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Societe d’Etudes Latines de Bruxelles The ancient mariners. Seafarers and see-fighters of the Mediterranean in ancient times by Lionel Casson Review by: Marcel Renard Latomus, T. 18, Fasc. 4 (OCTOBRE-DÉCEMBRE 1959), pp. 838-839 Published by: Societe d’Etudes Latines de Bruxelles Stable URL: http://www.jstor.org/stable/41521661 . Accessed: 12/06/2014 22:05 Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at . http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms.jsp . JSTOR is a not-for-profit service that helps scholars, researchers, and students discover, use, and build upon a wide range of content in a trusted digital archive. We use information technology and tools to increase productivity and facilitate new forms of scholarship. For more information about JSTOR, please contact [email protected]. . Societe d’Etudes Latines de Bruxelles is collaborating with JSTOR to digitize, preserve and extend access to Latomus. http://www.jstor.org This content downloaded from 195.78.109.119 on Thu, 12 Jun 2014 22:05:48 PM All use subject to JSTOR Terms and Conditions

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Societe d’Etudes Latines de Bruxelles

The ancient mariners. Seafarers and see-fighters of the Mediterranean in ancient times byLionel CassonReview by: Marcel RenardLatomus, T. 18, Fasc. 4 (OCTOBRE-DÉCEMBRE 1959), pp. 838-839Published by: Societe d’Etudes Latines de BruxellesStable URL: http://www.jstor.org/stable/41521661 .

Accessed: 12/06/2014 22:05

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838 COMPTES RENDUS

malmente non raggiungevano il tribunato, che si abbassò peraltro molto di livello durante le guerre civili.

Una ricca documentazione a piè di pagina e una nutrita biblio- grafia finale avvalorano le ricerche dello Smith, il quale nelle note trova ancora modo di accennare a tanti problemi particolari (e ci duole che lo spazio non ci consenta di riferirli e commentarli) ai quali danno occasione passi citati da autori antichi о da epigrafi, ovvero riferimenti a pareri di studiosi moderni.

Tutto sommato, pertanto, non possiamo che compiacerci di questo studio che, nella sua apparente modestia, reca un contributo di prim'ordine a quella conoscenza sostanziale della organizzazione sta- tale romana in campo militare, senza la quale non è possibile rico- struire su solide basi lo sviluppo storico dei fatti nel loro ambiente politico-sociale. Aldo Neppi Modona.

Lionel Casson, The ancient mariners. Seafarers and see- fighters of the Mediterranean in ancient times (New York, Macmillan, 1959), xxii-297 pp. in-16, 6 figg., 2 cartes, 16 pll., 5 $ 95.

M. Lionel Casson, professeur à la New York University et qui a appartenu à la « Navy », a entrepris de nous donner un ouvrage de synthèse sur la marine de l'Antiquité depuis les Égyptiens jusqu'à l'Empire romain, en accordant leur place aux Égéens, aux Phéni- ciens, aux Grecs et, plus brièvement, à quelques autres peuples. L'ouvrage, qui s'adresse à la fois au grand public et aux spécia- listes de l'antiquité, est réussi dans l'ensemble, du moins à le prendre comme source d'informations générales et rapides ou comme point de départ pour des investigations plus poussées.

L'auteur s'est préoccupé de fournir une esquisse aussi dense que possible et de rencontrer les aspects divers et même multiples du sujet. Ainsi son livre ne se borne pas à évoquer l'évolution des marines antiques et à traiter des aspects techniques du sujet : à certains moments, M. Casson se fait brièvement l'historien des grandes découvertes maritimes de l'antiquité ou de batailles na- vales célèbres ; en maints endroits, les transports par navire l'amènent à toucher à des problèmes d'ordre économique, etc.

La documentation est abondante, l'auteur ayant utilisé à la fois les textes, les inscriptions, les documents archéologiques (ainsi il rappelle au passage les fouilles de Mahdia ou les récentes explora- tions sous-marines effectuées au large de Marseille).

L'ouvrage doit certainement combler largement le souci d'infor- mation de l'honnête homme qui s'intéresse à l'histoire de la marine. Il s'en faut cependant que le spécialiste de l'Antiquité y trouve toutes les informations qui lui sont nécessaires : pour lui, des ques- tions comme celle de la bataille de Salamine ne se traitent pas en quelques paragraphes, non plus que l'aventure d'un Pythéas ; il

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cherchera en vain des détails suffisamment abondants sur la con- dition des gens de mer, avec référence aux inscriptions, qu'il s'agisse de la flotte marchande ou de la flotte de guerre ; sauf erreur de ma part, il n'est pas question de Fréjus... M. Casson a beau dire que les ouvrages de J. H. Thiel sont difficiles à lire parce qu'ils traitent tous les problèmes en long et en large, c'est sur des ouvrages de ce genre qu'on doit en fin de compte s'appuyer. On eût aimé aussi que l'auteur fît la place qui leur revient aux travaux d'Émile De Saint-Denis.

Il est vrai que si M. Casson avait donné à son sujet tous les déve- loppements qu'il pourrait comporter, c'est presque une encyclopédie qu'il lui aurait fallu écrire ! Marcel Renard.

Franca de Marini Avonzo, La funzione giurisdizionale del Senato romano (Milan, Giuffrè, 1957), 180 pp. in-8°, 1000 lires.

Tous les manuels d'histoire des institutions romaines signalent, plus ou moins brièvement, que le Sénat eut, sous la Haut-Empire, diverses attributions judiciaires (Cf. Bouché-Leclercq, 1931, p. 143, Ellul, t. I, 1955, p. 423, Monier, Cardascia et Imbert, 1955, p. 230, ce der- nier ouvrage n'évoquant qu'une « importante juridiction criminelle »). Mais si le principe de cette juridiction est bien connu, son ampleur et son fonctionnement restent souvent imprécis, et l'on ne peut que féliciter M. Franca de Marini Avonzo de s'être efforcé de mettre en lu- mière un aspect trop souvent négligé des institutions du Principát.

Des le début de son travail, l'auteur note combien était ample la compétence juridictionnelle du Sénat romain : on pouvait porter devant lui non seulement des causes civiles ou pénales, tant en première instance qu'en appel, mais encore des affaires administratives ou de juridiction volontaire. En matière de justice pénale, le Sénat ne se bornait pas à statuer sur des procès ayant un fondement politique : il jugeait aussi bien les affaires d'adultère que celles de conspiration.

L'auteur remarque que les sources concernant la compétence civile sont assez rares. Toutefois, nous savons que Néron a renvoyé au Sénat tous les appels contre les décisions des juges privés et que Marc Aurèle étendit cette compétence aux appels formés contre les décisions des consuls. Le Sénat était également juge d'appel à l'égard de nom- breuses sentences des fonctionnaires impériaux. Tout ceci laisse à penser - comme d'ailleurs l'institution de la revocatio in duplum - que l'appel, que l'on présente souvent comme pratiquement inexis- tant sous le 'Haut-Empire en raison de la procédure de Vordo et du caractère arbitral de la procédure, a joué en fait un rôle important dès le début de l'ère chrétienne. Il y a lieu de noter avec l'auteur que le cognitio senatus est une cognitio extra ordinem . Quant aux origines de cette compétence juridictionnelle du Sénat, M. Franca de Marini Avonzo, citant l'explication donnée jadis par Bodin, estime lui aussi

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