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" ■'.,^2«cc!r;a6r.:oiiiîiduii: Kiaa ; '■'; . i'^& ,S''/I feSÊk'w^ï m ; hi^ m .t»®* el-i -:. 3 a:-b ^uc4^Àii>| [ o) ’t.troc; .v^O -joiav-* ao:>;;as*îà^ iJÔ f î Î 5 i p i -5«T’U^ d« iMl^ëbriK§fil ai%âr duire l’iadig tel Ik rèyéfiiPiirâ à la c h a m du a, en effet, pas énergiqueaipoiar JiMeir ^ procé dés Ennteax iQisiâMiVhwajgar an cabinet-même deP m3 ilfVtNi-^e la Ûuerre^t sur rorâé#âë,^'3â^ier. Les ttoeoments^’^ 'bit'SS lus du haut de la tr^ipiâ.'^c^a^nt ceque'notre iml^p|<uicu jouvait concevWj et- ,nè laissent aîBCun doute sur le^rôle deila frsnc^ma- çonnerie dans l’a^niaée.. ^ - - La eommissiaBi -deMslasseinent établissait sa liste après ub exa men approlEàndi portant-Jiuir la valeunie i’ofBciei^ ses aj^tudes militailps, ses états die sery^ices et l’étendde de ses. connaissances, tout delà ne iigniJUiU qbeolttment rien ; le yéritad>ie dassemeErt- étsit effectué par-le Grand-Orient 1 Du calnnet du générât André, te capi taine Moilia s’adressait directe ment à lame Cadet où se centrali saient les rensei^ements conû- r.ouhisia'' laMi.^lïs^ W.1Ï I porte aaplestnftfctën^taaerNvi ;:L« napibüi^ S'itenné sa démission, le commandïifft'''1%s^' garnisons, ne dédaignaient pas, pomr les be soins d’iine triste cause, de se faire des déiateurs, des policiers. Les lettres du ca{|itainsldbiiin i|êmàn- dant des renseigaaneàtsipai^cu- liers au F.\-JUoucluunl deiai rue Cadet, qui forment utt joli tfoSsier, ne nous apprennent èncoré pas l’entière vérité. Le général André, à la vue du- scandale qui allait éclater, craignant la perquisition qu’on aurait pu effectuer dans ses bureaux, a fait préüpitaniment délrairê les fiches et la correspon dance compromettantes qui com plétaient ce dossier. On sait que la combustion de ces papiers a occa sionné un feu de cheminée au ministère. Un sous-ordre du géné rai, s’adressant aux pompiers, a eu un mot de circonstance : « Pré servez le bâtiment, s’estril écrié, mais ne sauvez pas les paperasses, qui sont sans valeur! » Cette façon de donner le change est magnifique I Si on avait pu, au contraire, arracher aux fiammes ces papiers, leur lecture devenait certainement attrayante, et rien ne dit que, le dossier complet étant communiqué à la Chambre, le mi nistère aurait retrouvé ses quatre voix de majorité pour se main tenir au pouvoir Quoi qu’il en soit, on est plus que sumsamment édifié sur le mode d’avancement dans l’armée. Pour donner un galon de plus à un officier, on ne s’occupe ni des notes que lui affecte la commission de bassement, ni du mérite person nel, mais simplement de sa vie privée. Fréquente-t-il l’église on la )ge t Ses enfants vm i^ils au caté- iur ilsaeiaealsntf Afidr^,'4é vôtitédilè â ï^ ; i ’ëîm iée dostop , itKMtnqirÀjdie^itMls'domm^^ ,ïai? O w Îq ^ imWrdâé&iH CMse: de ce». genedfti iet'x^ leurs cotn^éest W, qüând jeuefiaedhé éeîte. d^iùïfon fi:éîé; süFle‘ 'Jttïnt d é T ^ ^ ^ e r vendredi derAfi^r,: jlai l’espoir qu’eile^lesera dans an avenir proGnain.Césertit-nrisOù* rsg^ëfit pourTamée et pour lé pays. L od? BKRTROZ, üîi Càiàsier feiiiç--ma5WL Ûnrrasnear. mmUdpt^ de JÀiwt, M sSiur Soaian, vient îPttr&'éOKfrèini rie donner ta dfm iteioh, 'iineinsfiéeiiqnaji«<it. éMmeéri d ^ «a.'ewSM* i « ^miçUnedendMftmetl - Trop heureiat deden tirer à tauel' bon. compte. V ais Bouddn était oénérabtè de ta ùoge dit c EnfahU c^Hirtap », Vdii^aumilOge de FrédMe Sim bert,et déettmit.pti^mt». recommandation aujourd’hui. . Lee FF.-, ne te mangent pat entre eux, etême si l'on d’eux a mangé la grenoiûilel. L’Aplomb du Général Audré. Le ministre de la Guerre prend- il les députés pour des naïfs? C’est â croire, quand il a déclaré qu’il blâmait énergiquement les agis sements de ses subordonnés ; or, les let^es suivantes, prises ati hasard dans le dossier, établissent par A plus B qtf il était pàiffaite- ment au courant de tout, d’autant plus que ce qui était fait Pétait souvent par son ordre. Qu’on en jugé parles lettres suivântès : MDttSTÈaE DE LAGÜ8HM lUpiMigut Fronçait» CABIEET.DU SUSIETEB — • - ' 2 1 juin 1901 yi»a du Grand-Orient de Franc», lettre enregistrée le 21 -imn 1901. JV‘ .^S7 T.*. C .\ F.*. Tadeeard, Le 'iféDiral me ebarm de l’honneur de -von* prier, de youloir Bien nons procéder' des ren^eiintements sur le colonel' Vleilir lard, comman(hint'le4*réginieat do eMie, à GrenoHe. C’est pour nn poste très im portant, directeur dv génie, à -Paris. Il onporte de ne-pas ^mettre Un dé ces ter ribles répnhUcahts élevés par les hons Pères jéniltes ni un de leurs semblahles. Nous vons serions donc très reconofâs- sants de noos nrocnrer ces rensrigne- ments le plus tét que vous pourrez. Et inaintenant, si vous poUvesrsppeler è l’ordre le Vén.*. de Châlons-sur-Marne, ne nmnquez pas de le ftûre. Il nous a j-'ué un tour- pendahlo qui sera peut-être exploité par nos adversaires. lâ , au ca- hinet, il y à quelque émotion. Je vous raconterai cela à là première occasion. BieBftat.vvotre Mmaw p .-, î» « 6 «KsinsiqiWq iGqoe'ft - - -■* •• ; :Iirt:*h8f!'P.vSWWc<*d, ■ - -» - - . i-lB«I0tiffcSU{5ïiji'WheT'ons tâswena aûcÀn r n°e'?n< ment En nons en nant,- sqBSi^qqnè OédBgea p tè ^ r - r dans i|«r «0» InIFdO ik dSjcMsMétÔ TêmS^S^iai stlB«r«nir(Mda Odm ptoqrt^» a«enlage**ralé5itllpîlW« 'àpee nsessièiiBs ,_t*raes<ifl^ _______ , ^<f îâièngé-. SiHidr%i6déW-Mre ^5(?rfei^;t8ttt mo’ns s e ^ n t dé l'etré'.- Gédee’-d at^ teànet dieposiiiontpfiiifm qjsrendrt pro ehainem eni^’Xé^itimttre en ce qui c cerne l’état mejor, cette-'.u ilS-'-Swr-'‘ peut éhe éoeomplIe.'.'Tour nos^'sdj SérWiw^CJSSuV»!^ , fte pouié^Us’iir ftire que d’unentyiu iujwqââlé. MoliUN.'V, üi> , ’U-r Enfin, términohs pàT^eelfe^ Bonmoio9^sugg^tive4^ - ; ' SLÜPDBLIQin rSASÇiÏBÉ 'Ptiâ^'Âi'i Mimstère de 1* Oonre. Cabinet .eijil dii USëistn.' (hend-OneSt.de Fiaaeck. -i I rflÜT. 1908, N* 2883, xrrc.^ FA Vadéïart, V “ , 'CéM des, gnwd» seigiMuws de j ___________________ _ gé- (gtvéïnnX de corps d^sriBée, géééranx-ke - ■irrisio*',- géniaux de bri»de). '’-œ Î#P- Héènx-lè>»" •seront nsspSibHés en Jpàrnal officiel ! ‘ée sont des dopum’entt tte n tt Cpte ïcnanittrecpnteFBedan».»dn.t^àir-. , ,c.„ Noos av-ns, d<5jè. .dès reinse gooTneo'a su rh pl'’p ‘rl de* gétéran* et oofpn*M propos s p ur PevMirem -nt. C<’pendâ"ti I: y-.^naeHO)re nn-aSeoz uranJ i-omb'ff *uj lesquels nous ne sommes pas BX‘*> , « c^ëà po-r nous éclairer qu’une fois', plus noiis avons, recours à votre ——*■ ob^géance. . i-i /.En conséquenee, voolez-vona <diteous d«»rea8elgneiBnnta très-'SO^, -très ■ pietr.-eur »S offi ders cl-après- : (SUfi' t Usfe de nomt de généraux). -MoLLm;* Les Elections .a i’ .vWjf ÉLECTION LÉ^SLÂTEVE ApRondlSséniSitit de ehétlIloiiASap-SelUë, -‘(Oéte-d'Or) Inscrits ; ajt&6. -^'irotànts, : 9.Ç58 MM, TenBng, râfl. soc *.® i MontenOi'râp.'anfiininist.. SJKÊ Monin, rad .tnd.;:!........... 1.307. (Ballbttàge.) , ' Il s’a^^ssalt de remelaCM Peut, Cal, décédé, qui avait e|é élu aux éli générales de 190S, après nn.-SCiOi Sallottase, par S,8zO. vhix contre i H.bagain,'^répnhl!csih libéral. BLBCmNrlifiNKaPMX K Péris thnbilèine -urréÙdISséMent •î> Quartier SaintnFargaan .. (SèrnUn ïdeheUotUilge) Inscrits: 3,lOfr— -Votants : * 130. MH. Ma'rchbnd, soc'.rév ...... LllO ELIT Gastillon de SainC-Vtetor,' r^.aliste - ............................... 937 votx les suffrages Harcband,91 fc'aisgliiid e-iCüf èhw v.i rytonbOb -OT! èiaanta«r 11 stelîi»! lôèi i'ra , •JiiOJ 1(9 ÜOil Zi4 'i U0 .1A .JÛATeb , S .sùî^ebtt Ü.ifiobDa s .*»■ 5®r* *io»; r- .’' r ,;ujf - ■ "t ' .x"- -*'^'4 .- 'V sr^’rN*: qq -rA. —r ni i i l i l u l u ' t -n »ec(r«7. m iMéDgeatéiiinMdu» Liie te f iwimiâéinn. V rEtat les.blMlB Vro- y . f rir-r.-. t:,U- ' .,.i-;9-.-eèâ _______ ^ toeoeàmandehèiSasBaeir, wuiwsaisuwuèisiiiiBBriiÿaj^ ^ qnr » été «gnal*l*tt*4W!Wèiâ»tr’’'-“ ‘'-’ fléÇhsinhfei lin, sera prp- e lalxàatënn du quèfe-buverte pse le ssiiMMrB de la guerre mmi 'JUsMtaHteidtoHiB, m isi^lé mtem caéée*ilfctraaHi».da.-^ehanAw dt*^ piit^par M. GUyot de Villenea«&a«di38te sëveuiâs Midéarissiou^'aasuUiiiitre de:» itosision. est" moUiréê pw. le. ▼<>{•- de' tordrSf'du -Jour i déposé, vendra* à « Chwh», WdfcdhMjsu’Ot parilwuel i« roaioHté, ftvoraMé; tu gouye^m ent,:* Mémé t’W'ipiooédés iiMdmi8sibles.riRna- lés il bviribunoiri:-.-: . , i- i i ’ii :>'<)iîS'dréiion«sav*r que ledçnHstmM la guerre a accepté cette démission. MUf lüît aUüTici • nenmitalss^ Oiio-pension aux pré* ts'VétiVi '-'a s o ’r-'A'iii y '-'' s-rc-,* Le prèaidMt’ildBfGotteiè'mâé entendu SgiflWa«rarS^a5p®o«-6£i!e»eaflb'» les iiifeutious du goovernemené è-:çi»sti*. jet. C-S-'U.'iv' é-j/, ‘i'r-jiii-iUc-i '• VoiéP"' .... . i. ei la commission : --.ïiaU.i ai' 3<-i'(ÏÜTiaaniïill*À‘ . . . , . Enté» qébimiieeiiBa les-peittiw itew kiiaœüccepté suc .ce polUf -î^lK eë roiSsl^'itâBHt d * ;j^ % Ù S v>9g|?es..JB6 pouvant dépasser 1,»0 tntuos au proOJ dcctésiasUqnés" igés -*i-'pius de quïranter cinq ans ............. .. -• «_ nng|*-fiŸgg-||| lYTigiEiiHnqija _ œ l© de quarante ans, et en disUngqael-onM ^ Pou7S*dMiMwSj lesv«siowifflrént de OOOfraacépenroeia'âgM-de-plus de 40 ans, de380.flrancs pour ans, et dë"' 60 ans. . . . . - Eu ce qui concerne les vicanreï, lespwif slons viagères' seront ’raspecBvërSent "de sso, 300 et 380 francSBOurTes mêmes ca tégories de 40,80,ot«u.‘aBs. . : ' lo u tre ,:le projebComïiesBwvoit .uoft An. vnA 4 ,||4(éipara*i0ii lue uueiir- _________ Inistresdff culte durant les qraifrè ànnéësqwiisirti vront immédtateuieiW WsépoftiibUi un» de laisseriunz assoriations .cultuelles'te tewips de se, former et d ^ te u irp s r lA concours des adhérents les ressourcée :Ué uéssaires à î’êse|^oe,dncùIte. .io^bieimeii Otera* , ' Ea ce quL concerne lesédidces ducnttéi le projet du. gouvernemiintjpréseiite .d~- üi 'éiences assez considîtoblee avec .-cel de la commlsriou, , , ciïsJgïsM mssiî'rœ Uon par la HévOlntiburlO'PBOîet de rà'ëom-ï -mission affirmait la propriété de l’Etat, du rté^nctement onide le ooi Iss’C'is» i.e projet du gouvernement ne çgQtienl aucune prescription'4.cet,,éfwru, considé: raiu |iie le droit du propriétaire,est soifl-, saiument établi. Il léa m et4 'la’disppsiuOtt' période b^si^iro,. en , ave d’aMupatj |p service du c ito à la .(mite:de,|a;Sépara*^■■• de l’Eglise e f ^ e l’E b t fi :a,tt!rtçne nuq .. demnfté de iOO traucs; bux^-ministres dit les cas, ' aidt aux départementsj .soit aux atBüi*.sèit(aBBiaBèariefioiia!,i--'' ' fV i eupMpriéèfettlmépaiait KnancimiBWi M in cesttteue nHmmdaunanceUiBmi Mi«ra» rataxteèéânibesOt'BSioki;.» jjî é s-..-;-!,,- - irôjet:, de ia,,cdinmlssii^^iiiolit .Jdn’d’associanonâ pqur^çnPé! oo.i inidàbt‘'4 û t‘ -iinotra* eFuIwwë, btrtif. t des associa- qiM ^fW ii ntorise ' CÊÊm gps e^muanom t^p^raq.Sf^rim rairaFv— .... -lie »awi, 8t obtoW». '-^U trùtariiMteStâ Dftrtant de Paris-Mon^rnasçe h nnH ^«tedri■aUlpt/mflré^^s»«poi^^ iVé-votey a im :b|ié*é*rt>(teM ie-c*B™rattois«l*de8.‘i ^ * ^ .p»»*'* âù««>‘We-^'VMi#e-ifol|P>#c^wud nmyaj, d’upo scip. I.es^.S8«i '«e^dép^bee , été ■■fteoMréÉ igt'iftlfeii'Déftrâ^reus éi ifraeWéUtiP|ô»ft! pos3;b»ê’'W i v - f t fittoBteinti’'aeTOéWséf3o aioiitaht''ètt‘TOl.' " ' ■ j . ' ' - ' X .À «saæâ!ss.&ï?s« rie; EUesoutiieusur J’éspace,-iw«eint«u| separe.les deux aHnées^b^ vorabte tantôt ; 4 , u n . p a r f i ^ i ^ T É M ^ n’a înflué ên nen sur les posipwâ géné rales dos belligérants, gui ;Testent les avWf -ntto- plus 'deux- mais trots, en ilaBdâionrle; L*c™.=.«. «nlévltchv qtrt « dûiartvee l^ot& d’Inü d é ‘ V.lifli*ùiloki'jà J ^ b d e n i la prwiièret-mais lft tr*rietné ur ’arrondisseiuë Kaulbars, Chef d Trit le i»minMfde- talre d’Odetsa, générât «rMMir. Sa-ra-^^me ment détla 'p^miprâijLe bèrg rèstè 'com ihtra^t hrméO. • "i- ' ' Cette tridrième u m ée * le-détUebéiiieM a ^et^-. les ordres de Linléyita,' et ' W fiM p è t ratflXpéae. ifrnie»est ^ iboaiste irapBpOièrNmX’ttA B raiées ^ géirina’Sdçlam ffliènttj^^ ^ ’état-majof 3Ü: g ^ e t^ : Sotooôaggj, cditihié le géiiéwt «çAuna SssteæsiSasiaï;»^ ■ism rtidâlitr'm t' IttiliPftM ilfl eeptien auiomunim aiaesH irilittâttr M’aeppo it|igBtasM|g-d«nfMes *bra»rai8Éf*BiraA»eéqÆ» ilsA a -lreuié è la h (Ts'rauaofc.EM *ao* pnirqn’il les a reçnénd 4 dmimiutpidi .m place. ycit,r> 9 -.K-ic estVn émf mm? l 'sente a • >e rnén Uùrs mérites, 'cevx que von* ' ■(ésigoéej lea répu^ wiina deivtnt être avantagér et tes c éricaux déiavaulagé&o Cette l pct.w ^}|ftjdfi^^ leeia'iqnr sur «B grawa n<m»r<v ae ViemL -a dévotio-*, !e g ÿ ^ t Ç!-st*x, ce'ni-«l de VOeneuyaJivdeè ' âolbnau^. lesquelles il lui lUit reaim m ^K M aM l ?“ Bép\-’S iq n ” ”à ’a NR'cùnU i3i»Bé!oit' âsjptijatt parait que le gébéral i $nttSBmicajdialB*:bMlilieèil<4 „ çoHUlBaliaia ^ « -é e u F -A ! | p d a M blean vOiH^Bdb de*. Legénéral lût 't jet it^ M ttdlx; Ca^llon fionaws nu GOOHmR M VdilSB (46) L ’I B IO T Ii: •»A*- . ■ E M Itr RICHfeBÔURQ DSUXSbMB BA&TIB- X ’B lfïrE M I — J’étais as^'.élpigéé de TOUS,' con tinuai Adrienj ïbàlgré cela, je ■vous ai tout de suite reconnue... je sentais que c’était vous, àùx. blstteniente de mon cœur. Cependant .jè pouvais croire que mes yeux se trompaiént"ot il me restait an doute. <3» ddtiteijé'l’aVifaiiwcore-ce: soir, même après vons avoir entendu îhanter < Le Jour et la Ebse, » ceftè romance que je oànu'sÎA' MUfS-depuis un bstant,^îe âe^donte-iplïts,, bon, je ne doute plus !... Vous- -êtes Aurore ; oui, vous êtes AuroreJ<'oit£ant que j’ai aimée à la Corddüue! -Aurore, dont l’image, et le cher souvenir sôiA rest* enfermés dans mon omurlAurore, qui n a jamais été éloignécsde-Àa ‘ pdnii^ ! 'Aurore qae dcpTiiK seize m^ÿ'f^woberciiée-partonti Aurore que ]e croÿ’ jaâ#'î>fir:''Qe pour moi et qnn : que j’8ime.-#jBioÛsi! ' ' . " - r D 8Bisjÿ» g,» s,S^wlg.éftlê,t^^i-W»® que celle-ci iffitaTOemeut, . --JevomaSnM me Yom v ou^^ reconnaître, vous ne voulez point me dircM. . — Je vous le répète, monsieur, je ne vous connais pas. -r-Aurore, je lis dans vos yeux; ils démentent vos paroles... Ab ! ils ne savent pas tromper, eux. — Vous me faites souffrir, monsieur : je vous en prie, laissez-moi, dit la jeune fille d’une voix oppressée. Los cruels efforts qU’elle faisait pour jte point se trahir, et plus. eneore Jes paroles brûlantes du marquis l’avaient Wioée. ëes jambes fléchissaieni ; elle siappuyS'contre im meuble. Ah! vous êtes émue, vous nebavez pas mentir! s’écria le jeune homme. Elle lui jeta un regard suppliant, presque effrayé, — Mon Dieu!... mon Diéul... mur- mura-t-(ellc, • _ il ne comprit point qu’elle sou&aii horriblement. — Si votu saviez comme j’étais màl- lieureux de vous avoir perdue, repritfii; je vous si' pleurée, Aurore, car je n’es pérais plus vous retrouver! Et mainte. nant que je vous revois, vons me traitez comme un incOnnu, vous' restez insOn- sibTe 4 in'es paroles, qui sont, l’expceà- sioh des sentiments de . mmi ooeurL. Pour vous, le passé-est oublié; ce'^que nous avons dit 4 UC<»rd^èté'h'%it pnj| ' licst^dans Votre iffémohe;.toUt cel.à^è^. enyolé-coume. BU rêve! ’Vpyipis, qué.. , , yoas'iiii^fÉHtî Q*el-fliimo>ifclé30tasmis£. > potBoq«o;!!rt» iwufe'Vé^ a»g«i»*êAiA — Je cbm^ends, aUéz, je.cqmprmids, -1 eontinna Adrien d un ton doùhoare^ .j vôtre-père|n!a pu me pardonner; fi-am déteste, il m’a pris en. naine, et il » fait - passer sa haine en vons. — Mon pèreue hait personne,-répli* qua vivement la jeune fiHe. — Ahi vous venez de vous trahir! s’écria le marquis. Vous étés Aurbré! vons êtes Aurore !' LU jennbfiUeConmijt queléà ^ o l é f qui vensie^ fié lui M âppw .p.qnyat(*t, éolairèr lè marquis. l^m ^itieB détcnim < j l’effet immédiùtemrniti-èllis répoaiditL; : _ J é Hâs Mile-Delprmsy, monsieBr;. je miétonne. çpwjvoos-iV<i«i-> èblstiiiieBf^( ainsi à me prendre pour une uutimi.4’là- cherché à vous faire sortèF d’Une' eriéur caUééepsriune üMserabhàiM qui' ekistev' ^ je Veux bien le eriffre'j'je'regrette i^e ‘ n’avoir, pas. mieiçZ. réussi. . ; 'E n . aéhètunt Ces 'mots, Un’elle ^ nou^' d’Unê voix émué, 'êlfè^ s’éloigu ^ rapidement, laissant le marqujs interofi; frappé an coeur .par «es derni*es pa*. rôles. Les dénégstiinia de la yenne ffUe h- troubiaient ,a« derôier point» et sérieuse' ' ment il se déuumdaitvs^ avait’bden toute sa raison. - -c’éfUit ’A n r b ^ ' p o u ^ o i feignèiljj ' .............. “ ■^is’S-Mi'! elle de ne'ùas'ié.^eçqù^ f ,Éi s'fl *e . _ trbtnjliit «èffémeiil,'''d'Où' venj^^irot^i 'émotion que la.jeune fille n’avait pu li^ cariier? ^ — Tout cela je. replong^t : face àfiaoe avee MmedeMon^efrey qpii, ; cachée derrière -une tapisserie, avait' I tout -vuet tout-èittiendn: Sans rieU dire,' : elle prit le brUs de la ’jenne ^ o et lè^ j passa sous lê sien: ' ' j Mme Delotint^ qM' n’a-vait pas cessé i de causer avec' l'a générelê,^'venait. sra-V llementde s’apercevoir dé la dispSriâbn ' d’Aurore, EUe slkit . se lever pout se mettre iro,recherche,lorsqu’elle -lavit, revemr .vers elle, donnant le hras A b misrqnise. . — Ma mèrÀ Ini .dit Aurore,'je me- ’-Ë’adTOsÂttt À' ifme de ‘'MonÿH^ÿ^v edie ajonâ::’ ' — .ih^lMÙeia marquke voudra {U !^ exoùirair et i w r a p w ^ iradr».;'; ,J.;;5,. Qty, lira mignonne, je vous le,per-: métSi.dibkjUiHlt^: { lime DelOTme s’était levée inim é-^ jtement.'' ■ > - La ratrqtâser-dés'- ac'eompagns dans i l’UntichsibMè; d^rassUnt mm fiiia i oiiiiBore ' ' -.-;îK-, charmank; V ^. r:.-v -ytîsminé Mura|><écrmcl-ut-iâsil»raisot-: talent, le marquis fit irruption danedénuso tidhamlmsicMrieidc^tohi*®” * ^ tmpSSSUgeK” ' : . v -('!(■ '-O feam w vèti ëèsâeHul-'Hfit-'iÉf * jiSiiO-ci- sTto Mais je... balbutia-<(dli'“ “ï - OS! ... . .. danslesâlon. ! - ^ ' Adrien étonffU’Uu soupir et ÿéitécnta d’assez'bon.he:riAoé. /.'..i ' Bs allèrent Rasseoir-duns-jun com dB selon.. ■ , : - ' Arouez-lë, montnenr; lui dfi: ';lU mmrquifc, voue yiwdièz, apotmipi^er Mmeet Mlle Debrine jtwcpt’ki leur-vei; tare. - j3e que je yonlsûb j é ^ e , lé : ^ nazi/-'. . ; ' - .Monamm k marquis, je VOUS trcttve nn'air-fbrt‘''âréïs:.-' :^. lihldeiL'iiraduné;.k âma que je deyièas'^i. , ir«-^l:ohil â - ^ m a n t tUècÜMCt, maâ Cela -n’bstJ^UliùiUiUnt^^téiL?^^^^ ■.':i0^.-#e;Tfius*''«^^^^ ]^domô£-:' Eniiib: qn'BTezvonP — >FuimV-ideéémé I * n u fuimel , - Ù B a h l . ’V —i.Guii jeJ’aime, jeTadoro! '( ( Iffie Delgriné? ’^iCM’ -Alièt^ mea, * * TMtf fiMWffnr 4 '2M l HÜSOBéOtt^ , Ü-. ok — Elle se nomme AurcWi pii? moi qui lui m deSSRF unssi le mien; je stiilrSI Aoeiét ■ici nos M. terîm a sz.

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duire l’iadig tel Ik

r è y é f i i P i i r â à la c h a m d u a, en effet, pas énergiqueaipoiar JiMeir procé­dés Ennteax iQisiâMiVhwajgar an cabinet-m êm e deP m3 ilfVtNi-^e la Û uerre^ t su r ro râ é # â ë ,^ '3 â ^ ie r .

Les ttoeoments^’ 'b it'SS lus du haut de la tr^ ip iâ .'^ c^a^n t ceque'notre iml^p|<uicu jouvait concevWj et- ,nè laissent aîBCun doute sur le^rôle deila frsnc^ma- çonnerie dans l’a^niaée.. ^ - -

La eommissiaBi -deMslasseinent établissait sa liste après ub exa­men approlEàndi portant-Jiuir la valeunie i’ofBciei ses aj^tudes militailps, ses états die sery ices et l’étendde de ses. connaissances, tout delà ne iigniJUiU qbeolttment rien ; le yéritad>ie dassemeErt- étsit effectué par-le Grand-Orient 1 Du calnnet du générât André, te capi­taine Moilia s’adressait directe­ment à lame Cadet où se centrali­saient les rensei^ements conû-

r.ouhisia'' laMi.^lïs^ W.1Ï I

p o r tea a p le s tn f tfc të n ^ ta a e rN v i

;:L « n a p i b ü i ^ S 'i t e n n é s ad é m is s io n , le co m m an d ïifft'''1 % s^ '

g a rn is o n s , n e d é d a ig n a ie n t p a s , pom r l e s b e ­so in s d ’i in e t r i s t e c a u s e , d e s e fa ire d e s d é ia te u r s , d e s p o lic ie r s . L e s le t t re s d u c a { |i ta in s ld b i i in i |ê m à n - d a n t d e s r e n s e i g a a n e à t s i p a i ^ c u - lie r s a u F .\- JU o u c lu u n l d e i a i r u e C ad et, q u i f o rm e n t u t t j o l i tfo S sie r , n e n o u s a p p r e n n e n t è n c o r é p a s l’e n tiè re v é r ité . L e g é n é ra l A n d ré , à la v u e d u - s c a n d a le q u i a l la i t é c la te r , c r a ig n a n t l a p e rq u is it io n q u ’o n a u r a i t p u e f fe c tu e r d a n s s e s b u re a u x , a fa it p r é ü p i t a n im e n t d é lr a ir ê le s f ic h e s e t l a c o r r e s p o n ­d a n c e c o m p ro m e tta n te s q u i c o m ­p lé ta ie n t c e d o s s ie r . O n s a i t q u e la c o m b u s tio n d e c e s p a p ie r s a o c ca ­s io n n é u n fe u d e c h e m in é e a u m in is tè r e . U n s o u s - o r d r e d u g é n é ­ra i, s ’a d r e s s a n t a u x p o m p ie r s , a e u u n m o t d e c ir c o n s ta n c e : « P r é ­se rv ez le b â t im e n t , s ’e s t r i l é c r ié , m a is n e s a u v e z p a s le s p a p e r a s s e s , q u i s o n t s a n s v a le u r ! »

C ette fa ço n d e d o n n e r le c h a n g e e s t m a g n if iq u e I S i o n a v a i t p u , a u c o n tra ire , a r r a c h e r a u x f ia m m e s c e s p a p ie r s , l e u r le c tu re d e v e n a it c e r ta in e m e n t a t t r a y a n te , e t r ie n n e d i t q u e , le d o s s ie r c o m p le t é ta n t c o m m u n iq u é à l a C h a m b re , le m i­n is tè r e a u r a i t r e tro u v é s e s q u a tre v o ix d e m a jo r i té p o u r s e m a in ­te n i r a u p o u v o ir

Q uo i q u ’il e n s o i t , o n e s t p lu s q u e s u m s a m m e n t é d if ié s u r le m o d e d ’a v a n c e m e n t d a n s l ’a rm é e . P o u r d o n n e r u n g a lo n d e p lu s à u n o ffic ie r, o n n e s ’o c c u p e n i d e s n o te s q u e lu i a ffe c te l a c o m m is s io n d e b a s s e m e n t , n i d u m é r i te p e r s o n ­n e l, m a is s im p le m e n t d e s a v ie privée.

F r é q u e n t e - t - i l l’é g l is e o n la )g e t S e s e n f a n ts v m i^ i l s a u c a t é -

iu ri l s a e ia e a l s n t f

Afidr^,'4é vôtitédilèâ i ü ï ^ ; i ’ë îm iée dostop ,

i tK M tn q ir À jd ie ^ i tM ls 'd o m m ^ ^

,ïai? O w Îq ^ im W rd â é & iH CMse: de ce». genedfti iet'x^ leurs cotn^éest W, qüând jeuefiaedhé éeîte. d^iùïfon fi:éîé; süFle‘'Jttïnt d é T ^ ^ ^ e r v e n d r e d i derAfi^r,: jlai l’espoir qu’eile^lesera dans an avenir proGnain.Césertit-nrisOù* rsg^ëfit pourTamée et pour lé pays.

Lod? BKRTROZ,

ü î i C à ià s i e r fe ii iç - -m a 5 W L

Ûnrrasnear. mmUdpt^ de JÀ iw t, M sSiur Soaian, vient îPttr&'éOKfrèin i rie donner ta dfmiteioh, 'iineinsfiéeiiqnaji«<it. éM meéri d ^ «a.'ewSM* i « ^m içU nedendM ftm etl - Trop heureiat deden tirer à tauel' bon.

compte.V ais Bouddn était oénérabtè de ta ùoge

d it c EnfahU c^Hirtap », Vdii^aumilOge de FrédMe S im bert,et déettm it.pti^m t». recommandation aujourd’hui. .

Lee FF.-, ne te mangent pa t entre eux, etême si l'on d’eux a mangé la grenoiûilel.

L’Aplomb duG énéral A udré.

L e m in i s t r e d e la G u e rre p r e n d - i l le s d é p u té s p o u r d e s n a ïf s ? C’e s t â c r o ir e , q u a n d i l a d é c la ré q u ’il b l â m a i t é n e r g iq u e m e n t le s a g is ­s e m e n ts d e s e s s u b o r d o n n é s ; o r , le s l e t ^ e s s u iv a n te s , p r i s e s ati h a s a r d d a n s le d o s s ie r , é ta b l is s e n t p a r A p lu s B q t f il é ta i t pà iffa ite - m e n t a u c o u r a n t d e t o u t , d ’a u ta n t p lu s q u e c e q u i é ta i t f a i t P é ta it s o u v e n t p a r s o n o r d r e . Q u ’o n e n ju g é p a r l e s le t t r e s s u iv â n tè s :MDttSTÈaE DE LA GÜ8HM

— lUpiMigut Fronçait»■ CABIEET.DU SUSIETEB — • -

— ' 2 1 juin 1901yi»a du Grand-Orient de Franc»,lettre enregistrée le 21 -imn 1901.

JV‘ .^S7 T.*. C .\ F.*. Tadeeard,

Le 'iféDiral me ebarm de l’honneur de -von* prier, de youloir Bien nons procéder' des ren^eiintements sur le colonel' Vleilir lard, comman(hint'le4*réginieat do eMie, à GrenoHe. C’est pour nn poste très im portant, directeur dv génie, à -Paris. Il onporte de ne-pas ^mettre Un dé ces ter ribles répnhUcahts élevés par les hons Pères jéniltes ni un de leurs semblahles.

Nous vons serions donc très reconofâs- sants de noos nrocnrer ces rensrigne- ments le plus té t que vous pourrez.

Et inaintenant, si vous poUvesrsppeler è l’ordre le Vén.*. de Châlons-sur-Marne, ne nmnquez pas de le ftûre. Il nous a j-'ué un tour- pendahlo qui sera peut-être exploité par nos adversaires. lâ , au ca- hinet, il y à quelque émotion. Je vous raconterai cela à là première occasion.

BieBftat.vvotreMmaw p .-,

î» «6 «KsinsiqiWq iGqoe'ft

- - -■* •• ; :Iirt:*h8f!'P.vSWWc<*d, ■

- -» - - .i-lB«I0tiffcSU{5ïiji'WheT'ons tâswenaaûcÀn r n°e'?n< ment En nons en nant,- sqBSi^qqnè OédBgea p tè^ r-

r dans i|«r «0» InIFdO

ik dSjcMsMétÔTêmS^S^iai

stlB«r«nir(Mda O d m p to q r t^ »a « e n la g e * * r a lé 5 i t l lp î lW «

'àpee nsessièiiBs

,_t*raes<ifl^_______ , ^<f îâièngé-.

S iH id r% i6déW -M re ^5(?rfei^;t8ttt mo’ns s e ^ n t dé l'etré'.- Gédee’-d a t^ teànet dieposiiiontpfiiif m qjsrendrt pro ehainem eni^’Xé^itimttre en ce qui c cerne l’état mejor, cette-'.u ilS-'-Swr-'‘ peut éhe éoeomplIe.'.'Tour nos^'sdj S é rW iw ^ C J S S u V » !^ ,fte pouié^Us’iir ftire que d’unentyiu iujw qââlé.

MoliUN.'V,üi>,

’U-rE n f in , té r m in o h s p à T ^ e e l f e ^

B o n m o io 9 ^ su g g ^ tiv e 4 ^ - ;' SLÜPDBLIQin rSASÇiÏBÉ 'Ptiâ^'Âi'i

Mimstère de 1* Oonre.Cabinet .eijil dii USëistn.'(hend-OneSt.de Fiaaeck. -i I

rflÜT. 1908, N* 2883,

x r r c . ^ F A Vadéïart, V “, 'CéM des, gnwd» seigiMuws de j

___________________ _ gé-(gtvéïnnX de corps d^sriBée, géééranx-ke - ■irrisio*',- géniaux de bri»de). '’-œ Î#P- Héènx-lè>»" •seront nsspSibHés en Jpàrnal officiel ! ‘ée sont des dopum’entt tte n tt Cpte ïcnanittrecpnteFBedan».»dn.t^àir-. , ,c.„

Noos av-ns, d<5jè. .dès reinse gooTneo'a su rh pl'’p ‘rl de* gétéran* et oofpn*M propos s p ur PevMirem -nt. C<’pendâ"ti I: y-.^naeHO)re nn-aSeoz uranJ i-omb'ff *uj lesquels nous ne sommes pas BX‘*>'», « c^ëà po-r nous éclairer qu’une fois', plus noiis avons, recours à votre ——*■ ob^géance. . i-i/.En conséquenee, voolez-vona <diteous d«»rea8elgneiBnnta très-'SO^, -très ■pietr.-eur » S offi ders cl-après- : (SUfi' t Usfe de nomt de généraux).

-MoLLm;*

L e s E le c t io n s

.a i’.vWjf

ÉLECTION LÉ^SLÂTEVE ApRondlSséniSitit de ehétlIloiiASap-SelUë,

-‘(Oéte-d'Or)Inscrits ; ajt&6. -^'irotànts, : 9.Ç58

MM, TenBng, râfl. soc * .® iMontenOi'râp.'anfiininist.. SJKÊ Monin, rad .tnd.;:!........... 1.307.

(Ballbttàge.) , 'Il s’a^^ssalt de remelaCM Peut,

Cal, décédé, qui avait e |é é lu aux éli générales de 190S, après nn.-SCiOi Sallottase, par S,8zO. vhix contre i H.bagain,'^répnhl!csih libéral.

BLBCmNrlifiNKaPMX K Péris thnbilèine -urréÙdISséMent •î>

Quartier SaintnFargaan.. (SèrnUn ïdeheUotUilge)

Inscrits: 3,lOfr— -Votants : * 130. MH. Ma'rchbnd, soc'.rév.. . . . . LllO ELIT

Gastillon de SainC-Vtetor,' r^.aliste - ...............................937 votx

les suffrages Harcband,91

fc'aisgliiid e-iCüf èhw v.i rytonbOb - OT! èiaanta«r 11

stelîi»! lô è i i 'ra ,

• JiiOJ 1(9 ÜOil

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.1A.JÛATeb ,S .sù î^eb tt

Ü.ifiobDa s .*»■ 5®r*

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ni i i l i l u l u ' t -n

»ec(r«7. miMéDgeatéiiinMdu»

L iie te f iwimiâéinn. V rEtat les.blMlB Vro-

y . frir-r.-. t:,U- ' .,.i-;9-.-eèâ _______ ^ toeoeàmandehèiSasBaeir,

w uiw saisuw uèisiiiiB B riiÿaj^ ^ qnr » été «gnal*l*tt*4W !W èiâ»tr’’'-“ ‘ '-’

fléÇhsinhfeilin, sera prp-e

lalxàatënn du

quèfe-buverte pse le ssiiMMrB de la guerre

m m i

'JUsMtaHteidtoHiB, m i s i ^ l é m te mcaéée*ilfctraaH i».da.-^ehanA w d t * ^ p i i t ^ p a r M. GUyot de Villenea«&a«di38te së v e u iâ s Midéarissiou^'aasuUiiiitre d e :»

i to s is io n . est" moUiréê pw. le.▼<>{•- de' tordrSf'du -Jour i déposé, vendra* à « C h w h » , W dfcdhM jsu’Ot p a rilw u e l i«roaioHté, ftvoraM é; t u g o u y e ^ m e n t , :*Mémé t’W'ipiooédés iiMdmi8sibles.riRna-lés i lbviribunoiri:-.-: . , i- i i ’i i

:>'<)iîS'dréiion«sav*r que ledçnH stm M la guerre a accepté cette démission. MUf

lüît aUüTici •

n e n m ita lss^ Oiio-pension aux pré*ts'VétiV i '-'a s o ’r-'A'iii y '-'' s-rc-,*Le prèaidMt’ildBfGotteiè'mâé entendu

S g iflW a« rarS ^a5 p ® o « -6 £ i!e» eaflb '» les iiifeutious d u goovernemené è-:çi»sti*.jet. ■ C -S-'U.'iv' é-j/, ‘i'r-jiii-iUc-i '•

VoiéP"' . . . . . i.eila commission :--.ïiaU.i ai' 3<-i'(ÏÜTiaaniïill*À‘ . . . ,. Enté» qébimiieeiiBa l e s - p e i t t iw i te w

kiiaœ üccepté suc .ce polUf - î^ lK e ë roiSsl^'itâBHt d * ; j^ % Ù S v>9g|?es..JB6 pouvant dépasser 1 ,»0 tntuos au proOJ dcctésiasUqnés" igés -*i-'pius de quïranter cinq ans ............. ..-• «_ nng|*-fiŸgg-||| lYTigiEiiHnqija _

œ l ©de quarante ans, et en disUngqael-onM

^ P ou 7 S * d M iM w S j lesv«siow ifflrén t de OOO fraacépenroeia'âgM -de-plus de 40 ans, de380.flrancs pour “ans, et dë"'60 ans. . . . . -

Eu ce qui concerne les vicanreï, lespw if slons viagères' seront ’raspecBvërSent "de sso, 300 et 380 francSBOurTes mêmes ca­tégories de 40,80,ot«u.‘aBs. . : '

l o u t r e , : l e projebComïiesBwvoit .uoft An. vnA 4

,||4(éipara*i0ii ■ lue uueiir-

— _________ Inistresdffculte durant les qraifrè ànnéësqwiisirti vront immédtateuieiW WsépoftiibUi un» de laisseriunz assoriations .cultuelles'te tewips de se, former et d ^ t e u i r p s r lA concours des adhérents les ressourcée :Ué uéssaires à î’êse |^oe,dncùIte.

.io^b ie im eii Otera* , 'E a ce quL concerne lesédidces ducn tté i

le projet du. gouvernemiintjpréseiite .d~- üi 'éiences assez considîtoblee avec .-cel de la commlsriou, , ,ciïsJgïsM m ssiî'rœUon par la HévOlntiburlO'PBOîet de rà'ëom-ï

-mission affirmait la propriété de l’Etat, du rté^nctement onide le ooiIss’C'is»

i.e projet du gouvernement n e çgQtienl aucune prescription'4.cet,,éfwru, considé: raiu |iie le droit du propriétaire,est soifl-, saiument établi. I l léa m et4 'la’disppsiuOtt'

période b^si^iro,. en , ave d’aMupatj |pservice du c i t o à la .(mite:de,|a;Sépara*^■■•de l’Eglise e f^e l’E b t f i :a,tt!rtçne nuq .. demnfté de iOO traucs; bux^-ministres dit

les cas, ' aidt aux départementsj .soit aux atBüi*.sèit(aBBiaBèariefioiia!,i--'' 'fVi

eupMpriéèfettlmépaiait KnancimiBWi M incesttteue nHmmdaunanceUiBmi M i«ra»

rataxteèéânibesOt'BSioki;.» jjî é s-..-;-!,,- -

irôjet:, de ia,,cdinm lssii^^iiiolit .Jd n ’d’associanonâ p q u r^çn P é! oo.i inidàbt‘'4 û t‘- i in o tra * e F u Iw w ë,

btrtif. t des associa-

q i M ^ f W i intorise

' CÊÊm gpsemuanomt p raq.Sf rimrairaFv— .... •

- l ie »awi, 8 t obtoW». '- ^ U trùtariiMteStâ Dftrtant de Paris-Mon^rnasçe h nnH

^«tedri■aUlpt/mflré^^s»«poi^^ iVé-votey a i m :b|ié*é*rt>(teMie-c*B™rattois«l*de8.‘i ^ * ^ .p»»*'* âù««>‘W e -^ 'V M i# e - ifo l |P > # c ^ w u d nmyaj, d’upo scip. I.es .S8«i '«e^dép^bee

, été ■■fteoMréÉ igt'iftlfeii'D éftrâ^reus éi ifraeWéUtiP|ô»ft!pos3;b»ê’'W iv - f t fittoBteinti’'aeTOéWséf3o aioiitaht''ètt‘TOl.' " ' ■ j .

' ' - ' X . À

« s a æ â !s s .& ï? s «rie; EUesoutiieusur J’éspace,-iw«eint«u| separe.les deux a H n ée s^ b ^ vorabte tantôt ; 4 ,u n . p a r f i ^ i ^ T É M ^ n’a înflué ên nen sur les posipw â géné­rales dos belligérants, gui ;Testent les

avWf -ntto- plus 'deux- mais trots, en ilaBdâionrle;L*c™.=.«. «nlévltchv qtrt « dûiartvee l^ot& d’Inü d é ‘ V.lifli*ùiloki'jà J ^ b d e n i

la prwiièret-maislft tr*rietné ur

’arrondisseiuëKaulbars, Chef dTrit le i»minMfde-talre d’Odetsa, générât «rMMir.

S a - r a - ^ ^ m em ent détla 'p^miprâijLebèrg rèstè 'c o m ih tra^ t hrméO. • "i- ' ' ’

Cette tridrième u m é e * le-détUebéiiieM a ^ e t ^ - . les ordres de Linléyita,' et

' W f iM p è t ratflXpéae.ifrn ie» est iboaiste

irapBpOièrNmX’ttA B raiées

^ géirina’S d ç la m f f l i è n t t j ^ ^ ^ ’état-majof 3Ü: g ^ e t ^ : S o to o ô ag g j, cditihié le géiiéwt «çAuna

S ssteæ siS asia ï;»^

■ism

rtidâlitr'm t'

I ttiliP ftM ilfleeptien

auiom unim aiaesH

irilittâttr M’aeppo it|igB tasM |g-d«nfM es * b ra » ra i8 É f* B ira A » e é q Æ » ilsA

a -lreuié è la h

(Ts'rauaofc.EM *ao*

pnirqn’il les a reçnénd

4 dmimiutpidi .mplace. ycit,r> 9 -.K-ic

estVn émf

m m ?l ' sente a

• > e rnén Uùrs mérites, 'cevx que von* '■(ésigoéej lea répu^ w iina deivtnt être avantagér et tes c éricaux déiavaulagé&o

Cette l p c t . w ^ } | f t j d f i ^ ^ leeia'iqnr su r «B grawa n<m»r<v ae ViemL

-a dévotio-*, !e g ÿ ^ t Ç!-st*x, ce'ni-«l

de VOeneuyaJivdeè ' â o l b n a u ^ .

lesquelles il lui lUit rea im m ^ K M aM l

?“ Bép\-’Siqn” ”à

’a NR'cùnU

i3i»Bé!oit'â s jp ti ja tt

parait que le gébéral i $nttSBmicajdialB*:bMlilieèil<4 „ çoHUlBaliaia ^«-éeuF-A ! |p d a M

bleanv O iH ^B db d e * .

Legénéral lût 't j e t i t ^M ttd lx ; Ca^llon

f io n a w s nu GOOHmR M VdilSB (46)

L ’I B I O T I i :•»A*- . ■

E M I t r R IC H feB Ô U R Q

DSUXSbMB BA&TIB-X ’ B l f ï r E M I

— J ’étais a s^ '.é lp ig é é de TOUS,' con­tinuai Adrienj ïbàlgré cela, j e ■vous ai tout de suite reconnue... je sentais que c’était vous, àùx. blstteniente de mon cœur. Cependant .jè pouvais croire que mes yeux se trom paiént"ot il me restait an doute. <3» ddtiteijé 'l’aVifaiiwcore-ce: soir, même après vons avoir entendu îhanter < L e Jo u r et la Ebse, » ceftè romance que je oànu'sÎA' MUfS-depuis un bstant,^îe âe^donte-iplïts,, bon, je ne doute plus !... Vous- -êtes Aurore ; oui, vous êtes AuroreJ<'oit£ant que j’ai aimée à la Corddüue! -Aurore, dont l’image, et le cher souvenir sôiA r e s t* enfermés dans mon om urlAurore, qui n a jamais été éloignécsde-Àa ‘ pdnii^ ! 'Aurore qae dcpTiiK seize m^ÿ'f^woberciiée-partonti Aurore que ]e croÿ’jaâ#'î>fir:''Qe pour moi et qnn :que j’8ime.-#jBioÛsi! ' ' . " - r

D 8Bisjÿ» g,» s,S wlg.éftlê,t^^i-W »® que celle-ci iffitaT O em eut, .

- - J e v o m a S n M m e Yom v o u ^ ^

reconnaître, vous ne voulez point me dircM. .

— Je vous le répète, monsieur, je ne vous connais pas.

-r-Aurore, je lis dans vos y eu x ; ils démentent vos paroles... Ab ! ils ne savent pas tromper, eux.

— Vous me faites souffrir, monsieur : je vous en prie, laissez-moi, dit la jeune fille d’une voix oppressée.

Los cruels efforts qU’elle faisait pour jte point se trahir, e t p lu s . eneore J e s paroles brûlantes du marquis l ’avaient Wioée. ëes jambes fléchissaieni ; elle siappuyS'contre im meuble.

Ah! vous êtes émue, vous nebavez pas mentir! s’écria le jeune homme.

Elle lui jeta un regard suppliant, presque effrayé,

— Mon Dieu!... mon Diéul... mur- mura-t-(ellc, • _

i l ne comprit point qu’elle sou&aii horriblement.

— Si votu saviez comme j ’étais màl- lieureux de vous avoir perdue, repritfii; je vous si' pleurée, Aurore, car je n’es­pérais plus vous retrouver! E t mainte. nant que je vous revois, vons me traitez comme un incOnnu, vous' restez insOn- sibTe 4 in'es paroles, qui sont, l ’expceà- sioh des sentiments de . mmi ooeurL. P o u r vous, le passé-est oublié; ce'^que nous avons dit 4 UC<»rd^èté'h'% it pnj| ' licst^dans Votre iffémohe;.toUt cel.à^è^. enyolé-coum e. BU rêve! ’Vpyipis, qué..

, , yoas'iiii^fÉHtî Q*el-fliimo>ifclé30tasmis£. > potBoq«o;!!rt» iw ufe 'V é^ a » g « i» * ê A iA

— Je cbm ^ends, aUéz, je.cqm prm ids, -1 eontinna Adrien d un ton d o ù h o a re ^ .j vôtre-père|n!a pu m e pardonner; fi-am déteste, il m’a pris en. naine, e t i l » fa it - passer sa haine en vons.

— Mon p è re u e hait personne,-répli* qua vivement la jeune fiHe.

— Ahi vous venez de vous trah ir! s’écria le marquis. Vous étés A urbré! vons êtes Aurore !'

LU jennbfiUeConmijt que léà ^ o l é f qui v e n s ie ^ fié lu i M â p p w .p.qnyat(* t, éolairèr lè marquis. l^ m ^ itie B détcnim <j l’effet immédiùtemrniti-èllis répoaiditL;

: _ J é Hâs Mile-Delprmsy, monsieBr;. je miétonne. çpwjvoos-iV<i«i-> èblstiiiieBf ( ainsi à me prendre pour une uutimi.4’là- cherché à vous faire sortèF d’Une' eriéu r caUééepsriune üMserabhàiM qui' ekistev' je Veux bien le eriffre 'j'je 'regrette i e ‘ n’avoir, pas. mieiçZ. réussi. . ;

'E n . aéhètunt Ces 'mots, Un’elle n o u ^ ' d’Unê voix émué, 'êlfè^ s’é lo ig u rapidement, laissant le m arqujs interofi; frappé a n coeur .par «es d e rn i* es pa*. rôles.

Les dénégstiinia de la yenne ffUe h- troubiaient ,a« derôier point» e t sérieuse' ' ment il se déuum daitvs^ ava it’ bden toute sa raison. -

-c’éfUit ’ A n r b ^ ' p o u ^ o i feignèiljj ' .............. “ ■^is’S-Mi'!elle d e n e 'ù a s 'ié .^ e ç q ù ^ f ,É i s 'fl *e . _

trbtnjliit «èffémeiil,'''d'Où' venj^^irot^i 'émotion que la.jeune fille n ’avait pu li^ cariier? ^

— Tout cela je. r e p lo n g ^ t

: face àfiaoe avee MmedeMon^efrey qpii,; cachée derrière -une tapisserie, avait' I tout -vu et tout-èittiendn: Sans rieU dire,': elle p rit le brUs de la ’jenne ^ o e t lè^ j passa sous lê sien: ' 'j Mme Delotint^ qM' n’a-vait pas cessé i de causer avec ' l'a générelê,^'venait. sra-V llem en td e s’apercevoir dé la dispSriâbn ' d’Aurore, EUe s lk i t . se lev e r p o u t se

mettre i ro ,r e c h e rc h e ,lorsqu’elle -lavit, revem r .vers elle , donnant le h ras A b misrqnise. .

— Ma mèrÀ Ini .dit Aurore,'je me-

’-Ë’adTOsÂttt À' ifme de ‘'MonÿH^ÿ^v edie ajonâ::’' — .ih^lM Ùeia m arquke voudra

{U!^ exoùirair et iw ra p w ^ i r a d r » . ; ' ; ,J.;;5,.

Qty, lira mignonne, je vous le,per-: métSi.dibkjUiHlt^: ■

{ lime DelOTme s’était levée inim é-^ jtement.'' ■> - L a ratrqtâser-dés'- ac'eompagns dans i l’UntichsibMè; d ^ ra ss U n t mm fiiiai oiiiiBore ' '

-.-;îK-,

charm ank;V ^ . r:.-v-ytîsm iné Mura|><écrmcl-ut-iâsil»raisot-: talent, le marquis fit irruption danedénusotidhamlmsicMrieidc^tohi*®” * ^tmpSSSUgeK” ' : .v -('!(■

'-O fe a m w v è ti ëèsâeHul-'Hfit-'iÉf* jiS iiO -ci- sTto

Mais je... balbutia-<(dli'“ “ï - OS!

. . . . . .

d an slesâ lo n . ’ ! - ^' Adrien étonffU’Uu soupir e t ÿéitécnta

d ’assez'bon.he:riAoé. ’ ■ ■ /.'..i' Bs allèrent Rasseoir-duns-jun com dB

selon.. ■ , :- ' Arouez-lë, montnenr; lui dfi: ';lU

mmrquifc, voue yiwdièz, apotmipi^er Mmeet Mlle Debrine jtwcpt’ki leur-vei; tare. -

j3e que je yonlsûb jé^e , lé : ^ nazi/-'. .; ' - . Monamm k marquis, je VOUS trcttve

nn'air-fbrt‘''âréïs:.-':^ . lih lde iL 'iiraduné;.k

âma que je dey ièas '^ i., ir«-^l:ohil â -^ m a n t tUècÜMCt, maâ

Cela -n’bstJ^UliùiUiUnt^^téiL?^^^ ■.':i0 .-#e;Tfius*''« ^ ^]^domô£-:'

Eniiib: qn'BTezvonP — >FuimV-ideéémé I* nu

fuim el , -Ù B a h l.’V

— i.Guii j e J ’aim e, jeTadoro! '(( I f f ie Delgriné? ’ iCM’ -Alièt^

mea, * *

TMtf fiMWffnr4'2 MlHÜSOBéOtt^

, Ü-. ok

— Elle se nomme AurcWi p i i?

moi qui lui m deSSRF unssi le mien; je stiilrSI

A o e ié t■ici nos

M .•

te r îm

a sz.

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ntnenes-con lég catn

ièreg anniées n gix «og, le a paggé delaJM Hii

re »*en tiré __ Si l’on ôte ce

le coaeern par U ~ pen poor m ubuH is font

it« let le tre& tdiaqae

minufere. . . . . .C’est bien pea pour aller rendre dém comptes et compüraitia devant le pays.

II . MapjaB

ededdl»«eiK to itto is«

. M K te am H b tonM ittaii- (Appiandbie-

« a te S * ^ ^

am n im stNa pas eep«e*uit e e et e r

cSkiÉCft'' '

Oa attend ré c o iis ;"

Ca q n e , , _^ea n e son

eeeeem » la généftf

^’2e8^^Se^*w itttS lto?A êH K^* j^§ Ê > m S rS S u m q ^ v n d a r a e M tr e

y , faimtée; . ^ e æ t l à 'w e i g t r » fia» foe BoaseOlinàisaona cee documente. ■

M lééodtÊ T tM U r i^ e»a» déctoa- t ia a J • Jb ania « M t to e d n oomaear t o G a a n d O i ib lÿ la p i^ j e a* » • " connala-

a f : n w d » ; ^ % i a à i « e a le preanent i

tteb toU igddedeaeMdmdB la trioane.

’ I.M 'Ta<se.'n eat procédé A nn

à donnscA l’ordre du lont de M. Manjan.C e ttrm d iS é oat àceordée par 288. v o »

co in trSz^ a o i t ^ quatre YOUt.de majonté.L a dlTiaion:est .demandée.La nremièpe partie qui eat ainsi rédigée :

i 'I j â Xbambre blémant, ^ e sont .rewn- nne exact», le» procédé» inatoiaiibla» aignalés à la trarane », est votée A mams

^lA sécondeafngi conçue : » Etconvrin- cue que le minisftrs de la Gue rre assurera dans. ce cas laâ sanction» nécM saireset rw e issa n t toute, üd ltio n », est adoptée par 278 vo'x contto 27A T i e scrutin su r l’ensemble donneies jrô- aidtats suivants : 294 voix pour et 263 voix contre.

Os M e les papiers

Samedi noir, le séance de la Cha

^ ain de la _____ *« âu cours de

laquelle le général André avait étéX e ’A'vnliilIlAr» «IIP IdkC foîf.C Hfiin«té à s’expliquer sur les faits de

délation dans l’armée, un feu de cheminée éclatait au ministère de la Guerre.

Où et comment T... Ici les avis sont partagés.

L’explication offlcieuse présente ainsi lesuhoses :

Un (en de cheminée s’est déclaré, same­di soir, m e Saint^Dominiqae,.âans la salie d manger de l'appartement pàrtlcnller da ministre de la Guerre.

Les pompiers, immédiatement prévenus, on t rapidement éteint ce commencement d’incendie. Les dégéts ont été insignifiants.

Mais, d’autre part, on lit dans un j o u r n a l ministériel cette autre ver­sion des faits :

Un violent feu de cheminée a éclaté dans le cabinet particulier de M. le géné­ral André. Ce feu, qui éveille tentes Iw suppositions, permet de croira que le mi­nistre procédait, en personne, à la des­truction des fiches, dossiers et registres dont it a été question depuis quelques temps dans la. presse, et, vendredi, à la tribune de la Chambre.

11 y a deux ans et demi, u n feu de che­minée anadogue se produisait avenue de la Grande-Armée, dans l’hétel alors occupé par les Humhert, ét le lendemain la célé­bré famille quittait les lieux, sans.espoir de retour... ï aurait il quelque analogie entre les deux situations 7

Le général André croit-il que cette scandaleuse affaire se dissi­pera avec la fumée de sa chemi­née? Qu’il ne l’ignore pas, U ÿ a des choses que le feu ne purifié pas!

La Presse-et le général M é .De la Libre Parole ;il est impossible de trouTer des tenues pour

exprimer l impression de dègoùt qu’iospire le •éshce 'de Ttadredi où le général André s’est effondré dans U boue... Il sfest rencontré un misérable sortant d,t ttos iprandes Bcoles, ayant porté l’unifisrme de génonl, s’étant faitdonnec cette médaille mi> Mtaire qne Ton n’accorde ans cbe& de l’armée qu’après des services éclatants, et qui a été tU à ce poinb de laisser or^n iser, au minis­tère. 'de>ia :^o^i;et- un .Téntable service de délation^ une .sbite : de « Maffia », de bande ^ i n t psrfdttt‘'sea môuchsrds et ses affiliés.

Du Figaro : .r . • -. Isa Bloc nel peu t rrésister è la réTélathm de

pareils scandales. 11 a sanvé hier le ministère afec unè infirme' im^ôfité ' dé ‘4 voix. Mais, le général André est dans. l’impossibilité de coh- M rrar .sdn .portefeuille san s. soulever dans Farméé une indigôatibn yoisine de l’émeute, é t la ministère est hti-mème trop coïnprO’nis dans ce scandale pour qne le Prteident^ds^Ui

*'‘Bù SoWM‘f - - •Le ginérel André, qùqu’il 7« veoill» bu ndài,

M*miVPUM ten iv î» là tsw Ae-l’-Amte -Iransûr- n

^AwMiiKiUsa».

Le Chembre ■ pu se leM K^j^âeB 'm rM V d«e sMsanvros bsbilts, p u dw tmrifOM os

A ndri devait pértir les pieds d'evsirt. Il reste avec un p i ^ au derrière. V âinqutar à voix de majorité, il-e st réeVement battu à

même». B t ce qu il hri-at-iewt’-éeeut er -de men* ■ODÉeè peur esriver à ce rteultat négatif, < eatà 'i ï f ^ a s ^ ^ i tc 'e t surtout A n e - ^

.Dnlfatiis? ■' Le VénraindimisUon qui sbnfflait a Sté tel: QtfU.* féiUt em porter;un.m m istre ; ti a, en*

.ttmtees', batayé toutes-les hontes, t e u t^ les» .--------------

fo m e d’officiers français^vajSM entèm ent accumulées dans les bureaux du ministère da ItjGupnu-*^ au cceur mème ^ . l ’administra-

sauter, car la tempête renTsrserait •eiefa-ce qn-hU» ^ e eBGOteptv^argBSr...

t a Fêté de ta MutaattiéDès hnlt heures da matia le ja r^ n des

Tliileries a ten t eDvabi par les soeiétés et les greapements matuafistesqui txmiiières en tëïe vium ent s» masser pour se rendre en cortège à la Galerie des<Maehines ou a lieu le banquet de 30dM)00 .oouverU.

A neuf heures précises,'dans un onue parfait, le cortège se met .en route encadré

la garde rémnbUcâine et conduit par

l i i u u , c e q u i a i o u w » oi.M»o*-i* «•» tr-v»-Le cortège traverse le pont d’Iéna aprcs

avoir défit! devant; le Président de la publiqné qnl se fient sur.une estrade cons- fru’te an oessus du graind bassin du Tro c ^ é ro avec les ministres,les représentants du corps âpldmafiqne et les représentants des grands corps de l’Etat;

L’entrée danala Galerie des Machines se

Snifren et les numéros impairs, p porte de l’avenue de. la Motte-Piquet.

A midi précises le service commence et le repas est des plus animés. Les roinis^ très, .les membres du Parlement et un grand nombre de notabilités assistaient au banquet.

Des réibuissances théâtrales et artistiq nés ont eu lieu à la suite du banquet sur mie estrade disposée de telle sorte .que tons les convives pouvaient les vicfir dé leur place.

Au T p co ad é ro ,Les portes du Trocadéro se sont ouver­

tes à 9n. 15 pour recevoir-des. cinq mille in v ité appartenant au corps diplomati­que, aux. membres du Parlement, à là

provra

/ni

i^ u * 4 t jistU la sécq-

A son arrivée, le Président de la Répu­blique a été reçu au son de la Marseillaise par le conseil de la Fédération.

Des discours sur lé mutualité ont été jrononcés par M. Léopold Mabileau au

^o m de ia Fédération nationale e t par M. Lonrties, sénateur, du Conseil supérieur de la mutualité.

.M. Loubet, président de la Répnblique a répondu. Ua encouragé les mutualistes et a ta it unvibrant éloge: de la Mutualité.

Puis après une cantate tout le monde s'est levé et s’est divisé en cortège vers la Galerie des Màcliines'ôii le déjéünér attèh- dait.

Cette belle fête a été tavorisée par un temps splendide.

Un discours de M. LoubetLe Président de la République a pro-

floncé dimanche, au 'Trocadéro, devant les délégués des Sociétés de secours mu­tuels de France et des colonies, le dis­cours suivant :

Messieurs,Lorsque le comité d’organisation de cette

magnifique tète est venu m’inviter à y as­sister, j’ai accepté avec empressement. D’ailleurs, comment aurals-je pu refuser après qne vous m’avez donné ce titre, dont je suis fier, de premier mutualiste de France? . .

Mais je n’ai pas caché an comité que jene prendrais pas la pi monie et si M. Mabills

laroledans cette céré- _________________aud a trouvé moyende m’amener à parler, — je tiens à le dire d’abord — c’est qu’il a .manqué à tous ses engagements. Ce reproche fait, je lui par- donne.de grand cœur.

M. Lonrties rappelait tout à l’heure qne je m’appliquais à remplir correctement mes fonctions et à observer la règle cons.titu- tionnelle. Jngez donc combien il m’est dif­ficile de parler ici, en observant cette ré­serve, devant des ministres, des hommes d’Etat, des sociologues, dont certains pro­jets d’assistance obligatoire me trouveraient devant eux pour les combattre avec éner- gie si je jouissais de ma liberté.

Aussi suis-je empêché de parler et com­me président de la République,.et comme mutualiste, et me contenterai-je, au nom de' mon pgyg, au nom du gouvernement et des membres du Parlement qni m’entou­rent, de vous adresser les remerciements les plus profonds, les plus sincères de la République pour les mutualistes et pour la mutualité.

Messieurs, on ne vous a dit, tout a l'heu­re, qu’une partie du bien que vous avez fait et de celui que vous pouvez taire. M. Mabillaud a été trop pessimiste dans son impatience du succès, impatience qui n’a pour cause que son ardeur pour le bienÎiublic. J’entrevois un avenir encore meil- eur. 'Vingt ans, cinquante ans comptent

peu dans la vie d’une nation. Voyez ce que vous avez tait ; depuis moins d’un siècle la mutualité est née, depuis moins de six ans elle est libre e t pourtant déjà vous avez quatre cent vingt militons de patrimoine, quatre militons de membres partidpants;. vous servez cent vingt mille pensions an- nueiles à vos membres vieux ou infirmes ; chaque année vous recrutez près de six cent mille adhérents nouveaux, par la seule action de la parole et de l’exemple, sans aucune obligation uipoutrainte.

Avez donc pleine confiance dans le prin­cipe'de la liberté : tàites lui appel, redou­blez d’efforts et d’énergie, — je ne dis pas cela pour vous, mcu cher .Mabillaud, qui faites tout ce qu’un homme de cœur peut faire, — ét réjouissez-vous hautement de» progrès déjà réalisés par la mutualité.

Avec (hivé, vous avez adopté l’enfant dès. son entrée à l’école et vous.ne le quittez§liis ; vous le suivez sous tes drapeaux et

ans toute sa carrière.Je regi’ette bien que le ministre de la ___. . . ..A ...A. -.-l——AMj* Ia

ünireprésentants et des commuL qne ceux qui vo

rie

______________ „ A|pe . . . . .les manœuvres, une conférence de notre ami Barberet, l’apotre de la mutualité.; Kons avons été empechés par la crainte do retenir plus longtemps nos excellents offi­ciers après les fatigues des manœuvres.; — ‘ - oris sa revanche et lait

de Paris, de VinpeuneSi oe versaiiies, e t Umè sait, peqt-ètre pas lai-mèine tons le» succès qu’u a obtenus. c,lI a le nfinistre.de I’l , , .™ . , - - , vônsd!ratt’‘qtte les agnetnteni a a jm e is fiB tJm lA fig B ç y tt.

la foi rerraii du SI

nder m ehrs' tements

;e i iiâ,*

Sans paâer des importantes subventions de-4’Elatii-je-mri»--étonn4ji)de_ceciÿ .^ue smxante-qumze dSpartemènfif ânj.jMjù'i- vent à leurs budgets des créditÿpour la mutualité ne donnent efl'tbiittqaetdeuX' cent-cinquante mille Irancs et que la sqb-; ventldmuÂMê de» comnri4c#es»4'A*>ii^rt- six cent mille francs, soit à peine nn>miè‘ lion en tout. ^ .. _ :, ■... ..

SaM p o tu ^ r . Ala Mus.e,^

munes aonortent un concours plus g to iP reux à cette institution qal est la première dir pays eC qu’il» ne®iihHfiifjpM moins qne les menmres-hôBOrahfèa'qui Ymsent annuellement 3jS00v060 f r , , .;. H»is,messieury,la pnissance moraleque fops'exdexcez iMOs le paysAstencoré'celle arie léVëu'x le' plus kmer; Von» remplissez

nt un devoir social et vous réa-™ _ je n t un ------ . — la fraternité rëpulfiiQàine.^Dans touiès nos sociéffis, grandes on

tites, riches ou pauvres, on voit des privi­légies ' de là vie é t de ia fortune donner, leur temps, leurs soins et lenr aide pécu­niaire ■à-lenrsconcrtoÿens'moins-henreux, s'-nifir et se :m ^ r à eux dans, nue collabœ ration àCfecfiiease et'intime et il n’est pas de spectacle plus réconfortant.. En prafiqnant cette solidarité^ vous fai­tes œuvre, de paix sociale et vous honorez la Répulfiiqne et la Francm !

La municiiâilité parisienne a reeu lundi iprès-midl, a l’HOtel de Ville, le» membres de la Fédération nationale de là mutua­lité. V II A'-deux heures et demie, les mutualistes étffiMât introduits dans le salon des. :Arça-

communale.M. Antrand, secrétaire général de la pré­

fecture de la seine, à son tour, apporte les souhaits de bienvenue du préfet de la Sei­ne; puis M. lépine, préfet de police,-tient à s'associer à cette réception en pronon­çant une courte allocution.■ Autour du buffet, richement servi, des toasts ont été portés, puis les mutualistes sont invités à visiter les salons de THOtclde Ville.

.flirfoi

M K aa^e rg h i l m ^ v û i U i S^igdnst-esitCp,aus- séeà 9 E O ^ u m a tin .

CeUflitoiii«iiBaiancme»Lsréiit.iA«yiux voyageurs sans l i a g e s seulement.

l j } u É t[(M J ^ i i t a ir e s .r l* elaase 1908.

ÿai'»ç9 ta^^^ drapeaux des Jeunes sol- au cbhiingent a lieu, pour U prem èred ji^

fois cette, annéfc au- moyen. jd!ordres d tepel m î 0 m i èhrte pbstâle.•jCes^rdres d sppel sout partagés en deux

'péilieivaui’yent la ligne de séparation formée pS'iSVbihtillé.constitue Von doit être conserrée. cette .partie jaunei qu'il derra se présenter au su c h e t des gares pour %Toir droit au q tu rt aê'^ace. ’

1^ deuxième partie (couleur Ueu-clair) forme larêcépissë qui doit être rèaToyé au cdmniandaiit du bureau de recrutement expé*. diteur.

Les ordres d'appel sont transmis par la poste comme la correspondance prirée ordi­naire. • '

▲ la réception de l’ordre d’appel, le desti­nataire détache le récépissé (pame blehè), le signe, le date e t le remet immédiatement à la poste sans affranchir. .

Les Jeunes soldats derront partir de leur dbmicue ou de leur rétidènce suffisamment à temps, de manière à se présenter à leur co n s à la daté e t à l’heure indiquées par leur ordire d’appeL

Ladispensé comme frère d’appelé qui désire obteiür uni sursi» d’iimorpoFation. osTra en faire Ja demande, par. l’intermédiaire de la gendarmerie, au commandant du bureau de recmtémeat.

Le jeune soldat qui aura besoin d’un sursis de quelques jouis pourim motif u ^ en t, deyra remplir les mêmes formalitèa et joindre h sa demande un «art ficat constatant l’urgence.

En cas de maladies ou d.’infirmités surre* nues depuis ïn iêvisionj en faire immédiate­ment Ta déclaration à la .gendarmerie et re­mettre un certificat du médecin.

Aucune demande dé dèTancement d’appel -ou de changement de destination nç sera ac­cueillie.

Enfin chaque jeun», soldat est ineité à lire très attentÎTement et à se pénétrer des ren­seignements e t inst'uctidns qui figurent à la deimème page de son ordre d’appel.

Voto d a t Députés d a î'OIaa.Séance duS8 aètobre.

Scrutin sur la priorité en fiaveur de l’ordre du jour de M. Maujan (interpellation du lieu­tenant-colonel Rousset e t de M. Guyot de Villeneure).

La Chambre des.députés a adopté.Ont TOté pour .* MM. Baudon et Noël.Ont Toté contre ; MM. Audigier, Duquesnel,

Gaillard et fiaudricoû^.~ Scrutin sur la deuxième partie de l’amen^

dementde M. Maûjàn, aînsf conçue : c E t con- Tsincué que le mimstre de la Guerre donnera, dan» ce cas, les sanctions nécessaires, passe à l’ordre du jour. »

L a Chambre des députés a adopté.Mêmes TOtes que ci-dessus.— Scrutin sur l’ensemble de l’ordre du jour

de M. Maujan, ainsi conçu : < La Chambre, blâmant, s’ils sont reconnus exacts^ les pro­cédés inadmissibles signalés à la tnbune, et conTSincue que le ministré saura, dans e t cas, donner les sanctions nécessaires, passe à l’ordre du jour ».

La Chambre des députés a adopté.Mêmes TOtes que d'dessus.

P o p u la tio n do la F ra n o o an 1 9 0 3 . — te Journal officiel publie le rapport sur le mouvement de ia population de-fa France pendant Tannée 1903.

La balance des naissances et des décès se solde par un excédent de 73 I06 nais­sances, inférieur â celui de 1902 (84.944) et â peine supérieur à celui de 4 901 (72 398). La diminution de cet excédent, par rap­port à Tannée précédente, tient â ce que le nombre des naissances s’est encore abaissé : on enaenregistré eii 19>3 18.666

.de moins qu’en 1902, mais, d’autre part, la mortalité n’a pas cessé de décroitre : le nombre des décés, en 1903, est inférienr de 7.828 unités à celui de 1902.

D’aprés les tableaux annexés au rap­port, 37 départements ont donné, en 19n3, un excédent de décés ; on en comptait 30 en <902 et 33 en 1901.

Par rapport â 1902, la diminution du nombre des naissances est générale ; elle s’étend à 73 départements.

L es g e n d a rm e s a u x g r i v e s . —Quatre gendarmes de la brigade de Com- piégneontèté embarqués, samedi matin, au train de 11 heures 57, à destination de Douai. Cela porte â 21 le nombre des gen­darmes de l’arrondissement envoyés dans le b[ord, à l’occasion de la grève des ma- liniers. •

5* D rag o n s . — Le 15 novembre pro­chain, à deux heures après-midi, aura lieu; au quartier Bourcier, à Compiègne, l’adju­dication des fumiers â provenir des che­vaux du 5* dragons (effectif 650 chevaux), du I “ décembre * 904 aq 31 décembre 1906/

Le cahier des chaiges est déposé au bu­reau du trésorier.

L es A llu m s itss . — Les allumettes de la régie, affirme-t-on à ta direclion géné­rale des manufactures de TEtat, an minis,- tére des Finances, vont devenir toutes de. bonne qualité.

Les. machines, â fabrication continue^ de Tibgénieur en chef Sévéne, qui ont figuré â Texposiiion de 1960, ont, en effet,, cessé d’étre dans leur période d’essai. Elles ont quitté le do'maifié de l’expérimentation scientifique pour entrer dans celui de Tex-' ploitatiou industrielle. Depuis quëlqoés^ Jours, elles sont en pleiii fonctionnement, au nombre de onze : cinq â Pantin ét six &' Aubervilliers.

Elles fournissent déjà les t allumettes, françaises > dont les boites grises à 5 cen­times reçoivent un bon accneiL Elles vont; permettre d'avoir incessamment des boites de 40 et de 10 centimes.

Les premières seront livrées à la con­sommation vers la fin dé' ce mois Elles seront en carton gris brun et remplaceront les anciens paquets en papier de même eoideur. , '

.On le voit; c’est moins qu'un progrès qui vient d’étre réalisé, c’est une simple pentm tiAnsfoimationdans lojMiqncAage. Parâlt- ellé sufflsahie à tout le monde 7 C’est C0;q que nous verrons.

C boniln ^ f IN » * -ffiNil* ; • ;F ir0 it» ÿ ..-;: AOM. -< fi(|igii|.

t %* aàapa â*A>Mée.Le Journal offieUi du 26 octobre a publié

la.liate.nominatiTe, par arm e,par grade et par gncieoneté dans le,grade, des officiera ayant obtenu le bretet d’état-major. Noua referoQs:

Infanterie. ~ Lieutenants : MM. Labordère, du 87*; Larchey, du 84*; Laplace, du 45*.

Caralerie. — MM. les capitaines Le Gon< vello et LsTirâe, du 5* dragons ; Carcenat, du 29* d’artüleris.

o- Le capitaine Petit, du 54* de ligne, est nommé professeur de topographie à l’Ecole spédale militaire.

Lea e» gagem eufa • n x aapeara-poimpfer» de Parla.

Le colonel Bellanger, des sapeurs-pompiers de Paris, rappelle qu’un certain nombre d’en­gagements de trois ans sont réserrés, dans son régiment, aux ouvriers électriciens.

Ces engagements peuvent se contracter, dès à présent, è l’exception des appelés de la classe 1903.

Lé polda de a soldats.Le ministre de la Guerre vient de décider

que tous les hommes de troupe e t les squs- officiers seraient soumis, dans chaque cozpSt & dès pesées régulières e t périodiques.

Les recherches modêmés, dit l ’instruction ministérielle, ont établi que )a constatation fréquemment répéiée du poids des hommes peut fournir aux médecins militaires des indi­cations très utiles pour le diagnostic piécoce de certaines affections, notamment de la tu berculose. »

Ces pesées auront lieu une fois par mois au moins pour tous les hommes de l’effectif; elles seront répétées plus fréquemmeot pour les malingres et, d’une façon générale, |»our tous les hommes que les . médecins jugeraient utiles de soumettre, au point de vue des mo difications de poids, à une observation spé­ciale.

C arnet mondain.On vient de célébrer en i’égUse Nutre-

Dame de G iâ c , ae Passy, le mariage de Mlle Marguerite Brissaud, flUe du géné ral, ancien commaniant en second de TEcols de guerre, décédé, et de Mme Brissaud, petite-fille du général de divi sien JuUivet, avec M- Albert Brémens, lieutenant au 3» hussards, fils du général Brém ens, commandeur de la L ^ c n d’honneur, et de Mme Brém-ns, petit-fils du colonel Rufio.

La j-une fiancée a été conduite A l’autel par son tuteur, M. Franck Chauveau, sé - nateur de TOise.

A t r a T e r s S e n l i s .D istributions de P rix .Association Philotechoique.

Société d’Horticultape.Délégation Cantonale.

Dim tnche dernier, à une heure et demie, a eu lieu, au Théâtre, la distribution des prix de l’Association philotechnique, sous la présidence de M. Lafont, docteur és- sciences, pharmacien en chef da la Pitié, vice-président de TAssqciation Pbilotech- niqqe de Paris, dont il est le délégué. A une behre, la salle était comble, les loges et le paradis garnis. La Société Musicale, qui est de toutes les fêtes, prêtait son gra­cieux concours â cette cérémonie.

Nous remarquons sur la scène; anx'cétés da::présideat ; '. MM. Dupnis, conseiller général, président de la PhUptecbnique de Senlis ; . Pavetiè, inspecteur primaire .; dé Wam, maire de Senlis ; Driard, adjoint au maire ; Oélaporte; vicerprésideiit de la Philotechniqae de Senlis ; TUrquet de la Boisserie, vice-président ; de Ja Société d’HorticnUore de Senlis ; D 'ttilten h àn n , proiésséur â la'Philotechniqae ; Desjar- ilin, économe de TRâpitat ; Bàrdou, phar­macien; Jmstocart, airecteiir du-cours ; Leduc, Oavrard; professeurs & la PIÙIq- technique. • ■

S'étaient excusés: MM. Audigier, dé­puté; Odent, adjoint; Cagüy, secrétaire général ; Lelièvre, trésorier; Thierry, se-, crélaire-adjoint de la Philotechnique ; Van- troys, Thirionjiérë, présidénls dé l’Horti­culture ; Thihon fils, Oémélih, D ' Pau- thier.

Après Texéctftion de Ja Marietllaise, écoutée debout par Tassistànce et vigou- reusement applaudie, M. Dupuis, dans une courte mais éloquente aliocutioh, présente H-Lafont, le délégué de Paris, et, lamànl ressortir les bienfaits de. cette excellente asàbciation, déni les services sont si noqi-o brmix, il adressa aux profénwars^ pour leur dévoueinènt, aux iiéves, ponr.léur assiduité aux cours, dé sincénfs et cbàddes féUâtàtions. ’

btscourt i$ M. Lafont.- v- ^ , Mesdames,

- I:. Messfc^i

>s_ Jressef’flï’'HHB faisant.

quance, des sentiments que. nous éprouvons a régard des Associations pbilotecbniques qui poursuivent le même but que nous, et en par-; ticnlier à l’égard de i’ ssso^afion deSénlis- qtu nous réserve tonjours un àCéiieil chaleureux et cordial.

Mon plus grand désir'est de voir cette heureuse suite de relations amicales se pour­suivre; je dont»: beaucoup, non pas des inten-, lions, mais du ttdént dé votre président d au­jourd’hui, pour réussir, à resserrer des hens déjà très étroits, aussi é'st-il obligé de fàire ap­pel S'tonte vôtre indolgeiice.

Ma lâche est d’autant plus difficile que jeu ai pas seulement .à m’adresser aux bienffiitems, aux professeurs et aux élèves de VAssodafion philoiecbnique de Senlis, dont la bienveillance œtconfnmière vis-S-vis de la "grande sœm; mes paroles sont également entendues par les représemafits de-tout le canton. -

L’admiràble entente des autorités adminis­tratives, des autorités universitaires, du.Con- s il de TAssotiation philotechnique et du Bureau de là Sodété d’Horticulture, permet de rtonir les lauréats du Certificat d’étodes primaires, les lauréats du Concours d'HorticnIture ét les lauréats-des Cours du soir. Cette féte. n’en est que plus grandiose et plus imposante.

SI nous pouvons accorder dés récompenses à la jeunesse méritante, nous le devons à la bienveUlànce de dévoués et généreux donateurs, et c'est pour moi une véritable joie de leur adresser publiquement l’expression de rmtre vive gratitude.

Dans cette occurrence de concours désinté­ressés, ii serait injuste d’oublier le Conseil d’administration et le Bnreau de l’Association philotechnique, qui sont toujours en éveil pour prévoir lesbesoms de la population de Seuils et satisfaire aux plus m-essants, au risque de compromettre l’équilibre de leur budget.

Les dévoués professeurs qui, après leur la­beur de la journée, prodiguent avec enthou­siasme leur savoir, sont dignes de l’admiration

, flattée-üè'l’hc

Ceitc année, l ’Association a eu à déplorer le départ d’im de ses professeurs, M. Bléry, qui faisait avec autorité le cours de dessm d’art aux deux sections. M. Bléry, ancien élève de l’As­sociation philotechnique, graveur dans une imprimerie de Sentis, habite actuellement Com­piègne. Pour le remplacer, le Conseil d’admi-' nisuation a fait appel an dévouement et au talent de M. Ouvrard, employé chez im entre­preneur dé pémture de Senlis. R n’est pas pos­sible de mieux affirmer les services rendus à ia population ouvrière par les Cours du soir qu’en signàiafit l’exemple de ces deux zélés professeurs, H. Bléry et M. Ouvrard, acceptant, après la journée accomplie, uae besogne sup­plémentaire et toute gratuite, afin de se rendre utiles i'Ieurs camarades.

Et vous, chers Elèves, que vous demande- t-on en échange de tant de soins, de tant de bienveillance? Une seule chose : votre assiduité aux leçons que Ton met à votre disposition, et par assiduité, ii faut entendre non pas unique­ment votre présence effective dans la salle où un professeur parle, il fout y apporter en outre une ferme volonté de tirer tout le profit pos­sible de l'enseignement qui vous est donné.. Pour l’année 1903-1904, que nous termmons aujourd’hui, ii n’y a que des éloges à vous adresser ; vous avez largement témoigné à vos maîtres votre reconnaissance par votre zèle et votre exactitude.

U y a quelques heures encore, je ne connais­sais Sentis que de réputation; les hasards de la vie ne m’avaient pas conduit dans votre cité. Je savais néanmoms que la population en était laborieuse; le témoignage m'en était parvenu par la bouche de nos camarades de Paris qni, favorisés par le choix de notre Conseil d’admi­nistration, avaient eu ia bonne fortune d'assis­ter à votre féte de famille. Je le savais aussi par les agréables conversations que j’ai eues avec des enfants de Sentis qu’il m’a été donné de fréquenter. Plusieurs étaient la preuve évi­dente de l’activité toute naturelle des habitants de cette région.

Chers Lauréats,C’est maintenant à vous qne je veux m’a­

dresser tout spécialement. Mes premières pa­roles sont des paroles de félicitations pour les récompenses que vous avez bien méritées et qui vont vous être distribuées. Vous voilà, pour la plupart; arrivés à une période où il faut songer à l’avenir, Vous avez à vous prononcer sur lé choix d'une carrière ou d’un métier; question grave et délicate. Les solennités comme celle à laquéile nous assistons prédisposent les jeunes esprits à la bienveillance ; j en profite pour vous communiquer quelques réflexions sur lesquelles vous pourrez méditer peut-être avec profit.

La question de votre avenir a sûrement pré­occupe vos parents. S’agit-ii d’un garçon ? La mère, à ia vue de son mari rentrant le soir harassé du labeur quotidien, toute soucieuse de la santé délicate de son cher enfant, sous Tin- fluence du souvenir encore vivant d’une pé­riode de chômage dans Je travail du chef de famille, chômage qui avait fait entrer ia gêne au foyer domestique, s’est promis, à plusieurs reprises, d’éviter à son fils queiqius-uns des ennuis présents è sa mémoire. Comment faire? S’il devenait fonctionnaire ou même employé à un titre quelconque d’ime grande administra­tion, le lendemain serait assuré.

Le père, de son côté, dans ses moments da: rêverie, a songé à l’avenir de son fils. Il s’est plu quelquefois à le voir travailler à côté de lui, à être son premier guide, son premier pa­tron. Il lui communiquait, avec tendresse, avec bienveillance, toutes sortes de renseignements sur le métier qu’il exerce depuis ion^m pa; R n’avait pas de secrets pour sou enfant adoré. Et, én effet, pour l’apprenti, où trouver un éffii- cateur plus dévoué'?

S’agit-Il d'une fille ? Cette fois, c’est la ten­dresse du père qui veut éviter à son enfant les durs travaux auxquels se livre la mère, et qui cherche un refuge dans le fonctionnarisme pur ou déguisé, pendant qu’au contraire ia mère souhaite 9e conserver auprès d’elle sa jeime compagiie. qu’oile initiera avec dévouement à tous les mmùlies de son labeur joumaiiér.

Les parents ne se contentent pas de ces rê­veries solitaires. Iis s’entretiennent réciproque­ment de; leurs projets, laissent même parfois couler quelques larmes en songeapt au départ tout problématique dé ceux qu’ils ont jusquerlà tant'choyés. Et, comme conclusion de ces con­versations, ils ne trouvent d’antre solution que de laisser Tenfant librè de décider de son sort.

Celul-tci a été conduit à la ville voisine un jour de fêté; quelquefois même il aura visité la granàé capitale; ilb vu des choses charmantes, son attention a été retenue par fine multitude de spectacles ravissants et attirants. Rentré chez lui, son vitiagé lui parait mesquin; il ne saisit pliiS:Ia beauté, de ce qu’il voit tous les iourà, ét si, dans cet état d’esprit, on le laisse libre de choisir sa voie, il incimera vers le parti ipii semble-lui permettrcde retrouver ces fêtes troublantes (ju’ii n’a fait qu’entrevoir.

Avec la complicité du père ou de la mère aU début, éf Tàssentimént des dénx à Ig fin. l’ado­lescent ira, comme on di|. tenter fortune dans un grand cefitrei dan» une grande ville.

L'abandon de son y s , de son vi lage, de sa maison natale,'cause au jeune voyageur un certtun regret a l’instant de l'a séparation; les parents' en éprouvent un vif chagrin, dont ils essaient de sé 'consOlér en r^iâant : « Notre enfant a { te 'd ’instruction qne nous; fi faut qu’ilfésse mieux qçe tgouai a

Fgrenls; ujcciiistpa^à, méditez; renseignez-: yçp^ ét yqùs.'vças apércévrez bientôt que l’ins- truiSlion perinet, Àtt effet, dé tiirémienx, tout en (alsam, en apparence, là mteiè tffiose.

Le. jeune htênine, instruit, apportera dans Tinûallation de TàmUer.de son pâre des,œadir. floauons’hètireùàês' ipié son savoir lui «un perihis d^apprandra;

JèUnes-sHis.'Jeimés fillée,’ àvantde vous dé- tfideriifégéddsser'^nffiieMUj M e^ÿâàn 4n

être sien asrârés qaMT n’y a pas Rour vous d’aghç ai

esdaotai,Is JudiciénL:■mesonele

nulle lurt parents: en partiti-

bons-

lientbieni lescent a b-i sgements i

continue qn’i aussi bien t

int sous le ; trav:.ux soit

s’assure de j le ses parenti

>me trm(B : et bienveillauL 11 éfllê leTffiéeodipiitârqnM

po im it rencontrer dans la vie isMée, dans un milieu qm lui est étranger.

N’oublie» jamais que quels que goiem votre lieu de résidenœ et votM: Minj|Ria,Yons pou­vez et vous devez toujours être de bons arti­sans de ia grandeur et de la prospérité natio­nales et du bonheur de l’humanité.

M. Lestocart, le déTeud -directeur d« l’Ecole des Garçons, donne ensuite leetun dùpalnutrés.P r i x ;denr C e r t l f lo a tn i d ’E ta d e a .

Prix (rfforts par M. Tbirion, aux élèTM ayant obtenu les meilleurei notes :

H»» Marie-PauUne Duluddo, de Plailly» H. Allre(LMorlet,.de Senlis>Prix offerts, aux éUtres ayant obtenu la

note bien, par MH. les Ministres de Tins* traction publique et de TAgricnitare, nt par la Ville de Senlis :H“* Marie Louise Dusivier, de Plallly.MM. Marcel fionteinps, dO Senlis.

Robert RuOn —Georges Brochet, de Barbery..Gaston Roy, —Marcel Troecou, de Saint-Léonard,

m u aPrix offerts, aux élèves ayant obtenu las

notes assejt bien, par les eommanes du canton.M»» Madeleine Delaèliasse, de Soilii.

TvonneHely, —Henriette Morin, —Alice Viffleux, —Harie-Madeleina Barbat, —Liieienne Yaudier, —Fabienne Boat, —Harcelle Seitz, —Amélie Bellego, —Alice Clos, ' —Renée Encausse, —Gabrielle Flenry, —Emiiienne Foumival, —Madeleine Gannevalle, —Jeanne Lambert, —.Stéphauie Hoquet, —Marthe Pezant, —Georgette Uythersprot, de Barbery. Madeleine Casse, —Gebrgetle Brochet, —Floience Kirby, de ChamanL Marie-Louise Pradel, de La Gbapells. Augustiue Adeiaine, • •Mélanie Aubert, de Courtenll. Marcelle Chuffart, —Augustiue Poirier, de Montlérêqne. Madeleine Barbier, de Mortefontaioe. Lucie Béai, d'Orry-la-Ville.Rose Rélier, de Plaiily.Juliette Christophe, de Plallly.Marie Théroine,'de Pontarmé.

. Fauny Cater, de Saint-Finnin. Marthe Frigault, de Vitlen-Saint-F. Geneviére Basson, de Gounenx.

OARCONSMM. André choquel, de Senlis.

André Domart, —■Maurice Jacquet, —Eugène Landry, —André Horel, —Aurore Perdriat, —André Robquin, —Vaurice Rozée, —André Seenvrs, —François Vanderzwalen, de Senlis. Marcel Villetie, de Senlis.Désiré Dnmont, de Barbery.Arihnr Gcessens, —Louis Roussel, —Edouard Besson, de La Chapelle. Marcel Colland, - —Edmond Lemàire, —Anatole Rimbert, —Stéphane Simon, —René Denise, de Courteuil.Georges Soulignée, de Courteuil. Gaston Balagoy, d’Orry-la-Ville. Marcel Brûlé, —Albert Cabaret, —Armand Deschamps, —Camille Lambert, —André Andrieux, de Plaiily.François Dauvillaire, —Adrien Seigneuray, —Marcel Robquia, de Pontarmé. Charles Ayot, de Salnt-Hnikin.Jules Bnzin, '—Henri Letellier, —Edouard Lemaitre, de Safnt-Iéenard. Jean Chavoutier, d’Avilly Lucien Laurent, de Tbiers.Eugéoe Robquin, —Certificats (Cétudes primaire*

complémentaires.Prix offeits par la 'Ville de Senlis:

MM. Emile Clément, de Senlis.Maurice Fossies, — - Ernest Hinard, —Victor Pelbois, —

' Rodolphe Pouillet, —A s s o c i a t i o n v h U o te o h p iq i a e ,

SECTION DES J É U p S FQXES Directrice dés Cours : l i 't ' Véniid.

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philotéckniques,M“» Louise ComiaAV.

Dessin appliqué aux Travaux de Daaies. Professeur: M'<* GincHAsn.

1” prix. Offert par W. le Ministre de ITnS' traction pnbUqne : M«*Madalaine U p im

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M. Lafont adn daillas d'argent mérités ; 11 reg re tta i a tseb itT in tôrpri' lélieitar, le plus M9*Çottûean.

B À m o l ta ts h o p U c

du 4 I. Le 4 août 1904, i | jnrÿ chargé-d'exa Concours horticole i Senlis, s’est réuni i Senlis.

Etaient préseiMsrd Ironé, LavaÛée, benfloLpriteSii^f eandid

V d ig f l i résultat! Thivemy

Saint- daille <

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*• — 1 Sénn

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O b e è q o ç ia M .’Ainsi qôé nous î ’sTons annoncé déjA

dans notre dernier nnnidco, -éd *ien same Ji matin, en l’Eglise iCatnearale de Senlis, le* obsèques de M. Heni7 Iiesténe, pereéptenr des ContriWiBons'dtfWSte*' de~ cette Tille. .

Le deuil é u it conduit par M. Ernest Pasquier, aroué à' Cempiègne, son gendre, et * . René Le Roux, substitut du procu­reur de la RépubUque à Saifit-Quemin, son cousin. ' . - - -

Les cordons du poélë étaient tenus par UII. Escoffler, recoTour des Financm d« l’arrondissement de SenUsi LaTert, per- ceptenr de Verberie; Hoch-dez, reço*epr d e l’Eoregistr«snBnt,etLeIièTré, secrétaire de la Sous-PréfOctnre.. » »

Une nombreuse assistance aeait tenu a apporter un dernier témoignage de sympa • tbie au regretté défuuL ^

Au cimetière, M. Escoffler, reçoTeur des Finances, a, au nom de son Adinioistra- tion et de l’Association fraternelle ^ Per­cepteurs de France, prononcé le ducours smTant :

Mesdames,Messieurs,

An nom d k l’edministratign Finances et d& l’AssociationFrance, je Tiens donner le d e r n i e r adwo a PezceUent camarade, qn’one maladie impla­cable Tient de noos enteTer. „ „

Attaqué, H t * qnelqoes mois ^ 1 ^ “* 'J S le mal qui Vient d’aToir raison d%na santt

S* - - î ’ — 4* -

lAHemu .3“ Division.

i " prix ex ctquo. Offert par la Ville 'de Senlis: René honut et Augùite feOBIH.

If — ex ttqûo ; Haurice M diioi et Alfred FASQUau».

Dassin Llaéalrs.Professeur : M. T b iiu y

S« prix ex aequo : Charles SAUcmr et - citarles i n Roux.

3» — ex (Bquo : Auguste Eonni et Ca». mille Habdt.

■anuIaarlA Professeur : 11. Lbddc

f » DMtion.1" prix ex <xquo. Offerts par M. le Ministre

‘ du uimme^ce et la Ville de Sen­lis : Cbarles SADCiiK et Ray­mond Rxonadu.

g* Division. t" prix. Aristide Foann.

_ Louis LAUUIOIOIS.Causarlas Sclantiflquas st LHIépalp**.

Profsswurs : HM. HiLLEaiiAint, Xhibioh flis et Lbstocabt.

I» prix. Livret de Caisse des Retraites offert par H. Parette, inspecteur pri- maite : Louis Laddi.

Charles sadoke.Eaùie Gxokusi.Joseph Despaats.Aplthméllqu* et (Momdtpia.

Professeurs : Met. PoEsuiauet P o u r i ”‘ division.

i"prix. Prix offert par M Audigier, dé­puté : Emile GEoaeR.

}• — Camille Uardt.31 _ Maurice t td u o i.

3» Division.I» prix. Raymond Rsohadlt.!• — Charles S a d o ir .

FranqalAProfesseur : HM. PouHTan et P o u r

, f " Division. t»prix. Emile G io ru r .V — Camille H arot.3* — Joseph Drsprats.

3f Division. f» prix. Alfred Bonior. t< — Francis S a lU ir .3* — Louis Ladoiusois.

Calllgraphlaa I* prix. Joseph Desprais. t> — Emue GiuBeKT.

Livrets de Calsa* d'Epargn* pour traTall st RaactItudA

Livrets de 10 francs : Emile Grorcr et Charles Sa oo ir .

Livrets de 5 francs : Adolphe SA ïu ia , Iraaçis Sallor, Louis LAuniuROU, Hubert D nan , Alfred Bonioi.

U. Lafont adresse aux lauréats des mé­dailles d’argent des compliments bien tatrités ; il regrette l’absence de M. Lande,•t M fait l’interprète de l’Association pour Elieiter, le plus aimablement dd monde, E"' Cotterean.

R é r a l t e t s d a G o n e o i iv s h o p f i c o l e B c o lsd v e

du 4 août 4904.Le t août 1904, i 9 heures du matin, le

jury chargé - d’examiner les candidats au CoDcours horticole de l’arrondissement de Senlis, s’est réuni A Pécule des garçons de Senlis.

Etaient présents : MU. Vantroys, Dnpon- honé, Lavallèe, Loizean, Bordier èt Go> renQot.

Snr 35 candidats inscrits, 29 se sont présentés.

Voici les résultats de ce concours : l"prix. Thivemy (Léon), de l’école de

Saint- Leu- d’Esserent, daille de vermeil.

1* _ Launay (Henri), de l’école de Senlis, médaille d’argent.

(Gaudet (Louis), de Pécule de 3' — ) Senlis, médaille de bronze.

xouojPelbois (Victor), de Pécule de ( Senlis, médaille de bronze.Uenlions très honorables

(ordre alphabétique), fassiez CMaurice), de l’école de Senlis. Baaryon (Robert), de l’école de Morien- , val.Ldèvre (André), de l’école de Eenlis. jtinart (Ernest), de l'école de Senlis.Jihert (Gaston), de l’école de MorienvaL fohillet (Rodolphe), de l’école de Senlis.

Mentions honorables (ordre alphabétique).

f*Unrean (Gamille), d e P é c ^ ^ e M o n ta -

Jaçhet (Victor), de l’école dn Senlis. t^u(E lie), de l’école de Moniataire.^ r a y (Raoul)r dd Péeolil^âé'Gùidis. **)uoér ^atU ), de l’écol» dff MUrtAtiiiv.:

mé-

S m i t 'h ü p rÔ M tto r â e t* ^ vieil-

six de bien fU » » t le s o i n m toçuleM qui ont« A »

et de dAUceleeeewjluio n tS d u n e l i l iu t io n bien P«"<>nîs'J« ^ le grande fVmiilé du recouvrement ÿ 1 impOt.

S é îP a r ie en 1815, U a v*«i à Sento a »Sremières années, et c eat A Senlis, son paya

'adoption, qu’il était venu, aunrèa de aaméia, ae f i x w définitivement, après avoir oc­cupé aucceaaivement les to çb o n a de P*«*P' taur A Romeacampar A M orbiers aeille le-Paüt Dana chacun de ces PO^M, U a laissé las aouvanlra las mailleurs et las ami­tiés lad plus dnrablas. a .

R apportait, dans las d éU ca^ fonctions dap a rc a ^ o r , una talle bienvaillam^ q i» tous eaux- qui l’apiûochaiant emportaient d a ^ l’imprmsion q » Utava la contact d o n honm e bdnf aflAbla e t toidours prêt A rœ dra eem çe Il avatt la qualité rara de savoir accompli impàccablamant sa mission, ss m taire d«es^ ta r la fonction quH rempUssait. Il aV“ A *{ conseil toujours Juste, las rapporU ^ J t ^ et coocfliantSy e t ta mort est tme perte pour

*°l Î s contribuables perdant an lui uu par- cepteur doux et bieiiTeülentq çounmseeu exactement leurs restourcet, souvent mo destes, e t sachant concilier les exteences §• son service, souvent pénibles à son bon coeur. avec les facultés de chacun. Ils perdent, en outre, un conseiller précieux, qui eevmf met­tre à leur disposition et à leur portée les con­naissances multiples que lui avaiimt. donné sa longue pratique des anaires edminietra* tiveSj

Les municipalités trouvaient en lui le tré­sorier communal pouvant donner, avec auto­rité, d’utiles indications dans la gestion des affaires municipales.

Ses collègues, qui le considéraient comme un guide iofaillibie, agréable à consulter dans les questions, souvent ardues, de la percep­tion de l’impôt, avaient recours à son expé­rience lorsqi^ils étaient à la recherche d’une solution déucate.

Je perds en lui un collaborateur exception­nel, un comptable hors pair, avec lequel le travail commun était une satisfaction cons­tante et un plaisir véritable.

L’homme privé ne pouvait qu’égaler l’homme administratu. Sa bonté, sa tendresse e t sa soUicitude trouvaient autour de lui un*feirain d'activité qui constituait le refuge réconfor­tant où il se dédommageait de son dur labeur. Ses heures heureuses eteient celles qu’il con­sacrait aux siens. U leur laisse le bel exemple d’une vie toute de trayaü, de tendresse, de dévouement et d’intégrité'.

La foule amie qui raccompagne à son der­nier asile indique quelle belle place il avait su prendre dans cette ville de Senlis où il ne comptait que des sympathies. Ce dernier témoignage d’estime apportera un adoucisse­ment à la douleur des siens.

Que sa famille reçoive ici la sincère au u - . rance de la bien large part que nous prenoos tous à la cruelle épreuve qu’elle subit.

▲dieu 1♦ ■—

B s d d e l ’.d tn< o< ile aesUM essme,Ainsi que l’a annoncé le Courrier de

POise dans l’nn de ses précédents nnmé- ros, le premier bal offert pa r l’Amicale sen- lisienne a été donné, dimanche dernier, dans les salons de l’hétel Debressy.

Comme noos le faisions préroir, cette soirée a été nn fra i snccés ponr. les orga- nisatenrs.

L’éclat de la salle était rehanssé par l'aménagement de plantes et rerdore, et de hnit heures et demie A miniiit la pins franche gaieté n’a cessé de régner nn senl instant parmi tonte cette jennesse animée des délices dn bal.

Les commissaires, qui avaient riralisé de zèle et d’entrain, ontpn se couTaincrei par­la présence en anssi grand nombre de de­moiselles anx séduisantes toilettes, qne lenrs efforts n’étaient pas restés vains

Halhenrensement, minait fut vite arrivé et c’est avec on certain serrement de cœnr qne tonte cette joyense jennesse confondit ses adienx anx derniers accords mélodieux de l’orchestre.

Chacnn se sépara ensuite, emportant de cette soirée no charmant souvenir et se donnant rendez-vons en décembre pro­chain ponr la deuxième soirée de l’Amicale senlistenne.

Interprète ffdéle de tous les invités, je ne puis qu’adresser aux organisateurs mes plus vives félicitations pour là réussite parfaite de leur féte, et mes plus vifs re­merciements.

Un assistant.

1 -e D r a m e d u P s u s a a g e d e s C s w m e s .

Hier au soir, vers neuf heures et demie, un drame sanglant s’est déroulé rue de Paris, mettant en émoi le quartier. Quatre ouvriers belges, demienrant chez M. Cro- chin, après de copieuses libations, se sont pris de querelle. La discussion ne tarda pas A dégénérer en une rixe terribie entre tes adversaires.

Au brnit de 1a lutte, Mme Crochin monta dans le logement prévenir les belligérants d’avoir A cesser ie ta p ^ e scaadalenx qu Us occasionnaient, mais ceux ci, ne tenant pas compte dès observations fort justes de la maîtresse de céans, relle-ci informa son mari de ce qui se passait.

Ceini-ci, arrivant pour calmer laASdéra des Belges, constata qu’n a d’entre eux gisait A 'tene, la téw ensanglantée et rAlant

M. Saint-Raymond, prévenu aqwi'ét, arrivé avec les sfeate Quentin et Dhallu,

noft sans iUdculié, procédèrent A lit | g BMvtrimr, ^ a i l i dirigé

s » PBdtel; dies ,fia|^£(#r çq p a l^ ^ a j^ é * ;] vue nuit pasèéeàü 'violën.. ' '

.seas'^lfpâipin RaRm dM rJ

QK rtûftlà

iluFgrÉW .-îl a été a w 'JW .E rg lf r ’

JanlD e MiHeriaumiii

lé),*Éâii?é! iim d eeo i

lUfrmoma.MM. tef _

qui lui ----------«(âiâtaiÀMnslfraatert A

Le nulhmiMaxaAlé i r a i ^ ^ â l I l i i ^ P ^ - tali e i,-cenidini l e Parqnetaa comnteace- son enquête iu r ça drame, terrible.

i '. ’.

; AcMddèsat: . 'Lundi derniR , vers inne heure ; de l’a -

pÀikmidi. ÙUe' vOitùre attelée d’un d iR at; apoarienant Ai M. G uéhàr^ inàiUch'ér aS ^ - 1V ic o ia S , 'M B !^ iir t irç d tti^ ^ tipnnait A la deéà6fre^?4(f MU w p a ^ , quiùcailliér, rue de.P>ppert-au-Pain.| Goénard était m oitédans SAfoitôïe; lors ” que tout A coup le cheval s^ant pris peur teeida, e t1&41gré lesreffbrts du conductmir, la -ivaitAte hearta la glace, qui fut mise eU

Les dégéta s’iUévèht AlOO fitmcs^ pape est assuré A la;CempB0 Bie TÀbtille.

, .V - ;

0 )b jp t« tv ô irv è e i M. C arlu ^ typogrelpbe, à trouvé un

trojsseaudecieX *^... .Le réclamef anllomiûissariàt de pohce.

. ' » '"V- /CÉaLbaab perdiM..

U aé té perdnl diiyÉriifrdans ïa s id réef denxphiens'd’arrét r e n d a n t a ta nonu d e PR thes i- e t . atarquis. L a premier,, de cèiùeuf jàimb av(K n i é blaiSche sur te téte et collier dé j^Ùs biàncs; le second, de couleur grisiblanc. taché de-noir.

Prière dé 'les riuitenér A M. Spére, rue des Janiiaiw s, coufre récompense.

m a m s m t m m

A louer dé suite joli petit iUpartoment, rue du Cb&tel, h* 33, céopèsé de deux gruides piéeesr UiiD belle cuitioe, uoe antiidiainbre, uti- ésbiaet de tntotte. Rie petite c h s ^ r a . W atw-eloset, grenier, cave, eau et gai. Jod balcon, vue .mtigoi- flqu*. Conditions avantageuses. S’adresser au bureau du Joufntti.

CHB03HIM DU JEUDIL a F £ t e d e s f t f o v ts .

A cette époquB.de l’anaée, nous quittons nos occupations 'haffl uelles pour 'rendre visite aux nécropoles, e t nous recuetfiir on in-tan t su r la tombe de ceux, qui noos sont chers et dont notusum ons AdvoqUer lesouvenir Laviëpubliqûe, en ville comme A la-campagne, .rs i un instant suspendue, et la foule lentements’éo<.ule versie champ du repo», dernière demeure des géné­rations qui nous ont précédé. C’e s t 1e- m unie vivant qui, d.vns sa marche en avant, marque un teoips ifarrét, pour se leppelér ses destinées, s’inspirer de* le­ç o n s do p a e B é ttrê n v e . le tribut .d’hom­mage qvril doit au monde, défunt.

Le (U.ts ides m oit., si respecté, si vé­néré rn cette vieiLe France, a traversé les siècles, les révvtiutions, les époques les plus sanglantes de l’histoire des péuples, sans que personne ait osé y porter une ma n sacruège. ■

A l’heure où, suivant la tradition te plus ancienne, vous accomplissez le pieux pe.e- nnage qui sous permet de revivre du passé, de converser avec vi-s parents, vos amu<, il serait indé'ieiit de trouldar v..tre méditation, en vous psilanc d autres cho.es que déte féte des morts. Tous les humvins, a quelque rebgien qu’ils appartienntul, pratiquant ou non, athées ou libres-pen­seurs, 4 l’entrée d’un cimetière, éprouvent une indicible émotion, un sentiment qui les détaiche de te terre, parce qtPiis ont conscience de te fragilité de notre exis- tenics diei-l>as,etqa’aa milieu deshumbles cndx, des maosoiees on des caveaux an fronton gcth que abg’<és 4 l’ombre des cyprès, re sp iM es transporte bien loin en a r.è-e A travers les siècles, e t qu’à te vue deTihfini qui les environne, te vie d’un hbmâiè lenr apparaît comme im grain de >able dans l’Océan 1

Dites-moi ce qUe sont devenues ces g é - I ératioiu qui nous ont devancé su r notre ptenète, et dont l'existence entière a été aussi mouvementée, aussi fébrile que te T être f Ces souverains, ces puissants, ces conquérants, ces grands eapnâfiies qui ont régné en despotes ou répandu la terreur, ces illustres savantcdoni le génie a éclairé le monde, les victimes du devoir « t de te science, ët les modestes citoyens qui, par le travail et l’énergie, senl sortis vidorieux de te lutte pour te vie, dites-moi où sont-18 xtiioivd^ui f

L e m dépouilles mortelles sont 14, sens IVmplacomënt que V01U foutez aqjourdhui même t . . .

Quelques piedsde terre, une p iene tom­bale, des inscriptions que le -risiteur lira jusqu’A ce que le temps, cet impitoyable destructeur, ait effrité le grsm t ou le inarbre, et voilA.done titat ce qufil rë its de ces populations entières, que te m ort a fauehéesftf

NonI vous répondront J e s croyants, il reste autre chose 1 Tout n’est p«s fini, quand nous avons rendu A la terre ce quel­que chose, cette dépouille qui n’a pins de nom dans aucune langue, comme l’a si bien dit Bossuet II y a, pour parler comme les poêles et certains ph losophes qui font allusion A une antre vie. i l y a i l’Au delà », ce monde inconnu imprégné du plus pro­fond mvstère, cette vie spirituelle, une source de bonhe r et defélio'té

Que certainsfrancs-maçonx, libres-pen­seurs, se fas ent les champions de l’athé­isme, et -fiBrment que tout se termine en noun st. cledernjersonpir, c’evt lenrdreit. Qu’ils affich -nt ces oplmons avec une sorte de vanité, d 'orgreil que je ne m’explique pav, et que d’autres jugent 4 propos de parte ger leurs croyances sans savoir pour­quoi, cela m’est indifférenL

J’aime mte u z avec 1rs Royants songer 4

smis da. M. Nàkins

eOT .St ü Ahotu'$ :i^siiS) i|4i«Ale)lijarég;

nm r o i

«icaiw ftl

Isoleil le

-Eeitd''.déffentijBi(énétvusaiiteù Sq Aétempe>Sous-l’émiilreideia doqi

w l te q r jtefdRps'riitt. A.jrûi.sës .tgreMjtenjAvfiëht dn

ré n g .w .s1teb«iipdti

ce et ««"î.

r insqu’A te‘Fanëb'.SU^ t.baQqhb

,,-çrp* i plus

cet « Au-delà > que les poètes ont dianté, ne de grar ds philosophes ont prodanaé. ion 1 Je ne puis croire qne, de ces miluers

de soldats qui ont -versé leur sang su r nos chanms de bataille, pour notre chère pa­trie, de ces vaillants monniers de te science ( t du progrès qui ont consacré tme vie de labeur A leur pays, A l’humanité, et-sent m orts viëtimes de leur dévouement, de leur abnégation, il ne reste que quel- aues ossements informes, su r lesquels des fleurs s^nt déposées Aujourd’hui, et de temps A autre des discours patriotiques prononcés au nom des Sociétés d’anciens militaires et des Vétérans de nos années, au nom enfin de leurs admiratotirs I

Dans l’hom nuge si justement rendu aux qualités, anx vertus de nos ancêtres, dé ceux-qui .<ous touchent de près, nous trou­vons te preuve de ce sentfm-nt hmé diez nous, qui nous porte 4 croire qu’fl existe une autre vie.

Ecoutez bien l’orateur, snr te tombe d’an illns're citoyen, ou bien au pied dfun mo- nument où reposant les vailtents défsn-

f tiu rd ’armes,'rectement la parole 4 eaux qui <mt quitté cette terre pour vivre dans un autre monde, e t dent te B énofte M » taffM iN H e.

rUôgéaa d i4 s e tt te s j« tM f MPtei 1duxm ^>B iaenx l u n d i -----------

Voici tmc: veiEse.iÂt..__nouillés aupièa ’ n e crtdx..

‘auX ^ ù 'v r a r p h 't n .^ ë ' ..Ciel, où ils le retronvèontt -fùi « essuysnbimaïqsù* " '

. d e la croix etrÿèta"blÆ ! i^ll jffjispÉ ___- Restons^ür'cvtté boime pensée

. 41m s >lation»(|et'iid5 oBuiêtteire cra’ etldisonv-nous bien que de te visifs en rimetiè iéù^jeui»

■"seu^aûn’nv- la -iidus.j ausd d’ici-l a c ô ^ n c e eK u seflep 9 i ^ 9ç q ^ ,- i

seu^mo nv- la i|u«iidus.Bïon vpour le culte Æ s m p th ,’inaia,ausd une plus j t t s f e ^ 6ti6n ' de*‘,«ffl(ï^B , d’ici-bas, et pouriÏM ^part des humàios

M M . N o è l B a i j j a p n ,

A la séduise tristiBÉënt oélèlire de ven; dredi dentier, il im ptite 0 ,que les dé. utés qui. ont voté 1 ordre du jour du gbaveeaementi^.^rorouvent ipso facto les procédés de détetioajnte .ed Pra­tique dans Pàrffléè p a r '1» général André; PanB ’tes l i msrdatew rete-voBs pour, te ,'dépâriënieM .dp,-. 1 p ir e , lës noms de MM. .ét.,D st,utttiiï. _ CesiBiessieurs, qui w font une s nguliére idée de te diiipité attaëhéë au. tiilU adiitettelht qùë ire is^neré <d4 terE ranc- Maçonuerie effectuent le tableau devair- oément et que dré offlciërs renyertis en mouctiàrds fai’ d6leurs remaradësl lis ontüohiinis une ioiurde'f.u tedoht les électeurs M s e u f ie n ^ n t , hdas l ’espérons. ' . ’

.HM.iVoëi'et Baitdoiij^mvec le géném André,approuvent te délation dmis i’am éel

L 0 G 4 D &A u i n o n t . — C o sc irt. — La Soçiélé.

de Tîr ohre A ses membres hohorâire* et 4 la Manicipalité, le 6 novembre, uii Concert dans la sAilé de Madaihe Marier.

Au programme t ehansounëttes, mono­logues et saynètes comiques.

Le soir, grand ta l .— CLétDRx DU Tm. La Société dé

tir l'Union Aumontoise a l’honneur de foire part aux amatëors de tir, que te clé- tiire du çoacouc|L ponr.l’annéë 1904, aura lieu ie 18 déow pre, 'V ^

B é l h i s y - S a l n t - P l e n r e . — P ia i- sajusrdé DAROiRiüM. ~ tMfli dérniër. Vers cu.q heures trois q u û ts du >pir, tin ouvrim’ atlumsttter, -demieitiAte H Ahity, revcDRit de Saintinet A bicyclette. La «nii e tm t presque venue,; U^te’at>aùût-pas une herse en bois qui-se trouvait snr leimuiéu de te route, lesdente en Faiiratneoée té probablement - par d-ès.lflàmiiis-mai'iiiten- Cionnèi. Lé bieycliste Airifa sur l’obstacle qu il n ’avait pas sparçQ, et, par le p ’.us grAod tes h .sards, i l l e f r r e i i^ t sent ën- cambre. Cependant, Si un adcident éteR su'venu, on se dcmAnde.qai e u ce qoi au- raiï été te-pon<ablef

— Obsèqüxs. — Hier, mardi, A une heure et demie, ont été célébrées tes ob­sèques de si. i-éiestih Aagnçt.

riOus adressons a sa" fen te , A son fils et A sa famille nos vivre condoléancM.

— Coücimi^ ~ La Société l’Union mu­sicale uunuera prochainement un grand uoucért vocal et insfraffleBtal,--daus l’unedes salles de i’hOtel de te Vieille Bouteille.

c H A i y n L L TRdUHIOIt p ’ÀUIOTItl

Cinquüime journée. Dimanche 30 octobre.Prix des Aigles. 4.000 ITaàès. Distance :

2.000 mètres enviioi#.1. Asniéres (Crickmere) ; 2. Saint-Evrei

mond (Hobbs) ; .3. Saucats (Raosch).iY izd ’ErmenonCtite. 1.000 francs. Dis­

tance : 2.000 mètres environ.1. Marengo (G. Stem) ; 2. Sorella (Ber-

thod).Prix de Saint-Pirmin. 15.000 francs.

Distance : 1.2eO mètres environ.t . Muslterry çG. S tem ); 2. Gioconda

(Ch. Childs) ; 3: Rama (J. Childs).Prix de la Faisanderie (hai

g.dOU france. Uisteüce rS.400 mètres em ion('

1. Asteroth (BelhôuSe).prue du Pin. 15.000 ITancs; Distance:

2.900 mètres environ.1. Hëbron (O’Ctennor); I . CAmisole (P.

Woodland).Prix de consolation.- 4.000 francs. Dis­

tance ; 2 .100 métrés environ.I . Saint-James (Crickmere)^ 2. Hada-

polam (Spears) ; 3. Yéster Lily (Sparkes).Pari particulier. ,40.000 francs. Dis­

tance : 800 mètres environ.1. Mandarin ( J . Rëifl).

néscLTATS nu pari kutoil

CHEVAUX Pes. 10 fr,

PeL 5 fr.

Asniéres................................. G

Saint-Evrânond.... . . . . .v . . . -PS a u c a t s . . . . . . . . . . . .P

47 50 17 . .

KO .. 17 60

27 .'. 9 . .

34 . . 8 . .

JAu-aepe............... . . . . . . . . . . 6

Sorella... . . . . . , . . r-. • ..-."P

14 50 ,11 6015 50

7 60 6 . .

10 . .

Mutherry . . . . . . . . . . . . . . . . . . G■ 1 Gioconda. . . . . . . . . . . . . . . . . . *

R&ID& •.•a*e*aeeaea**eee*e«e eF

17 . .13 .. 27 60

106 , .

8 6 0 6 50

15 60 66 60

▲StSTOtila e • e a 0 e e s.a • *.* ■ e e • *0 15-.. 7 5 0

Hébron............ . . . . . . . . . . . . . G

Camisole..................... ....... .P

1460 U 50 16 5(1

7 50 5 50 7 60

Saintianies......... . . i . . . . . . .G— P

Madapolam.i............. . . . . . . . FTester Lily......................... . . . P

4 0 -..16 50 13 50 24 50

26 60 8 60 6 60

U 6 0

Mandarin. 1 22:.. 9 . .

il ' êtatuba-te éang.qw; bleuurés et pArviot Aée<

MM rquaot i te jte re tf lu .lll^ ; i l^ r e ù f f l t ' ,au«nnmjs*ariat,*périal.dèiteliCi»4f9épd»aÙDe, A tete les A iséraitire . qui,,;'Mii^!ltevitir;poignacdé,'liHReteDtdte»b4tout liaigentqûit avait snrilgijg^aÆfâiSS!

'-i^réa^cawRT olir.; ciNDii. r - Dan* te -nuit tee sam fijsé .^ -

x n u eb ë , un rommfln>suMnt'"a’iBe«£p4 i ’est déctefi^ vërbunujipsre du matin, rau .

. dac.GoaqéttbH te te'naiflim d hdiitatioa, d e M Béry (EugAne),4oahngsr.-' '

Le feu ap ris nalstanreuaus une toitnre prorireiM 'reteiteii^ éé.:(fflëÿ|tem;«Ahes getilnKAoâ* iréCoâtïtntTa'lifiiiOû' d’babitAt'en, Adaqiitite & travaux sm t 00 eenom oct «élmté* ÿ é u rte cenAtroe- tiou de dtux-Steges;

Les pompitiA'.prévenns’ ÿ in n a t en > ft<e deimër tour prééieuxtetiiéi^ ', blAiiiré* une demi-heure de travAil tout danger était conjuré.

La esuto de re cemmoueem.-nt d^acen- die Mf duêanxflsm m é^ësdetecbm ninés du ifoarnU (Dti refont tiphée* sur l ’une des bftchas. ■ .

L« préjudice éprouvéïter Is* estreprê- nsnrs s’élAvé/ a Olffl fteits»- s ’ni^itiqoAUipour 800 te. A U. Dtogèoa (AiexAtdre),

; eotrëpfeneùr dd-conrertùré, w n assure, pour 50 ff.'A M. Lavaliée, eptrepronéorde charpeotre, assu'é t là CémpafloieXe Ifskd, et poitf i 01) fr i M. P é f^ t ie (Dànis),;én- troprebeu' de. maçosjiérto, assuré A Xa Mutuelle de Seine-et-btarne.

M; Béi7 aditesse.sre re ian sie ia« te aux pompiers dë Chà?tTlj, d o n ti’emyres- sém éntà p » d te .d ’évitèr.(las dégéttcenii- dérablss, te n du eimmenccÉiait d’incën- dte qui a éclaté dans ses constractioni pendant la nuit du4 9 au SO dtÙ.hre. Il Tdinefcie également les habitants de Cban tiUy iRii ont' aVpbrté léor'concours em- pressé.

ftALLïB.. M ..Robert de Salverte offràit, CM jours ueroiers, ;,.une supèrbe féte a ses'iùnis, dans le n u g ra q u e décor, de laforét d# Chantilly. Un rallye a été couru sur un parcours de 14 kilomètres et a’est terminé, p a r un goûtér champêtre. Auquel asâstâit plus dé 300 personnes des environs de Chantilly.

— CoHTRAVtuiioii. r— Contravention pour abandon de. vttitnre a été relevée, dimanche, place de 1a Gare, contre un louetfr de vo itnes dë Cpye.

— LA FfiANlil A SAlHT-LDinS.^ OU Ht dans le Journal, en daté du 28 octobre 1904:

« CoUtuiniére dû succès aux. nombreuses Expositions où elle a priécédëmméni parti­cipé, et dans Ireqoellre elle a obtenu toute la gamme, des récompenses, te; Maison GuiUeminot, Bmspiliig, .et ;Ct*, 6, rue Cho­ron, A Paris, a remporté uh Grand Prix A SÀiut-Louis. Depuis 1853, en ellet, cette importante Maison est A i’avant-garde du progrès en matière de photographie. Le stand de MM. Goilleminpi, Rœ.'pflog étC ‘*,A Saint-Louis, témoignait du souci cons­tant des fabricants de u’étre en retard pour aucun perfectio.nnemei:t. Lre plaqure positives, ire papieii bromure; les plaques opalines, d’une iabricatiou reconnue supé-. rieuré, une magnifique série de vitraux transparents et d’épreuves sur verres ont prouvé %nx visiteurs de .Saint-Lo.uis que l ’Gsine de plaques, impiers e t produits photographiques de (.hantilly (Oise) est remarquablement outillée. >

G v e ll . Arrisiaiioiî n 'n i MIutairi.— Un siew Fasseur,iréserviste au29* d'ar- tUlertei e a gantisén A;Laen, était venu A C râ li dimimchedehiier, sans permission ; sefrouvantA te g a re la nuit, U insulte et menaça le planton, un'sOus-offlciér dh 5* dragons (Coinptegne) 11 fut q i j^ b e n d é et conduit A Compii^ae par quelques cavs- iiers du 9* cuirassiers (Noyon); lA, il fut mis A te dispontioh dre Auterités ntilitairre;

Cette escapade risque Kmt de lui ; coûter cher.. P R in s HOuviLus.— Pendant les nuits du S9 au 80 et du. 30 au 31 octobre, dre individus ont tenté d e pénétrer daib te cordonnerie Lemaire, u i c Coq d’O r >; rue delaR épabtiqae.;

Bien que cetteientetive soit de peu d’im­portance, tmbitants de CHü, tenei-voas s u r v o s ^ d e s .

G o n v i e n z - — Coimta L’AitCOOLisni.— Samedi -29 octobre, A huit heures nn quart du soir, salle MArie Duptes, a eu Ueù une conférence sur l’AlcootiMne, par M. te docteur Léépold Lévy.

Cette dernière était présidée par M** U baronne James d a Rothschild, aiiui que par M. le stairë.dëGoùvieux.

'Parmi'Tassiiftaaeo qui était des plus nombreuse, on rem arquât M. Yatilon, jnaife de C hantil^, MM. Balézeaux, Irtad- joiiit au maire de Chantilly; Poiret, con­seiller m unidpai de Chantilly; Pavette, inspecteur primaire dé l ’arreddissément, et plusieurs conseillers municipaia de te commune de Gonvieux.

M. te docteur Lévy a parié pendant une heure et demie an moins dre ravages que w usait l’alcooL mémo pris mi petite quan­tité.

'V e r b e r i e . — Filb inntoin. Un jeune homme de Yerbréië é tu t inre Au dernier des points, Un jour de. te s—........................... " u® '

T—I.—.* ■. ' * —.u . —...., '..,',4 ,^ ,. 'li'ritpr-'s ir«i‘ m aît-dapp lica t-é td i;# .» tM > P Jtf% te jinatede, queutes.’i onéatite de'U lsfphptea U cure eertsltM^ël‘r-4e<

il est t e llUeafiOn dte N;^ - l p r e ^ t i ^ M . ; ^ i r | i

in tm bm ir 'iia te t te s 11*1' .qu su «Eût le idinm »on . l aBeitnBeié, '<

trefonoM ilen ti^ tes û testiva iite r

M. YDéJfflRI m’ ptejéjm ncBvel l* |5« rslL Je snteoom|iétemeiit gùérL '

Merci et neonnalssanss.L ^ r ^ ^ i m t e W i l ë

Cëosù’tetio’teg reta itrertoqpiw eiila î ■ MAù, bOtri d n lte a d 'p r . te f a« r iso f ti

mois.(tenxo itf, hd'el Saint-André,, te 3 ;dR ‘

chàquqniiiis.Soustm a, h ^ dn Soleil d’Ojt, . t e l |R

diaqasm ois.. . ■'B U lUtau, ; M tri do l ’Eës; te 3 m a

citeqwiteteter:S rau n , hfltte dû OraniMSiri; te 4 9 d l

dteqaoteM it....CiBQe'tellîiri du CiniUHteoi~te 49 «

cb-qoe. teote-' ''Pour iotiM t, demandes «4 ooRHiMte

dai cas, s'adresser dirëétemsnt Si e» , i<c9 de Oudkorque,; PARIS. .

le Gérant : £0 GnéBoni

.s

9-1i,ldacédB rH éte l de-Ville, Sentis.

n itaA riék i';-d«r«n (Oie).

E udede ;------de t «rroBdmenwiit

Hètteç^Vaiit^.. oé la OlçeU ont ité tran^fortUi

paaviBtAiiT s’niç cutsadl a r e i i r u i t i c

AUX BN<miBB8 DB I

Ite •

Ala clu^e tu ‘

G is s in t l l ly .— ARAaodOAHS LAVORÛt;_ H Jales Nakinrity, Agé do 32 ans, tail­leur, demëuranrST, rue Saint-Bimoré, A P R is , m i t Mé cbnùdnanee, diasanebo, dans uii train aUiâVfctihantinÿi iveodeux hnlWWù s -qttPH l BVnlenr déelaré ’ qiW si » sorendaientaM noeHes.- - -

teur, je r e t e ^ l l ^ i i i â i i l â ï ï i e ! r a r n i ctDyaMbSûr... '

dernière, et cadsait quelque scA n ^ e dans une rue de Yefberie.

Un moment même, i l votriat lafcer le domicile de ses grimds parents, eL sans l’intervAntidn de pdusieur*; vitirins, les vieillards auraient passé certainement un matoais. quart d’heure.

Il serait bon que l’on en débarruse te pays-^n r un m oment

. — Dfflnmcunoif. — Une femmë qui vi- v rit en concubinage avet nn individu nommé C , a été dénoncer éfflui-â Ategen- darmériede YerberiecomaieétMitltentear de pinsieate i n ^ impniti*.

Une periiaisition, laite a ddmirile. a été très inmnssante, car ;ire gnedanees ee t découvert tes preaveA flagHatiei id> ces féte ' .

Prdliét-vnritet A été diéisé-Witife C;■.-ifsecot neeoiraiO,-ùfs)r:-tmiMeeex&i*iaMi * . .

J g o i - ^ . Un' itenr .iL .-a ’aiiewBnit-

I « t e S m i t e v e , 4 e m iM I

CURIOSITËS

inpisseiies. Beaiiz Bvtegteite aaaess .

ServlM venBélv ancisB.. Dentelles anetenaes d* Teaise,

â'Al9&Ç0&*Beanz cadrea aseieBS Dota sentetés

re eorès.TaUeaBX et Oraviitei aaoieiia.

Raaaïqnebie petit Baate de Vdtalrs, ea B ta rim uoleB,

(sovie oiigteale ae Béaet HqpeitaBt P a trait

de ir* de JionteepaB, par SUgaard.■agaiflqiie Oeesoe de U t

deatélle de vieiix Met et nSiperaB deeanrMdeTeaise.

TOpIèoes d’aa aervtoe ea Sèvres. Be>B ServiSe de Verrerie oriatal de Veaiae aeeieB.

O u DIUÀNcioS 6 et LUNDI t NOrEM ÉBS 1904,

A deiue heura.Par ta miiiiatira da'U* Biréaai»,

eoxnnûMÛra-pnaaar da t’anoiiitiiianiant*

10 0/0 aa soa. — Aà oeamtatt.

BxpontionpubUipte leStmeCiSNoe veml»vetl»matméeduBimaueh»i-

. £a> aioata {«partout» eeroid eaedMl |a Dimandte,

MOMimBa j s H C u m i

Aar.l*.Etodu da W .Mtele.jtOÇ4Vf, evéat

A Sealii, 1, ra* As Vmevart, et da » TOia r ^ l J .1 . aetabsA

A BaB3Ix:aà.f]uBe.

V e n te e t A ^ jn ^ c a t io i iAÔX SNCSàklS rtlBLIQU

En ta Mrirta de le Çemdasaeéd((Ata),

l .e Oeadt f O KevareOee d l t e l i .- i-dew theitraprieia titrêU éit, Par ta nûniatin da H* Tônnmtaf

notura A Nanitty-an-Tlialla, Envartn'Àona ordonnanea'rei^laj/a*

Lebobri, marelànd rê 1 marotar, et aarrnriar-Bf rareà-tétMetlo,

. n’TOi

F D M l S i A C i P U f l ade ■aedmad d* Via*, f

Sia A CIBE8-I.8S-MBLL0, ai^toitt :.par ledit itaar IdsOBsa,

■ a i inD D O t T À V A A K .

o i/e x p M u UiOt fon it A» ecmmereil a l ’eèVÜraafdai

l a t ià dira d’eaÿàrts;

- n r è A o r iz : M I . ,.CoiBgnalfon da 800 f*, père aaaWrfr. '

L'adinriâafion an it n * atoà IsereSO. la n d a a a n a t eonditiona dacShâu dae & â g e a jd n n « -par”1f' -TMsBaÿad»-’' taira kltaaPjhaa-TAMte’VS^dl— aon StBdat 'â i ' tadia p w É a » | ptaBéN- adtaudUiahoe;

' S m

Page 4: « saæ â!ss.& ï?s« L e s E le c tio n sbmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_11_03_MRC.pdf" '.,^2«cc!r;a6r.:oiiiîiduii: Kiaa ; ' '; . i'^& ,S ''/I f e S Ê k 'w ^ ï m ;

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milk tenet, d ,»*i. . . . . . -------------. . . I ;

Fatt a bMIS^Wriill*#"'-/ .,'*• Ë ü i Sü;': -‘f • ■Soilb, U tn a t* 4

d i Skl^4SPSE 9y>.

Là NUE^ “ * ■—

'■ “ ' ' H p

B^uditisireD c to ^ ,

et p a rii» » * ^d« T.325 firüenTiron.

L’»^ucli»»ti««ii au » lien 6à a n m huttft» i r i a m ,

en llitaclè du M* Dœr, notaire i Cr4py- en-Yaloia.^

!• A M* SA iN T B -ikoV ï, aTou« à Senlis. poureuiTant la Venta ; *. 2" A. U* SilVAKY,- «voué à Senli»

p r ^ n t i i ' . ,S* A MV DÏSaBtB, notai» k Creil, A*'Et1iu gitSe dn Tribunal d ril de

Senlif, où la cabier des cbargaa est dipos*. „ .■ ■ ■ Pour insertion ;

Signi : A SAINTS-BSUVE

aVoiiA.M

itaa^eddtet

'^bVenbant Id' prix' de ^deua ernt»' jWtftàî. •■ -■■ ‘

‘K .'5i..“S . '‘Pori!aTdi'liuboidiinié : ;' fi& ineur iirea' 5 ^ * é d i t o M " . d ^

ItemrnrbnW Heu'aU.latQbarixnuûinr. Idb; -bCadastrba séctiou ^ A i» iéro i23 ï'et

t» t(d i#delb 15 ife H ench^ii ^ ..le p m ,.a# 9 .^ ^

As .t. 8« . > .Ktude de H* S A C « T E 4 E |jV S ,

»TO«é 4' Seiüii.

F u i ^ g e l é g a l e .

Suivant ezploit.de Lç^noirp hoiiMer à SenliSaén'date du deuxnoveinbreinirneaf cent quatre.

E t il ia requâtede :.Druelle,

emeuil-sur-

En rertu d’une ordonnance »ndue p a r M . le luge-Comgiiasaire;

Et b la reguête do M‘ Gaston Loir, aroni b Sanlis, U ,» Agissant au.nom et wmme

« liômdateur judiciaire du swur « Eueftie-Vincent. Dufoup, mar-« boulanger à Crépy;^-« Valoit; »

n sera , le Samedi dâirneuf bre m a n e u f « "» btures pnieùet, procédé en 1 E tn ^ et nar le miniatèw de M* Diet, n o ta ^ _b CrÀiy-en-Valois, b la rente et adjudi­cation publique, au plusoffipantetder. nier encbérisseur, de :

1« l . lSoe-P » .prW td d’un titreouarante-neof francs de rente trou pour « n t sur l’Etat français portant le nu-

î w r â t ; ^ n ; ^ 1 ^ t é b“-^ re n t-1 ,6- M. ^ o p h i le Frémy, propriét^e,Eugène Dufoup. | demeurant à Senlis, . ^

JJ%uufruit*Are est âgée de 6d ans.Mise b p r ix : 800 fr.

1* M. Théophile-H ippd^ -E ^ p rié ta i^ p ^m eurent à V.emet Oise; .

2*-M. Claude Semay, propriétaire demeurant b Fleurines ;

3« M. Léon Guinot, armurier, de­meurant à Senlis ; ,

4*. M. Hénri-(^ude C^plain, affineur de métàùx. précieux, demeurant à Pans, rue Portefom, numéro 12;

5* M. Théophile-Louis Pinsson, cul­tiva teurdém euran t à Verneuil-suP- Oise ;

LewBirpitw'éftu^ 6t iMtaiio. à . SralSs, >«u^. dq Cbrij^éfiM> n f a ter, BM,

. : A ^ ‘dk Im tîo b '!i'l!M ^ is i^ ie e tm iŒ ^'ito^B épitoq ti:

irétiflMtiod lù iW it, â d û éonfermédiéiit &' rardelé 8191 du Cloda dvil, *<>» qu'il eut k |»endrê, s11 le iugeaitoonveçobleet su profitde qui dé' drd t, dans un délai de 'deux mois, in ^ eriptidn d’hypothèque légale sur les im> méuW*» sns-dédgMS, faute de qu<d leadits imm^ibles passeraient.et demeu­reraient définitivement purgés de toutes hypothèques de cette nature non inscrites;.,

8« Que les précédents propriétaires, outre les vendeurs, étaient :

M arie-M arcèUh^aro^e Ponchard, veuve de M. Louis Cossin;

Art. 8. — Marie-Françoise^Caroline Larsonnier, veuve de M. Louis-Joseph Ponchard;

Art. 3 k 13. — Communauté d’entee Louis-Adrien Ponchard et Célestine- Philippe Béquet;

'Art. 3. — Pour partie : Joseph-Théo- pbile Percevalet Marie-Marguerite-Jus-

Havy, .son épouse, et pour autreSartie Louise-Constance Devinois, veuve

e Edouard Gayant; .Art. 4. — André-François Cauchin; A rt b. — Jeah-Baptiste Thouret et

Ismérie Leroy, son éjmuse;Art. 6. - r Pour partie : Adolphe Beau-

bonne et Àlphonsine-Eugénie Guiiiet,Ann.ioa. nmiis ontisa naisfta ' T.A1118

B éiï«a« V Bm ^A tniA T^oatain -feSialls. . . ■■ ■

U o É j^ U n g i l Becqlinicilà.

EaÇ na iMUiET, l i , riM'dê Par^^Çrép^lôla-Valoia

> j .1

_ ________ -»ua do la R黫 ( f e 'lb y o s ^ s a la . n u d« 1.

, . ,_ _ ,^ ja e * a s ^ U O l BlM, * » » • '

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4* O n A EftsÛ oiMii rn i Saint-Tnai- bourg, ot u ù l o i u e Bgdi*..’ 5* M âlaO . .T M Jbârdia, b Sanlis,

rna dn Chab-Btiret, n*t.geUbrueer,-pow HririMr at ixw r tn ib

.«arc AMfDpiÂBiUT, swtoira.

iia'BriràiriuV-aerorit VrOnaféMi 4 S , ■ labe G iuubetm , à partir du 15 no- «OmlïqcijKqaAtiHi. 1185

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compris. Ech*** 0.60 c. Paiement k vo­lonté ou c** remb* ^ •/, d’escompte). S!adresser k M. le Régisseur du Cio* LaooaiSO) à A u b a ia (Gard). 1179

Etude de M* BAlitiSEAtIX, notaire- . ;k Chantilly.

GsaimLLT. — A Amer ^ankfio» rue dé'la'Source. Jouissance dè 'sM të.'^ Ijojtâf 1.200 francs. — S'adresser k M* BtléseauT, notaire k Chantilly.

«ücoBBeaun Btudê de M* R i|i i FS T IÏ, mitidnr k Baron <Oise)..

A'vendre à ramiable. 6 ' IIW aéê% situées k Lévignen (Oise), 6* ^*4ôEefr, 29 k. dé Senlis, 4kLde<lagere deCrépy, 2 k. de la gare de Boissy-Lévignen. — S’adresser a M* René (Petit, notaire k Baron.

M t m ÉTUDE

A vendre k l’amiable, trn ls M alsaaede rapport, situées k Plailly (Oise), près la gare de SurviUiers.

A W B I V » n B

C e U PË BiNOERà dexuB plaeesy

É T A T D E N E U F S’adr. au Bureau du Journal. 1072

Etude de M* MÉRELLE, gradué en droit, huissier-audiencier k Senlis,

11, rue ,Bellon.

Vente aux enohires publiguesy k La Chapelle-ea-Serval, au domicile de M. Demandre, entraîneur, le Dimanche 13 Novembre 1904, k une heure très pré­cise, d’a n bou M obilier, Voiture, Accessoires ^Ecurie, par le ministère de M* Mérelle, huissier.

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franco port gare dest». Ech** gratuit. P. FROMONT, prop»* k Villefranche- en-Beatgolais (Rhône). 1241

2* Un lot de Crénnee** k recouw r contre les délateurs de M; Vincent-Eu- sène Dufour, anden boulanger k Crépy-r0_. ...-.Jaiaa aana OnflUnÊ ?a~

7* M. Joseph Grison, fabricant de chaussures, dâmeurant-k Creil;

8* M. Désiré-François Benaut, car­rier, demeurant k Creil ;

9* Et M. Emmanuel-Françoifl Perce­ra •__j]A*MAnaMT%V VA1.TlAt1ll-

* - - . I p o ^ lesquels domidla ast élu b Seu-lia, rne de la RépnbUqiie, numéro 17,

I an l’Etude de M« Sainte-Beuve, avoué ; Le caltier des charges, e l« ^ s et con-1 ^ j. Monsieur la

étions auxquelles la 1 Procureur de la République près le -Tri-Kute vente “ “ S .n b S dvü de Seuils,S â te°est”déposé b Crépy-en-Valois, e n Is D * l’eroédition d'un u te ^ s s é au l’Etude de b ^^ ie t, notaire, où chacun I greffe dnmt Trihunri civil de Sentisse ^ ^ r t^ p re l^ c ^ n n a is s a u c e . i“ S ^ M

signée

line -------------- ,Art. 14 et 15. — Louis-Théodore-

Adrien Ponchard 3* Et que tous ceux du chef desquefr i l j

pourrait être pris ioscription d’hy-1 pothèque légale n’étant pas connus des I requérants. Us fei'aient. publier ladite!

Fait et rédigé k Senlis, ce vingt-neuf ____octobre mil neuf cent I «t enregistrée ;

S i^ é ; LOIR» I ])*||Q procès-vérbal dressé par M* Ri- I chard, notaire k Pont-Sainte^Maxence, I le vingt-neuf mai mü neuf cent quatre

E t enregistré#I le vingi-nei

Sadrtsser pour les rensetgnemems. i gujii0pgUfé ;1* A M* Gaston LOIR» avoué k l Contenant adjudication de<Uversim-

ggnlig. I meubles, situés terroir de VenieuU-sur-2* A M* DIBT, notaire k '^épy-en-1 Oisè ;

Vklois. Pour insertion : Signé : O. LOIR»

A la requête de :1* M. Marcelin Thiertr, retraité du

I chemin de fer du Nord, et Madame Louise-Olympe Cousin, son épouse, de­meurant ensemble k Viflers-Saint-Paul;

2* M. Bénoni Thierry, retraité du chemin de fer du Nord, et Madame Jo­séphine Trouillet, son épouse, demeu-

I rant ensemble k Vemeuil-sur-Oise ;I 3* M. Charles-Louis-Alexandre Du>' chauffeur et Madame Marie-Constanee Pruneau, son é[K>use, demeurant en­semble k Chantilly ;

A ar. 2aBtuda da M* «AIMTE-BKBVK.

avoué k Seidis»

V E T ^a m ite lta tfo v -----------------------•'> , . .

à jt fMchéi^eurX d* M. Henn Bouffé, propriétaire, et.l'M adame^'^-Adèle Rety, son épouse,

D'UNE I demeurant ensemble k < ^ il ;5» M. Jules-Prosper Dartois, institu- T ,^revcA^1.^mî1lO

fROPRlÈTÈE T D lP U iD A H C tS

Bitqée b Montitaira.

EN XJN SEUL LOT^_____

L’adiudication aor» lieu le MARDI SD NOVEMBRE 4 9 0 4

Etude de CA RPEN TIED , notaire au Grand-Fresnoy (Oua).

V E N T E W O B I L i È R Ei « Lvmamohe 6 Novembre 1904,

à midi et demi, et le Lundi ? Novembre, mime heure,

A CANLY (Oise), itpnR la propriété dite « La Mmson

Blanche a. '

son épouse ; ^ o u r autre partie : Louis Cossin et Marie-Marcelline-Carol^e iPPUchard,’ son épouse ;

Art. 7 et 8. — Epoux Beaubonne- Guillet, sus-nommés;

Art.-9. -r. Théodore Brucet et Louise- pfügénlé yivieu; son épouse ;

Art, 10. — Indivision d’entre Pierre Chambrelant et Virginie Parage, son épouse ; Clément Legeune et Amélie Chambrelant, son épouse; et Eugène- Emile Chambrelant;

Aat. 11. — Pour partie : Pierre-Fran- çois-Maurice Havy et Angélina-Eiisa Grison, son épouse ; et pour autre par­tie : Philippe - Eugène Menéssier et Hélène-Louise-Virginie Grison, son épouse ;

Art. 12. — Louis Douche, dit Au-. rore. DÉSIGNATION

■Art. 13. — 'Hiéophüe Frémy et Cé-1 Assiettes anciennes, Étains,hne-Mane-Pauhne f^richot, son épouse ; | ^ ^rcelaiaas. Objets de fan­

taisie lyàses. Coupes, Statuettes, etc.), Meubles de talon (Vitrinp, Console,

Secr4tiut-e). , ‘ „ V , iGrande Lampe de salon Empire, Lus-

tre en cristal.S r e ü S , tous'l^JïùrikT da'im ünrell Pendules, CandéUhres, Glaces, judiciaires, conformément k la loi. | P i a n o à queue. Orgue.

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et 24X»). ,Une TictoriarDuo, un Cheval.Et quantité d’Objets divers

Elude de M' AMOURIQ, huissier b Attichy (Oise).

C B ï 3 à l D C a C B .Pour se retirer des affaires,

ÉPICHIE, _avec

Café, Burette, Restaurant, dans centre industriel de l'Oise.

S’adresser k M* AMOURIQ, huissier.1238

P IN DE SAISO N

SignéPour insertion :A. SAINTE-BEUVE.

j A»A. • UAca ry . *ri „ ,teur, et Madame Lomse-Emilie Cossin, son épouse, demeurant ensemble à Rully (Oise);

I 6* M. Emile-Charles Bert, voyageur I de commerce, demeurant k Paris, cours de Vincennes, 37 •

7-

Ab.t. 4.Etude de M* SAINTE-BEUVC,

avoué k Senlis.

S é p a p a t i o a d e B i e n s *

D'un jugement rendu par le Tnbund civil de Senlis, le vingt^six Octobre mil neuf cent quafre, enregistré ;

Au profit de Madame Valentâne-. Marie-Anatalie Goret épouse de M. I Emile Mont&on, tonnelier, avec lequel 1 elle demeure k Senlis, ri-devwt et | actuellement k Crécy-en-Brie (Seine-et-1 Marne ; I

E t par défaut contre le sieUr Mon- IT&0N ; In appert que la dame Montxon a été I

déclaré séparée quant aux biens d’avec I le sieur Montrok, son mari.

Pour extrait :1258 Signé : A. SAINTE-BEUVE,

A, D o ld e p :

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A a d é ia ll : 4 8 6 f r .

U o « X e l e c y c l e t t e G riffo n2 ch. 3/4, 1 ^ , soupapes coninundées

U n e f f l o to e j c l e t t e P e n g e s t2 ch. 1/2, 1904, état Muf.

Faire offre k C. M., 25, poste res tante, Creil (Oise). 1226

An Comptant. — 10 '/ .1251

nikKSSS W IrRF w » I p0C, Cu IVldrlbftiblO ^à une heure de relevée, , . j nestine Dauphine Dauphin, son épouse,

en l’audience des criées'du Tribunal civil l^gj^g^yant ensemble k Paris rue Mon­de Senlis, séant au Palais d-« Justice I gaiiet, numéro 24 ;

Ab.t. 5Suivant conventions verbales, les héri­

tiers de feu M. Marcel BanuAT, ont iDcennes, vendu la Pharmacie que ce dermerM. Hyaciathe-Oeorges Bert, ta- explMl“ ‘ pissierV et Madame Emïlie-Auguetme üonale, miméro .3, à M. Boemouonon.

Bérouard, son épouse, demeurant en- Les oppositions seront reçues cnei semble kBoulogne-sur-Seine; M. Booroodonon, audit lieu. lafs

8* M. Charles-Henri Bert, typogru- Iphe, et Madame Henriette-Jeaime-Br-

de senus, séant au rai»*» i i , .r .— de ladite ville, rue de. la République.

E n exécution d’unE n exécution d’un jugement contra-1 i. — m. i^rueiie, sus-uuiuu.c. dictoirement rendu par fe Tribunad.ci^l Trente-cinq ^ e s cinq^nte-mnq cen^) , de première instance de Senlis, le <2x1^08 deterre, heu dit l .^ g iliè re .-- C a-|

mil natif cent Quatre, enre-1 dastrés section C, numéro 1G9 (Arti

Au profit de .I. — M. Druelle, sus-nommé. —

09 prclUiai-R —-----Vseptembre mil neuf cent quatre, enre- ^gtré et signifié

Aux requête, poursuite et diligences de :

Monsieur Jean-Justin..ï)eret, coiffeur, demeurant k Paris; ' rue du Faubourg- Saint-Martin, n* 9,

Poursuivant,

f es LaC b b —, ùav va v a a a. v .dastrés section C, numéro 109 (Article 2 de l'enchère) f i

Moyennant le prix de suc cent gua-^treo'^ngts francs; \

n . Mf Semay, sus-nommé ; ;1 1* Dou^e apes tpente-sept centiares de■terre, lieu dit Longrouet, Je Chemin de Creil ou les Longues Raies. — _ Cadas?. Tb aQ8 p3,pti6 , (Art*

BTU9S8 PB H** 6Me*r 8A% ADY, avoué k Senlis;

U ÉZ IËB E , notaire k Betz.

VEWTE

Etude de « • M4 H DEI.ET, notiùre b Nanteuil-le-Haudomn.

4 ^ ( 3 S £ S l C E > a S X APar suUe de d,éoès,

UNE

p e t it e ferm e. avec

4 5 H e c t a r e » d e T e r r ee a e a l tn re ,

I à 5 kilomètres d'une gare et b proriroité ‘ d’une râpene.

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DEfflÂNDESJT OFFRESSous cette rubrique, nous insérons

les demandes et offres d'emploi dont le texte ne dépasse pas cinq lignes.

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Envol franco du catalogue* ainsi que du dapA cata du Journal 'ejfleiel eonceruaut la loi sv les eaux potablas votée et promuinét U 19 février 1902 et mise en vigueur le 19 ftvna 1903.

S'aoBOieBa a MU.

L. JOSET e t G‘*, à B a im e s (Hori;Fournissenn de la Compagnie des Chemin

de fer du N dr^ des Chemins de frr de Pirii i Lyon et à la Méditerranée,- et d'autrei gnada C om pares, ainsi que d'un grand noahn éi Communes.

NOHRRKUtU RÉFÉRIROU Ponctionnant à plus de 100 mitres.

Ville de Paris, Exposition 1900. MEMBRE DU JURT ~ HORS COKCOtJM

RoprésonU par M M AV6SB. «re.-gèomèt» b Chantilly.

VMtaUo JOntur» <M Mmwm

• u r la ie ita tlo n

DE. : UNE

Etude de M-k Nanteuil-le-Haudouin (Oise).

A . V E N D R Eà Vamiable,

BEAUX PLAXTSDB

PFllPL’EK KÉGËYÉRËSDE TRO IS AN S

C idre à V endre | *««»■ ”«**'» **chez M. HEURLIER, k Thury,

4 0 e e n t . le l i tr e , pris au press^^

DE : UNE I ,

P R O P R I È T È P R O P RI I V V i / l 1 1 l a » I J — S i s e b NANTEUIL-LE-HAUDOÜIN,

L A K A B I L I N E

L A K A B I L I N E

S r a v o u é constitué M-Smuta- Beuve, «m aurant k SenUs, rue de la I ji^g jjpaut le prix de deux cent République, 17 ; ia jm. I

En présence ou lui dûment appelé de. I g. Treize ares quatr&rvinrt-quatorze Monsieur A û ^ste Bèrthon, ajusteur, et demi de terre, lieu dit la

. . . a -------------------- _ Hamelin.— CadastréssectionD,àméro 182. (Art. 11 de l’enchère).

_ j»* «?»,“**“-. - i - x f i V ' r 'T I Moyennant le prix principal de dctM?thon, Emüe Berthon et Justin ^ r th o n , I vingt francs. ■«AS trnia enfîmts mineurs issus de son I . . . . . . . ,union avec ia dame Jos^hino Déret, sa] H. — M. Gmnot, sus-nommé . défunte première épouse, .1 . x* Quafrrze aras de bois, Ueu dit le

Avant pour avoué constitué M- Savary, | Haut de France. — Cadastrés section A, dem-eur^t b Sentis, place Henri-lV,inmnéro 913 partie. (Article 4 de len- n* 15: * • I chère). . I

E t encore en présence ou'lui dûment Moyennant le pnx do quatre-mngt appelé do • I S'cmse francs,

Ttereeron rentier. I 2" Quatre ares huit centiares et denu demeurant b Puteaux, df, avenu» de la i demi de bois t ^ i s , lieu dit le Fond duD é f e n s e d e Paris, subrogé-tuteur ad hoo I Charron. — Cadastrés section A,des ^ e u r s Berthon susnommés ; I méro 687, (Article 7 de 1 enchère). ,

n ™ v S “ e Stardi vingt-neuf ^ j e û n a n t le prix de so«a«te-c.»î novembre mil neuf cent quatre, k une I f r a ^ e .heure de relevée, en l’audience des! IV. — M. Caplam, sus-nomn^ . criées du Tribunal civil de première I 1* Neuf ares treize centiares de terte, instance de Senlis, séant au Palais de ! lieu dit les Grands Esquilles. Cî^ Justice de ladite ville, k la vente sur | dastrés section A, numéro 376. (Art. 5 licitation, au plus offrant et dernier en-|de l’enchère).chérisseur, de la propriété ci-après dési-l Moyennant le prix de cent soixante- gnée sur la mise k prix suivante. I dix francs.

I 2* Neuf ares cinquante-sept centiares D S B S O n Jb âlV X l I demi de terre, lieu oit Derrière le Ma-et

U ne Proprliété* située k Creil, rue I rais. — Cadastrés section A, numéro de Montataire, n** 73 et 80, compte-1770 partie. (Article 9 de renpbèrc).

' Moyennant le prix de cent soixante-

Située à B E T Z ,eomprt^iomt

A i a i s o i i e i t J a r d i n »' L'adjudication aura lieu le

BIMANCBE 6 IiO V £.M B BB4904,à deux heures de relevée,

eti l’Étude de M!iMéz;ènB, notrire k Betz,

et par le ministère dudit M* MéziArb. Sadresser pourJ.es renseignements : 1* A M* Oacxa SAVARY et MO­

RAND, avoqés k Sentis;%* A M* MÉZIÉRE, notaire kBete.

Sise k NANTEUIL-LE-HAUDOUIN, rue Gambetta,

actuellement itivisée "en appartements, susceptible dêtre habitée bourgeoisement, contenant dans son ensmible 57 pièces d’habitation, ecunes et remises, bûcher et communs, cour m jardin, d'une contenance totale de t suu mètres environ.

Pour tous renseignements et traiter, s'adresser à M 'M A B D E L E T .n o ta i^

Etude do M* SAINTB-BEIJVÊ, avoué b Senlis.

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SUK COSVBRSION PB SAISIE lUMOBILlbBBd'un

Etudes de M** FERTÉ et PETIT, notaires k Senlis (Oise).

A Vendre par adjudication volon­taire, Maifiou avec Jardin, b rran^r et 4 0 a re s 8 6 J ee n t. de T ^ r re . si­tués k Bray, commime de Rully, le Dimanche 2U Novembre 1^4, k deux heures de relevée, en la Maison d’Ecolé de Bray, par le ministère de M*' Ferté et Petit, notaires k Senlis.

avec

nant :Un bâtiment sur la rue construit en

'* ■ ' srre-p’ 'a u n re i-U O -V U < « * aa « 4 i ann 'aa* ' va» SfiUe »<HMAAaovaa *vo K./AAVAVM-./ -débit de vitf et salie k manger, d un pre-1 section A, numéro 234, (Articlemier étage divisé en deux pièces, cou-1 l’enchère),vert en ardoises. | Moyennant le prix de deux cent vingt

Un bâtiment sur la rue construit en I dix francs, pierres et briques, élevé sur lerre-plem I 3 . Dix-huit ares de terre, lieu dit les d ’un rez-de-ÿhàus^^e divisé en ^salle de I Qp^nds Jardins ou les Sablons, — Ca-

vert en ardoises.Deux petits bâtiments adossés au pré­

cèdent, construits en pierre et ‘ rois, consistant en une boutique d’épicerie et une cuisine.

Cour ayani entrée par la rue.Dans cette cour,A dro ite : \ g ' ~ "Petit bâtiment construit en pierre de I francs.

faîilflj couvert en ardoises, consistant! VI. — M. Frémy, sus-nommé . en une cave avec une chambre au-des-l çinq arcs quarante centiares de eus, I bois, en cote, Ueu dit le Vieux Mont. —

A la suite : autre bâtiment construit | section D, numéro 1245 par-1 pierre et bribues, élevé sur terre-1 (Article 8 de l’enchère), lein d'un rez-de chaussée divisé en I Moyennant le prtx de cent francs.

francs.I V. — M. Pinsson, sus-nommé :1 Neiif ares cinquante-sept centiares de ' bois, Ueu dit la VaUée Sainte-Geneviève.

Cadastrés section A, numéro 1192 partie, (Article 6 de l'enchère). _

Moyennant le prix de quatre-vingts

en ,plein u uu 104-V4W .A-—•. --deux celliers et deux pièces, d un pre mier étage divisé en trois pièces, gre­nier au-dessus couvert en araolses.

A gauche : autre bâtiment construit en pierre de taille et couvert en zinc, consistant en deux caves, élevé d'un étage divisé en deux pièces.

Escaüer extéiieur pour y accéder Puits entre les deux derniers bâti­

ments.

.4 i,AA.*V ^ VAW . . . !Moyennant le prtx de cent francs.2* Trente et un ares dix centiares de

pré, lieu dit les Epinettes ou la Tor- nioie. — Cadastrés section A, numéro 593. (Article 13 de l’enchère).

Moyennant le prix de cinq cent trente francs.

yII. — M. Grison, sus-nommé :I Traize ares quatre-vligt-dix-sejjt cen- I tiares de terre, lieu dit la Vallée Sainte-

ienis. I Geneviève. — Cadastrés section A, nu-Le tout d'une contenance de deuxljjjéro 1151 partie. (Article 12 de l’en-

cent soixante-sept mèti-es, tenant pari obère), devant la rue, d’un coté et au fond Mon-1 Moyennant le prix do sieur Gosse et d’autre côté au fossé de « - -----u vaie.

M I 9 f i A P B f XOutre lés clufrgés, tdapsiM et condi*

dons insérées au cahief dés charges.

deux cents\ francs.' y i l L M. Benaut, sus-nommé

Onze ares soixante-cinq centiares de terre, lieu dit le Fond dé Naillon. Cadastrés section B, numéro 474. (Ar-

' ticle 14 de l’eDChère).

TERRAIN A BATIRSitués k VAUMOISE.

lieu dit le Vieux Cimetière, sur le bord de la route de YiUers-

Cotterêts,

L'adjudication aura lieif l« B lm abohe jpO A^ovemfcre4904j

à deux heures de relevée, en l’étude et par le mutisUre dè

M* MardkIaBT, notaire k Natitèuil-le- Haudouin, commis k oet effet.

Sadresser pour les renseignements :!• AM» SAINTE-BEUVE, avoué k

Senlis, poursuivant la vente ;2* A il» MORAND, avoué k Senlis,

présent k la vente ;3» A M' MARDELET, notaire .k

NanteuiUc-Haudouin, dépositaire du cahier des charges ;

4» Et k M* EYMARD, huissier k Cré- py-en-Valois.

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C H A N T I E RSis k CRÉPY-EN-VALOIS,

enfre le boulevard Victor Hugo et la rue de Paris

(8 . 0 0 0 m è tre s de snperflo le enTlran).

avec jardin, hàngat, écurie,’biw au et voië de raccordement au chemin de fei^et'vagbUnets,

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à partir du î** Janvier J905.

S’adresser ; k M* PILLBBOUT,notaire’ k‘ Crôpy-én-Valois, ou kl’Urine CLAIR. U 88

Etude de M* FERTÉ, notaire k Senlis,

rue Bellon, n* 18.

A vendre k l’amiable, u n e IHaisen Bonrj;vol%e située k Senlis, faubourg I de Villevert, rue du Moulin Saint-Rieul, n* 18, avec porte de sortie sur la rue C arnot.^ S adresser à M'Ferté,notaire j k Senlis.

Etude de M* PETIT, notaire k Senlis.

A vendre par adjudication volontaire, Waitton b» n rzeo iee , sisek Coye, rue! des Cornouillers, n* 27, et 1 hectare I 25 ares 90 centiares de terre, pré et bois, i aux terroirs de Coye, Luzarches et Chaumontel, le dimanche 6 novembre 1904, k deux heures, k Coye, en la salle de la Mairie.

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Etude de M* Georges LOMBOIS, notaire k Précy-sur-Oise.

Maison» sise k Gouvieux, rue de Chantilly, à vendre par adjudication- volQfitatre, le Dimanche 6 Novembre 1904, k deux heures de relevée, en l'une des salles de la Mairie (U Gouvieux, par le ministtoe de M» Lombois, notidre,

AVIS I M P O R T S H TPour toutes les insertions p o r tâ t

cette mention :S’adressep au Journal,

toute demande ]de renseignements doit être accompagnée d'un timbre.

ZI ne sera répondu qu’aux lettres contenant un timbre pour la réponse.

MÊME ÉTV D l

MaiooDÿ sjse k Précy-sur-Oise, rue Coqüesié, quartier du Havre, à vendre lar adjudication publique et volon-

' \avre, le Dimanche 13 Novembre 1904, k dcu;t heures dé relevée, k Précy«sur- Oise, en l’Etude et par le mmistèi-e de M* Lombois, notaire.

Etude de M* THIROUIN,. notaire k Acy-en-Multiéh (Oise).

V ente M obilière , le Dimanche 6 Novembre 1904, k une heure de relevée, k Brégy, au domicile de M. Lhermitte, et par le ministère de M» Thirouin, notaire.

L i VIE UR E U SEI Ce n'est pas assez de dire que chaque [numéro de la Vis Ssureuse est char­mant. n faut ajouter qu’il offre tout ce que les femmes peuvent désirer dans une revue. Aussi la Vie Heureuse est-elle

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«i Sm att fitM M f u « « M M # « M l « M M

8 M ÏU .-

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iM ra é ta ea * w 1. . ' d 4VI

La séance figurera, danj mentaires, p été les plus tumultueuses sang à coulé j

Ainsi qu’or* était appelée L rinterpellatiol ■Villeneuve, aj tion dans l’ar gtoéral Andr encore que vd

Le ministr) et, aux faits prochés, auî sont demandé pondre qu’il ; menaces.

M. B risso raison. Puis pant la poitrir à recevoir ded

Le général] énumérant de des officiers victimes de

Un vif incid moment entr Guerre et M.

« Vous en j le général Jaq

Le tumult d’œil.

La Gauchej pellént, s’inju tendent et le ! dissent.

Le général! expression, elr inexacts. i

Une discu^ suit à laquelU Combes, Bert Leygues et m|

L E S O K I

L’ordre dul est demandé j refusé par le i

M. C0MBKs| du jour pur] question de ( en jeu.

L ’o rd r e du que le gouoè p a t , n ’est r e l m a jo r i té d e j con tre t tVV.

L’oppositia au général AI » Ailéz-vous plus de majoi

M. Brissor voix, au mil continue tou] l’ordre du jor Martin, Thoi c e t te p r i o r i t é voix contre

L ’ i » !E M I L E R i

I«*EI — Soit, ri *6 n’est plu Delorme. qn«. _ — C’est ti riant,_ Puis, dev

riense, elle ':— É t app— Après!— N ’a n b l

parlez à. la ^ tts est pe y o y o n s ,i '^ v a’aimep ma

■ .flICSÎ