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l.!±?t in DMjNlsTRTION & RÉDACTIOtI ,øt , 1;C.t1c . ioUL.OU g9IiOèS uz8iUX d JO1' gp gagss Cart$.PatUS 1umôro DX C.?)tin)eS r40s teader TAmerie aille iøiiird it1U VOUS Cfl tlit.CS, ile la. cui. fet- t:tnis améioai11S? 1n 4i3 O trié d paiX, à peia entré Ce paUd reçoit un peu par&'it U" i1S ' OR lui fait grise mine. jbet ae utre Côt3 4e l'Atlantique, ah! fi5. de1J le dépèce en qurtier, tout neS '' ur jeter au eourt4oufllon, yant, £0 a tarnériaine ïPat dc plus eu plus eertain Cardi3 rnei1derneuts seront' iflLCC)dUil 1 éuat acnéricaifl, dans le tetn mê- paf 18 rait. Il 118 SC contentera pas de w du réSOlU10U8 interprELatives qui oLer le fcIieUX effe de rtffatDLir ,9raieft importants : Il ira pi i ! portera une maiu profane su Fu- r'Ø' SI 1abOriCUSe11t mise sur , pied pa ugure (lu Conseil suprerne. b l'affaire du Chantoung, il sntble 'ien q&il n'y ait. plus de douto. L'attrbu- ou que l ojlf6ience de la paix u avcti aiLe au ne seF pas eonscrve par le StU unoricau1. COfliflfl b JdpOU ne- uelllera-til cLte d*cision? E si d- nanêe 1U autres signataires du traite 1e. liii garatir l'exeutiOn d'une claus' ac eptée 1jar eux, quo ferous-uous? vais le e n amriCaifl ne s'embarrasse ças pour si peu. La possibilité dui ccii- LUt nouveau UO pS pas sur ses dUbtta- I,ons. , eu Europe qlIe va. re la situa- 1ioa? lie S&it arntricaiu sorieite tt's iet.terncnt vers le reîus d'interrei dans te affaires de laaeien Continent. Il scm- ble disposé it repousser le mancLt (lu'Ùu vait donner aux Etats-Unis pou lAr- flftil et Consttmtinopte. Biet mieu&( La Soit de8 NaLion fai- ble garanlie d paix dans sz forrn ictueIle mais garatitie tout de môme, ne Lr)h\r )k1S gree devau lui. 11 ne veut &rc 'sauniis ausu[te obligation. Ii entend eu sortir a son beuro et à sa guise. L'ddiflce qui n'était pas ddjt.t très oIïde, est 6brauk du coup jusqua dans ses fondements. Que nous rosie-t--j!, nous, Ftancais, oaime garanUe de sdcurit6? A peu. près . 'H Veye4 par exeniple, la question dcs lroupes d'oeeupat.ion. Nous POUViCYL; CS- pf'I'er trouvec i.m eoncours important chez nos amis anricah.s pour alléger un peu le pools de cette charge. Ils devaiert nous Jafgsev cet effet 50,000 hommes. ciei u'aax derniéres nouvelles l'effectif qu'ils ntedet employer à cette besogne timbe 1.000 hommes Cest une dérision! Le traité de paL va se trouver bcntt't toute les garanties que nous iry0115 ians l'appui des Etats-Irnis. est en considération de ces garan qu'ils ont demandd t la Franco t; certain nombre de sacrifices impor- 1U( qui concer le chiffre des r&. 1.art.ions et le conditions de l'occupation un partie du territoire allemand. Dvnt ra t l3,Ct.0 défaitilance d'un des ecu- tert(at' Alleniage n'aura-t-db pas la !llu ¶Ie sc Soustraire aux obigations on ait impose? iivatjat memer par la graviti de a Le °PrSente, l'imporianee de la tiu- flisÙce. COmiyjs au moment (1'3 l'ar- Noue i&s iamais asso qu'il fallait, lAi%amg; e UOVetnhre 1918, im)oseU à ucnt, maiq On seulement le desarme- 'Udemn Ve'semertt imn-i&liat d'une 5ommes fJOLtat valoir sur les sa cha f1'a1te mettiait ultérieure- Mars cette g . t4r cl!e, Qui j1te l)remièro fut aggravée travail la suivie. iamftliode de Hefas1 unférence dc la Paix fut Ûpour ne que dc erreurs de notre °uvern . : lort ' ILQt, n est-il pas eer(.alri qu i L ele Plus grav5 tort nos intérêts en .MP.ant la PréSidcneo de la Cônf&reiieo PI magiflq honneur, sans doute, 1qu1 pot[Vt Chatouiller agrahlement a eil d COLUt qui e était I'obet.. Mais, las fltrpartie a dù accepter de faire 1ou . en flernj lieu les questions qui e01ent 4a Peaues Quand leur tour at Cfl0 laiaLoSPh0 do la Conférence ialit P108 . Le sentiment do la A1li5 s'était émoussé. Lest lr °SLes S'étjt opposés. Nous ne '?t'° '. et les ga- sacrifices immen- f - -LL U1 incontestable droit.. fttO[aflt qu'allo5.05 faire La 1a bort aujourd'hii le d6bat sur io, d '" du teajié. Comme je l'ai dit utIt5 raisons Pouvaietit lions - ttlr ° Voter cette ratjfieatioi Le re- 'ran: tAlsac, et de la Lorrajue la ri05. Prineip0 de ' la réparation des tica lilia1iim, . embyôti do lSgisla- icnt nat10110 Iremiers fonde- tOl4k, I e de Natins et, sur- l l: Lwle1!l1aLiGit du réLabjjement d Oonati,. uji i1SeIflhle do con- a twe asse eut' rian. TLÉPHgNEO.43 QUOTID;EN SOCIALISTE REGIONAL , bien des insuffisances. lals aujourd'hui? Devant la fait nouveau d l'attitude du Sé.- mg américain? Le traité n'a plus la niêm valeur. Et c'est une responsabilW bien grave que d'entrimer un acte diplomati- (IUC déjà battu en brèche, avant mémo que son application ait commencé. Une commission de trois membres nom- niés par la société des Nations, devait ad-. . ministrer le régions occupées. Que sera cette commission il . l'Amérique n'y figure Nous somme.' unne de wt I incertitu- do la plus gt'ive . Plus quejamais, la viiiianèe despeuples . doit c'ontr1e.r et pourser les giuveriwrnents Les diplornitie, olfirtolles sont en traii,,, (le faire one nouvelle et retertissanto fail- lite. Le traité qu'elles ont fabriqué tombe cri pièces dès maintenant. II faut le rcpren_ I cire à pied d'oeuvre et bâtir, sur d'autres principes et par d'autres méthodes, la maj- son ciç la PqL Pani AUBBWT. chas t uveiIe E PAS Au CtUr de voyage. en Alsac&L,. losnie le cartge préldenIiel euta 'ns Mer- Ilange, une vieIlle femme (lemn ( 't au tiC UOS confrées de la presc, en lui désigu'unt M, Pela- caré : Est-ce qu'eu. peut s'approcher (hi présideat ? Celui-ci lui ayant répoiitu l'efanitive, elle eut cc ci au coeur . Alors cen'est pas celui-15 qui estCu(Zié ? Elle pensait s l'autre prési(lent, celuI du ofls. ,** . rReCA(jTioN TRJGIQ.U. . il y a nue pIaisanteiA ciue lea o coutume de faire tians l'aviation, aux jeuoes baisais. Lorsqu'an jenue liomoi dans no aérodrome pour appredv le dgeux mCttei' d'aviitear, les vétérans ont coutume de liii dire :. . . ., * I:t clabord cui %'i iot hibilit )n ioos dernier une onbin-ismi ». . . . . L'apren1i . aviateur et bleu routent b vè- tir la famcuseombinainn c1uH In £ii4 tout de suitc resombler i un vdritable aviateur. Pou- tofois sOn.surirc se figebientôt lorsque e vt- tértin ajoute C'est en cas deehdTe : le-s membtes e éts- peseut. on retrouve parfois un li ou one jambe iL elIqTnnte riiètres; pa,rfois Inriu' on n les retrouve pa ee la cornbinsisc;n, tout est. ainst runi dans le même sac. ** . ou LE MERCiNTÏ SE REbli"FE. Il y a, dans la i1Ie Ie Champiguy-sur-Marne un èpicier qui vend du sucre ti ses bons clients seulement: ceux qui n'oehèfent pas cher. lui une quantitè minimum de patei alimentaires et denrèos conialcs peuvent toujours aller voir s'il pousse des baraques Viigrain sur la pice du Marché. 111cr une dame, un peu ctiocnc de 1'ac.ieil dnu6 de courtoisie que lui fit le commeriant, évoqua certaines scènes d'action directe od le mercanti n'eut pas le plus beau rôle, Elle rap- pela de récentes ournos de consosnmaicurs dans te maquis parisien et appela de tous ss vfrux de sembabIes 1seeotrs 'te justiee Champigny-snr-Maru e. Alois 1'tpieier saisit drns sa eusse un ré- volver et le brandit sous le nez dc li m.nag?e terrifiée . . . . . - Qu'ils y 'lnnnt t s'écria-t-il ...,Te sanr ls recevoir... C'est vee a tue e les servirai. lf. le commissaire de potier de Ciiampigny est prévenu... L'épicier détient. des aruneaux qui ne sont pas prévus sur le tableaiv du ravitaiflement. UN PIIILINTI1ROPE. Tn industriel tic Lyca a revu la viste de ses ouvriers. - Nous demandons, (lirent-ils, une augnica- tation de vingt-cInq pour cent. Parfeitement, dit b patron, c'est enteru, mes amis. D'ailleurs je n'ai pas que iles des ouvriers, j'ai aussi des emp1oy. TI est iiste qu'eut amsi soient augmentés dc 25 pOur cent. Le journal lyonnais qui publie cette informa- t.ion ajoute " Ce trait de géoérosilé patronale mérite d'ètre èbruité Sans tOUtt3. MaIs on voudrait biøn savoj de combien polir cent ce bon, ce providentiel, ce philanthropique industrièl n raugmenté ses produits. Ça aussi, cher confrere, mérite sans doute t1'ete briité. ** VOLTAIRE ET LE TANKS. Ønand on écrira l'histoire des tanks, il ne faudra pas oublier M. de VoltirC. À l'auteur de Zeire revient sana conteste le titre de pré- curseur. De extraits de sa correspoadance. ilatOs des. premières années de la guerre de Sept Ans, Veut nous le prouver. Volet e dbuL d'une lettre que Voltaire adres- sait cii mai i757 au marquis de Florian « Mon cher surintendant des chars de Cyrus, j'ai oublié de vous dico qu'un petit relire sur le char, avec une demi-douzaine de doubles gre- nailes, ferait un ornement fort convenable. l'ai honte, moi barbouilleur pacifique, de songer Ii des machines de destruction, mais c'est polir ddfendre les lionnétes gens qui tirent ma! ctin- tre les méchants quI tirent trop bien. On verra malheureusement et trop tard qu'il n'y a pas n yrie CRIAJE OÔ ACCIDENT ? Ou se rappelle çue l'amiral Mornet, qui as- sistait avec son aide do camp à une fêle locale, avec fantasia et coups dc fusil, fut atteint dune halle au s'entre et son officier d'ordon- nance blessé l'pule. . Le douta qui plane sur cette triste affaire lais- s Supposer .U'OL1 se trouve non point en pré- seuce d'un ecident, niais bien d'un attrnt pré- inédit& On connaît 1 eampagr,i a anglieae . menée aupr de sarablsant et des pOErtisans de l'émir l?tlyQl. - Le Tfftes Vi !ui4'u' dire qu'une iévolut.lon se pr*dui*i% e $'rie 4 1e troupes franaise u_l&l l cnUngont aunais u4 eat I1 lel Ô*i*aUaI aur c,eritolce. !tUX L'ANGLE1'EUftt RAPATRW LES L1USONN1ES ALLE'iIANDS Berlin, 21 août. L'état-major du groupe du lihin a fait savoir que le liant commandement anglais avait notffli h tin officier de l'état-major ai- lemand do la tète de pont do Cologne ue le rapatriement ds prisoruiiers allemands détenus en Angteteri'e commencerait le Sti aoûL Tous les (toux jours 2.000 prisonntcrs seront, reniis à la commissiosi de réeepton dc Cologne. . - UN COMPflOMS POUR FIUME Londres, 27 août. ou mande de Paris au c Maily Telegrapl que le règlement concernant la question b l'Adriatique serait lè suivant : Fiinne serat cédé à l'Italie, niais elleci louerait pour Ptl anse le part libre do Fiume h. la Ligue (C3 Nations. Ce plan est actuellement soumis nu président Vilsou Aw E4s-Uns L'tflN)MTiON AU SENAT \Vasliington, 27 aoûL La commission des affireangèreS du Snat a voté par P voix cont.ri 7, un aRien- dernent au tt'aité de pair supprimant la j participation des Etats-Unis aux travaw la commission chargde de fixer la faon- tl(i're entre la Belgiquo et l'AIieinagne WILSON MANCEUVRE New-York, 27 août. La (' Naiionat F.oenoillic Leagué » dont Le président est M. Taft et (jui compte parmi ses membres d'éminents magistrats, profes- seurs, banquiers, manufacturiers, etc., s'ea, prononode par 519 \'OiX contre f60, en ra- veur de la ratifleation du traité sans délai, ni réserves cocretivcs. On ann,oneo qua te ptésident \Vitsou n coumiencé sou aetioi OÏL Vue (10 faire éltoiier l'amerl(lement dii Chantoung qiiand ii ViI!IdL'a devant. le Sénat Le président iL conféré longuement avec Je sais t 01) de choses dt-iI,'onvcut mc f. Paris, 27 août. M: JudcL n enfin coueuii a recovoir un journaliste. C'est le correspondant du « Pc- tit, Parisien » CII Suisse, qui a recueilli ses confidences. ' o Je anis trop de ehosOs, dit l'ancien di- recteur de 1' icIair » et l'on veut me tai- re disparaître. » Indiquant par U qu'il n'a pas l'intention de déftrer fvitation de la justice fran- Çaise, M. Ju4ct ajoute : (( JO 1110 plais Où e suis et j'y reste. N'ayant pas de fortune, jo travaillo pour vivre et, en attendant de reprendre mon activité jourimalistiquc, je m'occupe de re- cousUtuer deux voIums de Pictcmt de Ro- chemont et je prépar? un ouvrage assez considérable sue la Suisse neutre. » Le corresptmd-aut ayant été reçu une se- concle fois dans la journée par M. Judet, cetuici refuta point par point les griefs fsrrnuiés contre lui et reproduits par les journaux. Il est vrai qu'au moment de cette entrevue, lXI. Judet n'avait pas encore con-. naissance du télégramiflo de vomi Jagow que nous avons publiée hier dès notre première édition. Il fut d'abord question de la sus- pension de 1' o Eclair », en 9l5, sur la- quelle M. Judet domine les précisions sui- vantes : (C A cette pôquo parut dans la < Revue de Lausanne '> un article au sujet des do- cunients belges saisis par les Allemands et publiés par CUL Il résultait de ces docii- ment.s diplomatiques mais sontils apo- eryphes? que la Franco avait une bonne part do responsabilités dans la préparation de la guerre, eu raison de on chauvinisme. J'ai reproduit ,cet article dans mon jour- na!, dit 1\L Tudet, en y mettant seuloment un titre. C'est pour l'avoir reproduit niai-. gré l'interdiction de l'autorité militaire que j'ai été suspendu. Vous voyea donc que l'affaire se réduit à des proportions mini- mes. Eu ce qui concerne les sympathies du (t Bonnet Rouge )) pour mes campagnes, je ne sais ce que l'on veut insinuer. Le Bon- net Rouge » n fait campagne contre ii l'Ac- Linim Française ». J'ai approuvé dans cer- tains cas, mais c'est de la polémique pure. J'estimais que la République ne pouvait arriver à un certain progrès dmocretique. Je ne suis pas partisan d'un coup de force pour la restauration de la monarchie--C'é- tait mon droit d'avoir une opiniOn et de la défendre. » Quant aux tractatiomis qui auraleut pu avoir lieu euke lui et Lenoir polir l'achat de I' o Eclair », M. Judet s'en défend avec ia plus grande énergie. iL SE POSE Er4 VICTIME Et l conclut : o 3e voias remercie d'avoir pris aponta-. nément ma défense pour l'extraerdinar iftf&inie doit je suis viotime, la mystitica- lion la plus paradoxale mnlée aux Ùii'.hi- naLion le, Øus odiusos; vous tieIni!'ux placé quapersonna pour savair qui ta pré- tendue imputatexm laimeé coutre ino une absurdi, 10 veste ne viudra pai : , -- le sénateur Swanson, un des leadersdénio- crates, et aurait exposé le ilan eéeutcr pour déjouer la tentative des républicains. .Ee président Wilsou aurait affirmé h M. Swanson que le vote de l'amendement du Chantoung compromettrait gravement le irate. s UN SE\ATEUR OPTIM1STI! Washington, 27 août.. Après une conférence avec M. Wilson, le sénateur llitohciock a déclaré qu'il prévoit laratifloation du traité dé paix enseptem- bre, ainsi que le r'ejet de l'amendement du Chantoung et (le tous les amenclonients au trait*5 sueceptibies ïl'exiger de nouvelles nc- gociations. T. . .-.' L'INCEI'TDIE DE LA MANUFACTURE DE PANTIN - . Paris, 21 aoCit;. Lii violcimi: incendie n éclaté ce matin i ta manufacture de tabacs de Pantin. Se plepageanf, rapidement. ji ii eoiRpitto-. nient (ldtrui1 divers hàtlmenfs , toute la manj.liandj, ainsi que (les dépôts de la- bacs priser. {'t aiisj qua un million cent mille kilos (le tabacs iL priser ont. ét(:. détruits. Yautre jiai', vers 7 heures. les toitures se sont éoiilé,e et elles oui en- sevLj sous l(Mtrs déaombrcs 'les machines qui servaient à La torréfaction et t% la fa-- bricotion des cigarettes. des hachoirs, etc. Las :lâtiOflt5 inCendié s. - étaient très viux, ce qui explique la .i' a!)idité aven a- queUe Fa [cii s'est ropag ; Irs pompiers n'ont pu rétiS5jr ii éteindre l'incendia va 11e TumauqUe (10 matériel. Ce n'est que ve 7 li, 3h que les pompiéls de Paris sont or- a'ivs lie 1eu, itcst pas coarpiètemerit éteint à l'heure acuelle. Les ckgilts ont. évalués ii plusi'eurs ,milljoiis, et te sjC!s- tre réduit inlle ouvrjer au -------- e Les peuples soumis n'ont d'autre. ai- ternative tine (l'être saiv(s par leurs niai- ti'es qui pourront, aussi bien, les perdre (telnaiu. » - G. Glenienecou (2 octobre 191i. Mahureix fiimeirs ! e disparaître. mieux. Mais qu'importe pour les calmnnia- teurs, surtout quand le poteau è exéution est is leùr merci I Je sais depuis longtemps, de la bouche la plus autorisée « qu'en p0- litique il ny a pas de justice «. Ce natiit, en apprenant- la moel du général dc Bdef- fre, j'ai relu ce billet que madressait I 3 janvier 1911 l'illustre chef de l'état-major français : (C Tout mes voeux et de tout coeur, je suis avec vôus dont le dvouement n tant ooatribué à garder française i'me de la Franc-e. » ! L'homme que j'ai le plus combattu, alors et toujours, dirige aujourd'hui la ma- noeuvre haineuse par laquelle lui et c-et'- tains autres essaient de disqualitier quoi- qu'un qui en a trop vu, trop su, et qui pourrait l4éc.riie . Meimsonge-,ltchoté, cruau- té, rien n'y manque et tout révèle la méme griffe. Quoi qu'il arrive, je garde fièrement la conscience de mon passé, je délie le pré- sent et je ne crains pas l'avenir L CELUI QUI V% !NFOLMER Pami 27 août Le commandant Julien commissaire tin gouvernement au 3e Conseil de guerre, a reçu, on le sait, du gouverneur militaire de Parsi, l'ordre d'informer contre M. Ernest Judet. La suite de l'enquête amènera peut-étre l'inculpation de personnages qui servirent d'intermédiaire dans les négociations enLie l'Allemagne et Ernest Judet, ou qui furent au courant clos négociations. I'I%lANI PRLE Dans une interview donnée udirec-leu. de 1' c Eclair ', Viviani raconte que qcl- que.s jours avant l'entrée en guerre de l'italie, un coup de téléphone parti de Pa- ris à Milan et donné par' une personne ici- connue, aurait entravé le négoclations, (C Çette conversation tendait à représem-iter comme à peu 'près nuls les avantages que l'italie pouvait retirer du traité de paix qu'elle avait signé avec les Alliés. (C Naturellement, tous ceux qui étaient, hostiles à l'intervention italienne se sont emparés de cette histoire mensongère et il a fallu démentir ce bruit qui,. fort heurcu- Sement, n été écai'té par le gouvernement - italien, auquel ,j'avais adressé M. Barrère. (C De l'enquête à laquelle j'ai procédé, il m'est apparu comme probable, sans que, dailleurs j'aie pu avoir une plus grande précision, quo M. Judet aurait été l'insti.. gateur de ce bruit. » SAISIE DE PAPIERS ET DOCUMENTS En verti d'instructions du commissaire rapporteur près le 3e conseil de guerre, M. Faralieq,-' ommissaire aux délégations jut.. claires, s'est rendu ce matin à Neuilly et n perquisitionné dans un garage où avait .té déposé du mobilier provenant de chez M. udet, actuellement en Suisse. M. Farahc9 n saisi d nomhreu papir et documlats qui ont ét déposéa au gr1Te du 3e eon.t.-iI d tierre La Guerre 4 DlTIONs PYRÉNE$ ET LANGUEÔOC TARN ET AVEYRON TOULOUSE ET ENVRON9 ABONNEMENTS 3 iaii 6 iioi, ?ranc 8 16 30 VtMnger 10 20 40 En Amérique L1NTERV}NION AMRlCAIW AU MEXIQUE Londoes, 27 août'- Selen une dépêcho do Washington, Ie Etats-Unis Pont dénidé ti'intervennir ai kiqnc'e les dispositions iitjiitairbs et vales des prélimiimajues sont déjit cotn- piètement prises. 14sévnemeats suivant doivent être considérés -inévitables : . 1. Lis Etats-Unis doiveut prendre la. 'dirction des affaires comme dans Le cas de Cuba. - 2. T! est dc fait iuis I'intcrvcntjon es. maintenant admise, quoique la date soiM incertaine. peut-être daus six mois o. auparavsant. ..- a La raison réeble ie l'intervention esti' i fait qie. la situation du M'exique n'est, Pris am-eliorahe e qu'aucune autre so-' 'lution poSilYtc n'appimrait. Les gquvernements britanniques ,.f-an- çajs. italien, comme celui des Etats-nUis.- se rCndent pleinement compte des faits e _c situation. En U5iC LIS ROUQES IN RETR!t!T-E '" Vaisovie, 27 août. ' Eu renforçant leurs pOSit.jOLiS sur front Beneain'a-Ptyea-Siusz, les Poona.i continuent leur avance. Dans la dji'eelioi d-r' .Poonk les rouges se retit"ent sui' la ri' l'e ctroti de ta Dvina occidentale. Les lroupe polonaises vont ainsi si-.' tCll(,im(',l ligne sti'atégjque qui -(Y,ot ccestjLunr là frontière orieniaic do Ii nouVelle 1ologne. Tes opérations ultérieu- ces de Iar-ée polcitiaise dépendent. du ce-' stiltal ides négociations entamées avec cj auti'cs forces ariLi'hOlch'evistes. Des pout'- parlers avec les Lit-hniens et tes Lettoa sci-it cii cours. N UKEUINE Londres. 2.7 ait. Sur 'le fs'en-(, eue-sI &i Denikjn, ta mgr' 'cb en avant contimie aime. tOUtC la ii:pi$ avec mie g-randa rapidité. long des deux i'ives du Duieper, 1e»! voontajres avatienL rapidonic-ut- dans ta djrcctjoii de Kjew. Suivat4des reflsêigae-' ients digues de foi, 1-es ho}ches'istes do tomte l'Ukraine sont démoralisés. Des radio-télégrammes bolchevistes an- ncincent que deux conspirations contre !- Soviets ont dl-é t&couverte-s -à Kjcn'. ileau- oJJup d'arnica cl 4e mUfljtiofls .pnt éV dé- ccivertes. L1?l PIUSE , ,Lmdres, 27 ao(it. '(Coimuuijqu6 du \Va' -r-Office) : je front ouest du g6nérnl Denjkjn avance .ra,pjde-mont. . il se confirme qu'Odessa u été iris pa -un dtanlienment d& volontaires, qui n liarqué, après (leuJ jours d-o bombardc-. ment, par mer et par terre, sous la prote4 tien de 30 navires do guerre anglais. 14ES BOLI!EVISTES ET L'ART La. commission 'rinirgée d'inventorie l-es bjen et trésors du tsarisme expr'oprié, ont trouvé dans 1-es greniers du palais d'luj- ver de Petrepawl-ask et -de Tsarkoié-Séo- des niilliers (le casse, envoyées jadis dc' Paris et de Roine, à I'iuué,ratrice Cat.lieni- ne JI - la geand-e Catli-eiine r,t qui: n'ava'oni muais été Ouvertes,. tu dballa.ge, plus do 5.00 table-aux c r3oo sculptures cls plus grand. artïsie français e.t iaijeIis du dix-huitième sié.: de. . Fr-agonard, Laneret. I Ton-r, Lemojn.- Tiepolo, Suardi, tictro. Loogni. lloudo-n, Bayoux, Olodion. '}rouet; sont reprérenté dans cette sorte 'de n'Iué-f, resté jusqu'1i 00 jour inCOOnU. 11 y n aussi de uomhreux tableaux des &0iCS bolantlajses et espa. gnole. Dans ce lot de olio-d'tjvae,. ji est de toiles, connue-s et (lue l'on cOns jdèrajt comme perdues jiôUr toujours. Le gouver- nement btil.chovisfe e confié h l'un tics cnn. serva Leurs do 1"Brm tag Bogoslouvskii le soin ïï classer et dc cataloguer ces ifl n()lmlL)uah es richesses. 1ir srt 1 aûfit. Sous toste-s -sci'VeS, fier so-jr, le bruit s'et répandu, au Palais de justee, que Me de ,Molènes, l'avocat (t Pierre Lenoir qui avait éiII reçu luucIj soir ii l'Elysée, aurait réussi t sauver son client d la fusliade ; Pierre LeOjs verrait la peine de i'noi't p.rononeéC contre lui eonimute -en dé.. tentiori perpétuelle ; il jrait achcver ses jOtIr ii l'ue du i)iahlo. .- . ,. Ls tatks 5r!s, 27 août. L'audjeiice' Ct ouvei*o t lienre '2. L'in... terrogato i'e roule, aujourd'hui, Sur des fii d'escroquerie dont Q tiien s'est rendu coupable dCpUjS son rapatriement. On passe-, ensuite. i l'auéiLion deS M. Wmdlacc. dc Latidrecies constate que ae-. cu9é obtena't feiiejne0t des pernijs5ioiis ('e Sortir de la, vj - Puis on clu..I les dépositions de M, Mail- laid, de 1'a Va.1IZ Curé de tielliguif'a. e de ia princesse l'are de Caug. - It déposition. de cette dèrojère pai'a't Plutôt £tvorable l'accusé. - Par contre. l& dépO5itlon 4e M, .Delfer'iea es-t -grave pour ulpé. M. feiforrtéreS Su la. déuorjatjii de Qu en, aV:it étui arrété l) li's Afletuand ur avoir caché quatre f u- tjf. -,- ---- Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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1 éuatacnéricaifl, dans le tetn mê-

paf 18 rait. Il 118 SC contentera pas dew du

réSOlU10U8 interprELatives quioLer le fcIieUX effe de rtffatDLir

,9raieft importants : Il ira pi i

! portera une maiu profane su Fu-r'Ø' SI

1abOriCUSe11t mise sur , pied paugure (lu Conseil suprerne.

b l'affaire du Chantoung, il sntble

'ien q&il n'y ait. plus de douto. L'attrbu-

ou que l ojlf6ience de la paix u avcti

aiLe au ne seF pas eonscrve par

le StU unoricau1. COfliflfl b JdpOU ne-

uelllera-til cLte d*cision? E si d-nanêe 1U autres signataires du traite 1e.

liii garatir l'exeutiOn d'une claus' ac

eptée 1jar eux, quo ferous-uous?vais le e n amriCaifl ne s'embarrasse

ças pour si peu. La possibilité dui ccii-LUt nouveau UO pS pas sur ses dUbtta-I,ons.

, eu Europe qlIe va. re la situa-1ioa? lie S&it arntricaiu sorieite tt'siet.terncnt vers le reîus d'interrei dans

te affaires de laaeien Continent. Il scm-ble disposé it repousser le mancLt (lu'Ùu

vait donner aux Etats-Unis pou lAr-flftil et Consttmtinopte.

Biet mieu&( La Soit de8 NaLion fai-ble garanlie d paix dans sz forrn ictueIlemais garatitie tout de môme, ne Lr)h\r )k1S

gree devau lui. 11 ne veut &rc 'sauniisausu[te obligation. Ii entend eu sortir a sonbeuro et à sa guise. L'ddiflce qui n'étaitpas ddjt.t très oIïde, est 6brauk du coupjusqua dans ses fondements.

Que nous rosie-t--j!, nous, Ftancais,oaime garanUe de sdcurit6? A peu. près

. 'HVeye4 par exeniple, la question dcs

lroupes d'oeeupat.ion. Nous POUViCYL; CS-pf'I'er trouvec i.m eoncours important cheznos amis anricah.s pour alléger un peule pools de cette charge. Ils devaiert nousJafgsev cet effet 50,000 hommes. cieiu'aax derniéres nouvelles l'effectif qu'ilsntedet employer à cette besogne timbe1.000 hommes Cest une dérision!Le traité de paL va se trouver bcntt't

toute les garanties que nousiry0115 ians l'appui des Etats-Irnis.

est en considération de cesgaran qu'ils ont demandd t la Francot; certain nombre de sacrifices impor-1U( qui concer le chiffre des r&.1.art.ions et le conditions de l'occupationun partie du territoire allemand.Dvntra t

l3,Ct.0 défaitilance d'un des ecu-

tert(at' Alleniage n'aura-t-db pas la!llu l° ¶Ie sc Soustraire aux obigations

onait impose?

iivatjat memer par la graviti de a

Le°PrSente, l'imporianee de la tiu-

flisÙce.COmiyjs au moment (1'3 l'ar-

Nouei&s iamais asso qu'il fallait,lAi%amg; e UOVetnhre 1918, im)oseU àucnt, maiq On seulement le desarme-'Udemn Ve'semertt imn-i&liat d'une5ommes fJOLtat valoir sur les

sa cha f1'a1te mettiait ultérieure-Mars cette

g .

t4r cl!e, Quij1te l)remièro fut aggravée

travail lasuivie. iamftliode de

Hefas1 unférence dc la Paix futÛpour ne que dc erreurs de notre°uvern . :lort ' ILQt, n est-il pas eer(.alri qu i Lele Plus grav5 tort nos intérêts en.MP.ant la PréSidcneo de la Cônf&reiieoPI

magiflq honneur, sans doute,1qu1 pot[Vt Chatouiller agrahlementa

eil dCOLUt qui e était I'obet.. Mais,

las fltrpartie a dù accepter de faire1ou .

en flernj lieu les questions quie01ent 4a Peaues Quand leur tourat Cfl0laiaLoSPh0 do la Conférenceialit P108 .

Le sentiment do laA1li5 s'était émoussé. Lest

lr °SLes S'étjt opposés. Nous ne'?t'° '. et les ga-sacrifices immen-

f - -LL U1 incontestable droit..fttO[aflt qu'allo5.05 faire La

1a bort aujourd'hii le d6bat surio,d '" du teajié. Comme je l'ai ditutIt5 raisons Pouvaietit lions-

ttlr ° Voter cette ratjfieatioi Le re-'ran: tAlsac, et de la Lorrajue lari05. Prineip0 de ' la réparation destica lilia1iim, . embyôti do lSgisla-icnt nat10110 Iremiers fonde-tOl4k,

Ie

de Natins et, sur-l l: Lwle1!l1aLiGit du réLabjjement dOonati,.uji i1SeIflhle do con-a

twe asse eut'

rian.

TLÉPHgNEO.43 QUOTID;EN SOCIALISTE REGIONAL

, bien des insuffisances. lals aujourd'hui?Devant la fait nouveau d l'attitude du Sé.-mg américain? Le traité n'a plus la niêmvaleur. Et c'est une responsabilW biengrave que d'entrimer un acte diplomati-(IUC déjà battu en brèche, avant mémo queson application ait commencé.

Une commission de trois membres nom-niés par la société des Nations, devait ad-.

. ministrer le régions occupées. Que seracette commission il . l'Amérique n'y figure

Nous somme.' unne de wt I incertitu-do la plus gt'ive.

Plus quejamais, la viiiianèe despeuples. doit c'ontr1e.r et pourser les giuveriwrnents

Les diplornitie, olfirtolles sont en traii,,,(le faire one nouvelle et retertissanto fail-lite. Le traité qu'elles ont fabriqué tombecri pièces dès maintenant. II faut le rcpren_

Icire à pied d'oeuvre et bâtir, sur d'autresprincipes et par d'autres méthodes, la maj-son ciç la PqL

Pani AUBBWT.

chas t uveiIeE PAS

Au CtUr de voyage. en Alsac&L,.losnie le cartge préldenIiel euta 'ns Mer-Ilange, une vieIlle femme (lemn ( 't au tiC UOSconfrées de la presc, en lui désigu'unt M, Pela-caré :

Est-ce qu'eu. peut s'approcher (hi présideat ?Celui-ci lui ayant répoiitu l'efanitive,

elle eut cc ci au coeur. Alors cen'est pas celui-15 qui estCu(Zié ?Elle pensait s l'autre prési(lent, celuI duofls.

,**. rReCA(jTioN TRJGIQ.U.

. il y a nue pIaisanteiA ciue lea o coutumede faire tians l'aviation, aux jeuoesbaisais. Lorsqu'an jenue liomoidans no aérodrome pour appredv le dgeuxmCttei' d'aviitear, les vétérans ont coutume deliii dire :. . . .,

* I:t clabord cui %'i iot hibilit )n ioosdernier une onbin-ismi ». . . . .

L'apren1i . aviateur et bleu routent b vè-tir la famcuseombinainn c1uH In £ii4 tout desuitc resombler i un vdritable aviateur. Pou-tofois sOn.surirc se figebientôt lorsque e vt-tértin ajoute

C'est en cas deehdTe : le-s membtes e éts-peseut. on retrouve parfois un li ou onejambe iL elIqTnnte riiètres; pa,rfois Inriu' onn les retrouve pa ee la cornbinsisc;n, toutest. ainst runi dans le même sac.

**. ou LE MERCiNTÏ SE REbli"FE.

Il y a, dans la i1Ie Ie Champiguy-sur-Marneun èpicier qui vend du sucre ti ses bons clientsseulement: ceux qui n'oehèfent pas cher. luiune quantitè minimum de patei alimentaireset denrèos conialcs peuvent toujours aller voirs'il pousse des baraques Viigrain sur la picedu Marché.

111cr une dame, un peu ctiocnc de 1'ac.ieildnu6 de courtoisie que lui fit le commeriant,évoqua certaines scènes d'action directe od lemercanti n'eut pas le plus beau rôle, Elle rap-pela de récentes ournos de consosnmaicursdans te maquis parisien et appela de tous ssvfrux de sembabIes 1seeotrs 'te justieeChampigny-snr-Maru e.

Alois 1'tpieier saisit drns sa eusse un ré-volver et le brandit sous le nez dc li m.nag?eterrifiée . . . . .

- Qu'ils y 'lnnnt t s'écria-t-il ...,Te sanrls recevoir... C'est vee a tue e les servirai.

lf. le commissaire de potier de Ciiampignyest prévenu... L'épicier détient. des aruneauxqui ne sont pas prévus sur le tableaiv duravitaiflement.

UN PIIILINTI1ROPE.Tn industriel tic Lyca a revu la viste de ses

ouvriers.- Nous demandons, (lirent-ils, une augnica-

tation de vingt-cInq pour cent.Parfeitement, dit b patron, c'est enteru,

mes amis. D'ailleurs je n'ai pas que iles desouvriers, j'ai aussi des emp1oy. TI est iistequ'eut amsi soient augmentés dc 25 pOur cent.

Le journal lyonnais qui publie cette informa-t.ion ajoute " Ce trait de géoérosilé patronalemérite d'ètre èbruité

Sans tOUtt3. MaIs on voudrait biøn savoj decombien polir cent ce bon, ce providentiel, cephilanthropique industrièl n raugmenté sesproduits. Ça aussi, cher confrere, mérite sansdoute t1'ete briité.

**VOLTAIRE ET LE TANKS.

Ønand on écrira l'histoire des tanks, il nefaudra pas oublier M. de VoltirC. À l'auteurde Zeire revient sana conteste le titre de pré-curseur. De extraits de sa correspoadance.ilatOs des. premières années de la guerre de SeptAns, Veut nous le prouver.

Volet e dbuL d'une lettre que Voltaire adres-sait cii mai i757 au marquis de Florian

« Mon cher surintendant des chars de Cyrus,j'ai oublié de vous dico qu'un petit relire sur lechar, avec une demi-douzaine de doubles gre-nailes, ferait un ornement fort convenable. l'aihonte, moi barbouilleur pacifique, de songer Iides machines de destruction, mais c'est polirddfendre les lionnétes gens qui tirent ma! ctin-tre les méchants quI tirent trop bien. On verramalheureusement et trop tard qu'il n'y a pas

n yrieCRIAJE OÔ ACCIDENT ?

Ou se rappelle çue l'amiral Mornet, qui as-sistait avec son aide do camp à une fêle locale,avec fantasia et coups dc fusil, fut atteintdune halle au s'entre et son officier d'ordon-nance blessé l'pule. .

Le douta qui plane sur cette triste affaire lais-s Supposer .U'OL1 se trouve non point en pré-seuce d'un ecident, niais bien d'un attrnt pré-inédit&

On connaît 1 eampagr,i a anglieae . menéeaupr de sarablsant et des pOErtisans de l'émirl?tlyQl. -

Le Tfftes Vi !ui4'u' dire qu'une iévolut.lonse pr*dui*i% e $'rie 4 1e troupes franaiseu_l&l l cnUngont aunais u4

eat I1 lel Ô*i*aUaI aur c,eritolce.

!tUXL'ANGLE1'EUftt RAPATRW

LES L1USONN1ES ALLE'iIANDS

Berlin, 21 août.L'état-major du groupe du lihin a fait

savoir que le liant commandement anglaisavait notffli h tin officier de l'état-major ai-lemand do la tète de pont do Cologne uele rapatriement ds prisoruiiers allemandsdétenus en Angteteri'e commencerait le StiaoûL Tous les (toux jours 2.000 prisonntcrsseront, reniis à la commissiosi de réeeptondc Cologne. .

- UN COMPflOMS POUR FIUMELondres, 27 août.

ou mande de Paris au c Maily Telegraplque le règlement concernant la question bl'Adriatique serait lè suivant : Fiinne seratcédé à l'Italie, niais elleci louerait pour Ptl

anse le part libre do Fiume h. la Ligue (C3Nations. Ce plan est actuellement soumis nuprésident Vilsou

Aw E4s-UnsL'tflN)MTiON AU SENAT

\Vasliington, 27 aoûLLa commission des affireangèreS du

Snat a voté par P voix cont.ri 7, un aRien-dernent au tt'aité de pair supprimant la

j participation des Etats-Unis aux travawla commission chargde de fixer la faon-

tl(i're entre la Belgiquo et l'AIieinagne

WILSON MANCEUVRE

New-York, 27 août.La (' Naiionat F.oenoillic Leagué » dont Le

président est M. Taft et (jui compte parmises membres d'éminents magistrats, profes-seurs, banquiers, manufacturiers, etc., s'ea,prononode par 519 \'OiX contre f60, en ra-veur de la ratifleation du traité sans délai,ni réserves cocretivcs. On ann,oneo qua teptésident \Vitsou n coumiencé sou aetioiOÏL Vue (10 faire éltoiier l'amerl(lement diiChantoung qiiand ii ViI!IdL'a devant. le Sénat

Le président iL conféré longuement avec

Je sais t 01) de choses dt-iI,'onvcut mc f.

Paris, 27 août.

M: JudcL n enfin coueuii a recovoir unjournaliste. C'est le correspondant du « Pc-tit, Parisien » CII Suisse, qui a recueilli sesconfidences. '

o Je anis trop de ehosOs, dit l'ancien di-recteur de 1' icIair » et l'on veut me tai-re disparaître. »

Indiquant par U qu'il n'a pas l'intentionde déftrer fvitation de la justice fran-Çaise, M. Ju4ct ajoute :

(( JO 1110 plais Où e suis et j'y reste.N'ayant pas de fortune, jo travaillo pourvivre et, en attendant de reprendre monactivité jourimalistiquc, je m'occupe de re-cousUtuer deux voIums de Pictcmt de Ro-chemont et je prépar? un ouvrage assezconsidérable sue la Suisse neutre. »

Le corresptmd-aut ayant été reçu une se-concle fois dans la journée par M. Judet,cetuici refuta point par point les griefsfsrrnuiés contre lui et reproduits par lesjournaux. Il est vrai qu'au moment de cetteentrevue, lXI. Judet n'avait pas encore con-.naissance du télégramiflo de vomi Jagow que

nous avons publiée hier dès notre premièreédition. Il fut d'abord question de la sus-pension de 1' o Eclair », en 9l5, sur la-quelle M. Judet domine les précisions sui-vantes :

(C A cette pôquo parut dans la < Revue

de Lausanne '> un article au sujet des do-cunients belges saisis par les Allemands etpubliés par CUL Il résultait de ces docii-ment.s diplomatiques mais sontils apo-eryphes? que la Franco avait une bonnepart do responsabilités dans la préparationde la guerre, eu raison de on chauvinisme.J'ai reproduit ,cet article dans mon jour-na!, dit 1\L Tudet, en y mettant seulomentun titre. C'est pour l'avoir reproduit niai-.gré l'interdiction de l'autorité militaire quej'ai été suspendu. Vous voyea donc quel'affaire se réduit à des proportions mini-mes. Eu ce qui concerne les sympathies du(t Bonnet Rouge )) pour mes campagnes, jene sais ce que l'on veut insinuer. Le Bon-net Rouge » n fait campagne contre ii l'Ac-Linim Française ». J'ai approuvé dans cer-tains cas, mais c'est de la polémique pure.J'estimais que la République ne pouvaitarriver à un certain progrès dmocretique.Je ne suis pas partisan d'un coup de forcepour la restauration de la monarchie--C'é-tait mon droit d'avoir une opiniOn et de ladéfendre. »

Quant aux tractatiomis qui auraleut puavoir lieu euke lui et Lenoir polir l'achatde I' o Eclair », M. Judet s'en défend avecia plus grande énergie.

iL SE POSE Er4 VICTIME

Et l conclut :

o 3e voias remercie d'avoir pris aponta-.nément ma défense pour l'extraerdinariftf&inie doit je suis viotime, la mystitica-lion la plus paradoxale mnlée aux Ùii'.hi-naLion le, Øus odiusos; vous tieIni!'uxplacé quapersonna pour savair qui ta pré-tendue imputatexm laimeé coutre inoune absurdi, 10 veste ne viudra pai

: , -- le sénateur Swanson, un des leadersdénio-crates, et aurait exposé le ilan eéeutcrpour déjouer la tentative des républicains..Ee président Wilsou aurait affirmé h M.Swanson que le vote de l'amendement duChantoung compromettrait gravement leirate.

s

UN SE\ATEUR OPTIM1STI!Washington, 27 août..

Après une conférence avec M. Wilson, lesénateur llitohciock a déclaré qu'il prévoitlaratifloation du traité dé paix enseptem-bre, ainsi que le r'ejet de l'amendement duChantoung et (le tous les amenclonients autrait*5 sueceptibies ïl'exiger de nouvelles nc-gociations. T. .

.-.'

L'INCEI'TDIE DE LA MANUFACTUREDE PANTIN

- .Paris, 21 aoCit;.

Lii violcimi: incendie n éclaté ce matin ita manufacture de tabacs de Pantin. Seplepageanf, rapidement. ji ii eoiRpitto-.nient (ldtrui1 divers hàtlmenfs , toute lamanj.liandj, ainsi que (les dépôts de la-bacs priser. {'t aiisj qua un millioncent mille kilos (le tabacs iL priser ont. ét(:.détruits. Yautre jiai', vers 7 heures. lestoitures se sont éoiilé,e et elles oui en-sevLj sous l(Mtrs déaombrcs 'les machinesqui servaient à La torréfaction et t% la fa--bricotion des cigarettes. des hachoirs, etc.

Las :lâtiOflt5 inCendié s. - étaient trèsviux, ce qui explique la .i' a!)idité aven a-queUe Fa [cii s'est ropag ; Irs pompiersn'ont pu rétiS5jr ii éteindre l'incendia va11e TumauqUe (10 matériel. Ce n'est que ve7 li, 3h que les pompiéls de Paris sont or-a'ivs lie 1eu, itcst pas coarpiètemeritéteint à l'heure acuelle. Les ckgilts ont.

évalués ii plusi'eurs ,milljoiis, et te sjC!s-tre réduit inlle ouvrjer au--------

e Les peuples soumis n'ont d'autre. ai-ternative tine (l'être saiv(s par leurs niai-ti'es qui pourront, aussi bien, les perdre(telnaiu. » -

G. Glenienecou (2 octobre 191i.

Mahureix fiimeirs !

e disparaître.

mieux. Mais qu'importe pour les calmnnia-teurs, surtout quand le poteau è exéutionest is leùr merci I Je sais depuis longtemps,de la bouche la plus autorisée « qu'en p0-litique il ny a pas de justice «. Ce natiit,en apprenant- la moel du général dc Bdef-fre, j'ai relu ce billet que madressait I 3

janvier 1911 l'illustre chef de l'état-majorfrançais :

(C Tout mes voeux et de tout coeur, jesuis avec vôus dont le dvouement n tantooatribué à garder française i'me de laFranc-e. »

! L'homme que j'ai le plus combattu,alors et toujours, dirige aujourd'hui la ma-noeuvre haineuse par laquelle lui et c-et'-tains autres essaient de disqualitier quoi-qu'un qui en a trop vu, trop su, et quipourrait l4éc.riie . Meimsonge-,ltchoté, cruau-té, rien n'y manque et tout révèle la mémegriffe. Quoi qu'il arrive, je garde fièrementla conscience de mon passé, je délie le pré-sent et je ne crains pas l'avenir L

CELUI QUI V% !NFOLMER

Pami 27 aoûtLe commandant Julien commissaire tin

gouvernement au 3e Conseil de guerre, areçu, on le sait, du gouverneur militaire deParsi, l'ordre d'informer contre M. ErnestJudet.

La suite de l'enquête amènera peut-étrel'inculpation de personnages qui servirentd'intermédiaire dans les négociations enLiel'Allemagne et Ernest Judet, ou qui furentau courant clos négociations.

I'I%lANI PRLE

Dans une interview donnée udirec-leu.de 1' c Eclair ', Viviani raconte que qcl-que.s jours avant l'entrée en guerre del'italie, un coup de téléphone parti de Pa-ris à Milan et donné par' une personne ici-connue, aurait entravé le négoclations,

(C Çette conversation tendait à représem-itercomme à peu 'près nuls les avantages quel'italie pouvait retirer du traité de paixqu'elle avait signé avec les Alliés. -

(C Naturellement, tous ceux qui étaient,hostiles à l'intervention italienne se sontemparés de cette histoire mensongère et ila fallu démentir ce bruit qui,. fort heurcu-Sement, n été écai'té par le gouvernement -italien, auquel ,j'avais adressé M. Barrère.

(C De l'enquête à laquelle j'ai procédé, ilm'est apparu comme probable, sans que,dailleurs j'aie pu avoir une plus grandeprécision, quo M. Judet aurait été l'insti..gateur de ce bruit. »

SAISIE DE PAPIERS ET DOCUMENTS

En verti d'instructions du commissairerapporteur près le 3e conseil de guerre, M.Faralieq,-' ommissaire aux délégations jut..claires, s'est rendu ce matin à Neuilly et nperquisitionné dans un garage où avait .tédéposé du mobilier provenant de chez M.udet, actuellement en Suisse.M. Farahc9 n saisi d nomhreu papir

et documlats qui ont ét déposéa au gr1Tedu 3e eon.t.-iI d tierre

La Guerre

4

DlTIONsPYRÉNE$ ET LANGUEÔOC

TARN ET AVEYRONTOULOUSE ET ENVRON9

ABONNEMENTS3 iaii 6 iioi,

?ranc 8 16 30VtMnger 10 20 40

En AmériqueL1NTERV}NION AMRlCAIW

AU MEXIQUELondoes, 27 août'-

Selen une dépêcho do Washington, IeEtats-Unis Pont dénidé ti'intervennir ai

kiqnc'e les dispositions iitjiitairbs etvales des prélimiimajues sont déjit cotn-

piètement prises. 14sévnemeats suivantdoivent être considérés -inévitables :

.1. Lis Etats-Unis doiveut prendre la.

'dirction des affaires comme dans Le casde Cuba. -

2. T! est dc fait iuis I'intcrvcntjon es.maintenant admise, quoique la date soiMincertaine. peut-être daus six mois o.auparavsant. ..-

a La raison réeble ie l'intervention esti'i fait qie. la situation du M'exique n'est,Pris am-eliorahe e qu'aucune autre so-''lution poSilYtc n'appimrait.

Les gquvernements britanniques ,.f-an-çajs. italien, comme celui des Etats-nUis.-se rCndent pleinement compte des faits e_c situation.

En U5iCLIS ROUQES IN RETR!t!T-E '"

Vaisovie, 27 août. 'Eu renforçant leurs pOSit.jOLiS sur

front Beneain'a-Ptyea-Siusz, les Poona.icontinuent leur avance. Dans la dji'eelioid-r' .Poonk les rouges se retit"ent sui' la ri'l'e ctroti de ta Dvina occidentale.

Les lroupe polonaises vont ainsi si-.'

tCll(,im(',l ligne sti'atégjque qui -(Y,ot

ccestjLunr là frontière orieniaic do IinouVelle 1ologne. Tes opérations ultérieu-ces de Iar-ée polcitiaise dépendent. du ce-'stiltal ides négociations entamées avec cjauti'cs forces ariLi'hOlch'evistes. Des pout'-parlers avec les Lit-hniens et tes Lettoasci-it cii cours.

N UKEUINELondres. 2.7 ait.

Sur 'le fs'en-(, eue-sI &i Denikjn, ta mgr''cb en avant contimie aime. tOUtC la ii:pi$avec mie g-randa rapidité.

long des deux i'ives du Duieper, 1e»!voontajres avatienL rapidonic-ut- dans tadjrcctjoii de Kjew. Suivat4des reflsêigae-'ients digues de foi, 1-es ho}ches'istes do

tomte l'Ukraine sont démoralisés.Des radio-télégrammes bolchevistes an-

ncincent que deux conspirations contre !-

Soviets ont dl-é t&couverte-s -à Kjcn'. ileau-oJJup d'arnica cl 4e mUfljtiofls .pnt éV dé-ccivertes.

L1?l PIUSE, ,Lmdres, 27 ao(it.

'(Coimuuijqu6 du \Va' -r-Office) :

je front ouest du g6nérnl Denjkjnavance .ra,pjde-mont. .

il se confirme qu'Odessa u été iris pa-un dtanlienment d& volontaires, qui nliarqué, après (leuJ jours d-o bombardc-.ment, par mer et par terre, sous la prote4tien de 30 navires do guerre anglais.

14ES BOLI!EVISTES ET L'ARTLa. commission 'rinirgée d'inventorie

l-es bjen et trésors du tsarisme expr'oprié,ont trouvé dans 1-es greniers du palais d'luj-ver de Petrepawl-ask et -de Tsarkoié-Séo-des niilliers (le casse, envoyées jadis dc'Paris et de Roine, à I'iuué,ratrice Cat.lieni-ne JI - la geand-e Catli-eiine r,t qui:n'ava'oni muais été Ouvertes,.

tu dballa.ge, plus do 5.00 table-aux cr3oo sculptures cls plus grand. artïsiefrançais e.t iaijeIis du dix-huitième sié.:de. .

Fr-agonard, Laneret. I Ton-r, Lemojn.-Tiepolo, Suardi, tictro. Loogni. lloudo-n,Bayoux, Olodion. '}rouet; sont reprérentédans cette sorte 'de n'Iué-f, resté jusqu'1i00 jour inCOOnU. 11 y n aussi de uomhreuxtableaux des &0iCS bolantlajses et espa.gnole.

Dans ce lot de olio-d'tjvae,. ji est detoiles, connue-s et (lue l'on cOns jdèrajtcomme perdues jiôUr toujours. Le gouver-nement btil.chovisfe e confié h l'un tics cnn.serva Leurs do 1"Brm tag Bogoslouvskiile soin ïï classer et dc cataloguer ces ifln()lmlL)uah es richesses.

1ir srt1 aûfit.

Sous toste-s -sci'VeS,fier so-jr, le bruit s'et répandu, au Palais

de justee, que Me de ,Molènes, l'avocat (tPierre Lenoir qui avait éiII reçu luucIj soir ii

l'Elysée, aurait réussi t sauver son client dla fusliade ; Pierre LeOjs verrait la peinede i'noi't p.rononeéC contre lui eonimute -en dé..tentiori perpétuelle ; il jrait achcver ses jOtIrii l'ue du i)iahlo.

.- . ,.

Ls tatks5r!s, 27 août.

L'audjeiice' Ct ouvei*o t lienre '2. L'in...terrogato i'e roule, aujourd'hui, Sur des fiid'escroquerie dont Q tiien s'est rendu coupabledCpUjS son rapatriement.

On passe-, ensuite. i l'auéiLion deSM. Wmdlacc. dc Latidrecies constate que ae-.cu9é obtena't feiiejne0t des pernijs5ioiis('eSortir de la, vj -

Puis on clu..I les dépositions de M, Mail-laid, de 1'a Va.1IZ Curé de tielliguif'a. ede ia princesse l'are de Caug. - It déposition.de cette dèrojère pai'a't Plutôt £tvorablel'accusé. -

Par contre. l& dépO5itlon 4e M, .Delfer'ieaes-t -grave pour ulpé. M. feiforrtéreS Sula. déuorjatjii de Qu en, aV:it étui arrété l)li's Afletuand ur avoir caché quatre f u-tjf.

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55 P1UILLETON DU e MIDI »

4

Par lieri GERMA1

Bui ces dernirs mots, I'oïfieicr e le''a,ftt péxiitrer la $eune filLe dans une vastelièce &vér.ient rneuble.

Puj il lui offrit un auteui1proehe dubweau, devant ieueI il s'assit

Finsuite il »'prit :Djte-moi votre affaite. madernoisel-

; e vousreni s.ervje très volontj,el je 10 puis.

M&i d'avance, monsieur.( Je vouxirais savoir, avant tout, si ifiOl)

aère mort réellement,. emrne certai-eS personnes me 'l'ont afflrm.

onrnent se nommait votre père ?M. de Bussiares.

Bussjare, lui, s'exclama l'inter-oeutein d'Andrée; et.... vous êtes sa tille?

Oui monsieur. -

- Un ancju capitaine de zou.es n'ese pas ?

Çest hien cela.Ah I ma pauvre eufant I

LscffIci& s'interrompit sui cette xcla-iatioa, eo1rnu)ô s'il n'osait en dire davnT-

Lago. .

Et ce silence Subit, gros pcuf-jre deFestrietions, parut à Andrc la tyit-o coi-!}rmafjort des 4jrs do Lambert, reativcment au déshoirneur d son pre.

Mais a-vate (le connaître Pexaeev4rit,bien deidée la LernaM.r, 4 paréc

Dut cntenire. eUe insia ,

4 Fdé'atiøn spve dt ziviaiI

IJ Civir 'Yïc.i

O.

'-

AUX C4MARADES DU PARTI SOÇL4IiSTliES SYNDICATS. EOS COOPIi'RATIFES L

Cniarades, T

Voici vnjr, ave la lin du ojbp au&)e-inai uc flOS Venons do tfaverscr, irne èrenouvelle qui peut être potir 1 Ia3e )LLV1ICrOnOfl seuejnCnt celte de d'anl:ortioij (IÇ a

cOndjtioil SOciale,- iii aussi celle de sonniancipatiOn conip1te.Un devoir NOUS ol)lige doiii songer, de

manteuant . tout ce quj peut contribuer.rCpaICr i toutefois il peut ' avoir rdpara

-tjOfl L_. a'uvre de iflOIt accOinpjc cli ccttgusrre

Lavcnir mne d la ICC htiiiiane aeOinPrOhiS PEU la destrution d' nonibre il:-ca1.niabl0 de \jC. Le sans le plus. pu-r detre helle jcunesc a couj f1os d»flb 1Cloris CrCUlS par ja niit.raiUc et les Obus.

A nous de conmienoer, san eLOE1(. l'Ivrede rgnratiOn 4jUi s'impoSe.

Il est nécessaire. pour cela, quC lo lrnCitsde progrôs qui eornpscnt le Parti gOciajste,je» syndicats et lc coopératives se rtrouve0ten Ujie acLjojj coriimune pOur l3ver phs!que_rnnt et i%ior1Cnient i Ui» niveau siprjcur1'tie iluiflajil.

Groe à sa £ermef,é eL t son courage. »Pri5d nombreuses annes de lutte, a ciasse (u-rière Vient drraelier au Capitaljsnio la

IQUrfléC de h.ujt here5 et la eniatue aiij»c.hayon de Soleil das la VjO de ceux qui pCjflentet quj souIflent I

Faisons Cfl sorte, camarades, que ces quc-quc heures dc liberté n'aillent pa à j'enon-re des aspirations ouvr1res EVItUnSnSO laborieuse, qui souvent ifa ni le foyer,iIj l'intricur familial qu'elle scrat en droitd'avoir, de se laisser entralner vers IC» pai-rs malsains danger tant physque quO . rnorai où -la sait s"étiOlC par l'alcoolisme oula tubc»'eu}oso et le cerveau (lVjCflt la proie-facile ledéfcjseurs du paSs&

DOnnOflsluj le mOCfl de se djrerjr en s'-duquajit physquenient, Donnons-lui, en un'ot, le g&ût des poîts et do 1a gy»n astique.N'oiihlion pa que les - oapltajistes, les

grands usjojer5 Ont d3k ini u piatique l'idéed'attirer à eux, par les sports, les }eunss gensqu jravaillcnt i idurs Usines. D'utrcs rajsonsque les ndtres les guident, vous VOUE Cfl ciuu-tez. Is peCnt, tout u moins ils tspreiit,par ce mo'en, dtoiirnér la jeunesse o'uvrFrodes organisations ouvrièrus et »ocjalist.C'est peut-Ctre l uie il1uon, nifliS nous nopouvo»s resteV inactifs devant cette CXpriCfl-ce patronale. Nous devon agir jrnniédiae

La Fé(IretQ.'» Sportive du Travail, quiCompte UéJL 41C nombreux groupes sporLjsOuvriers et socialistes dans djvCCss rgjc-tjsde la Franco SCi0e, O:c Ghampsgfle, CirC-u_

'venir)),1Cvue £IU Si)CiaiiIYti

J1-:qus nOj5 en fascicules de 56 i 80 .

dc format pCjt in-a -

-on ouve aIIs l'Avejiii -t -O

j, Soug a rubrique Etucie et Opjn1cns desarticle» consaors aux prohImes de doct.rneet d'histojre des dootrnes, de po1itjque d'co-,floinle, de l'gis]at.ion du taval, etc. Ouverteton:es les conceptions t ?i toUtes les endarres,COiLC rubrjque vise à donner aux lectetirs dela revue nue imsge exacte et jnsrucUve dumouvement de scntinents et des i4jies quiCOflstftUCnt l3 sCClaIjsrnc e graVjeflt autourde iu'. O

Des Chronj,iis mensuelles do lque j.-B; Svrae) de l'action soGaljste par-]einentairo (HuboI-t--Rouger) de la çoopration(Paul Barnadep), du mouvement ouvrier A.Luquet), des questions municipales (Pjci'reDorwo').

Une revue des Livres et des Revues. -

. Des Docume-nC.: dcison des eoiigrèsouvriCrs, socia1iste, coopratjfs nationaux etiflterflatiooaux : ninfestes prograiirnes, r-eolutions, etc.; dont l'ensemble constitue desa,e1ijve- jndlspensable» à tou5 les militants et

- - -OO ' 't*s.

Ajnj,-on ne navajt pas trcmp5o ?Non.

-O- Je crcyjs deviner, lYlOnSiCUF, que vouez Ijien C-OflhlU siO11 père ?

Oui, beaueoup.Vous savez dono ce qui lui est arriv?

. Certes, nio-n -enfant; je n'ignore riende a triste fin. -

« J'ais Biskra, so' camarade de gar-ni-sYn: il y a oue anscte cela.

e Ah 1 pauvo de Bujares. que-11e tif-feuse rïort I -

(4 A quoi bon vous raeour ce choe.pénibles. mon anfant ?

Oui I m&neieur, je vous en »ippljc,ne nie oachez rjen de ce lue vous sve I

'4 J00 tiens absolument jj tout connaître,et, d'adleui's, j?en ai le (}I'Oj!

Sans dou1e, ruais pourquoi l'évcllicrune uItur assoupie 't -

.- Jh! n-e arajgnez pas de m'affligerouUe msure reprit Andrc. (l'un a4Contfhriie-; $e suis depuis longte-mps pr6pa-rée it tout o:atcsidrè, miuo les choses lesplus hontcuse, les p:us liorrib1e.

« si mon pi'.e a failli, ce ne serait pasit moi, sa i1Ie, de le jugeir et de la con-

. daniner.e Ne faut-U pas toujours avoir pitic des

n)-allieureux, (les (gar ?.- -- ftup3fai dc ce langage, l'oîflciei' r-e'gar-da fixement -la jeune fuI-le, comtnc s'il neCoïnrenaitpaS. O

-- Honteuse, ? fil-il enlia; votre pere ungar? Que vou1e-vOuS dire ? - -

J0 ne le sais pas au jUSt4. monsieur.(4 J n4)e IIIC'tiI pas youg rpLer ce (lue

l'on m'a dit (n-ointes foj à cc sujet.« Certaines personnes n'ont pas craint

de nr'ffrnieÏ qua le noni 1e monétait d-honor.

Il aurait c-omJuis autrefois, paraît-il1es ildStiaattisos. des fautes graves nud9riep de- camaade.,, eljes

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Concours t'ÇLfl2jjO a 4'epp1ojO d'Assistance

t_ru COureurs pour 12 places d cOniijS desServices d'aistnce do 1'Air;e aura jcU le4 novembre i9It), Ou »iôg.c dc elaque prfcCturc. - -

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E1 dehors des ane:cns ou»-oÎf1eier5 rein-plissant les condjtons Cj-deSsu» et pour les-quels aucun titre universitaire n'e6t exigd, nuine peut sa prsentcr au Concours s'il ne ;its-tifie de ja possession de l'un des certicats Ciaprè» - : brevet dlnientare ; certificat d'titu-des prjmaires supirieures ; certificat de e»-..PaCjti en droit ; eCrtjflcat d'dtudcs secoidai-ces du premier degrd certificat d'dtude de1gis1ation algérienne, de droit musulm»n et decoutumes indigènes i'enijre partie du bac-calaurd».. - -

Le )rogramnie (les prc11ves cOmprend :composition comportant- ltablissement d'untableau, des probldrnes d'aritlimèLique, de gc...métrie et d'algèbre iéincnta1re». unC CwnpOsl-tian française 5ur- des- notioti» d'aSsistance.

Pour bYus renseignementS, s'adresser soitla drtjOn de I'lnttrieur au gouverueménîginéral de l'Agérie, Ojt au haui_cojumjs»arl»td'Alsace_Lorraine. Ojt à la préfecture de eh»-que dpartent, soit li l'affleè du- gouverne-nient g4uiir-al de l'A1gri, kParis.

La liste des candidats sera close le 4 OCtO-..lire -

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uhIier uite snbsia.uLe1ie brochure Lo DroUaaes Iifugis i'As»Lstonce, par Louis Sou1,secrttaire parUculicr du maire de ToulousecheZ du selVICO des réXt.igis. -

ïiauteur e mis ei langage ela!r et la portéede tous la longue cireulatre niJOistérlelie du ifvrier I18 portant fixation du rtglme des refugi6», La brochure contient en Outre la IisWdes communes vaeutes, Ce1l des communesclan-s lesquelles le retoi" n'est pas auters 1nsflip, li to -sur te Iogeraeut et l'1asta1iaU 4esi

ugee4 ou rapaUis.2, friie. rn

... -ci anênie de -la caisse de son régiment.Andrée avait articul difficilement oe-te

dernière phrase, entrecoupant les mo-Ls,00111mo s'ils ne pOuvï-jent sorl,ir dc osvres pur-es sans l souiller.

ISou jrOou Leur sui'srtu-ta d'indjgna-tjon, s'écriant d'un accent VéIbmefl-t

Quel et dune -le mjsrabl-e inven--teuir de ces eooInnjes ? -

- Il continua, 5'exalt-aflt : -

-- Il serai- odieux et lâche dc laisse-rplaner du tels s-oupous dans votre espritou dnns vOtre oceur mon enfunt

« VOUS avez, au- Coti'airo, le droit d'êtrefière du nom clvotre père, il est sans tâ-chu e VOUS devez vén&rer sa mé.moire.

< .J3uesiares *Mait parmi les -plusCourageux et les plus nothie» officiers quej'aie jamais COli)IUS. -

(t Ce fut lin -ni-Odèle do probitt5, d'lion-neur, de dévouement.

Ah I monsieur, inerei tic tout-e mciift'me I

(( Vos paroles m'apportent un soulage-ment immense, s'écria Ancirée, dont lespau-pièrS s'liunlCeter-ent de larsrws de reconnaissance.. - O -

C'est In isnpic expression le l-a vériI,mon onfanU votre plsre avait droit e-et

-hommage. - - - -

Dans ce cas. de quelle triste fin pe:-liez-vous don-e, flOflS)Cur 2

Hélas I je l)aFlaiS de sa mort.e AI de Bussiare fut assassiné, le jour

m-i&nie de son mariage, ur les marchas del'-église de Bisitra. -

Pauvre père, murmura T-a jeune flP,en portant les nisins à sa poitrine, commapour compril-ne t' les battenflen Ls doulou-.roux de son coeur. --

Et, soudain - saisia d une iK)ée, elle rc-prj,d'un cc-cent troublé : - -

- Mais 'iI morru le -jr de- ji

J!iff]1 5 jii!

(in alio t()l1O1l5 arri(iés do ces obli-gauiOin. iïoycr offres à Virgiliis, -ruas-La-ranjoiras, 4i2, - Rin-de-Janeiro.

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;E - 1hau'Luiø .DÊL 1U 9, rtte deOhov ptta$ LAS. La botte O tr 40

:

JÉilS1 TE0 SETE, -flA*LE, AGE

d 1ALADS SCRTESIDES iu:: SEES

5si-.tr4LkgOi D4n:-ri, uiyiie, Csh, Poiz; E'ejrs, acrerai ; S. Girons: ,çL;aiii C3prt)I

à la porc deL'ouvrage de oulié et Oards, iedi

sans bats en suiauI la discussion devant laChambre et le Sénit, écliappa au tOCOUVnientdes comincnta'es - trop précoces des 1os flou-.velias, li fl'CSi pas une paraphrase banal» deatextes. Son but tend à vu}gartser la iégis1atfodctée par un exposti cc'mplet, conduit aveu

atniJ)1t'!W ct nthrde. Mais sort objet est sur-tout de cornp1ter l'insuffisance des textes enprvOyanL et en eSsolvant les quettons qua

eux-c1 n'envisagent pas tout en y donnant fiaI!-sance tandL que la pr»tiquo no peut manquerde les poser : Un livve n'est utile, en effet, qu'acotte condition, s sa doctrinsèclaite par avn-.ce les pai-Uouiiers et la 'uge, en -préparant laUi'isprudence sur les cas d'sepèecs aussi cor,i-

plexes qu'tntvltables. C'est cette prêoccupatlonqui donne l ce travail son caractère nettementjurWque. C'est galerncnt pourquoI Il s'adressai 10a fois aux professionnels et au publie, coin-.me une oeuvre absolnnent scientifIque quolqu,mettant I tirait la portée de toue. -

Pria duvolunie : ranos. Franco : 3 fr. ro.Adresser rnaudatsà ' Editions et Lirai-

ie n, 40, rue de .eine, Paris.

Les bui'caux do-la Banque tic Fronce se-l'ont fermés le saniedi à midi, du 21 juin au

octobre- inclus.

nage, e ne comprends plus ; commentsuis-je sa fil-le ?

- Cette anoi-lje n'est qu'-apparente,arien enfant ; je val-s vous l'expliquer.

(, J-e me souviens. -en y réfléchissant, decertains détails do-nt vou.s me paraissezignorante. - -

(( Outil gc avez-vous ? - -

Dix-huit ans envjron.Près bien ; quand M. de Bussiares

est. mort, vous aviez donc sept, ans l)eUprès 9

O'-est du moins à oet fige que je ruetrouvai tout à coup priv6e du protectionet pour ainsi djre abandonnée.

Oui, le père mort, la famille n vouluvous renier peutêtrc 9

e Vous êbe-s l'enfant issue dii premierinairjage de Georg-es de Bussiare,

Mon père était veut ?Oui, je m'en SOUVjCflS fort biéi à

présent; son union premjène n'avait pasété très heureuse, e en épousant, à Bis-

Mis Berthicr, iI eornptajt -sul' un-meilleur avenir.

e J cs-pé'rajt auSsi -vous reprendre a-u-près de lui.

(I -ouvenj, au cercle, dans nos conversa-lions journalières, il m'avait parlé de sapjte fille, él-eive t Paris, chez un-c cou-sine âgée, -

e Que' est votre nom zuon esifii, 9Le véritable, C'-est Yvonine; cai' (l-e-

puis longtesnps O!) III-C surnomme Andrée.Yvoime, e'e.t hjen cela.

t! Ah I combien tic fois de 13ussinr-en'avait-il pas P1OflOflC(i c-e joli no ? . . Etsi vous saviez avec quelle tendresse mnue;il vous adorait positivement,.

« Vrimcit notré?cndontre- -semble pl0videntie4;e car pe-ronne maintenan t, pcu-è,re, n'aurait pu. vous - titre is C1J55. -

« (li) reJ9ue 14Oj la ehîne de -çu-

'Otw l 'lt-

p raçp i& M\r lei rC . -CUltCfli5 que I'OUtee-:peut niettie llir di*p0511j0 0e

bre de Vciidaiigcti (Iiom)es t f gAdresser 2es dcniaIl(1esJ'uree11 'O'4.cat On des candit On quantlvOEyage, à l'Olficc réjo, do iaaO ,rue ds Potier», ii TCuloue

Avisat

LcS mines de fer dLorrainesure d'occuper u assez grorjcrs_ tnanaiuvres oi

plois de manoeuvre ne flêCs1 . Lisprentisago pralabl .il SUÇC(O t (10. O tit-Jt-oj nOI'niale

lont(i. kCLe tro'ail h cffcc'uep' a licti au tfond t ne PrOfOfldui qui

200 niè're , dans de, °ndtio514u couches ayant toujours Plustres de tiauteur. 'L

Les salaires °nt : pour leau iuiniIIIUm ; pour IC foOd, dmifliinum CL PeUvent atejflde f tribCOuCOflp plus élcés.

En gnèraI, les OnvfCrs o»t))'eet j1»S )1us chère n Lorraj00 j115!t h

Une s&-anC' d rccrutemeit au'sjge dc l'OOtflee (lépartninnta1, S ,,

puy, mardi 19 août, a »ijp d 9tin» in. Les ouvriers admis sCront »5Ure3OUrs drigés par groupes gratuIC 1i u dc dcst nslofl, u

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économiquca », par l3erte, direca5E.- M. de l'ours. Prix de la brcchurchez l'auteur, . rue Larjehe,

Tout;:

13ibiiophieLAFk'4JfiE-° CAiLLA (IX

in-t'OO»tOirCS tIc M. Cailla-410e tIa1Coin»jjjs,o-n-d'j,js(tict(a,t de ja Cowrfi.tice, s5Ije de brochure-s e vente à iiU&':-de-s Drojs de l'}Jonime, f0, rUe de l'l-versjt. La fascicule, O fr 75; la irid4Ir.5O -

La Ligue des DVOlt de j'llCame On515t

aujourd'hui la publication des jnterroga*:de M. Ca:]laux devant 1a Comiseiou ftruet-io de la Haute-Cour. -

Cc sont eXPOSé» largemenrbrossé», dilesquels M, Caillaux reprend, point partous les griefs qu'on lui a adressés, iii j

sant aucune allgat1on J!»njbre ; et r

dOCUiit-S li l'appffl qu'il retrace les é*ment» auxque!5 tl S pa1tiejp.

Les premiers fasc-jcl-es -- sur l-dd'Agadir -- COflCt-jtUent un ni»5 tlal tib'de la politiquc ext6rjéure do i Franc» de i-jnsqu'lt la gaerrc.

- -Tous les Citoyetis sou&eux d'eire ȂO-

liront ces interrogtoreo dc M. Ci11»1x.Les trois -prejnjres brochures,

quatre interrogatoire», avec note! t Rfl

sont en "eue- Ru siège dc la LgUC jarl'Université. Chaque broaliure, O (r, a ' -

Sre de 1, 'i fi'. iiO.

--venirs, pourtant j,ojj,'fl déj Ct

n présent de vus renseignerd'

faÇon plus précise. ii-'( Votre père avait ousé' en prl%.

noce, la 1111e d'un difi'OinatC -'

guerite Dutertre; el'e fu2,-Otr0 D

-:--Duteri'e... ma mrc9...

ntree, l'esprit tout h coup raenefl' P

nom, au ouvenie doulouCi2x dl

e Comme les lois duorJinajre, continua-t-OIlO j'Oi

COnnu en Algérie un offleici' de cee

(. Serait-il mon pareu, enroche

-titis prese_aiti ?--O- C'est Lii'ès possible' et VOJ PfI

sa_lis doute l'interroger à cetdevez reto'rner à Alger. '

« Cependant, Dutertre' eSt urépandu, il serait bail de yûUS GSi

Hélas t inonsiciur, je e POfj(4 t

apprendre à ce suje cC Ctmort, lui ausi. elJ

-o- Comi»nt cela ?. .. \.ouleZ-55t )

1er, par hnsard, du sou.-.iieJt0uerri.tertre, tué cécen-inlent par lesCours d'une exp&itiOI5 '- .0

Oui monsieur. 11'

- Ah I ma paiiVrO eafant 'ptts rie chance, vraiment rtîe,

« Le sous_lieUt01h0tDube

ennous ddporon la perte. aud

fils du baron Dutortre, °.tre P t'

u Cet officier se trou\'»lL de

séquerit. le frère de fC-reg, votre mère. , , . 4)drte

'

Mon onOle I s cri;i

faite. .

Certainefllecl. ,' 1C' 'dais, »1)1'It dOrIl Ii f6'

consiclélant aVCp\1i1 f3'

lirisée tIc la eU1-1° 1111e 'icesslante de son be,1O1.VhS '

rase,jo-.ii »ul i 4l - j

1Thâtre de 1'À1eaza); r- -- u 2ngle du oulvard de Sfrbur: Acet&&r1 n v©

Les euh1e les plus tageu de ranc - -- -

sont vendus par le TEMPLE MODERNE

où la classe Ouv-Yire, rctaiit d»iS s''e éldrespère fonder d0 nombreux groupe-s SpOtîfS,

meut.: ie pourr, d'autre part, rester ndiff-

cortajus que VOUS voudrez J)Cn, CliaC-Cti Cfl

rente aux gr(ics questions 5)CalC8 qui dut-

être 'lue dans ijii corps sain I -

grande besogne.'salit, camarades - pour VCITk' j'ldcr dts cctttin, Midi, NCCd, -tc,) voué Iijt !1 iPPl P"»

VCiit nous aehcii-jncr vers l'Idai COiiiiiUt.

M e'et - -pourquo1, cama'adCs, iioU5 Dm:uiCS

ltaPPC1l2Z.VO (I'J'Ufl cerveau SOit» ne

Avec VOty c'iiceurs, moral j7t fliaicior, ce

fre milieu, faire leffort fleeS5airC peut aine-119r à nOus ceux que vous touchez de pris, enajdsnt ou e11 contituaiiL des groupes sportifs

U'tout ou i fl'CU eX5tC point et ci-i faisantappel iL notre concours, chaque fOis que VOU»-le Jugerez utjle - - -

Le Co,eil fdtral.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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1h3 « T&ramme »

J;Asociatioflr de Epiciers dôtaillaUts

oU5dre la proteLat1 suivante que

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;fl1'fQBS impart1a1Cme» ;

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as sanSétonncuieflt que (k'-

ices'est P teIpnS en lisant votre csUma

tIiiquOIquk;10 rnstatOflS que OU SU-

Ioourhl

. la thi-SC suivante : « La

ie" est 1faute du dtai11aflt, voue

j4crC (UC de mercantis, les COIfl

çen'euSteflt plus. Comjn.

Çaflt d" k vie c1ère est entr dnis. )a

k' consommateur faU-la périodeavj sCS marchandises trop chergu 4 40flflW il est simpUsle, commer ct1e, It paS les causes Ùitah1es de

il ïC 1s'Cfl prend au commerçant

la ,5Monsieur le direc-

détaillant u1'uaI « Le Tlégramnie ),

ur les causes multiples dc lafffloreZ c'est à la source quil

d1eftt rlI101ter.1JnaV00S pas l'ifttCUtiofl de prcudre

.W(S des DICI anti, cl; nous soulmila tout coeur qu ceux qui sp&ùlnt

ûflS dn1 ;jnI, rigOuN'usernPflt punis,a flO rr" '

au-dSU8 des détaii1arit,uaIs ou faire rcmarquPr queCU 0meÇaItS les flhiPUX intentionnéslCSutCdans l'in]p0» ihilit de livrer les ah-

enIS de première neessit à des prixpnabICS, Si les pioducteurs et les fa-

brCant5 fl sont paseUX-fl1flCS contraintsdjser leurs prx dc 'sente. Or, cesdernierS, Ciit

toute licnc'. Le vin atwinl

à la 1)roprite 1Cs prix scandaleux, per-oflUC U mino les vticulteurs,

UJnlCJwisietr le directeur du (' rj -

lcgramH)C »,tnjour prêt à nous anumi-

er la P111petite gelée ou la grande eha-

leur, OU la pluie qui vient contrarir lanaisafleC Ou la rnûtw'it du raisin.

En dehors de la 'viticultuie, vOyon iOs

prix pratiqUés à la campagne dari, nuergtou gFO4Se produetrcc de panim 'terre, dc ufs, pores eL moutons, en Li-,olIçin. pomme de terre ct vendue 37francs le sac de & kilos, au lieu de 3ranas avtt la gn'rre; le lard 10 fancau lieu J(' 2 fr. tø le lapin fi'. 50 au beu(l O fi'. 80, poios uf te.

li ne d'pend que de cos gouvernants deprovoquer CSSCL rapidement la baisse desahinients. La récolte de a pomme de tcri*)st excellente en Mlm'gn' podrqno. dèlors, ne pas en importer c'i q'uantite uf..ftsante poiv ihfluener e tour de la tro-(h)cUon iiatiouale. La situation clii chagepermet de rahiser ceLte op&atiori daud cxccllentes ondition.

'L pomme dc terre bon rnarch& e't

I élevage du porc bon eofpte c'est lala au(:iss, le lard, ie salaisous

la charcuterie a la portée des bourses leplus modcsfrs, et, par rporeusion, c'estla baisse rapide de la plupart des denréesalimentaire

Soyez juste et quiLablc envers tous eteronnaisez avec nous que la folie de lapéuIation a atteint toutes les couches so-ciales du pays t par conséquent tous lfl1ticrs et Pi'OfPsIons.

Pourquoi donc e cauknmeinent de lachi'e au (Emmerce de I alimentation,

il n'est pas ju4 de faire supporter toutle poj de la colère pubIiqje aux seuls£Oflmerçaiif e' iai1ss dans I alinwnta-lion; la vie doit diminuer pour tous OUpour pero1fle L aeion doit se généralisere ittujfldr. tnufc les branches de l'acti-vit iluiflajileLJti autre gi'if que nous avons à vous

Monsie r le directeur, est celuide la reiame qu vous faPe.s au suçt, soitla rratjoi d coopératives ou de leurs

SOl-dQaflt ljieifaj Noùs ne discuteronspa pour "instant Ic bien fondé de \otreidéal, no flO contenterons de vous rap-pe, directeur de journal republi-Cala, fils des descendants ch's grands do-.lOcrat de la nuit du 4 août 1789, si ouiou flOi ou êtes pour le rétablissementu pris iIège

L45CoopépatUr ont trop de faveurs, eteha parce que tort ou s raison, elles pa-1,isSnt

TCP1ssenter le giand nombre ou'5teur, les Politiciens, i quelque partie iappartieflfleit le m3nagent. Serait-\Ore cas? Quoiquji en soit, sous ne de-sep'.s iflOrQp que le gouvernement leur!ra0. tçir asours et que leurspar Sont le plus souvent payésle com0 iCs Contribuables, ilOFS Po

es frj O1flQ enlenint faire laceimpÔ5 (lui8 ener0 mais acquitter des

jilu8 SOnt u des rossourcegerai antes du budget. L'équite cxi-alor5 commerce égal, im$t égal, ouqif00 ,éTevienne aux anciens temps etfavorjsa1SSe privièges. Etat eneherCh0 dé,13 coflmcrt non patentés,mrce et 1'Uereneflt exproprier le com-dire Celui SUrtout COlui du &tail, e'est-r-]rlu8 e humbles, de ceux qui ont le(eptj00 travailI., de celui, qui cx-XSuiop,1 e do certains agitateurs pro-

Pour t le p1u estimé du peuple.h51 de1P, nous ne iiion pas la'abl a viC, maie sous prétexte d'tre

Pas le 11Uelques ligueurs, ne devenezOu 'cul 4iés de Certaines personnalitésls diffl.i'1' SOFjr du g en exploitant

hieri.e. problèm,s économiques de labecdr1cyen.s Culs pourront atténuerltiOq. le rot de la vie : Les ililpor-ge' dlrat..011, que faites-vous duul Plii1e guirre, notre ministre

011a. t es a SLabiliser 1a danse dud PU le maintenir dans les envi-l

était 45, tandj8 qu'au 1er aiû 1019JI5S 8i:J et Cepencjairt nous impor-

aU fld°' moi15 qu'on pleine guerre.r '°'ilu de l'armistice, l'A!lemagreflLir SO mar par le mmC notre aflejeji miriistio des fi-.

riac , aussi lu inaik a lJrui(uc)ent pas.-éde 7 5otJs OE sous.Que . notre actuel ministre tic finances

sLabiliseiuotre franc et rions pourrone im-porter sans nous appauvrir.. Peuxiùrnoment, le travail. Seule la va-leur d travail porté à son maiinuiiide rendcnien tous permettra de faire faceà Jasituation. Taiiie ii dit des soldats dela RVolution qu'ils furent ramenés au.sops. ornmuxi pai la pxseiicc du danger.Il est grand tcmp qu'on puisse en dire au-tarit. dc .rio travaiileiirs. Ne nous laissonspas submerger sous la vague de paresse,sous la loi du moindre effort. Produirebeaucoup et emporter le plus possible.c'est résoudre le eoit dc la vie.

r-) O (-A prôps de vi chère

Lc délégué des Coopératives, M. Bazéuiii,a adressé ù M. le Préfet la lettre suivante

. Monsieur k' Préfet,J?ai l'honneur de vous Taire connaitre

cjue jedésire vous poe-eune question à laprochaine réunion de la Commissiqn pourla fixation des prix, sur les points suivants:

Pourquoi les prix établis par la sous-commission de légumes verts ont-ils étépubliés avant la réunion de la CommissionenLi?re et salis son homologation, alors quoceux fixés par la sous-commission del'épicerie ont été soumis à sa rectificationdans la séance pIénire du 20 aofit, et pu-hués. seulement trois joui-s après?

Il en résulte ::1. Que Je sucre, par exemple, n continué

à faire l'objet de spéculations sur la placeet a être vendu au moins -1 franc de plusque son prix de revientà Toulouse;

Que la Commission encourt le ridiculed'avoir fiXé h O fr. 50 le prix des tomates,vendues au maxinium O fr, iO le kilo parles détaillants;

Que les vendeuses dc poisson peuventse plaindre d'une injustice ressortant de lacomparaison suivante : Potsson : transportCil G. V.; droits d'octroi; pertes, ete; 20pour cent de bénéfice du produteur auConsommateur, y compris les frais géné-raux çlu grossiste au détaillant.

Pommes de terre : transport en P. V.peu de pertes, frais généraux réduits : 50pour cent de béûéfic.

,Jo crois devoir dans cette cireonsancedégager ma responsabilité et celle desmembres de la Cominisshyi qui se sonttrouvés, en ce pi eoncern les légumesvert dvant, un fait, accompli, les prixayant été publks t même affichés avant laréuiiion plénièr de cette commissiqn.

Veuillez agréer, tIOnsieur le Préfet,l'horninag de mes sentiments rOspectueux.

A. BAZOUJN.

Erreur n f-;;i1 cøpteMni Caussidlèie, rnarehrtri de poissons, it

Victou-flugo nous requiert Oc faire savoir: qu'elle.na pas étl condannisle : 500 1ran's d'amendepar le tribunal earreclionn.,l.

Nous le faisons sOvoirparra que eeli nousfiit plasii-. Car nous n'avons jamais dit qifelleaif été condamnée.

Fudiitil aPPIeI)die li Caussi-dit :7

A TAVESTØULÔCaisc di CJioiiie

Le seLoui de hiomage e a l)d4 .ujiid unijeudi, à partr le D heures, au Foyer du Tfnfitre(lu Capitoleiour les lettie3 ui N O.

La caisse est fermée à 4 tteui..,

Couiseit municipalA l'issue de la séance pubttje de ce so

Conseil se réunira en seiIce privi, pour 1men des demandes d'assistairc.

Note de la FIaiiioÀ partir du 1er septembre, les squares e jar-

dins seront ouverts i O lieurs et fermés à 22 h.à l'exception du Jardin des Pia'ites vi Du-portai qui seront fcrnis t I) heui'es.

%'eutcs nimiicipalc&Il scia ms en vente ce malin5.000 kilos de iiomlnes do terre t Ci Ir. 5 le

kilo. S

2.5O kilos tic tomates à 0fr. 25 le kil(.3.000 aubei'gines O fr. 15 pièce ou O fiS. 5

les deux e une importante quantité de choux,arotles, céleri, salades, oignons, ail, etc.L'affluence est de plus en plus considérable

autour des 3veidaîrcs municipaux.

Tojurs cs 1:4::A l'idéal, Toilo'use

Colonie scolaires de Vacances des Villasdes Rosier5 et Mèriirit

Nous rappelons que lCs nfai Js icoloseommunalss dont les noms ont été inscrils parMM. les Directeurs et mrectriccs, passeront ile-main vendredi, à 8 IL 30 pour les gauous et a2 h. 30 pour les filles, dans la Salle de l'An-cienne Faculté des Lettres, 'i de Rémusat,i7, l'examen mdica1 quo pour dea raisons di-verses ils n'ont pu, subir les et G août.

Les noms des élèves admis i ia 2e péi'iode descolonies jieolaires qui commencera lundi le?septembre scront affichés sur la porte de lr Mai-rie, dimanche, 3{ coût.

Elections consulairesLe Maire de Tonlouse Ilorte ii la cOnnaiaSan(C

des lnidrcssds qu'aux termes éc 1'iirti,le 3 dc 1:1loi du S décembre 1853, il sera procédé, du terau 15 septembre courant, à la révision des listestics élcèteurs commerçants, ep»elds à élire lesmembres du triliunal et dc la Chambre (le com-merce.

, Pohis et i!esures71 est rappeld anix marelmnds ;iiiulents, 'O-

hiigation tic faire vdi'ilier et 1iiionner lalettie annuelle N, 1'asortimeiit .13 pOids et me-sures dont Ils se servent pour le eoinmerce.

le bureau ile vériflealien, i-lic Alxandre-F.iur-Iouler, 20 est ouvert les niarél et vendredi, dc8 heures à il heures et de I h. 4 lieuses.

Placement des i)éiuohilisésic niinitére des Jiégiorni LiI)tii6eS, îait tic-

tue lkrincnt e irecuter daiis les dé io r tcinent dd-vasti un certain nombre de hoyaux pour les-quels Il (lemande (les ouvriers appartenant anxspciaUtis suivailtes

. . -

M3.OiI5, IRVLCflI' ftJJ5, c;irl irJ, 1r:isiers, Jificheriiris, eh:i rjcr tiei )Ouj trC, ijiel1w-s-ici-s, cliarietiers, tOt5&'T'()ti4, chiarroiis t't'. etC,

Leit si1aires, dont la hase iiOr1nal est ('aiculécJ(O1JI 1(1 joUi'née de l heures S()1t de

I) fi'. 85 l'heure, pour les manruvres.j D. 10 i'heur, pour tes tCrassict's.j fr. 40 l'hcure, pour les prescioniueJsLe logement et la nourrituli? iont assurés jia"

le set-vice de Régions Libéré'a.Pour les eOflditiOIiS de ti'avcil e d'embauchage

s'adresser au Directeur du Foyer du Soldat iui-renu tnhlitaire) place lu Capltote, 7.

Les ArtilJcui's mutinsCe matin,, s'ouvreflt. dans Je :i1le du conseil

de guerre, rue Durantl, les débats de l'affairedite du 117e d'artillerie.

Sont inculpés :' .

1. Le canonnier Chcvenz. 1U' 117eil. Â. L.,50115 l'inculpation de voies 'Je fait sur 'les su-péi'ieurs à l'oeciision du service; 2. l_e 'soldatOmar B'Ahnied, de la l sCcljn de G. O. A..pour voies de fait en dehors du service sur des.supérieurs; 3. Le canonniec. Camiu, du ii7eR. A. L. pour violation de consiuie ; 4. Le ca-nonier Martin, pour violatio'h é tousisno; 5. Lecanonnier Supernaut, pour outiuges envei's desagents de la force puNique ê. Le sicut' Pradel,'lour avoir l'rappé un cavalier de service ; 7. Lesoh}atidraud, du 833e ll I. peur provocatiûn dernhlitaii'es t la désobéissance; i3.Le siCur Cilles,et 9. La femme Roux, iou rsi' is séditieux.

Les débats seront préshida . par M. le colonelBastien. Le siège ilu ministiro public sera occupépar M. le commaiidant Favard.

Respectez les AventsM. le commissaire de po'1ke du 2e ;n'rOndissC-

ment a dresuprocès-verbal contre le sieur Ma-nus Roc, et les époux Beaubols, loua trois do-miciliés rue des Mtilins, i, pour outrages etmenaces envers un agent tie la force publiquedans r'exercice de sés fonctions,

Une Daine li'seibleLe même arrondissement a dressé pcoèsvcr-

Lai contre la nommée LuclO Sutra, domestique,demeurant; rue du Tour, '79 poUi'cOUps et bls--SUI'Cs sur la dame Mai'le Sir.On, demetirsut ruede l'Homme-Armiî, 17.

Les Traniways recommencenthIer soir, vers heures, Mmo Flavie Roup3,

45 ans, marchande de jom'runix, demeurant rued'Auuis5oui, 3 ii dt#)ieurtXe i-ne Alsace, par untramway. Aprs avoir i-ecu des sOiui dans unephai'maeic elle a pu rentrerhez elle. File n'a?eçu que quelques c.OiitisiOfls sans gravité.

Accident de rûuhge '

l-lier soir, vers 4 heures, M. Ernesi Lamar-guère, 19 ans, roulier, au Service de M. Dupuy,camionneur, 16, rue Castellone, domicilié rueRiqiiet, os, p,.sait avenue tic Lyon, conduisant.une cliari'ette chargée dc liota de chauffage. Aproximité du pont du chemin de fer, une rouedu véhicule s'est brisée, provoquant la chutede M. Lamargnre qui a reçu, en outre, de nom-.breuses bûches suit la tète et diverses prrtiesdu corps. Aprds avoir I'eu (leS Olfl5. de M. ledocteur lza'd, ('ui a relevd quelqueseor.tusions.s.iTis gu 'ilt au co èioit II t té tranpoi 14I'Hô[el-Dicii.

POiLU énerv&

M. le ommlssaire de polico du o arrondisse-. ment a mis à la' disposition de l'autorité ml-httaire, le soldat Jean-josepli tauret, du 24e

, d'aiii1lerie, de passage fi Toulouse, lequel ailcours do l'apras-midi d'avant-hier s commisactes de vandalisme, eu hrisa:ït, avec une bartede t'es. des carreaux de 'vitre, deux portos et linobibliothèque, à l'co1e Coinmuniie des qaronsMichelet, place Saint-Augin.

L:vols-mc enqu(te ct ouveite -ic 7e ariondi sament

relative au vol d'unesomme de O0 fi'ancs, de70 à 80 pa4uets de cigarettoa,de GO 't '70 paquetsde tabac ordinaire, commis avec eftracUon dansla nuit du 26 au 2'7 couTahit. fUi léblt de tahiede Mmc veuve Plazelles, rue de là Rdpublique, 30

FII1!!SVilla do Toulouse

,

Règlements convois religieux, miiiLaire5civils. ',L'ransporis, Cercueils, incsrtionjournaux, lettres, etc., etc. Démarches évi-tées aux Famiile.

La Vie ouvrièreUnion typographique 1o1ousaje. MSSrn-

bide gcnerale jeudi, 5 août, À O heure5 disoir, t la Bourse fu 'i'avaii

Syjsdlait ae& rnt taur t rinijlajres. - lléu_niOn géuêrae ce soir, jeudi. 23 aoit à 8 hn-ras 50 du soir, à la sal1edu Sénéchal e O

Rémtssat. ,

Di5CUSSjOn de l'ordre du jour 'des congresnominatjon du d'rbgpé. Présence Ohlgaiflirc.

Syndicat des OtIVTjèJ-05. caSqutjèi'es. - Lesouvrières ' casquettires travalil sut en atelieret 1 doinojle sont jnStsnmCnt priées d'assis-ter ii la réunion etraordiaii-e, qui se tien-dra aujourd'hui. jeudi, à 2 heures aprè_nijdjis la Bour5i du Traval. .

Le camarade Argeku picE(Ira la Daréi tcette réuiion. '

Syn(IiCat des ter'blantiers, ZiiO''' 's,liei'S, couvreurs. - RéuniOn pour tous les ca-marades ho jeudj 28 aofit, à la Bourse du 'Ti-a-vaji, h 9 heure du sor.

Présnce indispensable.Syndicat clti bûtjirrent. - Les seerdtares G?s

syndicats Suivants : tafleiir5 de pjerr-s, mOUleurs Statuaires. inarbrjers colleurs de pa_pieS', isOlit priés de se présenter h la Bourse duTravail le jcudj 28 courant, i heures du

pour ue COjflmi(iliCatOn importante.Congrds national.

Synd-ieat aes ouvriers bcUlqflge'8. __ De-mai11, 29 août, réuniOn de tous je. syndiquésà .5 h0ures du soir, à la lBoursc ilu Travaii

Ordre du jour : Renouvellement du bu-resu ; COngrdS fédéral et confédéral.

Syiidcat de mcrjtii$jeTs ii siC e tfl1Ste5. . - Aprds la propagande -faite depujs tI'oismois et, devant le nomh'i'e Croissant (13 cama-rades, l'on 'pouvait croire qu'ayant Cumpiisleurs dever, ils satirajent faire itablir leursdroits. Aussi, marquant l'eftort qu jiS (lésircfltaccomplir, le Syndeat, dans sa rdunjon du 23courant, a dCidd qu'uui traval prdhimisireeciumencerait pour les rcvendjc'atiom à pr_secter aux patroiis : l'application générale dela ,journde de 8 heures le minfi:n1ni (10 s3-l.a''i'e. l'illdemnité de fourni turc d'outillage,revêtant un caractère immédiat, . seront pourles menuisiers Cii sièges et ébénisteS Jes'qite_tiOnii qu'ils devront dtucl' er.

Cest l ce travail quectacuii 0rt convoqué,samedi, 30 courant, l S heures 30, b la BOmse(lU Travail. .

.Sy'ndiCit CkS otLvrjer,5 1arb,'iei'S. - Runongénérale et iidispeiisahle pour tout'c la COl J)O...ration eiidi, . 28 août, h S iicui-C9 30 du 5o5r.

Dlcoiis prendre. .

vend 1e meilleursA1zeutatict1 -- A,..

..

LaPaix .

LA NOTi Dii CONSEI SUPREiIU.MJ GOUVERNEMENT ROUMAIN

.Paris, 28 aoCi[.

, Voici le texte du télétrau.1me aui'essépar le pMsidcnt de a coiiférencp (le lapaix au gouvernement roumain, i Buda-pest, le 2t3 acut dernier, eju sujet 'de lisaisie et de l'enlven1it des biens hon-g-rois et dc l'action-. des troupes roumaines.,

La çonfiirence (le la paix attend que legouveuiicxpant roumain lui fournisse jlfl-mélféîèuiiciit, et sans équivoque. la déla-ration s'Mivtnte

« J. Le gouvernement roumain recon-naît le principe que les bjeflS des Etatsennemis constitueirt une sécurité commu-ne pour toutes les p.iiiSSaI1cC aihiilos ' et

associées(' 2. i recqniiaît In commission dc ré-

par5tjons comme 10 représentant eTilUSi f.pour le réco'lement, à titre de rpnçatiOnsdes brens ennemis.

(u 3, Les aastifs hongrois reçus par taRoumanie depuis l'armistice du 3 novem-bre ItMS ferort l'objet de la part du gouvernentent roumain d'une prise en chargedétaillée et seront mis à lii- disposition dela commission de réparations ou i1i Vèr-ganta ' intermédiaire que la Conférente dcla paix pourrait désigner. .

(4 En attendant le statUtkléflflhtif de cet-te ixyrninission, la Roumanie ne conserve-ra le droit de disposer que des bj'e'flS pou.vent être identil'iés aetueui'e'meflt commeanejennes propriétés '. roumaines quiavaient ét prises par l'ennemi. et cccid'accord avec la commission des répara-fions.

(' 4. Téutes nouvelles cxfs&litiOuS debiens hongrôis en Itoumanie cesseront im-niédjat.ement, à nioins difelles n'aient l'ac-.coi'id d fa Conférence de la paix ou de sesreprésentants.

u' 5 Jj gouvernement roumain ratifieraraccord du 2'l 'juin signé par M. Antoites-co et 'cideSsi$ ViSé. Jj Confé.nenee de lapax autorsc les g'éii'éraux alliés à Buda-peat à désigner des agents qui repréum-.leront la Conférence de la paix dans tout

procédille pouvant être envisagC ».

Horrctir et Irahison!S CHASSEURS DEMANDENT DE

ES PERDREAUX ALIEMANBSParis, 28 ao.

Lé 1?ranoe, soute-__u par le ministère d4.r l'iigrieulture, parla direction des eaux et forêts et par unnombre considérable de chasseurs, a chie-nu dglacomminsiofl den dommages deguerre de demander ii l'Allemagne :

cerfs, à raison de I cerf pour '10 biches;6.)3O ehevreuis t rflison de 2.0011 bro-qus pour 4JJO chèvres 800.000 lièvresà rajson de 200,000 bouquins pour 600.000

S-ijndicOt Cî(0rPfiitlCc5. -.-- Les inCjflb1'5du Conseil d'a&minjsl,ratiOn du Syndicat desouvriers eharperiters sOnt priés .l assisté? àla réunion meilsuelle Cé sOirS ieudj, à S licia-reS )t demie, IL li Bourse du Travail.

Les SøctsMutiléS et CiéniGbj'lSS du ' quartier de la

Daurade. - Cc sojr, .28 courant., 21 here5,iéUiliOn, au bai' de la' Daurade, de tous l

iiutilils et démobilisés, Cii vue d l'orgai.Osa-tioh d'unc tête. -

Gajlja-Clzib goulriusajn _ Réunion de tousles soc ultaires le jeudi 28 août, à S bernes 3&,au sOge du Club frafui BnCaUiSSe).

Ordi'e du jocir : COurse à piet ; entraîne-ment nage et rugby.

Section Fji(StrUCtiOO et cntr0inc,rC'nt h;a2-quec. - Les éJôves de la Section do gmnait-quo de la Fédération régionale d'inst'ructoiîphysique sQnt lnvts i assister a la réunionqui aura licu le jeudi 22 août. au Gymnasemunicipal, en vue de réc.evOr les UtriiièrC5jnti'uctiOiis relatives à l'orgariisationde laman1festaton sportive qui doit avoir jieu àLuCliOn le djiiianche 31 août..

Uio sperfjve des ChCn,jiOig. __ Ce sOir,JeUdi, 28 soûl, réunion générale au ,aafé Es-trade, rue de la Concorde. Pr5ence ndispen-sable des lotjeur.

La Vie sporliveVELO1IWME DU BAZACLE

La réunion cltti doit avoir lieu dimancheprochain, 31 cOurant, u vélodrome du Baza-i1c, s'annonce Comme devant remporter unbr'llant SUCS. - . .

De toutes pCrt5, 10 Comité 'd'organisationdépreuvcs sportives est vivement éljCité pouravor organisé une maiijfestatjon d'UUO aussigrande envergnre.'

La participation 'des cinq rois du ipi't rDupiiy, Morett4, Otto, Perelicot et GardeUr,Constitue U (ivdnemeit Sportif de tout pi'e-mier ordre. Jamais vélodrome dc pvince '5réuni Ufl lot de ehunpOns d'une aussj grandevaleur,

Demain nous fCi'OS rOnnaître le prograrn_nie de cette fOie.

CoTil'eiiIg mortu&ire3. Latubie, r. fie Rina1, 2

.

THEATES ET C!EAS

TF1EA'irn.E DES VAR1ETES -- Ce SOIr jeu-di, et demain, vendredi, ii 8 heures 45, lern...res représciitations du grand succè,s 4e riredu Palais-Royal : Le F.ijon,, vaudeville ntrois actes, de roiiozyJEon aven 1'rréistblecomique MénOtti, ezitouté dc Mile Givry, M.Cassjat, etc.

Samedi : L5 Co1yd1eur ' des WTagojjs-L,ts,LOcation ouverte polar ce repi'ésl3iiiations.LES NOUVEAIUTES. - 4:re soi', jeudi, der-

nièce repitsentatjon Clu programme de la Pc-.dowa, dont le nujiréro passe h 10 heures ;succds sans précOdent d la troupe Césars etdix autres numéros.

JSPOLLO-THEATRE. --- A partir de mercre--(lj Soir, tous les ours, à 2 h. 30 c li R h 45uu Le Bossignol 3aponais 'u, Ce soir, mardiencore : t1îijgno1e u

CINF)\lA-Tll5k'TRE LA1AYETTE -.graninte du mardi 2 au jeUdi 28 août : . Le

hsgs; :3 miflions de couples dc perdreaux'grj. . '

.A 'l'Aiiti-ichc4lougrje, e môéinenoni-.bi-o do pièc,eE, plus 1 rnj'llloii de 4'aisans, ftraison dc 200.000 cOis pour t90O.O00-pouk'le tout à livrer en naturt. au commence-fll4flt de drcembu'e 't ' d mars fldasiLd'eux ou trois ans.

La arinnLE e GO)UATII i> SERA DDMON'rE

. . , Parj.s, 28 août.On avait, amiuncé que Le i o'ijatli ,) ai-

lait, recevoir une hélice ck' rechange posircontinues' sois voyage. Or, on sait n'il esttrès difficile, surtout avec un i)pareiausj lourd. de décoller s'i.l,r le sabtedudésert ; le Goiath u. sel-a simplementdémonté e1 anieiié à Dakar.

L'affaire depiomtiag-

IIIEIIDIICT '

Paris, 28 août.Cayer Marriez, contumax est cçndaimi

à lapeine demort et s la cPgradétion mi-litajre; .Guaspare, 4st condamné à la pci-ne de Ilion et t la légradation militaire;Murai, 'auj travaux forcés s, perétujtéla famille &haiiek,à ladéport.ation dansuneenoeinfe fortifiée ;la femme Dcjardhsà la kléportatj&n tians une enceinte forti-fiée; Jejardin, à dix ans de travaux p5ibics.

es accusés ontt été en oufre ccurdmnésaux frais esvers 'I'Etat. f

GRYE. DiES DOECKERS MARSE:,E

. .Marseile, 2$ aout.

La sifuajion est sans changement pourla greve des 4jekers. Les r' ''rielw sonttoujovf.'s déserts ; les u'-u. ieijrs ticgrues, les ouvriers portefaix ennalleurSet de plusieurs autres corporations ayantdes rapports avec les dockers se solidari-sent avec les grévistes.LE TRÂI?EENT DES FONCTIONNA1R

.Pari', 28 août.

En t éponse 'r une qucsfion & i ite de MArisUd Jobert, luj d?em.andrat ' ''nei_gn.encnts sur tes. droits te xfiajrestemPoiai'r'eS aux avances exCep cLonnellgSde traitement, le ministre des 'finances aépondu hier ::

u, Le hénéfiae de Cft aIlcsations est aeguis aux auxill&resJ temporaires qui flgcr-raiènt'sur les eosrtrôk's à ' 'la date de lapromulgation de la Loi' instituant I'avaeflc.15 juin pour l'avafi de f]O fr 26juilletpour celle d'e 200 fr. et qui jnstifiaient d'unminimum de seiwie cffeetif dans une aci-ministration de PEtat; un -an pour avanceje 500 franes sjx mois pour cele de 200 fi',

"s' -

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Ynce

. P&j, 2'7 aoAt.La canc est vCrLe hetiresla pLé clence t yi Detnei.

ifM. Kio et Favre u bau u gou_etactfent. -

,Us AVANC;S AUX lIUilON JJEVASTEES

La Chambre examine dan1 Ic projet c-tardant des sttbyeL et d avanee aux,mtrtuiiCs djrecLruent at.Le.ints par les &-

iirnents dc la guerre, por, 1euL perniettr4'&uiIjtjver 1eu 1Judgt. L vr3eient iie;9bVetttGtis St,ra cfecu cinfjrintineiit au

d$pO,3-ons (L'une COflVCnttOU jntrvenu en-4,re IMat le Cretit foncier, tur les £ojuls

rOVCnaflt (le se Ob1igtiøns Om1IILIflUCS Cjusqu h «ncurrciec duie sote de 300 uiij-&tOflS. Afl11 4e permettre cette praUon. j'ai'-b1C16 5 du projet. niOci[afl. la kj de 1S&O d-jt1O (Lue le iIijffr des ae.tjon énjC pW je

Ortdit f(neje est fixé dans la oportjon dO;un vngt-c!nqvm ati mjii de. bjig&tjcnsou jtre eti t,jrculaUot1. GOtt( diSjûitioi p&'-Aile',, i1iS' t& Ot t1iSciue9 flnannior c1 po-_

d& UC nOiVe11C n1sjOn de 300 rniitOiisd'obljgatjone.

L'esemb1e du projet et tdopmite u 4'Tj ol; ts

. L1S PÉNS1ONS CIEUES

La Chainbe adOpte ent1 te, '-anq u\ 1 anr&Ij npp1rneataire dt 13.875.000 frarc.

cour la liquidainn dOs pOnSOn ejvi1e.La (jénobiIsaLion petmet aujou i'hu1 aux

cadres administratifs d Se reest,tter et tin-torjec, pa cOn&ucL d larges Iitiiint Cnpar rettajtc9.

M Orode, rapporteur, quetOnnc jetre II 1OS FaCnS dO I& i11jSC la retra'to udieoteut dc 1- cornptabjIjtc j?ublique, t lSede 5f ans. '

M. KIotz. 'Ce sont intiqIcnen ¶lea raj-k;o11,9 (l qij Ont provoqu6 a inÛretraite anLiOipc de 43C Limu gstjO11najr,pa je l(j)Cur tormidabje qu'il I !O&nr.

L'ncjIent C CIOÇL'ordre du joue compor.aj encore R

CSSjOn (lU prOje: sur je rég.me prOViSOirc dol'alcool, retour du Sénat.

A la deniandc (lu niinistre c1ea fleanoe. 1c

est- renvoyée juscpf1 la ratjfleat'On (1G deiIqui 'règlera l question.

Sur avis ravorb1e dii citoye Vrenn'.' iré-..ident la C(mmj4On du suTfruge unve.r

Sel, la Chambre est rivjt4e k hCr t "ine dees j)ttv prodhaitie sdanee. du ttCjLi la tIj-

OUSSÏOn de Inc4ion eatj\. sûa 'saIutIeeLotal.La 'aiaeé eL levée H 1iues4

. Sancd htires.

S('ance de l'O's-atiL

La a!iee CSI Quvette & li. 15, ona la pr*Sidenec do M'. 1)echrt.

Au banc du gouvOinemenL eaeitt place M1.CIomeieeau Lotcieu, Pichou et Kkt.

n n'y a gu-&'e, au &tbnt, qunne tt'ctaine dodjutts en sanee.

L' Trail tt PaixL'ordi tlt øur ppe1Io la anito lo la disei-

1on du uoet do loi poFtar&t atI{ication du.ait de pair.La parote e,st; au citoyen D6ÀCaut& dnni a dis-

uSsion gtéea1o. '

DEJJ?INrE pioposi LI 'ETATS-UNIS- D'RUROPE -

Déjearxte. La guerre, vous 10 savez, mes-teus, n'est pas le tait de la cIsse ouvrière;

db est le fait de la classe dirigeanLe. On no1)eut dire qtt'un organisation qui a déclutîneriur le monde une pareille catastrophe est uTieorganisation larfaite ; les niasses populairen'auraient pas voulu la guerre.

M. £ornudet. Excepté les ineases populairesa1lemaude. -

Le eitôyn Raffln-Duous. Puisque vous-paraissez tout, ignorer, nous somuies prêts ii re-prendi'e Cous nos diseours d'avant-guerre.

Déjeane.. Il 11tt15 faut rTpétee que la Répu-blique universelle est la seule garantie do lapaix. Pour éviter le retour 'uuo catastrophemondiale, il faiil que nou, extirpions tous lesgermes do guerre; c'estla force brutale qui atTté cause do tous les conflits ; c'est edo otu aM cause tic Ions les conflits ; c'est elle qui aimposé l'esclavage dans l'antiquit6, la servageIans le moyen-age. La R6voiution de 8) a ôtéaccaparée par la socidté capitaliste. qui est ha-sée sur cette c]ose immorale, nionstrueuso,qu'est le crédit. et sur le vol 'des produits dutravail des auttes. C'est par l'abus du rréditque l'Allemagne se trouvait acculée avant laguerre, à la néensité d'arrêter sa production exa-gérée; elle se trouvait dans co dilemme : ou laguerre, ou la révo1ution; l'Allemagne a choisi lazuerre.

C' J'invite le gouvernements alll, helligé-ranis et neutres t se réunir dns !o plus hrefdélai pour créer les Etat-Unis d'Europe et las-taurer la république universelle. r.

UNE FORMUL1 LAPIDAIRE DE f. VARC.47NE

-M. Margaine mente la tribune.M. Margaine. io regrette que le président

1u Conseil alt cru devoir assurer seUl la lez-ponsabilité du treihi do paix. La Cliainhie nepeut ue le ratier, car son rejet ouvrirait i non-veau les négoc4ations et le remdo serait pireque le fral.

(, crest la foi-tune t6reur de t'Allemagneu'iI fallait utiliser. Pourquoi n'a-t-on pas cons-

titn4 un fonds commun a'ec ces 10 milliardsparpilI6s cbe nou et nos aillés ? Les Fran-

çais pensent que le traité a été fait par d05FraTJçai3 pour des Français. ig M'A!'EflÇOIsQUE C'EST l TRUTE FAIT PAR DES !tO1!MESffAFFAfRB' POUR DES HOMMES D'.4FFAfJW.Pi'enons garde- qu'il ne fasse pn aussi l'affairede l'Allemagne. L'Angleterre et les Liais-Unissortent enrichis (lu cOnfiE Irnondiai. Potr nous,ttehons do reslaurer notre industrie, notre ma-aine' marchande ; tâchons aunent de fat oc gou-veru'r la B'raueo par des honimos 1ésiniéressés.

M. CTÏARTES i?I?OfSf

M Charles flonoist.. Le traid a-t-il rdsol'toutes les questions DanS l'est de l'Europe, au-enfle ; dans l'ouest dc l'Europe, il en laisse ensuspens. toul.nt en Delgkrue, ot la auestion tluLimbouig et ciile de l'Escaut sont encore peu-(lantes. On e commis aussi une raiule faute, euadmettant le plébiscite en Silésie; l'Allemagnele prépare avec ses méthodes habItuelles; peut-être, dan sia Pologne, dans la Tchdco-Slovaqule,y a-t-il la matière (le graads Etats nouveaux;mols, pour le moment, nons ne voyons en Europeq1'un rand Etat : e'et 1 Re-ic.h allemand; et,dans l'Eurcq,e Orientale, nous voyous le vide,le nésut.

Comment se reconstittieront. tez parties de laRussie ? II y e une quesiion de la Ilaltique ; ily a une question de la mer NoIre; Il y a unequestion de la mer Egée; et, bientôt Il y Mirala quesMon de la nier de Chine. Comment einnt-elles rosolues ? Le traité du 29 jul e commetoute muvrehiunaine ses (fi5lltd et ses défauts;c'est un pajn clti'll ' faudra gagner (t Ii sueurde notre froni; pour cela, un qal,% de 1éelod'efforts et d'éeonemje est ncesaire (Applan-d1Sseflierjts.

La mite de la dIscussion est renvoyée de'-mata, aLa Ie & tL

-r---

? L'APFAfRl JIFDÏr

Qu'y -t-1l sius cotte aui'ajre ? dejilaliTto,dans 1'ffi4W(té, il. G. Rau

fCe,r O nO rera oror0 t pet-SOnne que c'estla Pcr'sonflajiti de M, Judet (n'oi a voulu nt-.tOndrC.

Go débrj tie Panlidreïubisiuc neaiste plua.ri a sOjxflte-iiuil aueune IntiUCuce, an-cuti parti det-ejère lui : l vj{; ' Suisse (leressources assez najgrOS, pareît-i igtaoT1 dotous. Aloré ?

Quj M, UletuencTisu a-t-t voatu frapperdetrjère Ernes Judet ?

J'ai detnand cela i uIl 'personne bien iT-, cée pbtir &tre renseignée. Je lvr0 rj)t.i5T

enus eianger ud 'mot :

(' Le gouveriicinent s voulu taire Ue opéra-lion poI.jtque. Il anTté laffaj.re Caitnux.J)uj5 vingt in&s i'anojcu présj1etit du CCijsOt! est On priscia sais qu'on ait apport cep-Ire luI la moindre preuve. ii va falloir eprésentol devant îez élCf4eurS avec tette af-faire aur les bras Non, vraimnTtt, iC n'était'pas IX)ssib!O. Le procès Judet, c'est correc-.tif. On dira' .

( Nous n 010 ç n 'iun'ig pacifistes dedtht. ,n-ijes -psfistesTte gauohe. r.r rrr .Tirdet; qui ne canpto ps. on

: Veut toucher ;I Pion, adversaire k la fois diigo[jverflcnep et de y'fticjc : Acjo T'an-çajso, .

L_4 FAiLLITE DU TILIÏTE FiE VERSAILLJïS

-M. Pjrre Bertrand, cltis Le POU1qTeJ dé...dace ;

' E relté, i1 a'ij 1lqis de fraité. LaChambre françaiee, qu va o commencer 'ladjscissjop .inaidi, s lrouvei-a en face du

" 'C'est, déoruii&is, un fajI acquis que taFranco na de garantie ni clans te présent iiipour l'avelijr. )) '

M. Jean Herbetie dont Sait leT,avec le Quai d'Oisay, a écrit, dans le Temps :

r Quelles dtaj1Tl OS principales sûretésr. I. L'ocoupatan interalliée de territoiPes

rbénaa,s ?\lai je eontngeit aniérjcaiii n'est qu de

ajai P1e li0TflVlS.r. 2. L0 désarmement de l'A!!cina,ne et la

démiIitari.saon de la rive gaudie '1(1 Rljo ?C, fajs c'est la ' SOj6td des Nations quj (le-

Vjt être' chargée (lii contrêle.(' 3. Les ovøntiOn d0 garante TIOnT a5iT_

rapt l'aide des EtatS-Tttnis tde l'Angleterre ?,' Mais oOnvelÏijOus se réfcuTt aucci ii

'la Soejêté des Nations,uj Cii &ppeiéa r-noncer leur vaI'dit(. ,»

i\i. }3ertraud, Tiun6t'at ces q((e,infts C.penses de M. Ibsebeiie, S'OxIanie

,, La Société i.ies Nations t EIl n exjst& quel-.ques eniaiues 1ir le papier. Dao5 1utTusemaines, (Mie en sera eti'ae6e Le Si(1a' amen-

( Pain n'en VOUt p plus que de- j'atirhationdu iantoung au Japon.

r Alors, un aniendemeat X cOvcntjOns ?Eh hiet! soit. C'est Un prelujei pis.

'' Que la Chambre le fasse Oi verra rusai-te 1 'OjT J)C1j s'efl tenir , I

At Paiais ur

POUR LES FEMlIiS EN COIrCIIESLa coiulnssion ' du toidget a accepté

l'amendement. de MM. Ilonnorai et Laurliv,atreibtiant une alioc.atiou supplnien(-ero(10 4UjflO francs par mois pendaut les douzemois qui suivront l'aoeouclienenl. à. toutefrancaise admise aubénéfice (le la l6giIa-.lion des femmes en couches et alinilputelle-mémo SOn enfant.

LanIru ccc!asLantu'u a été interrogé nouveau par M. flo-

nia. Tout d'abord il a dté confronté avec un té-moin, M. \riteau, avocatconSeil, 84 aveulie Le-(lI'u-Rollin, chargé le 7 octobre lOIS, riar M. Ban-ehet, propriétaire, 3, rue Crozafier, dc Ilaideren usiice de paix contre Mmc Guillin repré-seril,ée 'n l'audience, par un mandataire, lequelnétail autre que Landeri. Le litige fut.régléil s'agissait du congé i l'amiable do Mmc Guil-lin le 18-octobre par le mémo intermédiaire.

M. Viteau ii parfaitement reconnu Landnu.Comme le luge faisait observer quo l'accord en-ire les parties avait été aigné Jules euchet d'uneécriture presque illisible, l'inculpé n réponduavec son flegme habituel :

Les signatures des gens écrivant an coumut de la plume sont illisibles. Je n'avais au-(mn mauvais dessein en écrivant vite et mal.

Ce point de détail laissé do coté, l'interroga-loire a porté sur la question des meubles et dsgarages. Lk encore, Landru a refusé de fournirdes explications. =

Je n'ai rien i répontire, a-t-il dit.Et eu ce qui concerne la eonveaUon passée

avec Mme Guiliin, s demandé le juge, quels enétaient les termes ?

- ;Ie n'ai rien A dire. Comme ii en existe unedizaine, e no puis me iappelCr lez termes decelle-la.

Où a-t-elle été enregistrée ?Je no sais plus. Du reste. e no vous ré-

pondrai pas, car, si e commeiioais, nous n'enairions plus.

Alors venus dtes résolu (n no pas vous ex-pliquer ?

Cela ne regarde que las intéressés.

Li VIEtGI AUX YEUX CRI?I'ESur l'ordre du juge, les meublCs Ci objets di-

vers enfermés par Lanidru dans des garages,Clichy et ii NeuillT, vont être réunis a'i Palalade Justice.

Le transport edmpienc liter, et l'oIi n vuarriver, dans la cour de Mai, deux mobiliers lechambre g coucher, un secrétaire et quelquestableaux, dont l'un n attiré partieuliiieenuint l'at-tention. C'est une peinutre ( l'huile raprésen-tant une Vierge à l'enfant et trouée en deuxendroits. La madone a eu ie deux youa crevést coups de révolver.

Est-ce Landru qui est- l'auteur de ce « car-ton t

,'

cà et LàUN TRiN DEVALISE

Dijon, T août.Ani moment de le mettre cri route, on

vient de s'apercevoir qu'un train dOE mer-chandisea composé d'une quarantaine do'agons, tous chargés (l matriel çle cern-

pement nn'ioeioain, uLensUTY5 ii ehaulFiigeet de Ui,3ifl(l, eaS.SCs dc chaussures, dn ta-bac, de eGuserves, do chocolat, de véte-.nient, etc., ayaif étAl complètement ?é-YalisTt. Il xie' restait plus quo les wagons

Ilien d'étonnant ceIa co train étaitret4 gàr peiidant w mois sur une voiee_ii. pleine eeeipa* 4 q1a aucune8urveUi&cer

ai1 I ha

I colltr

'

S'jl ne sagiesaj que des a1aiies, jeu lnqul6erT5 moins. l%lajs ji s'agi d'iiu,uOnçuôte qui n eoftt au monde ouvrier wieffort cfr vdionté., de pa-tieuce et (l'énergie, Il s'agit dd la Jour-UtO de huit heures, battue On brèche iarles Itommes .es plus rtsoLus lt le Ln1ux,arm de la 'réaction .. 'ravailieurs, at-tinion I. ...

é't 4, ,' -rI, U cprendre aux produetours

la conquête si chèrement acquise des Iluituetif'e de teaVnj1. On n'y russjva pes I

L patronat s'irlarine, sans doute dc laliberto que døflaeflt les Courtes journéesbien plus qu il ne s'alarme du hjenrtreque péuveuL proeper les hauls salaires.

II. sait que les sataires corespondront(oujours au prix de la vie. Tout se com-pense au mieux dans 'I'' harnionje souvc-raine do la loi d'airain.

'Tandis qu'il sait également que moins

de 'travail e'estplu (le lihert et. i)a (()Tt-séquent ptu's. (:10 facilité pour-pour s'jiisfaslirc, riour aimer la vie et i)ourrevendiquer ses droite .. . Or, cela. c'esl undanger social f...

t:e1a prou-vo combien avaient raisofi nosmilitants syniicalistes de vouloir, coûteque coûte, ta journéic de luij heures. llela

! îai eomprendrr coi1bjn ils 6taient danste vrai-de vol1oir' que les Iruit heuressoient mises 'au rang des questions primer-dja'les (id resTendication ouvrières.

Ja C1UestiOu des ei1rires n'est qu'unequestion de ci'roonstance et par eonsé-queiit une qustion eeondaire.

Ira question des Huit Heures fut ton-jours une question de pviric-ipe une reven..dication fondamentale. -

Maintenant, il s'agit do ne lies laisserlchapper une s1le conquèt-e. Défendonsla t Qu'elle soit notre point de départ pourdautres conquêtes de bien-être et d j-herté I

rNotro -ennemi, l'exploiteur, sent bienque le système (jili niaintient son règneest; atteint. risout d'abord abasourdi, ji ne-vient L luj. C'est nicis qu'il veut repren-dre ce qu'il , abandonna dans un manienterjtjque, où la orainte lui consoilta 'la sa-gesse ; li P.re-jer Mai s'étant tC5 bimpassé, SCiOfl lui, il se rassure, se ranime etveut luttct'.

Encouragé par toutes les grosses soe-tês de finances et d'exploitation du tra-vail humain, la bourgeoisie veut repreri-dec aux travailleurs leur premier suocès.

Une campagne formidable test entrepni-se dans cc but : la presse a d&jk reçu lesinstructions ef...aut.r choe aussi pours besogne d'orientation d l'opinion.

l:L t'auetncnL s con toul 1etentria tIFS

\ lin neute sOIlMiLttiOflS t Une acton-contre 'la joi tIcs huit heures. Ii faudral'alourner indûniment ou l'abroger déf-5(itivement. Cela fera parti-e du prograîn-me électoral prochain.

Tous les lnros de tat{e ciojsade ucu-voile contre la conquèt'e syndic-ale se pro-elitfleront (l@s défenseurs d4sintéressés ct,Hdèveués des intérdêts nationaux-.. . A jeuxqui ont combattu pour la pairie on oseradire ineore do surpi'odui're sans répit...jusqu'au bout. -

Tous les Museuraud des eIub économi-l'industrie, de lagric-ulture, etc.. ., etc. .. yques. c,e-reIes et groupes du commerce, tictiennent eorqj)toir 'ail uom des banques(lies soCiét métallurgiques, des campa-gaies mjnj&rcs, des compagnies maritimeset de. transports.

Djsoours l)réSidofltiels. discours politiquis se- résument en ceci : travai'iter, prt,-dure l..

Des chaires apostoliq'ue auront leursprédicateurs modernes 'çte doctrines socia-les.

Des tribunes répubiraines auront leursorateurs de 4iscours économiques .

Et; tous Ces bons apôtres 'int,en'drontconime larrons en foire pour exhorter lel)CUP1O L la production et la reprodue-tiort !

1Iles premiers nous prôcheront la flou-voile croisade en proclamant que le tra-vail est une Perpétuelle prjère agréableau seigneur ami des pauvres!...

Les seconds tonitrueront qu'il n'y a queI-a production qui peut sauver de la ruinenotre noble pays!...

eS journalistes r Fa mode c'est-.i-direles eiilpoyés plumitils mal payés et, mleonsjdérés, seront envoyés par leurs flialtres auprès cs grankts personnages poarleur faire dire toutqs sortes de ctupjditéséconomIques et sociales justifiant la aé-cessité dc produire.

IDu un mot, tout est combiné pour que'd'une façon plus ou moins générale. la loides huit heures rest.e inappliquée et pourque I où elle fut mise en application. onen revJenne aux saines traditions d'ahru-tissement social des prolétaires par l'ex-cès de travail.

A ce complot de réaction économiqueorganisé par les désorganisateurs sociauxdont s'honore la tourpeoisje, les travail-leurs opposeront le'iic force d'organisatin,leur eprit siidaire, léur compétence éco-nomjque L

Georges YVTOT.

Contre s rcaUsTOUJOURS LE MERC.4NTI

A la demande du parquet, une enquête ' estOuverte contre une Société des environs de Parisfabriquant un produit spécial pour 1'aliment-tien des animaux.

Il n été établi que ce produit est composé d'unmélange de matières qui n'ont aucune valeuralimentaire. fe prO(uit, qui était vendu 'O fr.les 100 kilos, revenait 40 fr. Le fabricant vaêtre poursuivi pour tromperie sur la marelian-dise et lirwsse illicite.

PERQU!!T1ON PANS (IN MdfMSÏNDE CIIAUSSUJ1E

Sur commission rogatoire do M. Fortin, juged'instruction, M. Labayssée, chef du service desfraucs, accompagné de M, Mougineau. commis-saine de son servicO, s'est rendu dans anmagasin (le chaussures du boulevard Sébastopolpour procéder à des perquisitions ; puismaison mère, située dans le iSe arrondissementil prockia k de nouvelles perquisilions, qui ontétabli que lte maison avait prélevé des bén-fiee do 3G li 45 francs par paire de chaussiire.Une partie de la comptebiHté #té saisie, niuque pIusieu(- LflO5 de cilaussirres. Le tout aét4 apeet4 au aaquet aux lias de eursuites.

( - .'- Parla, 2i aedt.Le cor(grès de5 P. T. P, a inauguré sOS ta-a-

iaux ce (itStjfl. II est, O quelque serte, larrfaee (LU COUgr(S de la Férlérata postale,(lui 't'a eltivre.

Plus de 120 sCCtjOS 'partjcipiit & ces dé-.lutte et-, 'parmi Clle il taint OjtO l'Alsace, eudes groupes solide5 sont cij CCnStitUéS.

Ce que seront ces dé-ats t Il 'el pas. Pré-nature dafilrmer qu':ls seront passiojinês et(flêjitO VkOleijtS.

L'heure est ''enue Cii effet, pour ;es rvftit-iCurs adnijpjstr-atifs, d prendre positioji Sansrt3tjcuces C SSUS CxtTgération dans je mouve-ineiit5'orial.

Le rapport morril du Cons0'l sera le pré_texte certain pour des luttes très vives, U'cstUli ra-oport de combat (l(li ' t'ont eu exposent(l'Une façOfl détaillée ot.isn du Conseil et duSl'nctjcat national, 'CflSt.j(tii une (iritqrtc trdsvive d ceana qui su 5ont montrés liostUcs i

l'actioi engagée.Ia première Séance du nngtin rai cuvette.

sans la pPéS(tOflCC de (lOy, sSj5(é de Njcelaset de Mjnc Ilieux.

Bordères, secrétaire giéraI, souhUte jabiejt\'ertue aux congressistes, , et, apr5 niait'C'XpOsé les vues (lu Conseil syndical,, il ti-rnij-(te Cfl léur dint :. " AyÔns e011(iaftCe dans:l'avenjr (lit syndiealisue, ayea cotiG5nc( Citasvolte propre itCljO,

Puis, aus5itdt, S'OuVFC la dscussjoti au au-jet du rapport nierai, et I11.iSSOii. i)tgat, Lpu-,troc, Roux, dc Parjs, adressent de vivès '-rili-ques et de vives protcstatjc'ns Contre l'action(lu Cous&l, plus particuiit'ement lingées con..tre Bordère,

Carnet. de 1'olouse, adjure les cougiesitiS-.tes & ne pas suivre 'les camarades qui veulentjeler la djvjsjo Catis nos rangs, t%tr ce n'est

5s tO manient la Franc-c a les yeux tournésVet'S rau5. Active-r s, diffU5OnS la propagande

oit mettant courageusement t l'ouvrage.eu travailiput- fovtT la ollcetiv:ed. clans l'iTlté-rt général.

PeyrotteS, TIC Béziers. dans un djSCT)tICS du-ne haute 'portée iorale et surtout très S1(b-1-antiel, parle daps le même SCn et Objjflt tinliés Vif antcoêa,

L'heure étaut trè5 avancée. 15. 9é01(CC ct le-.\:ée Our ajjer déjeuner ; elle sera reprise &s 'heures,

LE DISCOURS DL PEUiOTTE

Du rapport moral. dit Peyrotie, je ne re_lirdrsi que nkux :'oiats : les critqtrs a(lres-sées 5 la tactique 'idoptée au 1er mai et au21 juillet. - -

Mon tO(npdramCtit- perOnnel, .u3u SCfltjOC!lt-étaient tue la classe o(lvrire e dcvat, parUn mouvement puissant', (lafiirnice la fac-edc dirgeaI*ts do la flatiôn cl; de I'iite4na-tiPilS, d'afflrjncr avec rigueur sa volonté déli-..nitjVe, Uti5W(flC de no l-OTS se iC,jSSer éiraugtcrCOmme par le nssé. -.

,Mais, & cdé de ces consiclérattons pCCOu-iiellCs. l'tnquhtude me prenait i( la pea-Sée dOlattitude qu'.adopttrit la inSSsC de ina'veaux s)-uUiqLrés, dont je redOutjs les thfajt-Isiices.

D-t c'est pouqn ( ,a dCt (Cii pi ,'c ii C5 YasOcie'r, par un tuouvenient frsgn.eitafre&iais grand-jase, parce qjt'unanitue, o. coinbltic joie ma COftSe-ieIlt'-O syndcaiitd. Il sauve-'gardait noIre d'guité corporative, tout 'O 0f-tirmant notre soljdanj6 VOLT tOU la classe'uuvrière ej 1'assoup1isaii awc prciuie(-smouvciiients de la -gynl('LS 'iq&tc évOlIIii('utiai_1_e.

LII CC qui concerne te 21 juillet, je inélaisclassé 'par1Tj ceua ti pensaient (i(Ia j rad-.mage dCidé deyait O fice cri raStj (te soncaractère révolutjOiitiajre, 51 neoTsOiçe eRprésence des crcotisteI(ccs actuelles.

Mais j'étajs anxieux d'a.reiver la date ta-tidque. et l'inquieluue iie d1ta COnSOiCIIOC étaitfaite dc constatations (itte jO faisaii autourde mOi, dans notre propre Orlaa9atiOn ---- et,hélas t dans nombrO a'autr0s

Aussi bien que t'affait'e Landru, celle des mis-telles suit son cours normai, mais mystérieux.De temps la autre, une noie de jourinl dét:ournel'attention de la cherté de la vie et de la dicta-lune Clemonrean. Et l'on apprend alors que M.Pachot, commissaire, continue son enquête ap-profondie. Le magistrat, en effet, értdue autourde Porpignan 04 doit se trouver le noiud dumystère ou plutôt des mistelles. 'bans son der-nier imméro, le Cri Caletait. rions annonçait quele moment Yenu ji parlerait pour cclix qui setaisent.

Mais, en attendant, M. Pacliot va k FigureS,de lit la Barcelone, ii revient k Cerbère, compulsedes registres de la douane, retourne la Perpi-gitan intecroger un négociant, file sut' Béalers,arrive ta Cette, revient Perpignan, et tombe lal'improviste ta Port-Vendrez. il paraît nidifie qu'ilIra la Madnié. Entre témps, il rouci1lé une clépo-sillon à Colliouro, prélève un échantillon k Per-pignan, refuse un interviw, et fait un comma-niqué. - '

Cette comédie dure autant que les mystèresde New-York. Il faut croire que s'il s'agissaitd'un chemineau ayant soustrait un pain la ladevanture d'un boulanger, le voleur serait coffrésans autant de préludes. Mais il s'agit ici depersonnages importants ayant voulu traiter desaffaires importantes, voilla pourquoi l'enquête estantis importance T C'est surtout le public quel'on lionne, en lui laissant croire que la Justicesuit son cours. Et ce grand enfant plOin deconfiance et de crédulité s'imagine que la \Téritéest en marche et que rien ne l'arrôtra,

Pour corser la machination judiriaire, te ugCinstructeur de Patjs déléguait, ces jours don-niera, aupr,ès tlø M Par-bot, la Perpignafi, nabrigadier de police dont peut-être le flfaiin adonné la photographie, et qui était porteuC nOflra de mandats d'arrêts, mais de commissionsrogatoires. Et cola n donné un regain d'actua-lité la cotte bonne petite affaire des mistellesau moment ot s'organise la ltasse aux mer-cantis, 0fr la hausse s'accentue, cii la crise deschemins de fer s'exaspère. Elle n'a pourtant pasfait un pas de plus et malgré les mistelles caps-gables ou portugaises, le vin franhais reste horsde prix. Qu'impoite, le eoupale sera traquéimpitoyablement et puni,.. si on le trouve. Ras-surons-nous, il est ea sClrelé, car ceux qui lecouvrent sont tout- puissants t

N'empêclié, ùtte ecuriédie durera encore long-temps, puisque M. Pachot, malgré tout, e ticsfrais de mission raisonnables, que les misteliessont des vins doux, très agréables è boire etsurtout avantageux lorsqu'oit les importe engrande quantité t N"' "'"cette enquête auraVicIer Snell ou un de la Fouchartt!ère, san von-loir en nlec diminuer le flair ducommissaire p5-rir

'-'1'--..'.-..-it été mieux traitée par un

Je n'adniet ot le ne radressé ù la j1ut'née dt? 'l(

mouvement d''t1r poljtjau 3ulilettes les questjo11s 'enCliot0' par00 q lexact de dito que ce repro.' lquo pour abriter de5 llaChet, O n êt5t j

M0j5 parce que 'les faitspersolinellos ne sent p cii ir0S CÙr,s1tac PenSée et aine nos Sentime

tUOp0

eage d'en ignore1 le caraeti.re £' il n'estminer objectivenTetit. Ij t't'rSt:pendant plus d'u0 mois le fll5il 'Iques, écononiques,

5pinjtue11l'&mC 4i peuple. par la voie I et -

et pr une irotttsion d'&ffleh05 .ennqu'a ra jour, un POiSOn dOflt jj OSkrlflt1r.

de aic les effets t Sajis doute T'atmosphère défavorable, leimposant, maj' l m'apparutnature k apporter la perttirbt0 ii 'a,.

ga'iisations syndicales inrtfl5, l r.

rér' pour cette date. ' ni

t'cat pourquoi j'approuve la 4t-'déraie, qu, en StpPrjmant mee .°t1ré'erve mes espér(nIces etti'a un p'êpai 5tiO plUs efliacce

LA SECONDE 1OUR.\Lj

I-lle a ié suitouj initrqué Oartant 1li'CC(T(r5 (le I\!arcel Lau,eut sr.1itt C. G. 'r: La séance ri été I,teS 4't diie, .5O5 la OéSjdenQP0 r.t..2 tni.déj(gué alsacien, 0Sj5é dc Pourrol (

et de Gat-ta}fera. do FAube. ' C li:,Aprês la C sClissiOn du rapport ç

pat-ole el donnée ;r. Maree[ J.aure1 t

Apr(u. avoir constaté que la tat'11C55ujt4t da11s IC ,senb1écs Uro'

tuais qu'elle ne dOjt as lnsp; - dltil'té slstémat-ique, sou5 Pln'e drane'll( S préjudiciables qu trontlefujraiGu necsaire Contre l'ennemi CornuLaurent, étudiitatt les mOdiflcaVo,s apuitM.pat la guerre aux organisaje5Con tate quo les délégués françaja au

CO '

irij crua licitai s udical d'Anjsterdatubjea gt'CéS de veule r faire iox-tetrespousa'tljté d. eonfl,jt ta la C'aSse QUtFjtdan enil Alorit .iue lïes 'anOutTTS )foiTdCS O manifestaient au du l'ittf'it(ittlde de flO mii tants n 1'wiprtiude de la recoust.jttt[jon défi»(1I1Cteenuljon'sle ouvrière. n.

' il n'ippat-1 ient ps, ajoute M.aux seuls tfljl tOnts qui sont préselitetitejittête tics organisations darcomplir e ta'*'Qi" syndical, Ce devoir illeOmbe t tues 'citE plus imp tt'tant que jamaj'. Nous lVOten Offet, (1 heure5 0fr ta faillite (l lagcoio appariait intiuinente. préjjn1responabi1jt& quj nOUS incombor-aat, il niné C.S5j?C de rr'éeiscr no, méthodes. Lr.tat.cipation du tava'j lie pcttt saeQinplin ipar le ndicalrsuie,

« Uu délégué alletttiitid a dit ti Lucer:,e, L'heure U0 1 RévOlutjon a Souné, POur i(j j5 pCUjalt3s S'' engagent, il fut eanitrttrl't une orgnisat1on du laquei'e sero:i XTIT'I

(t le Sliid.c&lifle et in coop6ratio. é Cgtti

thèse suppose que le syndiealime, conneooiéraIjOfl, ostt (IéOormajs aOCOrnplj I'issioti. Ui,e tc1le nftirmtTtjo,n e4

des enseignements des circonstances récerfiet des néSCSb.iéS ijunnédiates. T(nit. (Oaeottau contraire t prouver qite la jSSj0,isyndjcsisinie et de la coopération eonimecl que c'est I-heure dc la POiitt 1C tLpsoée. r.

« Au premier plan, ius que Jama , Ci

dIre la production, Il St tcmps Cnn tejncla notre Compte la formule eClèbrc : li q'caiinie 5T suffit lui-même. Il doit mcSon action cii écarta il: sOi'neunatjncj tles influenc's snc'ptjbles dc e cttniiUle,,

Ce d:scou a ét vigoureusetniit appiaudtLes délégués siègent cet apLè-111j4i en eÙ.

fli- iofl avar't l'ouverture dc la dancC li1niére.

Un imoureu éviflcéaasin tin jetme bO!lflt

Tout tirni du e Midi »-t.,"-. L-. .,,.f;n An

51

'1'' r.r.'t' it; u "'"" '-"-' - -

Attetidoits, cependant , et &yon confiance ; dtns ii'.1ijid. ' - '

quelques mois, M. Pachot sera niéduillé, pifls- ' ir .èTe ( itinjI » itu .

que le coupable doit être décoré depuis long-e so , .

temps. Et quand le nom de ce dernier sera sur proPafJntIOe rjt aircttttf

toutea les bouches ou i1nprim' dans tous lea Envoie sa sOuSCt'if)tk1t e -

, niirnntx,.,, alors l'affairé sera classée, civece or- litns (jans son ent'OUruile i1't

tionfleace de non-lieu pour le' contumax, et un . . ' sjOfl

Cinéma filmera te Mystère ea plusicur.'i cycles NC perd Jamais une accu étettd

et eaucei de ibleaua t 'la r'éelrtine au (( Midi » J%('C

itné SMNcAI7i. j'Cpi'c1 lei; intéi'tS tIC la ehT5S

COEaveuableniettt vêtu, uni jeune honniT, FJ

Catsant agé de 26 51(5, se jarésetitait, (f

clic soir, ver5 7 heures, 5l bj' rueAnge, et doinandat une locataire habitant (T

rez..de..cjia0sée, dans le L)nd de a conu 1nr

Jackson. rc'iitière.,MiO Jstcksøii étajt absente : elle avait cO9

fie ia garde tin logis la a Jeinie bointie,aitdritie Pressoir, f8 ans, iquelie avait.

outre, le soin de voitier sur la ilettT dC s

patrol)ne. Sylve JaokaOn, agéo dc il 11S,

Au coup de sonnette du VjSitCUt', AI9('Nue Pressoir Vjflt ouvrIr. A la VUS dc t

tuas, elle eut u InOUVCt'flCflt de reOt ;e

appela la fillette o:t. toute épouvantTC,lt

cria : t

r Mademoiselle, je vous Cil prie, rrq

avor moi, ne me quittez pas T » . -

A la suite d0 a bonite, l'incetttt1 Pttt5.'datis la c-u'sine, et., après une (fIî1;1

stc,n a iaqunln temttt(4 (lpu1..Tl t 'ltd

la flloitc le jeune liotuine cjrtji tide sa poche et la trois PEqiriaciT,'

lit fCt ;,.

l'nfortu,née, qui, g"ié r iniflt itîciniT '

sur le sOI. . -Id

Le meui'trie'r C retiraforfait accompli. Ce n'est que quelqoes

tes prês que la Miette. revenue1e -i

donna t'alarme. Les coups de ccrolt jyldt

donné i'élojg,encnt tic l!appartetP0dl ' tu'pas dvejlié l'attento1i de la ét1permit ta l'assasssiu de se ret1'inquiété. .

' - & jétJaille Atexandrine It'c5iC. J'fl

tC

tl5 plus elarniants, a ét. rattsP0r5

genre l'hôpital fourrant, OU TO

pci_1 despoir. "0r'lnt,rrogéc ii bIesée n'a pu

c-es cjiielqttes 1110ts concernant v51L

metIt con meuririer : _ ,,

' LouiS T0stnat, A LevailOia_t'' ..... i1

M. SjmOi, COnititisSait' do pol:Ce. ;

ce draine. 50 rt3ItdiL antsstt5l sr leS

apprit qu':\Iexa,tdrine PreSsor, liii 11a"

tians cette place depuis trois ,nOl, /ctS

rée et qu'el le devait iit.arLaln(irneI1t Sti re!elle sortait fréTjuCmtnCtit 15 sonr P°05r.(ire Citez 55 qu habite rue cc-

elle rencontrait, 500 fut'-'' épouX. '',1TCI:i'iS CC tint, éconduit un, eUfl0

rient pompier, qu'elle freque4it-T . de -

-.---------,----" '.I '(t1l I cliiiCro(-011 it t'eLt'i'..........-- - -jalousie. serait l'CllieUr de ce draP10

La nntrC de la viCliniC a prvCî,1litila. outrée tin nia1licur qui la frappa t.

ju:iiC!aire rcherCtÀe le nICuL'LIÎCI',---

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