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UN CONDENSÉ MENSUEL POUR INFORMER ET ÉCLAIRER LES PLANIFICATEURS VOL. 4 No. 8 OCTOBRE 2006 Québec : où l’Histoire rencontre les défis de demain Le Château Frontenac, un des pilliers du tourisme à Québec. DE NATHALIE CARON S aviez-vous que la ville de Québec se classe comme meilleure ville au Canada pour les affaires, selon le palmarès annuel du magazine Canadian Business ? Également proclamée joyau du patrimoine mondial par l’UNESCO en 1985, nous vous invitons ce mois-ci à explorer cette belle ville qui fait la fierté des québécois et le plaisir de ses visiteurs. En 2008, Québec célébrera le 400e anniversaire de sa fondation. La population de la ville de Québec représente 660 000 habitants dont 95 % sont de langue française et mais dont la plupart parlent aussi l’anglais. Déjà en 2003, cette ville recensait 9 millions de visiteurs dont plus de 1,2 million en provenance de 75 pays. Selon les sondages de différents périodiques tels le Travel and Leisure et le Condé Nast Traveler, Québec se classe du 3e au 6e rang des destinations de choix. Quant à la satisfaction des voyageurs vis à vis de l’accueil et du sentiment de sécurité qu’ils y éprouvent, elle a atteint un taux de 99 %. La capacité quotidienne d’hébergement de la ville est de 12 600 chambres. Capitale de la gastronomie, les fins gourmets y retrouvent le plus grand nombre de restaurants culinaires au prorata de la population. Reconnus pour leur talent, les chefs se surpassent et ont été maintes fois récompensés lors de concours culinaires internationaux. Un charme historique exceptionnel Le Vieux-Québec est la seule ville fortifiée d’Amérique du Nord. Son charme en est décuplé par la profusion des boutiques, musées et le caractère particulier des ruelles qui la constituent. La fascination saisit ses visiteurs lorsqu’ils en découvrent les fortifica- tions, les canons alignés sur les remparts et l’architecture d’époque ! Une centaine de cafés, bistrots et restaurants vous offriront le cou- vert lors d’une halte bien méritée. Une ville pour une clientèle d’affaires Les congressistes peuvent choisir entre le Centre des congrès de Québec à un jet de pierre des murs du Vieux-Québec et pou- vant accueillir jusqu’à 4 000 personnes. SUITE À LA PAGE 2

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* Québec : où l'Histoire rencontre les défis de demain * Tout est une question de choix * Gérer vos dépenses liées aux conferences * Le passé prévient l'avenir * Mettre fin à la discussion de façon professionnelle * De nouvelles bourses d'études pour la formation dans le secteur des réunions

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UN CONDENSÉ MENSUEL POUR INFORMER ET ÉCLAIRER LES PLANIFICATEURSVOL. 4 No. 8OCTOBRE 2006

Québec : où l’Histoire rencontre les défis de demain

Le Château Frontenac, un des pilliers du tourisme à Québec.

DE NATHALIE CARON

Saviez-vous que la ville de Québec se classe comme meilleureville au Canada pour les affaires, selon le palmarès annueldu magazine Canadian Business ? Également proclamée

joyau du patrimoine mondial par l’UNESCO en 1985, nous vousinvitons ce mois-ci à explorer cette belle ville qui fait la fierté desquébécois et le plaisir de ses visiteurs.

En 2008, Québec célébrera le 400e anniversaire de sa fondation.La population de la ville de Québec représente 660 000 habitantsdont 95 % sont de langue française et mais dont la plupart parlentaussi l’anglais. Déjà en 2003, cette ville recensait 9 millions de visiteurs dont plus de 1,2 million en provenance de 75 pays. Selonles sondages de différents périodiques tels le Travel and Leisure etle Condé Nast Traveler, Québec se classe du 3e au 6e rang des destinations de choix. Quant à la satisfaction des voyageurs vis àvis de l’accueil et du sentiment de sécurité qu’ils y éprouvent, ellea atteint un taux de 99 %. La capacité quotidienne d’hébergementde la ville est de 12 600 chambres.

Capitale de la gastronomie, les fins gourmets y retrouvent le plusgrand nombre de restaurants culinaires au prorata de la population. Reconnus pour leur talent, les chefs se surpassent et ont étémaintes fois récompensés lors de concours culinaires internationaux.

Un charme historique exceptionnelLe Vieux-Québec est la seule ville fortifiée d’Amérique du

Nord. Son charme en est décuplé par la profusion des boutiques,musées et le caractère particulier des ruelles qui la constituent. Lafascination saisit ses visiteurs lorsqu’ils en découvrent les fortifica-tions, les canons alignés sur les remparts et l’architecture d’époque !Une centaine de cafés, bistrots et restaurants vous offriront le cou-vert lors d’une halte bien méritée.

Une ville pour une clientèle d’affairesLes congressistes peuvent choisir entre le Centre des congrès

de Québec à un jet de pierre des murs du Vieux-Québec et pou-vant accueillir jusqu’à 4 000 personnes.

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Ce dernier est relié, via un accès souterrain, à près de millechambres d’hôtel et à un immense stationnement intérieur.Répondant aux besoins des organisateurs d’expositions, le Centredes congrès de Québec comprend une salle dont la capacité peutaller jusqu’ 412 stands. Bien pensée, elle jouxte le débarcadère, facilitant l’installation et le démontage du matériel, et peut êtredivisée en trois sections ou utilisée comme salle de bal. Le centreoffre également une salle de congrès, une salle multifonctionnelle,une série de salles de réunion plus intimes, sans oublier le vaste halld’entrée et les foyers répartis sur trois niveaux, idéaux pour l’inscriptiondes participants, les cocktails et autres fonctions du genre.

La seconde alternative est le Centre des foires, érigé sur le sited’ExpoCité et stratégiquement situé à l’intersection d’axes routiersprincipaux. Pour des événements de moindre envergure, songezaux hôtels, aux établissements spécialisés, aux auberges etdemeures patrimoniales qui possèdent des espaces pouvantaccommoder de plus petits groupes.

Des activités extra-professionnellespour tous

Les gens de passage, dans le cadre d’un voyage de motivation oud’affaires, ne seront pas en reste. À peine 30 minutes de route vouspermettront d’accéder à des sites offrant la possibilité de pratiquerdes activités hivernales et nautiques. Parcs naturels, rivières, réservesde chasse et de pêche sont aussi à proximité de la ville. Pour les plussportifs, des sentiers de vélo tout terrain et de motoneige ainsi quedes circuits de randonnée sont à portée de main également. À l’ap-proche de l’hiver, les stations de ski alpin et de ski de fond feront sansaucun doute le bonheur des passionnés de neige !

Un coût de la vie des plus attrayantsContrairement à de nombreuses villes aussi populaires comme

destinations de congrès, le coût de la vie y est excessivement bas.Une étude réalisée par KPMG a comparé Québec à 52 autres villesaméricaines et européennes. Les résultats comparatifs ont démon-tré que Québec affiche un avantage sur le coût de la vie de 2,1%par rapport aux autres villes canadiennes, de 9,7% par rapport auxvilles américaines et de 16,4% par rapport aux villes européennes.

Un accès pratiqueQuébec jouit d’une infrastructure de transport de pointe la

reliant à la plupart des grandes villes du nord-est des États-Unis etde l’Ontario. L’aéroport international Jean-Lesage offre, entreautres, des vols sans escale sur Montréal, Détroit, New York etToronto. Deux autoroutes longeant le fleuve St-Laurent permet-tent de se rendre à Montréal en 2 h 30 seulement. Quant au trans-port ferroviaire, il est assuré depuis le centre-ville et rejointMontréal et Toronto grâce au corridor Québec-Windsor.

Alors, si les ingrédients d’un congrès ou d’une rencontre à succèssont un accueil chaleureux, des infrastructures ultramodernes, desactivités culturelles et physiques dans un environnement naturel etcharmant, sans oublier une fine gastronomie pour le régal de tousvos participants, Québec se révèle en être la recette parfaite !

Reportage réalisé avec l’aimable participation de L’Office dutourisme de Québec. L’Office du tourisme et son équipe offrent un sou-tien technique dans l'organisation de votre événement.

Pour plus de détails, contactez Régis Fleury, Délégué commercial,au (418) 641-6654 poste 5424, ou au 1 (888) 522-3512, [email protected].

Sur le Web : http://www.quebecregion.com/f/plan-index-quebec.asp

Québec est une destination très abordable pour les réunionsSUITE DE LA PAGE 1

Les festivals et événements qui se succèdent tout au long de l’année contribuent au charme de Québec.

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Même en hiver, Québec est une ville populaire, spécialement durant son Carnaval.

À propos« Péchez » mignons en groupe

Déjeuner les dimanches au ParcAquarium puis visiter ce merveilleux

site est dorénavant possible.Seulement 22$ pour un brunch servidans un jardin fleuri face au fleuve,

incluant la visite duparc. Et pourplus d’authenticité, les visiteurs peu-

vent aussi opter pour la version « guide animalier » qui permet d’ap-procher les animaux les plus inédits !Réservation : 418 659-5264 poste 260,

www..sepaq.com/paq/fr/

Le grand luxe pourle St-AntoineFigurant parmi les deux hôtels choi-

sis au Québec (seulement cinq auCanada) par le magazine Robb

Report, l’Auberge St-Antoine fait àprésent parmi des Robb Report

Luxury Hotels. Fier membre desRelais & Châteaux depuis 2005, l’hô-

tel a fait figure de style parmi lescritères de sélection en tant qu’établisse-menturbain. Info : 1 (888) 692-2211,

www.st-antoine.com

Page 4: Octobre 2006

Publié par :2105, rue de la Montagne, bureau 100 • Montréal (Québec) • H3G 1Z8

Téléphone : (514) 849-6841 poste 333 • Fax : (514) 284-2282www.leplanificateur.ca

Vos commentaires sont appréciés :[email protected]

Rédacteur : Leo Gervais, [email protected]édactrice adjointe : Camille Lay, [email protected]

Traductrice : Louise VillemaireAdministration : Patrick Galvin, Julie Boisvert, Tania Joanis, Patricia Lemus

Collaborateurs : Anne Biarritz, Nathalie Caron, Jim Clemmer, Jyl-Ashton Cunningham, Peter De Jager,

Allison Martens, Matt Riopel

Le Planificateur est diffusé mensuellement à 14 500 professionnels de l’industrie du tourisme et des affaires.

Le Planificateur utilise du papier recyclé post consommation 30%Poste-publication No. 40934013

Tout est une question de choix

Faire la bonne chose au bon moment. Trop souvent, notre chargede travail est source de stress. Quand cela arrive, mieux vaut nous

arrêter et prendre le temps de voir comment nous en sommes arrivéslà et comment nous aurions pu éviter cette situation. Souvent, nousnous rendons compte que nous avons consacré plus de temps qu’iln’aurait fallu à une tâche agréable. Ou encore, nous réalisons quenous avons remis à plus tard une tâche qui ne nous emballait pas.

En réfléchissant un peu, nous pouvons mieux planifier ce quenous devons faire et par là, faire meilleur usage de notre temps. Lebut est d’apprendre à nous rendre compte de nos faiblesses etd’essayer de ne pas s’en disculper pour ainsi mieux en maîtriserles conséquences. Dès lors, nous prenons le contrôle des résultatset décidons la manière de les réaliser.

C’est comme prendre le volant : une fois que nous savons où nousallons, nous nous adaptons aux courbes de la route, aux arrêts, à lasignalisation et aux autres conducteurs. Ne jamais remettre à demaince qui peut être fait aujourd’hui, voilà un bon point de départ.

Donc planification et concentration sont deux bons moyens deprévenir le stress. Eh oui ! Les choses changent tout le temps maisil faut l’accepter et planifier en conséquence. Remettre la faute surun changement de situation impromptu reviendrait à dire quevous avez été impliqué dans une collision de voiture parce que leconducteur devant vous aurait freiné sans avertir ! Certes le tra-vail devrait être agréable. Cependant, même lorsqu’il ne l’est pas,il doit être fait. Pour en tirer le meilleur, nous devons nous donnerdes objectifs et se concentrer sur leur réalisation. Les défis rencon-trés en route devraient ainsi être considérés comme des élémentsstimulants, sans lesquels la vie serait ennuyante.

Alors, la prochaine fois que vous stressez, arrêtez-vous,demandez-vous pourquoi vous en êtes arrivé là et ce que vousauriez pu faire pour l’éviter. La plupart du temps, vous verrez quevous auriez pu prévenir votre stress.

Dans cenuméro

6 Du côté de l’industrieAu Planificateur, nous tenons beaucoup à donner à nos lecteurs un bon aperçu de ce qu’il passe dans le secteur des réunions. Voyez notre mine d’infos de l’industrie à partir de la page 7.

16 Le passé prévient l’avenirJim Clemmer est un auteur à succès et un expert dans plusieurs domaines : le leadership, le changement, l’action axée sur le client, la culture et la croissance personnelle. Dans ce numéro, Jim parle du chemin que les gens empruntent pour devenir des leaders.

18 Comment clore une discussion sur un salonBarry Siskind est un expert des salons pour professionnels et consommateurs. Il s’attaque ici à un problème bien connu de tous ceux qui ont participé à un salon.

20 iPod mène toujours le balIl y a cinq ans qu’Apple a lancé cet étonnant jouet techno. Les concurrents abondent mais l’iPod s’améliore sans cesse.

24 La Bourse ChabotLe bureau de la Fondation MPI a approuvé à l’unanimité les critères du fond des bourses d’études Anna Lee Chabot à la fin août. Bel hommage à une planificatrice hors pair.

26 Enquête du PlanificateurL’enquête du Planificateur du mois d’octobrerévèle l’importance qu’attachent les planificateurs au prix, au lieu, aux recom-mandations, à la publicité et aux sites Web dans leur recherche d’un site, d’un hôtel ou de services événementiels.

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Mot du rédacteur

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Cellulaires : des infos qui perdurent Vous voulez donner ou vendre votre cellulaire à un ami, un

parent ou un étranger en ligne ? Attention à vos secrets !Supprimer les informations sensibles qu’il contient peut être pluscompliqué que vous ne croyez.

Cet été, Trust Digital, de McLean (Virginie), a acheté 10 télé-phones sur eBay pour tester les outils de vérification de la sécuritédes cellulaires qu’elle vend aux entreprises. Ses experts en infor-matique ont récemment récupéré des infos sur presque tous lestéléphones d’occasion, y compris des informations d’entreprise etdes infos personnelles sensibles.

Les 10 téléphones testés par Trust Digital étaient des modèlespopulaires de grands fabricants. Tous stockaient l’information surdes puces mémoire flash, la même technologie que dans lesappareils photos numériques et certains lecteurs de musique.Cette technologie très bon marché met du temps à effacer l’infor-mation de façon définitive.

Pour compenser, les fabricants de téléphones utilisent desméthodes qui suppriment l’info de manière moins complète sanspour autant donner l’impression que téléphone est lent.

D’habitude, les fabricants expliquent comment bien effacer lesinformations sensibles mais les instructions ne sont pas toujoursfaciles à trouver. Research in Motion Ltd. a intégré dans les téléphonesBlackberry plus récents un programme de nettoyage facile à utiliser.

Si vous utilisez un produit de Palm Inc., le fabricant des télé-phones Treo bien connus, pourquoi ne pas étudier la « remise àzéro » décrite dans le site Web de Palm ? Trust Digital n’a pas réus-

si à récupérer l’info dans ces téléphones « remis à zéro ». Mais cette remise à zéro est assez rébarbative pour la plupart

des gens. Pourtant, l’effort peut en valoir la peine. Tout dépend àquel point vous tenez à protéger vos renseignements.

Selon un représentant de Palm Inc., il se peut qu’un prochainbulletin d’information prévienne les clients des risques de reven-dre leur téléphone.

Adieu aux maudites taches !Vous allez à une réunion d’affaires et vous renversez du café

sur votre chemise ! Pas de panique ! Vous pouvez compter sur Tideto Go.

De la taille d’un stylo, le marqueur Tide to Go distribue unedose de nettoyant concentré sur toute tache fraîche de nourritureou de boisson et laisse votre chemise blanche immaculée.

Vous n’avez qu’à appuyer assez fort sur la pointe du marqueurpour libérer la solution nettoyante sur la tache. Quand la quantitéde solution est suffisante – tout dépend de l’importance de la tache– frottez doucement avec la pointe du marqueur pour étaler lasolution. En moins d’une minute, la tache disparaît. Un don du cielpour les planificateurs ! Petit conseil : si la zone tachée risqued’être exposée à la lumière directe du soleil, mieux vaut la tampon-ner avec un linge humide.

C’est le dernier-né de Proctor & Gamble, une société américainequi fournit des produits et des services aux consommateurs dans140 pays du monde entier.

Sur le Web : www.pg.com

POUR VOTRE INFO

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La baisse des voyages en avion freinela progression de la grippe

Des chercheurs de l’hôpital pour enfants de Boston ont découvertque la baisse des voyages en avion qui a suivi les attentats du 11 sep-tembre a retardé d’environ deux semaines l’arrivée de la grippehivernale. « C’est la première fois qu’une étude démontre un liendirect entre le nombre de voyageurs et le rythme de propagationd’un virus », dit le Chef du projet, John Brownstein. Pour certains,cette découverte pourrait influencer les stratégies du gouvernementpour combattre la prochaine pandémie mais pour d’autres scien-tifiques, si le fait de limiter les voyages en avion ne préviendrait pasnécessairement la mort et la maladie, cela les retarderait seulement.

Les compagnies aériennes font des mécontents

Le nombre de plaintes des clients contre les compagnies aéri-ennes a monté en flèche : plus 39 pour cent pour atteindre 3 475 en2005 contre 2 500 en 2004, selon l’Office des transports du Canada.Le premier coupable selon le rapport annuel de l’OTC publié lemois dernier ? Air Canada et son transporteur associé Jazz, avec663 plaintes l’an dernier contre environ 450 en 2004.

Selon un porte-parole de la première société aérienne du Canada,le nombre de plaintes est relativement faible pour une compagniequi transporte plus de 30 millions de passagers par année.

Adieu mannequins squelettiquesSi vous comptez faire appel à des mannequins pour votre événe-

ment, vous voudrez peut-être suivre l’exemple des passerelles deMadrid : interdire les mannequins vraiment trop minces. On arécemment interdit de passerelle les mannequins dont l’indice demasse corporelle (IMC : rapport taille-poids) était égal ou supérieurà 18. Pour avoir cet IMC, une femme de 1,75 m devrait peser envi-ron 56,8 kilos. Au moment où la semaine de la mode londonienneallait débuter le 18 septembre, la secrétaire à la Culture de Grande-Bretagne, Tessa Jowell, a applaudi la décision de Madrid en disantque l’idéal irréaliste proposé par des mannequins émaciés « inviteles filles à cesser de manger pour leur ressembler ».

Les Anglais moins stricts sur lesbagages en vol

Les passagers quittant l’Angleterre en avion devraient con-naître les nouvelles règles sur les sacs de cabine. Le Ministère destransports britannique ne permet toujours qu’un seul bagage encabine mais celui-ci peut désormais mesurer jusqu’à 56 cm sur 45cm sur 25 cm, au lieu de 45 cm sur 35 sur 16.

Soyez malins : même si la plupart des transporteurs américainsvous laissent partir pour Londres avec plus d’un sac en cabine, sachezque la règle du sac unique s’appliquera à votre départ du R.-U. Mieuxvaut donc emporter un seul sac. Les restrictions varient selon les com-pagnies aériennes, alors vérifiez auprès de votre transporteur.

Avion et ordinateur portable font parfois mauvais ménage

Inquiètes de la sécurité des batteries de certains ordinateursportables, certaines compagnies aériennes internationales ontrécemment interdit l’utilisation d’appareils Dell et Apple en vol.Les passagers en première classe et en classe affaires à bord deVirgin Atlantic, Korean Air et Qantas peuvent encore brancher leurportable dans les prises de courant de leur rangée, mais ceux de laclasse économique n’ont souvent plus cette chance. Les deux fab-ricants d’ordinateurs ont récemment récolté près de six millions debatteries après que certaines aient surchauffé et pris feu.

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POUR VOTRE INFO

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Gérer vos dépenses liées aux conférencesJYL ASHTON CUNNINGHAM, CMP

NDLR : Premier de deux articles.

Cela arrive tout le temps : des frais supplémentaires imprévus,assez importants pour irriter légèrement le planificateur et lesdélégués d’une conférence, ou con-sidérables pour engendrer undépassement sérieux du budget etnuire aux relations avec les hôtels etles autres fournisseurs.

On a beaucoup écrit sur les fraisdissimulés et on forme régulière-ment les planificateurs sur la négociation réussie de contrats avecles hôtels. Voici un aperçu desdomaines potentiellement périlleuxet des façons de les contourner outout au moins de s’assurer que tous les frais potentiels sont divul-gués d’avance.

On a demandé aux membres du PPCG et à d’autres planifica-teurs professionnels quelles étaient leurs opinions et leurs expéri-ences – les résultats sont très intéressants, mais certains ont préférérester anonymes.

Hôtels et lieux de réunionsGrands spécialistes des suppléments, les hôtels, c’est bien

connu, adorent rajouter tout un tas de frais, souvent en petits car-actères au bas du contrat et biensur uniquement sur le bon de com-mande. L’exemple le plus commun : les frais d’appels télé-phoniques locaux ou à des numéros sans frais. Le pire ? Un énorme 2,25 $US (légèrement moins qu’une communicationpar téléphone cellulaire entre la Floride et Toronto). Bien que tout

le monde soit habitué à ces frais, onne sait peut-être pas que l’on peut leséviter facilement : il suffit de deman-der à l’avance qu’ils soient exclus ducontrat.

Une planificatrice a vécu une drôled’expérience à Las Vegas quand elle adécouvert des frais quotidiens obliga-toires pour l’utilisation du téléphonedans la chambre, que le délégué aitutilisé le téléphone ou pas !

Puisque chaque délégué étaitresponsable de ses faux frais, la planificatrice a reçu plusieurs plaintesde la part du groupe mais elle n’a pas réussi à faire annuler les frais.

Las Vegas et beaucoup d’autres centres de villégiature-casinosfacturent maintenant une « assurance » de 100 $US à 400 $US surla carte de crédit du client avant même qu’il ait dormi dans lachambre, un autre coût non négociable et non publié. La facture estannulée une fois que le client a dûment réglé la facture finale.

L’eau, un autre problème de longue date avec les hôtels. Mais PhilEccleston de Golden Planners à Toronto a mentionné un coût très sur-prenant, entre autres au Palais des congrès à Montréal et au Centre

Souvenez-vous qu’un hôtel estun commerce et qu’il est beaucoup plus facile de négocier avant qu’après.

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Assurez-vous de lire toutes les clausesdes congrès de Québec. On facture 3,50 $ plus taxes et service parpichet d’eau, un service de base qui avait toujours été inclus dans leprix de la salle de réunion ou de la restauration. Les hôtels expliquentla facture d’eau en disant qu’elle vient des traiteurs exclusifs et qu’elleest difficile à contourner, en dépit des plaintes de Phil.

D’autres frais, plus acceptables, peuvent être gentiment renégociés,comme les frais de manutention des bagages et de conciergerie, lesprix du service aux chambres dans les salles de réunion (là où la sallede réunion a été payée), les frais de barman pour les bars parrainés etles frais de tableaux de conférence, de chevalets et de marqueurs.

Les étiquettes informatisées sous les bouteilles et les articlesdivers dans les minibars transmettent une facture à la réception dèsqu’un article change de place. Donc, si vous apportez vos propresrafraîchissements et que vous voulez les mettre au frais, vérifiezattentivement votre facture avant de partir. Le fait de bouger lespetites bouteilles d’alcool pour ranger vos propres articles équivautà les avoir consommées, ce qui peut vous coûter très cher et mêmevous valoir une réputation d’endiablé dans les réceptions !

Un petit tuyau en matière de frais dissimulés : anticipez-les enajoutant au contrat avec l’hôtel une clause stipulant qu’il ne seraaccepté ni payé aucuns frais supplémentaires non prévus au con-trat final et signé. Mais attention aux petits caractères : certainesclauses du contrat sont souvent oubliées ou mal lues.

Quand vous planifiez l’itinéraire des délégués, assurez-vous dementionner clairement les pièges qui peuvent entraîner des fraisen sus du tarif ordinaire de la chambre, envoyez un documentdétaillé avant la réunion et demandez à l’hôtel de présenter àchaque délégué, au moment de l’inscription, une fiche décrivant

tous les frais supplémentaires potentiels. Souvenez-vous qu’un hôtel est un commerce et qu’il est beau-

coup plus facile de négocier avant qu’après.

Une approche intéressanteJanice Fendley, d’Absolute Conferences and Events, adopte une

approche intéressante avec les clients. Son expérience lui a appris que,sous prétexte de vouloir économiser, le client veut souvent prendre enmain les négociations une fois que l’inspection initiale du site a étéfaite, ce qui lui permet de payer des frais de consultation plutôt quedes frais de gestion pour les services du planificateur de réunions.

Janice se souvient d’un cas où un client avait reçu un devis de7 000 $ pour la location d’une site mais avait oublié de se renseign-er sur les frais supplémentaires liés à l’événement puisqu’il comp-tait sur ses propres fournisseurs. Il n’avait pas compris que le lieuen question était syndiqué… Le temps de calculer tous les fraisobligatoires et la facture avait atteint la somme renversante de 32000 $. Faut-il préciser qu’il a appelé Janice à son secours pour «ARRANGER ÇA ! »

Absolute Conferences and Events utilise maintenant le concept« Pouvez-vous vous passer d’un planificateur ? » comme un outilde marketing très efficace. Le mois prochain, nous parlerons descompagnies en A/V.

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Jyl Ashton Cunningham est Rédactrice adjointe du Planificateurpour la division de Toronto.

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Comment jouer au Sudoku ?D’origine japonaise, ce jeu de logique consiste en un carré de 9 cases par 9, divisé en grilles de 3 cases

par 3. Chaque case doit contenir un chiffre de 1 à 9 de façon à n’utiliser chaque chiffre qu’une fois par ligne,colonne et grille.

Niveau facile Niveau moyenRéponse à la page 19. Réponse à la page 19.

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L’HEURE DEPOINTE À CABO.

800.327.0200

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Do you live an InterContinental life?

*Les réservations doivent se faire en 2006 pour 2007 (Mai-Septembre. 4ème nuitée gratuite). Tarifs par personne par nuit en occupation double, taxescomprises (11,2%). Sujet à des frais de propriété de 13$. D’autres restrictions s’appliquent.

En venant au Presidente InterContinental Los Cabos, vous et votre groupevivrez une toute nouvelle expérience des hôtels de villégiature. Réservezsimplement une activité de groupe pour 2007 avant la fin de l’année 2006et bénéficiez d’avantages incroyables.

En voici quelques-uns :

• Une chambre gratuite pour toute réservation de 40 chambres par nuit.

• Un iPod offert au planificateur de réunion.

• Un certificat de 100$ sur les billets d’avion par personne.

• Tous les repas servis dans six restaurants au choix.

• Les boissons illimitées dans sept bars.

• Des activités incluant aqua-aérobic, volley-ball, bingo, yoga, pilates, tai chi et tennis.

Ils baissent la TPS et économisent 79 M$Le Premier ministre Stephen Harper ne s’est pas fait d’amis

chez les planificateurs de réunions.La décision du gouvernement conservateur de mettre fin au

programme de baisse de la TPS pour les visiteurs étrangers n’estqu’une énorme retenue fiscale et un coup dur pour deux secteurscanadiens en difficulté – le tourisme et les conventions. Le gou-vernement économisera quelque 79 M$ sur deux ans et l’excédentfédéral devrait dépasser 12 G$.

Randy Williams, Président de l’Association de l'industrietouristique du Canada disait récemment : « C’est une ponction fis-cale qui pourrait atteindre des centaines de millions de dollars ».

Les rabais s’appliquent aux visiteurs qui soumettent leurs fac-tures sur certains biens admissibles et l’hébergement de courtedurée.

Le gouvernement soutient que la fin du programme n’a pasgrande importance puisque seuls trois pour cent des voyageursremplissent les formulaires de demande de rabais. Williamsréplique que le gouvernement récupérera ces millions de dollarssur plusieurs années en imposant la TPS pour la première fois surles conventions que des groupes étrangers tiennent au Canada.

La décision fait augmenter de six pour cent le prix d’une con-vention au Canada et fait aussi augmenter le prix des voyagesorganisés canadiens pour les voyageurs hors du pays. Maigre con-solation : elle n’entre en vigueur que le 1er avril 2007.

Selon Statistiques Canada, en juillet, le nombre de séjours d’unejournée par des Américains – 1,2 million – a atteint son niveau leplus bas depuis les années 1970.

Attention à vos manières en vol –elles pourraient vous nuire !

À propos de retards dans le transport aérien, voici une anec-dote édifiante pour tous ceux qui prennent l’avion.

Vous vous êtes déjà disputé avec un agent de bord ? Faute detenir votre langue, vous risquez l’expulsion et une amende pourdédommager la compagnie aérienne.

Gus Fuentes, un passager à bord du vol AC869 d’Air Canada deLondres à Toronto, a payé le prix pour un « comportement agres-sif et grossier » envers un agent de bord, rapporte le Globe and Mail.

Selon Air Canada, M. Fuentes avait une place dans la rangée 39et s’était assis dans le fauteuil 39A.

Un agent de bord lui a demandé de s’asseoir au 39D parce quele 39A était réservé à l’équipage. M. Fuentes s’est exécuté mais amanqué de respect envers l’agent qui lui avait demandé de chang-er de place.

Selon Peter Fitzpatrick, Porte-parole d’Air Canada, il y alongtemps que les compagnies aériennes exigent un dédommage-ment dans de tels cas, et pour preuve, celui du mannequinMarzena Kamizela à qui, en mai dernier, un tribunal canadien ainfligé une amende de 10 000 $ et ordonné de payer 18 490 $ àBritish Airways pour avoir perturbé un vol.

Dans une lettre à l’Office canadien des transports, M. Fuentes anié avoir tenu des propos agressifs mais deux passagers témoinsde l’incident ont confirmé les allégations d’Air Canada.

Dans une lettre à M. Fuentes, Air Canada écrit qu’elle s’attendà ce qu’il lui verse 1 350 $ en dédommagement.

POUR VOTRE INFO

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Le pétrole baisse, pas les billetsMalgré la chute récente du cours du pétrole, inutile d’espérer

que les grandes compagnies aériennes vous remboursent.La baisse du cours du pétrole sur le marché au comptant n’af-

fectera pas les surtaxes sur le carburant, à moins que le prix dubaril redescende sous les 60 $US. Selon les compagnies aérienneset les voyagistes, il n’y a pas eu de baisse soutenue des frais de car-burant. Jusqu’ici cette année, le cours moyen du baril est de 68,32$US, contre 56,70 $US en 2005 et 41,47 $US en 2004.

Air Canada et WestJet ont intégré les frais de carburant dansleurs tarifs de base mais toutes deux affirment qu’elles n’ont purépercuter la totalité de la hausse du coût du carburant parce que laconcurrence les aurait forcées à limiter la hausse des prix des billets.

Depuis le début de 2004, WestJet et Air Canada ont cesséd’indiquer séparément les frais de carburant sur les vols régulierset ont inclus les surcoûts liés au carburant dans les tarifs de base.

Il y a 14 mois, Air Canada a lancé un programme de couverturepour geler les prix qu’elle paie pour une partie du carburant mais,pour le moment, les résultats ne semblent guère extraordinaires.Pour la fin de 2006, la société a signé des contrats qui couvrent 50pour cent de ses besoins en carburant dans une fourchette entre 66$US et 72 $US le baril. L’année prochaine, Air Canada a couvert 24pour cent de ses besoins à 60 $US le baril.

La compagnie Transat, de Montréal, a des couvertures quitouchent jusqu’à 44 pour cent de ses besoins de carburant pour ledébut de 2007, à des prix non divulgués.

POUR VOTRE INFO

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Moteur de recherche internationalsur les prix des billets d’avionwww.farecompare.comLes voyageurs peuvent utiliser des cartes du monde pourdénicher les aubaines des prochains mois, puis piquer droitsur la meilleure date, la meilleure compagnie et le meilleursite Web pour acheter leurs billets.

Les secrets des agents de bordwww.airlinecrew.netLes agents de bord du monde entier peuvent râler au sujetdes passagers turbulents et autres sujets de plainte du mêmegenre. La section sur les célébrités est particulièrement pop-ulaire : voyez les gentils et les affreux (Bill Clinton : gentil,Jennifer Lopez : affreuse). Le forum Racontars de hangars vaeffrayer tous ceux qui ont des rapports sur des problèmesd’équipement. Mais, en général, ce site est bon enfant.

Les grands voyageurswww.flyertalk.comSi vous voyagez beaucoup, ce site vous plaira. Listes desprogrammes de toutes les compagnies, forums et mêmechats en ligne, il a tout pour plaire aux pauvres âmesexténuées forcées de mettre des concombres sur leurs yeuxrougis par trop de vols de nuit. Bien conçu et convivial.

Infos santé pour les voyageurswww.mdtravelhealth.comAnimé par un médecin chevronné de l’état de New York, cesite fournit de l’information sur la santé liée aux voyages.Très facile à lire. Choisissez parmi sept régions du monde àl’aide d’un menu déroulant et voyez apparaître une liste depays. Chaque sommaire résume les conseils de santé et pro-pose des liens avec des cartes et d’autres outils.

OCTOBRE 2006 13

Sites Web d’intérêtAGENDA

« Une des meilleures aubaines en ville »— The Sunday New York Times

Centre-ville d’Ottawa180, rue Cooper

Tél. : (613) 236-5000Fax : (613) 238-3842

Service de réservations 1-800-236-8399

Nous ssommessitués pprès dducanal RRideau eet ddela cchic rrue EElgin.

Titulaire

Prix QuatreDiamants

“Traveller’s Choice Awards”Le Meilleur Hotel

IndépendantLa Revue Tourist

de Toronto

OttawaCanada

250 studios et suites

d’une ou deux chambres

à coucher, suites V.I.P.

avec bain tourbillon.

Installations de banquets,

piscine intérieure, bain

tourbillon, sauna, salle

d’exercice et de jeux.

Terrasse extérieure

avec jeu de galets et

aire d’amusement pour

les enfants.

www.suitedreams.comSuites à partir de 49.95$ pp

Événements à venir

Le 9 novembreM&C and Bizbash, Meeting and Event Style Show, Pier 94,New York City, NY. Contact : (201) 902-1829,www.bizbash.com/eventstyleshow.

Du 12 au 15 novembreConvivium 2006, MPI Montréal, congrès francophone,Auberge Gouverneur Shawinigan & Centre de conférence,Shawinigan, Qué. Contact : www.mpimontreal.com/fr/events/convivium/

Du 12 au 16 novembreFinancial & Insurance Conference Planners, Conférence etsalon annuel, Caesars Palace, Las Vegas. Contact : FICP,www.ficpnet.com.

Du 28 au 30 novembreEuropean Incentive & Business Travel Meetings Exhibition,Fira Gran Via, Montjuic 2, Barcelona, Spain. Contact : (011)44-20-8910-7870, www.eibtm.com.

Du 9 au 12 janvierThe Special Event 2007, Conference Trade Show, LosAngeles Convention Center, Los Angeles, Calif. Contact :www.thespecialeventshow.com.

Du 13 au 14 févrierSalon de l’événement corporatif, Palais des Congrès,Montréal, Qué. Contact : www.catalogueindispensable.ca.

• • •

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OCTOBRE 200614

HYATT MONTE LA BARRE Les Hôtels Hyatt ont lancé une campagne de publicité autom-

nale sur de nouveaux services comme l’inscription par assistantnumérique personnel, une conciergerie électronique et la stéréoHyatt. Maintenant, on peut connecter son iPod au système stéréode chevet, s’endormir dans le lit Grand Bed (ses draps à contexturetrès serrée et ses six – oui, six! – oreillers) et filer à l’aéroport lematin avec sa carte d’embarquement en poche grâce au nouveausystème Fast Board qui permet de l’imprimer à la réception. Sanscompter une conciergerie qui offre réservations et services dans leconfort de son assistant numérique personnel et un club de gym 24h / 7 j avec téléviseurs à écran plat. Sur le Web : www.Hyatt.com

HILTON VEND CINQ HÔTELS CANADIENSDans le cadre de sa stratégie pour se défaire de propriétés hors

des États-Unis tout en gardant des contrats de longue durée avecles acheteurs, les hôtels Hilton ont récemment vendu cinq hôtelscanadiens au groupe privé Westmont Hospitality pour 243 M$. Lecouperet est aussi tombé sur les 600 chambres du Hilton centre-ville de Toronto et les 413 chambres du Hilton de l’aéroport deToronto, les 571 chambres du Hilton de Québec, les 486 chambresdu Hilton de l’aéroport de Montréal et les 197 chambres du Hiltonde Saint John au Nouveau-Brunswick. Par la même occasion,Northstar Hospitality LP a mis la main sur les propriétés deToronto et de Montréal, alors que la société Inn Vest REIT deToronto s’est jetée sur les hôtels de Québec et de Fredericton.

LES TRAVAILLEURS DE CHICAGO ET HILTONS’ENTENDENT

Le syndicat du tertiaire UNITE HERE et Hilton ont signé uneentente de trois ans qui améliore les salaires, les retraites et lesservices de soins de santé de 2 300 employés de plusieurs hôtelsHilton : Chicago, O’Hare Airport, The Drake et Palmer House.Selon le Président et Chef de la direction de Hilton, Matthew Hart,Hilton est le premier groupe hôtelier de Chicago à signer une nou-velle convention collective avec le syndicat. Récemment, UNITEHERE a aussi conclu des accords préliminaires avec StarwoodHotels & Resorts Worldwide et 11 autres hôtels de Chicago, dontHyatt, évitant la perspective d’une grève à grande échelle.

LONDRES À PETITS PRIX Que vous cherchiez un nouveau lieu ou magasiniez à en tomber

de fatigue chez Harrods, votre portefeuille souffrira moins si vousdescendez dans l’une des nouvelles générations de chambres d’hôteslondoniennes chics (absolument) et abordables (relativement – on està Londres). High Road House (www.highroadhouse.co.uk) offre deschambres pour deux, simples mais chics, à partir de 160 £ la nuit(environ 340 $CAD) : une aubaine dans une ville où les chambrescommencent souvent à plus de 500 $. Mieux encore, le nouveauHoxton (www.hoxtonhotels.com) a des chambres pour deux à partirde 59 $ et le Base2Stay (www.base2stay.com) des chambres pourdeux avec télé à écran plat à partir de 99 £.

Nouvelles hôtelières du Village Global

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DEUX NOUVELLES DESTINATIONS EUROPÉENNES L’hôtel Mandarin de Prague a ouvert le mois dernier, devenant peut-être l’un des

lieux de réunion les plus illustres de la capitale Tchèque. Niché dans un monastère du14e siècle et riche d’une architecture baroque, gothique et renaissance, il s’enorgueillit de99 chambres, un spa, des salles de réunion capables d’accueillir 80 personnes et une sallede bal de 524 mètres carrés. Pour les amoureux de Bacchus, les hôtels Starwood ontrécemment baptisé, au cœur des vignobles de la Rioja espagnole, un hôtel conçu par lecélèbre architecte Canadien Frank Gehry. Le Marqués de Riscal offre 43 chambres etsuites dans deux immeubles, une école de cuisine et deux restaurants (dont un sous ladirection d’un chef étoilé de Michelin, Francis Paneigo). Oh ! Et un établissement vinicolede 150 ans !

Sur le Web : www.luxurycollection.com/marquesderiscal

AGASSI MONTE AU FILET DANS L’HÔTELLERIE Retraité depuis peu, la légende du tennis Andre Agassi adopte un nouveau jeu :

la conception d’hôtels. Agassi et son épouse, Steffi Graf, se sont associés à BayviewFinancial pour développer un nouvel hôtel dans le bucolique Tamarack Village en Idaho.Géré par Fairmont Hotel and Resort, le Belvedere Ridge – qui devrait ouvrir en 2009 –offrira environ 285 chambres, condos et appartements-terrasse.

LE FAIRMONT NEW ORLEANS REPORTE SON OUVERTURELes dommages subis lors de l’ouragan Katrina se sont avérés plus graves que prévus

et forcent le vieux Fairmont New Orleans – il a 107 ans – à remettre sa réouverture à 2008.L’hôtel ne rouvrira pas le printemps prochain comme prévu et revoit actuellement lesréservations de groupes qui avaient réservé des salles de réunion pour 2007. Le moisdernier, aux Bermudes, l’ouragan Florence n’a causé que des dommages mineurs et tousles hôtels ont demeuré ouverts.

DALLAS PREND AU LASSO UN NOUVEL INDIGODallas (Texas) est la dernière ville à accueillir un hôtel Indigo, le cinquième de la

gamme des hôtels boutiques de ce nom. Construit à l’origine par Conrad Hilton en 1925,l’immeuble a subi une restauration d’une telle ampleur que le Texas l’a inscrit à sonNational Register of Historic Places. Il compte 170 chambres et 1 005 mètres carrés desalles de réunions.

WESTIN ARRIVE EN NOUVELLE-ZÉLANDELe premier hôtel Westin de Nouvelle-Zélande ouvrira ses portes en 2007. Le cinq

étoiles Auckland, Lighter Quay comptera 173 chambres et 10 005 mètres carrés de sallesde réunion en plein cœur du quartier Lighter Quay de 300 M$. Le projet est en pleindéveloppement mais son site Web affirme qu’il comprendra une marina privée et offrira« à quelques heureux privilégiés la plus prestigieuse adresse du centre-ville... »

Sur le Web : www.lighterquay.co.nz

RÉOUVERTURE DU RITZ-CARLTON DE CANCUN Cet hôtel a pleinement profité du temps d’arrêt qui a suivi l’ouragan Wilma pour

ajouter de nouveaux services qui ont fait leurs débuts lors de sa réouverture le moisdernier. Outre ses 365 chambres et un incroyable 8 230 mètres carrés de salles de réunion,l’hôtel offre maintenant un centre culinaire et un programme de tennis dirigé par l’an-cien joueur professionnel, Cliff Drysdale.

OCTOBRE 2006 15

Nouvelles hôtelières

Pour tous vos besoins : www.leplanificateur.ca

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Le passé prévient l’avenirDE JIM CLEMMER

On me demande souvent de prédire l’avenir du leadership.C’est risqué. J’hésite à me joindre aux économistes, futuristes etautres qui vivent de leur boule de cristal… et apprennent vite àmanger du verre pilé ! Toutefois, à l’aube du nouveau millénaire,nous pouvons revenir sur l’histoire et découvrir les principesintemporels du leadership qui ont guidé les sociétés, les organisa-tions et les personnes qui ont réussi dans des périodes incertaineset changeantes. Le leadership intérieur (qui nous guide) etextérieur (qui guide les autres) n’a jamais été aussi essentiel.

Il serait facile de devenir des leaders en suivant des étapestoutes simples. Mais le chemin de la croissance personnelle exigede trouver sa propre voie. Il existe toutefois une série de domainesde croissance et de développement étroitement liés, fondés sur desprincipes éternels. Le chemin que chacun de nous doit parcourirdans ces dimensions du leadership est unique mais se définir etgrandir le long de ces sentiers est le chemin qui fait les leaders etqui donne suite à nos rêves.

• Assise et contexte. LE CŒUR DE MON ÊTRE : C’est l’élément central de notre croissance parmi tous les autres facteurs.Notre assise et notre contexte sont structurés par trois questionsvitales : Où vais-je ? (vision) ; Quelles sont mes croyances ?(principes et valeurs) ; Pourquoi suis-je ? (but ou mission).

• Responsabilité des choix. LES ACTIONS DÉPENDENT DEMA VOLONTÉ : Le leadership, c’est accepter la responsabilité deses choix dans la vie. Les leaders savent que la vie se bâtit, que lescirconstances sont le fruit des choix plus que de la chance. Ilsrefusent de succomber au « virus victimitus » – tout est de leurfaute, je n’y peux rien.

• Authenticité. DEVENIR REALITÉ : Le leadership ce n’estpas seulement ce que nous faisons, c’est ce que nous sommes et cequi motive à agir ensuite. Le vrai leadership vient de l’intérieur. Ilest authentique et repose sur l’honnêteté, l’intégrité et la confiance.Il faut être honnête envers soi-même en explorant son espaceintérieur, en recueillant les réactions des autres à son comporte-ment et en restant fidèle à ses valeurs et principes déclarés.

• Passion et engagement. AU-DELÀ DES EXPÉRIENCES DELA VIE : Les gens qui réussissent sont animés par l’amour de ce

qu’ils font parce que cela les rapproche de ce qu’ils sont. Ils triom-phent de l’apathie et du cynisme, développent un engagementbrûlant à leur cause et, dans la discipline, réalisent leurs rêves etleurs désirs.

• Esprit et sens. DE TOUT MON CŒUR ET DE TOUTEMON ÂME : Quel est le but de notre travail ? De notre vie ? Laréussite matérielle ne suffit pas. Les leaders cherchent en eux-mêmes – et trouvent quelque chose de plus. Dans ce qui est tropsouvent une course folle du berceau à la tombe, il faut prendre letemps – au travail et dans la vie – de nourrir son être intérieur.

• Grandir et se développer. DE L’ÉTAPE D’UNE VIE À UNMODE DE VIE : Les objectifs les plus communs – sécurité, stabil-ité et prévisibilité – sont mortels. Plus nous nous approchons deces objectifs dangereux, plus notre croissance ralentit. La sécuritévraie et durable vient d’une croissance et d’un développementconstants, fondés sur une action de R et R (réflexion et renouvelle-ment) régulière.

• Mobiliser et stimuler. METTRE SES ÉMOTIONS ENACTION : Les leaders ne motivent pas à coups de récompenses etde punitions. À la maison ou au travail, ils poussent les gens à semotiver eux-mêmes. Les leaders très efficaces survoltent l’énergiedes autres avec leur passion et leur appréciation. Ils vont cherchernon seulement l’intelligence mais aussi le cœur des autres. Ils lesamènent à participer. Ils nourrissent activement l’être ou la culturedu groupe, pas seulement le faire.

Plus le monde change, plus les principes du leadershipdemeurent. Ils échappent au temps. Et ils valent pour tous, peuimporte le rôle de chacun dans la société ou les organisations.

Tiré du quatrième succès de librairie de Jim, Growing the Distance:Timeless Principles for Personal, Career, and Family Success. Pourvoir le format et le contenu uniques du livre, l’introduction, le premierchapitre et les réactions qui montrent pourquoi presque 100 000 exem-plaires sont maintenant sous presse, visitezwww.growingthedistance.com. Le nouveau livre de Jim qui va de pairavec Growing the Distance est The Leader’s Digest: Timeless Principlesfor Team and Organization Success. Jim Clemmer a une renomméeinternationale : il donne des conférences, anime des ateliers etdéveloppe des équipes de gestion dans plusieurs domaines : le leader-ship, le changement, l’action axée sur le client, la culture, les équipeset la croissance personnelle. Son site Web : www.clemmer.net.

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OCTOBRE 2006 17

DES ENREGISTREMENTSPLUS RAPIDES

Les personnes à qui la seule idée de per-dre du temps à s’enregistrer après un longvoyage donne envie de fuir devraient serenseigner sur l’inscription automatiséelors de leur prochain déplacement.Beaucoup d’hôtels s’efforcent de vous aiderà carrément contourner la réception. Leshôtels Hilton et Hyatt par exemple permet-tent aux membres VIP du club des clientsfidèles de s’inscrire en ligne. De plus, danscertains hôtels Hilton – comme la propriétésituée Avenue of the Americas à New York– un guichet libre-service vous remet vosclés sur balayage de votre carte de crédit.De nombreux hôtels Ritz-Carlton permet-tent aux clients privilégiés de sauter la filed’attente et de s’inscrire plutôt au niveauclub. Marriot et d’autres font des essais surl’inscription par agenda électronique per-sonnel, qui sera peut-être possible d’ici peu.

UNE CHAÎNE HÔTELIÈRE DEMARQUE À SAINT MARTIN

L’ouverture de l’hôtel Westin Hotel àSaint Martin marque l’arrivée d’une pre-mière chaîne hôtelière de marque danscette île animée des Caraïbes. L’hôtel s’in-tègre bien dans les avancées récentes deSaint Martin pour attirer une clientèle hautde gamme.

« Nous sommes très heureux d’accueillirl’hôtel Westin et l’excellente réputation de laqualité de son service », dit Regina Labega,Directrice du tourisme à Saint Martin, uneîle moitié néerlandaise, moitié française.

Situé du côté néerlandais de l’île, l’hôteldevrait ouvrir ses portes en janvier 2007.Cet hiver, seule Air Canada Vacations faitla promotion du Westin, avec des forfaits àpartir de 2 639 $ par personne pour unechambre occupée par deux personnes.

La propriété offrira 310 chambres,suites et condos de luxe, des repas gas-tronomiques et des sushis et une atmo-sphère décontractée en bord de mer. À celas’ajoutent le spa Hibiscus de styleeuropéen, un casino, plusieurs commercesde détail hors-taxes, une piscine d’eaudouce avec bar et bain-tourbillon, un salonet une boîte de nuit Ultra, une boutique deplongée et d’autres sports nautiques surplace.

Sur le Web : www.westin.com

LA CONSTRUCTION DE CANNERY ROW COMMENCE

Autorisé il y a plus de vingt ans, le pro-jet hôtelier de Cannery Row à Monterey(Calif.) est enfin sur le point de démarrer. Aucours des deux prochaines années, 208chambres d’hôtel luxueuses, plus de 3 048m2 de salles de réunion, un restaurant de 95places et presque 7 000 m2 de locaux pourcommerces de détail devraient devenir réal-ité dans la rue de bord de mer fréquentée parde nombreux touristes et rendue célèbre parle roman du même nom de John Steinbeck.

HAUSSE DES TARIFS DESCHAMBRES À PRÉVOIR

Des tarifs de chambre plus élevés et unepolitique dynamique des prix devraientforcer les chargés de voyages d’affaires àgonfler leur budget alloué aux hôtels en2007. Les hausses dans les villes carrefourdevraient atteindre les deux décimales.Selon Brenda Miller, Directrice des achatsde services de déplacements à Nestlé Ltd.: « Il est impossible de budgétiser cela »,Ça fluctue. Nous ne pouvons que prévoirune hausse référence de 10 à 15 pour cent.Toute hausse inférieure à cela sera uneéconomie pour la compagnie. »

Selon un porte-parole de Hilton, lasociété cherchera à augmenter ses tarifs leplus possible en 2007. Certains expertsprédisent des hausses qui ne dépasserontpas 5,25 pour cent alors que d’autres fontremarquer que les hausses de tarifs à NewYork ont parfois atteint 30 pour cent l’andernier et se préparent à un phénomènesemblable l’année prochaine.

LE NOVOTEL MONTRÉALAÉROPORT EST IMMINENT

Le dernier né du groupe Accor enAmérique ouvrira ses portes le 7 novem-bre 2006. Situé à St Laurent, QC, il est àpeine à 10 min de l’aéroport InternationalE. Trudeau et à 20 min du centre ville deMontréal. En plus des 120 chambresoffrant une literie d’exception, des sallesde bains spacieuses ainsi qu’Internet hautevitesse gratuit, les planificateurs y trou-veront leur compte parmi les 7 salles deréunions au mobilier ergonomique et con-temporain.

Sur le Web : www.novotel.com

Nouvelles hôtelières

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Mettre fin à la discussion de façon professionnelle DE BARRY SISKIND

Imaginez : Vous venez d’avoir une conversation intéressanteavec un visiteur. Vous en avez fait l’approche, recueilli lesinformations essentielles sur ses besoins commerciaux, ressen-

ti une certaine sympathie, fourni des renseignements cruciaux quiont été bien accueillis et décroché un « oui » à une rencontre desuivi. L’affaire est dans le sac penserez-vous, n’est-ce pas ? Mais ily a un hic : le visiteur ne semble pas vouloir partir.

Rassurez-vous, clore l’entretien n’est pas impoli. La bonne ges-tion du temps est le meilleur atout de votre personnel de stand.Voici deux manières de clore une conversation pour que votre vis-iteur reparte en gardant une impression positive de vous et devotre société.

Mettre fin par présomption Cette technique suppose tout simplement que l’employé et le vis-

iteur sont d’accord ; l’affaire est close et le moment du départ a sonné.

Étape 1 : Boucler la boucleC’est une manière subtile de clore la discussion. Cela se produit

quand l’employé arrête la présentation et dit : « Je suis heureuxque nous ayons pu discuter de votre situation. » ou bien : « Je suisheureux que nous ayons eu l’occasion de parler aujourd’hui. ».

Étape 2 : Préparer le départIci, l’employé assume l’entière responsabilité de la clôture en

disant : « Je sais que vous avez hâte de voir le reste du salon. » ou« Je vous ai déjà assez retenu. »

Étape 3 : Offrir un cadeauDes études montrent que le visiteur qui repart avec un souvenir

concret repart avec une impression plus forte de la compagnie oude la visite que celui qui repart les mains vides. C’est ici qu’entrenten jeu des articles promotionnels ou une brochure. Mettez fin à laconversation en disant : « Nous avons créé ce nouveau cadeau depromotion pour certains visiteurs spéciaux. Voyez, notre adresseInternet est gravée ici. Comme ça, si vous voulez en savoir plus surce que nous faisons, venez nous voir en ligne. Merci de votre vis-ite et bonne fin de parcours. »

Se désengager en douceurIl faut clore rapidement les conversations qui ne contribuent

pas aux objectifs du salon. Ce peut être une conversation avec unclient qui a envie de bavarder mais qui n’est pas intéressé à acheterdes produits supplémentaires pour le moment, d’autres exposantsqui tentent de vous monopoliser, des fournisseurs qui vendent desproduits ou des services aux exposants ou des étudiants invités ausalon. La solution, c’est la clôture en douceur.

Étape 1 : Reconnaître le visiteurSi le visiteur ne peut contribuer à l’atteinte des objectifs pour-

suivis au salon, l’employé devrait amorcer la fin de la visitecomme suit :

• S’il s’agit d’un client établi mais qui n’achète rien de plus à cemoment-là : « Merci d’être venu cet après-midi. Je suis vraiment

Les bonnes manières en affaires

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OCTOBRE 2006 19

On ne sait jamais quelle occasion peut se présenter heureux de savoir que nous pouvons vous compter parmi nosclients établis. »

• S’il s’agit d’un autre exposant : « Merci d’être passé nous voir.Il est important de faire partie de nos réseaux mutuels. On ne saitjamais, une occasion peut toujours survenir où nous aurons besoinde discuter. »

• S’il s’agit d’un étudiant : « Je suis heureux que vous ayezchoisi de concentrer votre recherche sur notre compagnie. »

• S’il s’agit d’un fournisseur : « Il est toujours possible que votreproduit nous intéresse un jour. »

Étape 2 : Faire une invitationVotre personnel ne sait jamais quand une occasion peut se

présenter. • S’il s’agit d’un client actuel : « J’ai vraiment besoin de savoir

ce que vous en pensez. Cela nous aide, la compagnie et moi, àgrandir et à répondre à vos besoins. »

• S’il s’agit d’un exposant : « J’aimerais en savoir plus sur votrecompagnie et sa contribution à ce secteur. »

• S’il s’agit d’un étudiant : « La compagnie et moi-mêmecroyons qu’il faut assurer la continuité dans notre secteur. »

• S’il s’agit d’un fournisseur : « J’aurais peut-être intérêt à ensavoir un peu plus sur votre produit. »

Étape 3 : Faire preuve de réalismeC’est une simple explication pour mettre les choses au clair. Dans

ce cas, dire : « Nous avons un petit problème. La direction du salonme dit que nous pouvons nous attendre à plus de 1 500 visiteursdans les heures qui viennent. Si nous entamons une conversationmaintenant, nous serons interrompus à tout bout de champ. »

Étape 4 : Passer à l’actionLa dernière étape de cette technique est de préparer un plan

pour l’avenir. C’est aussi une bonne façon de vérifier le sérieux duvisiteur. Voici quelques offres possibles :

• S’il s’agit d’un client : « Le salon finit mercredi et je devraispasser dans votre ville au début de la semaine prochaine. Nouspourrions prendre rendez-vous et vous me direz ce que vous enpensez en prenant un bon café ? »

• S’il s’agit d’un exposant : « Ici, au salon, je me concentre surles visiteurs. Si quelqu’un se présente au stand, je devrai vousabandonner sur-le-champ pour les accueillir. Nous pourrionspeut-être prendre un verre après la fin du salon ? »

• S’il s’agit d’un étudiant : « Je suis très occupé en ce moment.Après 17 heures, les choses vont se calmer. Pourquoi ne pasrevenir à ce moment-là ? »

• S’il s’agit d’un fournisseur : « Je ne peux vraiment pas melaisser distraire de mes objectifs. Pourquoi ne pas me donner uncoup de fil la semaine prochaine ? Nous pourrons passer quelquesminutes sans interruption à explorer le potentiel de votre produit. »

Se libérer ne se fait pas naturellement, cela s’apprend. En ne lefaisant pas au bon moment, vos employés de stand n’utilisent pasà bon escient les possibilités de croissance qu’offre un salon.

• • •

Reproduit avec l’aimable autorisation de l’auteur. Barry Siskind estle plus grand expert d’Amérique du Nord sur les salons pour profes-sionnels et consommateurs. Il est le Président de l’InternationalTraining and Management Company et l’auteur de plusieurs livres.Visitez son site Web : www.siskindtraining.com ou envoyez-lui un cour-riel à [email protected].

Solutions du Sudoku page 10

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La concurrence forceApple à revamper iTunes

De Leo Gervais

Les chiffres sont stupéfiants : 60 millions d’iPods et 1,5 mil-liard de chansons vendus aux États-Unis seulement.

Eh oui !, depuis novembre 2001, iPod et le logi-ciel qui l’accompagne ont créé tout un émoichez la génération numérique. Avec unepart de marché incroyable de 76 pourcent des lecteurs MP3 et, tout aussiextraordinaire, 88 pour cent dumarché des téléchargementslégaux de musique aux É.-U., ilest difficile de voir commentun concurrent pourraitreprésenter un défi sérieux àla domination d’Apple dansce domaine.

Mais certains sont prêtsà tenter le coup.

Récemment, le servicemusical Rhapsody deRealNetworks (le plus fortdes concurrents d’iTunes)annonçait le lancement de sonpropre lecteur, développé con-jointement avec San Disk (ledeuxième fabricant de lecteurs, loinderrière).

Microsoft entre en jeuavec Zune.

L’iPod pourrait aussi devoir affronter un autre rival sérieux,Microsoft, qui lance un nouveau lecteur appelé Zune en novembre.

Il sera vendu par Microsoft et, comme l’iPod, sera intégré avecun logiciel d’accompagnement et un magasin de musique en ligne.

Alors, que fait Apple devant l’arrivée de cespetits nouveaux ?

Pour commencer, Apple a redessinéles iPods Nano et Shuffle, coupé les

prix ou augmenté la capacité detous les modèles, ajouté des

jeux en couleurs et la lecturede films sur l’iPod stan-

dard et amélioré la lumi-nosité de l’écran.

Il paraît que les nou-veaux iPods vous endonnent encore pluspour votre argent et quele nouveau logicieliTunes et la nouvellefonction repérage de

l’iPod sont des innova-tions géniales.

Sans compter la nou-velle caractéristique Cover

Flow, une autre façon devisionner votre musicothèque en

faisant défiler les pochettes desalbums associés aux chansons. Si

vous n’avez pas les pochettes, iTunes 7ira les chercher en ligne gratuitement. Sans

aucun doute maintenant, l’iPod reste le numéroun de l’empire MP3.

Sur le Web : www.apple.com/itunes.

OCTOBRE 200620

Page 21: Octobre 2006

Les vols intérieurs coûtent plus cher

Selon une étude récente d’AmericanExpress, les clients d’affaires paient pluscher que jamais depuis la fin de 2001. Lerapport affirme que le prix moyen du billetd’affaires a atteint 247 $US contre 218 $ en2005. Au deuxième trimestre de 2006, lesprix ont grimpé de 13 pour cent par rap-port à la même période en 2005. Amexexplique la hausse par des facteurs commele nombre croissant de voyageurs, lahausse du prix du carburant et unedemande forte pour les places et pour leschambres d’hôtels. Par comparaison, lesbillets économie à prix réduit, aller seule-ment – qui représentent la majorité desvoyageurs – ont grimpé à 101 $US au deux-ième trimestre, une hausse de trois pourcent par rapport à la période de l’annéeprécédente.

Les É.-U. plus souplessur les liquides

À la fin du mois dernier, la U.S.Transportation Security Administration a

annoncé que les voyageurs en partanced’un aéroport américain pouvaient désor-mais apporter des articles de toilette et descosmétiques format voyage (maximum 3onces) 90 grammes ? à condition qu’ils tien-nent facilement dans un sac à fermetureéclair d’un litre. De plus, après avoir passéla sécurité, ils pourront apporter à bord desboissons achetées dans les zones sécuriséesde l’aéroport.

Pour voyager sans problème, l’agencerecommande de ne pas surcharger votresac de cabine et d’apporter juste assez deliquide pour la durée du vol.

Finie la fatigue dudécalage horaire

Le nouveau 787 Dreamliner de Boeingva aider les passagers à arriver à destina-tion plus frais et dispos. La compagnie afait des recherches sérieuses pour établirles conditions de vol optimales – éclairage,pressurisation, humidité, qualité de l’air,etc. – qui les aideraient à vaincre ledécalage horaire. Parmi les innovations :un système d’éclairage qui peut simuler lelever ou le coucher du soleil dans la cabinepour aider les passagers à s’habituer au

nouveau fuseau horaire, plus d’oxygène etd’humidité et un système de filtration quiélimine les composés nocifs des produitsde beauté comme les parfums qui con-tribuent à augmenter la sensation defatigue et de déshydratation. Northwest etContinental, entre autres, l’ont déjà com-mandé. Il devrait être disponible à la mi-2008.

Philly, la prochaine àécraser

Le maire de Philadelphie, John Street, arécemment signé une loi qui interdira defumer dans les restaurants et les bars de laville qui servent de la nourriture à partir dejanvier. L’interdiction ne vise pas les cafésterrasses, les établissements de tabacs fins,les clubs privés et les tavernes dont aumoins 90 pour cent des ventes proviennentde l’alcool. Toujours dans le monde dutabac, des chercheurs à l’école de médecinede l’université du Colorado rapportaientrécemment que les admissions à l’hôpitalpour des crises cardiaques à Pueblo(Colorado) ont chuté de 27 pour cent dansles 18 mois qui ont suivi l’adoption par laville d’une loi interdisant de fumer.

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POUR VOTRE INFO

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Super Loge au Centre BellVous planifiez d’organiser un événement pour une quarantaine

de personnes. Vous cherchez un endroit où amener vos invitéspour les divertir et se régaler pour une soirée. Le Centre Bell deMontréal vous offre la possibilité de louer une super loge lors d’unspectacle ou d’une partie de hockey. Un buffet peut être servi danscette même loge où vous serez accueilli par ailleurs par des hôt-esses qui veilleront à votre confort et serviront les consommationsà vos invités. Pour plus d’information, veuillez communiquer avecMonsieur Jim Northcott au (514) 925-2534 ou visitez lehttp://www.centrebell.ca/fre/seating/luxurySuites.cfm

Nouvel hôtel au centre-villeLa chaîne hôtelière Le Dauphin ouvrira son premier hôtel sur

l’île de Montréal en décembre 2006. Il sera situé en face du Palaisdes congrès au coin des rues Viger et de Bleury. Ce nouvel hôteloffrira un ordinateur avec accès Internet haute vitesse sans fraisdans chacune de ses 72 chambres et suites. L’hôtel sera aussientièrement sans fumée. Au bonheur des planificateurs de réu-nions, on y trouvera quatre salles de réunion pouvant accueillirjusqu’à 20 personnes chacune. Pour plus d’information, composezle 1 866 646-0110 ou visitez le www.hoteldauphin.ca

Redécouvrons nos racinesSaviez-vous que les intérêts étrangers s’approprient de plus en

plus nos fleurons québécois et canadiens? Pensons à Labatt qui estmaintenant belge, Molson, devenue américaine, sans parler deSleeman et Unibroue qui ont été ravi par les japonais. Nous aimeri-ons suggérer aux planificateurs d’événements qu’en plus desgrandes marques pourquoi ne pas ajouter une touche locale à leursévénements ? Découvrez les microbrasseries québécoises tellesMcAuslan, Boréale ou encore MicroBrasserie Charlevoix. Si vouscommandez de l’eau minérale, pourquoi pas de l’eau Ste-Justine enplus du Perrier ? Du côté des vins et alcools, certains vignobles duQuébec, de la Colombie-Britannique et de l’Ontario se démarquentdont l’Orpailleur, le Cep d’Argent, Inniskillin, Jackson-Triggs etSunnybrooke Farm Estate pour n’en nommer que quelques-uns.Vous pouvez y trouver de remarquables vins, sans oublier les

fameux vins de glace. La Face Cachée de la Pomme a été le premierproducteur de cidre de glace au monde. L’audiovisuel n’a pas étéépargné non plus par ce phénomène de mondialisation : Corpav etTelav sont tous deux aujourd’hui sous la coupe texane, mais de pluspetites entreprises locales vous offrent le même équipement et sou-vent un service plus personnalisé.

Service de mise en forme flexible auHyatt Regency Montréal

Le Hyatt Regency Montréal a annoncé le lancement d’un nou-veau service de remise en forme dans le cadre du concept Stay Fit(Gardez la forme). Les clients de l’hôtel pourront désormais avoiraccès sur une base 24 heures, tous les jours, à un centre d’entraîne-ment offrant divers programmes de conditionnement physique etdisposant d’équipement ultramoderne.

Le concept Stay Fit repose à la fois sur une sélection de pro-grammes de conditionnement physique et sur l’utilisation desmachines de musculation et cardio-vasculaires de la société LifeFitness les plus récentes. Même loin de la maison, les clients pour-ront continuer leur remise en forme. Des bracelets GPS sont aussià la disposition de ceux qui veulent aller courir en ville. En plus deles aider à retrouver leur chemin, les bracelets leur permettront desurveiller leur rythme cardiaque et de mesurer la distance parcou-rue. Visitez le www.montrealregency.hyatt.com

Tourisme d’affaires et de congrès : les RÉGIONS du Québec tirent leurépingle du jeu

L’Association des bureaux de congrès du Québec (ABCQ)dresse le bilan 2005 des événements majeurs tenus dans les 19 villesmembres de cette association. Les statistiques ont été compiléespour les événements et congrès de plus de 50 nuitées. En 2005, lesparticipants à des congrès et événements majeurs ont dépensés 84482 330 $ à l’occasion de 1 702 événements et congrès, soit une aug-mentation de 7 % par rapport à 2004 alors que ces dépenses s’éle-vaient à 78 439 910 $ pour 1 539 événements et congrès.

ICI ET LÀ

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Dans l’industrie du tourisme, cela se traduit par 298 333 nuitéesconsommées dans les 19 villes membres de l’ABCQ. La duréemoyenne pour ces congrès et événements étaient de 3,1 nuits. Laplupart des activités recensées se sont déroulées dans les périodesd’avril à juin et de septembre à novembre, ce qui permet de pro-longer la saison touristique estivale et contribue à l’essor de la vieéconomique régionale.

Bloquer le signal des cellulairesLes français viennent de passer une loi autorisant les

exploitants de salles de cinéma, de concert et de théâtre à mettreen place des brouilleurs de signal téléphonique intentionnels. Cesderniers parasitent les ondes des appareils cellulaires etempêchent toute communication. Le Canada et les États-Unisdevraient également se pencher sur la question. Ce système sepropagera probablement à d’autres endroits, tels les hôpitaux, leséglises, les écoles. Ainsi, il n’est plus nécessaire de sensibiliser lesgens à éteindre leurs appareils lors d’une prestation ou dès lorsque les téléphones présenteraient une nuisance.

Agrandissement de l’Hôtel Château-Laurier de QuébecUn nouvel agrandissement pour cet établissement est en cours,

il sera doté de 92 nouvelles chambres et suites, d’une salle de balet de dix nouvelles salles de réunion. À cela, s’ajoutera une piscineintérieure et des jardins extérieurs paysagés. Ne pas confondre cethôtel avec le Fairmont Château-Laurier d’Ottawa.

Pour informations, consultez le www.vieuxquebec.com

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Téléphone : (514) 844-2000

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• La toute dernière technologie• Un environnement ergonomique• Une cuisine exceptionnelle• Plus de 3 500 chambres d’hôtel à votre portée.• 19 salles de conférence polyvalentes• Un auditorium ultramoderne de 730 sièges fixes

Le Centre Mont-Royal au cœur de Montréal. Un centre multimédia pour conférences et événements spéciaux. Pour que vos conférences atteignent des sommets inégalés.

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DE MITCHELL BEER, CMM

MPIFoundation Canada (MPIFC) offre deux nouvellesbourses annuelles pour aider les professionnels cana-

diens de la planification de réunions qui obtiennent le titre deCertified Meeting Professional (CMP) ou le certificat GlobalCertification in Meeting Management (CMM).

Le Conseil de la fondation a approuvé à l’unanimité les critèresde la Bourse d’études Anna Lee Chabot à la fin d’août. La date lim-ite des candidatures pour la bourse de 2007 est le 12 janvier 2007pour le CMP et le 28 février 2007 pour le CMM.

La bourse porte le nom d’Anna Lee Chabot, CMP, Gestionnairedes réunions et des événements au Collège royal des médecins etchirurgiens du Canada, en reconnaissance du rôle crucial qu’elle ajoué dans le lancement de la fondation canadienne. L’initiative apris racine l’année où Mme Chabot a assumé la présidence inter-nationale de l’association. Puis, Mme Chabot a fait partie du pre-mier conseil d’administration de MPIFC.

« Je n’étais pas seule. »

Dans une récente entrevue, Mme Chabot plaisantait en disantqu’il est rare de voir une bourse porter son nom pendant qu’onpeut encore apprécier cet honneur. Mais elle a ajouté qu’elle était «très touchée » de voir le fonds devenir réalité.

« Je réalise que je n’y suis pas arrivée seule mais il a fallu quequelqu’un s’engage. Beaucoup de gens y ont travaillé ensemble etd’autres personnes de la Fondation MPI et au sein du personnelMPI ont vite vu le potentiel du projet. »

Mais le Président de MPIFC, Mark Hope, a souligné que laFondation n’aurait jamais vu le jour sans Mme Chabot.

« Anna Lee a été le catalyseur », dit-il. « Elle a vu les possibil-ités et a su partager cette vision avec des collègues qui sejoindraient à elle et poursuivraient le travail. Vous n’avez que 12mois pour accomplir quelque chose pendant votre présidence,mais l’exploit d’Anna Lee vivra pendant des années. »

L’essentielLa Fondation verse :- Jusqu’à 750 $CAD à un membre Canadien de MPI qui a pris

une part active dans sa division locale, qui répond aux critères duprogramme et qui réussit l’examen de CMP dans un délai de deuxans après sa candidature initiale.

- Jusqu’à 3 000 $CAD à un membre Canadien de MPI qui a prisune part active dans sa division locale et dans d’autres formationsde l’industrie, qui répond aux critères du programme, qui soumetun plan pour partager ses nouvelles compétences avec des col-lègues et qui réussit le programme de CMM dans un délai de deuxans après sa candidature initiale.

Vous trouverez une liste exhaustive des critères requis sur lesite www.mpiweb.org/CMS/mpiweb/mpicontent.aspx?id=5193.

OCTOBRE 200624

De nouvelles bourses d’étudespour la formation dans lesecteur des réunions

Les planificateurs nous voient. N’ont-ils pas besoin de vous voir ? Appelez-nous au (514) 849-6841 ext. 331

« J’ai lu Le Planificateur du début à la fin... »« Je prends toujours le temps de lire Le Planificateur...»

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Faire toute la différence Mme Chabot se dit satisfaite des critères retenus pour les

bourses.« Je crois en la crédibilité et l’importance d’obtenir des titres qui

aident les profession-nels les plus engagésdans le secteur des réu-nions à se démarquer »,dit-elle.

« Exercer une profes-sion, c’est une chose.C’en est une autre d’en-treprendre le processusde validation quereprésentent les titresde CMP et de CMM, dese mesurer à ses pairs età un corpus de connais-sances. Je ne connaisaucun CMM ou CMPqui n’ont appris à resterou devenir humbledevant tout ce qui leurrestait à apprendre. »

Elle a ajouté que les critères, comme les programmes de CMPet CMM, reflètent le mélange de connaissances et d’expérienceconcrète dont dépend le succès des réunions.

« L’obtention des deux titres dépend non seulement de labourse mais de l’expérience dans l’industrie », dit-elle. « C’estcomme ça que j’ai appris à connaître ce domaine et c’est la raisonpour laquelle je trouve tellement stimulant le fait que la Fondationencourage les gens à se lancer. »

Mitchell Beer, CMM, est Vice-président marketing de MPIFoundation Canada et Président de The Conference Publishers, Inc.,www.theconferencepublishers.com.

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Une motivation pour lesacteurs de notre industrie

Anna Lee Chabot

Pour que l'évenement le plusbanal devienne une aventure, il faut et il suffit qu'on se metteà le raconter.

Jean-Paul Sartre

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OCTOBRE 200626

Ordre d’importance Sites Hôtels Services

1ER Location Prix Recommandation

2IEME Prix Location Prix

3IEME Recommandation Recommandation Site Web

4IEME Publicité Site Web Publicité

5IEME Site Web Publicité Location

L’enquête du planificateur du mois d’octobre révèle l’im-portance qu’attachent les planificateurs au prix, au lieu,

aux recommandations, à la publicité et aux sites Web dansleur recherche d’un site, d’un hôtel ou de services événe-mentiels. Le tableau suivant démontre ce que les planifica-teurs, selon notre enquête, considèrent du plus au moinsimportant lorsqu’ils font leur choix.

La question était : En tenant compte de leur disponibilité, quelfacteur influence votre choix d’un fournisseur plutôt qu’un autre ?

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