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Source/Quelle: Laurent Zylberman/Graphix-Images/IRSN 12 19 24 02_2015 L‘exposition industrielle RSNA 2014: multitude d‘impressions RSNA 2014 hinterlässt Vielzahl von Eindrücken Cristallin: Les yeux sous haute radioprotection Augenlinse: Strahlenschutz der Augen Mise en application pratique de l‘article 74 de l‘ORaP Praktische Umsetzung des Artikels 74 StSV actuel aktuell attualità

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Source/Quelle: Laurent Zylberman/Graphix-Images/IRSN

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02_2015

L‘exposition industrielle RSNA 2014: multitude d‘impressionsRSNA 2014 hinterlässt Vielzahl von Eindrücken

Cristallin: Les yeux sous haute radioprotectionAugenlinse: Strahlenschutz der Augen

Mise en application pratique de l‘article 74 de l‘ORaP Praktische Umsetzung des Artikels 74 StSV

actuelactuelaktuell attualità

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ASTRM actuel 02 / 2015 éditorial | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Editorial 3

Chères et chers collègues,

Mon tour est venu d’écrire l’éditorial de notre journal et c’est avec plaisir que je prends la plume pour vous adresser ces quelques lignes.Comme le point fort de ce numéro est la radio-protection, je me remémore ses concepts théo-riques. Doses, grandeurs, unités, effets stochas-tiques et déterministes, recommandations des organismes nationaux et internationaux et tant d’autres encore. Tous ces éléments bien connus du TRM ne sont pas simples à appréhender et sont indissociablement liées à la notion de risque. Le risque est la conséquence aléatoire d’une situation vue sous l’angle d’une menace et il témoigne d’un danger potentiel. L’utilisation de rayonnements ioni-sants comporte la probabilité d’un évènement considéré comme un dommage. Bien que ce risque soit difficile à défi-nir et que sa perception soit toujours fortement teintée par des facteurs subjectifs, il est dans nos compétences et de notre responsabilité d’essayer de l’expliquer, de le gérer et de le prévenir.Insistons donc sur la nécessité de connaître et maîtriser les règles de radioprotection. Au niveau de la prise en charge du patient, cela ne se traduira pas obligatoirement par une «ré-duction à tout prix» de la dose délivrée. Nous faisons partie des acteurs qui contrôlent et optimisent les doses appli-quées aux patients. Une bonne connaissance des niveaux des «faibles doses», employées en radiodiagnostic, doit nous permettre de mieux apprécier les risques réels en rapport avec notre pratique et nous pouvons nous dire que: «Parfois, si l’on ne risque rien, on risque plus encore.»

Isabelle GremionMembre du comité central

Liebe Kolleginnen und Kollegen

Nun bin ich an der Reihe, das Editorial unserer Zeit-schrift zu verfassen. Ich freue mich, diese Zeilen an Sie zu richten.Da sich diese Ausgabe vor allem mit dem Strahlen-schutz befasst, rufe ich mir seine theoretischen Begriffe in Erinnerung. Dosen, Grössen, Einheiten, stochastische und deterministische Wirkung, Emp-fehlungen der nationalen und internationalen Or-ganisationen und noch vieles mehr. Die Fachleute für MTRA kennen all diese nicht einfach zu erfas-senden Elemente bestens, die eng mit dem Risiko-begriff verbunden sind. Das Risiko ist eine zufalls-

bedingte Konsequenz einer Situation unter dem Gesichtspunkt einer Bedrohung und zeugt von einer potenziellen Gefahr. Die Verwendung ionisierender Strahlung bringt die Wahrscheinlich-keit mit sich, dass es zu einem Ereignis kommt, das als Schaden betrachtet werden muss. Es ist zwar schwierig, dieses Risiko zu beschreiben und seine Wahrnehmung ist immer stark von sub-jektiven Faktoren geprägt. Dennoch liegt es in unserer Kompe-tenz und Verantwortung zu versuchen, dieses Risiko zu erklären, damit umzugehen und davor zu warnen.Wir müssen also auf die Notwendigkeit beharren, die Strahlen-schutzregeln zu kennen und zu beherrschen. Was die Patienten-versorgung anbelangt, wird dies nicht unweigerlich zu einer Re-duktion der abgegebenen Dosis führen. Wir gehören zu den Akteuren, welche die an die Patienten abgegebenen Dosen kon-trollieren und optimieren. Mit einer guten Kenntnis der Stufen der in der Röntgendiagnostik angewendeten «schwachen Do-sen» müssen wir die echten Risiken im Zusammenhang mit un-serer Praxis einschätzen können und uns sagen: «Wenn man nichts riskiert, riskiert man manchmal noch mehr.»

Isabelle GremionMitglied Zentralvorstand

News

En bref

Succès pour les TRM de Lugano à Strasbourg

Congrès de radiologie 2015: bienvenue à Bâle!

L‘exposition industrielle RSNA 2014: une multitude d‘impressionsArticle spécialisé

Cristallin: Les yeux sous haute radioprotection

Mise en application pratique de l‘article 74 de l‘ORaP Série

Nuova serie – Scuola superiore medico-tecnica di LocarnoFormation

Bulletin des emplois

Agenda / Impressum

News

Kurznews

Erfolgreiche Fachleute für MTRA aus Lugano in Strassburg

Radiologiekongress 2015: willkommen in Basel!

RSNA 2014 hinterlässt eine Vielzahl von Eindrücken Fachbericht

Augenlinse: Strahlenschutz der Augen

Praktische Umsetzung des Artikels 74 StSVSerie

Neue Serie – Scuola superiore medico-tecnica di Locarno Fort- und Weiterbildung

Stellenanzeiger

Agenda / Impressum

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ASTRM actuel 02 / 2015 formation | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Fort- und Weiterbildung4

Universitätsinstitut für Diagnostische, Interventionelle und Pädiatrische Radiologie

Ab auf die Insel Samstag 9. Mai 2015

Die Radiologie im Fokus der TransplantationsmedizinUnter dem Motto «Ab auf die Insel» erwartet Sie am Samstag 9. Mai 2015 bereits zum 3. Mal eine abwechslungsreiche, informative MTRA-Fortbildungstagung zum diesjährigen Thema «Die Radiologie im Fokus der Transplantationsmedizin».

Zahlreiche Experten aus der radiologischen Diagnostik, der Herz- Gefässchirurgie, der Transplantationskoordination sowie der klinischen Ethik werden dieses Thema von allen Seiten beleuchten. Die hochkomplexe und für die Betroffenen äusserst emotionale Transplantationsmedizin fordert von allen involvierten Fachkräften eine höchst professionelle und speditive Arbeitsweise. Unser Ziel ist es mit interessanten und praktischen Referaten die Wichtigkeit der Radiologie innerhalb der Transplan-tationsmedizin aufzuzeigen.

Themen:– Hirntoddiagnostik– Transplantationsmanagement– Faszination Herztransplantation– Mein Körper – dein Herz– Die radiologischen Vorabklärungen bei Lebendspende– Verlaufsbeobachtungen bei Lebertransplantation– Organspende – tödliches Dilemma oder ethische Pflicht?

Die Tagung ist mit 5 CME-Punkten akkreditiert.

Online-Ausschreibung: www.radiologie.insel.ch/de/fortbildungen/ab-auf-die-insel-2015/

_Inserat_ab_auf_die_Insel_15.indd 1 08.01.15 17:00

Du lundi 18 au jeudi 21 mai 2015, HESAV/fi lière TRM de Lausanne

Cours sur le dépistage organisé du cancer du sein par mammographie

Programme:

Conditi on d’admission:

Programme détaillé:

Finance d’inscripti on:

Assurance:

Délai d’inscripti on:

Points CME:

Contrôle des connaissances:

Certi fi cat:

Adresse de contact:

Les cours s’adressent aux technicien(ne)s en radiologie médicale impliqués dans un programme de dépistage du cancer du sein.

La personne doit être au bénéfi ce d’un diplôme de technicien(ne) en radiologie médicale et eff ectuer régulièrement des clichés mammographiques.

Le programme détaillé (avec formulaire d’inscripti on) peut être obtenu à l’adresse de contact ci-dessous.

La fi nance d’inscripti on est de CHF 800.– pour l’ensemble du cours (CHF 1200.– pour les TRM qui ne sont pas membres de l’associati on); elle couvre l’enseignement et la documentati on distri-buée. L’entreti en (repas, hôtel) et les déplacements ne sont pas compris dans ces prestati ons.

Durant les cours, les accidents sont couverts par l’assureur LAA pour les personnes ayant un employeur. Pour les autres personnes, elles doivent être couvertes par une assurance person-nelle.

Le délai d’inscripti on est fi xé au 1er mai 2015.

Certi fi cat: 110 points CME/Att estati on: 37 points CME

Jeudi 28 mai 2015

Le/la candidat(e) ayant suivi le bloc théorique, ayant réussi le test de connaissances, ayant validé son stage et ayant réalisé un portf olio recevra un certi fi cat att estant de sa formati on.

formati [email protected]

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News 5

Élaboration de la Loi sur les professions de la santé

NAREG est online

Le 12.11.2014, le conseil fédé-ral a décidé de la marche à suivre après la consultation en donnant différents ordres de vérifi cation dont l’un concerne l’intégration d’autres profes-sions dans la Loi sur les pro-fessions de la santé. Dans le cadre de cet ordre de vérifi ca-tion et compte tenu des prises de position obtenues, l’ASTRM était invitée à un entretien en janvier. L’ASTRM profi tait de cette occasion pour confi rmer sa prise de position du 3 mars 2014 selon laquelle les techni-ciens en radiologie médicale

Le registre national pour pro-fessionnels de la santé NAREG est un registre national basé sur les personnes analogue au registre des professions médi-cales MedReg. Il comprend avant tout des professionnels de la santé dans les profes-sions de la santé non universi-taires et il est tenu par la Croix-Rouge suisse sur Man-dat de la CDS. La profession de technicienne et technicien en radiologie médicale ES/HE est registré.Depuis le 1er janvier 2015, le registre est online sur www.nareg.ch. Le registre sert à la protection et à l’information des patients, à renseigner les services suisses et étrangers, à assurer la qualité et à établir des statistiques. Il sert de plus

tombent sous le champ d’ap-plication de la Loi sur les pro-fessions de la santé.Dans ce contexte, nous pou-vions compter sur le soutien et la prise de position de l’Asso-ciation suisse des centres de formation santé-social (AS-CFS) et de la HES-SO qui était également invitée. Selon la feuille de route établie par les offi ces fédéraux compétents OFSP et SEFRI, le message au conseil fédéral sera élaboré d’ici juin 2015 afi n que le par-lement puisse en décider d’ici novembre 2015.

à simplifi er les procédures né-cessaires pour la délivrance des autorisations de pratiquer. Le NAREG contient dans une première phase principale-ment les données personnelles et les données sur les diplômes des personnes qui ont obtenu leur diplôme à partir de l’an 2000 ou qui l’ont fait recon-naître à partir de cette date. La raison en est que seules les données du registre CRS dis-ponibles électroniquement ont migré dans le NAREG.

Consultation Changement du titre

En tant que membre, vous avez reçu les documents concernant la consultation portant sur un nouveau titre professionnel par courrier. Participez-y jusqu’au 10 mars 2015, il est important que vous exprimiez votre opinion.

En fonction du résultat de la consultation, les délégués sta-tueront sur ce point lors de l’assemblée des délégués de jeudi, 4 juin 2015 à Bâle.

Audit de maintien du label NPO réussi Le label NPO engendre une meilleure focalisation sur les membres/clients et donc une acceptation accrue par les partenaires d’échange. Il conduit à une plus grande confi ance dans l’activité NPO, à des responsabilités, compé-tences et interfaces claires qui augmentent en fonction des jonctions. Il atteste de façon neutre et reconnue de compé-tences managériales et de performances, d’une grande transparence au sein de l’or-ganisation et d’une optimisa-tion des déroulements com-plexes et donc d’une meilleure gestion dans les domaines du management, du marketing et des ressources.

Le label NPO permet l’organisa-tion et le déploiement d’une ap-proche managériale selon des critères de mesure défi nis et at-testés répondant à l’état de l’art en matière de management. Cela englobe un système de management documenté, un dévelop pe ment attesté de l’en-treprise, une meilleure orienta-tion client et donc un taux d’ac-ceptation accru, de répondre à l’évolution des exigences tou-jours plus contraignantes de l’économie et de la société, de satisfaire à des critères d’effi ca-cité et d’orientation client lors de la réalisation des prestations.

Bienvenue, chers fonctionnairesAu sein de la commission Mé-decine nucléaire, nous souhai-tons la bienvenue à Mirjam Bachmann, hôpital cantonal de Lucerne et à Monika Kand-ziora, clinique Hirslanden à Zurich.

Est-ce que la collaboration au sein d’un groupe de l’ASTRM vous intéresse aussi? Veuillez contacter votre section ou envoyer un courriel à [email protected]

Congrès de radiologie BâleLes inscriptions sont ouvertes. Vous trouverez le programme du congrès de radiologie du 4 au 6 juin 2015 à Bâle dans ce

numéro mais également sur www.radiologiekongress.ch.

[email protected]

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News6

Erarbeitung Gesundheitsberufegesetz

NAREG ist online

Der Bundesrat hat am 12.11.2014 über das weitere Vorgehen nach der Vernehm-lassung befunden. Dabei hat er mehrere Prüfaufträge erteilt. Ein Prüfauftrag betrifft die Aufnahme weiterer Berufe ins Gesundheitsberufegesetz. Im Rahmen dieses Prüfauftrages und mit Blick auf die eingegan-gen Stellungnahmen wurde die SVMTRA zu einem Gespräch im Januar eingeladen. Die SVMTRA hat dabei ihre Position gemäss Stellungnahme vom 3. März 2014 bekräftigt, dass die Fach-leute für MTRA in den Gel-

Das nationale Register für Gesundheitsfachpersonen NAREG ist ein personenbasier-tes, nationales Register analog dem Medizinalberuferegister MedReg. Es enthält vor allem Gesundheitsfachpersonen in nicht-universitären Gesund-heitsberufen und wird vom Schweizerischen Roten Kreuz im Auftrag der GDK geführt.Auch der Beruf der Fachfrau und Fachmann für medizi-nisch-technische Radiologie HF/FH ist im NAREG erfasst.Seit dem 1. Januar 2015 ist das Register unter www.na-reg.ch online einsehbar. Das Register dient dem Schutz und der Information von Pati-entinnen und Patienten, der Information von in- und aus-ländischen Stellen, der Quali-tätssicherung sowie zu statis-

tungsbereich des Gesundheits-berufegesetzes gehören.Dabei konnten wir auf die Unterstützung und Stellung-nahme des Schweizerischen Verbandes Bildungszentren Ge -sundheit und Soziales (BGS) und der HES-SO, welche eben-falls eingeladen wurde, zählen. Der Fahrplan der federführen-den Bundesämter BAG und SBFI sieht vor, dass bis Juni 2015 die Botschaft an den Bundesrat er-arbeitet wird, damit das Parla-ment bis November 2015 darü-ber entscheiden kann.

tischen Zwecken. Es dient ausserdem der Vereinfachung der für die Erteilung der Be-rufsausübungsbewilligungen notwendigen Abläufe.Das NAREG enthält in einer er-sten Phase hauptsächlich Per-sonen- und Diplomdaten von Personen, welche ihren Ausbil-dungsabschluss ab dem Jahr 2000 erlangt haben oder die-sen ab diesem Zeitpunkt aner-kennen liessen. Grund dafür ist, dass ins NAREG nur die elektronisch vorhandenen Da-ten aus dem bestehenden SRK-Register migriert wurden.

Vernehmlassung Titeländerung

Radiologiekongress Basel

Aufrechterhaltungsaudit NPO-Label bestanden

Willkommen, liebe Funktionäre

Die Unterlagen zur Vernehm-lassung eines neuen Berufsti-tels haben Sie als Mitglied per Post erhalten. Nehmen Sie daran bis 10. März 2015 teil, ihre Meinungsäusserung ist wichtig. Je nach Vernehmlas-sungsresultat werden die

Die Anmeldung ist offen, das Programm des Radiologie-kongresses vom 4. bis 6. Juni 2015 in Basel fi nden Sie so-

Das NPO-Label bewirkt eine ver-besserte Mitglieder-/Kundenori-entierung und damit eine ge-steigerte Akzeptanz bei den Austauschpartnern. Es führt zu mehr Vertrauen in die NPO-Tä-tigkeit, zu klaren Verantwortlich-keiten, Kompetenzen und Schnittstellen, die vermehrt zu Verbindungsstellen werden. Es bescheinigt einen neutralen und anerkannten Nachweis der Ma-nagementfähigkeit und Perfor-mance, höhere Transparenz in-nerhalb der Organisation und eine Optimierung der komple-xen Abläufe sowie dadurch eine bessere Steuerbarkeit im Ma-nagement-, Marketing- und Ressourcenbereich.

In der Fachstelle Nuklearmedi-zin begrüssen wir neu Mirjam Bachmann, Luzerner Kantons-spital und Monika Kandziora, Klinik Hirslanden Zürich.

Delegierten an der Dele gier-ten versammlung vom Don-ners tag, 4. Juni 2015 in Basel darüber befi nden.

wohl in diesem Heft wie auch unter www.radiologiekongress.ch.

Das NPO-Label ermöglicht die Organisation und Implementati-on des Managements in festge-legtem und nachgewiesenem Masse nach dem State of Art des heute verfügbaren Manage-ment-Wissens. Dazu gehören ein dokumentiertes Manage-mentsystem, eine nachge-wiesene Entwicklung der Unter-nehmung, eine verbesserte Kundenorientierung und damit gesteigerte Akzeptanz, den wachsenden Ansprüchen durch den wirtschaftlichen und gesell-schaftlichen Wandel gerecht zu werden, die Forderung nach ei-ner wirkungsorientierten und kundenfreundlichen Leistungs-erbringung zu erfüllen.

Sind Sie auch interessiert an einer Mitarbeit in einer Gruppe der SVMTRA? Melden Sie sich bei Ihrer Sektion oder via [email protected]

unter www.radiologiekongress.ch.

zin begrüssen wir neu Mirjam Bachmann, Luzerner Kantons-spital und Monika Kandziora, Klinik Hirslanden Zürich.

der SVMTRA? Melden Sie sich bei Ihrer Sektion oder via [email protected]

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News 7

Elaborazione della legge sulle professioni della sanità

NAREG è online

Il 12.11.2014, il consiglio fede-rale, dopo consultazione, ha deliberato in merito al proce-dere, emanando diversi ordini di verifi ca, uno dei quali concerne l’integrazione di altre professioni nella Legge sulle professioni della sanità. In tale contesto, e consideran-do le prese di posizione otte-nute a riguardo, l’ASTRM è stata invitata ad un incontro in gennaio. L’ASTRM ha appro-fi ttato di questa occasione per confermare la propria presa di posizione del 3 marzo 2014, nella quale i tecnici in radiolo-gia medica ricadono sotto il

Il registro nazionale per il per-sonale professionalmente at-tivo nella sanità (NAREG) è online NAREG è un registro nazionale basato sulle perso-ne, analogamente al registro delle professioni mediche Me-dReg. Contiene principalmen-te l’elenco delle persone attive in sanità in professioni non acca-demiche ed è gestito dalla Croce Rossa Svizzera su mandato della CDS. Anche la professione di TRM vi è contemplata.Dal 1 gennaio 2015 il registro è consultabile online su www.nareg.ch. Il registro tutela la protezione ed offre informa-zioni ai pazienti in merito a si-ti di cura nazionali e stranieri, ai controlli di qualità ed agli aspetti statistici. Offre anche

campo di applicazione della Legge sulle professioni della sanità.In questo ambito possiamo contare sul sostegno dell’As-sociazione svizzera dei centri di formazione in sanità-socia-lità (ASCFS) e della HES-SO, che era pure invitata all’incon-tro. Secondo la tabella di mar-cia stabilita dagli uffi ci com-petenti dell’UFSP e del SEFRI, il messaggio al consiglio fede-rale sarà elaborato entro giu-gno 2015, in modo che il par-lamento possa decidere entro novembre 2015.

spiegazioni circa le modalità per la concessione delle auto-rizzazioni d’esercizio profes-sionale.NAREG contiene, in questa prima fase, principalmente i dati di persone che hanno ter-minato la loro formazione a partire dal 2000, o che hanno ottenuto il riconoscimento del titolo di studio dopo questa data. Lo scopo è che il registro dati della CRS vengo trasferito in forma elettronica su NAREG.

Consultazione per il cambiamento del titoloIn qualità di membro avete ri-cevuto per posta i documenti concernenti la consultazione per la modifi ca del titolo pro-fessionale. È importante che esprimiate la vostra opinione,

partecipate entro il 10 di mar-zo 2015. In funzione del risul-tato della consultazione i dele-gati delibereranno su questo punto durante l’assemblea dei delegati di giovedì 4 giugno 2015 a Basilea.

Audit di mantenimento NPO Label: esercizio riuscito

Il Label NPO si focalizza meglio sui membri/clienti e rappresen-ta dunque un accrescimento dell’accettazione da parte dei partner con cui si interagisce. Comporta una maggiore confi -denza nei riguardi delle attività NPO, delle responsabilità, e ac-cresce le competenze che au-mentano in funzione dei colle-gamenti instaurati. Attesta in maniera neutra e riconosciuta le competenze manageriali e di performance, come pure la trasparenza in seno all’organiz-zazione e l’ottimizzazione dei processi, anche più complessi, e dunque una migliore gestione nel campo del management, del marketing e delle risorse.

Il Label NPO permette l’orga-nizzazione e lo sviluppo di un approccio manageriale secon-do criteri defi niti e attestati che rispondono allo stato dell’arte in materia di manage-ment. Ciò comprende un sis-tema di gestione della docu-mentazione, uno sviluppo verifi cato dell’organizzazione, un migliore orientamento al cliente e dunque un tasso di gradimento accresciuto nel rispondere all’evoluzione delle esigenze sempre più dipen-denti dalle economie dalla so-cietà, soddisfacendo i criteri di effi cacità e di orientamento ai clienti durante la realizzazione delle prestazioni.

Benvenuti cari funzionariIn seno alla commissione me-dicina nucleare, auguriamo il benvenuto a Mirjam Bach-mann, ospedale cantonale di Lucerna, e a Monika Kandzio-ra, clinica Hirslanden di Zuri-go. Vi interessa collaborare in

seno ad un gruppo di lavoro ASTRM? Contattate la vostra sezione o scrivete a [email protected]

Congresso di Radiologia BasileaLe iscrizioni sono aperte. Tro-verete il programma del congresso di radiologia, dal 4 al 6 giugno 2015 a Basilea, in

questo numero ma anche su www.radiologiekongress.ch

Congresso di Radiologia BasileaLe iscrizioni sono aperte. Tro-verete il programma del

questo numero ma anche su www.radiologiekongress.ch

Lucerna, e a Monika Kandzio-ra, clinica Hirslanden di Zuri-go. Vi interessa collaborare in

questo numero ma anche su www.radiologiekongress.ch

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News8

Am 17. und 18. Januar 2015 fanden im elsässischen Strass-burg die «2ème Journées Fran-cophones de Scanner de l’AFPPE» statt. Am vielseitigen Programm dieser Veranstal-tung rund um die Computer-tomographie nahmen mehr als 750 Fachleute für MTRA teil. Seit diesem Jahr können die SVMTRA-Mitglieder dank einer Vereinbarung zwischen der SVMTRA und der AFPPE zu den gleichen Bedingungen am Kongress teilnehmen wie die AFPPE-Mitglieder. Die Teilneh-mer kamen natürlich aus Fran-kreich, aber auch aus der Schweiz, aus Belgien, Luxem-burg, dem Maghreb und aus Kamerun.Das Samstagsprogramm um-fasste 21 Präsentationen für Fachleute für MTRA: die Orga-nisation war perfekt und die Teilnehmer konnten für die beste Präsentation abstim-men. Die beiden ersten Plätze gingen an zwei interessante

Le 17 et 18 janvier 2015 se dé-roulaient «les 2ème Journées Francophones de Scanner de l’AFPPE» à Strasbourg, en Al-sace. Le programme varié de cette manifestation dans le domaine du scanner a attiré plus de 750 TRM. Depuis cette année, grâce à une convention signée entre l’ASTRM et l’AFPPE, les membres ASTRM ont eu la possibilité de partici-per au congrès aux mêmes conditions d’admission que les adhérents AFPPE. Les partici-pants provenaient de France bien sûr, mais aussi de Suisse, de Belgique, du Luxembourg, des pays du Maghreb ainsi que du Cameroun.Le programme du samedi pré-voyait 21 présentations dé-diées aux TRM: l’organisation était parfaite, et les partici-pants avaient la possibilité de voter pour la meilleure pré-sentation. Les deux premières places ont été attribuées à

Succès pour les TRM de Lugano à Strasbourg Erfolgreiche Fachleute für MTRA aus Lugano in StrassburgYves Jaermann

Vorträge von zwei Teams aus dem Elsass. Die Schweiz err-reichte den dritten Platz für die Präsentation des Radiolo-gie-Teams aus dem Regionalspi-tal Lugano über die Erkennung der Bodypackers (Schmuggler) mit der Computertomographie. Das Foto zeigt den Moment der Preisansage.Die SVMTRA gratuliert dem Team aus Lugano und dankt besonders Ermidio Rezzonico. Mit seiner Arbeit im Zentral-vorstand, seiner Berufsdyna-mik und seinen Kommunikati-onsfähigkeiten ist er für den Beruf und die SVMTRA eine wertvolle Unterstützung. Bra-vo!

Kontakt:Yves JaermannZentralpräsident [email protected]

deux intéressantes confé-rences, présentées par deux équipes d’Alsace. La Suisse s’est distinguée avec la troi-sième place obtenue pour sa présentation de l’équipe de ra-diologie de l’Hôpital Régional de Lugano sur le dépistage des bodypackers («mules») au scanner. En photo le moment de l’annonce du prix.L’ASTRM félicite l’équipe de Lu-gano et adresse ses remercie-ments tout particuliers à Ermidio Rezzonico. Son travail au sein du CC, son dynamisme profession-nel, ses facultés de communica-tion sont autant d’atouts qu’il met au service de la profession et de l’ASTRM. Bravo!

Contact:Yves Jaermannprésident central [email protected]

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News 9

Offi ziell beginnt der Kongress am Donnerstagnachmittag. Die Delegiertenversammlung der SVMTRA fi ndet neu am Don-nerstagvormittag statt. Parallel dazu bieten wir einen Re-fresher-Kurs «Praxisrelevante Schnittbildanatomie» an. Dieser Workshop gliedert sich in drei Themenbereiche: die Neuroa-natomie, die thorakale und die abdominale Schnittbildanato-mie. Hier haben Sie die Mög-lichkeit, Ihr Wissen zu erwei-tern und aufzufrischen.Am Donnerstagnachmittag widmen wir uns den Modali-täten Computertomografi e (z.B. Dual Energy CT: Einfache Bildgebung – doppelte Infor-mation) sowie der Magnet-resonanz Bildgebung (z.B. MR-Mammobiopsie – sichere Lo kalisation).Der Freitag gehört den Fachge-bieten Neuroradiologie und Neurologie (z.B. Diagnostik und Therapie des Schlaganfalls im Schweizer Schlaganfall Netz-werk), dem Strahlenschutz (z.B. Dosismanagement in der Praxis – ein Erfahrungsbericht), den In ter ventionen (z.B. Postpartale

Blutung) und diversen Themen (z.B. «Skill mix et pose de voies veineuses périphériques sous contrôle échographiques»).Am Samstagvormittag werden 3 Workshops angeboten.Workshop I: Mamma-Biopsie an 2 Modalitäten (MRI und konventionelle Mammogra-phie). Durchführung einer kompletten Biopsie, inkl. Pro-beentnahme am Phantom.Workshop II: Embolisationsver-fahren, inkl. Demonstration des dazugehörenden Materials.Workshop III: Interventionen am CT.Für alle Workshops ist eine se-parate Anmeldung notwendig, da die Teilnehmerzahl be-schränkt ist.Die Vorträge am Donners-tagnachmittag und Freitag werden Französisch/Deutsch simultan übersetzt. Die Work-shops fi nden in deutscher Sprache statt.Wir freuen uns auf einen inte-ressanten Kongress sowie den Austausch mit Kolleginnen und Kollegen aus der ganzen Schweiz.

Anmeldung: www.radiologiekongress.ch

Kontakt:Janih Ch. Lü[email protected]

Le congrès offi ciel débutera jeudi après-midi. L’assemblée des délégués de l’ASTRM aura désormais lieu jeudi matin. En parallèle, nous proposerons un cours servant à rafraîchir les connaissances en imagerie anatomique en coupe appliquée dans la pratique. Cet atelier est réparti en trois thèmes: la neuroanatomie, l’imagerie anatomique thora-cique en coupe et l’imagerie anatomique abdominale en coupe. Vous y aurez la possibi-lité d’élargir et de rafraîchir vos connaissances.Jeudi après-midi, nous nous consacrerons aux thèmes de la tomodensitométrie (p.ex. Dual Energy CT: imagerie simple – in-formation double) et de l’ima-gerie par résonance magné-tique (p.ex. biopsie mammaire sous IRM – localisation sûre).La journée de vendredi sera dé-diée aux thèmes neuro (p.ex. diagnostic et thérapie de l’acci-dent vasculaire cérébral dans le réseau suisse d’accidents vas-culaires cérébraux), radiopro-tection (p.ex. gestion des doses dans la pratique – un témoi-gnage), interventions (p.ex. hé-morragie du post-partum) et divers (p.ex. Skill mix et pose de voies veineuses périphériques sous contrôle échographique).Samedi matin, nous propose-rons 3 ateliers en parallèle. Le premier atelier abordera la biopsie mammaire à l’aide de deux modalités (IRM et mam-mographie conventionnelle). Vous aurez alors la possibilité

d’effectuer une biopsie com-plète sur un mannequin y com-pris le prélèvement d’échantil-lons. Lors de la mammographie, une tomobiopsie mammaire complète vous sera montrée avec l’appareil de mammogra-phie à l’aide d’un mannequin. Le troisième atelier se penchera sur les différentes procédures d’embolisation et sur le matériel y relatif.Il est nécessaire de s’inscrire à chaque atelier individuellement étant donné que le nombre de places disponibles est limité.Les conférences de jeudi après-midi et de vendredi seront tra-duites simultanément en fran-çais/allemand. Les ateliers se dérouleront en allemand.Nous nous réjouissons de vivre un congrès intéressant et de pouvoir échanger avec des col-lègues de toute la Suisse.

Inscription:www.radiologiekongress.ch

Contact:Janih Ch. Lü[email protected]

Wir freuen uns, Sie am 69. Jahreskongress der SVMTRA vom 4. bis 6. Juni 2015 in Basel begrüssen zu dürfen. Mit viel Enthusiasmus und grossem Engagement hat das wissenschaftliche Komitee ein abwechslungsrei-ches und lehrreiches Programm zusammengestellt.

Nous avons le plaisir de vous accueillir au 69ème congrès annuel de l’ASTRM qui se déroulera du 4 au 6 juin 2015 à Bâle. C’est avec beaucoup d’enthousiasme et grand engagement que le comité scientifi que a concocté un programme varié et instructif.

Congrès de radiologie 2015: bienvenue à Bâle!Radiologiekongress 2015: Willkommen in Basel!Janih Ch. Lüthi

• Janih Ch. Lüthi, présidente de congrès ASTRM

• Boris Cvitanovic• Severine Dziergwa• Nicole Probst-Plüss• Nadine Seiler• Sandro Scherz• Sibylle Winter-Adler

• Janih Ch. Lüthi, Kongresspräsidentin SVMTRA

• Boris Cvitanovic• Severine Dziergwa• Nicole Probst-Plüss• Nadine Seiler• Sandro Scherz• Sibylle Winter-Adler

Le comité scientifi quesection Nordwestschweiz

Wissenschaftliches KomiteeSektion Nordwestschweiz

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News10

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News 11

09.45 –10.05 Congress Opening, Welcome Address

10.10 Assemblée des Délégués ASTRM Delegiertenversammlung SVMTRA

10.10 Workshop Refresher Kurs - Praxisrelevante Schnittbildanatomie U. Raia, N. Zogg, M. Karle, Basel

11.55 Break/Posters/Technical Exhibition

12.15 Satellite Lunch Symposium

13.15 Break/Posters/Technical Exhibition

14.00 Plenary Session Connaissances et passion - scanner CT Wissen und Leidenschaft - Computertomographie

14.00 Accueil Begrüssung J. Lüthi, Bern

14.10 CT Aorte Gated S. Amacker, Geneva

14.30 Scanner Dual Ernergy: imagerie simple - double information Dual Energy CT: Einfache Bildgebung - Doppelte Information J. Janetzki/ N. Zogg, Basel

14.50 Examen scanner DIEP: que devons-nous savoir? DIEP CT-Untersuchungen: Was wir wissen sollten Ch. Bruguier-Weyermann/F. Doenz, Lausanne

15.15 Break/Posters/Technical Exhibition

15.45 Plenary Session Connaissances et passion: Imagerie par résonnance magnétique Wissen und Leidenschaft - Magnetic Resonance Imaging

15.45 Localisation des aires fonctionnelles du cerveau à l‘aide de l‘IRM fonctionnelle et DTI dans la planifi caton d‘un traitement de tumeurs cérébrales

Lagebestimmung von funktionellen Arealen zur Therapieplanung von Hirntumoren mit funktioneller MRT und DTIS. Lachenmaier, Basel

16.05 Comment penser le lien entre «Technique» et «Relation(nel)» dans le métier de TRM?

Wie kann man sich die Verknüpfung zwischen «Technik» und «zwischenmenschlichem Bereich» im Beruf MTRA vorstellen?A. Goudeaux, Geneva

16.25 Biopsie du sein sous IRM – une localisation très sûre MR- Mammabiopsie – sichere Lokalisation A. Kessler, Basel

16.40 Séquences GRASP – magnifi que qualité d‘image et confort optimal pour le patient GRASP – grossartige Bildqualität bei optimalem PatientenkomfortC. Schlegel, Basel

17.00 Break/Posters/Technical Exhibition

08.30 Plenary Session Connaissances et passion: neurologie Wissen und Leidenschaft - Neuro

08.30 Accueil Begrüssung J. Lüthi, Bern

08.40 Post-operative brain imaging in children with congenital heart disease: brain MRI protocol optimizationA. Wanders/ E.Hervier, Geneva

09.00 L‘hématome sous-arachnoïdien – diagnostic et possibilités de traitement Die Subarachnoidalblutung (SAB) – Diagnostik und

TherapiemöglichkeitenM. Reidy, Basel

09.20 Diagnostic et traitement de l‘AVC dans le réseau suisse de traitement des attaques cérébrales Diagnostik und Therapie des Schlaganfalles im Schweizer Schlaganfall-NetzwerkM. Mordasini, Bern

Le programme / Das ProgrammJEUDI, 4 JUIN 2015 / DONNERSTAG, 4. JUNI 2015Heure / Uhr

VENDREDI, 5 JUIN 2015 / FREITAG, 5. JUNI 2015Heure / Uhr

09.45 Break/Posters/Technical Exhibition

10.30 Plenary Session Connaissances et passion – radioprotection Wissen und Leidenschaft - Strahlenschutz

10.30 Evaluation de l‘effi cacité de différents modèles lunettes plombées en conditions cliniques

Auswertung des Wirkungsgrades verschiedener Modelle von Röntgen-schutzbrillen in klinischen Situationen

C. Bolomey/ G. Fasel, Lausanne

10.50 Gestion de la dose dans la pratique – rapport d‘une expérience Dosismanagement in der Praxis – Ein Erfahrungsbericht G. Stadelmann, Basel

11.10 Coque testiculaire – une petite contribution à la radioprotection Die Hodenkapsel – Ein kleines Stückchen Strahlenschutz A. Hill, Basel

11.30 L‘ar. 74 de l´ORAP, exemple de sa mise en application Beispiel der Umsetzung des Artikels 74 der StSV N. Andric, Lausanne

11.50 Break/Posters/Technical Exhibition

12.00 Satellite Lunch Symposium

13.00 Break/Posters/Technical Exhibition

13.30 Plenary Session Connaissances et passion – intervention Wissen und Leidenschaft – Intervention

13.30 Politique professionnelle Berufspolitik Y. Jaermann, président central ASTRM/Zentralpräsident SVMTRA

13.45 SIRT – la radiothérapie interne sélective SIRT – Die selektive interne Radiotherapie N. Hänggi, Basel

14.10 Hémorragie du post-partum Postpartale Blutung (PPH) B. Imfeld, Basel

14.30 Le PICC – une alternative radiologique à la VVC et au port à cath PICC Einlage – eine radiologische Alternative zum ZVK und Port System F. Giger, Basel

14.50 Break/Posters/Technical Exhibition

15.30 Plenary Session Connaissances et passion – divers Wissen und Leidenschaft – Diverses

15.30 Skill mix et pose de voies veineuses périphériques sous contrôle échographique (VVP)

Skill mix und Ultraschall gestützte peripher venöse Punktion P. Frossard, Lausanne

15.50 Radiodiagnostic conventionnel: le monde numérisé en radiologie conventionnelle – hier et aujourd‘hui Konventionelle Röntgendiagnostik: Die Digitale Welt in der konven-tionellen diagnostischen Radiologie – früher und heute

N. Zumbrunn/ L. Rizzo, Basel

16.10 Charte des Technicien-en-s en Radiologie Médicale des HUG Charta der Fachleute für MTRA der Universitätsspitäler Genf (HUG) M. Milleret, Geneva

16.30 Réseau de Veille Métier TRM: le savoir et la passion MTRA Business Intelligence Netzwerk: Das Wissen und die Leidenschaft P. Vorlet, Lausanne

09.05 Workshop

Interventionen am CT T. Tumminelli / M. Karle, Basel (Dauer: 90 min)

09.05 Workshop

Mamma Biopsie an 2 Modalitäten – MRT und konventionelle Mammografi e L. Martin / N. Westphal / A. Kessler / S. Hoppe, Basel (Dauer: 1h 45min)

09.05 Workshop

Embolisation S. Dziergwa / N. Haenggi / S. Botta, Basel (Dauer: 2h)

SAMEDI, 6 JUIN 2015 / SAMSTAG, 6. JUNI 2015Heure / Uhr

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News12

L‘exposition industrielle RSNA 2014: une multitude d‘impressionsRSNA 2014 hinterlässt eine Vielzahl von EindrückenKurt Karrer

Wie in den vergangenen Jahren versuche ich meine Eindrücke über die Neuigkeiten an der grossen Industrieausstellung mit rund 700 Ausstellern zusam-menzufassen. Ich bitte daher bereits vorab um Ver-ständnis, dass es sich bei diesem Bericht um einen subjektiven Eindruck handelt und ich eventuell auch Wichtiges übersehen haben kann. Die Neuigkeiten sind nach Modalitäten gegliedert.

Comme les années précédentes, je vais essayer de résumer mes impressions concernant les nouveautés présentées lors de la grande exposition industrielle qui comptait environ 700 exposants. Je vous demande donc d’ores et déjà d’être compréhensifs car cet article ne refl ète qu’une impression subjective et il est possible que j’aie éventuellement raté certaines choses impor-tantes. Les nouveautés sont présentées par modalité.

IRMTous les fabricants ont mis l’ac-cent sur de nouveaux systèmes d’IRM utilisant moins de place et moins d’énergie.

GE Healthcare présente quatre nouveaux produits – dans la gamme des 1.5 Tesla: le MR Signa Explorer, le MR Signa Creator et le Creator Hybrid ainsi que, dans la gamme des 3.0 Tesla, le MR Signa Pioneer. Tous les systèmes promettent une réduction de la consom-mation d’énergie pouvant aller jusqu’à 50 % et un faible en-combrement à savoir moins de 30 m2. Le système Pioneer 3.0

Magnetresonanz ImagingDer Fokus liegt bei allen Her-stellern auf neuen MR Syste-men mit geringerem Platz- und Energiebedarf.

GE Healthcare zeigte vier neue Produkte – im 1.5 Tesla Bereich den MR Signa Explo-rer, den MR Signa Creator und Creator Hybrid sowie im 3.0 Tesla Bereich den MR Signa Pi-oneer. Alle Systeme verspre-chen einen bis 50 % gerin-geren Energieverbrauch und deutlich geringeren Platzbe-darf von weniger als 30 m2. Das Pioneer 3.0 Tesla System verfügt über eine neuartige

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ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News 13

Tesla dispose d’une toute nou-velle technologie baptisée «Magic», qui permet d’obtenir 6 niveaux de contraste diffé-rents en une seule acquisition (T1 / T2 / STIR / T1 Flair / T2 Flair et DP). A partir du premier trimestre 2015, une mise à jour DV25 Continuum Pak est disponible pour le MR 450W/750W, elle dispose entre autres de la toute nouvelle ver-sion de SilentSuite qui permet de réduire le bruit lors des sé-quence (pour de plus amples renseignements, visitez le site sous «Signa Puls of MR»).

Philips Healthcare présente un nouveau système 1.5 Tesla: l’Ingenia 1.5T S avec des sé-quences «ComforTone», moins bruyantes. L’appareil est égale-ment équipé d’un système au-dio et vidéo intégré pour le pa-tient. Dans la catégorie des 3.0 Tesla l’entreprise expose le MR Ingenia déjà bien connu. On découvre par contre «l’InteliS-pace Portal 7.0» une extension intéressante pour l’interpréta-ton des images qui offre de vastes possibilités de post-traitment de l’image.

Siemens Healthcare agrandit sa palette IRM avec un appareil de 1,5 Tesla, le Magnetom Ami-ra MR, un système capable d’économiser 30 % d’énergie et n’occupant que peu d’espace. Un Body coil de 60 canaux a été présenté pour les systèmes Skyra 3.0 Tesla. La Quiet Suite devrait réduire le bruit jusqu’à 90 % pour certaines séquences. Pour l’ensemble de la palette

Ausstattung mit dem Namen «Magic», welche in einer Mes-sung erlaubt, 6 verschieden Bildkontraste darzustellen (T1/ T2 / STIR / T1 Flair / T2 Flair und PD). Für den Discovery MR 450W/750W steht ab dem er-sten Quartal 2015 ein Upgrade DV25 Continuum Pak, unter anderem mit der neuesten Si-lentSuite für geräuschärmeren Sequenzen, zur Verfügung. (Weiteres im Internet unter «Signa Puls of MR»)

Philips Healthcare zeigte eben falls ein neues 1.5 Tesla System Ingenia 1.5T S mit ge-räuschreduzierten Sequenzen «ComforTone». Das System verfügt auch über ein integ-riertes System zur Audio- und Videoeinspielung für den Pati-enten. Im Bereich 3.0 Tesla war das bekannte MR Ingenia aus-gestellt. Als interessante Er-weiterung zur Beurteilung der Bilddaten fi el das «InteliSpace Portal 7.0» durch seine um-fassenden Bild-Nachbearbei-tungsmöglichkeiten auf.

Siemens Healthcare erweitert die MR Palette mit dem Ma-gnetom Amira um ein 1,5 Tesla System. Ein System mit 30 % geringerem Energiebedarf und geringen Raumbedürfnissen. Für die 3.0 Tesla Skyra Systeme wurde eine 60 Kanal Body coil gezeigt. Die Quiet Suite soll bei gewissen Sequenzen die Geräusche um bis 90 % reduzieren. Für die gesamte

La RSNA a 100 ans Tout comme la radiologie, la RSNA est apparue après la découverte des rayons X par Wilhelm Konrad Röntgen 2 et la première radiographie de la main de sa femme 1 en 1895. C’est presque 20 ans plus tard qu’un premier mee-ting réunissant 5 radiologues a eu lieu à Chicago et a conduit à la fondation de la RSNA. Lors des meetings sui-vants de la RSNA les premiers produits de l’industrie étaient déjà présentés à cette occasion comme le «Snook» X-ray 3 . Fred S. O’Hara, M.D. 5 a été le premier pré-sident de la RSNA.

100 Jahre RSNAWie die gesamte Radiologie entstand der RSNA nach der Entdeckung der Röntgenstrahlen durch Wilhelm Konrad Röntgen 2 und der ersten Röntgenaufnahme der Hand seiner Frau 1 im Jahr 1895. Beinahe 20 Jahre später fand das erste Meeting von 5 Radiologen in Chicago statt, welches zur Gründung des RSNA führte. An den folgenden RSNA Meetings wurden bereits erste Pro-dukte der Industrie ausgestellt, wie z.B. die «Snook» X-ray Apparatur 3 . Erster Präsident des RSNA war Fred S. O’Hara, M.D. 5

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News14

IRM divers nouveaux logiciels ont été présentés – à ce propos je vous conseille la lecture des articles publiés régulièrement sur le Magnetom Flash (se trouvent facilement sur Inter-net sous «Magnetom Flash»).

Toshiba Medical Systems agrandit sa palette IRM avec un appareil de 1.5T, le Vantage Elan™. Il s’agit également d’un système de faible encombre-ment (23 m²) et dont la consom-mation en énergie a été optimi-sée. Le Vantage Titan 3T est présenté dans la catégorie des appareils à champ magnétique élevé. Ces systèmes proposent des séquences peu bruyantes Pianissimo™-Quiet, non con-trast imaging et un interface in-tuitif M-Power™.

Divers autres constructeurs de systèmes IRM étaient pré-sents lors du congrès de la RSNA 2014:

Magspin Armouse Open MR (à gauche)

Esaote G-Scan Brio (à droite)

Paramed MR open 0,5 T (à gauche)

Divers systèmes MR de China (à droite)

D’autres fabricants comme comme Esaote, Magspin, Para-med et différents construc-teurs chinois ont présenté de nou veaux systèmes ainsi que divers produits de niche.

ScannerLes principales caractéristiques des innovations de cette année avaient trait aux nouveaux matériaux et technologies de détection, aux mesures d’effi -cacité et de réduction de la dose et au nombre de coupes par rotation.

GE Healthcare présente une vaste palette de produits. Les systèmes vont du scanner 16

MR Palette wurden diverse Software neuerungen gezeigt – dazu empfehle ich die Lek türe der regelmässig erscheinenden Publikation Magnetom Flash (unter «Magnetom Flash» ein-fach im Internet zu fi nden).

Toshiba Medical Systems er-weitert die MR Palette mit dem System Vantage Elan™ 1.5T. Es handelt sich ebenfalls um ein System mit geringem Platzbedarf (23 m²) und opti-mierten Verbrauchsdaten. Im Bereich der Hochfeldgeräte wurde das Vantage Titan 3T gezeigt. Die Systeme verfügen über leise Pianissimo™-Quiet MR Sequenzen, non-contrast imaging und das intuitive M-Power™ «user interface».

Diverse Anbieter mit MR Sys-temen waren am RSNA 2014 präsent:

Magspin Armouse Open MR (Abb. links)

Esaote G-Scan Brio (Abb. rechts)

Paramed MR open 0,5 T (Abb. links)

diverse MR Systeme aus China (Abb. rechts)

Weitere Anbieter, wie Esaote, Magspin, Paramed und diverse chinesische Hersteller zeigten neue Systeme und diverse Ni-schenprodukte.

ComputertomographieHauptmerkmale waren in diesem Jahr, neue Detektor-materialien und Technologien, Dosiseffi zienz und Dosisre-duktionsmassnahmen sowie die Anzahl Schichten pro Ro-tation.

GE Healthcare zeigte eine umfangreiche Produktepalet-te. GE zeigte Systeme vom 16

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News 15

coupes aux trois modèles de pointe: le Revolution EVO avec ASIR-V, le Revolution GSI avec VEO, une technologie itérative de reconstruction avec acquisition en énergie spectrale ainsi que le scanner CT Revolution avec un détecteur de 160mm et VEO. Dans les modèles haut de gamme, GE présente également une ar-chitecture technique optimisée de la structure du détecteur y compris des détecteurs GEM-Stone.

Philips Healthcare présente une large palette de scanners allant du CT MX16 EVO 16 coupes, Brilliance 16, Inge-nuity Flex 32, Brilliance 64, Ingenuity jusqu’au scanner iCT à imagerie spectrale. L’iDose 4 promet également une nette réduction de la dose de rayonnements.

Siemens Healthcare présente également une gamme com-plète de scanners menée par les modèles haut de gamme Somatom Force et Somatom Flash, les deux systèmes à 2 tubes RX et MBIR (Model based interative reconstruction). D’autre part un grand nombre de systèmes à source unique sont disponibles, du Somatom Defi nition Edge par le Defi ni-tion AS, le Perspectiv, l’Emo-tion, Scope et jusqu’au Spirit. Les modèles haut de gamme disposent d’un système d’ima-gerie «Dual Energy» et de la technologie moderne Stellar Detektor.

Toshiba Medical Systems dis-pose d’une large palette de produits: l’Astelion, l’Aquillion, l’Aquillion RXL et les modèles haut de gamme: l’Aquillion Prime, l’Aquillion One et l’Aquil-lion Prime Edition. La nouveau-té pour la série des Aquillion One est un grand nombre de fonctions «One-Touch» pour des examens soumis à une contrainte de temps. Les mo-dèles haut de gamme dis-posent naturellement aussi des fonctions de réduction de la dose de rayonnements les plus modernes ainsi que de l’AIDR

Schicht CT bis zu den 3 Top-modellen: Revolution EVO mit ASIR-V, Revolution GSI mit VEO einer modellbasierte ite-rative Rekonstruktionstechno-logie mit Spektral CT sowie den CT Revolution mit eine 160mm Detektor und VEO. GE zeigte bei den Topmodellen ebenfalls eine optimierte tech-nische Architektur des Detek-toraufbaues inklusive der GEM-Stone Detektoren.

Philips Healthcare präsen-tierte eine umfassende CT Palette vom 16 Schicht CT MX16 EVO, Brilliance 16, In-genuity Flex 32, Brilliance 64, Ingenuity bis zum iCT mit Spectral Imaging. Das iDose 4 verspricht ebenfalls deut-lich geringere Strahlenbela-stungen.

Siemens Healthcare zeigte ebenfalls ein komplette Reihe von CT Systemen, angeführt von den Topmodellen Soma-tom Force und Somatom Flash den beiden 2 Röhren-Syste-men mit modellbasierter itera-tiver Rekonstruktion. Im Wei-teren stehen eine Reihe von Single Source Systemen im Angebot, vom Somatom Defi -nition Edge über Defi nition AS, Perspectiv, Emotion, Scope bis Spirit. Die Top modelle ver-fügen über «Dual Energy» Bildgebung und die moderne Stellar Detektor Technologie.

Toshiba Medical Systems verfügt über eine umfang-reiche Produktepalette: Aste-lion, Aquillion, Aquillion RXL und den Topmodellen Aquilli-on Prime, Aquillion One und Aquillion Prime Edition. Die Aquillion One Reihe weisen neu eine Vielzahl von «One-Touch» Funktionen für zeit-kritische Untersuchungen auf. Die Top-Systeme verfü-gen natürlich auch über ak-tuellste Dosisreduktions-Funktionen, wie das AIDR 3D und Spektral Imaging. Die Aquillion One Systeme haben

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News16

3D et de l’imagerie spectrale. Les systèmes Aquillion One couvrent 160mm par rotation.

Divers autres fournisseurs sont présents au congrès 2014 de la RSNA et présentent différents scanners:

iCRco, Claris Cone Beam CT

Hitachi SCENARIA 64-/128

Scanner Samsung mobile

32 coupes

Molekular ImagingLes deux fournisseurs domi-nants, GE Healthcare et Sie-mens Healthcare sont actuelle-ment les deux seuls rivaux dans le domaine des scanners PET/IRM. Dans le domaine des scanners PET/CT les fi rmes GE Healthcare, Philips Healthcare, Siemens Healthcare et Toshiba Medical étaient les seules pré-sentes.

Chez GE Healthcare le nou-veau système SIGNA PET/MR a à présent obtenu l’homolo-gation FDA et CE. Le système dispose de la technologie «Time off light» et d’une acquisition simultanée des données IRM et TEP. La nouvelle technologie des détecteurs TEP intégrée au système de gradients du MR Discovery 750 3 T, ainsi que le concept de bobines correspon-dantes est très prometteur.

eine Ab deckung 160mm pro Rotation.

Diverse Anbieter mit CT Syste-men waren am RSNA 2014 präsent:

iCRco, Claris Cone Beam CT

Hitachi SCENARIA 64-/128

Samsung mobiles 32 Schicht CT

Molekular ImagingDie beiden dominierenden An-bieter GE Healthcare und Sie-mens Healthcare sind aktuell die beiden einzigen Rivalen im Bereich PET/MR. Im Bereich PET/CT waren die Firmen GE Healthcare, Philips Healthcare und Siemens Healthcare und die Firma Toshiba Medical prä-sent.

GE Healthcare hat nun die FDA und CE Zulassung für das neue SIGNA PET/MR System. Das System verfügt über «Ti-me off light» und einer zeit-gleichen Akquisition der MR und PET Daten. Die neuartige PET-Detektoren Technologie, welche in das Gradienten-system des MR Discovery 750 3 T integriert ist, sowie das entsprechende Spulen-konzept versprechen einiges.

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News 17

PET/CT: GE Healthcare pré-sente son nouveau modèle Discovery IQ. Cet appareil dis-pose d’une nouvelle technolo-gie de détecteurs dans le do-maie de la TEP et d’un grand champ d’acquisition. La tech-nologie Q-Clear promet une option pour la reconstruction des données.

Philips Healthcare expose le scanner Vereos PET/CT qui dispose d’un «Photon Coun-ting» numérisé et promet une haute défi nition d’image ce qui devrait permettre de doubler la résolution volumétrique.

Siemens Healthcare, le pre-mier fournisseur de scanner PET/IRM avec le Biograph mMR, présente ce système dé-jà connu. Il s’agit ici également d’un système IRM de 3T et d’un système PET complètement in-tégré. Avec les modèles Biograph mCT, Siemens Healthcare pré-sente des systèmes dans le do-maine des scanners PET/CT.Un Un nouveau scanner SPECT/CT est aussi présenté: le Symbia Intevo Excel1.

Toshiba Medical Systems. C’est la première fois que cette fi rme présente aussi un scan-ner PET/CT System. Il s’agit du Celesteion Large Bore PET/CT. Ce système séduit par une ou-verture centrale de 90 cm! Le système dispose d’un scanner à 32 coupes avec un champ Scanrange de 180 cm et le TEP peut effectuer des mesures «Time of fl ight». Les fonctions modernes AIDR 3D sont natu-rellement intégrées à la partie scanner CT.

PET/CT, hier stellte GE Health-care das neue Modell Disco-very IQ vor. Das Gerät verfügt über eine neue Detektortech-nolgie im PET Bereich und einem grossen Akquisitiobs-feld. Das Q-Clear verspricht ei-ne optierte Rekonstruktion der Messdaten.

Philips Healthcare zeigte den Vereos PET/CT, welcher über ein digitales «Photon Coun-ting» verfügt und höchste Auf-lösung verspricht. Die volume-trische Aufl ösung soll sich dadurch verdoppeln.

Siemens Healthcare, der erste Anbieter eines PET/MR mit dem Biograph mMR, zeigte das bereits bekannte System. Es handelt sich hier ebenfalls um ein vollintergriertes 3T MR und PET System. Siemens Healthcare zeigte mit den Biograph mCT Modellen, Systeme im Bereich PET/CT.Mit dem Symbia Intevo Excel1 wurde ein weiteres neues SPECT-CT System vorgestellt.

Toshiba Medical Systems. Erstmals zeigte auch diese Fir-ma ein PET/CT System. Neu vorgestellt wurde das Cele-steion Large Bore PET/CT. Das System besticht durch eine Gantryöffnung von 90 cm! Das System verfügt über einen 32 Schicht CT mit einer Scan-range von 180 cm und der PET kann «Time of fl ight»-Messun-gen durchführen. Natürlich sind die modernen Dosisre-duktionsfunktionen AIDR 3D für den CT Teil integriert.

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News18

Ich bitte um Entschuldigung, dass ich nicht noch weitere Bereiche ausführlich vorstel-len kann. Ich beschränke mich auf eigene wenige mir aufgefallenen weitere Neue-rungen:

Giotto Class 90°kippbar für Punktionen

Eine Vielzahl von Anbietern für DR Detektoren

Kontakt:Kurt KarrerSwisshealthcare Consulting [email protected]

Je vous prie d’excuser le fait que je ne puisse pas présenter d’autres domaines de manière plus approfondie. Je me limite aux quelques nouveautés que j’ai plus particulièrement re-marquées:

Giotto Class 90° inclinable pour les ponctions

Un grand nombre de fournis-seurs présentent

des détecteurs DR

Contact:Kurt KarrerSwisshealthcare Consulting [email protected]

LE MENSUEL DES MANIPULATEURS RADIO

JANVIER2014

N° 68

28/

REPORTAGE

Chambéry se met

à niveau

RADIOPROTECTION

La Timone colmate ses fuites

FORMATION

La pose d’un clip

pour traiter l’insu� sance mitrale

8/

22/

w w w . m a n i p - i n f o . c o m

URGENCES

16/DossierMobilisés pour les polytraumatisés

http://astrm.manip-info.comhttp://astrm.manip-info.comhttp://astrm.manip-info.com

JANVIER2014

N° 68

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REPORTAGE

Chambéry se met

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RADIOPROTECTION

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http://astrm.manip-info.comhttp://astrm.manip-info.com

O F F R E S P É C I A L E A D H É R E N T S A S T R M

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ASTRM actuel 02 / 2015 article spécialisé | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Fachbericht 19

Im Vergleich zur übrigen Bevölkerung scheinen inter-ventionelle Kardiologen fast viermal häufi ger eine Linsen-trübung aufzuweisen. Dieses Ergebnis einer vom IRSN durchgeführten Studie bestä-tigt und beschreibt das Risiko genauer, dem gewisse Fach-leute ausgesetzt sind. Dieses Risiko wird nun aufmerksam untersucht.

Die Augenlinse ist ein strahlenempfindli-

ches Gewebe, das durch ionisieren-de Strahlung angegriffen wer-den kann. In die-

sem Fall kommt es zu Trübungen,

die bis zu einer Kata-rakt führen können. Das Risiko ist zwar schon längst bekannt, wird nun jedoch ganz aktuell behandelt. Im Jahr 2011 senkte die Internationale Strahlen-

Les cardiologues intervention-nels présenteraient près de quatre fois plus d’opacités cristalliniennes que la popula-tion générale. Ce résultat d’une étude menée par l’IRSN confi rme et précise le risque encouru par certains profes-sionnels. Un risque qui fait au-jourd’hui l’objet de toutes les attentions.Le cristallin de l’oeil est un tis-su radiosensible qui peut être affecté par les rayonnements ionisants. Il développe alors des opacités pouvant conduire à une cataracte. Si le risque est connu de longue date, il est aujourd’hui au coeur de l’ac-tualité. En 2011, la Commis-sion internationale de protec-tion radiologique (CIPR) a revu drastiquement à la baisse ses recommandations pour les travailleurs, ramenant la limite annuelle d’exposition du cris-tallin de 150 à 20 mSv (milli-sieverts). Si ces recommanda-tions n’ont pas valeur d’obligation, elles sont sou-vent suivies à la lettre par les autorités françaises.Ce nouveau seuil a été repris dans les normes de base en ra-dioprotection (Basic safety standards ou BSS) de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) en 2011, puis dans la directive Euratom (la

Was die Augenlinse anbelangt, wird der Expositions-grenzwert bei ionisierender Strahlung für die Arbeitneh-mer in Frankreich bald heruntergesetzt. Auf welche Risiken geht diese Änderung ein? Wie soll sie umgesetzt werden? Das französische Institut für Strahlenschutz und Nuklearsicherheit (IRSN) und seine Partner setzen sich dafür ein, die wissenschaftlichen Kenntnisse in diesem Bereich zu vertiefen und die Fachleute beim entsprechenden Schutz zu unterstützen.

La limite d’exposition du cristallin aux rayonne-ments ionisants pour les travailleurs va bientôt être abaissée en France. À quel risque répond cette modifi cation? Comment la mettre en oeuvre ? L’Institut français de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) et ses partenaires se mobilisent pour approfondir les connaissances scientifi ques dans ce domaine et aider les professionnels à se protéger.

Cristallin: Les yeux sous haute radioprotectionAugenlinse: Strahlenschutz der Augen

Communauté européenne de l’énergie atomique) 2013/59, publiée le 5 décembre 2013. Cette dernière devra être transposée en droit français d’ici à 2017.

Doigts, poignets et yeux sont les plus exposésLe public est peu concerné par ce risque – en dehors des pa-tients lors de certains actes –, mais certains profession-nels le sont davan-tage. Pour des tâches le nécessi-tant, la tête, donc l’oeil, se rap-prochent de la zone de travail. Si le port d’équipe-ments de protection corporelle est aujourd’hui lar-gement adopté, il n’en est pas de même pour les yeux.En médecine, la radiologie in-terventionnelle s’est large-

kommission (ICRP) ihre Emp-fehlungen für Mitarbeiter dra-stisch auf eine jährliche Expositionsgrenze der Augen-linse von 150 auf 20 mSv (Mil-lisievert). Diese Empfehlungen sind zwar keine Pfl icht, wer-den von den französischen Behörden jedoch oft ganz ge-nau befolgt.Diese neue Schwelle wurde 2011 in den Strahlenschutz-Grundnormen (Basic safety standards oder BSS) der Inter-nationalen Atomenergie-Or-ganisation (IAEO) und dann in der Euratom-Richtlinie (Euro-päische Atomgemeinschaft) 2013/59 vom 5. Dezember 2013 übernommen. Letztere sollte bis 2017 im franzö-sischen Recht umgesetzt wer-den.

Finger, Handgelenke und Augen sind am stärksten ausgesetztBetrifft dieses Risiko die Öf-fentlichkeit nur wenig – ausser die Patienten bei gewissen Ver-richtungen – ist dies bei be-stimmten Fachleuten jedoch schon der Fall. Bei einigen Auf-gaben nähert sich der Kopf und somit das Auge der Arbeitszo-ne. Heute wird die Schut z aus-stattung im Körperbereich mei-stens angewandt. Bei den Augen ist dies jedoch anders.

Une étude, menée par l’IRSN auprès d’une centaine de cardi-ologues interventionnels, montre un taux d’opacité cristalli-nienne 3,8 fois supérieur chez ces praticiens que dans la po-pulation générale. Gemäss einer vom IRSN bei etwa hundert interventionellen Kardiologen durchgeführte Studie weisen diese Ärzte im Ver-gleich zur übrigen Bevölkerung 3,8-mal häufi ger eine Linsen-trübung auf.

tigt und beschreibt das Risiko genauer, dem gewisse Fach-leute ausgesetzt sind. Dieses Risiko wird nun aufmerksam untersucht.

Die Augenlinse ist ein strahlenempfindli-

ches Gewebe, das durch ionisieren-de Strahlung angegriffen wer-den kann. In die-

sem Fall kommt es zu Trübungen,

die bis zu einer Kata-rakt führen können. Das Risiko ist zwar schon längst bekannt, wird nun jedoch ganz aktuell behandelt. Im Jahr 2011 senkte die Internationale Strahlen-

Doigts, poignets et yeux sont les plus exposésLe public est peu concerné par ce risque – en dehors des pa-tients lors de certains actes –, mais certains profession-nels le sont davan-tage. Pour des tâches le nécessi-tant, la tête, donc l’oeil, se rap-prochent de la zone de travail. Si le port d’équipe-ments de protection corporelle est aujourd’hui lar-gement adopté, il n’en est pas de même pour les yeux.En médecine, la radiologie in-terventionnelle s’est large-

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ment développée ces dernières années. Les professionnels de santé qui l’exercent sont très exposés. «Les séquelles liées à une exposition non-contrôlée aux rayons X dont ont été victimes nos prédécesseurs, comme la cataracte radio-in-duite, sont présentes dans tous les esprits des jeunes praticiens», témoigne le Dr Frédéric Clarençon, neurora-diologue interventionnel à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris.Au rythme de plusieurs inter-ventions quotidiennes, au cours de dizaines d’années de carrière, les doses cumulées peuvent atteindre plusieurs centaines de millisieverts. Les travaux réalisés dans le cadre du projet Oramed, pour «Opti-mization of RAdiation protec-tion for MEDical staff» (Opti-misation de l’exposition radiologique des personnels médicaux), l’ont montré.Cette étude européenne, me-née de 2008 à 2011 et pilotée en France par l’IRSN, a mesuré les doses reçues aux yeux et aux extrémités (jambes et mains) des personnels médi-caux lors d’actes de radiologie et cardiologie intervention-nelle ou encore de médecine nucléaire, dans plus de 40 hô-pitaux de six pays. L’analyse a mis en évidence que les plus fortes doses sont reçues par les doigts, les poignets et les yeux.Joël Guersen, personne com-pétente en radioprotection (PCR) au CHU de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), y a participé: «La protection du cristallin a toujours été un su-jet de préoccupation, mais on disposait de peu de résultats concluants. Ceux d’Oramed constituent autant d’argu-ments supplémentaires pour sensibiliser les professionnels. Certains médecins, hier réti-cents, viennent aujourd’hui me réclamer des lunettes équipées de verres au plomb !» Oramed a permis d’élaborer des recom-mandations de bonnes pra-tiques pour la confi guration du

poste de travail: position du générateur, des protections, de l’opérateur… (voir infographie en page 11).

Port de lunettes recommandé L’IRSN a conduit une étude spécifi que auprès d’une cen-taine de praticiens interven-tionnels français: O’cloc, pour «Occupational Cataracts and Lens Opacities in interventio-nal Cardiology» (cataractes et opacités du cristallin profes-sionnelles en cardiologie in-terventionnelle). «Résultat: par rapport à un groupe témoin, ces médecins présentaient près de quatre fois plus d’opa-cités cristalliniennes au niveau sous-capsulaire postérieur, signes de cataractes radioin-duites», explique Sophie Jacob, épidémiologiste qui a dirigé ces travaux (voir infographie en page 21).Le risque pour ces praticiens est donc aujourd’hui bien identifi é. Les manipulateurs qui travaillent à leurs côtés pourraient aussi être concer-nés, ainsi que les patients en radiothérapie et en neurora-diologie, qui subissent inter-ventions et scanners à répéti-tion au niveau de la tête.Des incidents de projections de produits radiopharmaceu-tiques au niveau des yeux ont par ailleurs été signalés chez des manipulateurs en méde-cine nucléaire: scintigraphie, tomographie par émission de positons (TEP), radiothérapie… Christelle Huet, experte en do-simétrie des rayonnements à l’IRSN, a étudié ces situations et conclu qu’il est délicat d’évaluer les doses reçues, tant les paramètres pouvant inter-venir sont diffi ciles à connaître. Elle en conclut la nécessité de prévenir de tels événements indésirables en portant des lu-nettes de protection. En cas d’incident, il faut procéder à des lavages répétés de l’oeil et réaliser rapidement un contrôle de contamination.De leur côté, des profession-nels réalisent des études de

In der Medizin hat sich die in-terventionelle Radiologie in den letzten Jahren wesentlich entwickelt. Die in diesem Be-reich tätigen Gesundheits-fachleute sind stark ausge-setzt. «Den jungen Ärzten sind die bleibenden Schäden allge-genwärtig, die unsere Vorgän-ger aufgrund unkontrollierter Röntgenstrahlenbelastung er-litten, wie etwa die strahlenin-duzierte Katarakt», erklärt Dr. Frédéric Clarençon, interventio-neller Neuroradiologe im Spi-tal Pitié-Salpêtrière in Paris.Mit mehreren täglichen Inter-ventionen können die über Jahrzehnte kumulierten Dosen mehrere hundert Millisievert erreichen. Die im Rahmen des Projekts Oramed, für «Opti-mization of RAdiation protection for MEDical staff» (Opti mierung der radiologischen Strahlenbela-stung des medizini schen Perso-nals) durchgeführten Arbeiten haben dies gezeigt. Bei dieser europäischen Studie, die das IRSN in Frankreich zwischen 2008 und 2011 durchführte, wurden die bei Verrichtungen in der Radiologie, interventio-nellen Kardiologie oder Nukle-armedizin an die Augen und Extremitäten (Beine und Hän-de) abgegebenen Dosen beim medizinischen Personal in mehr als 40 Spitälern in sechs Ländern gemessen. Dabei wur-de festgestellt, dass die höch-sten Dosen an Finger, Handge-lenke und Augen abgegeben werden.Joël Guersen, Strahlenschutz-beauftragter am CHU von Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), nahm an dieser Studie teil: «Der Schutz der Augenlin-se war zwar immer ein grosses Anliegen, man verfügte aber nur über wenig schlüssige Re-sultate. Die Oramed-Ergeb-nisse liefern nun zahlreiche zusätzliche Argumente, um die Fachleute zu sensibilisieren. Gewisse Ärzte, die vorher zu-rückhaltend waren, wenden sich nun an mich, um nach Bleiglas-Schutzbrillen zu fra-gen!» Dank Oramed konnten für die Einrichtung des Ar-

beitsplatzes Good-Practice-Empfehlungen erarbeitet wer-den: Position des Generators, der Schutzvorkehrungen, der Bedienungsperson… (siehe In-fografi k, Seite 22).

Das Brillentragen wird empfohlenBei rund 100 französischen in-terventionellen Ärzten führte das IRSN eine spezifi sche Studie durch: O’cloc, für «Oc-cupational Cataracts and Lens Opacities in interventional Cardiology» (berufl ich be-dingte Katarakte und Linsen-trübungen in der interventio-nellen Kardiologie). «Das Ergebnis: gegenüber einer Ver-gleichsgruppe wiesen diese Ärzte im hinteren subkapsu-lären Bereich fast viermal häufi ger Linsentrübungen auf, was auf strahleninduzierte Ka-tarakte hinweist», erklärt die Epidemiologin Sophie Jacob, die diese Arbeiten leitete (siehe Infografi k, Seite 21). Das Risiko, dem diese Ärzte ausgesetzt sind, wird heute al-so erkannt. Die technischen Assistenten, die mit ihnen ar-beiten, aber auch die Patienten in der Strahlentherapie und in der Neuroradiologie, bei denen im Kopfbereich wiederholt Eingriffe und Scanner durch-geführt werden, könnten von diesem Risiko ebenso betrof-fen sein.Bei technischen Assistenten in der Nuklearmedizin wur-den ausserdem Zwischenfälle gemeldet, bei denen es zu Spritzern von Radiopharma-zeutika in die Augen kam: Szintigraphie, Positronen-Emi s s i ons-Tomograph i e (PET), Strahlentherapie… Christelle Huet, Strahlendosi-metrie-Expertin im IRSN, un-tersuchte diese Situationen und stellte dabei fest, dass es sehr schwierig ist, die abge-gebenen Dosen einzuschät-zen, da die möglichen Para-meter nur schwer erkennbar sind. Sie zieht daraus den Schluss, dass es nötig ist, eine Schutzbrille zu tragen, um solchen Ereignissen vorzu-

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poste pour connaître la dosi-métrie des travailleurs expo-sés. «Les praticiens et les ma-nipulateurs radio ont porté un dosimètre pendant dix mois, explique Sophie Laffont, phy-sicienne médicale au Centre de lutte contre le cancer Eu-gène-Marquis, à Rennes (Ille-et-Vilaine). À l’issue de cette période, nous avons opté pour le port de lunettes plombées pour un radiologue interven-tionnel.»

D’autres secteurs concernésAutres travailleurs à surveiller: ceux du nucléaire. «Une limite de dose à 150 mSv au cristallin n’était pas contraignante pour la mise en oeuvre des disposi-tions de prévention contre les

rayonnements ionisants sur nos installations. Dès l’an-nonce des nouvelles recom-mandations de la CIPR, nous avons lancé une étude afi n d’identifi er les postes de tra-vail qui pouvaient être concer-nés par la future limite de 20 mSv, à Melox (Gard) et La Hague (Cotentin)», rapporte Patrick Devin, responsable de la radioprotection chez Areva.Dans ces deux établissements, des travailleurs réalisent des opérations en boîte à gants et peuvent être exposés à des doses approchant la future li-mite. «Nous avons une ap-proche dite ALARA (‘As Low As Reasonably Achievable’, soit ‘Aussi bas que raisonnable-ment possible’), qui consiste à optimiser les postes de travail

beugen. Kommt es zu einem Zwischenfall, muss das Auge mehrmals gründlich ausge-spült werden. Ausserdem ist schnellstmöglich eine Konta-minationskontrolle durchzu-führen.Die Fachleute ihrerseits führen Arbeitsplatzuntersuchungen durch, um Aufschluss über die Dosimetrie der exponierten Mitarbeiter zu bekommen. «Die in der Radiologie arbeitenden Ärzte und technischen Assi-stenten trugen während sechs Monaten ein Dosimeter«, er-klärt Sophie Laffont, Medizin-physikerin im Krebszentrum Eugène-Marquis, in Rennes (Ille-et-Vilaine). «Danach be-schlossen wir, dass ein inter-ventioneller Radiologe Blei-glas-Schutzbrillen trägt.»

Auch andere Bereiche sind betroffenDoch auch anderswo sind Kontrollen durchzuführen, beispielsweise bei den in der Kernenergie tätigen Mitarbei-tern. «Mit dem Dosisgrenzwert von 150 mSv für die Augen-linse waren bei unseren Anla-gen keine Schutzvorkeh-rungen gegen ionisierende Strahlungen nötig. Als die ICRP die neuen Empfehlungen mitteilte, führten wir eine Studie aus, um jene Arbeits-plätze ausfi ndig zu machen, die vom künftigen Grenzwert von 20 mSv in Melox (Gard) und La Hague (Cotentin) be-troffen sein könnten», erklärt Patrick Devin, Strahlenschutz-verantwortlicher bei Areva.In diesen beiden Einrich-

Kasten 1L’exposition du cristallin aux rayonnements ionisants accroît le risque que celui-ci s’opacifi e, partiellement ou totalement. Cette cataracte radio-induite prend le plus souvent une forme dite sous-capsulaire postérieure.

Wird die Augenlinse ionisierender Strahlung ausgesetzt, erhöht sich das Risiko einer partiellen oder totalen Linsentrübung. Die-se strahleninduzierte Katarakt tritt meistens im hinteren sub-kapsulären Bereich auf.

Quels sont les effets des rayonnements sur le cristallin?

Welche Auswirkungen hat die Strahlung auf die Augenlinse?

1. Ohne KataraktDie Augenlinse ist durch-sichtig. So gelangen die Lichtstrahlen in den Netzhautbereich, in dem die lichtempfi ndlichsten Zellen sitzen, wo also das klarste Bild entsteht.

2. Klassischer KataraktDie häufi gsten Katarakte treten altersbedingt auf und entsprechen einer allgemeinen Linsentrü-bung. Das Licht durch-dringt die Augenlinse nur schwer und gelangt mehr oder weniger gut in den entsprechenden Netzhaut-bereich.

3. Hinterer sub-kapsulärer KataraktDie Strahlung kann zu einer Trübung im hinteren Bereich der Kapsel führen, die den Linsenkern umgibt. Das Licht kann so nicht eindringen.

1. Absence de cataracteLe cristallin est translucide. Grâce à lui, les rayons de lumière convergent vers la zone de la rétine la plus concentrée en cellules photosensibles, c’est à dire vers la partie qui donne la vision la plus précise.

2. Cataracte «classique»Les cataractes les plus fréquentes, dues au vieillissement, correspon-dent à une opacifi cation globale du cristallin. La lumière passe diffi cilement, ses faisceaux convergent plus ou moins bien.

3. Cataracte sous-capsulaire postérieure (SCP)Les rayonnements peuvent entraîner une opacifi cation de l’arrière de la capsule qui entoure le noyau du cristallin, ce qui bloque la lumière.

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La lumière passe, la vision est nette.Das Licht dringt ein, die Sicht ist

scharf.

La lumière passe diffi cilement, la vision est voilée.

Das Licht dringt nur schwer ein, die Sicht ist verschwommen.

La lumière passe diffi cilement, la gène domine au centre de l’image.

Das Licht dringt nur schwer ein, die Sicht ist besonders in

der Bildmitte beeinträchtigt.

ASTRM actuel 02 / 2015 article spécialisé | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Fachbericht22

concernés. Nous étudions le meilleur moyen de suivre la dosimétrie au cristallin à ces postes de travail. Nous recher-chons avec nos fournisseurs, opticiens et ophtalmologistes, les meilleurs équipements pour protéger le cristallin tout en conservant une bonne er-gonomie», explique-t-il.Comme le note aussi le Dr Cla-rençon, «des progrès dans l’er-

tungen führen die Mitarbeiter Interventionen im Hand-schuhkasten aus und können Dosen ausgesetzt werden, die dem künftigen Grenzwert na-hekommen. «Wir wenden das sogenannte ALARA-Prinzip an (As Low As Reasonably Achie-vable’, also so niedrig wie ver-nünftigerweise erreichbar), mit dem die betreffenden Ar-beitsplätze optimiert werden

sollen. Wir untersuchen die beste Möglichkeit, um die Do-simetrie an der Augenlinse an diesen Arbeitsplätzen zu ver-folgen. Mit unseren Liefe-ranten, Optikern und Auge-närzten suchen wir nach der besten Ausrüstung, um die Augenlinse zu schützen und dennoch über eine gute Ergo-nomie zu verfügen», erklärt er.Wie auch Dr. Clarençon erläu-

1. Travailler en zone contrôléeLa salle et les appareils utilisés doivent être dédiés aux actes interventi-onnels. Une signalisation lumineuse doit indiquer, à l’entrée, si les machines sont sous tension.

2. Verwendung von SchutzabschirmungenWährend der Intervention schützen

Bleiabschirmungen, die möglichst nahe beim Patienten eingerich-

tet werden, den Arzt. Die Röntgenröhre liegt unter dem Operati-

onstisch und der Sensor darüber. Die für die Radioskopie

verwendete Dosis (mit anschliessen-

dem Einführen einer Sonde in den

Körper) und die Bildfrequenz sind auf ein

Minimum reduziert.

2. Utiliser des écrans de protectionPendant l’intervention, des écrans en plomb, placés au plus près du patient, protègent le médecin. Le tube à rayons X est sous la table d’opération et le capteur au-dessus. La dose appliquée pour la radioscopie (suivi de la progression d’une sonde dans le corps) et la fréquence des images sont limitées au maximum.1. Arbeit in einem kontrollierten Bereich

Der Raum und die eingesetzten Geräte müssen für die interven-tionellen Verrichtungen bestimmt sein. Lichtsignale am

Eingang müssen darauf hinweisen, wenn die Geräte unter Spannung stehen.

3. Verwendung von Schutzab-schirmungen

Für Röntgenaufnahmen stellt sich der Arzt hinter eine Blei-Trennwand und reduziert die

Anzahl der Bildaufnahmen auf ein Mini-mum. So können die an den Patienten abgegebenen Dosen reduziert werden.

3. Optimiser les doses délivréesPour les radiographies, le médecin se place derrière un paravent en plomb et doit limiter au maximum le nombre d’acquisitions d’images, ce qui permet de réduire les doses délivrées au patient.

4. Verwendung der SchutzausrüstungBleihaltige und abdeckende Schutzbrillen, die gegebenenfalls auf die Sehkraft des Arztes

eingestellt sind, ergänzen die Schutzkleidung (Bleischürze, -jupe, -schilddrüsenschutz). Der Arzt trägt zwei Dosimeter: ein Passiv-Dosimeter, das er während seines ganzen Arbeitstages

trägt, und ein operationelles Dosimeter für den kontrollierten Bereich. Dazu kommen zwei weitere Dosimeter: am Auge und am Finger.

4. S’équiper de protectionsDes lunettes plombées et couvrantes, adaptées si besoin à la vue du praticien, complètent une tenue composée d’un tablier, d’une jupe et d’un protège-thyroïde en plomb. Le médecin porte deux dosimètres, un passif tout au long de sa journée de travail et un opérationnel quand il est en zone contrôlée. S’y ajoutent deux autres dosimètres, à l’oeil et au doigt.

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gonomie de ces dispositifs ap-paraissent nécessaires pour améliorer l’adhésion des opé-rateurs à ces contraintes».Le Dr Catherine Roy, spécia-liste de la radioprotection vé-térinaire au sein de la Société française de radioprotection, alerte sur l’exposition de ses confrères: «En pratique équine, on peut travailler avec des gé-nérateurs de rayons X puis-

La protection contre les rayonnements s’appuie sur trois grands principes: réduire le temps d’exposition aux rayonnements, se mettre à distance, interposer des écrans entre soi et la source. Parce qu’ils ne peuvent pas s’éloigner beaucoup de leurs patients pendant les opérations, les praticiens interventionnels doivent optimiser leurs procédures.

Der Strahlenschutz gründet auf drei Hauptprinzipien: Die Dauer der Strahlenexposition verkürzen, die Distanz vergrössern, eine Abschirmung zwischen der Person und der Strahlenquelle ein-richten. Da sie sich während der Untersuchungen nicht weit von ihren Patienten entfernen können, müssen die interventionellen Ärzte ihre Verfahren optimieren.

Radiologues interventionnels: comment optimiser votre exposition?

Interventionelle Radiologen: wie kann die Exposition optimiert werden?

ASTRM actuel 02 / 2015 article spécialisé | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Fachbericht 23

Interventionelle Radiologen: wie kann die Exposition optimiert werden?

sants et à faisceau horizontal. On est souvent obligé de rester à côté des animaux ou de tenir le générateur à la main. Cela nous expose à des rayonne-ments. Il faut être vigilant et l’IRSN nous aide, en réalisant régulièrement des suivis dosi-métriques sur le terrain. Nous conseillons aux professionnels de fi xer un dosimètre sur la poignée de leur générateur mobile, pour savoir à quelle dose ambiante ils sont expo-sés, et de se protéger autant que possible. Éléments rassu-rants: 80 % des structures vé-térinaires disposent d’une PCR et tous les jeunes vétérinaires sont formés à la radioprotec-tion», rapporte-t-elle.

tert, «sind Fortschritte bei der Ergonomie dieser Vorrich-tungen notwendig, damit sich das Bedienungspersonal an diese Verpfl ichtungen hält».Dr. Catherine Roy, Strahlen-schutz-Spezialistin im Veteri-närbereich bei der franzö-sischen Gesellschaft für Strahlenschutz, macht auf die Strahlenbelastung ihrer Kolle-gen aufmerksam: «Bei den Pferden werden leistungs-starke Röntgengeneratoren mit horizontalem Abstrahl-winkel eingesetzt. Dabei ist man oft gezwungen, neben den Tieren zu bleiben oder den Generator in der Hand zu hal-ten, was uns der Strahlung aussetzt. Wir müssen sehr aufmerksam sein. Das IRSN hilft uns dabei, indem es re-gelmässig vor Ort dosi-metrische Untersuchungen macht. Wir raten den Fachleu-

ten, am Griff ihres tragbaren Generators ein Dosi meter an-zubringen. So wird die Um-gebungsdosis gemessen auf-grund derer der bestmögliche Schutz eingesetzt werden kann. Beruhigend zu wissen: 80 % der Veterinäreinrichtungen ver-fügen über einen Strahlenschutz-verantwortlichen und alle jungen Tierärzte werden im Strahlen-schutz ausgebildet», berichtet sie.

Gekürzte Fassung aus dem Magazin

Repères, eine Publikation des französi-

schen Instituts für Strahlenschutz und

Nuklearsicherheit (IRSN), Juli 2014

www.irsn.fr

Im Rahmen der Revision der Strahlenschutzgesetzgebung wird die Thematik auch in der Schweiz intensiv diskutiert.

Contact:[email protected]

Version abrégée du magazine Repères,

une publication de l’Institut français de

Radioprotection et de Sûreté Nucléaire

(IRSN), juillet 2014

www.irsn.fr

Dans le cadre de la révision de la législation sur la radiopro-tection, cette thématique est également discutée de ma-nière intensive en Suisse.

Contact:[email protected]

Pastille collée directement sur la peau ou sur des lunettes, dispo-sitif fi xé sur une monture dédiée ou sur un bandeau tour de tête…Aucun dosimètre cristallin actuel ne convenait à toutes les si-tuations, les morphologies, les porteurs de lunettes ou non… C’est pourquoi la business unit du Laboratoire de dosimétrie (BU-LDI) de l’IRSN travaille sur un modèle plus ergonomique. «Une agence de design a développé ce modèle monté sur un serre-tête», explique Éric Cale, responsable technique. «Le détec-teur se trouve au bout d’une patte articulée, ce qui permet un posi-tionnement dans les trois dimensions et un ajustement idéal au plus près de l’oeil sans gêner l’utilisateur.»

Prototype: Le nouveau dosimètre utilise la tech-

nologie de dosimétrie par thermoluminescence

(TLD).

Eine direkt auf die Haut oder die Brille geklebte Pastille, oder eine an einem entsprechenden Gestell oder Stirnband an-gebrachte Einrichtung …Kein heute verfügbares Augenlinsendosimeter wurde allen Situ-ationen, Körperformen, Brillenträgern, Nichtbrillenträgern… ge-recht. Deshalb arbeitet die business unit des Dosimetrielabors (BU-LDI) des IRSN an einem ergonomischeren Modell. «Eine Design-Agentur entwickelte dieses auf einem Haarreif an-

gebrachte Modell», er-klärt Éric Cale, tech-nischer Leiter. «Der Sensor befi ndet sich am Ende eines Gelenk-bügels. So ist eine drei-dimensionale Ausrich-tung möglich mit einer augennahen Feinein-stellung, die den Be-nutzer nicht stört.»

Prototyp: Das neue Dosimeter nutzt die Technologie der Thermo-lumineszenzdosimetrie (TLD).

Un dosimètre cristallin ergonomique Interventionelle Radiologen: wie kann die Exposition optimiert werden?

Pastille collée directement sur la peau ou sur des lunettes, dispo-sitif fi xé sur une monture dédiée ou sur un bandeau tour de tête…Aucun dosimètre cristallin actuel ne convenait à toutes les si-tuations, les morphologies, les porteurs de lunettes ou non… C’est pourquoi la business unit du Laboratoire de dosimétrie (BU-LDI) de l’IRSN travaille sur un modèle plus ergonomique. «Une agence de design a développé ce modèle monté sur un serre-tête», explique Éric Cale, responsable technique. «Le détec-teur se trouve au bout d’une patte articulée, ce qui permet un posi-tionnement dans les trois dimensions et un ajustement idéal au plus près de l’oeil sans gêner l’utilisateur.»

Prototype: Le nouveau dosimètre utilise la tech-

nologie de dosimétrie par thermoluminescence

(TLD).

Eine direkt auf die Haut oder die Brille geklebte Pastille, oder eine an einem entsprechenden Gestell oder Stirnband an-gebrachte Einrichtung …Kein heute verfügbares Augenlinsendosimeter wurde allen Situ-ationen, Körperformen, Brillenträgern, Nichtbrillenträgern… ge-recht. Deshalb arbeitet die business unit des Dosimetrielabors (BU-LDI) des IRSN an einem ergonomischeren Modell. «Eine Design-Agentur entwickelte dieses auf einem Haarreif an-

gebrachte Modell», er-klärt Éric Cale, tech-nischer Leiter. «Der Sensor befi ndet sich am Ende eines Gelenk-bügels. So ist eine drei-dimensionale Ausrich-tung möglich mit einer augennahen Feinein-stellung, die den Be-nutzer nicht stört.»

Prototyp: Das neue Dosimeter nutzt die Technologie der Thermo-lumineszenzdosimetrie (TLD).

Un dosimètre cristallin ergonomique

Source/Quelle: Grégoire Maisonneuve/IRSN

ASTRM actuel 02 / 2015 article spécialisé | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Fachbericht24

Cadre juridique et exigencesLes modifi cations de l’ORaP [1], en vigueur depuis le 1.1.2008 stipulent que les divi-sions de radiologie devront s’assurer les services d’un phy-sicien médical au plus tard au 1.1.2012. L’adaptation de l’ORaP se base sur l’article 6 de la directive EU 97/43/Euratom [2]. Dans sa prise de position de 2006, la commission fédé-rale de radioprotection et de surveillance de la radioactivité [3] a demandé que les des physiciens médicaux soient intégrés dans les services de radiologie diagnostique. En 2009, dans son rapport No 20 [4], la Société Suisse de Radio-biologie et de Physique Médi-cale (SSRPM) a présenté une stratégie de mise en pratique et a évalué à cet effet le nombre minimum de physi-ciens médicaux nécessaires. En juin 2011, pour répondre aux exigences légales de l’art. 74 de l’ORaP, l’Offi ce Fédéral de la Santé Publique (OFSP) a élabo-ré un concept [5] d’ «Exigences en matière de dotation de physiciens médicaux pour les applications en médecine nu-cléaire et en radiologie inter-ventionnelle ainsi que pour la tomodensitométrie» et a pu-blié un communiqué commun avec la Société Suisse de Ra-diologie (SSR) [6].

Seit 2012 muss allen Spitälern für Anwendungen in der Nuklearmedizin und bei Hochdosis Anwendungen im Bereich der Röntgendiag nostik ein Medizin physiker beratend zur Verfügung stehen. Die Anforderungen durch den Artikel 74 der Strahlenschutz verordnung (StSV) und deren Realisierung wird im folgendem am Beispiel der Hirslanden Kliniken vorgestellt und diskutiert.

Depuis 2012 tous les hôpitaux ont l’obligation de faire appel à un physicien médical pour assurer la protec-tion contre les rayonnements ionisants en médecine nucléaire et dans les procédures radiologiques dia-gnostiques à doses intensives. Dans l’exemple ci-des-sous, les exigences posées par l’article 74 de l’ordon-nance sur la radioprotection (ORaP) et leur mise en pratique sont présentées et discutées telles qu’elles ont été réalisées dans les Cliniques Hirslanden.

Mise en application pratique de l’article 74 de l’ORaPPraktische Umsetzung des Artikels 74 StSVRoland Simmler

Tâches dévolues aux physiciens médicauxL’optimisation de la radiopro-tection des patients et du per-sonnel est l’élément central du concept de l’OFSP cité précé-demment [4]. Il est divisé en trois catégories:� Contrôle de qualité de la

dose de rayonnements: me-sure et surveillance des va-leurs dosimétriques visant à protéger les patients, le per-sonnel et les tiers.

� Vérifi cation et optimisation des doses appliquées au pa-tient et au personnel en étroite collaboration avec les médecins et le personnel spécialisé (TRM). Améliora-tion de la protection du pa-tient par l’optimisation de la pratique radiologique, du concept des niveaux de ré-férence diagnostiques et des processus et protocoles d’imagerie. Amélioration de la protection du personnel par l’optimisation des me-sures et des moyens de pro-tections personnels, des pa-rois de protections fi xes ou mobiles ainsi qu’au niveau de la manipulation des ap-pareils.

� Formation de base et post-grade des médecins et du personnel technique spécia-lisé (TRM). Etablissement d’un système de formation effi -

Gesetzliche Rahmenbedin-gungen und AnforderungenMit der Änderungen der StSV [1] zum 1.1.2008 wurde der Beizug eines Medizinphysikers bis spätestens zum 1.1.2012 festgelegt. Die Grundlage der Anpassung des StSV ist in Arti-kel 6 der EU-Richtlinie 97/43/Euratom [2] zu fi nden. Die Eid-genössische Kommission für Strahlenschutz und Überwa-chung der Radioaktivität hat 2006 in einer Stellungnahme [3] den Einsatz von Medizin-physikern in der Diagnos-tischen Radiologie gefordert. 2009 stellte die Schweizerische Gesellschaft für Strahlenbiolo-ge und Medizinische Physik (SGSMP) in ihrem Bericht Nr. 20 [4] eine Strategie zur Um-setzung vor und schätze den hierfür notwendigen Mindest-bedarf an Medizinphysikern ab. Das Bundesamt für Gesund-heit (BAG) hat zur Umsetzung der Anforderungen aus dem Art. 74 StSV im Juni 2011 ein Konzept [5] «Anforderungen an den Bezug von Medizinphy-sikern in der Nuklearmedizin und für die durchleuchtungs-gestützte interventionelle Ra-diologie und die Computerto-mographie« erarbeitet und im Januar 2012 zusätzlich eine gemeinsame Erklärung mit der Gesellschaft für Radiologie (SGR) veröffentlicht [6].

Aufgabengebiete des MedizinphysikersIm vorher zitierten Konzept des BAG [4] ist die Optimie-rung des Strahlenschutzes von Patienten und Personal das zentrale Aufgabengebiet. Die-ses wird in drei Kategorien un-terteilt:� Dosisorientierte Qualitätssi-

cherung: Messung und Überwachung von dosimet-rischen Grössen zum Schutz von Patienten, Personal und Dritten.

� Überprüfung und Optimie-rung der applizierten Dosen für Patienten und Personal in enger Zusammenarbeit mit den Ärzten und dem technischen Fachpersonal (MTRA).

Verbesserung des Patienten-schutzes durch Optimierung der radiologischen Praxis, des Konzeptes der diagnos-tischen Referenzwerte, der Prozessabläufe und der Auf-nahmeprotokolle.

Verbesserung des Schutzes des Personals durch Opti-mierung der Verwendung von persönlichen Schutz- und Hilfsmitteln und mobi-len oder fest installierten Abschirmungen sowie der Bedienung der Anlagen.

� Aus- und Weiterbildung der Ärzte und des technischen Fachpersonals (MTRA).

Etablierung eines effektiven Ausbildungssystems zur Förderung vertiefter Kennt-nisse bei der Beurteilung zwischen notwendiger Bild-qualität und kleinstmög-licher Dosis (ALARA Prinzip).

Eine Spezifi zierung dieser Auf-gabengebiete erfolgte u.a. im Bericht Nr. 20 [4] der SGSMP mit folgenden Beispielen: � Unterstützung der lokalen

Fachperson für Strahlen-schutz bei allgemeinen The-men des Strahlenschutzes (Abschirmung, Betrieb, Opti-mierung...)

� Organisation regelmässiger Weiterbildungen für das Per-sonal

� Inbetriebnahme neuer Anla-gen

� Aufsicht über die Qualitäts-kontrolle

� Überprüfen der techni schen Anpassungen und Berech-nungen der Hersteller

� Sicherstellen der quantita-tiven Aspekte der Messun-gen

� Überprüfen der Konformität mit den DRW (Diagnosti-schen Dosis-Referenzwer-ten) bei Standard-Aufnah-meprotokollen

� Mentoring des medizin-tech-nischen Personals und der Ärzte im Hinblick auf eine si-chere Verwendung der Anlagen

� Messungen der Streustrah-lung und Suche nach Lö-sungen, mit denen die Strah-lenbelastung des Personals minimal gehalten werden kann

� Systematisches Sammeln von Daten über die Patien-tendosen zur Anpassung DRW

� Abschätzung der Patienten-dosen

� Überprüfung der Ergebnisse der bei den Anlagen durch-geführten Stabilitätstests

� Prüfung der Möglichkeit von Bildfusionen (multimodale Bildgebung)

� Strahlenschutz bei der meta-bolischen Strahlentherapie

� Diskussion der Ergebnisse mit Fachpersonen vor Ort

Umsetzung in die PraxisEine Umsetzung in die Praxis ist sehr stark von der Grösse und Ausstattung der jewei-ligen Einrichtung abhängig. Im Fall der Hirslanden Kliniken war es den Verantwortlichen von Anfang an klar, dass dies nur durch eine zentrale Stelle realisiert werden kann. 2011 wurde ein Konzept zur Funkti-onsbeschreibung und Finan-zierung «Medizinphysiker in der Radiologie und Nuklear-medizin» erstellt und allen Kli-niken zur Verfügung gestellt. Das Aufgabengebiet wurde bereits hier auf alle Moda-litäten mit Anwendung von ionisierender Strahlung – aus serhalb der Radiotherapie – erweitert. 2012 wurde die neu geschaffene Stelle mit einem Medizinphysiker be-setzt. Organisatorisch ist seit 2014 eine neue Abteilung «Strahlenschutz und Radiolo-gische Prozesse» zentral im Head Offi ce unter «Klinische Bereiche» geschaffen worden. Das Aufgabengebiet umfasst auch die Anwendungen im Bereich des sogenannten «niedrig Dosisbereiches», wie zum Beispiel der Einsatz von C-Bögen in den Operationssä-len. Dies führte zur Neuorga-nisation des Strahlenschutzes in den Kliniken mit einer zen-tralen Koordination. Ziel ist es, die örtlichen Sachverstän-digen merklich zu entlasten. So erfolgt zum Beispiel eine zentrale Auswertung der Da-ten aller 1420 dosimetrisch überwachten Personen. Die Benachrichtigungsschwelle wurde für die Ganzkörperdosis auf 0,5mSv im Monat festge-legt. Bei Überschreitung wird eine Stellungnahme der be-troffenen Person angefordert und in Abhängigkeit des Ar-beitsgebietes evtl. notwendige Massnahmen eingeleitet. Zu-sätzlich wurden Arbeitsplätze mit dem Verdacht auf eine Au-genlinsendosis des Personals grösser 20mSv im Jahr dosimetrisch begleitet und bei Bedarf vorhandene Strah-lenschutzmittel ergänzt. Er-

ASTRM actuel 02 / 2015 article spécialisé | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Fachbericht 25

� Estimation des doses déli-vrées au patient

� Contrôle des résultats des tests de stabilité effectués sur l’unité

� Contrôle de la possibilité de fusion d’images (multimo-dalité)

� Radioprotection lors de thé-rapie métabolique

� Discussion des résultats avec les spécialistes sur place

Mise en œuvre pratiqueLa mise en œuvre pratique dé-pend fortement de la grandeur et de l’équipement de chaque installation. Dans le cas des Cliniques Hirslanden, les res-ponsables ont pris conscience dès le début que l’objectif ne pouvait être atteint qu’en cen-tralisant les ressources. En 2011 un concept décrivant les fonctions et le fi nancement des «physiciens médicaux en division de radiologie et de médecine nucléaire» a été éla-boré et mis à disposition de toutes les cliniques. Le do-maine de compétences a été élargi à toutes les modalités délivrant des rayonnements ionisants – sauf la radiothéra-pie. Depuis 2012, ce poste nouvellement créé est occupé par un physicien médical. Sur le plan organisationnel un nouveau département intitulé «Radioprotection et processus radiologique» a été créé à l’Offi ce Central dans le cadre des «secteurs cliniques». Ce domaine d’activité com-prend également les applica-tions dans la catégorie des «faibles doses», comme par exemple l’utilisation d’amplifi -cateurs de brillance en salle d’opération. Cela a conduit à une réorganisation de la radio-protection dans les cliniques

cace permettant d’appro-fondir les connaissances afi n que lors de l’interpréta-tion des images il soit pos-sible de juger de la qualité d’image nécessaire tout en réduisant la dose aussi rai-sonnablement qu’il est pos-sible de le faire (principe ALARA).

Une spécifi cation de ces tâches a entre autre été établie dans le rapport No 20 de la [4] SSRPM avec les exemples suivants: � Soutien de l’expert local en

radioprotection en ce qui concerne les sujets généraux de la sécurité des sources de rayonnement (mesures de protection, mesures opéra-tionnelles, optimisation...)

� Organisation régulière de cours de perfectionnement pour le personnel

� Mise en place de nouvelles unités

� Supervision du contrôle de qualité

� Inspection des réglages techniques et des calculs des fabricants

� Garantie des aspects quanti-tatifs des mesures

� Vérifi cation de l’adéquation des protocoles standards d’acquisition avec les NRD (niveaux de référence dia-gnostiques)

� Mentorat des TRM et des médecins en vue de garantir une utilisation sûre des ap-pareils

� Mesures du rayonnement diffusé et recherche de solu-tions permettant de mainte-nir une exposition minimum du personnel

� Relevé systématique de données relatives aux doses du patient pour adapter les NRD

ASTRM actuel 02 / 2015 article spécialisé | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Fachbericht26

gebnisse und Erfahrungen werden in regelmässig statt-fi ndenden Strahlenschutz-In-formationsveranstaltungen diskutiert.Eine zentrale Aufgabe des Me-dizinphysikers besteht darin, in enger Absprache mit der Fachabteilung die Verifi kation und Optimierung der Diagnos-tischen Referenzwerte pro bildgebende Modalität und Untersuchung. Eine händische Auswertung der Patienten-daten ist nur stichprobenartig möglich und ist mit einem immensen Zeitaufwand ver-bunden. Die Einführung einer automatischen Dosiserfas-sungs- und Auswertesoftware ist unumgänglich. Notwen-dige Voraussetzungen (HL7, DICOM, RIS, BMI, Server- und Netztopologie, Betreuung) für eine optimale Nutzung dieser Software sind im Vorfeld der Beschaffung mit Medizintech-nik und Medizininformatik ab-zustimmen.

Kontakt:Roland Simmler, Leiter Strah-lenschutz und Radiologische Prozesse, Hirslanden [email protected]

ZusammenfassungDer Medizinphysiker nimmt mit seinem Aufgabengebiet eine Koordinationsstelle zwischen verschiedenen Organisationseinheiten wie Einkauf, Bauabteilung, Me-dizintechnik, Medizininfor-matik und den klinischen Anwendern einer Klinik ein. Ebenso ist er zentraler An-sprechpartner für das BAG bezüglich Umsetzung des Strahlenschutzes. Diesen Aufgaben kann er nur ge-recht werden, wenn seine Arbeit in der Klinik positiv wahrgenommen wird und damit auch eine Entla-stung, besonders für Sach-verständige und Sachkun-dige, verbunden wird. Eine enge Zusammenarbeit und ein enger Meinungsaus-tausch mit im Kontrollbe-reich tätigen Fachkräften, besonders den MTRA, Pfl e-gedienst, Radiologen, Kar-diologen, Nuklearmediziner und Urologen, ist von ent-scheidender Bedeutung.

avec une coordination cen-trale. L’objectif a été de dé-charger sensiblement les spé-cialistes en la matière actifs sur place. Par exemple le trai-tement des données des dosi-mètres portés par les 1420 personnes surveillées a été centralisé. Le seuil de notifi ca-tion a été fi xé à une dose corps entier de 0,5mSv par mois. Si elle est dépassée, une prise de position est demandée à la personne concernée et selon l’endroit où elle travaille d’éventuelles mesures néces-saires sont mises en place. De plus, les places de travail où l’on suspecte une dose plus élevée que 20mSv par année pour le personnel au niveau du cristallin sont contrôlées par des dosimètres et les mesures de radioprotection existantes améliorées si nécessaire. Les résultats et les expériences sont discutés régulièrement lors de séances de sensibilisa-tion à la radioprotection.L’une des tâches centrales du physicien médical est de véri-fi er et d’optimiser les niveaux de références diagnostiques par modalité et examen en étroite collaboration avec le service concerné. Un traite-ment manuel des données des patients n’est possible que de manière aléatoire et demande énormément de temps. L’intro-duction d’un logiciel automa-tique de saisie et de traitement des données est indispensable. Avant d’acquérir ce logiciel et pour qu’il puisse fonctionner de manière optimale il faut s’assurer auprès du départe-ment de technique médicale et d’informatique médicale que toutes les conditions néces-saires sont réunies (HL7, DI-

ResuméLes attributions du physi-cien médical sont les sui-vantes: coordination entre les différents départements tels le service des achats, département de la cons-truction, de la technique médicale, de l’informatique médicale et des utilisateurs directement en contact avec les patients au sein de la clinique. Le physicien est également un interlocuteur privilégié de l’OFSP en ce qui concerne la mise en pratique de la radioprotec-tion. Il ne peut effectuer ces tâches correctement que si son travail est perçu de manière positive et qu’il est compris comme un soulagement en particulier pour les personnes quali-fi ées et compétentes dans le service. Une étroite col-laboration et un échange de vues régulier avec les professionnels actifs dans le domaine du contrôle en particulier les TRM, les soi-gnants, les radiologues, les cardiologues, les spécia-listes en médecine nu-cléaire et les urologues sont d’une importance ca-pitale.

COM, RIS, BMI, topologie du serveur et du réseau, mainte-nance).

Contact:Roland Simmler, responsable de la radioprotection et des processus radiologiques, Hirslanden [email protected]

Bibliographie / Literatur

1. Strahlenschutzverordnung, StSV Art. 74http://www.admin.ch/opc/de/classifi ed-compilation/19940157/index.html

2. EU-Richtlinie 97/43/Euratom www.bag.admin.ch/ksr-cpr/04321/04780/04834/index.html

3. STELLUNGNAHME DER KSR ZUM EINSATZ VON MEDIZINPHYSIKERN IN DER DIAGNOSTISCHEN RADIOLOGIEwww.bag.admin.ch/ksr-cpr/04321/04780/04839/index.html

4. SGSMP Bericht-Nr. 20 Bedarf an Medizinphysikern und Medizinphysikerinnen in der Nuklearmedizin

und bei dosisintensiven Röntgenverfahren

www.sgsmp.ch/b20a74-d.pdf

5. Gemeinsame Erklärung SGR-BAGwww.bag.admin.ch/themen/strahlung/02883/02885/index.html

6. BAG Schlussbericht zur Umsetzung des Artikels 74 StSV – Juni 2011www.bag.admin.ch/themen/strahlung/02883/02885/index.html

ASTRM actuel 02 / 2015 série | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Serie 27

GeschichteIm Tessin besteht das Bildung-sangebot im Bereich medizi-nisch-technische Radiologie seit 1970. Die erste selbstver-waltete Schule wurde im Kan-ton unter dem Dach des Gesundheitsdepartements er-öffnet, damals mit Sitz in Bel-linzona, ab 1977 in Lugano. Mit Regierungsbeschluss vom 25. August 1992 wurde im Rahmen des Departements für Bildung und Kultur die kantonale Fachschule für me-dizinisch-technische Berufe Locarno gegründet (Scuola Cantonale medico-tecnica). Sie umfasste u.a. die Ausbil-

StoriaLa formazione di tecnico di ra-diologia medica nel Canton Tici-no è stata pensata e creata nel 1970 come Scuola Cantonale, con una propria direzione e sot-to il cappello del Dipartimento della Sanità, con sede prima a Bellinzona, e dal 1977 a Lugano.Il 25 agosto 1992, con ri-soluzione del Consiglio di Stato, è istituita nell’am-bito del Dipartimento dell’istruzione e della cul-tura la Scuola Cantonale medico-tecnica di Locar-no, inglobando fra le altre anche la formazione di Tec-nico di radiologia medica (TRM).Il Consiglio di Stato il 2 mag-gio 2001 istituisce la sede au-tonoma di Locarno con for-mazioni di grado secondario e terziario non universitario ri-ferite alle attività medico-tec-niche dell’area della diagno-stica e dell’assistenza.Con modifi ca della legge sulle scuole professionali del 2 ot-tobre 1996, il Gran Consiglio ticinese cambia il nome alla scuola in «Scuola superiore medico-tecnica» (SSMT) e at-tribuendo la formazione di tecnico di analisi biomediche e tecnico in radiologia medica al livello terziario non univer-sitario.La Scuola è oggi ubicata a Lo-carno ed è integrata nel Cen-tro Professionale del Locarne-se: condivide gli spazi comuni con la Scuola professionale artigianale (Spai) di Locarno.

In einer neuen Serie stellen wir die sechs Ausbildungs-standorte für Fachleute für medizinisch-technische Radiologie vor. Den Anfang macht die Scuola superiore medico-technica di Locarno ((SSMT).

La nostra nuova serie è dedicata alle sei sedi che offrono corsi di formazione per tecnico/tecnica in radiologia medica. La prima a presentarsi è la Scuola superiore medico-tecnica di Locarno (SSMT).

Nuova serie – Scuola superiore medico-tecnica di LocarnoNeue Serie – Scuola superiore medico-tecnica di LocarnoGianni Giacomini

dung zur Fachfrau bzw. zum Fachmann für medizinisch-technische Radiologie MTRA. Am 2. Mai 2001 verfügte der Staatsrat die Errichtung einer eigenständigen Bildungsstätte

in Locarno auf nicht univer-sitärer Sekundär-und Teri-tiärstufe für medizinische Berufe im Bereich Dia-gnostik und Betreuung.Mit der Revision des Berufsschulgesetzes vom 2. Oktober 1996 änderte der Tessiner Grossrat den Namen der Lehranstalt in «Scuo-

la superiore medico-tec-nica»» SSMT (Höhere

Fachschule für medizi-nisch-technische Radiolo-

gie) und siedelte damit die Ausbildung zur Fachperson für biomedizinische Analyse und medizinisch-technische Radi-ologie auf nicht universitärer Tertiärstufe an. Die Schule befi ndet sich heute in Locarno und gehört zum Berufsbildungszentrum der Region Locarno. Sie teilt sich ihre Räumlichkeiten mit der gewerblichen Berufsschule (Scuola professionale artigia-nale Spai) Locarno.

BildungsangebotDie höhere Fachschule SSMT Locarno bietet folgende Lehr-gänge an:} Dipl. Fachperson für medizi-

nisch-technische Radiologie HF} Dipl. Fachperson für biome-

dizinische Analytik HF} Medizinische/r Praxisassi-

FormazioniLa Scuola superiore medico tecnica di Locarno offre i se-guenti curricoli:} Tecnico dipl. SSS in radiolo-

gia medica (3 anni).} Tecnico dipl. SSS in analisi

biomediche (3 anni).} Assistente di studio medico,

riconosciuto UFFT (3 anni apprendistato).} Assistente di studio medico,

riconosciuto UFFT con ma-turità integrata (1 anno pre-paratorio e 3 anni apprendi-stato).} Assistente di studio veteri-

nario, riconosciuto UFFT (3 anni apprendistato).

GeschichteIm Tessin besteht das Bildung-sangebot im Bereich medizi-nisch-technische Radiologie seit 1970. Die erste selbstver-

La formazione di tecnico di ra-diologia medica nel Canton Tici-no è stata pensata e creata nel 1970 come Scuola Cantonale, con una propria direzione e sot-to il cappello del Dipartimento della Sanità, con sede prima a Bellinzona, e dal 1977 a

Il 25 agosto 1992, con ri-soluzione del Consiglio di Stato, è istituita nell’am-bito del Dipartimento dell’istruzione e della cul-tura la Scuola Cantonale medico-tecnica di Locar-no, inglobando fra le altre anche la formazione di Tec-nico di radiologia medica

Il Consiglio di Stato il 2 mag-gio 2001 istituisce la sede au-tonoma di Locarno con for-mazioni di grado secondario e terziario non universitario ri-ferite alle attività medico-tec-niche dell’area della diagno-stica e dell’assistenza.Con modifi ca della legge sulle scuole professionali del 2 ot-tobre 1996, il Gran Consiglio

standorte für Fachleute für medizinisch-technische Radiologie vor. Den Anfang macht die Scuola superiore medico-technica di Locarno ((SSMT).

offrono corsi di formazione per tecnico/tecnica in radiologia medica. La prima a presentarsi è la Scuola superiore medico-tecnica di Locarno (SSMT).

dung zur Fachfrau bzw. zum Fachmann für medizinisch-technische Radiologie MTRA. Am 2. Mai 2001 verfügte der Staatsrat die Errichtung einer eigenständigen Bildungsstätte

in Locarno auf nicht univer-sitärer Sekundär-und Teri-tiärstufe für medizinische Berufe im Bereich Dia-gnostik und Betreuung.Mit der Revision des Berufsschulgesetzes vom 2. Oktober 1996 änderte der Tessiner Grossrat den Namen der Lehranstalt in «Scuo-

la superiore medico-tec-nica»» SSMT (Höhere

Fachschule für medizi-nisch-technische Radiolo-

gie) und siedelte damit die Ausbildung zur Fachperson für biomedizinische Analyse und medizinisch-technische Radi-ologie auf nicht universitärer Tertiärstufe an. Die Schule befi ndet sich heute in Locarno und gehört zum Berufsbildungszentrum der Region Locarno. Sie teilt sich ihre Räumlichkeiten mit der

FormazioniLa Scuola superiore medico tecnica di Locarno offre i se-guenti curricoli:} Tecnico dipl. SSS in radiolo-

ASTRM actuel 02 / 2015 série | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Serie28

stent/in EFZ (3-jährige Be-rufslehre)} Medizinische/r Praxisassi-

stent/in EFZ mit Berufsma-turität (1 Vorbereitungsjahr und 3 Lehrjahre).} Tiermedizinische/r Praxisas-

sistent/in EFZ (3-jährige Be-rufslehre)} Tierpfl eger/in (3-jährige Be-

rufslehre)} Weiterbildung in allen 5 er-

wähnten Abschlüssen

Fachleute für MTRASeit 1. September 2008 gilt das neue Ausbildungsprogramm gemäss dem am 27. Mai 2008 vom Bundesamt für Berufsbil-dung und Technologie BBT verabschiedeten Rahmenlehr-plan. Die Unterlagen können auf der Schulwebseite abgeru-fen werden http://www.locarno.ssmt.ch/FORMAZIONI_trm.htm.Dank der Anerkennung durch das BBT können Absolventen der Diplomlehrgänge MTR der SSMT von Locarno seit 2001 den geschützten Titel dipl. Fachfrau /Fachmann für medi-zinisch-technische Radiologie HF tragen. Herr Danilo Meletta ist Ausbil-dungsleiter. Er wird in seiner Arbeit von rund 20 externen und internen Dozierenden un-terstützt. Der Lehrgang ist wie folgt ge-gliedert:} 1. Jahr: Vollzeitausbildung

mit 3-monatigem Prakti-kum in der Radiologie eines Spitales} 2./3. Jahr: abwechselnd je 2

Ausbildungsblöcke mit the-oretischem Unterricht an der Schule und externen Praktika } Die praktische Ausbildung

wird durch Training und Transfer-Tage ergänzt und bietet die Möglichkeit, wäh-rend des ersten Jahres mit Vollzeitunterricht praktische Erfahrung zu sammeln. Im Röntgensaal werden radio-grafi sche Aufnahmen an ei-ner Übungspuppe PUB60 erlernt (CT und DR mit Wi-Fi-Detektor).

} Die 3-jährige Ausbildung beginnt jeweils im Septem-ber mit den Theorieblöcken. Momentan zählen wir 34 Studierende in den 3 Kurs-jahren: 13 im ersten Jahr, 7 im 2. Jahr, 14 im 3. Jahr.

Die Unterrichtsblöcke sind modular gestaltet und umfas-sen: Grundlagen der Kommunikati-on, PatientenbeziehungGesundheitsförderung, Hygie-ne, Sicherheit, UmweltGrundkurs Physik, MathematikBiologie, Chemie, Einführung Radiobiologie, StrahlenschutzStrahlenbiologie, Strahlen-schutz, Strahlendosis, Labor für Nuklearmedizin, Einfüh-rung StrahlentherapieGerätepark in der Radiologie, angewandte Physik, Röntgen-technik am Knochen Bildge-bende Verfahren (Tomogra-phie), Bildverarbeitung, Bildqualität Apparate für CT, Bildnachbear-beitung, BildqualitätAnatomie und Schnittbildana-tomie, Physiologie, Physiopa-thologie und Röntgenpatho-logie Pfl egerische Massnahmen, erste Hilfe, Basic Life Support (BLS), Notfall bei KindernGrundwissen PharmakologieEnglische und deutsche Fach-sprache Gesundheitsrecht, Grundlagen Spitalmanagement, Berufs-ethik und Deontologie, Grund-züge der Gesundheitspolitik, CH und international Psychologie und Kinderpsy-chologie, Grundlagen der Pä-dagogik für die Lernendenbil-dungWissenschaftliches Arbeiten und MethodikNuklearmedizin, Strahlen-schutz, Kurs angewandte Ra-diophysikMedikamente in der Radiolo-gie und gezielte Kontrastmit-telWorkshop Pädiatrie: Behand-lungen und Untersuchungen, moderne VerfahrenVerfahrenskunde, wissenschaft-liches Arbeiten an der Diplom-arbeit

} Guardiano di animali (3 anni apprendistato).} Formazione continua per

tutte e 5 le professioni pro-poste della scuola.

TRMDal 1 settembre 2008 è entra-to in vigore il nuovo program-ma di formazione derivato dal piano quadro federale appro-vato il 27.05.2008 dall’uffi cio federale della formazione pro-fessionale e della tecnologia (UFFT). I documenti sono con-sultabili sul sito web della scuola: http://www.locarno.ssmt.ch/FORMAZIONI_trm.htmDal 2011 il titolare del diploma di tecnico di radiologia che ha frequentato la SSMT di Locar-no può portare il titolo protetto di Tecnico/ Tecnica di radiologia medica dipl. SSS – Scuola specializzata superio-re-, questo grazie alla pro-cedura di riconoscimento dell’Uffi cio federale della for-mazione professionale e della tecnologia (UFFT).Il responsabile della formazio-ne di TRM è il Sig. Danilo Me-letta il quale si avvale di circa una ventina di docenti esterni e interni alla scuola.L’insegnamento è così struttu-rato:} 1° anno d’insegnamento a

tempo pieno con tre mesi di formazione pratica in un re-parto di radiologia di una struttura ospedaliera} 2° e 3° anno: alternanza di

due blocchi d’insegnamento a scuola con due blocchi di formazione pratica esterna.} Per quanto riguarda la for-

mazione pratica, con il mo-dulo Training & Transfer, nel primo anno a tempo pieno abbiamo a disposizione una sala Rx con possibilità di eseguire delle radiografi e su un fantoccio antropomorfo (PBU60) sia in modalità CR che in modalità DR con un detettore Wi-Fi.

La durata della formazione è di 3 anni, con l’inizio dei corsi te-orici a settembre. Attualmente abbiamo 34 allievi distribuiti

nei tre anni: 13 al primo anno, 7 al secondo anno, 14 al terzo anno.La formazione è strutturata in moduli, integrati nei corsi blocco scolastici. Essi si suddi-vidono in: Basi di comunicazione, rela-zione con il pazientePromozione della salute, igie-ne, sicurezza, ecologiaFisica di base, matematicaBiologia, chimica, intr. alla ra-diobiologia, radioprotezioneRadiobiologia, radioprotezio-ne, dosimetria, laboratorio di medicina nucleare, introduzio-ne alla pratica in medicina nu-cleareAttrezzature radiologiche, fi si-ca applicata, tecn. radiografi -che dello scheletro, tecn. di ac-quisizione, elaborazione, qualità delle immaginiAttrezzature radiologiche to-mografi che, fi sica delle radia-zioni, tecniche radiologiche TAC, tecniche. di postproces-sing e qualità delle immaginiAnatomia e anatomia radiolo-gica, fi siologia, fi siopatologia e patologia radiologicaTecniche di cura e primi soc-corsi, Basic Life Support (BLS), soccorso in pediatriaFarmacologia di baseInglese e tedesco professionaleDiritto sanitario, nozioni di management ospedaliero, eti-ca prof., deontologia, nozioni di politica sanitaria nazionale e internazionalePsicologia e psicologia in pe-diatria, basi di pedagogia per la formazione degli allieviLavoro scientifi co e metodolo-giaMedicina nucleare, radiopro-tezione, corso di radiofi sica applicataFarmaci specifi ci in uso alla ra-diologia e mezzi di contrasto dedicatiLaboratorio e tecniche di cura pediatriche, tecniche di cura avanzateMetodologia, lavoro scientifi -co applicato al lavoro di diplo-maRadio-oncologia e radiotera-pia, pianifi cazione, simulazio-ne, tecniche di irradiamento,

ASTRM actuel 02 / 2015 série | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Serie 29

Altre scuole in Svizzera Weitere Schulen in der Schweiz² HES-SO Haute école spécialisée de Suisse occidentale

Haute École de Santé (HEdS), Genève

² HES-SO Haute école spécialisée de Suisse occidentaleHaute école cantonale vaudoise de la santé (HESAV), Lausanne

² Höhere Fachschule für medizinisch-technische RadiologieMedi Zentrum für Medizinische Bildung, Bern

² Höhere Fachschule für medizinisch-technische Radiologie BZG Bildungszentrum Gesundheit Basel-Stadt, Münchenstein

² Höhere Fachschule für medizinisch-technische RadiologieCareum Bildungszentrum, Zürich

Radioonkologie und -therapie, Planung, Simulation, Bestrah-lungstechnik, Tumoruntersu-chungenApparate für MRI und Strah-lentherapieInformatik, Computeranwen-dungen und Arbeitsinstru-mente, Statistik PACS-HIS-RIS Bild-Ablagesy-steme Lernatelier «Training & Transfer»

Anforderungen:} Abgeschlossene Sekundar-

schulstufe II, mindestens 3-jährige Berufsausbildung} Bestandene Aufnahmeprü-

fung

AufnahmeverfahrenDas Aufnahmeverfahren bein-haltet: } Schriftliche Erörterung zu ei-

nem berufsbezogenen Thema} Persönliches Gespräch mit

einer Lehrperson} Gespräch mit einem Psycho-

logen

Voraussetzungen für die Zu-lassung zu den Aufnahmeprü-fungen:Eidg. Fähigkeitszeugnis in einem Gesundheitsberuf (dazu zählt auch die Ausbildung zur/zum Praxisassistent/in, Fach-person Ge sund heit B e treu ung)} Berufsmatura Gesundheit

und Soziales} Fachschulzeugnis} Berufsmaturitätszeugnis

studio dei tumoriAttrezzature radiologica di ri-sonanza magnetica e radio-terapiaInformatica, uso del computer e strumenti di lavoro, statisti-caPACS-HIS-RIS Sistemi d’archi-viazione d’immaginiLaboratorio didattico «Training e Transfer»

Requisiti:} attestato o certifi cato di

grado secondario consegui-to al termine di una forma-zione della durata di almeno 3 anni.} aver superato l’esame d’am-

missione.

Esami d’ammissioneGli esami hanno luogo attra-verso le seguenti verifi che:} commento scritto su di un

tema professionale} colloquio individuale con un

docente} colloquio con uno psicologoPossono accedere all’esame di ammissione i titolari di uno dei seguenti titoli:} attestato federale di capaci-

tà nel settore (sono conside-rate a questo proposito le formazioni di assistente di studio medico, operatore sociosanitario, operatore socioassistenziale)} attestato federale di maturi-

tà professionale sanitaria e sociale} certifi cato di scuola specia-

lizzata} attestato di maturità spe-

cializzata} attestato federale di maturi-

tà o titoli equivalenti Gli altri candidati e i titolari di un attestato di maturità, di una maturità estera o titoli equivalenti, non comprensivi delle scienze naturali, sono te-nuti a frequentare anche il corso integrativo in scienze naturali (biologia, chimica e fi -sica) organizzato dalla Scuola specializzata superiore medi-co-tecnica di Lugano, otte-nendo la relativa certifi cazio-ne. Il numero dei posti disponibili è limitato. Se il nu-

mero dei candidati ritenuti idonei supera quello dei posti disponibili vengono ammessi i primi della graduatoria dell’e-same.L’ammissione defi nitiva è su-bordinata alla visita medica d’entrata effettuata dal medi-co fi duciario della scuola.Termine d’iscrizione: Fine mar-zoCosti: Tassa scolastica Fr. 900.–per ciascun semestre di for-mazione.Materiale scolastico (fotoco-pie) Fr. 100.- per anno di for-mazione.

Contatto:Gianni Giacomini, Vice direttore [email protected]

} Eidg. Maturitätszeugnis oder gleichwertiger Titel

Für weitere Kandidaten und Inhaber eines Maturitätszeug-nisses, einer ausländischen Matura oder gleichwertiger Ti-tel ohne naturwissenschaft-liche Inhalte bietet die SSMT zudem einen obligatorischen Ergänzungskurs (in den Fä-chern Biologie, Chemie und Physik) an, der mit einem ent-sprechenden Zeugnis ab-schliesst. Die Studienplätze sind beschränkt. Wenn die Zahl geeigneter Interessenten das Platzangebot überschrei-tet, werden jene mit den be-sten Noten bevorzugt. Für die defi nitive Aufnahme ist ein vorgängiges Check-up durch den Vertrauensarzt der Schule erforderlich.Anmeldeschluss: Ende MärzKosten Schulgeld: Fr. 900.–pro SemesterSchulunterlagen (Fotokopien) Fr. 100.- pro Ausbildungsjahr

Kontakt:Gianni Giacomini, Stellvertretender Leiter [email protected]

ASTRM actuel 02 / 2015 news | SVMTRA aktuell 02 / 2015 News30

Die Gründer Hans und Margrit Walker erkannten vor mehr als 25 Jahren, dass eine Professio-nalisierung der Verbandsarbeit je länger, desto nötiger wird: Die Vorstände sollten sich auf die strategische Führung kon-zentrieren können und von operativen Arbeiten und ad-ministrativer Abwicklung ent-lastet werden. An Nonprofi t-Organisationen werden immer höhere Anforderungen ge-stellt, die Partner und das poli-tische Umfeld fordern zu-nehmend ein professionelles Management. Ein Outsourcing bietet sich daher als bewährte Lösung für kleinere und mitt-lere Nonprofi t-Organisationen an. Walker Management AG ist heute das führende Kompe-tenzzentrum für Nonprofi t-Organisationen in der Schweiz. Das Unternehmen betreut 25 -Organisationen (Berufsver-bände, Stiftungen, Instituti-onen). Zu den Kunden zählt auch die Schweizerische Verei-

Il y a plus de 25 ans, les fonda-teurs Hans et Margrit Walker avaient compris qu’il était de plus en plus nécessaire de pro-fessionnaliser le travail des as-sociations: les comités doivent pouvoir se concentrer sur la direction stratégique et être déchargés du travail opéra-tionnel et des processus admi-nistratifs. Les organisations à but non lucratif doivent faire face à des exigences de plus en plus élevées, les partenaires et l’entourage politique exigent une gestion toujours plus pro-fessionnelle. Pour les organi-sations à but non lucratif de petite et de moyenne taille, l’externalisation est donc une solution qui a fait ses preuves. Aujourd’hui, Walker Manage-ment AG est le centre de com-pétence leader pour les orga-nisations à but non lucratif en Suisse. L’entreprise encadre 25 organisations (associations professionnelles, fondations, institutions). L’Association compte également parmi ses clients l’Association suisse des techniciens en radiologie mé-dicale. L’offre complète est dé-terminante pour le succès: dans les trois domaines Mana-gement, Consulting et Media, le travail est accompli par des cadres confi rmés qui mettent en œuvre une solution faite sur mesure pour chaque client. Les moyens de communica-tion modernes font également partie de cette solution. Pour Hans et Margrit Walker, il

Bewährte Führungskräfte sind seit Anfang 2015 neue Inhaber der Walker -Management, Sursee / Luzern. Das Unternehmen erbringt gesamtschweizerisch Dienstleistungen für Nonprofi t-Organisationen, so auch für die SVMTRA.

Des cadres confi rmés seront les nouveaux proprié-taires de Walker Management, Sursee / Lucerne à partir de 2015. L’entreprise fournit des prestations de service aux organisations à but non lucratif dans toute la Suisse, dont aussi l’ASTRM.

Passage de témoin chez Walker Management AGStabübergabe bei Walker Management AGAndreas Affolter

est important que leur œuvre soit continuée dans leur esprit. Ils commencèrent par consé-quent suffi samment tôt à ré-gler leur succession ce qui porte désormais ses fruits: à la fi n de l’année, ils remettaient Walker Management AG à leurs cadres confi rmés qui de-viennent les nouveaux pro-priétaires. En tout, 23 collabo-ratrices et collaborateurs travaillent à Sursee et à Lu-cerne. La direction est assurée par Ueli Müller et Isabelle Küt-tel. Font partie de la direction élargie: Denise Hüsler, Markus Werner et Nina Hänsli. Cette dernière s’occupe désormais du domaine Consulting et ap-porte son savoir-faire des études de marché. «Garder ce qui a fait ses preuves, intégrer de nouvelles choses», voici la devise de la nouvelle équipe de direction. La continuité est aussi assurée par le fait que Hans Walker as-sume la fonction de président du conseil d’administration.

Propriétaires et comité de direction (de gauche à droite):Markus Werner, Isabelle Küttel, Ueli Müller, Denise Hüsler

nigung der Fachleute für med. tech. Radiologie. Entscheidend für den Erfolg ist das kom-plette Angebot: In den drei Bereichen Management, Con-sulting und Media arbeiten ausgewiesene Fachkräfte. Sie setzen für jeden Kunden eine massgeschneiderte Lösung um, zu der auch zeitgemässe Kommunikationsmittel gehö-ren. Hans und Margrit Walker ist es ein Anliegen, dass ihr Lebens-werk in ihrem Sinn weiterge-führt wird. Deshalb nahmen sie die Nachfolgeregelung frühzeitig an die Hand. Das macht sich jetzt bezahlt: Ende Jahr haben sie die Walker Ma-nagement AG an ihre be-währten Führungskräfte als neue Inhaber übergeben. An den Standorten Sursee und Luzern sind insgesamt 23 Mit-arbeiterinnen und Mitarbeiter tätig. Die Geschäftsleitung be-steht aus Ueli Müller und Isa-belle Küttel. Der erweiterten Geschäftsleitung gehören De-nise Hüsler, Markus Werner und Nina Hänsli an. Letztere betreut neu den Bereich Con-sulting und bringt ihr Know-how aus der Marktforschung ein. «Bewährtes mitnehmen, Neues einfl iessen lassen» heisst der Leitfaden der neuen Führungs-crew. Dafür, dass die Kontinui-tät gewährleistet ist, bürgt auch der Umstand, dass Hans Walker das Verwaltungsrats-präsidium übernimmt.

Inhaber und Führungscrew in Einem (v.l.n.r.):

Markus Werner, Isabelle Küttel, Ueli Müller, Denise Hüsler

ASTRM actuel 02 / 2015 formation | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Fort- und Weiterbildung 31

ASTRM actuel 02 / 2015 bulletin des emplois | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Stellenanzeiger32

L’Hôpital Riviera-Chablais, Vaud-Valais (HRC), hôpital intercantonal, emploie près de 2000 collaborateurs répartis sur les sites de Monthey, Aigle, Montreux, Mottex, Vevey Providence etVevey Samaritain. Parallèle-ment à l’exploitation de ces différents sites, de nombreux projets sont conduits en vue de l’ouverture du nouvel hôpital de Rennaz doté de 300 lits de soins aigus et de ses deux antennes régionales à Monthey et Vevey.

Afi n de compléter l‘équipe du service de radiologie sur nos sites de la Riviera, nous recherchons un/e

Les missions principales de ce poste sont:} Assumer la prise en charge globale du patient (radio-logie conventionnelle, IRM, CT, US MN, densitométrie, mammographie…)} Effectuer les examens radiologiques de manière autonome ou en collaboration avec les radiologues (exa-mens dirigés, US interventionnels)} Collaborer à l’organisation du travail et au bon dérou-lement des activités du service} Participer à l’intégration des nouveaux collaborateurs et à l’encadrement des étudiants et des stagiaires} Assurer le service du weekend, des jours fériés et de nuit

Nous demandons:} Un diplôme HES de TRM ou un titre jugé équivalent} Une expérience confi rmée en radiologie serait un atout} Une maîtrise de la langue française ainsi que des outils

informatiques de base et spécifi ques à la radiologie} Une personne motivée, rigoureuse et autonome, désirant

s’investir dans l’élaboration d’un nouveau service

Entrée en fonction:Le 1er juin 2015 ou à convenir

Renseignements:Des renseignements peuvent être pris auprès de M. Yves Jaermann, technicien-chef en radiologie médicale (sites de la Riviera), tél. 021/923 44 23 ou par email [email protected]

Candidature:Si ce poste vous intéresse, nous vous remercions d’adresser votre dossier de candidature complet (lettre de motivation, CV, copie de diplômes et de certifi cats de travail), avant le 15 mars 2015 à l’adresse email [email protected]

www.hopitalrivierachablais.ch

TRM en radiodiagnostic à 100 %

ASTRM actuel 02 / 2015 bulletin des emplois | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Stellenanzeiger 33

ASTRM actuel 02 / 2015 bulletin des emplois | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Stellenanzeiger34

Das Asana Spital Menziken ist ein familiäres und modernes Regionalspital. Es umfasst 60 Akut- und 70 Pfl egeheimbetten und ist verantwortlich für die Grundversorgung der Region Wynen- und Seetal. Zur Ergänzung unseres Ra-diologieteams suchen wir eine / einen

Auf Sie wartet ein spannender Arbeitsplatz. Sie kommen in den Genuss einer sehr abwechslungsreichen und vielseitigen Tätigkeit, wo Sie Ihre Menschlich-keit und Ihre hohe Fachkompetenz einsetzten können. Erleben sie ein kleines aufgestelltes Team und ein grosses Tätigkeitsfeld innerhalb des gesamten Spi-tals, mit Notfallaufnahme.

Sind Sie eine engagierte, fl exible Persönlichkeit, welche gerne Verantwortung übernimmt, selbständiges Arbeiten gewohnt ist und gerne Pikettdienste lei-stet? Dann sind Sie bei uns genau richtig.

Sie besitzen eine abgeschlossene Ausbildung als Fachfrau / Fachmann med. techn. Radiologie HF oder eine adäquate, gleichwertige Ausbildung und kön-nen vorzugsweise einige Jahre fundierte Berufserfahrung aufweisen. Wieder-einsteigerInnen sind ebenfalls sehr willkommen.

Wir sind ein Spital mit kurzen Entscheidungswegen und ein eingespieltes Team, das sich auf Sie freut. Ausserdem bewegen wir uns in einem vielseitigen und anspruchsvollen Arbeitsumfeld mit Arbeitsplatz im Grünen.

Haben wir Sie neugierig gemacht?Frau Maria Tokarski, Leitung Röntgen, steht Ihren Fragen gerne zur Verfügung. Sie erreichen sie unter Telefon: 062 765 35 30 oder per Mail an: [email protected]

Ihre vollständigen Bewerbungsunterlagen erwarten wir gerne über unser Onlinetool oder schriftlich an:Spital Menziken, Personalabteilung, Spitalstrasse 1, 5737 Menzikenwww.asana.ch

Fachfrau / Fachmann med. techn. Radiologie 40 %

aktuellaktuellactuel attualità

Suchen Sie eine / n neue / n Mitarbeiter / in?

Mit einer Stellen anzeige im SVMTRA aktuell erreichen Sie die passenden Fachpersonen.

Entnehmen Sie die Details betreffend Format und Preis bitte dem Impressum oder wenden Sie sich direkt an die Geschäfts stelle unter

SVMTRA / ASTRMStadthof · Bahnhofstrasse 7b · CH-6210 Surseefon: +41 (0) 41 926 07 77fax: +41 (0) 41 926 07 99mail: [email protected]

Das Spitalzentrum Biel ist das öffentliche Zentrumsspital für die Bevölkerung der Region Biel-Seeland-Berner Jura.

Zur Verstärkung unseres Teams suchen wir per 1. März 2015 oder nach Vereinbarung eine/n

Weitere Informationen zum attraktiven Stellenangebot fi n den Sie auf unserer Website www.spitalzentrum-biel.ch.

Für weitere Auskünfte steht Ihnen Herr R. Leuenberger, Leiter Radiologie, Tel. 032 324 17 44* [email protected] gerne zur Verfügung.

Spitalzentrum Biel AGVogelsang 842502 Biel032 324 24 24

www.spitalzentrum-biel.ch

Fachfrau/Fachmann für med.-techn. Radiologie (80 – 100 %)

Le Centre hospitalier Bienne exploite le centre médical public pour la population de la région Bienne-Seeland-Jura bernois.

Nous cherchons pour le 1er mars 2015 ou pour une date à convenir un/e

Vous trouverez de plus amples informations concernant ce poste sur notre site internet www.centre-hospitalier-bienne.ch.

Monsieur R. Leuenberger, responsable Radiologie, se tient volontiers à votre disposition pour tous renseignements complémentaires, tél. 032 324 17 44* ou [email protected].

Centre hospitalier Bienne SAChante-Merle 842502 Bienne032 324 24 24

www.centre-hospitalier-bienne.ch

Technicien(ne) spécialisé(e) en radiologie médicale (80 – 100 %)

SpitalzentrumCentre hospitalierBiel-Bienne

SpitalzentrumCentre hospitalierBiel-Bienne

35 ASTRM actuel 02 / 2015 agenda / impressum | SVMTRA aktuell 02 / 2015 Agenda / Impressum

agenda

HerausgeberinSVMTRA Schweizerische Vereinigung der Fachleute für medizinisch-technische Radiologie, SurseeInserateverwaltung / Administration SVMTRA: Stadthof, Bahnhofstrasse 7b, 6210 Sursee, Telefon: 041 926 07 77, Fax: 041 241 10 32, E-Mail: [email protected]/Layout: WALKER Management AG, Media- Abteilung, Hirschmattstrasse 36, 6003 LuzernTelefon: 041 248 70 11, Fax: 041 241 10 32E-Mail: [email protected]

RedaktionskommissionErmidio Rezzonico (Leitung), Eleonore Butt, Max Hess, Judith Zuberbühler, Géraldine Stadelmann, Marlise Hofmann Stricker

ErscheinungFachzeitschrift: 6-mal jährlich, jeweils am 25. eines geraden MonatsKurs- / Stellenanzeiger: 6-mal jährlich, jeweils am 25. eines ungeraden Monats

Aufl age2300 Exemplare

Annahmeschluss InserateFachzeitschrift: 1 Monat vor ErscheinungKurs- / Stellenanzeiger: 20 Tage vor Erscheinung

Insertionspreise (exkl. MwSt.)Format Geschäftsinserate (4f) Stelleninserate (s/w)4. UG Fr. 2500.– –2./3. UG Fr. 2000.– – 1⁄1 Fr. 1800.– Fr. 1200.–½ Fr. 1000.– Fr. 660.–¼ Fr. 600.– Fr. 400.–

Druck und VersandMulticolor Print AG, Sihlbruggstrasse 105a, 6341 Baar

CopyrightDie Rechte des Herausgebers und der Autoren bleiben vor-behalten. Eine allfällige Weiterverarbeitung, Wiederveröf-fentlichung oder Vervielfältigung zu gewerblichen Zwecken ohne vorherige ausdrückliche Zustimmung der Autoren-schaft oder des Herausgebers ist nicht gestattet.

EditriceASTRM Association suisse des techniciens en radiologie médicale, SurseeRégie des annonces / administration ASTRM: Stadthof, Bahnhofstrasse 7b, 6210 Sursee, Téléphone: 041 926 07 77, Fax: 041 241 10 32, courriel: [email protected]édaction/mise en page: WALKER Management AG, Media- Abteilung, Hirschmattstrasse 36, 6003 LuzernTéléphone: 041 926 07 77, Fax: 041 241 10 32courriel: [email protected]

Commission de rédactionErmidio Rezzonico (direction), Eleonore Butt, Max Hess, Judith Zuberbühler, Géraldine Stadelmann, Marlise Hofmann Stricker

Publicationjournal professionnel: 6 fois par année, généralement, le 25e d’un mois impairCours / Service d’emploi: 6 fois par année, généralement , le 25e d’un mois pair

Tirage2300 exemplaires

Délai de redaction (annonces)Journal professionnel: 1 mois avant publicationCours / Service d’emploi: 20 jours avant publication

Prix des annonces (TVA excl.)format annonces d’entreprises (4c) offres d’emploi (n/b)4ème CV Fr. 2500.– –2/3ème CV Fr. 2000.– – 1⁄1 Fr. 1800.– Fr. 1200.–½ Fr. 1000.– Fr. 660.–¼ Fr. 600.– Fr. 400.–

Imprimerie et disributionMulticolor Print AG, Sihlbruggstrasse 105a, 6341 Baar

CopyrightLes droits de l’éditeur et des auteurs sont réservés. Il est interdit de modifi er, publier ou reproduire les contenus à des fi ns commerciales sans l’autorisation préalable expresse des auteurs ou de l’éditeur.

EditriceASTRM Associazione svizzera dei tecnici di radiologia medica, SurseeAnnunci pubblicitari / amministrazione ASTRM: Stadthof, Bahnhofstrasse 7b, 6210 Sursee, Telefono: 041 926 07 77, Fax: 041 241 10 32, e-mail: [email protected]/impaginazione: WALKER Management AG, Media- Abteilung, Hirschmattstrasse 36, 6003 Luzern Telefono: 041 248 70 11, Fax: 041 241 10 32e-Mail: [email protected]

Commissione di redazioneErmidio Rezzonico (responsabile), Eleonore Butt, Max Hess, Zuberbühler, Géraldine Stadelmann, Marlise Hofmann Stricker

PubblicazioneRivista: 6 volte all’anno, ogni 25 del mese nei mesi dispariCorsi / Ricerca posti di lavoro: 6 volte all’anno, ogni 25 del mese nei mesi pari

Tiratura: 2300 esemplari

Ultimo termine per gli annunciRivista: un mese prima della pubblicazione, Corsi / Ricerca posti di lavoro: 20 giorni prima della pubblicazione

Prezzi d’inserzione (IVA escl.)formato inserzione delle aziende (4c) inserzione di lavoro (n/b) 4 CP Fr. 2500.– –2/3 CP Fr. 2000.– –1⁄1 Fr. 1800.– Fr. 1200.–½ Fr. 1000.– Fr. 660.–¼ Fr. 600.– Fr. 400.–

Stampa e distribuzioneMulticolor Print AG, Sihlbruggstrasse 105a, 6341 Baar

CopyrightI diritti dell'editore e degli autori sono riservati. È proibito modifi care, pubblicare o riprodurre i contenuti per dei fi ni commerciali senza l'autorizzazione esplicita degli autori o dell'editore.

impressum

date | Termin thème / lieu | Thema / Ort organisateur | Veranstalter

16.04.2015 MR-Einführungskurs, St. Gallen EDUMED

17.04.2015 – 19.04.2015 MR-Basiskurs, St. Gallen EDUMED

24.04.2015 – 26.04.2015 MR-Fortgeschrittenenkurs I, Basel EDUMED

02.05.2015 MR-Artefaktkurs I, Lugano EDUMED

08.05.2015 – 10.05.2015 MR-Fortgeschrittenenkurs II, Zürich EDUMED

09.05.2015 Ab auf die Insel... Die Radiologie im Fokus der Transplantationsmedizin, Bern Inselspital Bern

18.05.2015 – 21.05.2015 Cours sur le dépistage organisé du cancer du sein par mammographie ASTRM Section Romande

29.05.2015 – 31.05.2015 CT-Multislicekurs, Basel EDUMED

04.06.2015 – 06.06.2015 Radiologiekongress 2015, Basel SVMTRA /ASTRM

11.06.2015 – 13.06.2015 SASRO 2015 SASRO

20.06.2015 CT-Fortgeschrittenenkurs Theorie, Zürich EDUMED

20.06.2015 CT-Fortgeschrittenenkurs Theorie, Zürich EDUMED

13.08.2015 – 22.08.2015 Strahlenschutz-update: jetzt bin ich kompetenter medi Bern

05.09.2015 6. Ostschweizer MTRA-Symposium: Der Verdauungstrakt Kantonsspital St. Gallen

12.09.2015 Anatomie und Pathologie in der Schnittbilddiagnostik, Basel EDUMED

19.09.2015 Modul-Workshop: Strahlenschutz, Zürich EDUMED

25.09.2015 – 27.09.2015 MR-Fortgeschrittenenkurs I, St. Gallen EDUMED

01.10.2015 MR-Einführungskurs, Basel EDUMED

02.10.2015 – 04.10.2015 MR-Basiskurs, Basel EDUMED

16.10.2015 – 18.10.2015 CT-Fortgeschrittenenkurs, Zürich EDUMED

24.10.2015 Fortbildung Nuklearmedizin: Radioaktives Ratatouille, Zürich Fachstelle Nuklearmedizin SVMTRA

05.11.2015 MR-Artefaktekurs II, Zürich EDUMED

14.11.2015 Tag der MTRA 2015 SVMTRA /ASTRM

Partner_partenaires

In der Agenda des «aktuell» werden nur von der SVMTRA unterstützte Veranstaltungen sowie solche von Fortbildungspartnern, welche die Bestimmungen zur Preisdifferenzierung für Mitglieder/Nichtmitglieder er-füllen, aufgeführt. Alle weiteren uns gemeldeten Fortbildungen fi nden Sie unter www.svmtra.ch/agenda. Dans l’agenda de «l’actuel», on retrouve seulement les manifestations soutenues par l’ASTRM ainsi que celles de partenaires dans le domaine de la formation continue qui remplissent les conditions concernant la différenciation des prix pour les membres/non-membres. Toutes les autres formations continues qui nous ont été signalées sont disponibles sous: www.svmtra.ch/agenda.

Answers for life.

siemens.ch/healthcare

The healthier people are today, the better the world will be tomorrow. That’s because long, healthy lives make it possible for people to give their best. And build a happier world for today’s generations and generations to come. That’s why Siemens works to advance human health, with answers that last. We’re helping clinicians and hospitals expand access to care while cutting costs, so they can

better care for a growing world. We’re creating innova-tions that will have a lasting impact, so an aging popula-tion can continue to be a healthy one. We believe that, like every precious resource on earth, human health should be cherished, sustained. Not just for today, but for the promise of a better tomorrow.

Today’s well-being is tomorrow’s greatest resource. Siemens answers are creating an impact on human healththat will last generations.

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