profil épidémiologique, clinique et évolutif du pneumothorax spontané : à propos de 155 cas
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88 16e Congrès de pneumologie de la
onclusion.— Dans les pays en voie de développement, la tubercu-ose pleurale reste la cause la plus fréquente.otre étude à montré que le profil étiologique de la pleurésie séro-brineuse est dominé par deux étiologies principales : la pathologieéoplasique et la tuberculose.
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19e drainage pleural après une thoracoscopieédicale (TM) à visée diagnostic
. Kheloui , O. SaighiService pneumologie, Blida, Algérie
ne pleurésie inexpliquée nécessite une TM à visée diagnostic, quie termine par la mise en place d’un drain thoracique, la ques-ion du retrait du drain n’est pas encore tranchée, ce sera notreontribution pour enrichir la littérature.atients et résultats.— Étude rétrospective sur dossiers deatients admis au service pour TM diagnostic entre 01/01/2006 et1/12/2010, exclu les pleurodèses et les pneumothorax (PNO), soit91 patients inclus dans l’étude.a TM est pratiquée sous anesthésie locale avec une seule porte’entrée, exploration pleurale et biopsies effectuées sur la plèvreariétale. Un drain thoracique est inséré et connecté à un système’aspiration en fin d’examen. La réexpansion pulmonaire est attes-ée par l’absence de bullage, l’examen clinique et radiologique quiéterminent la décision du retrait du drain, cavité pleurale libreans 132 cas (73 %) et réduite dans 59. Sur 179 Bx pleurales réalisées,5 (47,5 %) malignes, 45 (25 %) infectieuses, 41 (22 %) inflammatoireson spécifiques, huit (4,5 %) normales. Un drain thoracique 24F estlacé dans tous les cas drainage moins de 4 h dans 121 cas (63 %),4 à 48 h 52 cas (27 %) plus de 48 h 18 cas (9 %). L’hospitalisation étaitn moyenne de 14 jours avec 50 % entre 0 et sept jours, 30 % entreept et dix jours, 18 % plus de dix jours. Les complications ont étérès rares, huit cas au total (4 %) : deux emphysèmes sous cutanés,rois sépsis, trois PNO persistants.ommentaires.— Le retrait rapide (en moins de 4 h, voire immédia-ement) est possible, dans notre étude il ressort que : 63 % de retraitvant 4 h, 90 % de retrait dans les 48 h suivant la TM, ce qui nouspermis d’écourter considérablement la durée d’hospitalisation ete réduire la morbidité et les dépenses de santé.
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20acteurs prédictifs de récidive dans leneumothorax spontané. Joobeur , N. Fahem , S. Cheikh Mhamed , S. Bel Haj Mohamed ,. Mribah , H. Mahou , J. El Ghoul , N. Skhiri , N. Sammoudi ,. Rouetbi , A. El Kamel
Service de pneumologie, CHU Fattouma-Bourguiba, Monastir,unisie
ntroduction.— La récidive au cours du pneumothorax spontané estne modalité évolutive fréquente (20—35 % des cas). Ce risque estajoré par divers facteurs.ut.— Étudier les facteurs prédictifs de récidive de pneumothoraxpontané chez 204 patients.ésultat.— L’âge moyen de nos patients est de 37 ans avec desxtrêmes allant de 16 à 80 ans. Une nette prédominance masculinest notée (94,6 %). On note que 80,4 % des patients sont taba-iques avec une consommation moyenne de 24 PA. Dans 34,8 % des
as le pneumothorax était secondaire ; 50 patients ont présenté auoins une récidive de leur pneumothorax dans un délai moyen de,8 mois ; 30 patients ont présenté une seule récidive ; 12 deux réci-ives ; cinq, trois récidives et trois, quatre récidives.
sirb
francaise, Lyon, vendredi 27 au dimanche 29 janvier 2012
’âge jeune, le tabagisme et l’importance de l’intoxicationabagique ont constitué des facteurs prédictifs de récidive du pneu-othorax dans notre série.onclusion.— Le risque de récidive d’un pneumothorax spontanést élevé. Ce risque est majoré chez les fumeurs. Ainsi, la luttentitabac et l’aide au sevrage tabagique permettent de réduire lesécidives des pneumothorax.
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21rofil épidémiologique, clinique et évolutif duneumothorax spontané : à propos de 155 cas. Berri , J. Benamor , K. Marc , R. Zahraoui , M. Soualhi ,. Bourkadi , G. Iraqi
Rabat, Maroc
ntroduction.— Le pneumothorax correspond à la survenue d’unpanchement aérien dans la cavité pleurale. L’évolution du pneu-othorax spontanée est souvent favorable, le risque au long termee récidive est proéminent.bjectif.— Le but de ce travail est d’étudier le profil épidémiolo-ique, clinique et évolutif des pneumothorax spontanés.atients et méthodes.— Nous rapportons une étude rétrospectiveortant sur 155 cas de pneumothorax spontané, colligée au servicee pneumologie de l’hôpital Moulay Youssef à Rabat.ésultats.— Il s’agit de 141 hommes et 14 femmes, avec un âgeoyen de 46 ans (21—71 ans), 83 % des patients sont des tabagiques
hroniques, seuls 15 cas entre sont sevrés. La douleur est présenteans presque tous les cas, la toux et la dyspnée dans 80 % des cas.e pneumothorax était total chez 89,5 % des patients, et partielhez 23,5 % des cas. Bilatérales chez deux cas.uatre-vingt pour cent des patients ont été drainé avec une bonnevolution, la durée moyenne de drainage est de 23 jours. On a notéuatre cas de récidives de pneumothorax nécessitant le recours àa chirurgie.onclusion.— Le pneumothorax spontané nécessite un traitementrgent et adéquat. L’objectif est de traiter l’épisode en cours et’éviter le risque de récidive ultérieur. Son approche doit être plu-idisciplinaire pour déterminer le traitement optimal garant d’unésultat favorable à long terme.
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22emopneumothorax spontané : à propos de 12 cas
. Rahibi , N. Zaghba , H. Benjelloun , A. Bakhatar , N. Yassine ,. Bahlaoui
Service des maladies respiratoires CHU Ibn Rochd, Casablanca,aroc
’hémopneumothorax spontané (HPS) est une pathologie de l’adulteeune résultant le plus souvent d’une rupture d’une bride pleuraleu cours d’un pneumothorax. Nous rapportons 12 cas d’HPS colligésu service des maladies respiratoires CHU Ibn Rochd de Casablanca.l s’agit de dix hommes et de deux femmes, la moyenne d’âgetait de 34,5 ans. Le tabagisme était retrouvé chez six patients.n retrouve un antécédent de tuberculose traitée et de pneumo-horax drainé dans un cas chacun. Le début de la symptomatologietait brutal fait de douleur thoracique et de dyspnée dans touses cas, associé à une hémoptysie dans un cas. L’examen cli-ique avait trouvé un syndrome d’épanchement mixte dans touses cas, une pâleur cutanéomuqueuse dans cinq cas et un emphy-
ème sous-cutané dans un cas. Le téléthorax avait objectivé unemage hydroaérique dans tous les cas. La ponction pleurale avaitamené un liquide hémorragique incoagulable dans tous les cas. Leilan avait retrouvé une anémie hypochrome microcytaire chez cinq