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‘Haïm Kaniewsky
on behalf of Kupat Ha׳ir for Purim 5769
de Rabbi
shlit״a
à Koupat Ha’ir
Les matanot laévyonim
La principale caisse de Tsédaka d׳IsraëlKoupat Ha׳ir
Les matanot Laévyonimde Rabbi ‘Haïm Kaniewsky à Koupat Ha’ir
Pourim 5770/2010, Bnei Brak à la synagogue Léder-man après la prière au lever du soleil. A peine la lecture de la Méguila terminée, des représentants de charité de toutes sortes s’approchent à la hâte de Rav ‘Haïm Kaniewsky. Bien que la synagogue soit bondée, on remarque un vif mouvement en direction de sa place. Si le Rav donne ses matanot laévyonim à une certaine organisation, c’est une at-testation qu’elle distribue l’argent à des personnes
réellement nécessiteuses, c’est un témoignage que le Rav fait confiance à son honnêteté et à son œu-vre… Ce n’est pas tous les jours Pourim, et de nom-breuses organisations sont intéressées d’obtenir ce témoignage pour toute l’année à venir.
Koupat Ha’ir est présente elle aussi. Cette attesta-tion, elle l’a déjà reçue de toutes les manières possi-bles pendant dix années depuis sa fondation. Elle est là, si Rav Kaniewsky choisit de donner ses matanot laévyonim par son intermédiaire.
Le premier don, qui suit la lecture de la Méguila, sera celui par lequel il accomplit la mitsva. Le
Rav parcourt la foule des yeux.
Les représentants des différentes caisses de charité s’approchent. Le Rav observe la salle. Il cherche quelqu’un des yeux.
“ Où est Koupat Ha’ir ? “ demande-t-il.
Le cercle d’hommes qui l’entourait
“... Nous vous recommandons d’envoyer vos Matanot Laévyonim à Koupat Ha’ir.”Rav Haim KaniewskiRav Steinman Rav S. Halevi Wozner
Qui le voit accomplir la mitsva de cette façon et ne fait pas de même ?
La veille, le Rav a préparé un paquet de billets pour lui-même
et a inscrit : “ Papa, 14 “ puis un deuxième pour son épouse :
“ Maman, 14 “,
Les matanot Laévyonimde Rabbi ‘Haïm Kaniewsky à Koupat Ha’ir
s’élargit à peine. Le représentant de Koupat Ha’ir, qui se tenait de côté, s’avance en tendant la boite de charité. Le Rav fait un large sourire. Il plonge la main dans sa poche, et en tire deux paquets enroulés : des billets enveloppés de papier sur lequel est écrit :
Sur l’un – “ Papa, 14 “ et sur l’autre – “ Maman, 14 “.
Un paquet contient ses matanot laévyonim à lui, deux dons à deux pauvres, et l’autre celles de son épouse la Rabbanit.
Ses matanot laévyonim et celles de la Rabbanit, Rav ‘Haïm Kaniewsky choisit de les donner à Koupat Ha’ir. C’est donc ainsi que le Rav accom-plit la mitsva de matanot laévyonim…
La veille, le Rav a préparé un paquet de billets pour lui-même et a in-scrit : “ Papa, 14 “ puis un deuxième pour son épouse : “ Maman, 14 “, 14 étant la date de Pourim, le 14 Adar.
Certes, toutes les organisations de charité présentes ont de la valeur, mais le Rav veut donner à Koupat Ha’ir les paquets qu’il a préparés pour la mitsva.
La boite lui est tendue. Le Rav tient un paquet de billets dans la main droite et l’autre dans la main gauche et les introduit dans la fente. Il ne veut pas qu’on l’aide ; il veut les donner lui-même.
Et ensuite…
Ces billets sont suivis par des millions de pièces et de billets, des mil-lions de dons des Juifs du monde entier qui veulent accomplir la mits-va au mieux, ayant compris la signification du geste public de Rav Kaniewsky.
Tous ces dons suivent celui du Rav. Par téléphone, par la poste, chez les Rabbanim, de près et de loin… Le peuple juif s’unit autour de son Maître et suit ses indications.
Qui le voit accomplir la mitsva de cette façon et ne fait pas de même ?
100%Tsédaka
Les m
atanot laévyonim de Pourim
En espèces(et non par chèque)
Le jour même
de Pourim(le 14 Adar dans toutes les villes et le 15 à Jérusalem)
Koupat Ha’irLa seule
organisation de charité qui distribue les
matanot laévyonim
“... Nous vous recommandons d’envoyer vos Matanot Laévyonim à Koupat Ha’ir.”Rav Lefkovitch Rabbi David Abou’hatsira Rav Y. Hillel
30OuvrirUn flux de bénédiction Chaque année, certaines personnes emploient le jour
de Pourim comme il le faut et en sont récompensées.
Ce jour-là, le Créateur déverse un flux de bénédiction.
La question est : ce flux sera-t-il dirigé vers vous ? Cela
dépend de vous.
Vous voulez bénéficier de la bénédiction divine, de
Son aide et de l’abondance qu’Il déverse. Que pouvez-
vous faire ? Vous ne pouvez pas vous enfermer toute
la journée de Pourim pour prier. Ce n’est pas là ce que
D. nous demande. D. nous a ordonné d’accomplir cer-
taines mitsvot à Pourim et le peuple juif tente de le
faire au mieux, avec joie.
Pourtant, ajoutons prudemment que la plu-
part d’entre nous peuvent atteindre davantage à
Pourim…
Ce grand jour va arriver. “ Quiconque tend la main,
on lui donne “ est-il dit à propos de cette journée ex-
ceptionnelle. La personne intelligente commencera
dès maintenant à se préparer. Celle qui désire qu’une
délivrance lui soit envoyée à Pourim s’empresse dès
maintenant de voir comment utiliser cette journée
au mieux.
Ce bulletin vous est destiné. Dommage pour ceux qui
n’auront pas eu le temps de le lire avant Pourim car il
propose à chacun une opportunité unique.
Trente avocats Trente lieux saints ont été soigneusement choisis par les Rabbanim de Koupat Ha’ir. Pourim arrive. D. attend que nous demandions, que nous exprimions notre requête pour pouvoir la réaliser.
Au moment où vous prierez chez vous et accompli-rez les mitsvot de Pourim, trente saints supplieront pour vous devant le Trône de Gloire. Les envoyés de Koupat Ha’ir iront faire le pèlerinage sur leur tombe pour y mentionner votre nom.
Le jour de Pourim, les Portes du Ciel sont ouvertes. Des Sages de toutes les époques se tiendront à vos côtés et imploreront le Ciel en votre faveur. Les sup-plications à trente lieux saints seront certainement écoutées.
Trente lieux saints, trente lieux de prière, seront visi-tés le jour de Pourim !
Des envoyés se disperseront dans tout Israël et dans le monde entier pour prier pour vous sur les tombes des tsaddikim des générations passées. Ils suppli-eront le Ciel en faveur des donateurs qui auront transmis leur matanot laévyonim aux indigents de Koupat Ha’ir.
30 lieux saints
Pourquoi les Juifs prient-ils sur la tombe des patri-arches ? Nous avons une tradition transmise de gé-nération en génération disant que la prière sur la tombe des patriarches est particulièrement écou-
les Portes du Ciel
30Ouvrir 30le jour de Pourim
Ouvrir les Portes du Ciel
A Pourim, jour propice à l’agrément des prières, les envoyés de Koupat Ha’ir
prieront sur les lieux saints suivants :
A chaque endroit, les envoyés de Koupat Ha’ir mentionneront posément
chaque nom et sa requête,
le jour de Pourim!
1. Au Kotel, la Porte du Ciel.
2. A la grotte de Makhpéla.
3. Sur la tombe de Rahel.
4. Sur la tombe du prophète Chemouel.
5. Sur la tombe du roi David.
6. Sur la tombe de Chimon Hatsaddik.
7. Sur la tombe de Benayahou ben Yehoyada.
8. Dans la maison de la Chounamit
9. Sur la tombe de Rabbi Chimon bar Yo’haï à Miron.
10. A Amouka, sur la tombe de Rabbi Yonathan ben Ouziel.
tée. Yaacov, berger de notre peuple, nous a enseigné ce principe lorsqu’il a enterré Rahel sur la route de Beth Léhem.
Lorsque le nom d’un Juif est mentionné sur la tombe des patriarches, l’âme des justes monte et prie pour lui devant le Maître du monde : “ Ouvre la Porte pour Untel fils d’Une telle ! “
Qui ne désire pas que tous les justes mentionnés dans cette liste prient pour lui ? Qui ne veut pas que, le jour de Pourim, l’âme de ces justes supplie pour celui qui a donné la charité ?
A Pourim, tout peut changer. Quelle est votre requête?
Le moment est venu que la bénédiction soit dirigée vers vous aussi. Préparez les récipients pour la contenir. Priez et faites un don afin qu’à votre prière s’associent les prières des justes disparus.
De nouvelles possibilités La force de la prière à Pourim est bien connue. Des couples sans enfants ont vu leur vie transformée, des célibataires ont trouvé un conjoint, des enfants sont revenus sur le bon chemin, des difficultés d’argent ont été résolues.
Une Voix se fait entendre au Ciel : “ Quelle est ta requête? Elle te sera accordée “ Que désirez-vous, Mes enfants ?
Ce Pourim, quelqu’un accepte de se rendre à votre place sur les tombes saintes pour prier. Pouvez-vous vous permettre de manquer cette opportunité ? Vous pou-vez bénéficier des requêtes de tous les bergers de notre peuple, si vous faites un don à Koupat Ha’ir.
les Portes du Ciel
Les matanot laévyonim sont-ils un prix trop élevé?
Si de toutes façons vous allez donner vos matanot
laévyonim en ce jour exceptionnel et si vous cherchez
une tsédaka irréprochable, pourquoi ne pas y ajouter
des prières ?
Trente Portes du Ciel, et un don à la charité qu’on fait
de toute façon. Qui accepterait de s’en passer ?
Dans la pratique, il nous est impossible de prier au-
tant que nous l’aurions voulu. Pendant la lecture de
la Méguila, nous ne pouvons pas réciter des Téhillim.
Pendant le repas de Pourim, nous ne nous enfermer-
ons pas pour méditer. Aussi, prenez Koupat Hai’r pour
vous aider. Trente envoyés se disperseront dans tout
Israël et dans le monde et prieront pour les donateurs.
Si vous entendiez que votre cousin se prépare à aller
sur la tombe de Baba Sali à Pourim, ne lui demand-
eriez-vous pas d’y mentionner votre nom ?
30le jour de Pourim
Ouvrir les Portes du Ciel
11. Sur la tombe de Rabbi Yehouda bar
Ilaï
12. Sur la tombe de Rabbi Méir Baal
Haness.
13. Sur la tombe de Rabbi Akiva à Tvéria.
14. Sur la tombe du Rambam à Tvéria.
15. Sur la tombe du saint Ari.
16. Sur la tombe du Chlah Hakadoch
17. Sur la tombe du Or Ha’Haïm
Hakadoch.
18. Sur la tombe du Rachach sur le
Mont des Oliviers.
19. A Médzibozh, sur la tombe du Baal
Chem Tov.
20. Sur la tombe du Gaon de Vilna.
A Pourim, jour propice à l’agrément des prières, les envoyés de Koupat Ha’ir
prieront sur les lieux saints suivants :
A chaque endroit, les envoyés de Koupat Ha’ir mentionneront posément
chaque nom et sa requête,
le jour de Pourim!
A l’intention de Koupat Ha’ir
Tel: 0-800-525-523
J’ai fait un don de _______euros, pour les matanot laévyonim qui seront donnés en espèces le jour même de Pourim .
Veuillez prier pour moi sur les trente lieux saints le jour de Pourim.
Nom:____________________________________ Nom de la mère:______________________________
Requête:________________________________________________________________________________
A chaque endroit, le jour même de Pourim, les envoyés de Koupat Ha’ir mentionneront posément chaque nom et sa requête.
Veuillez transmettre les noms avant le jeudi 11 Adar (17 Mars) à minuit.
21. Sur la tombe de Rabbi Elimélekh de Lizhensk.
22. Sur la tombe de Rabbi Lévi Yitz’hak, à Berditchev.
23. Sur la tombe de Rabbi Leib baal hayissourim.
24. Sur la tombe du Maharil Diskin.25. Sur la tombe de l’auteur du
Hafets Haïm à Radin.26. Sur la tombe de Rabbi Chlomo
de Zévyl.27. Sur la tombe du ‘Hazon Ich.28. Sur la tombe de Rabbi Aharon de
Belz.29. Sur la tombe du “ Sandlar “ à Bnei
Brak.30. Sur la tombe de Baba Sali à
Nétivot.
30le jour de Pourim
Ouvrir les Portes du Ciel
A chaque endroit, les envoyés de Koupat Ha’ir mentionneront
posément chaque nom et sa requête,
le jour de Pourim!
A Pourim, jour propice à l’agrément des prières, les envoyés de Koupat Ha’ir
prieront sur les lieux saints suivants :
A présent, un envoyé de la Koupa s’y rend, non pas pour lui-même, mais pour représenter les donateurs de Koupat Ha’ir.
L’envoyé à Pourim Le grand jour va arriver. Des supplications monteront de trente lieux saints dans le monde et frapperont aux Portes du Ciel. Il ne faut pas hésiter. S’il y a une chance que tel soit le chemin pour obtenir la délivrance, prof-itez-en, à plus forte raison lorsqu’il s’agit de la prière de tant d’âmes élevées.
Alors que vous serez occupés à offrir les michloa’h manot à Pourim, lorsque vous écouterez la Méguila, lorsque vous recevrez vos amis, vous saurez que votre nom est mentionné à trente lieux saints. Comme vous ne pouvez pas vous déplacer, vous avez nommé des en-voyés pour prier à votre place.
Une prière si puissante ne manquera pas d’être agréée…
A l’intention de Koupat Ha’ir
0-800-525-523
J’ai fait un don de _______euros, pour les matanot laévyonim qui seront donnés en espèces le jour même de Pourim .
Veuillez prier pour moi sur les trente lieux saints le jour de Pourim.
Nom:____________________________________ Nom de la mère:______________________________
Requête:________________________________________________________________________________
A chaque endroit, le jour même de Pourim, les envoyés de Koupat Ha’ir mentionneront posément chaque nom et sa requête.
Veuillez transmettre les noms avant le jeudi 11 Adar (17 Mars) à minuit.
Rav O. Yossef chlita
Chaque Année nos Grands Maîtres offrent leur Matanot laévyonim à Koupat Ha’ir
Ƿ L’argent est remis aux né-cessiteux le jour même de Pourim, pas avant.
Ƿ L’argent est donné en main si bien qu’il peut être utilisé le jour même.
Ƿ Koupat Ha’ir fait des em-prunts pour pouvoir donner le jour même de Pourim en espèces les dons transmis par chèque ou par carte ban-caire.
Ƿ Le don est remis en espèces et non en chèque.
Ƿ L’argent recueilli jusqu’à 11 heures du matin est donné aux pauvres le matin afin qu’ils puissent acheter le nécessaire pour Pourim
Koupat Ha’ir
suit toutes les opinions et respecte toutes les
préférences de la halakha
Les hidourim de Koupat Ha’ir pour la mitsva de matanot laévyonim:
Rav C. H. Wozner chlita
Le Rabbi de Belz chlita
Le Rabbi de Nadvorna chlita
Rav Y.M Hillel chlitaLe Rabbi de Tchernobil chlita
Vous aussi, comme chaque année, transmettez vos Matanot laévyonim à Koupat Ha’ir !
Chaque Année nos Grands Maîtres offrent leur Matanot laévyonim à Koupat Ha’ir
Ƿ Une condition est faite que l’argent est divisé en dons sub-stantiels et non en dons min-imes à chaque pauvre.
Ƿ Tous les pauvres ont été choi-sis par les Rabbanim de Koup-at Ha’ir.
Ƿ Les dons sont remis à 100% aux nécessiteux.
Ƿ Pour ceux qui font leur don par chèque ou par carte ban-caire, l’argent sera remis aux pauvres en liquide.
Ƿ Tout est donné anonyme-ment, ce qui est la tsédaka la plus satisfaisante.
Ƿ Le 15 Adar aussi, Chouchann Pourim, des matanot laévyonim sont distribués.
Koupat Ha’ir
suit toutes les opinions et respecte toutes les
préférences de la halakha
Les hidourim de Koupat Ha’ir pour la mitsva de matanot laévyonim:
Rav A. L. Steinman chlitaRav H. P. Sheinberg chlitaRav Y.M Hillel chlita
Rav M.Y. Lefkovitch chlita
Rav H. Kanievski chlita
Rabbi D. Abou’hatsira chlita
Vous aussi, comme chaque année, transmettez vos Matanot laévyonim à Koupat Ha’ir !
Rav 'Haïm Kaniewsky écrit son opinion sur le phénomène des délivrances arrivées grâce à un don à Koupat Ha’ir.
Pour la première fois,
Les Juifs de toutes les époques ont toujours su que toutes les décisions difficiles sont laissées aux Grands Maîtres de la génération. En Israël, à Bnei Brak, existe une maison vers laquelle tous les regards sont tournés : celle de Rav ‘Haïm Kaniewsky. Du monde entier des questions cruciales y sont envoyées pour que le Rav y réponde. Quand nous avons besoin de connaître la loi, nous l’interrogeons. Lorsque nous ne savons pas quelle voie suivre, nous lui demandons conseil.
Cette semaine, Rav ‘Haïm Kaniewsky a écrit une lettre au sujet de l’importance de Koupat Ha’ir. Certes, il a déjà exprimé oralement des dizaines de fois sa confiance en Koupat Ha’ir et a conseillé à d’innombrables personnes de faire leur don de tsédaka à cette organisation.
Cette fois, il écrit une lettre à l’intention du public en sachant qu’elle sera diffusée. Ses six lignes témoignent de l’immense mérite de chaque Juif qui s’associe à Koupat Ha’ir, et résument pourquoi
il est bon de transmettre ses dons de tsédaka justement à Koupat Ha’ir.
Il explique les éléments qui constituent cette organisation exceptionnelle : des responsables dignes de confiance, des cas particulièrement graves, des milliers de personnes aidées. Dans la même liste, il cite comme allant de soi le sujet des “ délivrances “. Dans le fondement d’un don à la Koupa se cache la force susceptible de déverser une délivrance bienfaisante sur vous et votre famille.
Ainsi, noir sur blanc, Rav Kaniewsky énonce clairement son opinion. Si un malheur survient, si une difficulté se dresse et que vous vous demandez que faire pour être sauvé, suivez les conseils du Grand Maître de notre génération. “ La
Pour la première fois,
Koupat Ha’ir vient de publier un nouveau bulletin de “ La force de la tsédaka “.
Si vous desirez recevoir un ancien bulletin qui manque à votre collection, adressez-vous au :
0-800-525-523
Vous pouvez aussi tous les consulter sur le site de Koupat Ha’ir:
www.koupathair.com
tsédaka à Koupat Ha’ir est digne de protéger et de délivrer de tout malheur “ écrit-il en s’appuyant sur les enseignements de notre sainte Torah.
La vie n’est pas toujours facile ; parfois, nous rencontrons des difficultés plus ou moins grandes. Nous cherchons le moyen de les résoudre et nous nous demandons : “ Comment bénéficier de la pitié divine ? “
Nous pouvons nous appuyer sur notre Grand Maître et affirmer : dans quelque domaine que survienne le malheur ou la difficulté, un don à Koupat Ha’ir peut faire venir la délivrance !
Vous demanderez peut-être : Et qu’arrive-t-il si quelqu’un fait un don et que cela ne l’aide pas ? Tout d’abord, nous sommes convaincus que cela l’aidera ;
et s’il ne l’aide pas, notre foi n’est pas si fragile. Chacun
sait que les calculs célestes sont très complexes ; il
est certain que le mérite de la tsédaka nous sauvera
ouvertement ou en secret, tôt ou tard, car la Torah
nous le promet.
Rav ‘Haïm Kaniewsky écrit clairement et sans
crainte ce que le Créateur a promis dans la Torah. Sa
foi en la Torah est telle qu’il n’hésite pas à affirmer
qu’un don à Koupat Ha’ir peut amener la délivrance.
Notre Torah a promis : “ J’ai fait un don et mes
problèmes se sont réglés “.
Rav ‘Haïm Kaniewsky l’écrit afin que vous le sachiez.
Koupat Ha’ir s’appuie sur nos Grands Maîtres,
Et vous, vous appuyez sur la tsédaka, et vous voyez
vos difficultés se résoudre.
Motsaei Chabbat Vayigach 12 Tévet 5771
Voilà environ dix ans qu’a été fondée Koupat Ha’ir qui fait de grandes choses dans le domaine de la charité aux pauvres nécessiteux dans notre ville. Je connais les responsables, qui sont des hommes honnêtes et droits, qui demandent [comment agir en] chaque chose.
Ils s’occupent bénévolement de tous les besoins des démunis qui, pour un grand nombre, sont en danger de mort. C’est une grande mitsva de les aider et de les assister. Toute personne qui donne à cette organisation de tsédaka, c’est comme si elle donnait à des milliers de nécessiteux.
La tsédaka à Koupat Ha’ir est digne de protéger les donateurs et de les délivrer de tout malheur. Tous ceux qui l’aident seront bénis de grands bienfaits.
J’écris et je signe en l’honneur de la mitsva
‘Haïm Kaniewsky
L’histoire d’une famille, telle que la raconte une jeune fille de seize ans…
Depuis que je suis petite, notre maison est sale, vraiment sale. Avant, je croyais que tous les gens vivaient comme cela. Quand j’ai commencé à aller chez mes copines, je me suis rendu compte qu’il existait des maisons qui ne ressemblaient pas à des trous à rats. Ma mère, la pauvre… Elle est encore plus à plaindre depuis que mon père est devenu… je ne sais pas exactement. Ce que je sais, c’est qu’elle doit le faire lever tous les matins de son lit, vérifier qu’il s’habille, l’accompagner au lavabo pour qu’il fasse sa toilette, lui préparer un sandwich et l’accompagner à la synagogue. Elle le laisse là-bas en espérant qu’il reviendra à midi seulement. Je ne veux pas vous raconter ce qui se passe le jour où il n’a pas envie de se lever ou bien quand il décide qu’il veut renverser des seaux d’eau par terre. Quand ma mère revient de son trajet fatiguant et humiliant, elle n’a plus le courage de nous préparer pour nous envoyer à l’école. Si elle le fait, ce sont des enfants aux vêtements sales qu’elle laisse partir. Et après, elle est trop fatiguée pour faire à manger.
La pauvre, ma mèreMa mère est gentille, en vrai, mais elle est à plaindre. Notre maison dans un état lamentable. Les armoires sont moisies, le sol gondolé à cause de l’humidité. Pendant des années nous n’avons pas pu prendre
de douche parce que l’eau coulait chez les voisins d’en bas. Nous nous lavions dans un grand seau vert, qui sert de poubelle en réalité, et nous renversions ensuite l’eau dans les toilettes. Ma mère pleurait souvent et décidait qu’elle ne pouvait pas laisser ses enfants vivre comme cela. Alors elle se précipitait dans la cuisine, disons, et pendant quelques jours, nous avions des repas chauds, mais pas d’habits propres et pas de maison rangée. Ensuite, elle décidait qu’il fallait du linge propre, alors il n’y avait rien à manger. Vous comprenez ? La maison était vraiment très sale.
Peu à peu, j’ai grandi et j’ai compris dans quel cauchemar je vivais. J’avais honte de mon père, j’avais de la peine pour ma mère. J’avais de la peine pour moi et pour mes frères et sœurs, aussi. Un jour, j’ai raconté la vérité à ma copine parce qu’elle s’était vexée que je ne l’invitais jamais chez moi. Je lui ai raconté. Je lui ai tout raconté en pleurant. Elle était stupéfaite, bouleversée. “ Tu as essayé de parler à Koupat Ha’ir ? “ m’a-t-elle demandé. Non, je n’avais pas essayé, je n’y avais pas pensé.
Des larmes à la cabine de téléphoneEn revenant de l’école, je me suis arrêtée à une cabine et j’ai téléphoné à Koupat Ha’ir. J’ai commencé à leur raconter et au milieu, je me suis mise à pleurer. J’ai pleuré très fort, je n’arrivais pas à m’arrêter. Toute
Juste vous dire Merci!
ma peine, ma honte, et ma colère me sont montées à la gorge. La dame au téléphone a eu peur et m’a demandé mon nom et mon adresse. Je l’ai presque faite jurer de ne pas raconter qui avait téléphoné.
Et voilà. Le jour même, l’après-midi, deux dames sont venues. Elles ont frappé à la porte et en une seconde, ont vu ce qui se passait. Elles ont parlé quelques minutes avec ma mère, qui était glacée à l’idée que quelqu’un avait raconté son terrible secret. “ Cela nous prendra quelques jours, mais sachez que nous ne vous oublions pas “. Elles ont regardé les enfants et leurs habits dégoûtants. Elles ont visité la cuisine, les toilettes ; elles ont vu le seau dans la salle de bains.
Avant de partir, elles m’ont cherchée et m’ont mis dans la main un bon d’achat de supermarché. “ Va acheter quelque chose de bon pour le repas du soir. Nettoie d’abord la table et les chaises. Et achète aussi de la poudre de lessive. Tu es grande, tu peux laver les draps de tes frères et sœurs “.
Je suis allée acheter ce qu’il fallait et j’ai mis la table pour tout le monde. Mes frères et sœurs sont venus manger ; ils étaient contents et riaient. Ensuite, je les ai lavés et j’ai changé leurs draps.
Elles sont revenues quelques jours plus tard avec un maçon et des ouvriers. Ils ont démoli cet appartement en ruines chambre par chambre ; ils ont refait la cuisine et les sanitaires. Ils ont repeint les chambres et ont changé les portes cassées. J’ai lavé tous les meubles comme pour Pessa’h. Tous les quelques jours, nous avions une nouvelle chambre fraîche et impeccable. Ils ont fermé notre balcon, ce qui nous a fait une pièce en plus. Nous nous sommes sentis dans un nouveau monde. Ma mère n’en croyait pas ses yeux. Il y avait maintenant une douche, de la poudre à laver. J’ai beaucoup travaillé pour tout faire propre, pour tout garder net. Je voulais que nous vivions normalement, comme tout le monde.
Les dames sont venues encore une fois. “ Tu travailles trop, m’a dit l’une d’elles. Tu es petite encore, et tu vas à l’école. Ton professeur dit que tu es très, très, très fatiguée “.
Merci
La boutique de charité au cœur de Paris
à la mémoire de Méir ben Avraham Allouche ז״ל
J’ai eu honte qu’elle ait parlé à mon prof, mais j’étais contente aussi. Ma mère n’a jamais appelé la prof. J’ai senti qu’elles s’inquiétaient pour moi et qu’elles s’intéressaient à moi. “ Nous voyons ce que tu as fait pour tes frères. Nous voyons que c’est ton travail à toi. Toute cette propreté, toute cette lessive... Mais c’est trop pour toi. Nous allons vous envoyer une femme de ménage. “
La victoireDans cette maison toute propre, avec les bons d’achat qu’elles avaient apportés, elles se sont encore inquiétées que ce soit trop difficile pour moi ! Comme cela m’a touché ! Elles nous ont envoyé une femme qui vient trois fois par semaine pour aider à faire la cuisine, la lessive, et à garder la maison propre. Ma mère a pris des couleurs et elle a meilleur moral. Elle continue à faire lever mon père et à l’envoyer à la synagogue. Il continue à crier et tout ça, mais j’ai l’impression qu’il va quand même un peu mieux. La femme qui vient aider ma mère lui montre comment faire, quoi acheter. Ma mère pleure beaucoup moins. Mes sœurs reçoivent de meilleures notes à l’école…
MerciChaque fois que j’ai voulu dire merci à ces dames-là, elles m’ont répondu : “ Ce n’est pas nous, ce sont
les donateurs. C’est pour cela qu’ils font des dons, pour que vous viviez
mieux, pour que vous ne souffriez pas tant. Ils font des dons parce que
c’est une mitsva et qu’ils pensent à chaque Juif. Ne nous remercie pas, prie
pour eux. “
Que serait-il arrivé sans vous ?
Koupat Ha’ir a fait pour cette famille beaucoup d’autres choses que cette jeune
fille ne sait pas. Mais même ce qu’elle sait suffit. Malgré le nombre de foyers qu’elle aide, chaque famille est un “ fils unique “ pour Koupat Ha’ir. Elle accompagne chaque famille sur son chemin personnel et ne la quitte pas avant de la voir solidement rétablie.
Chaque mois, Koupat Ha’ir se trouve face aux besoins immenses de toutes ces familles. Il n’est pas possible de les abandonner alors qu’il leur manque les premières nécessités. Il n’est pas possible de laisser des enfants à la dérive en sachant que, devenus adultes, ils risquent fort de reproduire le modèle qu’ils ont vécu dans leur enfance. Koupat Ha’ir brise de force ce cercle vicieux, quelquefois par des moyens originaux, en fonction de la sensibilité de chaque famille et de ses conditions particulières.
De maison en maison, de quartier en quartier, d’autres enfants frappés par la pauvreté, d’autres familles en détresse se relèvent. Sans argent, il n’aurait pas été possible de les aider, malgré toute la bonne volonté du monde. Tout coûte de l’argent. Les dons que vous faites, Koupat Ha’ir les utilise au mieux pour acheter la vie, de belles années de santé, et pour vous, des mérites innombrables.C’est cela que font vos dons. C’est ce que vous faites dans ce monde. Puisse le Créateur emplir vos jours de satisfaction et de lumière…
Merci
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Organisme Bancaire:Banque:______________________
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Titulaire du compte à débiter:Nom:__________________________________
Prénom:________________________________
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Je vous prie de bien vouloir débiter sans autre avis, à la condition qu’il présente la provision nécessaire, mon compte du montant de tous les avis de prélèvement établis à mon nom présentés par Koupat Ha’ir.
Donateur:Nom:_________________________
Prénom:_______________________
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Tel:__________________________
E-mail: ________________________
J’autorise un prélèvement mensuelde _______ € ; soit en toutes lettres __________
________________________________ euros.
à compter du _______________
La présente autorisation restera valable jusqu’à nouvel ordre de ma part.
A_____________________le_____________
Signature: ____________Bénéficiaire:Les Amis de Koupat Ha’irAutorisation 61 268, 95209 SARCELLES CEDEX
Merci de joindre un Relevé d’Identité Bancaire
Remarque: ______________________________________________________
Si vous signez sur un prélèvement automatique d’un an, vous pouvez demander que les envoyés de Koupat Ha’ir prient pour vous au Kotel, sur la tombe de Rabbi
Chimon bar Yo’haï ou sur la tombe de Rachel tous les jours de l'année. Transmettez les noms par téléphone au 0-800-525-523
Les vêtements peuvent être déposés
Du Dimanche au Jeudi de 10h00 à 20h00
à l’adresse suivante :
16 Rue le Marois 75016 Paris
La boutique de charité au cœur de Paris
à la mémoire de Méir ben Avraham Allouche ז״ל
www.koupathair.comLes Amis de Koupat Ha’ir, Autorisation 61268, 95209 SARCELLES CEDEX
Un reçu cerfa vous sera délivré, il permet de diminuer des impôts 66% du don.
Pour plus de renseignements ou pour transmettre vos Matanot Laévyonim directement par CB composez le:
Koupat Ha’ir, la ligne directe pour la Tsédaka en Israël0-800-525-523
Je donne _______ euros,
pour les matanot laévyonim
qui seront donnés en espèces
le jour même de Pourim,
aux familles nécessiteuses et aux malades.
Veuillez faire mentionner mon nom et prier pour:
Prénom et prénom de la mère: ____________________________
Requête:___________________________________________________
Prénom et prénom de la mère: ____________________________
Requête:___________________________________________________
Nos Grands Maîtres, que le Ciel a désigné pour guider
notre génération, nous offrent un cadeau précieux :
leur bénédiction personnelle, à notre nom, le jour de
Pourim.
Quel rare privilège !
La bénédiction des Tsadikim:
1
Pour que les délégués de Koupat Ha’ir prient pour moi au Kotel, l’endroit que la Présence divine
n’a jamais quitté, pendant 40 jours.
Une ségoula particulière qui produit des résultats
extraordinaires.
40 jours de prières face au Mur des Lamentations:
2
A Pourim, les envoyés de
Koupat Ha’ir prieront sur 30
lieux saints, et mentionneront
posément chaque nom et
sa requête.Une prière si
puissante ne manquera pas
d’être agréée…
Ouvrir les 30 Portes du Ciel, le jour de Pourim:
3
100%Tsédaka
Les m
atanot laévyonim de Pourim