pelicula 2014_2

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SAUDADE JUAN CARLOS DONOSO GÓMEZ · ÉQUATEUR, ARGENTINE, CANADA 2013 · 1h36 Compétition fiction 19h25 · cinéma ABC « Alors que le pays est en faillite, nous dansons ». Prononcée par l’un des protagonistes, cette affirmation traduit les tensions présentes dans ce premier long-métrage du réalisateur Juan Carlos Donoso Gomez. Le 11 mars 1999, les banques ferment partiellement en Équateur ce qui entraîne un mouvement de grèves. Un an plus tard, suite à cette crise financière et politique, la dollarisation du pays est entérinée. L’ancienne monnaie officielle, le sucre, est abandonnée au profit du dollar américain. La fin de l’autonomie monétaire équatorienne est concomitante à une autre transition, celle du passage à l’âge adulte des lycéens. Issus de familles aisées, ces jeunes Équatoriens résident dans la banlieue pavillonnaire de Quito, à Valle de los Chillos. Pour l’un d’eux, Miguel, âgé de 17 ans, cette crise nationale fait écho à une situation familiale troublée par l’éloignement maternel. Le titre, Saudade, exprime en portugais la mélancolie, la nostalgie et une certaine solitude. Ce sentiment ressenti par Miguel et exprimé par sa mère est ce qui les relie de façon ténue. A.A. O HOMEM DAS MULTÍDÕES MARCELO GOMES & CAO GUIMARÃES · BRÉSIL 2013 · 1h35 Compétition fiction 15h50 · Cinémathèque Conducteur de métro à Belo Horizonte, Juvenal incarne tout le paradoxe de la concentration de masse dans les grands centres urbains de nos sociétés indus- trialisées. Il est un rouage indispensable du système de communication qui unifie la ville, mais il n’en reste pas moins un être en marge de toute vie sociale. Seule une amie contrôleuse, Margô, le tire de son isolement. Elle-même n’échappe à sa propre solitude qu’en se lançant dans une incertaine recherche virtuelle de l’âme sœur. O Homem das Multidões est librement inspiré d’une nouvelle du même titre d’Edgar Allan Poe, où le narrateur, médusé, observe « l’homme de la foule » s’y mêler sans nouer aucun contact. Le film donne une très belle transposition de ce regard du narrateur en jouant sur le système moderne des caméras de surveillance, tandis que le cadre carré réplique « la fenêtre de métro, à travers laquelle [Juvenal] regarde le monde ». Dernier volet d’une trilogie sur la solitude, commencée avec deux documentaires, le film est marqué par l’univers du cinéaste et artiste plasticien, Cao Guimarães qui vit à Belo Horizonte. Le résultat est un film hybride, mélange expérimental de sensibilité documentaire et de puissance évocatrice propre à l’art vidéo. L.O. CHANGEMENTS Pas de sous-titrage en français pour le film Journal inachevé ; il sera projeté en version originale sous- titrée en anglais ATELIERS DYNAMISATION Lectures chorales et expressions théâtrales mises scène par le Théâtre de la Passerelle week-ends et après-midis · cour de la Cinémathèque SÉANCES SPÉCIALES Agua Bendita avec l’Agence de l’eau Adour-Garonne 15h30 · cinéma ABC Un muro de silencio de Lita Stantic, soirée d’ouverture de la Muestra 19h45 · Cinémathèque HABITANTS DE LA TERRE DE FEU O Homem das Multidões a été présenté à la Berlinale 2014 dans le Panorama fiction. RETROUVEZ LE LEXIQUE LSF DU FESTIVAL SUR LE BLOG www.arcalt.fr/blog TOUS LES JOURS À LENTRÉE DE LA CINÉMATHÈQUE LES MÉDIATEURS DE LACCUEIL PUBLIC SONT HEUREUX DE VOUS INFORMER, VOUS CONSEILLER ET ÉCHANGER AVEC VOUS. ILS VOUS ATTENDENT ! 06 29 59 02 85 EN TRANSITIONS SPLEEN DE BELO HORIZONTE Le quotidien de Cinélatino • Les 26 es Rencontres de Toulouse 2 PELíCULA LA TEMPS FORT FIESTA CINÉLATINO concert avec : DENGUE DENGUE DENGUE (Pérou) PASCUALA ILABACA Y FAUNA (Chili) LA CEIBA (Toulouse) 19h · dans la cour de l’ESAV AL FIN DEL MUNDO FRANCA GONZÁLEZ · ARGENTINE, CANADA 2014 · 1h20 Compétition documentaire 17h35 · cinéma ABC Tolhuin, un petit village à l’extrême sud de l’Argentine, dans un paysage magnifique, hostile et indomptable, héberge une poignée d’habitants. Leur quotidien est fait de froid glacial, de neige et de vent presque toute l’année. Aucun n’est pourtant originaire de cette terre isolée. De cet environnement, qui impose tout entier de résister, s’organiser et se secourir, émerge le cœur de l’humanité. Al fin del mundo est un documentaire sur les efforts que l’être humain fait pour s’adapter à un destin pas toujours choisi, sur la façon de s’accommoder dans un territoire qui ne lui appartiendra jamais. De passage au bout du monde, les habitants découvrent chaque jour des variations et d’étranges combinaisons pour faire face à l’adversité et à leurs fantômes. Il n’est pas facile pourtant de penser à quitter le village. La Terre de Feu est un autre monde, une autre planète peut-être même, où l’absence de tout — énergies, lumière, ressources — contraint à la créativité et à l’adaptation. C’est peut-être la beauté de la nature la plus pure et la dureté d’une vie dépouillée qui font surgir la puissance de l’existence et la force de la solidarité chez ces mystérieux occupants. Simples et sobres, impeccablement cadrées, les images nous réchauffent tout doucement. J.M.P.C. AUTRES FILMS EN COMPÉTITION PROJETÉS LE 22 MARS : • LA MUERTE DE JAIME ROLDÓS LISANDRA I. RIVIERA & MANOLO SARMIENTO ÉQUATEUR, ARGENTINE 2013 2h05 13h15 · cinéma ABC • ATLÁNTIDA INES MARIA BARRIONUEVO ARGENTINE, FRANCE 2014 1h18 14h · cinéma Gaumont Wilson • VOLANTÍN CORTAO DIEGO ALONSO AYALA RIQUELME & ANÍBAL JOFRÉ DEL CAMPO CHILI 2013 1h17 17h55 · Cinémathèque Le cinéma équatorien est peu prolifique, il y a eu entre 1924 et 1999, moins d’une vingtaine de longs-métrages produits. Mais depuis 2006, la création du Consejo Nacional de Cinematografia del Ecuador, l’équivalent du CNC en France, favorise la création cinématographique. 22 MARS www.cinelatino.com.fr SAMEDI 22 MARS 2014

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SAUDADEJUAN CARLOS DONOSO GÓMEZ · ÉQUATEUR, ARGENTINE, CANADA 2013 · 1h36Compétition fiction

19h25 · cinéma ABC

« Alors que le pays est en faillite, nous dansons ». Prononcée par l’un des protagonistes, cette affirmation traduit les tensions présentes dans ce premier long-métrage du réalisateur Juan Carlos Donoso Gomez.Le 11 mars 1999, les banques ferment partiellement en Équateur ce qui entraîne un mouvement de grèves. Un an plus tard, suite à cette crise financière et politique, la dollarisation du pays est entérinée. L’ancienne monnaie officielle, le sucre, est abandonnée au profit du dollar américain. La fin de l’autonomie monétaire équatorienne est concomitante à une autre transition, celle du passage

à l’âge adulte des lycéens. Issus de familles aisées, ces jeunes Équatoriens résident dans la banlieue pavillonnaire de Quito, à Valle de los Chillos. Pour l’un d’eux, Miguel, âgé de 17 ans, cette crise nationale fait écho à une situation familiale troublée par l’éloignement maternel. Le titre, Saudade, exprime en portugais la mélancolie, la nostalgie et une certaine solitude. Ce sentiment ressenti par Miguel et exprimé par sa mère est ce qui les relie de façon ténue. A.A.

O HOMEM DAS MULTÍDÕESMARCELO GOMES & CAO GUIMARÃES · BRÉSIL 2013 · 1h35Compétition fiction

15h50 · Cinémathèque

Conducteur de métro à Belo Horizonte, Juvenal incarne tout le paradoxe de la concentration de masse dans les grands centres urbains de nos sociétés indus-trialisées. Il est un rouage indispensable du système de communication qui unifie la ville, mais il n’en reste pas moins un être en marge de toute vie sociale. Seule une amie contrôleuse, Margô, le tire de son isolement. Elle-même n’échappe à sa propre solitude qu’en se lançant dans une incertaine recherche virtuelle de l’âme sœur.O Homem das Multidões est librement inspiré d’une nouvelle du même titre d’Edgar Allan Poe, où le narrateur,

médusé, observe « l’homme de la foule » s’y mêler sans nouer aucun contact. Le film donne une très belle transposition de ce regard du narrateur en jouant sur le système moderne des caméras de surveillance, tandis que le cadre carré réplique « la fenêtre de métro, à travers laquelle [Juvenal] regarde le monde ».Dernier volet d’une trilogie sur la solitude, commencée avec deux documentaires, le film est marqué par l’univers du cinéaste et artiste plasticien, Cao Guimarães qui vit à Belo Horizonte. Le résultat est un film hybride, mélange expérimental de sensibilité documentaire et de puissance évocatrice propre à l’art vidéo. L.O.

CHANGEMENTSPas de sous-titrage en français pour le film Journal inachevé ; il sera projeté en version originale sous-titrée en anglais

ATELIERS DYNAMISATIONLectures chorales et expressions théâtrales mises scène par le Théâtre de la Passerelle

week-ends et après-midis · cour de la Cinémathèque

SÉANCES SPÉCIALESAgua Bendita avec l’Agence de l’eau Adour-Garonne

15h30 · cinéma ABC

Un muro de silencio de Lita Stantic, soirée d’ouverture de la Muestra

19h45 · Cinémathèque

HABITANTS DE LA TERRE DE FEU

O Homem das Multidões a été présenté à la Berlinale 2014 dans le Panorama fiction.

RETROUVEZ LE LEXIQUE LSF DU FESTIVAL SUR LE BLOGwww.arcalt.fr/blog

Tous les jours à l’enTrée de la CinémaThèque les médiaTeurs de l’aCCueil publiC sonT heureux de

vous informer, vous Conseiller eT éChanger aveC vous.

ILS VOUS ATTENDENT !06 29 59 02 85

EN TRANSITIONS SPLEEN DE BELO HORIZONTE

Le quotidien de Cinélatino • Les 26es Rencontres de Toulouse2

PELíCULALA

TEMPS FORTFIESTA CINÉLATINOconcert avec :DENGUE DENGUE DENGUE (Pérou)PASCUALA ILABACA Y FAUNA (Chili)LA CEIBA (Toulouse)

19h · dans la cour de l’ESAV

AL FIN DEL MUNDO FRANCA GONZÁLEZ · ARGENTINE, CANADA 2014· 1h20Compétition documentaire

17h35 · cinéma ABC

Tolhuin, un petit village à l’extrême sud de l’Argentine, dans un paysage magnifique, hostile et indomptable, héberge une poignée d’habitants. Leur quotidien est fait de froid glacial, de neige et de vent presque toute l’année. Aucun n’est pourtant originaire de cette terre isolée. De cet environnement, qui impose tout entier de résister, s’organiser et se secourir, émerge le cœur de l’humanité.Al fin del mundo est un documentaire sur les efforts que l’être humain fait pour s’adapter à un destin pas toujours choisi, sur la façon de s’accommoder

dans un territoire qui ne lui appartiendra jamais. De passage au bout du monde, les habitants découvrent chaque jour des variations et d’étranges combinaisons pour faire face à l’adversité et à leurs fantômes. Il n’est pas facile pourtant de penser à quitter le village.La Terre de Feu est un autre monde, une autre planète peut-être même, où l’absence de tout — énergies, lumière, ressources — contraint à la créativité et à l’adaptation. C’est peut-être la beauté de la nature la plus pure et la dureté d’une vie dépouillée qui font surgir la puissance de l’existence et la force de la solidarité chez ces mystérieux occupants. Simples et sobres, impeccablement cadrées, les images nous réchauffent tout doucement. J.M.P.C.

AUTRES FILMS EN COMPÉTITION PROJETÉS LE 22 MARS :• LA MUERTE DE JAIME ROLDÓS LISANDRA I. RIVIERA & MANOLO SARMIENTO ÉQUATEUR, ARGENTINE 2013 2h05 13h15 · cinéma ABC

• ATLÁNTIDA INES MARIA BARRIONUEVO ARGENTINE, FRANCE 2014 1h18 14h · cinéma Gaumont Wilson

• VOLANTÍN CORTAO DIEGO ALONSO AYALA RIQUELME & ANÍBAL JOFRÉ DEL CAMPO CHILI 2013 1h17 17h55 · Cinémathèque

Le cinéma équatorien est peu prolifique, il y a eu entre 1924 et 1999, moins d’une vingtaine de longs-métrages produits. Mais depuis 2006, la création du Consejo Nacional de Cinematografia del Ecuador, l’équivalent du CNC en France, favorise la création cinématographique.

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SAMEDI 22 MARS 2014

Page 2: Pelicula 2014_2

UN MURO DE SILENCIO LITA STANTIC · ARGENTINE, MEXIQUE, ROYAUME-UNI 1993 · 1h45En présence de la réalisatrice

19h45 · Cinémathèque

En 1993, la productrice de cinéma Lita Stantic réalise Un muro de silencio qui raconte l’histoire d’une réalisatrice anglaise qui arrive, pendant les années 1990, à Buenos Aires pour faire un film. Film qui, à son tour, raconte l’histoire vraie d’une femme ayant perdu son compagnon en 1976, détenu-disparu lors de la dictature militaire argentine. À mesure que le tournage avance, les choses se compliquent puisque les personnages doivent se confronter au passé. Lita Stantic parvient à mêler habilement les différents niveaux de fiction en superposant l’histoire que filme la réalisatrice à celle des interprètes du film.En 1987, suite aux atrocités de la dictature, le président Alfonsin dicte la Loi de l’Obéissance due, qui interdit les poursuites pénales pour les militaires impliqués dans le génocide. Puis, au début des années 1990, le président Menem amnistie, par décret, des centaines de militaires. Ainsi, en pleine époque du gouvernement “Menemista”, alors qu’une partie importante du pays considère que le passé est oublié, Lita Stantic réalise ce film. Métaphore de la mémoire collective, il constitue ainsi un point d’inflexion dans la façon dont sont traitées, en Argentine, les questions de la mémoire, de la militance et des crimes contre l’humanité. P.O.

AGUA BENDITAOCTAVIO GUERRA QUEVADO · ESPAGNE, COSTA RICA 2013 · 1h22En présence du réalisateur, séance gratuite proposée par l’Agence de l’eau Adour-Garonne

15h30 · cinéma ABC

Dans un petit village verdoyant à la frontière entre le Costa Rica et le Nicaragua, l’été arrive à grands pas. Les vallées s’assèchent peu à peu et les fleuves perdent de leur superbe. Ici, l’eau est un bien précieux, quasi sacré, qu’il faut minutieusement préserver. Pour sensibiliser la communauté à cette préoccupation, l’instituteur du village décide de monter une pièce de théâtre, où chaque habitant joue son propre rôle. Si la trame du film repose sur cette entreprise théâtrale, c’est avant tout des moments de vie que le réalisateur donne à voir. Octavio Guerra a le don pour capter des bribes d’émotion poignantes, grâce à la relation privilégiée qu’il entretient avec les membres du village. Elle est renforcée par toute la mystique qui règne autour de l’eau : fil conducteur, elle est acclamée par des rituels ancestraux fantasmagoriques et le chant des chamans.La nature est aussi particulièrement mise à l’honneur dans ce long-métrage, qui profite de la beauté des pay-sages locaux. Sublimé par la musique d’Iván Vegas, Agua Bendita fait voyager le spectateur au cœur de l’Amérique centrale, dans une communauté dont la simplicité et l’humanité sont une belle leçon de vie. L.B.

FORTERESSE DE L’OUBLI TOUS ACTEURS POUR L’EAU

L’ouverture

PALA

BR

AS

REVUE DE PRESSE

SAVIEZ-VOUS QUE… ?" La primera vez que te metes a una casa y se te agraneda el corazón ", Manuel a Paulina.

" C’est la première fois que tu rentres dans une maison et ton cœur s’enflamme ", Manuel à Paulina

Dans le film Volantín cortao

Saviez-vous qu’aujourdhui, en Argentine, les femmes s’orientent vers les différentes spécialités des écoles de cinéma de façon assez égale ? En effet, 21% d’entre elles choisissent la photographie, 21% l’écriture scénaristique, 20% la production, 20% la réalisation et 14% le montage. L’ingénierie du son fait exception avec seulement 4% des étudiantes. Quoiqu’il en soit, on pourrait penser que ces pourcentages garantiraient une présence féminine indiscutable

dans presque tous les secteurs. Cependant, les chiffres bruts sur la présence des femmes dans le milieu professionnel reflètent une toute autre réalité. Les données de l’Institut National de Statistiques et de Recensement Argentin (INDEC) nous révèlent qu’en 2011 et 2012 le pourcentage de femmes travaillant dans le secteur industriel qui inclut les tâches cinématographiques s’élevait à 28,99%.Pour en savoir plus : Revue des Cinémas d’Amérique latine n°22 (2014)

Directeur de publication : Francis Saint-DizierCoordination générale : Muriel JustisCoordination : Marie-Françoise Govin etAnaïs ArmanvilleAssistants de rédaction : Anaïs Armanville,

Marie-Françoise Govin et Cédric LépineConception graphique : Martina Santuari et Barbara GovinRédacteurs : Anaïs Armanville, Ludwina Owona, José-Maria « Pino « Cuesta, Paula Orostica et Lola BoudreauxMise en page : Barbara Govin

PELíCULALA

mediapart.fr

Cinémas d’Amérique latine... et plus encore

http://blogs.mediapart.fr/edition/cinemas-damerique-latine-et-plus-encore

Un aperçu au long cours des vies des cinémas d’Amérique latine.Un vaste champ qui englobe les territoires, les sociétés, les luttes et les cultures dans lesquels ces cinémas se développent.

Retrouvez Cinélatino surmediapart

CINÉMAS D’AMÉRIQUE LATINE

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Une publication de l’ARCALT et des PUM. Vente : à l’accueil public et toute l’année à Ombres Blanches et Terra Nova.

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STUDIO CINÉ LIVEN°57 – Mars 2014

PREMIÈRE - N°445 – Mars 2014Interview par Nicole Clodi

LA DÉPÊCHE DU MIDI - vendredi 21 mars 2014

« CINÉLATINO : TOUS LES FILMS EN COMPÉTITIONSur quels critères avez-vous sélectionné les quatorze films en compétition ?E. Gonzalès : Nous essayons de donner un pano-rama le plus large possible du cinéma latino-amé-ricain, en présentant des films aux thématiques fortes, à l’esthétique singulière. Les films en compétition fiction sont tous récents (2013 et 2014) et inédits en France, sélectionnés avec la volonté d’élargir l’offre cinématographique, trop souvent restreinte aux seuls intérêts commerciaux. »

« BOMBES LATINESLes femmes feront battre le cœur de Cinélatino, les Rencontres de Toulouse, du 20 au 30 mars, en mettant en avant des œuvres de femmes réalisatrices et productrices latino-américaines. »

« CINÉLATINO - LES 26es RENCONTRES DE TOULOUSE (31) investissent à nouveau la ville rose, invitant les spectateurs à découvrir les productions d’Amérique latine. Cette année, le festival met à l’honneur les femmes cinéastes. Jusqu’au 30 mars. »