regards avril2013
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J O U R N A L C O M M U N A U T A I R E D ’ A S C O T
Participez à l’assemblée générale de votre caisse le mardi 16 avril 2013 Détails au verso du journal
Informez-vous auprès de votre caisse au 819 566-4363www.desjardins.com/caissemontbellevuedesherbrooke
VOLUME 8, Nº7 - AVRIL 2013
La « nouvelle » Maison des
Grands-Parents!page 6
Diane St-Laurent et Nathalie Brodeur,
membres du Blé d’Or
Le Blé d’Orau coeur d’Ascot!
page 5
pages 3 et 11
Un mot aimable, c’est comme un jour de printemps.
— proverbe russe
Photo : Daniel St-Onge
Claude Adamsgrand supporteur
et homme d’affairespage 8
Av r i l 2 0 1 32
RÉDACTIONDaniel St-Onge
C. P. 22002Sherbrooke QC J1E 4B4
Tél. : 819 [email protected]
PUBLICITÉFlorent Rousseau
819 822-3299 / 819 993-2505
ABONNEMENTIndividu : 20 $ / année
Organisme : 20 $ / année
Regards est réalisé grâce à la participation financière du Ministère de la Culture et des Communications du Québec, de l’Arrondissement du Mont-Bellevue et de la Caisse Desjardins du Mont-Bellevue de Sherbrooke.
Regards est aussi disponible en format PDF sur le site :www.amecq.ca/journaux_membres/regards/
Dépôts légaux : Bibliothèques nationales du Québec et du CanadaTirage : 4 750 exemplairesDistribution : Publisac Coordination, journalisme et graphisme : Daniel St-OngeRévision et correction : Monique Joyal-PainchaudConseil d’administration : Jn-Guy Saint-Gelais, président; Julie Falardeau, vice-présidente et secrétaire; Gérard-Pierre Ti-I-Taming, trésorier; Evelyne Lapierre, administratrice; Bruno Léger, membre coopté de l’arrondissement du Mont-Bellevue.
Regards est un journal communautaire dont la mission est de participer à la mobilisation des citoyens, des organismes et des institutions du quartier Ascot. Son contenu rédactionnel contribue à mettre en valeur la richesse du tissu social et culturel local. Les opinions émises dans les textes publiés dans ce journal n’engagent que leurs auteurs. Regards ne s’en tient pas responsable.
Ne jetez pas ce numéro de Regards : recyclez son papier!
Prochaine date de tombée des textes et des publicités
15 AVRIL 2013
Prochaine date de parution
1er MAI 2013
L’imprimerie à bon prix.• Impressions de tous genres
• En-tête, enveloppe, dépliants, brochures975-1, chemin Hamel
Sherbrooke (Québec) J1R 0P7Tél. : 819.569.0219 - Téléc. : 819.569.8094
Daniel ST-ONGECoordonnateur du journal Regards
Regards est imprimé par :
Corporation Ascot en Santé819 822-5455 poste 14876
[email protected] 342-0996
En partenariat avec :
On le dit, on le sait, le prolongement de l’autoroute 410 devrait apporter dans les environs d’Ascot pas mal de mouvement. D’ailleurs, cela a
déjà commencé avec d’ambitieux projets domicilaires, notamment, celui situé entre les rues Thibault et Sara. S’y grefferont probablement d’autres types de développements commerciaux, voire industriels. C’est l’amorce d’une revitalisation qui réjouira les citoyens du quartier, en autant que cela se fasse dans le respect de leur qualité de vie et de leur environnement.
Mais, le développement souhaité pour le quartier passe aussi par la vitalité de sa vie communautaire. Là aussi, il semble que ce soit bien parti, avec Cuisine collective Le Blé d’Or qui a choisi de s’établir au cœur d’Ascot (coin des rues Belvédère et Sara) en faisant l’acquisition d’un édifice vacant depuis 2008. Voilà un bel exemple de revitalisation! À lire en page 5.
À propos, l’équipe de Regards souhaite la bienvenue à Stéphanie Lavigne, conseillère en alimentation chez Le Blé d’Or. Elle joint les rangs du journal pour la rédaction de notre chronique Nutrition.
Une revitalisation souhaitable
www.facebook.com/pages/Ascot-en-Santé/125288147532136
édition d’avril 2013
Venez faire de bonnes affaires!Des objets de toutes sortes vous y attendent en passant par la pelle à neige, aux jouets, aux vêtements pour enfants, aux outils et combien
d’autres surprises.C’est un rendez-vous!
Samedi 13 avril de 8 h à 15 h à l’école internationale du PharePour plus d’informations ou pour réserver une table contactez
Patrice Guay 819 822-5455 poste 14831
MÉGA VENTE DE GARAGE AU PROFIT DE LA
FONDATION DU PHARE
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Le conseil d’administration vous remercie de votre pré-sence à l’assemblée générale annuelle. C’est toujours
un moment important dans la vie d’une Table d’action et de concertation. Cette rencontre nous permet de faire le bilan de l’année qui se termine et de nous fixer des objectifs pour l’année en cours, lesquels répondront aux besoins exprimés par les citoyennes et les citoyens.
L’assemblée générale annuelle étant derrière nous, nous pouvons réunir nos énergies afin d’entamer activement l’organisation du SOUK. Pour ceux et celles qui ne seraient pas familiers avec cette activité, sachez que l’on parle ici d’un grand rassemblement où se marient à merveille des kiosques présentant différents pays et traditions d’où sont originaires les gens de notre quartier. À cela, les visiteurs pourront ajouter une expérience culinaire hors du commun, en dégustant des mets typiques de différents continents. On y retrouvera aussi des kiosques d’organismes et de marchands, ainsi qu’un volet culturel qui saura animer la foule.
Le Souk, c’est un des moyens qu’Ascot en Santé s’est donnés pour faire découvrir à la population sherbrookoise la richesse culturelle de notre quartier. Les éditions passées ont été de franches réussites, et nous souhaitons maintenir la cadence cette année encore. Pour y arriver, nous avons besoin de vous. Que vous souhaitiez tenir un kiosque, cui-
siner en faisant découvrir les mets traditionnels que vous aimez, faire partie du volet culturel et ainsi partager vos habiletés en chant ou en danse ou simplement donner un coup de main à la logistique de l’organisation, faites-nous part de votre intérêt.
La richesse d’Ascot en Santé se calcule par la participation des citoyennes et des citoyens, des entreprises locales, des organismes et des institutions qui s’impliquent activement dans les projets que nous avons élaborés ensemble, notam-ment, dans le cadre de nos assemblées de quartiers.
Espérant que vous serez nombreux à répondre à l’appel…
L’équipe d’Ascot en SantéContactez-nous au 819 822-5455 [email protected]
Gérard-Pierre Ti-I-Taming
Le Souk s’en vient...
Suite à mon « mot du président » du mois passé, où je parlais de l’arrivée de nouvelles familles, plusieurs per-
sonnes m’ont posé des questions sur l’avenir commercial à Ascot. J’ai fait quelques démarches, et il ne semble pas y avoir de nouveaux développements à venir dans le secteur.
Il est vrai que je ne suis pas dans le secret des dieux, mais j’ose espérer qu’il y a des gens d’affaires qui commen-cent à s’intéresser à notre quartier. Avec la fermeture de divers commerces dans le secteur au cours des derniers mois, nous serons obligés d’aller de plus en plus loin pour magasiner.
Quand nous avons rencontré les gens de Commerce Sher-brooke, il y a près de 2 ans, nous les avons sensibilisés au potentiel économique généré par l’arrivée de la 410. Rien n’a bougé depuis. Il faudra rappeler à nos élus que le déve-loppement de Sherbrooke passe AUSSI par Ascot. Profitons de la prochaine campagne électorale municipale pour sensi-biliser les candidats à cette nouvelle réalité ascotoise.
Faisons part de nos besoins et de nos attentes. C’est en parlant haut et fort que nous serons entendus. La voix du peuple est souveraine.
Au plaisir.
L’axe commercial
Jn-Guy SAINT-GELAISPrésident du C. A.du journal Regards
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CAMP DE JOURRetour du camp de jour du parc Belvédère!En plus de son camp de jour régulier au parc Belvédère, l’Arron-dissement du Mont-Bellevue offrira un camp de sports santé glo-bale pour ceux et celles ayant besoin de bouger! Ce camp permettra aux plus actifs de pratiquer un sport différent à chaque semaine en plus de pouvoir participer aux sorties et à d’autres activités ludi-ques. Nombre de places limité à 65, premier arrivé, premier servi!
Également cette année, un service d’animation sera offert lors des journées de sorties. Ainsi, un enfant non inscrit à une acti-vité spéciale pourra se rendre au site d’accueil préalablement établi afin d’y passer une journée des plus divertissante!
Profitez des rabais famille et des accessibilités disponibles allant jusqu’à 80 % selon votre revenu familial et le nombre d’enfants inscrits. N’hésitez pas à nous contacter afin de vérifier votre ad-missibilité.
Pour plus de détails, surveillez, à compter de la mi-avril, nos publicités distribuées dans les écoles ou visitez le :www.sherbrooke.ca.
Voici les coordonnées de nos deux centres communautaires qui offrent eux aussi des camps de jour à chaque été :
Camps de jour du Centre communautaire de loisir SherbrookeInscription le samedi 4 mai : 1010, rue Fairmount 819 821-5601 / www.cclsherbrooke.org
Camp de jour du Carrefour accès loisirsInscription les 3 et 4 mai172, rue Élaine-C.-Poirier819 821-1995www.carrefouraccesloisirs.com
RAPPELConcours d’écriture des arrondissements C’est dans le hall d’honneur de l’hôtel de ville que les auto-rités municipales et des représentants du milieu littéraire ont rendu publics les enjeux, règlements et bourse du tout nouveau Concours d’écriture des arrondissements, le 25 février dernier.
Ce dernier est ouvert à toute personne résidant sur le territoire sherbrookois; tous les genres littéraires sont admis; le texte sou-mis peut être rédigé en français ou en anglais; il doit avoir un maximum de dix pages; le sujet traité doit mettre en valeur un lieu emblématique de l’arrondissement. Dans le cas de l’arron-dissement du Mont-Bellevue, c’est le parc du Mont-Bellevue qui a été choisi.
Enfin, les textes soumis doivent être acheminés au bureau de l’arrondissement concerné au plus tard le 31 mai 2013, le sceau de la poste en fera foi. Une bourse de 1 000 $ sera remise au lauréat de chaque arrondissement. Le dévoilement se fera en septembre 2013. Alors, gens de l’arrondissement, à vos plumes; à vos claviers! Pour plus de détails, visitez le : sherbrooke.ca/concoursecriture.
À SURVEILLEROuverture des Jardins communautaires Marcel-Talbot : 13 avril Cette année, les Jardins fêtent leur 10e anniversaire. Venez nous visiter! Pour information, contactez Marina Starman par cour-riel à [email protected].
Bureau de l’Arrondissement : 819 563-3993
VIE DÉMOCRATIQUE / Calendrier – Mars 2013Date Heure Séance Lieu2 avril 19 h Conseil municipal Hôtel de ville (191, rue du Palais)15 avril 19 h Conseil municipal Hôtel de ville (191, rue du Palais)22 avril 19 h Conseil d’arrondissement
du Mont-BellevueBureau d’arrondissement du Mont-Bellevue (600, rue Thibault)
Les ordres du jour sont disponibles, le matin même de la séance, dans la section :• « Conseil municipal » du sherbrooke.ca/mairie pour les ordres du jour du conseil municipal;• « Séances du conseil d’arrondissement » du sherbrooke.ca/viedemocratiquemb pour les ordres du jour du conseil d’arrondissement du Mont-Bellevue.De plus, il vous est possible de visionner les séances du conseil municipal en rediffusion sur la chaîne MAtv et sur COGECO et de les consulter en webdiffusion. Pour plus de détails, rendez-vous au sherbrooke.ca/telediffusion.
Inscription :
Les 3 et 24 mai : 17 h à 20 h
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Vous l’aurez sans doute remarqué, Cuisine col-
lective Le Blé d’Or a élu do-micile dans notre quartier. En effet, c’est en août dernier que l’organisme faisait l’acquisi-tion de nouveaux locaux situés coin Belvédère Sud et Sara. Grâce au concours de nombreux bénévoles dans la rénovation des lieux, l’équipe du Blé d’Or a pu emménager et reprendre ses activités dès le début de novembre. Comme l’explique sa directrice, Solange Rodrigue : « Ce déménagement au cœur d’Ascot répond à la volonté du Blé d’Or de se rapprocher d’une partie importante de sa clientèle. Nous voulions aussi être propriétaires, pour une plus grande marge de manœuvre dans notre organisation. Côté pratique, l’endroit se prête mieux à nos activités : locaux modernes, vastes et très fonctionnels! »
Solange Rodrigue rappelle que Cuisine collective Le Blé d’Or est un organisme communautaire dont la mission est de promouvoir l’auto-nomie alimentaire et de saines habitudes de vie dans le but d’amé-liorer la santé et la qualité de vie des gens. Ses activités s’adressent aux personnes ou familles vivant en situation d’insécurité alimentaire ou désirant développer leur autonomie alimentaire. « Le Blé d’Or est ouvert à tous, nonobstant l’âge, la condition sociale ou l’origine cultu-relle! » précise-t-elle. On y forme des groupes d’activités très variées. Par exemple, il y a un groupe de cuisine entre hommes, en partenariat avec le centre d’entraide Momenthom et un groupe de jeunes adultes, en collaboration avec le Carrefour jeunesse-emploi de Sherbrooke. Il y a aussi des activités pour personnes en réinsertion progressive vers l’autonomie alimentaire; pour parents avec enfants en bas âge, qui profitent de la halte-garderie de l’organisme; pour personnes végéta-riennes aspirant à l’équilibre nutritionnelle; pour personnes à mobilité réduite, diabétiques ou allergiques. Un groupe se consacre même à bien planifier la « boîte à lunch » pour les écoliers. Plusieurs partici-pants aux activités du Blé d’Or affirment que cela leur a grandement aidé à s’intégrer socialement, à briser leur isolement et à améliorer leur condition socio-économique en lien avec l’insécurité alimentaire.
Solange Rodrigue se dit fière de l’appui de ses collègues dans sa tâche : Jessy Morin, secrétaire de gestion et planificatrice de grou-pes, Stéphanie Lavigne, conseillère en alimentation, Anna Maria Stebel, éducatrice en autonomie alimentaire et Samira Saad, éduca-trice en autonomie alimentaire et à la halte-garderie. « Toutefois, Le Blé d’Or ne serait pas ce qu’il est devenu sans l’incroyable implica-tion de ses bénévoles, mais aussi de nos partenaires institutionnels et corporatifs! » tient à ajouter la directrice.
Bref, qu’on soit jeunes ou vieux, nantis ou démunis, Le Blé d’Or est une ressource « en or » pour apprendre à bien s’alimenter, et ce, à prix modique! Alors, n’hésitez pas à vous inscrire, c’est gratuit : il y a une place pour vous au Blé d’Or!
Cuisine collective Le Blé d’Or1785, rue Belvédère Sud (coin Sara)Sherbrooke (Qc) J1H 4E4819 820-1231 / [email protected] / www. Lebledor.org
SAVIEz-VOUS QUE…
Cuisine collective Le Blé d’Or a vu le jour, il y a 22 ans.
Heures d’ouverture : du lundi au vendredi de 8 h 30 à 16 h 30.
Le 26 mars dernier se tenait la Journée nationale des cuisines col-lectives du Québec. Pour la circonstance Le Blé d’Or a offert un atelier intitulé « Ressusciter les recettes traditionnelles ».
Le 10 mai, Le Blé d’Or donnera son populaire souper-bénéfice aux homards, et ce, pour une 19e édition, sous la présidence d’hon-neur de M. André St-Clair, copropriétaire de Mazda de Sherbrooke et Mazda de Magog.
Cuisine collective Le Blé d’Or au coeur d’Ascot!
1299, rue Denault 819 823-7777 Salle de réception pour tous genres d’occasions
À l’achat d’un déjeuner de 7,95 $ et plus
recevez un deuxième déjeuner de valeur égale ou moindre à 50 % de rabais.
Valable du lundi au dimanche. Expire le 30 septembre 2013. Seulement au Eggs Fruits du 1299 de la rue Denault.
Ne peut être jumelé à aucune autre promotion.
1$ de rabais
6 h à 9 h
Les membres des hôpitaux et les membres de la Fadoq
ont 10 % de rabais sur présentation de leur carte
de membre
Au Blé d’Or, on apprend dans la bonne humeur. De gauche à droite : Germaine Ntebe, Solange Rodrigue, Pascal Pépin et Anna Maria Stebel.
Reportage : Daniel St-Onge
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La Maison des Grands-Parents de Sherbrooke vient tout juste d’emménager dans l’imposante demeure qui fut jadis le presby-
tère de la paroisse Saint-Joseph. Comme le confie Louise Brisson, sa directrice: « Nous réalisons ainsi un vieux rêve, car les admi-nistrateurs de la première heure avaient déjà un œil sur cette belle maison! »
Rappelons que la Maison des Grands-Parents vient d’une idée de qua-tre aînés et de deux parents actifs dans leur communauté, suite à une réflexion sur les difficultés de plusieurs familles et le désir de certains aînés d’aider les plus jeunes à découvrir leur potentiel. Fort de l’appui d’une trentaine d’organismes du quartier et de la Congrégation des Filles de la Charité du Sacré-Coeur de Jésus, la Maison des Grands-Parents de Sherbrooke voyait le jour le 7 mai 1998. « Cela fera exac-tement quinze ans en mai prochain, et on se promet de le souligner en grand! » dit fièrement madame Brisson, qui ajoute que la symbolique de se retrouver dans une « vraie maison » est hautement significative pour les membres de l’organisme.
C’est donc avec beaucoup de fébrilité que madame Brisson parle du potentiel de ces nouveaux locaux, plus vastes que ceux de la rue Raoul-Bruneau. « Nous pourrons, entre autres, tenir plus d’ac-tivités simultanément et, éventuellement, ajouter d’autres volets à ceux existants. Même le sous-sol pourrait être aménagé dans le futur. De plus, nous disposons d’assez d’espace pour héberger d’autres or-ganismes communautaires! Se retrouver au cœur du quartier ouest offre aussi une meilleure proximité avec la majorité des écoles que nous desservons, dont les Quatre-Vents, Sylvestre et Larocque. »
Concernant les « grands-parents » en question, madame Brisson explique qu’ils sont de jeunes retraités, aînés ou véritables grands-papas et grands-mamans. Ils sont issus de différents milieux, ori-gines et professions. Leur seule motivation est de créer des liens avec les jeunes tout en leur transmettant leurs connaissances. Tous les bénévoles ont 50 ans et plus. « Notre doyenne a 91 ans, et elle accompagne au piano la chorale intergénérationnelle… », souligne affectueusement la directrice.
Dans les faits, La Maison des Grands-Parents offre trois volets d’ac-tivités : Volet 1. Activités intergénérationnelles tenues aux locaux de l’organisme après l’école et appelé Bonjour grand-papa, bon-
jour grand-maman; Volet 2. Intitulé Grands-parents de quartier, il se tient directement dans certaines écoles en soutien aux activités scolaires, dont l’aide à la lecture; Volet 3. Consacré aux ados, Des générations à découvrir propose, entre autres, des pièces de théâtre intergénérationnel en collaboration avec l’école Montcalm, de la danse d’ici et d’ailleurs avec les classes d’accueil de l’école inter-nationale du Phare, des rencontres de discussion entre étudiants du Cégep et grands-parents…
Il va sans dire, le nouvel emplacement de la Maison des Grands-Pa-rents de Sherbrooke devrait lui donner plus de visibilité, mais aussi motiver davantage ses bénévoles qui consacrent énergie et temps au mieux-être de notre jeunesse. Bravo!
Maison des Grands-Parents de Sherbrooke1265, rue Belvédère SudSherbrooke (Qc) J1H 4E2Téléphone (819) 820-9803Courriel : [email protected] Web : www. mgpsherbrooke.org
Bienvenue à la « nouvelle » Maison des Grands-Parents!Reportage : Daniel St-Onge
Les sourires chaleureux des employées de la Maison des Grands-Parents. De gauche à droite : Nadja Guay, agente de programme, Louise Brisson, directrice et Nicole Denis, adjointe administrative.
Grands-parents et jeunes lors d’un atelier de confection de bas de pyjamas.
7Av r i l 2 0 1 3
À priori, le terme abus désigne un dépasse-ment des limites permises. En effet, une
personne qui abuse signifie qu’elle a posé un geste excessif ou qu’elle prend un peu trop de quelque chose. Il existe différents types d’abus tels que l’alcool, la drogue, un excès de sucre, etc. Par exemple, grand-papa a le droit de prendre un verre ou deux et conduire sa voiture s’il ne dépasse pas le taux d’alcoo-lémie permis par la loi. Cependant, s’il dépas-se la limite permise, on dira qu’il a abusé de l’alcool et qu’il contrevient, par le fait même, aux lois.
En ce qui concerne les agressions sexuelles, ce sont des gestes à caractère sexuel, avec ou sans contact physique, commis par un indivi-du sans le consentement de la personne visée ou, dans certains cas, notamment celui des enfants, par une manipulation affective ou par chantage. Il s’agit d’actes visant à assu-jettir une autre personne à ses propres désirs par un abus de pouvoir, par l’utilisation de la force ou de la contrainte, ou sous la menace implicite – sous-entendue – ou explicite – dite clairement.
On note, parmi les différents types d’agres-sions sexuelles, les attouchements sexuels,
les appels obscènes, l’exhibitionnisme, le harcèlement sexuel, l’inceste, le viol, le voyeurisme. Tous ces types d’agressions sexuelles portent atteinte aux droits fonda-mentaux, notamment à l’intégrité physique et psychologique et à la sécurité de la personne qui en est victime. Alors, peut-on dire d’une personne qui commet des attouchements sexuels, par exemple, qu’elle a abusé d’une autre personne? Cette personne avait-elle le
droit de prendre un peu de sa victime? A-t-el-le simplement dépassé la limite permise? Que laisse-t-on entendre lorsqu’on parle d’abus plutôt que d’agression sexuelle?
Tous les types d’agressions à caractère sexuel sont des actes criminels. Cessons de banaliser et nommons enfin les choses telles qu’elles sont. Un acte de violence sexuelle n’est pas un abus, mais bien une agression.
Le Forum jeunesse invite les jeunes de 18 à 35 ans à participer à la 6e édition
du concours Je prends ma place!, qui vise à reconnaître et à valoriser l’implication des jeunes de l’Estrie dans le développement de leur milieu. « Protection de l’environnement, événe-ments sportifs, œuvres caritatives, réinser-tion sociale, culture, projets intergénération-nels : l’engagement bénévole des jeunes de la région fait une différence dans d’innom-brables secteurs. À chacune des éditions du concours, les membres du comité chargé d’évaluer les candidatures sont toujours très
impressionnés par l’implication des jeunes de l’Estrie. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le concours Je prends ma place! a réellement sa raison d’être », de mentionner Djamila Ousmane, agente de participation citoyenne et responsable du concours es-trien. Le nom de la personne lauréate pour le ter-ritoire de l’Estrie sera dévoilé lors d’une ac-tivité 5 à 7, qui aura lieu à Sherbrooke. Le lauréat participera à une soirée de reconnais-sance à l’Assemblée nationale à Québec et gagnera une bourse de 1 000 $, en plus de recevoir un prix du Forum jeunesse Estrie.
Les candidates et les candidats ont jusqu’au lundi 8 avril à 16 h 30 pour remplir le formu-laire en ligne à www.forumjeunesseestrie.qc.ca, dans la section « Concours Je prends ma place » de l’onglet « Participation ». Les organismes, les associations et les groupes de l’Estrie peuvent également présenter des candidatures de jeunes qui se démarquent par leur participation citoyenne. Pour plus d’information, les jeunes et les organisations peuvent contacter Djamila Ousmane, agente de participation citoyenne au 819 563-1911, poste 232 ou à [email protected]. Aussi, visitez notre site Internet : www.forumjeunesseestrie.qc.ca
La violence sexuelle : abus ou agression?
Reconnaître l’engagement des jeunes de l’Estrie : Le Forum jeunesse lance la 6e édition du concours Je prends ma place!
Texte : l’équipe du Calacs de l’Estrie / [email protected] / 819-563-9999
Réparationde moustiquaires,fenêtres et portes(même en bois)Coupe de vitres
et miroirsPeinture de très grande qualité
à prix très abordable
Texte : Djamila Ousmane, Forum jeunesse Estrie
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Altruiste, Claude Adams aime les gens. Homme jovial, affable, généreux et
énergique, il participe depuis toujours à la
vie communautaire. Pendant 27 ans, il était au PIF (le fameux tournoi de balle), qu’il a présidé quelques années. Il est l‘un des deux plus anciens commanditaires de la fête du parc Alguéric-Buissière. Son support est in-défectible. Nous pouvons compter sur lui.
Après avoir travaillé comme spécialiste en pavage, Claude a décidé en 1980 de chan-ger de métier. Il travaille comme préposé au
poste d’essence au coin de Dunant et Bel-védère. En 1988, il a acquis cette franchise d’ULTRAMAR, devenant son propre pa-tron. Depuis, il s’est forgé une solide clien-tèle. J’en fais partie depuis plus de 15 ans. Il a près de 10 employés. Il est père de deux enfants et il a deux petits-enfants.
Grand chasseur devant l’Éternel, Claude pré-side un club de chasse et pêche. Il aime bien s‘évader avec sa femme pour aller taquiner le poisson ou chasser le chevreuil. Vous devriez l’entendre parler de ses voyages de chasse et de pêche. Ses yeux brillent. Il a à cœur le développement durable de cette res-source. Il est de ceux qui prônent les bonnes habitudes de chasse pour protéger le cheptel. Il en est de même pour la pêche. Claude par-ticipe activement aux activités communau-taires du quartier. Il est fier d’y habiter.
Pour monter son entreprise, il a dû faire des sacrifices et démontrer du courage. Ses ef-forts et sa persévérance l’ont récompensé. Claude Adams sert encore ses clients. Il aime mettre la main à la pâte. Son sourire est contagieux. Il prépare lentement sa retraite en diminuant progressivement ses heures de travail. Merci à un bon supporteur de notre journal.
Bravo pour ta persévérance!
Claude Adams, grand supporteur et homme d’affaires
la persévérance récompenséePortrait des gens d’affaires ou d’une entreprise du quartier
M. Claude Adams
Jn-Guy SAINT-GELAISPrésident du C. A.du journal Regards
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Native de Saint-Hyacinthe, madame Dupont possède une feuille de route
incroyable. De 1978 à ce jour, elle a suivi les cours suivants : bureautique, formation en entreprenariat, secrétaire de direction, gérante du dépanneur des Résidences Soleil de la rue Frontenac, commis comptable, agente d’assurance, ce qui l’amènera à voyager, matin et soir, entre Sherbrooke à Drummond-ville pendant six mois. Enfin, elle se dévoua bénévolement pour la Maison de la famille sur la rue Victoria. Puis, elle décida de changer complètement de carrière pour devenir artisane. L’une de ses deux enfants, sa fille Geneviève, a suivi ses traces comme artiste peintre, en faisant un bac en arts. Comme dit le dicton : Telle mère, telle fille!
En 2012, madame Dupont décida de suivre des cours de peinture avec Marie-France Trépanier de Franco-déco. Je lui ai demandé pourquoi avoir décidé de changer complètement de carrière. En souriant : « Je voulais être mon propre patron, j’adore tout ce qui est manuel et je veux continuer à apprendre dans le domaine arti-sanal à tous les niveaux. »
Lors de ma rencontre, elle m’a montré les œuvres qu’elle a créées : peintures, tricots, créations de motifs sur lampe, dessins sur pots, as-siettes décoratives et j’en passe... Dite-moi, madame Dupont, pour-quoi ce goût si prononcé de vouloir créer ? « J’adore cela, et étant donné que je n’ai pas confiance en moi, cela m’aide à me valoriser et à ressentir ce sentiment de confiance à travers mes œuvres. » Mais vous avez tellement de talent que la confiance se lit à travers tout ce que vous faites…
Quand avez-vous découvert ce goût de l’artisanat? En me regar-dant, les yeux brillants de joie, elle me confia : « Dès l’âge de 15 ans, j’apprenais les techniques de base du tricot en faisant des petits carrés et ma mère me demandait pourquoi je faisais tout cela et à quoi cela servirait? » Et éclatant de rire : « J’en ai fait des quan-tités incroyables. » Mais pourquoi? « Bien, le premier article que j’ai fait était une petite sacoche, suivi d’un poncho, d’un chandail avec un dessin de Goldorak, car j’avais suivi des cours de tricot à la Boutique Doigts de Fée sur la rue Belvédère, par madame Mar-celle Gagnon. »
À part tout cela, qu’est-ce que vous aimez faire? « J’adore la lecture, tricoter en écoutant la télé (en riant) et peindre ce qui me fascine beaucoup. » Vous aimez les voyages? « Je dirais oui et non, mais ce qui m’intéresserait vraiment, ce serait aller visiter l’Europe ou l’Es-pagne, mais pas les plages du sud. » Vous me donnez l’impression d’être une personne qui aime jouer des tours. « Effectivement, j’ai déjà joué beaucoup de tours, mais présentement, mon partenaire de vie, Pierre Jutras, adore me surprendre le 1er avril avec son poisson, et ça marche à tous les coups! » Comment cela? En éclatant de rire
et en lui jetant un coup d’œil : « Lorsqu’il me dit des choses, tout cela à l’air tellement vrai, que je le crois et je me fais prendre… » Vous semblez bien ensemble? « Oui, car nous avons le respect et la complicité entre nous. » Qu’est-ce qui vous rend triste? « L’incompréhension et l’indifférence face à moi, c’est pour cela que je suis des cours. » Ce qui vous rend heureuse à part la peinture? « Mes enfants et mes petits enfants, mes amies lorsqu’on va manger au restaurant, aller marcher en regardant la nature. » En terminant, vous avez une petite anec-dote à me compter? « Bien sûr, j’ai appris à patiner avec un petit banc sans dossier, que je poussais sur
la glace pour m’aider. C’était mon père qui m’avait fabriqué ce banc et donné cette idée. Aussi, je me souviens quand j’étais petite, à la Saint-Jean-Baptiste, mon père faisait des feux d’artifices. J’étais en pyjamas sur le balcon et je regardais cela avec émerveillement. »
Merci madame Dupont pour cette entrevue enrichissante. Si les gens veulent suivre des cours de tricot pour débutant et voir vos œuvres, ils n’ont donc qu’à vous rejoindre au numéro 819 569-6895. « Oui, et cela me fera plaisir. » Bonne chance dans vos projets et je trouve que vous avez l’âme d’une artiste.
Madame Ghislaine Dupont nous dévoile ses talents d’artiste et nous ouvre les portes de son jardin secret !
Denyse [email protected]
Av r i l 2 0 1 310
Développer la motricité fine est essentiel pour favoriser l’apprentis-sage de l’écriture. Plusieurs activités simples permettent d’affiner
la coordination des doigts, des yeux et des mains. Le chemin est long avant de former et d’aligner chiffres et lettres entre les petites lignes du petit cahier! L’enfant doit maîtriser une séquence de gestes simples qui le conduiront avec assurance sur le chemin complexe de l’écriture.
Des activités simples à réaliser à la maison
La pâte à modeler. Le pétrissage avec les mains et l’utilisation de petits outils pour obtenir des résultats plus précis.Les blocs de construction, les casse-tête, L’enfilage de perles ou encore de pâtes alimentairesLe découpageUn tableau noir et une craieLe collageLes autocollants sont toujours appréciés, tout comme les boulettes de papier de soie et les collages de papiers déchirés, ou encore, on peut découper nous-mêmes de belles images dans les revues et demander à l’enfant de nous raconter l’histoire de son collage.Le coloriageAvoir de gros crayons de couleurs et feutres et du papier en quantité et toujours les laisser à la portée des enfants.
Recette de pâte à modeler odoranteEnviron 1,25 l (5 t.) de farine3 petites enveloppes de Kool Aid non sucré
125 ml (1/ 2 t.) de sel15 ml (1 c. à soupe) de crème de tartre500 ml (2 t.) d’eau45 ml (3 c. à soupe) d’huile végétale
Verser 2 tasses de farine dans le bol. Mélanger et ajouter le reste des ingrédients. Ajouter graduellement le reste de la farine jusqu’à obtenir la consistance désirée. Conserver dans un contenant hermé-tique ou un sac de plastique.
Recette de peinture à la geléePoudre pour gelée (Jell-O) et un peu d’eau froide.
Ajouter un peu d’eau à la poudre afin d’obtenir une substance granu-leuse que l’enfant pourra ensuite étendre du doigt.
éveil à la lecture et à l’écriture
Des activités pour développer la motricité fine
En avril, la Maison des arts de la parole accueillera une conteuse belge qui dirige
également l’École du conte de Bruxelles. Elle viendra donner une formation pour les conteurs et partager avec nous des moments de rêve, puisque nous caressons le projet d’un partenariat avec cette école qui nous fait envie.
En effet, à priori, l’art du conte peut sembler simple et pour quelqu’un qui a la parole facile, on peut l’associer peut-être un peu ra-pidement à cette parole conteuse. Qui n’est
pas si simple qu’elle le paraît. Notamment parce que « raconter une bonne histoire » implique plusieurs choses. À commencer par l’histoire qui, pour qu’elle soit vraiment bonne et solide, exige un certain nombre de critères dont celui de « faire image ». Mais oui, le conteur pourrait être comparé à un ci-néaste, car non seulement il compose le sy-nopsis et ensuite le scénario du conte, mais il en provoque aussi les images et la musique, décide de l’angle de vue, du ton des person-nages, des différents effets sonores, etc.
De plus, dans cet « art de la parole », il n’y a paradoxalement pas que la parole qui est en cause. Les conteurs sont des artistes com-plets qui non seulement doivent « tenir » et maîtriser leurs histoires (il y en a qui durent dix minutes et d’autres qui peuvent durer dix heures!), mais aussi avoir une voix adéqua-te, un corps qui bouge de manière pertinente
(et qui « parle » énormément!), une relation harmonieuse à l’espace et le public, puisque l’art du conte est un art de proximité, dif-férent de tous les autres arts de la scène. On a souvent tendance à comparer le conte avec l’humour et le théâtre, mais l’art du conte est très différent. L’humoriste a pour premier objectif de faire rire, alors que le conteur a pour premier objectif de raconter une histoire. Quant au théâtre, les comédiens s’installent dans un rôle et les personnages se parlent entre eux, alors que le conteur reste lui-même et s’adresse directement au public avec qui il y a un échange nourrissant d’énergie.
Vous avez envie d’apprendre à conter? Vous avez raison, c’est une bien belle aventure humaine qui, contrairement à toutes les nou-velles technologies, nous permet d’être en-semble!
APPRENDRE À CONTER...Petronella VAN DIJKDirectrice Productions Littoralewww.productionslittorale.com
Prochain conte en Pyjamamercredi le 10 avril
École des Quatre-Vents (pavillon Union)mardi, le 7 mai
École Sylvestre rue KingstonGratuit pour les petits de 0 à 5 ans et leurs familles
Collation et livres offerts aux enfants
informations : 819 822-5455 poste 14876 ou [email protected].
Par Johanne Audet
11Av r i l 2 0 1 3
Le 25 février dernier, les autorités municipales et
les représentants du milieu lit-téraire, ont présenté le nouveau Concours d’écriture des ar-rondissements. La présidente du Comité de la culture, Diane Deslile, a rappelé l’importance de la création artistique dans le dynamisme de Sherbrooke. Dans cette optique, le concours vise à renforcer le sentiment d’appartenance des citoyens et
des citoyennes envers leur arrondissement. Pour sa part, Christiane Lahaie, représen-tante de l’Association des auteurs et auteurs des Can-tons-de-l’Est, a salué la colla-boration des arrondissements dans ce projet, et en a pré-senté les règlements. En bref, le concours est ouvert à toute personne résidant sur le ter-ritoire sherbrookois. Tous les genres littéraires sont admis.
Le texte soumis peut être rédigé en français ou en anglais et doit avoir un maximum de dix pages. Le sujet traité doit mettre en va-leur un lieu emblématique de l’arrondisse-ment. Dans le cas de l’arrondissement du Mont-Bellevue, il s’agit du parc du Mont-Bellevue.
Les textes soumis doivent être acheminés au bureau de l’arrondissement concerné au plus tard le 31 mai 2013, le sceau de la poste en fera foi. Une bourse de 1 000 $ sera remise au lauréat de chaque arrondissement, dont le dé-voilement se fera en septembre 2013. Alors, gens de l’arrondissement : à vos plumes; à vos claviers! Pour plus de détails, visitez le : sherbrooke.ca/concoursecriture.
Rose blanche laissée là, sur la tableFraîche, belle et gorgée de roséeTout comme si une main charitableDiscrètement, l’avait là déposéeJ’aime cette fleur. Vent léger qui décoiffe, qui câlineDoigts graciles courant dans les cheveuxVolent, volent, cotillon, crinolineBeaux jouvenceaux qui se font des aveux J’aime cette brise. Riche arôme du bon pain qu’on défourne Pétri avec coeur,amour, dévouementMiches chaudes qu’on palpe, qu’on retourneQui sentent bon tendresse et blond fromentJ’aime cette odeur. Clapotis, gargouillis, chute rapideDu torrent blanc se ruant sur les caillouxPure eau vive, turbulente, limpideQue l`on boit à pleines mains, à genouxJ’aime cette source. Elle est cette fleur oubliée sur la tableCette brise prodiguant sa fraîcheurEt ce pain chaud, généreux, délectableCette source si douce au voyageur J’aime cette femme Guy Desjardins
Profil d’une amie
Concours d’écriture des arrondissements de la Ville de Sherbrooke
Gérard Pierre Ti-I-Ta-ming, écrivain pré-
sente son 7e volume Soleil Noir, Tome 1, une édition limitée. Ce périple nous promène de sa Martini-que natale à travers le Canada, les États-Unis et l’Afrique. Soleil Noir nous fait décou-vrir l’histoire d’un jeune Noir luttant pour l’égalité et les droits civiques à Chicago où
la ségrégation raciale était étatisée dans les années 60.
Gérard Pierre nous trace ses propres mésa-ventures et l’histoire tragique d’hommes et de femmes noires, de l’esclavage à Martin Luther King en passant par Malcolm X et Nelson Mandela.
Commander directement des Éditions Chérie 88 inc. : 819 566 5673 [email protected]
Histoires poignantes de Noirs outragés dans les années 60
Ça ne les empêche pas d’aimer le sport, la musique et même la paresse, mais ils écrivent. Parfois ils le font en cachette, filent en secret sur leur chemin de mots, vont en solitaires
à la rencontre d’un univers qui leur est propre. Depuis 2004, un grand nombre d’écrivains en devenir joignent les rangs du concours littéraire Sors de ta bulle! Ils ont alors la chance de sortir de l’ombre, d’aller vers d’autres jeunes qui partagent la même passion. Ainsi sont-ils invités à vivre des ateliers d’écriture, à partager leurs textes, à rencontrer des écrivains consacrés pour discuter de leur projet d’écriture. Une chance inouïe!
Le 22 février dernier, vingt jeunes des écoles secondaires de Sherbrooke (La Montée, du Phare, le Triolet et Mitchell-Montcalm), de Magog (La Ruche) et de Windsor (Le Tournesol) ont eu l’occasion de rencontrer un des cinq écrivains conseils : Michèle Plomer, Jonathan Reynolds, Francisca Gagnon, André Poulain et François Landry. Au même moment, les autres participants ont été appelés à retravailler leur manuscrit en compagnie d’animateurs et animatrices chevronnés. Il fallait les voir, entendre leurs discussions autour des voix des personnages, du point de vue, de l’importance des lieux, de la cohérence du texte… À la fin de cette deuxième journée interécole, ils étaient mieux outillés pour mener à terme leur projet d’écriture – roman, recueil de nouvelles, recueil de poésies, pièce de théâtre – qu’ils soumettront au jury en mai dans l’espoir d’être édités, comme les huit jeunes qui ont publié depuis 2004 dans la collection Sors de ta bulle chez GGC.
Pierrette Denault, responsable du développement/réseau
Des jeunes qui aiment écrire, ça existe!
Christiane Lahaie
Av r i l 2 0 1 312
PROJET PHAREContactez-nous si vous souhaitez :• Développer des outils concrets pour faire face à la maladie;• Améliorer votre quotidien;• Comprendre davantage la maladie;• Prévenir votre épuisement;• Apprendre à gérer vos émotions et à vous détendre
Nos intervenants peuvent vousrencontrer durant le jour, en soiréeet même la fin de semaine!Il suffit d’un appel. Il y a de l’espoir!
SERVICE GRATUIT !819 821-5127
Projet financé par :
Accompagner un proche ayant la maladie d’Alzheimer ou une maladie apparentée
est souvent un engagement qui est fait avec amour et don de soi. Cela peut impliquer à la fois un sentiment d’accomplissement et un sentiment d’emprisonnement. Cela dépend, en partie, de la place que l’aidant a dans sa propre vie.
Il peut être difficile pour l’aidant de trouver son équilibre entre l’aide apportée à l’autre et ses propres besoins. Il n’est pas surpre-nant que beaucoup d’aidants présentent un niveau de détresse élevé. Le sentiment de fatigue et d’irritabilité, la perte d’intérêt, les tensions musculaires et la perte d’appétit sont des indices d’épuisement
Par ailleurs, les aidants entendent souvent le conseil : « il faut que tu prennes soin de toi aussi! » Ce conseil est juste, mais il peut être difficile à appliquer lorsque l’on est dans le feu de l’action. C’est encore plus difficile de
retrouver l’équilibre si l’on voit nos objec-tifs comme étant opposés: « Si je prends soin
de moi, je néglige l’autre » plutôt que com-plémentaires : « En prenant du temps pour moi, je suis plus disposé à aider l’autre avec amour ».
Changer sa vision des choses peut être diffi-cile, c’est pour cette raison que l’équipe de la Société Alzheimer propose des outils pour y voir plus clair. Par exemple, les aidants peuvent prendre rendez-vous gratuitement avec un intervenant afin d’être accompagnés pour retrouver leur équilibre, à voir et à faire les choses différemment. L’organisme offre aussi du répit aux aidants qui souhaitent pouvoir se reposer pendant que la personne atteinte est occupée à d’autres activités en toute sécurité.
Société Alzheimer de l’Estrie 375, rue Argyll, bur. 0625, Édifice Norton Sherbrooke QC J1J 3H5 Téléphone : 819-821-5127 Courriel : [email protected]
Alzheimer : « moi et l’autre » plutôt que « moi ou l’autre »Texte : Marc-André Raymond, conseiller aux familles - Programme Phare
13Av r i l 2 0 1 3
L’épaule est une articulation très mobile qui nous sert à déplacer notre main à
notre guise. L’épaule, c’est en fait quatre ar-ticulations: celle entre le bras et l’omoplate, celle entre l’omoplate et la cage thoracique, celle entre la clavicule et la pointe de l’épau-le, ainsi que l’articulation entre la clavicule et le sternum. C’est grâce à ces quatre articula-tions que l’épaule nous offre autant de liberté de mouvement. Cependant, cette grande mo-bilité est aussi synonyme de fragilité.
Dans l’épaule, les blessures peuvent survenir à plusieurs niveaux, entre autres, au niveau des os, des ligaments, des muscles ou des tendons. La problématique la plus fréquente est sans aucun doute la tendinite. En réalité,
puisque la plupart des tendi-nites de l’épaule sont dues à une répétitions de petits trau-matismes (comme des mouve-ments répétitifs), il n’y a pas vraiment d’inflammation et le terme le plus juste serait ten-dinose, ou tendinopathie. Lors de tendinopathie, il y a généra-lement une douleur assez diffuse à l’épaule, et elle peut descendre dans le bras, ce qui entraîne une diminution des mouvements de l’épaule. La douleur peut s’intensifier la nuit. Le traitement de la tendinopathie passe prin-cipalement par une bonne réhabilitation par votre professionnel de la thérapie manuelle préférée (chiropraticien, physiothérapeute) et par des exercices spécifiques afin de favori-ser une bonne guérison des tissus. La glace peut contribuer au soulagement des douleurs. Pour accélérer le soulagement, plusieurs op-teront pour des produits anti-inflammatoires ou analgésiques (Advil, Tylenol, etc), mais il faut consulter son médecin ou son pharma-
cien pour éviter toute interaction médicamenteuse.
Si la tendinopathie n’est pas réglée, il peut arriver qu’elle dégénèrent en capsulite rétrac-tile (adhésive). Il s’agit d’une problématique qui réduit encore d’avantage les mouvements, et
qui nécessite beaucoup plus d’attention et de temps pour guérir.
Et la bursite? Il s’agit de l’inflammation de petites poches de liquide qui servent à ce que tout glisse bien lors des mouvements. La bursite se développe souvent suite à une ten-dinopathie non traitée. Les deux conditions ont des symptômes similaires, mais la bursite cause souvent une douleur plus intense et limite davantage tous les mouvements.
Bref, lors d’une douleur à l’épaule, il faut consulter rapidement afin d’éviter que le pro-blème s’aggrave et soit plus difficile à traiter.
Ouch! mon épaule...
Dr Charles LAGACÉChiropraticien
Gracieuseté : sportmd
Av r i l 2 0 1 314
Saviez–vous que …
• Le sirop d’érable est une mine d’or en alimentation due aux nombreux composés bénéfiques qu’il contient. Pour son pouvoir anti-oxydant, on peut le comparer à d’autres aliments bien connus tels que les baies, le thé, le vin rouge et les graines de lin. • L’eau d’érable est laxative. D’ailleurs, plusieurs s’en servent pour « nettoyer leur système » à la fin de l’hiver.
• Conservation : garder le contenant non entamé à la température de la pièce. Une fois entamé, il est préférable de le mettre au réfrigérateur, voire au congélateur, pour
retarder l’évaporation et la cristallisation.
• Boisson énergisante à l’érable : Au mé-langeur, combiner 1 litre (4 tasses) d’eau de source, le jus de 1 citron et 60 ml (1/4 tasse) de sirop d’érable. Mélanger quelques secon-des. Cette boisson énergisante se conservera au réfrigérateur 3 jours.
• Glaçage à l’érable : incorporer 500 ml (2 tasses) de crème fouettée à du beurre d’érable ramolli quelques secondes au micro-onde. Utiliser pour glacer les étages d’un gâteau des anges (ou autre type) avant de le décorer de fruits frais et de le garnir de flocons d’érable et de copeaux de chocolat.
• Filets de saumon à l’érable : verser un filet de sirop d’érable sur des filets de sau-mon cuits selon sa recette préférée.
• Légumes rôtis à l’érable : préchauffer le four à 200 ºC (400 ºF). Dans un bol, mélanger 1 l (4 tasses) de légumes taillés,
60 ml (1/4 tasse) de sucre d’érable, 30 ml (2 c. à soupe) de romarin frais haché et 60 ml (1/4 tasse) d’huile d’olive. Saler et poivrer, puis déposer les légumes sur une plaque à pâtisserie tapissée de papier par-chemin. Enfourner environ 30 min. Parti-culièrement savoureux avec un mélange de poivrons (rouges, verts, jaunes ou oran-ge) ou de courges (musquées, poivrées, courgettes).
• Noix croustillantes à l’érable : dans une poêle, faire griller en remuant sou-vent 250 ml (1 tasse) d’un mélange de noix (pacanes, noix de Grenoble, amandes, etc.) à feu moyen, jusqu’à ce qu’elles soient odorantes. Incorporer 80 ml (1/3 tasse) de sirop d’érable et poursuivre la cuisson, en remuant toujours, jusqu’à ce que le sirop cristallise et adhère aux noix. Laisser refroi-dir sur une plaque à pâtisserie.
Sucrer vous le bec dans le plaisir et la santé!
Le sirop d’érable et ses bienfaitsStéphanie LAVIGNEconseillère en alimentationcuisine collective Le Blé d’Or
15Av r i l 2 0 1 3
Le printemps est enfin arrivé; voilà le temps de mettre à niveau votre vélo et
de sortir de votre cour! Que ce soit pour dé-couvrir les rues de votre quartier, pour passer une partie de la journée à sillonner les pistes cyclables ou pour vous rendre au travail ou chez un ami, les plaisirs et bienfaits reliés à cette activité sont considérables.
En plus d’être écologique, économique et accessible, la pratique du vélo ne comporte que très peu de contre-indications et peut être pratiqué à tout âge. Sport complet, le cyclisme sollicite toutes les parties du corps, plus spécifiquement les fessiers, les cuisses et les mollets.
Mais le premier bénéficiaire de cet exercice est le cœur. Comme l’intensité de l’exer-
cice varie en fonction du terrain et du vent, il s’agit d’ajuster la vitesse selon l’objec-tif de votre sortie vélo. Mais ne tentez pas de battre des records, parti-culièrement à votre pre-mière sortie printanière! Allez-y graduellement en calculant votre par-cours en termes de durée plutôt qu’en dis-tance à parcourir (ex. : votre objectif pourrait être de rouler pendant 30 minutes plutôt que de vous fixer l’objectif de parcourir 20 km). Ainsi, vous éviterez un épuisement ou un in-cident en ce début de saison. Avoir le bon équipementLe choix du vélo est primordial pour appré-cier la pratique du vélo. En plus de privilé-gier le confort et la fiabilité, il faut d’abord que le vélo soit adapté à votre morphologie (hauteur du siège, du guidon, etc.). Ensuite, avoir une selle confortable est aussi très im-
portant, afin d’éviter des frotte-ments et inconforts. Porter un cuissard rembourré est aussi indiqué pour améliorer le confort de votre fessier sur votre selle.
Finalement, le casque de vélo est essentiel pour votre sécurité et il est obligatoire, à Sherbrooke, pour les moins de 18 ans.
Si vous n’êtes pas trop agiles avec l’ajustement de votre vélo,
n’hésitez pas à vous rendre au marchand de vélo près de chez vous pour obtenir de l’aide et des conseils judicieux.
Pour les trippeux…… il y a aussi le vélo de montagne! Vous avez la chance d’avoir le Mont Bellevue dans votre cour pour profiter de ce sport en vogue, pourquoi ne pas en profiter. Et c’est gratuit! Renseignez-vous pour les dates d’ouverture des sentiers : 819 563-3993.
Et que ça roule maintenant!
Les bienfaits du véloPar Evelyne Lapierrecoordonnatrice duComité d’Action du Mont-Bellevue
Cette place est ouverte en 1971 par le pro-moteur Evelino Bergamin sous le nom
de place Bergamin, à la suite de l’approbation de la construction de la voie par le conseil municipal d’Ascot le 16 septembre 1971. Le nom actuel est attribué par le conseil munici-pal le 7 juin 1999. Le changement de nom de plusieurs voies de communication dont celle-ci avait pour but de valoriser et de revitaliser le secteur qui avait mauvaise réputation aux dires de certains. Le nom de la place provient des rosiers qui ont été plantés dans le parc Bergamin (maintenant parc des Roseraies)
vers 1972 et dont il reste encore quelques buissons aujourd’hui. Le nouveau toponyme est officialisé par la Commission de topony-mie du Québec le 22 juin 1999.
Une roseraie est un jardin, une plate-bande ou tout autre endroit planté le plus souvent de rosiers cultivés mais aussi de rosiers sau-vages. Il existe des milliers de variétés de rosiers cultivés qui se répartissent en hybrides de diverses catégories : thé (à grandes fleurs),
floribunda (à grappes de fleurs), grandiflora (à grandes grappes de fleurs), miniatures, arbustives, grimpantes et rampantes. Toute-fois, il existe plusieurs variétés indigènes de rosiers au Québec dont le rosier interne ou rosier sauvage (Rosa blanda). Ce rosier se trouve sur tout le territoire du Québec même en milieu subarctique. Il a habituellement de 30 cm à 1,5 m de hauteur et ses fleurs sont à cinq pétales roses. Il se propage facilement par rejets souterrains et forme ainsi des talles. La rose est évidemment reliée à son parfum très prisé. Avec les pétales, on fait une huile essentielle, de la gelée, de la confiture, du vin, du vinaigre, de la liqueur, de la confiserie et du beurre, on s’en sert dans une foule de des-serts et de produits de beauté et, en infusion, elles servent d’astringent contre la diarrhée. Les feuilles et les pétales donnent un thé doux. La rose est la fleur de naissance en juin.
LA PLACE DES ROSERAIES : un souhait qui fleuritJean-Marie DUBOIS etGérard COTÉmembres du Comitéde toponymie de laVille de Sherbrooke
Photo : McConnell, Catalogue de jardinage du Canada, 1991
Av r i l 2 0 1 316
Vous n’êtes pas seul.Nous sommes là pour vous, 24 h /jour
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Sherbrooke :505, rue Short
485, rue du 24-Juin
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consommation
L’Office de la protection du consom-mateur a lancé une version entiè-
rement renouvelée de son site Web (opc.gouv.qc.ca), qui offre maintenant plus d’outils, de conseils et de solutions pour soutenir les consommateurs et les com-merçants. En proposant une information plus com-plète, le nouveau site représente une porte d’entrée idéale pour répondre aux besoins de tous les publics. « Nous souhaitons que la population ait comme premier réflexe de consulter notre site Web, que ce soit pour s’informer avant de magasiner ou en cas de problème », explique le président de l’Office, M. Louis Borgeat. Les consommateurs peuvent notamment accéder facilement aux nouvelles qui les touchent de près. Il est possible, par
exemple, de savoir quels commerces ont fait l’objet de poursuites ou de condamna-tions en Estrie, ou encore de vérifier si des entreprises ont fermé ou fait faillite. Accent sur la prévention Le site Web offre désormais des conseils de consommation avant l’achat, la location ou la réparation d’un bien ou avant l’obten-tion d’un service (www.opc.gouv.qc.ca/conseils-consommation). Les consomma-teurs peuvent, par exemple, être épaulés s’ils prévoient se procurer une automobile ou un électroménager, ou encore signer un contrat de téléphonie cellulaire. L’Office fait aussi de la prévention auprès des plus jeunes consommateurs. Une section entière du site est destinée aux enseignants : ces derniers, ainsi que les
parents, y trouveront des idées d’activités pour les aider à parler de consommation en classe ou à la maison. Une section pour les commerçants Le site Web de l’Office s’enrichit égale-ment d’une section beaucoup plus étoffée s’adressant aux commerçants. « Tout en continuant d’informer les consommateurs, nous voulons nous adresser davantage aux commerçants pour leur rappeler leurs obli-gations, ajoute M. Borgeat. Nous croyons que les consommateurs seront gagnants si les commerçants sont mieux informés. » Pour voir ces nouveautés et en découvrir encore plus, visitez le : opc.gouv.qc.ca L’OPC de Sherbrooke : 819 820-3694.
Nouveau site Web de l’Office de la protection du consommateurUn outil pratique pour les consommateurs et les commerçants
17Av r i l 2 0 1 3
Le souverain pontif FRANÇOIS Ier vient de l’Argentine… Issu de l’immigration
ancienne d’Italie, SA SAINTÉTÉ LE PAPE FRANÇOIS Ier est l’accomplissement de l’Esprit saint qui a inspiré le conclave 2013. Félicitations à la communauté chrétienne latino-américaine de Sherbrooke! Il paraît que vous faites partie des 40 % de la grande famille des chrétiens.
Dans l’attente de la proclamation papale, les questionnements fourmillaient! Est-ce que l’Église est rendue là? Est-ce que le pape pourrait être noir? Proviendrait-il encore du continent européen? À toutes ces questions, la réponse est : tout est possible… Il suffit d’avoir la foi! N’est-ce pas que cette année était proclamée celle de la foi par Benoît XVI, le pape émérite! Heureuse surprise : le pape vient du Sud, de l’Argentine! L’Église catho-
lique vient de faire encore ses preuves. Avec l’Esprit saint, tout est possible!
Par ailleurs, j’étais personnellement intriguée de voir que les gens « anticipaient » que le « pape pouvait être de chez eux ». C’est vrai le pape devait provenir de quelque part… La famille biologique qui l’a présenté au monde mérite des félicitations, mais ce qui est impor-tant, c’est que le nom de FRANÇOIS Ier ne vient pas d’eux. Le candidat pape est né de nouveau. Ce personnage qui vient dans l’hom-me qui s’appelle désormais FRANÇOIS Ier, appartient à la grande famille du Christ.
Une autre chose qui a retenu mon attention est que l’élection du pape est un événement mondial! Ce n’est pas rien! C’est que l’Es-prit saint travaille à travers le monde entier. Peu importe les différentes convictions re-lieuses du monde, petits ou grands, le mo-ment ultime du grand homme de Rome ne passe point inaperçu! Au contraire! Alors, le pape est désormais sur son trône, le siège de ses prédécesseurs. Tous les yeux qui étaient tournés vers Rome ont de quoi se féliciter, parce qu’ils ont vu un signe… Que ce signe image la paix, la dignité humaine…
Bien sûr, les critères que le conclave 2013 s’étaient fixés ont donné la solution que le monde moderne veut « « VITE ET BIEN ». Avec l’Esprit saint, tout est possible!
La chronique Ces citoyens venus d’ailleurs du journal Regards invite les membres de la communauté latino-américaine sherbroo-koise à s’exprimer sur l’élection du pape FRANÇOIS Ier. Un plus serait pour une personne issue de l’Argentine!
Bienvenue!
Depuis plus de 4 ans, nous vous invitons à vous joindre à l’équipe de la Sur-
veillance de quartier. Force est de constater que le recrutement est difficile. Nous avons besoin de vous. Ça nous prend du sang neuf. L’essoufflement de certains est palpable.
La Surveillance de quartier est l’AFFAIRE DE TOUS. La sécurité et la sérénité du secteur ne dépendent pas que des policiers et des quelques membres de la surveillance de quartier. Vous devez y participer. Vous êtes aussi des agents de surveillance.
Également, votre implication peut se faire en implantant des mesures de prévention et de sécurité qui décourageront les voleurs. Il en va de même pour la protection de vos enfants et de votre famille. Être membre de la Surveillance de quartier vous donnera l’opportunité d’apprendre des trucs pour
mieux protéger vos biens. Lors des réunions régulières aux 10 semaines, nous recevons de bons conseils de la part de gens qualifiés.
Venez vous joindre à nous. Les rencontres ont lieu à la salle Nazareth de l’Église du Précieux-Sang sur la rue Thibault. Vous pouvez consulter l’horaire et le calendrier sur le site Internet. Vous y trouverez aussi les statistiques criminelles du dernier mois et de l’année. Toute l’équipe vous attend donc avec impatience. Soyons TOUS À NOS AFFAIRES!
À la prochaine.
Surveillance de quartier de l’arrondissement du [email protected] www.surveillancedequartier.org
Tous à nos affaires ? Jn-Guy SAINT-GELAISSurveillant de quartierArr. du Mont-Bellevue
solutiondu
sudoku de la
page 19
Tout est possible...
parMarie-Thèrèse LUSHIMALe Laurier-Rose
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FAMILLE ESPOIR &CARREFOUR COMMUNAUTAIRE D’ASCOTActivités Famille Espoir / Carrefour Communautaire d’Ascot1520, rue Dunant à Sherbrooke. 819 569-7923Famille Espoir est un organisme communautaire qui s’est donné le mandat d’offrir aux gens du quartier un lieu de rassemblement, pour échanger, s’entraider et participer à des activités socio-éducatives.
Activités adultes/parentsSoirée interculturelle sur la Belgique. Le 2 avril de 18 h à 20 h.Soirée CinémaLe mardi 30 avril à partir de 18 h.Diner-rencontre4 avril : Les assurances avec l’ACEF / 18 avril : ATD Quart Monde.Atelier pour parent Y’app (Y’a personne de parfait!)Une série de 5 rencontres. Sujets : Le comportement, la santé, le développement des enfants 0-5 ans.Du mardi 16 avril au 14 mai de 9 h 30 à 11 h 30. Inscription obligatoire.Café-causerieParents, enfants et aînés sont les bienvenus!Un lieu de rencontre pour échanger, faire du bricolage ou du tricot autour de bon café! De 9 h à 11 h, le jeudi matin.Groupe d’achats économiquesÉconomies et recettes pratiques. Aux deux semaines, les jeudis 11 et 25 avril, de 13 h à 15 h.
Ateliers de Conversation anglaisePour personnes motivées. Anglais 2/5 requis. Le mardi de 18 h à 20 h et c’est gratuit! Inscription requise. Appelez Denis Lacharité au 819 566-7380.Ateliers de FrancisationJour et horaire à définir selon la demande.Chorale Harmonies des peuplesGroupe de musiciens et chanteurs. Tous les vendredis soirs, de 18 h à 20 h. Rendez-vous à l’église Précieux-Sang.
Activités Jeunesse!Répit parental éducatif pour enfants de 6 mois à 5 ans.Coût minime, profitez-en! Appelez pour plus d’info. Les mercredis de 9 h à 16 h et les vendredis de 9 h à 12 h. Inscription obligatoire.Aide aux devoirs Pour les jeunes du primaire. Inscription obligatoire.Une place pour moiActivités pour les jeunes de 9 à 13 ans. Les mercredis, de 18 h à 20 h.
Samedi JeunessePour les enfants âgés de 4 à 13 ans. Ateliers de peinture à l’eau, sports et projets spéciaux avec une équipe d’animation dynamique! Les samedis, de 10 h à 11 h 30 et de 13 h à 14 h 30.
Jeunes musiciens du mondeProjet réalisé en partenariat avec Jeunes musiciens du monde siège social (Québec) et Famille Espoir. JMM-Sherbrooke offre des cours de musique traditionnelle gratuitement aux jeunes du quartier d’Ascot.Infos : 819 791-1578 / [email protected]
INTERVENTION DE QUARTIER ASCOT (CLSC) - 2013DEMANDE D’AIDE sans rendez-vousTous les mardis de 13 h à 16 h / Tous les jeudis de 9 h à 12 hLocal de quartier (1945, rue Des Grands-Monts, app. 9)LOCAL OUVERT « ÉÉÉÉÉchanges, loisirs, invités »Tous les mardis entre 14 h et 16 h (pour adultes) Au Local de quartier (1945, rue Des Grands-Monts, app. 9)Collations et breuvages gratuits « BÉÉBÉÉÉ TRUCS ASCOT » Les derniers jeudis du mois de 13 h à 15 hAu Local de quartier (1945, rue Des Grands-Monts, app. 10)Infirmière, éducatrice et travailleuse sociale sur place. SERVICE DE PÉDIATRIE SOCIALE Dr G . Beaulieu et Dr F. Livernoche (819 570-4000)Intervenantes de quartier Marie-Pier (819 570-4000) et Marie-Claude (819 212-1997) 1945, rue Des Grands-Monts, app. 9 et 10
COMMUN’ACTION STE-JEANNE D’ARC INC.Activités et services proposés : Repas-dépannage : Repas complet pour aussi peu que 2 $ / personneLes mercredis et jeudis entre 11 h et 12 h. Réservation nécessaire. Partici-bouffe : Pour préparer, cuisiner et manger en bonne compagnie, À coût modique. Les mardi de 13 h à 18 h. Inscription obligatoire 819 239-9444 L’inter-génération :Pour ceux qui aiment créer de leurs mains; tricot, artisanat, etc.Tous les lundis de 13 h à 16 h. Activité gratuite!Dépannage vestimentaire : Vêtements et accessoires à prix très modiques. Ouvert du lundi au jeudi de 13 h à 15 h. Toutes nos activités ont lieu au sous-sol de l’église Sainte-Jeanne-d’Arc, au 1000, rue Galt Ouest (accès via la porte de coté sous la passerelle).
Activité à venir :VENTE DE GARAGEVendredi le 5 avril de 17 h à 21 h et Samedi le 6 avril de 8 h à 16 hSous-sol de l’église Sainte-Jeanne-d’Arc, 1000, rue Galt Ouest, Sherbrooke. Plusieurs familles, casse-croûte sur place.Le dépannage vestimentaire sera rouvert. Informations 819 239-9444
ACEF ESTRIEMieux magasiner ses assurances. Plus de 9 personnes sur 10 se dotent d’une assurance mal adaptée à leurs besoins ou pour laquelle ils paient trop cher. Avez-vous choisi les bonnes assurances? Savez-
Circonscription
Jean Rousseau Député
Compton—Stanstead
5142, boul Bourque Sherbrooke (Québec)
J1N 2K7 Tél. : 819-347-2598
Téléc. : 819-347-3583
CHAMBRE DES COMMUNES
19Av r i l 2 0 1 3
vous quelles questions poser et quoi vérifier avant de signer? Pour être mieux outillé face au domaine complexe des assurances, assistez aux deux rencontres d’information offertes par l’ACEF Estrie (Association coopérative d’économie familiale de l’Estrie): le 3 avril sur les assurances de dommages (auto/habitation/prêt) et le 17 avril sur les assurances de personnes (vie/maladie grave, etc.) Les deux rencontres ont lieu à 19 h, à la Bibliothèque Eva-Sénécal. Téléphoner au 819 563-8144 pour inscription.
CLUB LES COPAINS DE L’ÂGE D’OR DU PRÉCIEUx-SANGProgrammation d’avril 20134 avril : Bingo à 10 h et dîner légerActivités : Cartes, dards, dominos, baseball-poches11, 18 et 25 avril : Activités et jeuxCordiale invitation à tous nos membres et à toutes les personnes désireuses de se joindre à notre groupe pour passer un bel après-midi.Claire Roy, présidente. Tél. : 819 562-5930
CENTRE DES FEMMES LA PAROLIèRE Atelier sur « La culpabilité »Les lundis du 8 avril au 29 avril - 19 h à 21 h 30 Est-ce que la culpabilité est nécessaire pour évoluer et progresser?Peut-elle être nuisible? Ces rencontres fournissent des outils pratiques ayant pour but d’alléger le poids des culpabilités lourdes à porter. Inscription au 819 569-0140 BIENVENUE À TOUTES !
HANDI APTE Bénévoles demandés. Handi Apte sollicite votre implication comme bénévoles. Être bénévole à Handi Apte, c’est offrir un peu de son temps pour faire la différente dans la vie d’une personne handicapée
physique. Vous pouvez vous investir de différentes façons : visite à domicile, accompagnement lors de sorties, accompagnement transport, aide à la correspondance, membre de comités organisateurs, etc. Une formation de base et un suivi personnalisé est offert gratuitement. Joignez-vous à notre équipe ! Informations : 819 562-8877 poste 4
COMITÉ CONTRE LES MAUVAIS TRAITEMENTS FAITS AUx PERSONNES AîNÉES DE SHERBROOKEActivité de bénévolat « Campagne du ruban mauve 2013 » Le 15 juin souligne la Journée internationale contre les mauvais traitements faits aux personnes aînées. Si vous êtes intéressés à venir assembler nos beaux rubans, contactez-nous au bureau par téléphone et donnez votre nom à Stéphanie Roy, secrétaire-réceptionniste de l’AEIFA-DIRA. Spécifiez à Stéphanie si vous êtes intéressés à venir l’avant-midi ou l’après-midi. C’est au 819 346-0679.Date : samedi 27 avril 2013. 1ière équipe : de 9 h à 12 h / 2e équipe : 13 h à 16 h. Lieu : CSSS_IUGS, Centre d’hébergement Argyll, au 375, rue Argyll, Sherbrooke (entrée où il y a un débarcadère (petit toit). Nous attendrons les bénévoles au salon de la réception. Une collation sera offerte pendant l’activité.Lucie Caroline Bergeron, coordonnatrice AEIFA-DIRA : 819 346-0679Table de concertation des organismes communautaires, secteur personnes aînées de Sherbrooke.
ASCOT EN SANTÉOyÉ! OyÉ! Nous recherchons des personnes dynamiques pour le comité organisateur de Voisinage en fête et du Souk. Ces fêtes auront lieu l’automne prochain. Il y aura une rencontre par mois environ. Si vous avez un peu de temps et une bonne dose de folie, vous êtes la personne recherchée! Faites-nous parvenir vos coordonnées. On vous contactera sous peu pour débuter la préparation de ces activités. Au plaisir de vous rencontrer bientôt!Johanne Audet 819 822-5455, poste 14876 / [email protected]
SOUTIEN INFORMATIQUEJe suis dans la cinquantaine, alors j’ai beaucoup d’expérience, et j’en suis un passionné. Formation personnalisée, mise à niveau, réparation d’ordinateur, réinstallation du système d’exploitation avec sauvegarde des données à partir de 40 $. Pour me contacter (demander Marc ou laisser un message) : 819 823-9110 ou [email protected].
ACTION-SOLUTION Fini les dettes! Consultation gratuite. Ce n’est pas un prêt, c’est nous qui payons les créanciers. Un seul versement par mois garanti. 0 % d’intérêt. Vous garderez tous vos biens sans exception. Service à domicile. No de REQ : 2265735326. Contactez Brigitte au 819 446-6393.
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