge du dernier jour : Par les armes de la grâce d’en haut, défendez-nous de nos
ennemis.
6. Puissance, honneur, louange et gloire, à Dieu le Père, et à son Fils, Ainsi qu’au Saint Esprit, dans les siècles des
siècles. Amen.
V/. Cieux, répandez la rosée, et que les nuées fassent pleuvoir le Juste ;
R/. Que la terre s’ouvre et germe le Sauveur.
ORAISON
Faites paraître, Seigneur, votre puissance et venez, afin que nous méritions d’être arrachés par votre secours aux
imminents périls où nos péchés nous engagent, et d’en être sauvés par votre vertu libératrice. Vous qui, étant Dieu,
vivez et régnez avec Dieu le Père en l’unité du Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Amen.
LECTURE DES MATINES DU LUNDI DE LA PREMIERE SEMAINE DE L’AVENT :
Du Prophète Isaïe (1,16-18)
Lavez-vous, purifiez-vous ; ôtez de devant mes yeux la malignité de vos pensées ; cessez de faire le mal, apprenez à
faire le bien ; recherchez ce qui est juste ; secourez l’opprimé ; faites justice à l’orphelin, défendez la veuve ; et, après
cela, venez et plaignez-vous de moi, dit le Seigneur. Quand vos péchés seraient comme l’écarlate, ils deviendront
blancs comme la neige ; et quand ils seraient rouges comme le vermillon, ils seront blancs comme la laine la plus pure.
COMMENTAIRE DE DOM GUERANGER (dans l’Année Liturgique) :
Le Seigneur qui va bientôt descendre pour nous sauver, nous avertit non seulement de nous disposer à paraître
devant lui, mais de purifier nos âmes. « Il est bien juste, dit saint Bernard en son VI° Sermon de l’Avent, que l’âme,
qui était tombée la première, soit aussi rétablie la première. Différons donc le soin du corps jusqu’au jour où Jésus-
Christ viendra pour le réformer par la Résurrection ; car, dans le premier Avènement, le Précurseur nous dit : Voici
l’Agneau de Dieu qui efface les péchés du monde. Il ne dit pas les maladies du corps, ni les misères de la chair ; mais
les péchés, qui sont la maladie de l’âme et la corruption de l’esprit. O corps ! Garde-toi donc d’anticiper les temps. Tu
peux empêcher le salut de l’âme ; mais tu es impuissant pour le tien propre. Souffre donc que l’âme travaille pour elle,
et tâche toi-même de travailler avec elle ; parce que, si tu as part à ses souffrances, tu participeras à sa gloire. Autant tu
suspends sa réparation, autant tu retardes la tienne ; et tu ne seras jamais régénéré que Dieu ne voie auparavant son
image réformée dans l’âme. »
Purifions-nous donc, chrétiens : faisons les œuvres de l’esprit, et non plus celles de la chair. La promesse du
Seigneur est formelle : il fera succéder la blancheur la plus éclatante aux trop vives couleurs de nos iniquités. Il ne
nous demande pour cela qu’une seule chose : c’est que nous consentions à suspendre le cours de nos péchés. Cessez de
faire le mal, dit-il, et après cela, venez et plaignez-vous de moi. O Sauveur ! dès l’entrée de cette sainte carrière, nous
voulons profiter de vos avances. Nous voulons rentrer en paix avec vous, soumettre la chair à l’esprit, réparer nos
injustices à l’égard de nos frères, faire succéder les soupirs de notre componction à la voix de nos péchés, qui depuis
trop longtemps fatigue vos oreilles.
Neuvaine à l'Immaculée Conception
du 30 novembre au 08 décembre
Chaque jour de la neuvaine : la prière ci-dessous. Puis, 1 Notre Père, 10 Je Vous
Salue Marie, 1 Gloire au Père et 3 fois l'invocation suivante : "O Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous"
Le 8 décembre : Nous sommes invités à participer à la Messe et à la procession aux
flambeaux, en l'honneur de Notre-Dame.
Nos âmes profiteront mieux des grâces que l'Immaculée désire nous donner en nous
confessant au cours de la Neuvaine et recevant la communion lors de la Messe du 8
décembre de préférence. On prendra soin d'orner le coin prière de la famille ou le coin
prière personnel. Un bon repas en famille pourra clôturer cette neuvaine.
N'oublions pas de mettre des veilleuses sur le bord de nos fenêtres le soir du 8
décembre, pour dire MERCI à Marie et pour qu’elle veille sur nos familles.
Prière à réciter chaque jour : Très Sainte Vierge Marie, Reine des Anges et des saints, Médiatrice de toutes grâces, nous trouvons refuge auprès de
votre Cœur Immaculé, car vous êtes notre Mère. Accordez-nous, comme vous l'avez promis aux trois pastoureaux de
Fatima, de savoir offrir chaque jour notre vie pour le salut des pécheurs. Que votre amour maternel touche les cœurs
endurcis par le péché pour que tous les hommes, sauvés par le sang de votre Fils versé sur la croix, trouvent le chemin
de l'amour, de a pénitence et de la réconciliation avec Dieu et avec leurs frères. Alors, nous pourrons chanter, tous
ensemble et d'un seul cœur, le triomphe de votre maternelle Miséricorde. Amen.
Robert, cardinal Sarah - Vatican, le 25 mars 2017
Mission du 8 décembre
concernant tous les étudiants et jeunes pros
Vendredi 8 décembre :
- procession à Fourvière avec le diocèse à 18h30 (RDV à 18h à Saint-Georges)
- messe à Saint-Georges à 20h30
- évangélisation autour de l'église et plus loin de 22h à 22h30/23h et adoration par ceux qui veulent continuer à prier.
Samedi 9 décembre :
- messe « Rorate » chantée à 7h (à la lueur des cierges), suivie du petit déjeuner à la MSB.
- repas en commun à la maison Sainte-Blandine à 19h
- adoration tous ensemble à Saint-Georges de 20h à 20h30
- évangélisation autour de l'église et plus loin à partir de 20h30 et adoration par ceux qui veulent continuer à prier.
Une équipe du chapitre Saint-Martin, accompagnée d’un chanoine de Lagrasse, sera avec nous.
Préparez vos fêtes de Noël intelligemment :
Vente de vin au profit de la restauration du grand orgue
(muscat de Rivesaltes*, Côte du Roussillon rouge et rosé, Muscat sec…). Nous prenons les commandes jusqu’au lundi 5 décembre
Livraison et dégustation-vente le dimanche 17 à Saint-Georges. * il s’agit de l’excellent muscat qui a été servi et vendu au repas paroissial le 10 septembre
Achetez le CD de la chorale !
Le CD de la chorale s’est déjà très bien vendu (+ de 200),
et les échos sont très bons.
N’hésitez pas à en acheter encore pour offrir à Noël.
Les recettes vont à la restauration du grand orgue.
1 CD = 15 € ; 5 CD pour le prix de 4.
Demandez-le à la sortie de la messe ou à la sacristie.
Sagesse du juste et folie du pécheur
ls ne sont pas dans la vérité
lorsqu’ils raisonnent ainsi en
eux-mêmes : « Notre existence
est brève et triste, rien ne peut guérir
l’homme au terme de sa vie, on n’a
jamais vu personne revenir du séjour
des morts. Nous sommes nés par
hasard, et après, nous serons comme
si nous n’avions pas existé ; le
souffle de nos narines, c’est de la
fumée, et la pensée, une étincelle qui
jaillit au battement de notre cœur : si
elle s’éteint, le corps s’en ira en
cendres, et l’esprit se dissipera
comme l’air léger. Avec le temps,
notre nom tombera dans l’oubli, et
nul ne saura plus ce que nous avons
fait. Notre vie passera comme un
nuage, sans laisser de traces ; elle se
dissipera comme la brume chassée
par les rayons du soleil, écrasée par
sa chaleur. Nos jours passent comme
une ombre, l’heure de notre fin ne
peut être reculée : elle est scellée, et
nul ne revient. Alors allons-y !
Jouissons des biens qui sont là ; vite,
profitons des créatures, tant que nous
sommes jeunes : enivrons-nous de
bons vins et de parfums, ne laissons
pas échapper la fleur du printemps,
couronnons-nous de roses en
boutons, avant qu’elles ne soient
fanées ! Qu’aucun de nous ne
manque à nos orgies, laissons partout
des signes de réjouissance, car c’est
là notre part et c’est là notre lot !
Écrasons le pauvre et sa justice,
soyons sans ménagement pour la
veuve, et sans égard pour le vieillard
aux cheveux blancs. Que notre force
soit la norme de la justice, car ce qui
est faible s’avère inutile. Attirons le
juste dans un piège, car il nous
contrarie, il s’oppose à nos
entreprises, il nous reproche de
désobéir à la loi de Dieu, et nous
accuse d’infidélités à notre
éducation. Il prétend posséder la
connaissance de Dieu, et se nomme
lui-même enfant du Seigneur. Il est
un démenti pour nos idées, sa seule
présence nous pèse ; car il mène une
vie en dehors du commun, sa
conduite est étrange. Il nous tient
pour des gens douteux, se détourne
de nos chemins comme de la boue. Il
proclame heureux le sort final des
justes et se vante d’avoir Dieu pour
père. Voyons si ses paroles sont
vraies, regardons comment il en
sortira. Si le juste est fils de Dieu,
Dieu l’assistera, et l’arrachera aux
mains de ses adversaires.
Soumettons-le à des outrages et à des
tourments ; nous saurons ce que vaut
sa douceur, nous éprouverons sa
patience. Condamnons-le à une mort
infâme, puisque, dit-il, quelqu’un
interviendra pour lui. C’est ainsi que
raisonnent ces gens-là, mais ils
s’égarent ; leur méchanceté les a
rendus aveugles. Ils ne connaissent
pas les secrets de Dieu, ils n’espèrent
pas que la sainteté puisse être
récompensée, ils n’estiment pas
qu’une âme irréprochable puisse être
glorifiée. Or, Dieu a créé l’homme
pour l’incorruptibilité, il a fait de lui
une image de sa propre identité.
C’est par la jalousie du diable que la
mort est entrée dans le monde ; ils en
font l’expérience, ceux qui prennent
parti pour lui.
Livre de la Sagesse, chapitre 2
ais les âmes des justes
sont dans la main de
Dieu ; aucun tourment n’a de prise
sur eux. Aux yeux de l’insensé, ils
ont paru mourir ; leur départ est
compris comme un malheur, et leur
éloignement, comme une fin : mais
ils sont dans la paix. Au regard des
hommes, ils ont subi un châtiment,
mais l’espérance de l’immortalité les
comblait. Après de faibles peines, de
grands bienfaits les attendent, car
Dieu les a mis à l’épreuve et trouvés
dignes de lui. Comme l’or au creuset,
il les a éprouvés ; comme une
offrande parfaite, il les accueille. Au
temps de sa visite, ils resplendiront :
comme l’étincelle qui court sur la
paille, ils avancent. Ils jugeront les
nations, ils auront pouvoir sur les
peuples, et le Seigneur régnera sur
eux pour les siècles. Qui met en lui
sa foi comprendra la vérité ; ceux qui
sont fidèles resteront, dans l’amour,
près de lui. Pour ses amis, grâce et
miséricorde : il visitera ses élus.
Mais les impies subiront une peine à
la mesure de leurs pensées, car ils
ont méprisé le juste et abandonné le
Seigneur. Misérables, ceux qui
tiennent pour rien la sagesse et sa
discipline de vie : vide est leur
espérance, vaines leurs fatigues,
inutiles leurs œuvres, folles leurs
femmes, méchants leurs enfants, et
leur descendance, maudite !
Heureuse la femme stérile, si elle est
sans souillure et n’a pas connu
d’union coupable ; elle aura son fruit
lorsque les âmes seront visitées.
Heureux aussi l’eunuque dont la
main n’a pas fait de mal, et qui n’a
pas nourri de ressentiment contre le
Seigneur : une faveur spéciale lui
sera accordée pour sa fidélité, et,
dans le temple du Seigneur, il aura
une part très douce à son cœur. Les
efforts vertueux produisent un fruit
de renommée ; ce qui s’enracine
dans la sagesse ne peut manquer son
but. Mais les fruits de l’infidélité ne
parviendront pas à maturité, la
descendance d’une union illégitime
disparaîtra. Même s’ils vivent
longtemps, ils seront comptés pour
rien, et pour finir, on méprisera leur
vieillesse ; s’ils meurent tôt, ils
n’auront ni espérance ni consolation
au jour du verdict : pénible est la
destinée d’une génération injuste !
Livre de la Sagesse, chapitre 3
I
M
Exhortation apostolique
Evangelii Nuntiandi
du Pape Paul VI
sur l’évangélisation du monde moderne (8 décembre 1975)
Nous avons étudié ce très beau texte magistériel avec les étudiants du groupe Benoît XVI le
mois dernier. En voici un extrait marquant (n°80).
Avec la ferveur des saints
80. Notre appel s’inspire de la
ferveur des plus grands prédicateurs
et évangélisateurs dont la vie fut
donnée à l’apostolat : parmi eux il
Nous plaît de relever ceux que Nous
avons, au cours de l’Année Sainte,
proposés à la vénération des fidèles.
Ils ont su dépasser bien des obstacles
à l’évangélisation.
Notre époque connaît
également de nombreux obstacles,
parmi lesquels Nous nous
contenterons de mentionner le
manque de ferveur. Il est d’autant
plus grave qu’il vient du dedans ; il
se manifeste dans la fatigue et le
désenchantement, la routine et le
désintérêt, et surtout le manque de
joie et d’espérance. Nous exhortons
donc tous ceux qui ont à quelque titre
et à quelque échelon la tâche
d’évangéliser à alimenter en eux la
ferveur de l’esprit.
Cette ferveur exige tout
d’abord que nous sachions nous
soustraire aux alibis qui peuvent
nous détourner de l’évangélisation.
Les plus insidieux sont certainement
ceux pour lesquels l’on prétend
trouver appui dans tel ou tel
enseignement du Concile.
C’est ainsi qu’on entend dire
trop souvent, sous diverses formes :
imposer une vérité, fût-elle celle de
l’Evangile, imposer une voie, fût-elle
celle du salut, ne peut être qu’une
violence à la liberté religieuse. Du
reste, ajoute-t-on, pourquoi annoncer
l’Evangile puisque tout le monde est
sauvé par la droiture du cœur ? L’on
sait bien d’ailleurs que le monde et
l’histoire sont remplis de “ semences
du Verbe ” : n’est-ce pas une illusion
de prétendre porter l’Evangile là où
il est déjà dans ces semences que le
Seigneur lui-même y a jetées ?
Quiconque se donne la peine
d’approfondir, dans les documents
conciliaires, les questions que ces
alibis y puisent trop
superficiellement, trouvera une toute
autre vision de la réalité.
Ce serait certes une erreur
d’imposer quoi que ce soit à la
conscience de nos frères. Mais c’est
tout autre chose de proposer à cette
conscience la vérité évangélique et le
salut en Jésus-Christ en pleine clarté
et dans le respect absolu des options
libres qu’elle fera - en évitant toute
forme d’agissement qui aurait un
relent de coercition, de persuasion
malhonnête ou peu loyale - : loin
d’être un attentat à la liberté
religieuse, c’est un hommage à cette
liberté à laquelle est offert le choix
d’une voie que même les non
croyants estiment noble et exaltante.
Est-ce donc un crime contre la liberté
d’autrui que de proclamer dans la
joie une Bonne Nouvelle que l’on
vient d’apprendre par la miséricorde
du Seigneur ? Et pourquoi seuls le
mensonge et l’erreur, la dégradation
et la pornographie, auraient-ils le
droit d’être proposés et souvent,
hélas, imposés par la propagande
destructive des mass media, par la
tolérance des législations, par la peur
des bons et la hardiesse des méchants
? Cette façon respectueuse de
proposer le Christ et son Royaume,
plus qu’un droit, est un devoir de
l’évangélisateur. Et c’est aussi un
droit des hommes ses frères de
recevoir de lui l’annonce de la Bonne
Nouvelle du salut. Ce salut, Dieu
peut l’accomplir en qui Il veut par
des voies extraordinaires que lui seul
connaît. Et cependant, si son Fils est
venu, ce fut précisément pour nous
révéler, par sa parole et par sa vie,
les chemins ordinaires du salut. Et il
nous a ordonné de transmettre aux
autres cette révélation avec la même
autorité que lui. Il ne serait pas
inutile que chaque chrétien et chaque
évangélisateur approfondisse dans la
prière cette pensée : les hommes
pourront se sauver aussi par
d’autres chemins, grâce à la
miséricorde de Dieu, même si nous
ne leur annonçons pas l’Evangile ;
mais nous, pouvons-nous nous
sauver si par négligence, par peur,
par honte - ce que saint Paul
appelait “ rougir de l’Evangile ” -
ou par suite d’idées fausses nous
omettons de l’annoncer ? Car ce
serait alors trahir l’appel de Dieu qui,
par la voix des ministres de
l’Evangile, veut faire germer la
semence ; et il dépendra de nous que
celle-ci devienne un arbre et produise
tout son fruit.
Gardons donc la ferveur de
l’esprit. Gardons la douce et
réconfortante joie d’évangéliser,
même lorsque c’est dans les larmes
qu’il faut semer. Que ce soit pour
nous — comme pour Jean-Baptiste,
pour Pierre et Paul, pour les autres
Apôtres, pour une multitude
d’admirables évangélisateurs tout au
long de l’histoire de l’Eglise — un
élan intérieur que personne ni rien ne
saurait éteindre. Que ce soit la
grande joie de nos vies données. Et
que le monde de notre temps qui
cherche, tantôt dans l’angoisse,
tantôt dans l’espérance, puisse
recevoir la Bonne Nouvelle, non
d’évangélisateurs tristes et
découragés, impatients ou anxieux,
mais de ministres de l’Evangile dont
la vie rayonne de ferveur, qui ont les
premiers reçus en eux la joie du
Christ, et qui acceptent de jouer leur
vie pour que le Royaume soit
annoncé et l’Eglise implantée au
cœur du monde.
Paul VI
Vademecum pour les confesseurs : un texte qui s’adresse aussi aux laïcs.
L’année prochaine, l’Eglise
fêtera le 50ème
anniversaire du texte
prophétique du Bienheureux pape
Paul VI sur l’amour humain intitulé
Humanae Vitae (1968-2018). Mais
cette année, elle fête le Vademecum
des confesseurs publié en 1997 par le
Conseil Pontifical pour la Famille.
Ce texte n’a pas perdu son actualité.
Bien au contraire ! J’en cite ici
quelques passages qui peuvent parler
aux fidèles laïcs que vous êtes :
« Il faut que les parents
considèrent leur mission [de
transmettre la vie] comme un
honneur et une responsabilité,
puisqu'ils deviennent coopérateurs
du Seigneur dans l'existence d'une
nouvelle personne humaine, créée à
l'image et à la ressemblance de Dieu,
sauvée et destinée, dans le Christ, à
une Vie de bonheur éternel ».
« L'Eglise a toujours enseigné
la malice intrinsèque de la
contraception, c'est-à-dire de chacun
des actes conjugaux rendus
intentionnellement inféconds. Cet
enseignement doit être considéré
comme doctrine définitive et
irréformable. La contraception
s'oppose de manière grave à la
chasteté matrimoniale, elle est
contraire au bien de la transmission
de la vie (aspect de procréation du
mariage), et contraire au don
réciproque des conjoints (aspect
d'union du mariage). Elle blesse
l'amour véritable et nie le rôle
souverain de Dieu dans la
transmission de la vie humaine ».
« Une malice morale
spécifique, et plus grave encore, se
trouve dans l'usage des moyens qui
ont un effet abortif parce qu'ils
empêchent la fixation de l'embryon
fécondé depuis peu ou entraînent son
expulsion dès le début de la
grossesse ».
« Le comportement des
conjoints, toujours fondamentale-
ment ouverts à la vie, qui ne vivent
leur intimité que dans les périodes
infécondes, s'ils sont guidés par des
motifs sérieux de paternité et
maternité responsables, est
profondément différent de toute
pratique contraceptive tant du point
de vue anthropologique que moral,
parce qu'il s'enracine dans une
conception différente de la personne
et de la sexualité. Le témoignage des
couples qui, depuis des années,
vivent en harmonie avec le plan du
Créateur et qui utilisent d'une
manière licite, lorsqu'il y a une
raison proportionnellement sérieuse,
les méthodes dites "naturelles" à
juste titre, confirme que les époux
peuvent vivre intégralement, d'un
commun accord et dans une totale
donation, les exigences de la
chasteté et de la vie conjugale ».
« On demande aux prêtres
d'avoir, dans la catéchèse et dans
l'accompagnement des futurs époux
au mariage, des critères uniformes
aussi bien dans l'enseignement que
dans le domaine du sacrement de
Réconciliation, dans une fidélité
complète et totale au magistère de
l'Eglise, à propos de la malice de
l'acte contraceptif. Les évêques y
veilleront avec un soin particulier :
les fidèles sont souvent scandalisés
de ce manque d'unité aussi bien dans
la catéchèse que dans le Sacrement
de Réconciliation ».
Ces rappels sont évidemment
les bienvenus dans un monde
occidental toujours plus relativiste et
une Eglise toujours tentée par « la
mondanité » (pape François). Les
fidèles ont en effet le droit à la vérité.
Comme le disait le Bienheureux Paul
VI : « Ne diminuer en rien la
salutaire doctrine du Christ est une
forme éminente de charité envers les
âmes. Mais cela doit toujours être
accompagné de la patience et de la
bonté dont le Seigneur Lui-même a
donné l’exemple en traitant avec les
hommes. Venu non pour juger mais
pour sauver, il fut certes
intransigeant avec le mal, mais
miséricordieux envers les personnes.
Au milieu de leurs difficultés, que les
époux retrouvent toujours, dans la
parole et dans le cœur du prêtre,
l’écho de la voix et de l’amour du
Rédempteur. Parlez avec confiance,
chers fils, bien convaincus que
l’Esprit de Dieu, en même temps
qu’Il assiste le Magistère dans
l’exposition de la doctrine, éclaire
intérieurement les cœurs des fidèles
en les invitant à donner leur
assentiment. Enseignez aux époux la
voie nécessaire de la prière,
préparez-les à recourir souvent et
avec foi aux sacrements de
l’eucharistie et de la pénitence, sans
jamais se laisser décourager par leur
faiblesse » (HV 29).
En tout état de cause,
merci de prier pour tous les
prêtres qui sont les
« intendants des Mystères de
Dieu » (1 Co 4, 1) et les
ministres de sa miséricorde !
Qu’ils soient trouvés fidèles
au Seigneur et à son Eglise
dans son magistère !
Abbé Laurent Spriet +
Eduquer ?
lors que le chapitre 8 de
l'exhortation Amoris
laetitia fait toujours
couler beaucoup d'encre et donne
lieu à toujours plus d'interprétations
divergentes et contradictoires
(parfois en opposition avec le
magistère de l'Eglise qui s'est
exprimé notamment dans Familiaris
consortio n° 84 et dans Sacramentum
caritatis n° 29), le démon "se frotte
les mains" (qu'il n'a pas...) car
l'attention ne se porte pas sur le reste
du document ! Et pourtant ce texte,
qui demeure tout de même le fruit de
deux années de synode des évêques,
renferme bien des pépites d'or. Je
voudrais ici en relever quelques-unes
tirées du chapitre 7 sur l'éducation
des enfants. Je vous offre ici un
premier aperçu qui en appellera
d'autres dans les prochains mois.
[Protection et vigilance]
"La famille ne peut renoncer à
être un lieu de protection,
d’accompagnement, d’orientation,
même si elle doit réinventer ses
méthodes et trouver de nouvelles
ressources. Elle a besoin de se
demander à quoi elle veut exposer
ses enfants. Voilà pourquoi, elle ne
doit pas éviter de s’interroger sur
ceux qui sont chargés de leur
divertissement et de leurs loisirs, sur
ceux qui rentrent dans leurs
chambres à travers les écrans, sur
ceux à qui ils les confient pour qu’ils
les guident dans leur temps libre.
Seuls les moments que nous passons
avec eux, parlant avec simplicité et
affection des choses importantes, et
les possibilités saines que nous
créons pour qu’ils occupent leur
temps, permettront d’éviter une
invasion nuisible. Il faut toujours
rester vigilant. L’abandon n’est
jamais sain. Les parents doivent
orienter et prévenir les enfants ainsi
que les adolescents afin qu’ils
sachent affronter les situations où il
peut y avoir des risques d’agression,
d’abus ou de toxicomanie, par
exemple" (n° 260).
[Eduquer pour que l'enfant sache
choisir, seul et en toutes
circonstances, le bien, le vrai, le
beau]
"Mais l’obsession n’éduque
pas ; et on ne peut pas avoir sous
contrôle toutes les situations qu’un
enfant pourrait traverser. (...) Si un
parent est obsédé de savoir où se
trouve son enfant et de contrôler tous
ses mouvements, il cherchera
uniquement à dominer son espace.
De cette manière, il ne l’éduquera
pas, ne le fortifiera pas, ne le
préparera pas à affronter les défis.
Ce qui importe surtout, c’est de créer
chez l’enfant, par beaucoup
d’amour, des processus de
maturation de sa liberté, de
formation, de croissance intégrale,
de culture d’une authentique
autonomie. C’est seulement ainsi que
cet enfant aura en lui-même les
éléments nécessaires pour savoir se
défendre ainsi que pour agir
intelligemment et avec lucidité dans
les circonstances difficiles. Donc, la
grande question n’est pas : où se
trouve l’enfant physiquement, avec
qui il est en ce moment, mais : où il
se trouve dans un sens existentiel, où
est-ce qu’il se situe du point de vue
de ses convictions, de ses objectifs,
de ses désirs, de son projet de vie.
Par conséquent, les questions que je
pose aux parents sont : « Essayons-
nous de comprendre ‘‘où’’ en sont
réellement les enfants sur leur
chemin ? Où est réellement leur âme,
le savons-nous ? Et surtout, cela
nous intéresse-t-il de le
savoir? ». (...) L’éducation comporte
la tâche de promouvoir des libertés
responsables, qui opèrent des choix
à la croisée des chemins de manière
sensée et intelligente, de promouvoir
des personnes qui comprennent
pleinement que leur vie et celle de
leur communauté sont dans leurs
mains et que cette liberté est un don
immense" (n° 261 et n°262).
J'invite tous les parents de notre
communauté à méditer sur ces très
sages conseils en matière
d'éducation. Eduquer c'est protéger
mais ce n'est pas "couver".
L'éducation vraie vise à l'autonomie
de la personne. Un enfant et un
adolescent doivent être capables de
discerner le bien du mal et de choisir
le bien plutôt que le mal. Suite au
prochain bulletin…
Abbé Laurent Spriet +
Présentation de la "méthode Billings" à des jeunes femmes : témoignages
15 jeunes femmes ont reçu une
formation à la MSB vendredi 24
novembre dernier. Un nouveau franc
succès après la première expérience
de l'an dernier.
Premier témoignage :
« Je conseille vivement à toutes
les filles et femmes de s'initier à la
méthode. Cela ne coûte pas plus
qu'une soirée de formation agréable
avec un couple de
formateurs/moniteurs qui
généralement est un couple qui
pratique la méthode déjà depuis
longtemps. Notre nature – je
m'adresse aux filles et femmes –
nous parle déjà et nous toutes
apprenons depuis le début de l’âge
fécond à reconnaître les changements
périodiques de notre corps. C'est
dommage de ne pas apprendre à les
interpréter pour savoir précisément et
sur base scientifique quand ils nous
disent que notre corps est prêt à
concevoir et quand ils nous disent
qu'il ne l'est pas.
Petite note pour les indécises ou
les sceptiques. Pour les timides : le
cours est vraiment agréable, enseigné
en toute simplicité, discrétion, avec
naturel et professionnel, en petits
groupes. Pour celles qui n'ont pas le
temps : et si un soir dans l'année,
plutôt que regarder un film on se
concédait deux heures de formation ?
Pour celles qui n'envisagent pas
le mariage : Le soir de la formation
A
nous étions une quinzaine de filles,
dont une seule fiancée. C'est utile de
se connaître, même pour "gouverner"
sa santé. Et, enfin, mais ce n'est
qu'un avis personnel, il me semble
un acte de charité et de responsabilité
de se former à une méthode ne serait-
ce que pour aider - peut-être - un jour
une amie ou connaissance à mieux
vivre sa vocation de femme et mère.
Je vous invite à ne pas perdre cette
occasion, vous ne le regretterez pas.
Conseil d'une jeune femme qui est
allée à la formation pas du tout
convaincue et "poussée" par le
conseil d'un prêtre, que je remercie,
ainsi que le couple de formateurs ».
Deuxième témoignage :
« Nous étions une quinzaine de
jeunes filles à participer à cette
présentation de la "méthode
Billings". Un très bon moment qui a
permis à chacune d'entre nous de
découvrir ces méthodes naturelles de
régulation des naissances et
d'approfondir la connaissance du
fonctionnement de notre propre
corps. Merci au médecin et à son
épouse pour leur témoignage. A
conseiller à toutes jeunes filles ! »
A propos de l’accueil des Migrants (suite et fin) (tiré de Reconquête n°334 de janvier 2017 abonnement 50 € - 70 bd Saint-Germain 75005 Paris)
La question de l’accueil des migrants et des interventions nombreuses du pape sur le sujet (parfois difficiles à concilier), ne peut être éludée, tant elle pose de questions, non seulement aux gouvernants qui
ont en charge le bien commun temporel de la cité (c’est leur mission propre, et non la mission de l’Eglise), mais aussi aux
catholiques de base qui ont parfois du mal à s’y retrouver. C’est dans ce cadre que j’ai trouvé un article intéressant d’Yves
Daoudal qui pourra nourrir la réflexion. Je le remercie de nous avoir autorisés à le reproduire dans nos modestes colonnes.
Voici la dernière partie de son exposé (la première partie a été publiée dans le bulletin d’octobre, la deuxième dans le bulletin de novembre).
Abbé de Montjoye +
L’aide au développement
détournée
Cela fait penser à un autre
aspect de la question, qui est un effet
pervers de cet accueil massif de
populations allogènes. C’est l’ONG
ONE qui a dénoncé le fait, dans un
rapport. Elle a constaté que nombre
de pays utilisent de plus en plus leur
aide au développement pour financer
l’accueil des « réfugiés ». Autrement
dit on fait de plus en plus le contraire
de ce qu’il faut faire. L’argent qu’on
utilise pour assister les immigrants
est l’argent qui devrait servir à
développer leur pays d’origine pour
qu'ils puissent vivre dignement chez
eux.
L’afflux massif de soi-disant
réfugiés, dont on ne cesse de nous
dire que c’est une bénédiction pour
nos pays, coûte évidemment, en
réalité, très cher. Et les pays
occidentaux, notamment ceux de
l’Union européenne, ne sont pas
franchement florissants. Ils n’ont
donc pas d’argent de côté pour
entretenir les hordes de migrants
imprévus. Mais, puisque ce sont des
migrants, eh bien on n’a qu’à puiser
dans la caisse réservée à l’aide au
développement des pays d’où ils
viennent...
En dehors de l’aspect moral et
économique, on peut se demander
quelle est la légalité de ces
ponctions, dans un budget qui a été
voté par les parlements pour aider au
développement de pays du tiers
monde, et qui est utilisé pour un tout
autre motif.
Le plus ignominieux étant qu’on
aggrave la situation de pays qu’on
avait promis d’aider, et que ce faisant
on va aggraver encore
l’immigration…
Au moment où sortait ce
rapport, la dinde italienne qui sert de
Haut représentant pour la politique
étrangère de l'UE, Federica
Mogherini, disait : « Ce n’est pas un
phénomène qu’il faut entraver, au
contraire… C’est une chance
incroyable pour ceux qui quittent
leur pays et pour ceux qui les
accueillent… » Voilà quelle est la
position de la Haute Représentante,
de sa tour d’ivoire de Bruxelles.
C’est le genre d’exclamation
qu’on entend tout le temps, et qui ne
repose sur rien. Rien d’autre que
l’idéologie immigrationniste,
habillée de sentimentalisme pour
l’occasion.
Le bien commun national
Mais la seule question qui
vaille, sur le plan politique, est celle
du bien commun. Le compendium de
la doctrine sociale de l’Eglise nous
dit :
« La responsabilité de
poursuivre le bien commun revient
non seulement aux individus, mais
aussi à l'État, car le bien commun est
la raison d'être de l'autorité politique.
À la société civile dont il est
l'expression, l'État doit, en effet,
garantir la cohésion, l'unité et
l'organisation de sorte que le bien
commun puisse être poursuivi avec
la contribution de tous les citoyens.
(…) Le but de la vie sociale est le
bien commun historiquement
réalisable. »
Sur ce problème de
l’immigration, je crois que le grand
texte pontifical demeure le message
de Jean-Paul II pour la Journée de la
paix, le 1er janvier 2001. Il disait
ceci :
Dans un domaine aussi
complexe, il n'y a pas de formules «
magiques » ; il est toutefois de notre
devoir de mettre en évidence
quelques principes éthiques de fond
auxquels se référer. En premier lieu,
il faut se rappeler le principe selon
lequel les immigrés doivent toujours
être traités avec le respect dû à la
dignité de toute personne humaine.
Quand il s'agit de contrôler les
flux migratoires, l'évaluation que l'on
doit faire du bien commun doit se
plier à ce principe. Il faudra alors
concilier l'accueil qui est dû à tous
les êtres humains, spécialement aux
indigents, avec l'évaluation des
conditions indispensables à une vie
digne et pacifique pour les habitants
originaires du pays et pour ceux qui
viennent les rejoindre. Quant aux
éléments culturels dont les immigrés
sont porteurs, ils seront respectés et
accueillis dans la mesure où ils ne
sont pas en contradiction avec les
valeurs éthiques universelles,
inscrites dans la loi naturelle, ni avec
les droits humains fondamentaux.
Il est plus difficile de déterminer
dans quelle mesure les immigrés ont
droit à la reconnaissance juridique
publique de leurs expressions
culturelles spécifiques, qui ne
s'harmonisent pas facilement avec les
mœurs de la majorité des citoyens.
Dans le cadre d'une ouverture
notable, la solution de ce problème
est liée à l'évaluation concrète du
bien commun à un moment
historique précis et dans une
situation territoriale et sociale
donnée. Cela dépend beaucoup de la
présence dans les esprits d'une
culture de l'accueil qui, sans céder à
l'indifférentisme concernant les
valeurs, sache lier les raisons de
l'identité et celles du dialogue.
D'autre part, comme je l'ai
précisé plus haut, on ne peut sous-
estimer l'importance de la culture
caractéristique d'un territoire pour un
développement équilibré de ceux qui
appartiennent à ce territoire depuis
leur naissance, spécialement à l'âge
le plus délicat de leur croissance. De
ce point de vue, on peut retenir
comme orientation plausible celle
qui consiste à garantir dans un
territoire déterminé un certain «
équilibre culturel », en rapport avec
la culture qui l'a surtout marqué; un
équilibre qui, tout en s'ouvrant aux
minorités et en respectant leurs droits
fondamentaux, permette la pérennité
et le développement d'une «
physionomie culturelle » déterminée,
c'est-à-dire du patrimoine
fondamental composé de la langue,
des traditions et des valeurs qui sont
généralement liées à l'expérience de
la nation et au sens de la « patrie ».
Voilà. Donc il faut accueillir
l’étranger, mais à condition que cela
ne soit pas contraire au bien commun
et à condition que cela ne menace
pas l’identité de la nation.
C’est clair. Et l’on constate qu’il
y a de nombreux endroits en Europe,
et depuis longtemps désormais, où a
disparu le « patrimoine fondamental
composé de la langue, des traditions
et des valeurs qui sont généralement
liées à l'expérience de la nation et au
sens de la patrie ».
Le suicide de l’Europe
Et l’on peut aller plus loin.
Quand une nation ne sait plus
vraiment quelle est son identité, elle
se montre incapable d’assimiler des
immigrés. Cela, c’est Mgr Antonio
Maria Veglio, président du Conseil
pontifical pour les migrants, qui le
soulignait en septembre 2011. Et
pourtant Mgr Veglio est un grand
défenseur des migrants. Mais,
justement, il disait :
« Dans l’intention d’accueillir
des personnes de différentes cultures
et/ou religions et d'établir un
dialogue constructif avec elles,
l’Europe a étouffé les principes et les
valeurs qui ont marqué sa naissance
et l’ont modelée. Ainsi le continent
européen a passé sous silence et,
peut-être, a méconnu ses racines
chrétiennes. Cela empêche un accueil
adapté et une réelle intégration des
immigrés qui viennent d’autres
contextes culturels puisqu’il est
impossible d’établir un dialogue avec
une terre qui semble dépourvue de
physionomie et d’histoire, sans
principes communs ni valeurs
fondamentales. A une identité fanée
s’ajoute une acceptation des migrants
réalisée de manière passive et
justifiée par un désir irénique de
tolérance. »
Je ne voudrais pas conclure de
façon trop pessimiste, mais il faut
dire la vérité. Et la vérité est que la
nature a horreur du vide. Si des
hordes de migrants fondent sur
l’Europe, c’est parce que l’Europe ne
croit plus en elle-même ni à son
avenir et donc ne fait plus d’enfants.
C’est en 2015 que pour la
première fois de son histoire, il y a
eu davantage de décès que de
naissances dans l’Union européenne
: 5,2 millions de morts pour 5,1
millions de naissances. Sans compter
les millions d’avortements : si on
comptait les assassinats d’enfants
dans le ventre des mères cela ferait
longtemps que l’Union européenne
serait en déficit démographique
chronique.
2015, comme par hasard c’est
l’année où a déferlé sur l’Europe la
grande vague des migrants
musulmans déguisés en « réfugiés ».
Qui a quand même permis à la
population de l’UE de croître, nous
dit-on benoîtement... Une croissance
extra-européenne et musulmane de
l’ex-Europe chrétienne.
Yves DAOUDAL
Nouveau jeu de 7 familles « Dynastie » : après les Mérovingiens, voici les Carolingiens !
Vente en ligne jusqu'au 11 décembre sur le site ulule https://fr.ulule.com/dynastie2/.
Les jeux seront livrés avant Noël.
Créés par une maman de Saint-Georges pour instruire ses enfants, les jeux de 7 familles DYNASTIE ont pour objectif de transmettre le goût de l'histoire de France. Grâce à leur système original de fresques chronologiques, ils permettent d'acquérir une connaissance précise des événements historiques français et des personnages qui en sont les acteurs. Ils sont beaux, illustrés, qualitatifs et pratiques, et répondent à un besoin réél : transmettre les bases de notre culture française. Si vous aimez l'histoire, n'hésitez pas à parler de ce travail autour de vous, à « liker » et à partager la page Facebook de DYNASTIE. La réussite de ce projet repose sur le bouche à oreille car nous n'avons pas encore les moyens de nous faire connaître autrement. Pour en savoir plus, vous pouvez
aussi voir une vidéo de présentation de DYNASTIE sur YouTube: https://youtu.be/0nplxS_p9W0
Petites annonces
STAGE : Jeune étudiante en seconde année de licence Administrations publiques à l'IMPGT (Institut de
Management Public et de Gouvernance Territoriale d'Aix-en-Provence) souhaiterait vivement réaliser son stage de fin
d'année (au moins 6 semaines à partir du 16 avril 2018) au sein d'une entreprise publique ou privée pour étudier les
rouages internes, l'organisation ainsi que son implantation dans le pays. Contact Loïse LYONNET
loiselyonnet@yahoo.fr ou 06 37 91 85 34
STAGE : Etudiante en troisième année de Biologie à l’Université Claude Bernard Lyon 1 - parcours
Biologie Cellulaire et Génétique à la recherche d’un stage du 9 avril au 9 mai 2018 dans une équipe de recherche
en biologie cellulaire/physiologie/infectiologie (étude des signalisations cellulaires, tumorigenèses, interactions hôte-
pathogène, maladies infectieuses…) Contact : Elsa Véron elsa.veron@etu.univ-lyon1.fr
POSTE : Jeune femme à la recherche d'un poste d'assistante de gestion dans l'immobilier souhaite
mettre à profit les différentes qualités acquises au cours de ses dernières expériences. Tout autre poste, s'il permet une
évolution et un investissement personnel, serait une opportunité. Contact Marie CARLHIAN m.carlhian@live.fr
Cours de musique : Felipe Lesage propose des cours de musique à domicile : chant particulier, chant choral
en famille, piano, solfège et écriture musicale. Contact : 06 95 91 87 46.
Maraudes: les personnes ayant de la nourriture à donner (stocks pouvant être facilement conservés) ou
affaires chaudes peuvent les fournir pour les maraudes organisées le lundi soir par la conférence Saint-Vincent de
Paul de Saint-Georges. Contact Pierre HENRI-ROUSSEAU 06 66 95 22 39
Collecte de couvertures et vêtements chauds pour les SDF de la presqu’ile : les déposer à l’église ou
contacter Clément Rivoal : 06 40 44 26 14.
Retraite de 5 jours selon les exercices de saint Ignace
Pour tous (à partir de 17 ans) Exercices spirituels prêchés par les abbés Gérald de Servigny et Fabrice Loiseau
Du mardi 26 (10h) au samedi 30 décembre (17h) à Notre Dame de l’OUYE (Région parisienne).
Renseignements et inscriptions : Abbé G. de Servigny : 06 67 23 27 72
http://www.retraite-st-ignace.net/ ou : retraite.st.ignace@wanadoo.fr
Rosaire mensuel pour la Vie : Samedi 16 décembre à 10h30
chaque 3ème
samedi du mois à 10h30 sur l’esplanade de Fourvière (devant la statue de saint Jean-Paul II)
INDULGENCES du 31 décembre et du 1er janvier
Tiré de : Manuel des Indulgences, Normes et Concessions,
publié par la Pénitencerie Apostolique le 16 juillet 1999 pour l’original en latin,
le 22 février 2000 pour la traduction française
Une indulgence plénière est
accordée au fidèle qui participe
dévotement dans une église ou un
oratoire au chant ou à la récitation
solennelle de :
- l'hymne Te Deum le dernier
jour de l'année, en action de grâce à
Dieu pour tous les bienfaits reçus au
long de l'année. (concession 26 §1, 2°)
- l'hymne Veni Creator le
premier de l'an pour implorer l'aide
divine pour tout le cours de l'année,
ou encore en la solennité de la
Pentecôte (concession 26 §1, 1°)
NB à Saint-Georges :
- Chant du Te Deum dimanche 31
décembre après chaque messe.
- Chant du Veni Creator lundi 1er
janvier à 8h30 avant la messe.
Rappels sur les indulgences :
1. Les indulgences sont la
rémission devant Dieu de la peine
temporelle due pour les péchés dont la
faute est déjà pardonnée. À certaines
conditions, le fidèle acquiert cette
rémission, pour lui-même ou pour les
défunts, par le ministère de l’Église
qui, en tant que dispensatrice de la
rédemption, distribue le trésor des
mérites du Christ et des saints.
2. Pour gagner l’indulgence
plénière, en plus d’exclure toute
affection au péché, même véniel, il est
requis d’accomplir l’œuvre
indulgenciée et de remplir les trois
conditions : confession sacramentelle,
communion eucharistique et prière aux
intentions du Souverain Pontife.
3. Les trois conditions peuvent
être remplies plusieurs jours avant ou
après l’accomplissement de l’œuvre
prescrite ; cependant, il convient de
recevoir la communion et de prier aux
intentions du Souverain Pontife le jour
même où l’on accomplit l’œuvre.
Carnet de famille : Baptême : le 5 novembre de Camille, fils de Thomas et Diane SERMET ; le 11 novembre d’Espérance, fille de François
MOLINA et Hélène (née DEBAECKER), de Philomène, fille de Martin et Marie-Gabrielle FAROUIL (née TIXIER), de Gaspard,
fils de Louis-Frédéric et Aude PERNOD ; le 18 novembre de Marin, fils de Louis et Louise BERTHON (née CREVAT)
Première communion : le 12 novembre de Cyriaque BERGER
Fiançailles : le 4 novembre d’Alix BELMONT et Romain ESPINO
Mariage : le 25 novembre de Louis MIRABEL et Camille de REBOUL
Anniversaire de Mariage : le 18 novembre Noces de Diamant (60 ans) de monsieur et madame Jacques BONNAMOUR
SERVICES
Servants de messe : répétition samedi 23 décembre de 14h30 à 16h.
Responsable: Antoine Wyss : 06 99 19 75 17 ou : antoinewyss@hotmail.fr.
Chorales :
Chœur grégorien (hommes et femmes en chœurs séparés) : répétitions le
mardi de 19h15 à 20h.
Chorales polyphoniques :
pour la messe de 10h30 : répétitions mardi à 20h et dimanche à 10h.
Chef de chœur : Felipe Lesage : 06 95 91 87 46. http://choralesaintgeorges.blogspot.fr
chœur d’enfants : Chef de chœur : Felipe Lesage.
Schola Vesperis (pour la messe de 19h).
Chef de chœur : Sarah Lyonnet : 06 65 01 42 82 http://scholavesperis.github.io
Garderie : Pour que la messe demeure recueillie, merci de ne pas laisser les enfants crier dans l’église. L’éducation
commence dès le plus jeune âge. Si les gazouillis ne sont pas une vraie gêne, les cris le sont pour vos voisins, pour le
célébrant, parfois même pour le prêtre qui essaye de confesser à côté, et pour vous-mêmes. La garderie se tient à la
crypte. Pour les parents qui veulent rester avec leurs enfants il est possible de suivre la messe (en audio et vidéo) depuis
la crypte. Contact : Marie Wyss : 06 01 42 87 78.
Fleurs : nous recherchons des bonnes volontés qui puissent aider à fleurir l'autel un samedi par mois. Prendre contact
avec Brigitte Horiot : bhoriot@gmail.com ou 06 84 23 51 75.
Equipe Sainte Marthe (« panier du curé ») : rejoignez l’équipe des cuisinières pour porter un repas par mois (pour
trois personnes) ou des courses à la MSB. Contact : Marie-Odile Bonfils : mobonfils@orange.fr 06 38 66 45 27.
Equipe Ménage :
A l’église : chaque vendredi de 13h30 à 15h30. Contact : Carole Biardeau : cbiardeau@aol.com ou 06 58 60 79 30.
A la Maison Sainte-Blandine : Christine de Pazzis 06 28 33 58 45.
Linge d’église : Contact : Cécile de La Rochefoucauld : petitsmousses@petitsmousses.fr
Proposez vos services pour que l’église soit ouverte le samedi (1h par semaine ou
par mois…) : John Harkness : 06 88 12 39 38. Un tableau doodle est envoyé tous les vendredis.
Une équipe sécurité pour les messes du dimanche à Saint-Georges : Si vous souhaitez rejoindre
ce groupe, merci de nous contacter. Et n’hésitez pas à signaler tout comportement suspect.
La Société Saint-Vincent-de-Paul recherche des bénévoles
Pour les maraudes, contactez Pierre Henri-Rousseau, 06.66.95.22.39, pierreacher@yahoo.fr
Pour les visites, contactez Basilisse Espieux 06 82 52 73 60 bfespieux@gmail.com
La Marche pour la Vie à Paris le 21 janvier a besoin de votre aide :
Nous recherchons sur Lyon des volontaires pour emballer et envoyer tracts/affiches (environ 1h par semaine
jusqu’à mi-décembre). Contact: Margot GOURNAY : margot.gournay@gmail.com
http://www.enmarchepourlavie.fr/
A vos agendas !
Catéchumènes (adultes demandant le baptême) : mercredis 6 décembre et 20 décembre de 20h à 22h (samedis 2
et16 décembre de 17h à 18h30 pour les adolescents)
Néophytes (adultes récemment baptisés ou « recommençants ») : mercredi 13 décembre de 20h30 à 22h
Catéchisme (CP à CM2) : tous les mercredis de 9h30 à 10h45 à la MSB.
Collégiens et Lycéens : mercredi 13 décembre de 19h à 20h à la MSB
Etudiants et jeunes pros :
1. Rosaire Vivant des jeunes : jeudi 7 décembre de 19h15 à 21h15.
2. Groupe Benoît XVI : lundi 11 décembre de 19h15 à 22h.
3. Groupe Cardinal Journet : jeudi 21 décembre de 19h15 à 21h15.
Catéchisme pour jeunes pros et adultes : lundi 4 décembre de 20h à 22h au collège
Sts F. & J. de Fatima.
A la découverte de la Bible : vendredi 15 décembre de 20h15 à 21h30 à la MSB (film sur l’Apocalypse)
Initiation pratique sur la liturgie de la messe : Le même cours est redonné tous les deux mois, pour vous
aider à mieux suivre la messe, à mieux vous repérer dans votre missel. mardi 5 décembre de 20h à 22h à la MSB
Soirée jeunes couples (moins de 5 ans de mariage) : Jeudi 14 décembre à la MSB. Accueil à 20h ;
chapelet à 20h10 ; apéritif /buffet à 20h30 ; topo/échanges à 21h ; prière finale à 22h30. Il est possible d’arriver jusqu’à
20h30. Inscription obligatoire. Contact : Luc et Lucie Taupenas : lucieroselloleal@gmail.com
Foyers Domus Christiani : Contact : Bernard et Chantal PERREAU :
bernardperreau@gmail.com - tel : 09 81 15 62 60 - www.domus-christiani.fr.
Formation Billings : Contact : madame Paquet : lmaj.paquet@orange.fr
Conférence Saint-Vincent de Paul : pour visiter à domicile les personnes isolées.
Contact : Basilisse Espieux : 06 82 52 73 60. Mercredi 20 décembre à 20h15 à la Maison Sainte-Blandine.
Appréciation de la musique sacrée : Lundi 18 décembre de 20h à 22h au 52 rue Saint-Jean, Lyon 5ème
Contacter Felipe avant de venir : 06 95 91 87 46. Les boissons sont offertes et les plats à grignoter sont les bienvenus!
Découverte des trésors du répertoire sacré (écoute et commentaire).
Cours de latin liturgique : mercredi 13 décembre de 19h30 à 20h30 à la MSB par Pierre HENRI-ROUSSEAU.
Pèlerinage mensuel à Ars : Pèlerin d’un jour : un vendredi par mois (9h-15h) : Isabelle Tixier 06 15 40 40 68
Mardis de Saint-Jean-Baptiste avec l’abbé Dor : mardi 12 décembre (20h-21h30)
Salle paroissiale 7, rue des Antonins : Prier avec Jésus dans l’Esprit Saint (CEC 2598-2649)
A l’approche des états généraux de la bioéthique prévus en 2018,
Alliance VITA lance une nouvelle session de formation bioéthique sur le thème :
Que faire du temps ? Défi bioéthique, défi d'écologie humaine.
4 soirées de formation, les lundis 15, 22, 29 janvier et 5 février 2018 (20h15)
Face à l’accélération de la vie et l’explosion des biotechnologies,
experts et témoins croiseront leurs regards sur l’irruption de la bioéthique dans notre quotidien.
Ouverte à tous, cette formation est retransmise depuis Paris dans plus de 100 villes en France et à l’étranger,
avec des personnalités engagées et des experts reconnus.
Espace de l'Ouest Lyonnais 6 rue Nicolas Sicard 69005 LYON
Maison des Familles 50-52 cours Charlemagne 69002 LYON
Brignais 2-4 avenue de Verdun 69530 BRIGNAIS
Pour vous inscrire : http://www.universitedelavie.fr/villes/#info
L’abbé de Montjoye recherche un véhicule 9 places (ou minimum 7 places) pour le Nouvel An à l’abbaye de Lagrasse
avec les étudiants. Merci d’avance (au besoin il peut prêter sa voiture pendant ce temps : Peugeot 308 SW)
Horaires fixes (attention pendant les vacances)
Messes
Dimanche 9h (messe lue avec orgue, en rite lyonnais), 10h30 (grand-messe), 19h (messe chantée avec orgue)
o Lundi : 7h et 18h30
o Mardi : 8h15 et 18h30
o Mercredi : 7h et 18h30
o Jeudi : 8h45 et 18h30
o Vendredi : 6h30 et 18h30
o Samedi : 9h (en rite lyonnais) et 11h (parfois supprimée – voir calendrier mensuel au dos)
Adoration Eucharistique
Adoration du lundi au vendredi de 17h30 à 18h15
Adoration chaque premier vendredi du mois de 19h30 à minuit
Chapelet
du lundi au vendredi à 18h (le jeudi pour les prêtres, le vendredi pour la conversion des musulmans)
le samedi après la messe de 9h
Confessions
du lundi au vendredi de 17h30 à 18h15
le samedi de 9h30 à 10h45
le dimanche pendant les messes (sauf empêchement) et de 17h à 18h puis de 18h30 à 19h
l’abbé Spriet confesse également à Fourvière le jeudi de 15h30 à 17h30
l’abbé Dor confesse également à la Primatiale lundi et jeudi de 17h à 19h (et souvent samedi
et dimanche de 15h à 17h30 : se renseigner)
Onction des malades, communion à domicile…
Proposez la venue d’un prêtre à vos parents ou amis gravement malades ou affaiblis par l’âge, pour que nous leur proposions la confession, la communion et le sacrement des malades. Ce sacrement est destiné d’abord à fortifier la personne, corps et âme, et non à la faire mourir ! Ce n’est pas réservé à la dernière extrémité.
Service catholique des funérailles 7 rue du Plat 69002 Lyon – Tél. 04 72 16 29 08 www.s-c-f.org
Offrande des messes : Messe : 17 € ; Neuvaine : 170 €
Quête prélevée :
Grâce à vous l’Etat donne à la quête !!! Vous êtes gagnants et nous aussi.
N’attendez plus ! (remplissez le tract sur les tables, puis remettez-le-nous)
Quête impérée : 1er dimanche de décembre Construction et entretien des églises et aumôneries scolaires (totale)
Donnez pour le relevage du grand orgue de Saint-Georges
Dons à l’ordre de « Fondation Saint-Irénée – AMORSAGE ». La fondation offre l’avantage de permettre au
donateur d’avoir 75% de réduction d’impôts au titre de l’ISF, 66% de réduction d’impôts au titre de l’impôt sur le revenu
et de 60% de réduction d’impôts pour les entreprises. Ou dons à l’ordre de « ADL-travaux Saint-Georges » avec
déduction fiscale de 66% au titre de l’impôt sur le revenu.
Un appel pressant est lancé à tous les paroissiens de Saint-Georges, pour aider à financer ce beau projet ou à
trouver des mécènes (notamment des entreprises). Merci d’avance de votre collaboration. Renseignements :
Brigitte Horiot, Présidente d’AMORSAGE : bhoriot@gmail.com, ou Bruno de Pazzis, trésorier : depazzis.bruno@neuf.fr
Relance du denier de l’Eglise
Merci à ceux qui ont déjà apporté leur contribution au denier de l’Eglise. C’est juste LA collecte qui permet de faire vivre
l’Eglise et sa mission (salaires des laïcs et des prêtres, séminaristes, …) Si vous n’avez pas encore pu participer, une seule
adresse : www.donnons-lyon.catholique.fr. Vous pouvez faire un don ponctuel ou mieux, choisir le prélèvement.
Calendrier de décembre 2017 à Saint-Georges
Date Fête Messes NB
Vendredi 1 1er du mois
de la férie (Bx Charles de Foucauld) Messe votive du Sacré Cœur
6h30 18h30
adoration et confessions de 17h30 à 18h15 - chapelet à 18h Messe chantée à 18h30 - ADORATION jusqu’à minuit
Samedi 2 1er du mois
Ste Bibiane, vierge et martyre Messe votive du Cœur Immaculé
9h 11h
Renouvellement de la consécration au Cœur Immaculé de Marie Confessions de 9h30 à 10h45
Marché de Noël du collège François et Jacinthe de Fatima de 10h à 17h Veillée pour la Vie à 20h30 à la Primatiale Saint-Jean
Dimanche 3 Premier Dimanche de l'Avent 9h
10h30 19h
Quête impérée totale (construction et entretien des églises) Adoration et confessions à 17h, vêpres à 18h
Lundi 4 St Pierre Chrysologue, évêque, confesseur et docteur
7h 18h30
adoration et confessions
de 17h30 à 18h15 chapelet
à 18h
Catéchisme pour adultes à 20h au collège
Mardi 5 de la férie 8h15
18h30 Cours d’Initiation liturgique de 20h à 22h
Mercredi 6 St Nicolas, évêque et confesseur 7h
18h30 Cours pour les catéchumènes de 20h à 22h
Jeudi 7 St Ambroise, évêque, confesseur et docteur
8h45 18h30
Rosaire Vivant des jeunes de 19h15 à 21h15
Vendredi 8 Immaculée Conception de la
Très Sainte Vierge
6h30 20h30
Procession à Fourvière avec le Cardinal à 18h30
(RDV à 18h à St-Georges pour ceux qui veulent partir groupés)
Messe solennelle à 20h30 - Evangélisation de rue de 22h à 23h
Samedi 9 de la férie 7h 9h
11h
Messe “Rorate” (chantée à la lueur des cierges) à 7h
Confessions de 9h30 à 11h – Adoration de 20h à 20h30 - Evangélisation de rue de 20h30 à 22h
Dimanche 10
Deuxième Dimanche de l'Avent 9h
10h30 19h
Adoration et confessions à 17h, vêpres à 18h
Lundi 11 St Damase 1er, pape et confesseur 7h
18h30
adoration et confessions
de 17h30 à 18h15 chapelet
à 18h
Groupe Benoît XVI à 19h15
Mardi 12 Notre-Dame de Guadalupe 8h15
18h30 Répétition de chorale pour Noël de 20h à 21h (polyphonie)
Mardi de St-Jean-Baptiste avec l’abbé Dor 20h-21h30
Mercredi 13 Ste Lucie, vierge et martyre 7h
18h30
Cours pour collégiens et lycéens de 19h à 20h Cours de latin liturgique à 19h30
Cours pour les néophytes de 20h30 à 22h
Jeudi 14 de la férie 8h45
18h30
Vendredi 15 de la férie 6h30
18h30 Cours sur la Bible de 20h15 à 21h30
Samedi 16 St Eusèbe, évêque et martyr 7h 9h
11h
Messe “Rorate” (chantée à la lueur des cierges) à 7h
Confessions de 9h30 à 10h45 - Ménage de Noël de 14h à 16h Répétition de chorale pour Noël de 15h à 17h (polyphonie)
Dimanche 17
Troisième Dimanche de l'Avent 9h
10h30 19h
Concert de Noël à 16h (trompette, orgue et soprano) Adoration et confessions à 17h, vêpres à 18h
Début des grandes antiennes « O » (à vêpres)
Lundi 18 de la férie 7h
18h30
adoration et confessions
de 17h30 à 18h15 chapelet
à 18h
Appréciation de la Musique Sacrée à 20h (chez F.L.)
Mardi 19 de la férie 8h15
18h30 Répétition de chorale pour Noël :
grégorien de 19h15 à 20h, puis polyphonie de 20h à 22h
Mercredi 20 Mercredi des Quatre-Temps d'Hiver 7h
18h30 Cours pour les catéchumènes de 20h à 22h Conférence Saint-Vincent de Paul à 20h15
Jeudi 21 St Thomas, apôtre 8h45
18h30 Groupe Cardinal Journet à 19h15
Vendredi 22 Vendredi des Quatre-Temps d'Hiver 6h30
18h30
Samedi 23 Samedi des Quatre-Temps d'Hiver 9h
11h
Confessions de 9h30 à 10h45 Répétition des enfants de chœur de 14h30 à 16h - Répétition de chorale pour
Noël : grégorien de 15h à 15h30, puis polyphonie de 15h30 à 17h30
Dimanche 24
Vigile de Noël
9h 10h30
messes dominicales 22h : veillée (chants de Noël)
22h30 : messe de la nuit 22h30 messe de Noël
Lundi 25 Nativité
de Notre-Seigneur
9h (messe de l’aurore)
10h30 (messe du jour)
Déjeuner de Noël à la MSB pour les personnes seules.
Vêpres à 18h, adoration à 18h30
Mardi 26 St Etienne, diacre et premier martyr 18h30 adoration et confessions de 17h30 à 18h15
chapelet à 18h Mercredi 27 St Jean, apôtre et évangéliste 18h30
Jeudi 28 Sts Innocents, martyrs 18h30
Vendredi 29 de la férie (dans l'Octave de Noël) 9h Pas de messe à 18h30 - Pas d’adoration ni de confessions
Samedi 30 de la férie (dans l'Octave de Noël) 11h Pas de messe à 9h
Dimanche 31
Dimanche dans l'octave de la Nativité
9h 10h30
19h
Te Deum après chaque messe - Adoration et confessions à 17h
Rendons grâces pour l’année écoulée, demandons pardon de nos péchés.
Lundi 1er Octave de la Nativité 8h30 Veni Creator à 8h30 pour invoquer l’Esprit-Saint pour la nouvelle année
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