godfrinpauline.files.wordpress.com€¦ · web viewpatrice favaro, le secret de maître luthier,...
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La descriptionLa descriptionA quelle époque situes-tu le château de l’image ci-contre ? Pourquoi ? ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
Le dragon vous parait-il effrayant ? Pourquoi ? ……………………………………………………………………..
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Pour entrer dans la séquence …Cite quelques films, jeux vidéo, jeux de société, bandes dessinées, etc. inspirés par le Moyen-âge. Quels aspects de cette période montrent-ils ?
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I. Lieux hérités du Moyen-âge.
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Texte 1Les châteaux forts
Un donjon, qu'est-ce au juste? Une grande tour, qui domine de sa hauteur celles de l'enceinte. Qu'il soit de forme ronde ou carrée, il a toujours des murs très épais: quatre mètres au moins à la base. Il ne faut pas que les assaillants éventuels risquent d'entrer dans le donjon par surprise.
Pas de porte, donc, au niveau du sol: mais on en ouvre une, aussi petite que possible, au premier étage, à 5 mètres environ au dessus du sol. Pour monter jusque là-haut, on se sert d'une échelle ou d'un escalier en bois escamotable en cas d'attaque. [...]
Au sommet de la tour, un chemin de ronde muni d'un parapet. Parfois, le donjon était surmonté d'une tourelle d'où un guetteur surveillait la campagne environnante. En cas de danger, il donnait l'alerte en sonnant du cor ou bien en actionnant un panneau mobile.
Gaston Duchet-Suchaux, Michel Pastoureau, Les châteaux forts, Hachette Education, 1994.
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Texte 2Le faucon déniché
La scène se situe au Moyen-âge. Martin, un petit paysan, a gardé pour lui un faucon qui appartenait à son seigneur. Découvert, il est emmené en prison.
Le garde décrocha une torche qui flambait contre la muraille et dit, avant de s'engager dans un escalier étroit: "Allez! Passe, devant!"
Les marches succédèrent aux marches. L'escalier tournait sur lui-même. Martin, docilement, montait vers sa prison. Il essaya de chasser sa peur. [...]
Les gardes, derrière Martin, s'essouflaient dans la montée tout en pestant contre la hauteur des tours, contre l'heure tardive et le service qui ne finissait jamais. Enfin, ils s'arrêtèrent. L'un d'eux ouvrit une petite porte. "Te voici chez toi". [...]
Ils refermèrent la porte. Martin entendit dans les escaliers le bruit de leurs pas qui diminuait. Puis, ce fut le silence. La nuit étoilée en cet automne clément. Par l'ouverture étroite que nul volet ne fermait, la lune éclairait une botte de paille jetée dans un coin. Depuis quand était-elle là cette gerbe? Et combien de prisonniers avait-elle reçus?
Martin eut le sentiment que, dans ce réduit, on l'oublierait toujours. Il fit le tour des murs, en effleura les pierres d'une main craintive. Il eut peur. [...]
D'un élan désespéré, il s'accrocha au rebord de la fenêtre, se hissa, s'assit enfin. Un vertige le prit qui lui fit fermer les yeux. Il avait juste la place de se tenir sur cette étroite plate-forme. Sous lui, il vit la tour dont le bas se perdait dans l'obscurité des remparts, un créneau qui aurait pu permettre une évasion s'il n'avait été si éloigné de la lucarne et puis, par-delà l'enceinte, la campagne étrange sous la lumière froide de la lune.
Jean-Côme Noguès, Le faucon déniché, Pocket Jeunesse, 2002
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Texte 3Au château de Valon (Aveyron)
Depuis le XIIème siècle, le château de Valon, sur son éperon rocheux, domine les gorges de la Truyère. Mais que cachent ces vieilles pierres? Entrez donc!
Passée la première enceinte, plusieurs éléments de la cour intérieure vous invitent à côtoyer histoires et légendes: arbres centenaires dignes des plus belles enluminures, chapelle, symbole de silence et de paix, et surtout le donjon qui prend, depuis ce lieu, toute sa dimension. Il abrite trois belles salles superposées. Pour circuler de l'une à l'autre puis accéder à la terrasse, vous devez emprunter un escalier étonnant qui a traversé les siècles sans dommage. De là-haut, la vue sur les maisons de schiste et sur les gorges de la Truyère est un enchantement.
En admirant ces richesses, vous vous appropriez avec plaisir un moment d'histoire.
Sur la route des seigneurs du Rouergue, Lacroix Barrez, Carlandez.
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Comparer des descriptions de donjons
Des types de textes différents
→ Pour chaque extrait, précise de quel type de texte il provient.
Texte 1 :…………………………………………………………Texte 2 :…………………………………………………………Texte 3 :………………………………………………………… Des informations communes
→ Dans les trois textes, relève les mots ou groupes de mots qui donnent des informations sur
a) l'escalier des donjons (en VERT) ;
b) la hauteur des donjons (en BLEU).
→En te servant des trois textes, explique, en un bref paragraphe (+/- 3-5 lignes) ce qui caractérise un donjon.
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
Des descriptions aux rôles différents
→ Dans le texte 1, s'agit-il d'un donjon particulier?………………………………………………………………………………
→ Dans le texte 2, quels aspects du donjon le lecteur découvre-t-il grâce aux gardes est grâce à Martin?.......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
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→ Quel sentiment le lecteur est-il amené à partager avec Martin?.........................................................
→ D'après le texte 3, quel sentiment le donjon décrit provoque-t-il? Relève un mot du texte pour appuyer ta réponse................................................................................................................................... ...................................................................................................................................................................
→Dans quelle intention ce texte a-t-il été écrit?....................................................................................... ...................................................................................................................................................................
Je retiens!Rôles de la description
- Une description montre, donne à voir un lieu, un objet. Elle peut viser à:
- expliquer et informer; c'est le cas des ……………………….. et des récits de voyage;
- donner une impression dominante; dans les ………………….. , une description vise à créer une atmosphère plaisante, merveilleuse, surprenante, effrayante, ...
- provoquer un sentiment d'émerveillement ou de dégout chez le lecteur, c'est le cas dans les récits de voyage, les ………………………………..
Remarque :
- dans les documentaires, les descriptions sont neutres, ………………… : c'est l'objet de la description qui compte.
- dans les romans et les récits de voyage, les descriptions sont …………………. : l'auteur cherche à faire partager au lecteur le point de vue du narrateur.
→ A présent, associe chacun des textes à l'un des rôles de la description.
Texte 1 :…………………………………………………………
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Texte 2 :…………………………………………………………Texte 3 :…………………………………………………………→ A ton avis, pourquoi les donjons sont-ils si présents dans de nombreux jeux et films actuels? ......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
Epées d'hier et d'aujourd'hui
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Texte 1La chevalerie
L'épée avait été conçue pour, à coup d'"estoc", par la pointe, percer les protections de l'adversaire: à cet effet, elle était longue d'un bon mètre. Elle avait été conçue pour, à coup de "taille", par le tranchant, fendre le corps de l'adversaire, attaqué à la tête ou aux membres: à cet effet, elle était épaisse, lourde de deux ou trois kilos, et sa poignée assez haute pour qu'on puisse la prendre à deux mains pour frapper.
Ces dispositions lui donnaient l'aspect d'une croix ce qui pour des guerriers chrétiens, renforçait sa valeur symbolique.
Souvent, les reliques d'un saint, enserrées dans le pommeau, la sacralisaient davantage ajoutant à la puissance mystérieuse dont on la croyait dotée. Le chevalier traitait son épée comme une personne. Comme son destrier, comme son épouse, comme lui-même elle portait un nom.
Nous n'avons pas oublié que celle de Roland s'appelait Durandal, celle du roi Arthur Excalibur.
Georges Duby, La chevalerie, Perrin
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Texte 2Le roi Arthur
L'enchanteur Merlin a conduit le roi Arthur jusqu'à un lac qui sert de frontière entre le monde des vivants et celui des morts. Il lui a parlé mystérieusement d'Excalibur, sans lui donner plus d'explications.
Sous mes yeux, la surface de l'eau se rida et s'ouvrit. Et, à ma profonde stupeur, je vis émerger du lac une épée scintillante, brandie par une main qui prolongeait un bras gainé de soie blanche.
- Voilà votre réponse, chuchota Merlin; cette épée s'appelle Excalibur. Elle vient du demi-monde d'Avalon où sa lame a été forgée par les elfes et son fourreau par la dame Nemu en personne, la dame du lac.
J'aperçus une barque échouée dans les roseaux. D'où elle venait, et comme elle y était arrivée, je l'ignore.
Dès que je fus dans la barque, elle se mit en mouvement et glissa sans bruit sur les eaux noires en direction du bras dressé au milieu du lac. Lorsque nous en fûmes tout proches, elle ralentit jusqu'à s'arrêter une seconde, juste le temps pour moi de tendre la main et d'empoigner l'épée par la lame.
Le bras s'enfonça dans le lac et je le suivis des yeux jusqu'à ce que le dernier doigt ait disparut.
Je m'assis au fond de la barque et regardai l'épée posée sur mes genoux. Sa poignée, incrustée d'or et de pierreries, s'adaptait à ma main mieux qu'aucune de celles que j'avais tenues jusque là. Sa lame était la plus importante jamais vue, et cependant elle me paraissait aussi légère qu'une plume, comme si elle était un prolongement de mon bras et non une arme.
Michael Morpurgo, Le roi Arthur, Folio junior, Gallimard jeunesse, 1998.
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Découvrir des descriptions d'un objet symbolique
Une arme symbolique (texte 1)
→ Quelles étaient les deux façons de se servir d'une épée ? ...................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................... ......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
→ Relève les adjectifs qui qualifient l'épée et ses différentes composantes (souligne-les en vert).
→Quelle est la fonction de ces adjectifs ?……………………………………………………………………………………………. ...................................................................................................................................................................
→ De quel objet l'épée avait-elle la forme ? ………………………………………………………………………………………
→ Relève les mots du champ lexical de la religion. ……………………………………………………………………………… ......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
→ Les épées étaient-elles considérées par les chevaliers comme des objets? Justifie ta réponse par le texte. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
Excalibur, l'épée légendaire (Texte 2)
→ Relève les verbes synonymes de voir. …………………………………………………………………………………………… ......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
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→ Par le regard de quel personnage la description de l'épée est-elle présentée ?..................................
→ L17à 20 : Quelles parties de l’épée sont successivement décrites ?..................................................... ...................................................................................................................................................................
→ La description met-elle cette épée en valeur ? Justifie ta réponse. …………………………………………………. ......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
→ Cette épée est-elle présentée comme un simple objet ? Explique. …………………………………………………. ......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
Je retiens!Ordre de la description
Les différents éléments à décrire doivent se suivre dans un ordre ………………….. On décrit en général, de haut en bas, du plus éloigné au plus proche, de l’ensemble au détail.
Par exemple, pour une armure :
L’armure d’un chevalier est constituée d’un casque, d’une cote de maille, d’un bouclier, de gantelets et de genouillères.
Rappel !
Un champ lexical est ensemble de ……………. qui se rapportent à une même notion dans un texte et qui forment un réseau de sens. Un champ lexical comporte des mots de natures différentes : …
L’héritage de la table ronde
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Arthur, à la croisée des chemins
Elle a la forme d’un œuf coupé en deux. Ou bien d’une énorme ruche renversée. Ou encore de la lune quand elle en est à son deuxième quartier.
- En quoi est donc cette table ? Demande Arthur.
- En cristal de roche, répond le roi Léodegrance. Un gigantesque bloc de cristal…
Arthur l’effleure du bout des doigts, puis de la paume.
- Au toucher, on dirait du savon. Ou du suif, constate- t-il.
- Elle est dure comme le diamant, rectifie Léodegrance. C’est une main de fer dans un gant de velours.
Arthur se penche sur la table massive et scrute les profondeurs de ce vaste hémisphère.
Partout de petites taches noires, pareilles à de minuscules têtards.
Et puis des étoiles d’argent. Des zébrures et des zigzags. Jusqu’en son cœur. Comme une image des sombres et profondes lignes de faille de notre univers, des fissures qui pourraient s’élargir, et briser le monde en mille morceaux. Et puis des éclats fulgurants et des réductions, les seconds lui donnant fermeté et solidité.
- C’est ton père qui m’en a fait don(…) Elle est à toi. (…)
- Rien ne saurait me ravir autant que cette table s’écrie Arthur.
Combien de convives peuvent prendre place ?
- Cent cinquante.
- Chacun de mes chevaliers, poursuit-il, voudrait me convaincre qu’il est
le plus valeureux de tous. Mais, lorsque je les ferai asseoir autour de
cette table ronde, nul n’occupera une place qui le fasse se sentir
inférieur aux autres.
- Voilà qui est fort avisé, Arthur ! Approuve Merlin.
- Non seulement je souhaite que les chevaliers qui prendront place atour
de cette table soient tous égaux, mais encore qu’ils forment une loyale
confrérie. Une ronde d’honneur. Un cercle sans faille de confiance
réciproque.Kevin Crossley-Holland, Arthur, à la croisée de chemins, Livre de poche jeunesse, 2001.
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Comprendre la description d’un objet mythique
Une description dans un récit
→ Dans les lignes 1 à 3, qui décrit la table ronde : le narrateur ou un personnage ?...............................
→ Comment le texte se présente-t-il dans les lignes 4 à 9 ?.....................................................................
→ Par quels personnages la table est-elle décrite dans ce passage ?.......................................................
→ Relève le verbe qui introduit la suite de la description et donnes-en un sens précis. ……………………… ...................................................................................................................................................................
→ A travers le regard de quel personnage le lecteur découvre-t-il la table ronde ?................................
La description de la table (L1 à 15)
→ De quel matériau la table est-elle faite ?..............................................................................................
→ En t’aidant du texte, explique ce que signifie ici l’expression (L8)« c’est une main de fer dans un gant de velours »……………………………………………………………………………………………………………………………. ...................................................................................................................................................................
→ L10 : Qu’est qu’un hémisphère dans ce contexte?..............................................................................
→ Relève dans le début du texte des expressions imagées synonymes de ce nom. …………………………… ..................................................................................................
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→ Avec ces expressions, la Table est présentée comme un objet sacré ?................................................
→ L12 à 15 : Les phrases sont-elles verbales ou nominales ?...................................................................
→Donne un exemple d’épithète et un exemple de complément du nom.......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
→ Relève une comparaison. …………………………………………………………………………………………………………… ...................................................................................................................................................................
La signification de la table ronde (L15 à 26)
→ Quelle est la première caractéristique de la Table ronde ?..................................................................
→ Est-ce une qualité ?...............................................................................................................................→ Explique avec tes propres mots quelle est la deuxième caractéristique de la Table ronde. …………… ......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
Faisons le point
→ Que symbolise (représente) la Table ronde ?.......................................................................................
L’univers de « l’heroic fantasy »
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Le seigneur des Anneaux
Frodon est un Hobbit, peuple de petites créatures pacifiques. A la mort de son oncle, il reçoit en héritage l’Anneau magique. Mais son ami Gandalf le met en garde contre les pouvoirs dangereux de cet anneau. Pour mettre son peuple à l’abri du danger, Frodon part avec quelques compagnons, son serviteur Sam ainsi que Pippin, Merry et Grand-Pas.
Par-dessus le bord de la petite combe, du côté opposé la route, ils sentirent plus qu’ils ne virent se lever une ombre, une ombre ou davantage. Ils écarquillèrent les yeux, et les ombres parurent grandir. Bientôt il n’y eut plus aucun doute : trois ou quatre hautes silhouettes noires se tenaient là sur la pente, les regardant d’en dessus. Elles étaient si noires qu’elles semblaient être des trous noirs dans l’ombre profonde. Derrière eux Frodon crut entendre un léger sifflement comme d’un souffle venimeux, et il ressentit un petit froid pénétrant. Puis les formes avancèrent lentement.
La terreur eut raison de Pippin et de Merry, et ils se jetèrent à plat sur le sol. Sam se serra au côté de Frodon. Celui-ci était à peine moins terrifié que ses compagnons ; il tremblait comme sous l’effet d’un froid glacial, mais sa terreur se trouva submergé par une soudaine tentation de mettre l’anneau. Ce désir s’empara de lui, et il ne put plus penser à rien d’autre. Il n’oubliait pas le Galgal, ni le message de Gandalf ; quelque chose semblait le contraindre à passer outre à tous les avertissements, et il brûlait d’y céder. Non pas dans l’espoir de s’échapper ou de faire quelque de bon ou de mauvais : il sentait simplement qu’il devait prendre l’anneau et le passer à son doigt. Il était incapable de parler. Il percevait que Sam le regardait, comme conscient d’un grand trouble chez son maître, mais il ne pouvait pas se tourner vers lui. Il ferma les yeux et lutta un moment ; mais la résistance devint insupportable, et il finit par sortir lentement la chaîne et glisser l’anneau à l’index de sa main gauche.
Aussitôt, bien que tout le reste demeurât comme avant, indistinct et sombre, les formes devinrent terriblement nettes. Il pouvait voir sous les enveloppements noirs. Il y avait cinq formes de haute stature : deux se tenaient au bord de la combe, les trois autres avançaient. Dans leurs figures blanches luisaient des yeux perçants et impitoyables ; sous leurs capes étaient de longues robes grises ; dans leurs mains décharnées, des épées d’acier. Leurs yeux tombèrent sur lui et percèrent, tandis qu’ils se ruaient sur lui. Aux abois, il tira sa propre épée, et elle lui parut émettre une lueur rouge et vacillante, comme un brandon. Deux des formes s’arrêtèrent. La troisième était plus grande que les autres : ses cheveux étaient longs et luisants, et son heaume était surmonté d’une couronne. D’une main, elle tenait une longue épée, de l’autre un poignard ; le poignard et la main qui le tenait rayonnaient tous deux d’une pâle lumière. La forme s’élança en avant, fonçant sur Frodon.
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John Ronald Reuel Tolkien, Le seigneur des Anneaux, 1. La communauté de l’Anneau, Pocket.396
Etudier la description d’un monde étrange
L’atmosphère dans le récit
→ Observe les temps des verbes. Quel est le temps employé dans :- Les passages narratifs ? Donne un exemple.
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- Les passages descriptifs ? Donne un exemple. ………………………………………………………………………… ......................................................................................................................................................
→ L9 à 14 : Quelle atmosphère se dégage du récit ?................................................................................ ......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
→ L16 à 18 Quel sentiment les personnages éprouvent-ils ?...................................................................
→ Indique deux manifestations physiques de leur sentiment. ……………………………………………………………. ......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................→ L28 à 37 : Qu’est ce qui domine : l’ombre ou la lumière ? Relève les mots du champ lexical correspondant. ……………………………………………………………………………………………………………………………………. ......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
→ L’atmosphère se veut-elle rassurante ou inquiétante ? Justifie ta réponse. ……………………………………. ......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
L’anneau magique
→ Frodon hésite-t-il à prendre l’anneau ? Réponds en t’appuyant sur les mots du texte.
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→ Que Frodon doit-il faire pour que l’anneau ait un pouvoir ?................................................................ ...................................................................................................................................................................
→ Quel est le pouvoir de l’anneau dans ce texte ?................................................................................... ...................................................................................................................................................................
Des créatures étranges
→ A quel monde ces créatures semblent-elles appartenir ?.....................................................................
→ L34 à 35 : Relis la phrase « la troisième (…) d’une couronne ».- Relève les adjectifs qualificatifs attributs (en vert). Rendent-ils la
troisième créature plus ou moins effrayante que les autres ?................................................................................................ ............................................................................................................................................................................................................................................................................................................
- « était surmonté » : à quelle voix ce verbe est-il conjugué ?.......................................................
- De quelle façon la description est-elle organisée dans la phrase : « de haut en bas » ou « de bas en haut » ?.............................................................................................................................
Dragons du XXIème siècle.
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Harry Potter et la coupe de feu
Quatre énormes dragons à l’air féroce se dressaient sur leurs pattes de derrière à l’intérieur d’un enclos fermé par d’épaisses planches de bois. Le cou tendu, ils rugissaient, mugissaient, soufflant par leur gueule ouverte, hérissée de crocs acérés, des torrents de feu qui jaillissaient vers le ciel noir à quinze mètres au-dessus du sol. L’un deux, d’une couleur bleu argenté, les cornes pointues, grognait et claquait des mâchoires en essayant de mordre les sorciers qui l’entouraient. Un autre, aux écailles vertes et lisses, se tortillait en tous sens, piétinant le sol de toute sa puissance. Un troisième, de couleur rouge la tête couronnée d’une curieuse franche d’épines dorées, crachait des nuages de feu en forme de champignon. Enfin, celui qui se trouvait le plus près d’eux était noir, gigantesque, et sa silhouette ressemblait à celle d’un dinosaure. (…)
Les applaudissements retentirent avec tant de force dans l’atmosphère glacée de l’hiver qu’ils semblèrent la briser comme du cristal. Krum avait fini. A tout moment, ce serait le tour d’Harry.Il se leva avec l’impression d’avoir des jambes en guimauve et attendit. Quelques instants plus tard, le coup de sifflet retentit et il sortit de la tente dans un crescendo de panique. Il passa devant le bosquet d’arbres, puis franchit une ouverture dans la palissade qui entourait l’enclos.
Tout ce qu’il voyait devant lui avait l’air de sortir d’un rêve aux couleurs aveuglantes. Des centaines et des centaines de visages regardaient dans les tribunes qui avaient été dressées par magie depuis la nuit où il était venu ici pour la première fois. Le Magyar à pointes lui faisait face, à l’autre bout de l’enclos. Le dragon ou plutôt la dragonne couvait ses œufs, les ailes à demi refermées, ses yeux jaunes, féroces, fixés sur lui. Tel un monstrueux lézard aux écailles noires, elle agitait se queue hérissée de pointes qui imprimaient dans le sol dur des marques longues et profondes. La foule s’époumonait dans un grand tumulte. Harry ignorait si ces cris lui étaient favorables ou hostiles, et peu lui importait. Le moment était venu de faire ce qu’il avait à faire… de concentrer pleinement, totalement, son esprit sur ce qui représentait sa seule chance …
Il leva sa baguette magique.-Accio ! Eclair de feu ! cria-t-il.Puis il attendit, espérant, priant, de toutes les fibres de son corps…Et si le sortilège échouait.-Si l’éclair de feu ne venait pas… Tout ce qu’il voyait autour de lui semblait déformé par une sorte de barrière transparente, scintillante comme une brume de chaleur, derrière laquelle des centaines de visages qui l’entouraient avaient l’air de flotter étrangement.
Joanne Kathleen Rowling, Harry Potter et la coupe de feu, Gallimard Jeunesse, 2001.
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Percevoir la description d’un animal légendaire.
La description des quatre dragons (L1à12)
→ Relève le champ lexical du corps. …………………………………………………………………………………………………… ................................................................................................................................................................... → A travers quel(s) sens (vue, ouïe, goût, toucher, odorat) chaque dragon est-il perçu ?....................... ................................................................................................................................................................... → A quel animal le dernier dragon est-il comparé ? Justifie cette comparaison en t’appuyant sur l’ensemble du paragraphe. …………………………………………………………………………………………………………………. .................................................................................................................................................................... Harry face à l’épreuve (L13 à 35)
→ Où et quand l’épreuve a-t-elle lieu ?.....................................................................................................→ L16 : Explique l’expression « avoir le jambes en guimauve ». …………………………………………………………. ...................................................................................................................................................................→ L16 : Quel sentiment Harry Potter éprouve-t-il ?..................................................................................→ L17 : Comment ce sentiment évolue-t-il ?............................................................................................ ...................................................................................................................................................................→ Par quel sens la présence de la foule est-elle perceptible pour Harry et le lecteur ?...........................→ Relève le champ lexical qui justifie ta réponse. ……………………………………………………………………………… ...................................................................................................................................................................
→ Cette perception contribue-t-elle à donner à Harry une sensation de réalité ou
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d’irréalité ?............. ...................................................................................................................................................................
→ L26 à 28 : Comment Harry réagit-il face à l’épreuve ?.......................................................................... ...................................................................................................................................................................
Le Magyar
→ Quelles sont les parties du corps du Magyar décrites dans les lignes 22 à 25 ?................................... ...................................................................................................................................................................
→ Explique pourquoi le Magyar est si effrayant. …………………………………………………………………………………. ...................................................................................................................................................................
→ Qu’il s’agisse de descriptions documentaires ou littéraires, les textes descriptifs se reconnaissent à l’emploi de mots ou de tournures grammaticales particulières. Tu viens de découvrir tout cela en analysant les textes ci-dessus, à présent, faisons le point et retenons l’essentiel !
Je retiens!Les mots de la description
1. Les verbes
Temps des verbes
→ Dans les textes documentaires ou les récits de voyage, les verbes de la description sont conjugués au …………………. ou à l……………………… de l’indicatif.
Exemple : Les Tartares portent sur leur corps une armure de cuir de buffle.
→ Dans un récit au passé, les verbes de la description sont conjugués à l’………………… de l’indicatif.
Exemple : Je regardais l’épée posée sur mes genoux (action). Sa poignée, incrustée d’or et de pierreries, s’adaptait à ma main (description).
Verbes d’état et verbes à la voix passive
→ Dans les descriptions, on trouve de nombreux verbes d’état : …………………………………………………………………………………………………………………………………….
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Exemple : Dans les romans de chevalerie, la forêt est le lieu des aventures, car, pour les gens du Moyen-âge, la forêt semble dangereuse.
→ On trouve aussi de nombreux verbes à la voix ………………………..
Exemple : La forêt est habitée par des créatures surnaturelles.
2. Les indicateurs de lieu
Pour situer les éléments de la description dans l’espace, on emploie :
→ des …………………………… ou locutions adverbiales.
Exemple : En haut, en bas, à droite, à gauche, etc.
→ des compléments circonstanciels de lieu.
Exemple : L’intérieur de la cabane est en grand désordre. Sur le sol, traine un panier rempli d’herbes. Dans le coin le plus sombre, une vieille femme se tient accroupie.
Ces indicateurs de lieu sont souvent situés en début de phrase ou de proposition.
3. Les expansions du nom
3.1. L’épithète
Observe et repère !
A côté d’Andréa avait pris la place un homme à la mine sévère, au maintient raide et pincé, tout a fait le genre de personnage qui paraît avoir avalé un manche à balai en guise de déjeuner. Ce triste sir tenait sur ses genoux une mallette de cuir aux coins recouverts de métal.
Patrice Favaro, Le secret de maître luthier, Livre de poche jeunesse.
→ Relève les adjectifs épithètes qui complètent les noms en gras. Quelle impression ces adjectifs donnent-ils de l’homme ?........................................................................
Définition
→ Une épithète est un ……………….. ou un participe passé employé comme adjectif.
→ Plusieurs adjectifs épithètes peuvent se rapporter à un même ………………..
Exemple : Il tient une épée solide, tranchante et acérée.
Place
→ Le plus souvent, on place l’épithète après le ………………….
Exemple : Ce château médiéval attire les touristes anglais.
→ Mais, pour les adjectifs courants et brefs, on peut les retrouver ……………………………………………….
Exemple : Voici un beau château avec une lourde porte.
→ Certains adjectifs qualificatifs changent de sens selon leur place.
Exemple : Un grand homme (de grande valeur) ‡ Un homme grand (de grande taille).
Remarque : Lorsqu’elle est séparée du nom par une virgule, on parle d’épithète …………………………..
3.2. Le complément du nom
Observe et repère !
La troupe de saltimbanques s’était installée devant la cathédrale.
→ Relève le complément du nom qui complète le nom en gras.
Définition
→ Un complément du nom est un mot ou groupe de mots qui complète
un …………………...
→ Le complément du nom est le plus souvent un nom ou un groupe
nominal.
→ Ce complément se trouve après le nom qu’il complète et il est en
général relié à ce nom par une …………………………. (à, de, par, en, pour,
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sans, etc.)
Exemples : Le donjon du château, un anneau aux étranges pouvoirs, une
table en cristal, une tour de guet.
Ne pas confondre !
→ Un complément du nom complète un nom mais pas un verbe !
Exemple : Le chevalier observe le donjon du château.
Le chevalier parle du château.
3.3. L’apposition
Observe et repère !
Un homme tirait un cheval, une pauvre bête.
Dans la forêt vivait un couple étrange : un enchanteur et une fée.
→ Relève les appositions qui complètent les noms en gras.
Définition
→ Une apposition est un mot ou un groupe de mot qui précise un nom.
→ Elle est séparée de ce nom par un …………………………. , le plus souvent une
virgule ou deux points.
→ L’apposition, comme l’épithète, qualifie un nom mais sa position, entre
virgules, la met en relief.
GN complément du nom
verbe CIV
‡
Exemple : Excalibur, l’épée du roi, est célèbre.
Nature grammaticale
L’apposition est en général :
→ un ………………………….. ;
Exemple : Le château fort, bâtisse importante, domine la vallée.
→ un ……………………………… ou un participe passé ;
Exemple : Le château, majestueux et bien construit, domine la vallée.
→ un ………………………….
Exemple : Le château fort a une fonction essentielle : protéger.
3.4. La proposition subordonnée relative
Observe et repère !
Lorsque Baldassa ouvrit les yeux, son étonnement fut immense : il était étendu sur un matelas douillet de feuilles sèches dans une pièce [ où crépitait joyeusement un grand feu ]. Tout autour de lui, se trouvaient de nombreuses personnes [ qui l’examinaient en souriant ].
→ Observe les propositions subordonnées entre crochets : par quel mot débutent-elles ? Quel nom chaque proposition complète-t-elle ?
Définition
→ Une proposition subordonnée relative est une expansion du nom comme l’épithète, le complément du nom ou l’apposition. C’est une proposition qui complète un nom, un groupe nominal ou un pronom, appelé ……………………………...
Exemple : Le chevalier voit un château qui est entouré de remparts.
→ La proposition subordonnée relative est un élément du groupe nominal.
Exemple : Le chevalier voit [ un château qui est entouré de remparts ].
antécédent proposition subordonnée relative
groupe nominal
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→ Un même antécédent peut-être complété par plusieurs propositions subordonnées relatives.
Exemple : Le château qui est entouré de remparts et dont le donjon domine la vallée est celui d’Arthur.
Construction
→ La proposition subordonnée relative est introduite par un …………………….. Elle comporte un verbe conjugué. Elle suit, le plus souvent, un …………………………...
Exemple : Le chevalier découvre un château qu’il ne connaissait pas.
→ Il arrive fréquemment que la proposition subordonnée relative coupe une autre proposition.
Exemple : Le chevalier [ qui part en quête ] découvre un château.
Petit aide mémoire pour éviter de tout confondre !
Natures Fonctions
- Adjectif qualificatif ;
- Participe passé.
→ épithète (liée) ;
→ épithète détachée.
- Nom ;
- Groupe nominal (prépositionnel).
→ apposition ;
→ complément du nom.
- Proposition subordonnée relative → complément du nom.
A présent que tu as revu toute la théorie, exerce-toi !
1. Ajoute une épithète à chaque nom en gras afin de rendre la scène plus impressionnante ou plus étrange. Fais attention aux accords.
La porte s’ouvrait dans le rempart, entre deux tours, presque en face de la cathédrale. Sur le pont de bois, un attelage avançait lentement, vers la place où des maçons consolidaient un mur.
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2. Dans chaque GN, remplace l’épithète par un complément du nom.
a) Une représentation théâtrale. ……………………………………………………………………………………
b) Une expédition spatiale. ……………………………………………………………………………………………...
c) Une relation amicale. ……………………………………………………………………………………………..……
d) Un spectacle féerique. …………………………………………………………………………………………………
e) Une construction médiévale. ………………………………………………………………………………………
3. Rends à chaque nom l’adjectif épithète qui convient.
Exquis – doux – harmonieux – grande – jeune – forte – lourde.
Sous le règne du calife Haroun-al-Rachid, il y avait à Bagdad un
__________________ porteur qui se nommait Hinbad. Un jour il faisait une
__________________ chaleur, il portait une charge très __________________
d’une extrémité de la ville à l’autre. Il arriva dans une rue où régnait un
__________________ zéphyr. Il posa sa charge à terre, et s’assit dessus près
d’une __________________ maison. Son odorat fut agréablement frappé d’un
parfum __________________ de bois d’aloès ; outre cela, il entendit en dedans
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un concert de divers instruments accompagnés du chant __________________
d’un grand nombre de rossignols.
4. Entoure les noms et souligne les expansions éventuelles.
a) Il arriva dans une rue dont le pavé était arrosé d’eau de rose.
b) Le porteur, qui avait entendu parler des richesses de Sindad, ne s’empêcher
de l’envier.
c) Derrière Sindad était une foule de domestiques.
d) Pour satisfaire sa curiosité, Hindad s’approcha de quelques domestiques qu’il
vit à la porte.
e) Le porteur ne put s’empêcher d’envier un homme dont la condition lui
paraissait aussi heureuse.
f) Vous n’avez peut-être entendu parler que de façon confuse de mes étranges
aventures et des dangers que j’ai courus au cours de mes voyages.
5. Expanse les noms au moyen d’épithètes de ton choix. Veille au sens des expressions !
a) __________________ félicitations à l’occasion de votre mariage !b) __________________ appétit.c) Je vous souhaite un __________________ séjour en Turquie.d) __________________ rétablissement.e) Ce __________________ paquebot entrera en service l’an __________________.
6. Expanse les noms soulignés au moyen des procédés précisés. Recopie la phrase ainsi obtenue.
a) J’espère avoir le plaisir (épithète) de te rencontrer.o ____________________________________________________
_________________.b) Comme cadeau (c. du nom), j’aimerais recevoir la PS3 (épithète).
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o _____________________________________________________________________.
c) Pour réaliser ce met (épithète), j’ai utilisé une pâte (c. du nom).o ____________________________________________________
_________________.d) Ces orchidées (épithète détachée) ornaient la table (c. du nom).
o _____________________________________________________________________.
7. Dans les phrases suivantes, repère les compléments du nom. Indique à quels noms ils se rapportent.
a) Dans le cimetière pour chien, on trouvait même des statues en marbre.
b) La conclusion de tout cela était qu’il nous avait fait perdre une heure de
notre temps.
c) Une course contre la montre s’était engagée pour retrouver les victimes de
l’éboulement.
d) La journée d’hier a été épuisante pour les coureurs du tour.
e) Les gens d’ici quittent le village de juillet à septembre pour éviter la chaleur
de l’été.
8. Ajoute des expansions aux noms, précise leur nature et fonction.
a) Le vent __________________ souffle sur la plaine __________________.o Nature : _________________________ Fonction :
_________________________.o Nature : _________________________ Fonction :
_________________________.
b) L’enfant __________________ découvrait ses cadeaux __________________.
o Nature : _________________________ Fonction : _________________________.
o Nature : _________________________ Fonction : _________________________.
c) L’écureuil __________________ monta dans le chêne __________________.
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o Nature : _________________________ Fonction : _________________________.
o Nature : _________________________ Fonction : _________________________.
d) La rue __________________ est bordée de platanes __________________.o Nature : _________________________ Fonction :
_________________________.o Nature : _________________________ Fonction :
_________________________.
e) Sa mère lui a offert une montre __________________.o Nature : _________________________ Fonction :
_________________________.
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