maconnerie - cloisons - carrelage

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Le pack nnasonnerie cloisons carrelage

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Page 1: Maconnerie - cloisons - carrelage

Lepack nnasonnerie

cloisonscarrelage

Page 2: Maconnerie - cloisons - carrelage

Les matériaox de corlstruction 5Les liaots : cirrlerlt, chaux 12

Les granolats : sable et graviilons 14Les techniques de base 1 5

e carreau de plâtre 35Les principaux types et caractéristiques des carreaux cle plâtre 36

Dimernsiornnemect cles cloismns et raicjissezrs 43V ise en ceuvre des carreaux de plâtre 45

L.A F'LAQUE DE PL/VF?E 61Caractéristiques de la plaque cle plâtre 61

La cloisofn en plaques cle plâtre 62Divers types cle cloisons et leurs performances 64

M ise ern ceuvre des plaques de plâtre sur ossature métallique 70

CarrelerLG carrelage 77

L-A POSE AU SOt- 83Prèriminaires et contrôies avant Ea pose 83

La pose 88L-A POSE VURALE 1O5

Commerlt et par où commencer ? 105Carreler une fenêtre 111

Carreler une baignclire 114es cclupes particulières 1 1 5

Le jointoiement 1 16

Page 3: Maconnerie - cloisons - carrelage

La m açonnerie

Page 4: Maconnerie - cloisons - carrelage

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AVANTPROPOS

La f'?nallta/nr?ec/'e, c'esl-à-d/he ILIrt Je bâtili a pris une s/kn///car/bm proverblàle qui montre bien/7rrlpcl/-larpce que Iui ont acctydê /es hommes, de tous temps. A//e#re en œuvre (%s matérlhux deconstructiorb Ies sc)//'(/ar/b.er pour former au bout (/tJ Compte un ouvr&ge ()tJ/ r/'erlrle Ceboul r'ës/ls-tant e! durable, voilà quel est Ie sako/h-fake dt/ maçon que (( I'on reconnaît &u p/'ec/ du murpi.

Ce savoir-faire repose sur Ihpprentissage et I'exercice c/e techniques précisez dof?r Ihcquisi-tion est accesslble (') tous. Dhutant que, de nos ybt-/rs, /es outils et /es produits modernes tnffrer?lau pta/-l/ct//rer /es posslbilités et Ies moyens de faire ilrescpe? nussi bien qt/e /e professionneLLe monde de 1& maçonnerie est //nmerse et Ies exemples de ré&llh&tions innombrables. Cet

ouvrage a pour l)tpr de former Ie lecteur aux pcoctjd:s Je base (w/' seront F??/ts en pratique au lra-vers c/e quelques exemples. Des exemples qtJ/' pourront Iui serk'/h de modè/es dans Ia conceptionet Ia fabrication des ouvrages (w )'/ souhaitera mellre Iui-même en chantier ou dont 11 bot/c/ra com-prendre et surveiller Ia réall%ation.

Page 5: Maconnerie - cloisons - carrelage

Les Grecs, puis 1es Romains, coqnaissaient Ia terre cuite, mais c'estseulement au VIlI'' siècle qu'elle fait son apparition en France sous la formedu carrelage. En effet, Ia possibilité de meuler I'argile afin de former desbriques et des carreaux de formes géométriques régulières. a permls dedisposer très tôt de matériaux de substitution à la pierre.La terre cuite produite aujourd'hui industriellement donne un produit très

répandu en raison de la facilité avec laquelle on peut Ie mettre en œuvre etde son be! aspect.Les multiples possibilités de façonnage de la pâte d'argile permettent la

fabrication de plusieurs types de briques : pleines, creuses, en carreau, enbloc, etc. Chaque grande catégorie comporle de nombreux élémeqts detailles et de formes diverses répofldant aux exigences d'ouvrages divers.

LES BRIQUES11 existe trois principales variétés de briques : Ies briques pleines de pa-

rement, les briques pleines ordinaires et les briques creuses. que vouschoisirez en fonction de quelques critères. La plupart présente des dimen-sions standard.

LES BRIQUES CREUSESDes cloisons verticales et horizontales compadimentent I'espace inté-

rieur de ces briques, ce qui leur a valu l'appellation de r< briques creuses n.Ces vides, représentent 40 % du volume de l'élément, ce qui en fait un ma-tériau Iéger et maniabie.Le volume d'air emprisonné dans 1es briques, une fois ie mur monté,

joue le rôle d'isolant thermique. Ainsi, les briques creuses peuvent servir àla construction des façades, avec éventuellement un doublage isolant.Elles doivent étre dans ce cas, recouvertes d'un enduit de mortier. contrai-rement aux briques pleines qui. elles, peuvent rester apparentes.11 existe trois principaux types de briques creuses, aux formats et aux

caractéristiques variables, classées selon Ieur résistance tt i'écrasement. tl

savoir : I 40 bars 7 ll, 60 bars ', 111. 80 bars.Les voici :

- les briques creuses courantes per-mettent de monter des murs extérieurs oudes cloisons intérieures ',

les briques tl galandages (dites aus-si <( plâtrières >') servent surtout à la cons-truction de cloisons de doublage (On peulpar exemple associer briques creuses enextérieur et briques plâtrières en doublageintérieur, avec un isodant entre tes deux ma- Liyomts'e oy ooL;L:e cret/sf?tériaux ou tout simplement une Iame d 'air) ', ;2 x ,?5 x / i?. 5

1es briques à rupture dejoints, appelées ainsi parce queIe joint entre deux briques ne sefait pas entièrement sur leurface en contact dans la mesureoù elles présentent une dépres-sion qui emprisonne, une fois lemur monté. une lame d'air surtoute Ia Iongueur de la rangéede briques.

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Des éléments spéciaux taci- 1 -- ' .' 'Iitent Ia Iiaison en angle entre . *. . i. .deux murs, Autres éléments '' ..'. . .. .a'particuliers, tels, les conduits de * 'fumée (boisseaux), etc. ' . .n u.,.t,. . - z

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Page 6: Maconnerie - cloisons - carrelage

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PRINCIPAUX TYPES DE BRIQUES CREUSES

BRIQUES t CARACTIRISTIQUES EMPLOIBriques courantes ) Longueur : 22 cm. Maçonneries intérieures

t Hauteur : 10,5 cm. ou extérieures.( lpaisseurs : 4 ; 5,4 ', 7,5 ; Doivent étfe recouverles

1 10,5 cm. l'un enduit.jl Nombre de pefforations Pour mur porteur, à condi-' variable selon I'épaisseur. tion que Ia hauteur du murj

1i mesure 1 5 fois la Iargeur!i i de Ia brique..X - .---

Brlques plâtriqres ; Longueur : 40 cm. 1 Pour cloisons intérieuresIou à galandages j Hauteur : 29 cm. j ou doublaje de murs.

( lpaissetlrs : entre 2,5 et 5l 5 5 cm

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l , kk Assemblage au plâtre, auj mortier le chaux ou au lmortier bâtard ' jamals dej 'ciment.fBriques à rupture de joints j Profil particuller prôsen- Pour maçonneries exté-l tant une djpression sur rieures,! toute la Iongueur : celaIpermet de censerver une lIi Iame d'air supplémentaire, l! ce qui renforce i'isolation. 11

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LES BRIQUES PLEINESDites .ç de parement ,' quand elles sont destinées à rester visibles. Dans

ce cas, elles doivent êtres résistanles aux intempéries si elles sont desti-nées à I'extérieur. Elles coûtent plus cher que 1es briques ordinaires. quielies servent à toutes Ies padies cachées de l'Ouvrage (les murs devantètre recouverts d'un endult par exemple),Les briques pleines permettent de monter rapidement un muret, un pe-

tit barbecue, et peuvent aussi servir de revêtement de sol, pour une alléede jardin par exemple. Dans ce domaine également, la normalisation im-pose cedaines règles, comme la résistance au gel et au feu (ia résistancedes briques ordinaires se situe à près de 1 200 OC mais pour Ia construc-tion des foyers de cheminée ou de barbecue servez-vous de briques ré-f rkh (lt él i rll 6;').

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LES BRIQUESSPéCIALES11 existe enfin des briques

de tormes spéciales. En voi-ci quelques-unes ' chaperonsou demi-ronds de couronne-ment. boutisses ou panne-resses arrondies des deuxcôtés ou bien d'un seul, re-tours d'angle intérieuf ou ex-térieur. tétes de mur, briquespour murs cintrés, perforées(pour aération). etc.

v-'Ukelkïole det'lôclufes perfctre'es u

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PBINCIPAUX TYPES DE BRIQUES PLEINES

BRIQUES CARACTIRISTIQUES 1 EMPLOI

De parement Coloris et finition rouges, I Murs de façades, cloisons,jaunes, grises ', mates ou j lerrasses. allées, etc.vernissées. I

Décoratives 1 Traitement de finitfon per- . Habillage des montants1 mettant d'obtenlr de nom- i d'un barbecue ou d'unei breux coloris : blanc

, rose, cheminée jardinières ma-l ,l rouge, beige. etc. çeonnées, muret décoratif.1 1

U ' ---A enluire Les mèmes caractéristi- ' Tout ouvraje destiné à1

1 ques 9ue 1es briques cou- être recouvert d'un enduit,1 fantes

.1 11 >-Réfractaires Haute résistance au feu, j Spécialement conçuesjë 1 paur Ia construction desl 1 foyers (cheminèes ou bar-1ù j jltxjjqsj.I ,

Page 7: Maconnerie - cloisons - carrelage

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LES CARRELAGESSans entrer ici dans Ie détail, on ne saurait omettre de dire que Ia terre

cuite est évidemment I'un des matériaux traditionnels entranl dans Ia tabri-cation de carrelages très beaux et résistants si I'On a afffaire tl de la terrecuite grésée.

E' LE' MENTS SPE' CIAUX

La terre culte existe enfin sous Ia forme d'entrevous et de poutrelles, ma-tériaux entrant dans Ia réalisation de planchers (d'un usage complexe : itest préférable de faire inter-venir un professionnel pour Ieur mise en œuvre),de claustras (éléments ajourés qui se montent au modier, comme desbriques), etc.

Cietnerîts spéc/at/x en Jerre cclfte ptlrrnetCar?lpar ex6wpp/e cle rda//se/' urî c/at/sl//.

LES BRIQUES DERE' CUPE'RATION

Elles sont plus recher-chées pour Ieur aspect quepour Ieur prix de revient, cer-tes modéré puisqu'elles ontdéjà servi. Vieillles, elses s'in-tègrent mieux à un ouvrageancien que des briques neu-ves. Mais avant de 1es em-ployer, tàcher de connaîtreIeur provenance d'où vousdéduirez Ieurs qualités etleur résistance (elles doiventêtre ingélives si elles serventà I'extérieur), h défaul, voustrouverez dans Ie commercedes briques artificiellementvieillies sur Iesquelles vousserez exactement renseigrléPour nettoyer Ies briques

de récupération, utilisez unciseau de briqueteur pourenlever Ies restes du vieuxmortier et un nettoyant spé-cial pour Ies taches (moulliezIes briques avant d'appli-quer le nettoyant).

Le béton est un matériau qui, outre I'utilisation que I'on en fait pour lecoulage des dalles et autres ouvrages, entre dans la fabrication d'éiémentsdestinés eux-mémes, après assembtage, à constituer murs et ptanchers.C'est ainsi que l'on lrouve des parpaings, des hourdis, des poutrelles et desIinteaux prêts-à-l'emploi, des blocs, etc.

LES PARPAINGSDe forme parallélépipédique, comportant des alvèoles intérieures, iIs

s'emploient courammenl pour Ie montage des murs extérieurs ou intérieurs(murs porteurs Ou de refend). 1ls existent en plusleurs épaisseurs (5, 10, 1 5ou 20 cm).Comme 1es briques creu-

ses. les parpaings apportent . -ne isolation thermique non . .e ' ' 'unégiigeable en raison de leur . ' . ' ' ' ' ' . .*

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alvéoles intérieures. Moins .- = '. % ' ' . ' l *chers que les matérlaux na- ii;;it ,z . . ' .

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turels, iIs sont aussi moins ' ' . . ziesthétiques et doivent être,pour cette raison, recouverls .d'un enduit, qui Iui-mêmepourra ensuite recevoir Ia fi- .nition de votre choix

HOURDIS,POUTRELLES ETLINTEAUXDes poutrelles en béton

ferraillées de différentes lon-gueurs, permetlent de cons-truire rapidement un plancheren Ieur associant des hour-dis.Les Iinteaux en béton. né-

cessaires pour Ies ouvertures(portes et fenêtres) sont éga-lement de dimensions varia-bles pour s'adapter aux diffé-rentes ouvertures. L'emploide ces éléments préfabriquésvous tera gagner beaucoupde temps.

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La France est un pays très fiche en gisements de pierfes (0n dit aussit< crus à:). On compte en effet plus de 200 variétés extraites, auxquelles ilfaut ajouter toutes celles que nous importons (Ie marbre italien par exem-ple). Provenant de roches calcaires, siliceuses, argileuses Ou voicaniques,ces ditférentes catégories de pierres, taillées pour la construction, sont sé-lectlonnées pour leur résistance (mécanique et au gel) et selon Ieur dureté.la difficulté à les taillef et encore potlr leur aspectSi cela est cornpatible avec vOs projets, il est préférable d'utiliser les

pierres provenant d'tln gisement proche de votre domicile aussi bien pourintégrer la constructlon au terroir que pour éviter de Iongs transpor'ts oné-reux (Ies professionnels établlssent Ies chantiers de taille à proximité descarrières). Voici quelques-unes des principales catégories de plerres.

LES PIERRES CALCAIRESElles sont classées selon leur dureté et bénéfloent d'un coefficlent AFNOR

(les plus dures. dites tx très dures et extra-dures ,à , ont Ie coefficient 1 4)Elles sont formées de grains plus ou moins serrés. ce qui détermine Ieur

résistance Choisissez-les en fonction de l'utlllsation que vous voulez en faireElles se prêtent à des décors rustiques car jeur beauté dépend de la ma-tière elie-même.Le calcalre est un matérlau de constructton courant : cutre Ies pjerres

taillées, on Ie connaît aussl sous Ia forme de moellons et de pierres prétall-Iées : on I'emptole aussi comme agrégat.Les moeslons présentent des tormes irrégulières. contrairement aux

pierres taillées. Au moment de Ies mettre en œuvre. il faut donc Ies sélec-tionner en fonction de la place qu'ils doivent occuper dans I'Ouvrage de ma-çonnerte. On a souvent recours aux moellons, par exemple pour la cons-truction des murets

LE MARBRELe marbre est un matériau superbe C'est une pierre calcalre dont le vei-

nage est mis en valeur par dEfférentes opératrons de pohissage qtli Iui donnentpar allleurs cet aspect brillant caractéristique. 11 en extste de différentesteintes. souvent mêlées hormis pour Ies blancs et les noirs qu1 présententdes tons uniformes. En outre. $es marbres sont classés selon leur texture(marbres cristallins. brocatetles et cipolins) On rencontre plusreurs centalnesde variétés de marbres, ce qu1 vous obligera à faire votre choix sur pré-sentation d'échantillons ou sur catalogue. N'hésitez pas à. prendre Ies con-seils d'un marbrier car il s'agit d'un matériau onereux : autant ne pas fatred'erreur. . .

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LE GRANITC 'est une roche siliceuse. D'une résistance proverbiale, le granil existe

dans des variétés toutes très dures. Cependant. plus Ie grain de Ia pierreest f in. plus ceste dernière est dure. On en trouve daos de nombreusesteintes (dont le grls souris provenant de Bretagne). Le granit cependant estune pierre poreuse (pius c)u moins selon Ies vafiétés). qui exige par consé-quent des traitements préalables suivant Ies utillsations et 1es expositions.Les fioitions peuvent donner à. ta surface du granit un aspect brillant (quk

rehausse Ie veinage) Ou mat (adouci). On trouve aussi des granits presen-tant une surface rugueuse (obtenue par fsammage t)u par bouchardage).

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LE QUARTZITE11 s'agit également d'une

pierre siliceuse. Le quartziteest très dur et imperméable.11 offre un aspect caractéris-tique de par Ia présence,dans sa structure, de petitesparticules métalliques. Sa ré-sistance vous permet d'envi-sager son utiiisation danstoutes Ies situations.

LE SCHISTE ARDOISIERL'ardoise est une roche argileuse. Comme chacun sait, elle est imper-

méable et offre une bonne résistance (cette dernière varie suivant sonépaisseur). En France les plus célèbres sont Ies ardoises d'Angers, deDeville. de Fumay, de Cattemoue, de Renazé de Sainte-Anneq,, Elles pré-sentent toutes des teintes variant dans 1es gris.

QUELQUES CONSEILS AU SUJET DES DALLAGESToutes les catégories de pierres que nous avons présentées dans les

pages précédentes peuvent servir de revêtement de sol où leur beautépeut êlre mise pleinement en valeur. Certaines s'y prêtent cependant mieuxque d'autres, en raison de Ieur dureté et de Ieur résistance. Vous pourrezIeur ajoutez Ies dalles en pierre reconstituée, utilisables aussi bien en inté-rieur qu'à I'extérieur.Choisissez Ie matériau en fonction de l'emploi auquei vous Ie destinez

et Ia région que vous habitez. évitez par exemple les pierres trop poreusespour l'extérieur. ot) le geI risque de les faire éclater, ou pour la cuisine. oùelles risquent d'être irrémédiablement tachées.Attention aussi aux surfaces glissantes Iorsqu'elles sont mouillées : ne

1es placez pas sur un Iieu de passage teI qu'une allée, ou sur Ies bords d'unepiscine.En revêtement de sol, la pierre est présentée en carreaux et en dalles

de formats, de formes (pas toujours régulières) et d'épaisseurs variables.Réfléchissez bien ,'j I'appareillage que vous souhaitez donner au dallage.Sachez qu'il est parfois possible de faire taiiler des dalles sur mesure.

RemarqueL'art de bâtirLongtemps /'arl Je /a

construction a rés/t/é dar?s I/a sélection des (ormes

j des p/erres dar?s fe butcpe ces dernières s 'as-sembient parfaitement lestkrpes aux autres. C'est Iecas de ces murs de p/ys' res sèches, parfois .') pei-ne ajustées .' Ia Jckperlle

/a/lsse enlendre que l'on I1 pouva/'t juger de /a réus-slte de Ia construction auchant du vent entre Iesj pièrres. . . Pas de Itànt, toutl au p/ts un peu d'argile1 bloquait 1es pierres

. Ma,àl /a solldité n 'était pas ce//eque nous exllgeor?s au-Iourd'hui.LA LAVE

Un matériau d'origine volcanique que I'on trouve surtout dans Ie centrede Ia France, en Auvergne, dans Ia région des puits. La pierre, qui peut étreémaillée, oflre des chaînages particulièrement décoratifs. Sa pose cepen-dant présente quelques difficultés en raison de Ia tragilité du matériau. Perres dtl dallane.

Page 10: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Les blocs de béton cellulaire sont à recommander pour Ieur rendementthermique et leur facilité de pose. De dimensions variables (iI est néces-saife de distinguer les blocs porteurs de carreaux non porteursl, ies élé-ments de béton cellulaire présentent l'un des meilleurs compromis entre larésistance mécanique et Ies perfofmances thermiques (épaisseurs : 5, 1 0.1 5 ou 20 cm selon les régions). Plus le bloc est Iéger, plus sa résistancemécanlque (réslstance à la compression) est faible. mais son rendementthermsque meilleur.Les blocs de béton cellulaire sont faciles à utiliser. On les monte à joints

épais de mortier. mortier-colle (poudre falte de ciment blanc. de chaux. desable et de rétenteur d'eau : toute pféparée. il suffit de la gâcher au mO-ment de Ia pose) qui donne tt la construction davantage d'homogénéité.En dehors des blocs et des carreaux, le béton cellulalre se présente sous

la forme d'éiements spéciaux qui permettent la llalson de deux murs enangle. Ces biocs d'angle sont munis de cavités cylindriques dans Iesquellœpassent les armatures métalliques. Cela permet de constituer un chafnagevertical.D'autres carreaux de bèton cellulaire servent à t( habiller >, cedalnes par-

tses de maçonnerie. comme un linteau en béton armé. Leur emploi dans cecas donnera tt Ia construction un meilleur aspect d'ensemble.

Le béton cellulaire sera recouverl. en finition, d'tln enduit au plàtre à I'in-térieur et d'un enduit épais au modier à I'extérieur, dont la couche de fini-lion pourra être remplacée par un revétement plastique épais prêt-à-l'em-ploi et normalisé. (Attention : un certain nombre d'enduits d'imperméabili-sation de taçade ne peuvent ètre appilqués sur Ie béton cellulaire. Ren-seignez-vous auprès du détaillant otl Iisez bien la notice d'emploi avant

Moulé en carreaux ou en plaques, le plâtre est un matériau de construc-tion très largement répandu. il est omniprésent dans Ies aménagements in-térjeurs.

LEs CARREAUX DE PLATRE. ); . , . . . . .1 . .7 . '

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LEs PLAQUES DE PLA-TRE. ., . C S . .' ; k '.L L J J) L ' 'J f 'F . '. . I F 9.TS L ' r l x t ' ' t .' . $ l ' :' ' : ! f ! ' 5 ; 7 g 1 ; : ! ' ' ' ' ' . ( ' : ' .' ' ( 7 v 2 .7 : : 1 C

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h noter, qu'ii existe aussi des plaques isolantes : il s'agit en fait deplaques ordlnalres mais doublées d'un isolant (Iaine de verre, polyuré-thane. polystyrène expansé). L'avantage est ainsi d'isoler un mur ou un pla-fond lout en disposant d'une suuace de plâtre apte à recevoir un revéte-ment. L.e côté isolant est généralement coilé contre le mur. L'épaisseur dé-pend de celle de l'isolant.11 existe bien d'autres types de plaques de plàtre, telles que celles avec

pare-vapeur, Ignifugées. spéciales charpentes. etc.

12 b-'n,ït:ïr1(? tit; -t)..'7)/l c)L?:tq/ ,()/é? (?t7t? (/il ;)?Ji. t.' ë? -- tri) rltp':k 6) f? L)'(? /) L)Ib'L;:'ç? !/)ca.?? ta2) J7a4)1?eê4t/ zoffpostte ' ;.)laLllle (2e JJ/pila) .. t'LDlvstyrel:e E?.î'/.lar?se.3) .rlnarl.r-.ea:; Jtlrrwoslle olclue ':7e p/cùtre - Ja/rle de rocize4) rlari,qeat.' '--o'nposite ' plazlk:e (Je p/ér.r6 .z. /a/rle Je velre

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Page 11: Maconnerie - cloisons - carrelage

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En béton, parfois avec parement de brique. ou en pierre reconstituée, iIspermettent de monter rapidemenl piliers, murets. dallages. etc, IIs s'as-semblent au mortier ou au béton, comme les autres malériaux de maçon-nerie. 11 sont aussi faciles à transpoder qu'à poser.Chapeaux de murets, éléments de couronnement et de pilier, taillés ou

bosselés sont particulièrement intéressants car iIs dispensent de lravauxlongs et délicats. Les éléments modulaires forment Ia structure du pilier, àl'intérieur duquel il suffit de couter du béton (sans oublier Ie ferraillage) aufur et à mesure de Ia pose des éléments qui se superposent Ies uns auxautres.

Pour les sols, les pavésautobloquants en padiculier,ou d'autres éléments préfa-briqués permettent Ia réali-sation de terrasses ou d'al-lées sans qu'il soit néces-saire de couler une dalle. ilexiste des pavés de couleursde formes, de dimensions etde matériaux variables.

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Présentant une épaisseur d'1 à 2 cm, Ies plaquettes de paremenl sontsoit en béton, soit en terre cuite. solt en plâtre. Dans les deux premiers cas,elles peuvent étre utilisées à l'extérieur. Ce matériau évoque. selon Ies mo-dèles, Ia pierre, Ia brique. Ie moellon (brut ou taillé), l'ardoise, etc.

Ces plaquettes, d'un em-ploi très facile. permettentd'habiller rapidement une

.- . cloison ou une façade. Ellese. .1 .z ' ' se posent un peu Comme4( -.. deS Carrelages, Ce qui Sup-'

; pose de préparer correcte-. ment le support, qui doit être

'' plan et sain. L.a fixation se'.. c falt à I'aide de colle (de qua-' ,q- . iité différente selon que Ia

. :'.. , . pose est envisagée à I'iqté-s #' ' . .k , , ' fleur Ou à I extérleur), Ies pla-'' '

quettes étant régulièrementl .'' g.. e espacées i l'aide de Cales

de manière à ménager Iesintervalles nécessaires pourréaliser Ies joints,

jjj;!g. . . .ù..ât .v. . . . a:llly . Ne. NK---S-UX---.J. w-- x--e 1-**7 . j k.w.1,oo . . Xx W' . ' à . '* % . id h s . >xi '. . .< ',*' . . > ; ' E '.. - .H t 1 . $.

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Page 12: Maconnerie - cloisons - carrelage

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une même roche à dominante calcaire, dans le second, mélangés selon undosage précis. 11 reste que Ia proportion de calcaire étant de Ioin Ia plus im-podante, Ies cimenteries sont. le plus souvent. installées à proximité descarrlères. cela pour des raisons pratiques et économiques évidentes.Mélangé à de l'eau, Ie ciment forme la pàte plastique et onctueuse que

l'on connaît et qui durcit rapidement en séchanl. 11 donne alnsi une trèsbolnne cohésion aux constructions, il est lmperméable et permet d'obtenirde hautes résistances mécaniques et chimiques, supéfieures à celles de Iachaux (voir plus Ioin). On ajoute : du sable (parfois de Ia chaux) pour fabrl-quer du mortier '. du sable et des graviers pour fabriquer du béton.En additionnant au ciment des produits tels que Ia chaux. Ia pouzzoiane,

etc. . On obtient des ciments dérivés comme le ciment de Iaitier, à la pouz-zolane. aux cendres. etc. Ces différents ciments Offrent des qualités et desdegrés de résistance différents. ce qui est indiqué sur Ies sacs. Le tableauvous en donne un aperçu. Enfin notez que certalns ciments sont particu-lièrement adaptés aux sols.

CLASSIFICATION i DISIGNATION RISISTANCE1 1CPA Ciment Porlsanj adificiel. 1E

CPAL Ciment Portland artificlel . 250 à 50O bars* '. à retenirI au laitier, 1 pour la fabric-ation du be' ton,

cpcA ! ciment Portland artificiel Il aux cenjres. !l ;

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CPALC Ciment Podland artificielr j! au laitier et aux cendres. E:! '.

CLK Cimen! de Iaitier au klin- 1. 150 à 300 bars.ker. I

I!Ct.x Ciment de laitier à la ' 100 à 250 bars.i .I chaux, :ECM Ciment à maçonner. i 100 à. 250 bars.

CN Ciment naturel. I 1 60 bars.1

' I-E tlé?r eb': 1 t''rlrl.:.i? Làie rnestlrl.'.q (ht ...J? res/sz/pc..'.? rTf/qlalhkltve / /.)af 'z ' . 3)2 lkg t'r'l tes .c'é-.'.:,.%ss'.r';'I'w1.tf''Srpa' I'e.Gl J'yv.'.b '.ztè'':?r-!Ji?.' !? ûte C,/a''' '' 'r..r. 'c'6.h.'; a?K'.'':!''!f:hp '?iï.' ctarlrrlnel/f.? cdrre :

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Les matériaux de construction sont assemblés à I'aide de produitsqui, durcissant en séchant, donnent sa solidité à I'ouvrage. Ces pro-duits malléables (mortiers ou bétons) sont eux-mêmes préparés avecdes liants hydrauliques : le ciment et Ia chaux. Pour Ies bétons, Ie ci-ment permet de (ï lierl) Ie sable et Ie gravier ; pour Ies mortiers, iIs sontfabriqués avec du sable et du ciment ou de Ia chaux.Contrairement à Ia chaux ou au ciment, le plâtre peut être employé

seul, sans autre matériau. Malgré cette padicularité, le plâtre est unliant (à utiliser pour I'assemblage des carreaux de brique, par exem-ple) à part entière. Notez toutefois que certains ciments peuvent êtreemployés seuls : c'est Ie cas, par exemple, des ciments de scellement.

Le clment est une poudre qui forme une pàte au contact de I'eau et dur-cit en sechant. ce qui lut permet de solldarlser les matériaux de construc-tion entre eux. 11 en existe deux catégories principales : Ie ciment naturel etIe ciment adiflciel La première comprend un certaifn nombre de produits quidiffèrenl par Ieur composttion el par Ieur réssstance.Le plus connu des ciments est Ie ciment Podland artiflciel. qui tlre l'orl-

gine de son nom de I'île de Porttand d'où est extfaite la roche calcaire en-trant dans sa composition. Le ciment est en effet un mélange de calcaire.d'argsle, de fer et de magnésie (ces deux derniers constituants en faiblequantité). La dltférence entre Ie ciment artificiel et le ciment naturel tient aufait que ces divers composants sont, dans Ie premier cas. contenus dans

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INFORMATIONSUTILESLes sacs de ciment podent

une série d'indications (lettreset chiffres). Les Iettres rensei-gnent sur les constituants duproduit (voir tableau page ci-contre) tandis que Ies chif-fres indiquent Ia résistance àla compression exprimée enbars. Enfin, Ies sacs portentle Iabel de conformité auxnormes (tous Ies produits nesont pas normalisés) repé-rable aux fettres NF (NormesFrançaises). Ce label est dé-Iivré par I'AFNOR. D'autreslettres parïois viennent ac-compagner ces dernières, ré-vélant qu'un autre organismea approuvé le ciment. Parexemple VP, pour Ville deParis,

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I'b/larquage c/e classificatlon c/es sacs c/e c:-ruenr.

Dans Ies trois premiers cas. il est donc utiiisé pur ', dans Ie dernier cas.il est mélangé à du sable (iI existe des mortiers prêts au gâchage qui dis-pensent de Ie mélanger au sable '. bien pratiques mais à réserver pour lespetites quantités en raison de leur cot)t plus élevé).Par atlleurs. certaines qualités de ciment peuvent être employées uni-

quement en poudre sur le modier (chape) pour en accélérer Ia prise.Enfin, il faut noter que les proportions

données plus haut peuvent varier selon letype de ciment utilisé et l'usage q u'on lui Aitentio'n-- y ..- ..- .- . .. .- ..-

destine : Ies fabriquants fournissent géné- ----- -----'-, 1) Gare à I humidité !ralement les recommandations nécessaires. iSi kot/s devez srtlckerDans tous les cas. si ia quantité de ciment ides sacs de cl&?e?pl, ne lesdétermine sa résistance. il ne faut pas dé- ' 1posez pas corlfre un rnt-?/- !passer 2 volumes de ciment pour un volumeni Jkecfemenl sur /e sol. !de sab Ie . ,

, , rrlalà Couchez-les s&r uiîe 'Pour le foyer d un barbecue Ou d une I. pa/elle. !cheminée, utilisez du ciment réfractaire. . :

La chaux est un Iiant dent l'emploi est connu depuis des siècles. AvantIa mise au point de Iiants présenlant des qualités mécaniques supérieures,la chaux était utilisée en quelque sorle comme un Iiant d'appolnt, pour don-ner à un mur de pierres, par exemple, une meilleure tenue. Elle se présentesous forme de poudre qui. mélangée à cle l'eau, donne une pâte souple etonctueuse qui durcil en séchant. Cette poudre est produite à partir de cal-caire et d'argile (seulement 10 oo d'argile) cuits ,'j hatlte température.La chaux est un liant qui présente moins de résistance que Ie ciment :

elle doit être réservée aux constructions sujettes à peu d'efforls.Les mortiers préparés uniquement avec de ga chaux, dits (t mortiers de

chaux )), sont d'tln emploi pltls facile : plus souples, ils durcissent pit?s len-tement, mais attention une fois secs, ils ne sont pas Imperméables.

UTILISATIONS ETPROPORTIONS XPRIVOIRLe ciment sert aux scelle-

ments et aux rebouchages(3 volumes de ciment peur1 volume d'eau), aux join-toiements de carreiages, oubafbotine (1 volume de ci-ment pour 1/2 volume d'eau),à la préparation de modiers(1 volume de ciment pour2 à 3 volumes de sable se-Ion Ies destinations et 1/3 devolume d'eau).

Dépose Lz'e y'a tmrbofine e/$ pfntoement Jecarrelage.

Page 14: Maconnerie - cloisons - carrelage

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UTILISATIONSEn maçonnerie, on utilise de la chaux hydraulsque, qui fut commerciali-

sée pour Ia premlere fois en 1 853. et surtout Ia chaux grasse (chaux viveéteinte par hydratatlon en usine ; attention : Ia chaux vsve. dangereuse. nedoit pas étre employée). Après hydratation. Ia chauy grasse (ou 4: chauxblutée ,h, 4' hydrate de chaux ), ou encore, techniquement, <z CAEB 'à pourChaux Aérienne iteinte pour le Bàtiment) est réduite à I'état de poudreSous Iequel elle est commercialiséeCetle chaux est surtout Intéressante pour la réalisation des enduits car

elle est imperméable tl I'eau de plule tout en Iaissant Ia maçonnerie respi-rer. Son imperméabilité peul être renforcée par I'incorporation d'une résined'accrochage à l'eau au moment du gàchage. En outre. la chaux présentepeu de retrait au séchage et, pour cette raison, ne se fissure pas. Le sableincorporé à la chaux Iui donne un aspect coloré et légèrement granuleuxqu, donne à l'enduit un caractère rustique très esthétique.Pour obtenjr un modier facile à travailler et présentant de plus une

bonne résistance. on procède souvent ,'j un mélange de chaux et de cimentdans des proportlons variables selon Ia destination du Iiant. NI mortier deciment. ni mortier de chaux, mais un peu des deux, le résultat est appeléï( mortier bàtard >' .

NORMES ET CONDITIONNEMENTLa chaux est dlsponible en sacs de 50 kg Ie plus souvent. Vous lrouve-

rez cependant des conditionnements contenant une quantité (4 kg) adap-tée pour les petits travaux. Chaque sac pone des indicatioqs renvoyant tlune normalisation précise. Ces lnformations portent aussi bien sur les qua-lités du produit que sur Ia référence à Ia norme établie par I'AFNOR.Cholsissez tes sacs présentant cette mention.

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Le ciment et Ia chaux ne sont utilisables seuls (dilués dans de l'eau)que pour des utilisations bien spécifiques et sur de faibles épaisseurs.Le plus souvent, il faut Ieur associer du sable et padois du gravier, etmême des cailloux pour donner aux matériaux de construction uneIiaison plus solide. 11 s'agit de ce que I'on appelle granulats (ou agré-gats), des matériaux qui, agglomérés par Ie ciment et/ou Ia chaux,vont former Ies mortiers et Ies bétons.Le choix du granulat n'est pas du tout secondaire. 11 doit être par-

faitement résistant au gel, à l'humidité à l'abrasion. Vous aurez par1conséquent intérêt à vous procurer les granulats auprès d'entreprisesspécialisées. Ces matériaux doivent être en effet calibrés précisément :Ieur granulométrie est mesurée avant Ieur commercialisation ce quiTpermet de Ies classer selon Ies didérentes utilisations.Pour toutes ces conditions, il est préférable de s'adresser à des

spécialistes plutôt que de ramasser n'impode quoi.

NoteN6 Avis techniques et DTULes Jltl/zr/es frarnaltes 1/V/L) sont classées en trois catégonès : expikpk

menla/es, enregistrées el homologLiées. Un ce/-laph nombre d'entre ellesso/n! obllù3tares. celles traltant en part/ctplèr de produits ou d'apparetllagedont ia mise erp p/àce peut ëlce source de dangers.Les DTO (Docunîents techrliques tkrpl/és) sont des textes céd/piis par

des cclrprr//lsszr?s de spéaà//sles, sur des prcdtpts et des stéels traitantdes öornaînes lracllrnne/s du bâtiment. zqprès leur éîaboration, ces (Act/-merîts sont ptztn//és dal,s /es Cahiers dtp CSTB (Centre Soentitique etTec/lf?/twe du éblrrpent.Le Chalnp otkk'erl er?lce I'Invention d'un produit et sa normalisation est

cclt/k'ert par t/r? .t avs rec/lrljcpe > érrarlar?l d'une commlYsion de contr6le.L'iaws de cette comrrlpàs/c)rp est pris er? compte par Ies Assurances.

11 ne faut pas utlliser n'importe quel sabie. et surtout pas de sabje d'ori-gine argileuse. dont la composition chimique attaquerait Ie ciment.On peut utiliser du sable de rivière et du sable de carrjère. parfaitement

propres et débarrassés de limon, de vase et de scories de toutes sorles.Pour vous rendre compte de l'état de propreté du sable avant de I'utiliser.frottez-le entre vos doigts. S'il y laisse des traces, iI faut Ie Iaver : c'est I'unedes conditions essentielles pous obtenir ensuite un béton ou un mor-tier ho-mogène et donc solide.Généralement le sable commercialisé est toulours un peu humide. Cer-

tains fabricants proposent cependant du sable sec en petit conditionne-ment (1 ,5 kg). maîs qui n'est pas destiné à Ia fabrication du modier ou dubéton.

LE SABLE

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HUMIDITE' ET FOISONNEMENT DU SABLE

Soyez attentif au degré d'humidité du sabie car cela peut avoir desconséquence sur Ies propodions, Entreposez le sable sous abri, sur unplastique ou une plaque de tôle, en attendant de l'utiliser. Le sable secharge toujours d'un peu d'humidité au simple contact de l'air. ce qui a poureffet d'en augmenter Ie volume, Ce phénomène est appelé xr foisonnement 'h.Le foisonnement courant du sable est de I'Ordre de 20 %: c'est-à-dire

que i'humidité en augmente Ie volume d'un cinquième. 11 faut en tenir compteau moment du mélange avec le ciment et Ies graviers quand on fabrlque dubéton (avec du ciment seul quand on prépare du mortier).

k' cc- g f-uo g y A k' 1 i t. o N .3m. ... à . . 1 Lx .

Les gravillons entrent dans la composition du béton, en plus du cimentet du sable (et de I'eau bien entendu), lIs Iui donnent sa consistance. sa so-Iidité et sa résistance. Compacité et solidité du béton varient selon Ia gra-nulomélrie du gravier que l'on classe sous trois catégories : grosse,moyenne et petite. Pour Ies bétons couranls, Ie gros gravier suffit.On utilise du gravillon de carrière Ou de rivière, blanc, marron Ou gris, de

3 tt 5 mm. Outre sOn emploi dans Ie béton. il peut servir à rendre uln s(7l anli-défapant : pour cela, On l'intègre à la cou-che supérieure des dalles, avant séchage, Remarquepar projection. ses co/orantsLe gravier utilisé pour la fabrication du // esl posslble Je coIO-

béton doit ètre correctement Iavé, pour être irer LlanS Ia rnasse, le.% c -débarrassé de la gangue argiieuse. Ces .ments

, tlélclfls, endutts,impuretés nuiraient à l'homogénéité du bé- fâtres; etc, ce qui peutton. La particularité du béton que réalise pvjter certajr?s tra-vous

l'amateur est de présenter une granulomé- vaux de petbture. Les co-trie tç discontinue '). c'est-à-dire qu'ii com- loraots se présentent sousporte des agrégats très fins (sable) et d'au- j rrf;e de poudres (/u'j/Ia (?tres plus gros et de différenls calibres (gra- j tt ivcorporer aox ?'r?é-atviers), Cette variation entre Ies différents Ianges. O?7 peut aj/-ls/ co-granulats ne se retrouve pas dans les bé- Iorer sa/ps peine leS en-tons fabriqués industriellement, à granulo- ,duits de façade ou (# lhté-métrie continue, plus résistants ', mais le bé- rieul Jes dalle

.% Je 'erras'-ton à granulométrie discontinue offre une se

, /es so/s de garages,résistance suftisante. elc

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Gâcher du plâtre ou du morlier, préparer et coffrer Ie béton, mon-ter un mur de briques fait appel à quelques techniques de base dontla maîtrise vous permettra d'envisager ensuite des réalisations pluscomplexes.h première vue, rien de plus facile que de gâcher du plâtre ou du

mortier ; il suffit de mélanger Ie matériau, qui se présente en poudre,à de I'eau. Mais un gâchage mal fait donne des mortiers qui, en sé-chant, se fendillent et se craquèlent ; des plâtres qui adhèrent mal,s'écaillent ou s'effritent.

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Page 16: Maconnerie - cloisons - carrelage

L'EAUC'est I'eau qui provoque la prise du produit. L'auge dans laqueile le mor-

tier est préparé ne doit pas I'absofber sous peine de voir Ies propodionsmodifiées. C'est pourquol il faut utiliser une auge en plastique.11 faut utlliser de I'eau propre et froide, car Ia chaleur accélère la prise

des itants. L'eau du robsnet convient

LES BONNES PROPORTIONS Remarquv --On parlera de propodlons, c'est-à-dire I Mortier coloré

du rapport entre 1es volumes des dlfférents I Pour leS CréDIS fpr/e-composants. car il n'est pas simple de pe- 1 tés c'l /a t/rolienlle) ou tler'-

I tains jolntoiements Jéco-ser !es produits sur un chantier. !Le dosage des ingrédients entrant dans 1 rattfs. 'zot?s oourrez c/p(?/s/r,

j pojwzIa composition du mortier dépend de I'utili- I de colorer /i? morte:l ce/a, il rat/r timoworer lesation prévue pour ce dernier, donc de la i colorant au moment de leréslstance exlgée. Un mortser grosster com- i préparatton du morf/br (laporte beaucoup de sable : 91 est molns ré-

istant qu'un mortier fabrlqué avec une pro- I dose Jéper?d de l'intens/téspodion de ciment plus impodante. i Je la teinte dés/rtje). PourLe foisonnemen! du sable ou le tasse- I Obtelltr deS Couleurs

' ' 1 franches, il est préfératl/ement du ciment. I infguence de I humidité l d

e se serkfr de cimentatmosphérique, la qualité de S'eau sont au- I tlanc.tant de facteurs qui peuvent modifier les 1volumes et Ia qualité du mortier. Aussi Iesproportions indiquées ne sont-elles qu'ap-proximatives.Pour doser le plus correctement possible. utilisez le même récipsent pour

Ies difïérents composants. Servez-vous par exemple d'un seau ou d'un potde yaoud selon Ies quantités de produits que vous devez fabrlquer. Cer-tains tabricants proposent un sac-doseur bien pratique (Sb Mercier),On pourra retenir Ies dosages suivants :

Pour 10 kg de ciment / chaux

TRAVAUX 1 VOLUME DE SABLE (en litres)- .y- - jM

ur non iorteur (brlques, pierres ou par- .4 20 à 25paings).

Mur porteur (bfiques ou parpaings) 1 5 à 20Brlques creuses, 30

CIMENT OU CHAUX : LE CHOIX DU LIANT- Les modiers de cimenl sont très résistants mais i1s manquent de

plastlclté et sont. pour cette raison, difficiles à mettre en ceuvre : eq sé-chant, IIs deviennent imperméables mais ils se fissurent assez facilement.lis peuvent être utllisés potlr 1es sceliements.

- Les mortiers de chaux se caraclérisent au contraire par Ieur grandeplasticité , lIs sont gras. onctueux et faciies à metlre en œuvre. En séchant,IIs restent permeables tl p'eau et sont assez friables. Les mortiers de chauxétaient autrefois Ies seuls à ètre utllisés dans la construction. IIs convien-nent bien ''k I'assemblage de brlques pour les murels Ou Ies petits Ouvrages.

- Les modlers bàtards sonl faits à base de ciment et de chaux. IIsconluguent Ies qualltés des deux Iiants : plasticité et résistance. IIs Iaissentrespirer la maçonnerse. Ce sont Ies plus utilisés pour I'assemblage desbriques ou des moellons.

QUEL SABLEEMPLOYER ?Entrant dans Ia fabrica-

tion du mol-tier. le sable Iuidonne sa consistance. Ondolt utiliser un sable fin (plusil est fin et plus il faudra decsment) et pal-faitement pro-pre, sans trace de boue oude terre. Si vous avez desdoules sur Ia propreté dusable, tl faut commencer parIe laver a grarnde eau Lessables les plus employéssont Ies sables de carrière etde rivlère.

NofeL.e satn/e de (ner a'at ètre p/-o/lbé tt cause Je .'- sa salh/lè (sauf s '? est /ofpgt-larlenl lavé é) I'eat.l Jot/ce).- sa lir?esse (gra/ns trop f/hs).

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Page 17: Maconnerie - cloisons - carrelage

Remarque '1 ses mortiersprêts-à-. âcher1 J'

IIs yous éviteront d'er-fectLier /es mélanges k'otps-

1. mérpe ce qui est étlrl ap-1 préciable. rnérr?e s? ce/a!. rfloalr p/s's che: Uotys ne1 ferez pas (:/ 'erreur Je o'o-1

,1 sag'e et vous aurez ,a ga-i tie d'ottenir on ton oo-ran1! vrage. ,4 conselller Jtlr?c1 pour /es per/res quantités1 e? aux dtbotants.

Les quantités de sabte peuvent être unpeu plus importantes pour Ies endults carIIs n'ont pas besoin de présenter 1es quali-tés de résistance mécanique exigées pourun mortier qu1 solidarise des matériaux deconstruction ', Ia couche d'accrochage del'enduit (gobetis) doit être néanmoins as-sez fortement dosée en ciment pour bienadhérer au support.Pour Ies chapes. on a besoin d'un mor-

tler très résistant. donc d 'un prodult forte-ment dosé en liant (génératement 1 0 kg deciment pour 1 0 litres de sable) .

LE LIEU DE GM HAGE

Quand on en a peu a pre-parer (pour Ies scellements(7tl Ies petlts travaux de répa-ratloo) . Ie modser est gàchédans une auge en rnatlèrepjastlque blen propre pourevlter qu aucune lrnparete qevieflne se mèler tt la pàteS'ii est nécessaire de gà-

cher plusieurs sacs de ci-ment en même temps. il fautte falre sur te sol en illterpo-sant une feudlle en matièrep ha st Iq u e asse z e pa 1 sse ( ceq u k é v I t e d e s a I ! r I e s s c) i s c i -me ntés ou la petouse et cequl préserve 1es produlls en-trant dans le mortier). Vetlleztl ce qu'aucuq brin d'herbeou parcelle de terre ne vlennesoulller le mélange (1l fauttoutefois ic1 faire exceptlonet citer' par exempie tes rnal-solls eq bauge normandes.dont Or'7 procède à Ia rénova-tion des façades avec un err-duit falt de chaux, de terle etde fibres végétales tels queIes joncs ()u Ia palile).11 existe aussl de grallds

bacs plats en matlère plas-tjque . très pratiques. qul per-mettent de gâcher de gran-des quantités.D'une manière genérale.

le Iieu de gachàge dolt se st-tuer près du chantler peurque Ie mortier solt rnis er)œuvre rapidement.

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LA TECHNIQUE DEGA- CHAGE

Versez sur l'aire (ou dansI'auge) le sable et Ie cimenttou la chaux). Mélangez avecu ne pe lie o u d ' u ne truel I e(pour Ies petites quantités).Pour que Ie modier soit ho-mogène, 1es deux compo-sants dopvent ètre parfaite-ment r'nélangès. Remuez Ion-guement. Ménagez ensuiteun cratére au centre du tas.Versez l'eau de gàchage

dans Ie cratère. sur la poudreRejetez peu Li peu le mé-lange de sable et de cimentd a n s 1 'e a u a v ec la pe I 1 e .Lorsque loute i'eau est re-couverle. malaxez Iongue-menl avec ia pelle, en ha-chant de Ia trarlche de I'outilpour que l'eau pénètre bien.Trop d eau rend le morlperporeux ', pas assez. insupl-samment compact. Uobjectifest d'obtenir une pite oqc-tue u se . 1 1 sse et q u 1 t$e n n ed 'e I le- mê me su r la true f Ie .Vous pourrez alouter un peud'eau en cours d'utilisationpour conserver sa consistan-ce au r'néiange. ât conditionque la prise ne solt pas com-me ncée .

Le modier doil ètre onc-tueux et non grumeieux ', ildoit aussi tenir sur la truellepenchée sans couler. Le do-sage en eau est surtout unequestion de coup d'œil, Vouscommencerez par incorporermoins d'eau que nécessaire,pour en ajouter au fur et àmesufe jusqu'à obtenir I'onc-tuosité voulue. 11 est partosssouhaitable de surdoser Iemélange en eau, par exem-pIe pour Ia couche de finitiondes sols clmentés ou pour Iejointoiement de dalles ou decarreaux de sol. Un mortiersurdosé en eau présente unfort retrait au séchage. alorsqu'un mortier sous-dosé ris-que de s'effriter.Selon le type de liant uti-

lisé, Ie temps d'ouvedure estvariable. Pour ne pas avoirde mauvaises surprises, con-sidérez que vous disposezd'une demi-heure après Ie gâ-chage pour Ia mlse en œuvre.Pour gàcher de grandes

quantités de modier ou debéton. vous aurez besoind'une bétonnière. qu'i! estplus économlque de Iouersauf si I'on a de gros travauxà entreprendre et cela surune longue période.

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En plus du malériel déjà mentionné, un tamis tt mailles fines vous per-mettra de passer Ie sable et Ie ciment, et un seau calibré de doser 1es pro-porlions. Prévoyez aussi une taloche sur laquelle vous poserez une petitequantité de mortier de réserve que vous aurez à portée de main.

F AB R ! C) 'U ER L E B FTON

Le béton est un mortier de ciment auquel on a ajouté du sable et desgravillons dont Ia section est comprise entre 6,3 et 25 mm selon Ia norme.On peut renforcé le béton en y incorporant des fers. On l'appelle alors (< bé-ton armé '>, Les bétons utilisés dans Ie bâtiment se caractérisent par Ia pré.sence d'agrégats de toutes grosseurs, alors que Ie béton préparé artisana-Iement empioie des graviers calibrés d'une seule grosseur, et du sable.IJ existe des types de béton très différents selon Ie ciment utilisé. la tech-

nique de gàchage, ie dosage et Ia mise en œuvre.

LEs COMPOSANTS DU BE'TON- Les agrégats. Les détaillants proposent des graviers calibrés qui

conviennent parfaitement. évitez d'employer n'importe quels graviers quipeuvent être malpropres ou ne pas présenter une résistance supisante.

- Le ciment. Le béton doit présenter une bonne résistance méca-nique ', c'est pourquoi on utilise le plus souvent Ies ciments CPA (Porllandanificiels) de classe 250 ou 325.

RemarqueBéton tout prêt11 est intéressant de se

faire Iivrer dkectement dutlértlrl préparé /'r?J&st#e//e-ment par une entreprisee?n bâtiment quand on aà Construlre une grarldeJd//e bétonnée ou d'ir'n-portarltes éondal/bns. Or)pevt ainsi d/sm ser d'unbéton de qt/alté dont lescaraclér/'sl/qtkes corres-pogder?l exactemertt auxbesoins. 11 faut alors préci-ser l'heure exacte de Ia Ii-vralsoo, el tout préko//'pour ûlre prèt pour Ia crlàee(1 œuvre.

- L'eau. Le volume nécessaire dépendde l'humidité du sable, mais aussi des qua-Iités recherchées pour Ie béton. Essayezd'obtenir un mélange assez onctueux, quine comporle pas de grumeaux (signe d'uneexcessive sécheresse). Un excès d'eaurend par ailleurs Ie béton difficile à mettreen œuvre. Si, après le malaxage, vous es-timez que votre béton est trop sec, vouspouvez ajouter un peu d'eau, mais ajoutezalors quelques poignées de ciment pour nepas compromettre la résistance du maté-riau.

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LE GA- CHAGE A' LABETONNIERES'il est possible de gà-

cher le béton à Ia main, surune feuille en plastlque ou surun bac à maçonner commepour le modier, le gàchagemécanique procure un meii-Ieur mélange des compo-sants et rend Ie travail moinsfastidieux. 11 se pratique àI'aide de bétonnières électri-ques ou à moteur thermtqueDéplacez la machine (elie

est montée stlr roues) le plusprès possible du chantierpour éviter le transpod dubéton. Avant utilisatlon, véri-fiez qtle la cuve est propre.Versez dans Ia cuve l'eau.

le sable, le ciment et Ies gra-vlers dans les propodions qé-cessapres. Inclinez ensuite tacuve à l'horizontale eq ma-nœuvrant Ie Ievier, et faites-ia tourner. Le temps de ma-laxage est assez courl : ilfaut compter environ deuxou trois minutes pour Obtenirune homogénéité satisfai-sante. Un temps de mala-xage trop long a pour incon-vénient de séparer Ies agré-gats (sous l'effet de Ia forcecentrifuge). Pour verser lebéton frais dans le seau oudans Ia brouette, il suffit debasculer Ia cuve à l'aide duvolant.

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NofeBéton blanc1/ s 'ag/f de béton priipa-

ré avec du c/hr/er?/ blanc.On J'utllise Jans un but (%-coratiq par exemple pourte cow/age de Ja//es Jeprdln. // convlent alors dechotàir des agrègals J 'unetelhte adaplée.

La maîtrtse du coffrage vous donnera Ia possibilité de réaliser de nom-breux ouvrages dtfférents. La réalisation de daltes, de Ilnteaux. de piliers,de marches. etc . Implique erl effet Ia construction de coffrage. Le principeen est simple puisqu'll ne s'aglt que d'exécuter un moule dans lequel le biz-lon es1 couté On démoute après séchage. Certains coffrages sont cepen-dant tres difficlles à réaliser et demandent de tenir compte de Ia résistancedes matériaux.

LES COFFRAGEStI existe autant de collrages qtle de formes particulières aux otlvrages de

maçorpnerle

Les coffrages pour béton doivent être étarlches et rigldes, condltion dela planéité des surfaces de i'ouvrage. IIs sont réallsés essentlellement enbois. On utilise généralement des pranches de pin solides et rabotées surle côté tourné vers I'intérieur du moule. On peut également se servir decontreplaqué spéctal coffrage (qualité CTB-X) qui dcnne de très bons ré-sultats (el qui lalsse une surface parfaitement lisse au béton sec).Les coffrages doivenl être solides. On 1es assemble par clouage et on

Ies renforce avec des étais et des serre-joints (Ie béton est Iourd et peut fa-cilement pller une planche trop mince) . Les clous du coprage sont enfon-cés simplement ij deml afin de facillter le déclouage. Vériflez que les anglesdu coffrage sonl parfaitement à 1 'équerre et que 1es planches sont rigou-reusefnent jointlves pour éviter les coulures du produit par les Interstices.L'knstallation d'un coffrage et son jmmobilisation durant le temps de prise

et de séchage du bétc)q rendent nécessaire l'emploi de chevilletles et deserre-joints Je maçon Ces instruments. enttèrement métalliques dolvent, pourtenir. étre planlés dans ia maçonnerie à I'alde d'une massette.Enfln, I'emploi d'une hulle de Jécoffrage est indispensable Erle doit être

appllquée sur Ies faces Irltérieures du coffrage en un fiim égal et continu. Elleautorise Ie démontage du coffrage quand le bélon sera sec

LE COULAGE

Coulez tout Ie béton en une seule fols ($1 vaut mieux en avoir plus quepas assez). Frappez sur les planches du coffrage à coups de massette oude maillet pour (< vibrer Ah le béton afin qu'il pénètre bien tcus 1es angles ducoffrage el qu'il ne subsiste pas de poches d'air. Coulez Ie bétc;n jusqu'à ceque le coffrage soit plepn, puls égallsez avec une règle de maçon, en dé-plaçanl cette dernière sur les chanls supérieurs du coflrage.

Page 21: Maconnerie - cloisons - carrelage

LE DE'COFFRAGE

Le temps de séchageavant Ie décoffrage est gé-néralement de 48 heures : iebéton est alors solidifié, mé-me s'il q'est pas tout à faitsec. Si le soleil est violent,vous devez protéger vos ou-vrages en béton d'une bâchepour empêcher une évapo-ration raptde de l'eau de gâ-chage. ce qui entraînerait unaffaiblissement et des cra-quèlements.

Exemple de décoffrage d'un linteaude porte de garage

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Page 22: Maconnerie - cloisons - carrelage

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LE BéTON ARMéLe béton est très résis- ' . ' '<.

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enrobés rester lnsen-po u rsibtes à la roulile. ce quI auratt pour conséquence Ia formation de taches àIa surface du bèton et des risques d'éclatement.Les fers, iisses ou tréfllés (de 3 a 40 mm de diamètre). sont tordus se-

lon la forme de I'ouvrage et Iiés entre eux paf des f ils de ter spéciaux (Iiga -tures). IIs dolvent i'itre disposés à 3 cm au moins de la surface finie et sontmaintenus distants du fond du coffrage avec des cales de bois (qui sont en-levées au moment du coulage) ou des bondins de béton.Pour étre totalemer)t efficaces. ces fers doivent être formés selon Ia

pièce tt mourer. On doit employer pour cela une griffe à plier, et quelquesgoujons retiennent le fer pendant son pliage. Pour un Iinteau ou un pilierpar exemple, quatre fers sont réunis par des fers pliés en carrés pour for-mer une sorte de pafrallélépipède en volume. Pour une dalle, on se con-tente de fabrsquer une sode de grille à I'aide de fers croisés et réunis pardes Ilgatures

SCELLEM ENTS AU M ORTIER

Pour des petits travaux. vous vous servirez de ciment Prompt. 11 permetde réparer une dalle, de colmater une voie d'eau, de réparer Ia jonctionentre deux canalisations, de fixer une patte de suspension, etc.. Saupoudrésur Ie modier. il permet aussi d'en accélérer la prkse. 11 est très utile aussipour positionner des poteaux dans teurs trous de scellement avant rem-piissage de ces derniers au béton.Nettoyez et moulllez Ie support avant la mise en ceuvre de ce mortier de

scellemeqt dont Ia prise est extrêmement rapide (entre 2 et 4 minutes entreIe début et Ia tio de Ia prlse), Or1 peut I'utiliser en pâte pure (3 volumes pourun volume d'eau), en mortier (2 volumes de ciment. un de sable. 3/4 de v0-Iume d'eau). c)u erl béton (4 volumes de ciment. 3 de graviers. 2 de sableet 1 volume 1 /4 d'eau).

LES SOLS EN BETON

11 suffit le plus souvent de rénover ou d'adapter le plancher existant aurevêtement qu'll est appelé à recevoir. C'est alnsi que I'on doit par exemplemodifier la surface d'un plancher si I'on veut transformer Ia pkèce en cuisineou en salle de bains comme il arrive fréquemment lors de Ia rénovation desanciennes demeures. Pourtant, i! est parfois tndispensable de cféer unnouveau plancher en béton. Dans ce cas, i! faut s'assurer au préalable queIes structures porteuses de la malson peuvent supporler Ie supplément decharge. Le béton employé dans la fabrication de Ia dalle représente en ef-fet un poids imporlant. Par aiileurs. le nouveau plancher prenant appui surles murs. il faut aussl vérifier la solddlté de ces derniers.

LES ZONES SUR LESQUELLES PORTER SON EXAMEN- La nature des murs, qui doivent être capables de suppoder la charge

supplémentaire, d'autant qu'à Ia dalle de béton peut venir s'ajouter un car-relage : tous Ies matériaux ne présentent pas la mème résistance.

- L'état des murs, dont la maçonnerie a pu ètre fragilisée avec Ietemps. par exemple par I'humldité qui peut être à l'origlne de fissures. Gé-néralemen! peu Importantes, ces dernières risquent de s'aggraver sl i'ori-gine du maI n'est pas traitée (infiltrations, mauvais drainage en sous-sol,etc,).Prenez consesl auprès de spécialistes pour déceler les causes de tels

problèmes et faites-les éventueslement inlervenir pour les résoudre. avantde commencer vos travaux. 11 k'aut mieux perdre un peu de temps (et d'ar-gent) au point de dépar't mals travailter ensuite dans de bonoes condi-t io ns .

Page 23: Maconnerie - cloisons - carrelage

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DIFFE'RENTS TYPES DE SOLS EN BEATONUne dalle en béton doit former un soI de bonne qualité surtout si elle doit

servjf de support à dtl carre/age ou du dallage en pierre. Son exécutjonexige beaucoup de soin, mass les conditions de sa réalisation sont égale-ment très importantes, et sont différentes selon qu'il s'agit de couler la dallesur un tefre-plein, sur vide sanitaire ou en étage.

DALLE SUR TERRE-PLEIN11 est possible de réaliser une dalle sur terre-plein (sur un soI en terre

battue. comme Iorsqu'on entreprend la rénovation d'une maison à Ia cam-pagne, ou dans Ie jardin, quand on passe à Ia construction d'une terrasseou d'une allée), à condition que Ia nature du terrain Ie permette ou qu'ellesoit corrigée quand une telle intervention reste réaliste. Les matériaux demaçonnerie étant poreux, iIs ne peuvent constituer une barrière salisfai-sante à I'humidlté. lls Ieur faut des auxiliaires,établir un sol sur un terre-plein n'est possible que si Ie terrain est de

bonne qualité et bien drainé, Sinon, 1es remontées capillaires risquent, à Ialongue, de détériorer votre ouvrage si vous n'avez pas pris la précaution deremédier au mieux à ce handicap.Pour éviter tout risque, il est nécessaire de réaliser un hérisson (couche

de caillasses) de 20 cm d'épaisseur, dans lequel seront éventuellement in-corporées Ies canallsations de plomberie si Ie sol est à l'intérieur.Pour combattre Ies remontées d'humidité on peut avoir recours, en

complément, à une feuille de polyéthylène étalée sur toute Ia surface dusoi, avant de couler Ia dalle. Pour que ce système soit parfattement Opé-rant, faites remonter Ie polyéthylène de quelques centlmètres contre Iesmurs (voir page 25),

DALLE SUR VIDE SANITAIREUne daile sur vide sanitaire présente de nombreux avantages : elle re-

pose sur Ies murs de fondations avec Iesquels elle présente une bonne Iiai-son t elle ne souffre pas d'un contact direct avec la terre. ce qui contribueà Ia préserver des remontées d'humidité ', entin, elle garde Ies canalisatioqsd'évacuation visitables, ce qui peut s'avérer très utile.La dalle repose ici sur les mêmes fondations que tes murs porteurs.

C'est une solution qui est plus difficile à mettre en œuvre, car elie rend iecoftrage et Ie ferraillage de Ia dalle indispensables (contrairement à l'exem-pIe précédent). Mais là n'est pas la principale difficuité.Uqe dalle de bélon armé d'1 ms sUr 1 5 cm d'épaisseur représelnte un

poids de près de 400 kg, sans compter la charge que Ia dalle sera elle-même appelée à supporter (revêtement). Pour que celle-ci ne sublsse pasde déformations, un certain nombre de règles sont à respecter. Voici tesprincipales :

- I'épaisseur de la dalle doit étre proportionnelle à sa porlée, celie-cise mesurant depuis la face intérieure d'un mut' d'appui à Ia face corres-pondante de I'autre mur. Par exemple. pour une portée de 3 m, Ia dalle aura1 2 cm d'épaisseur maximum ', pour 4 m. 14 cm, etc. 11 est évident que l'avisd'un professionnej est indispensable.

- Ia dalle doit être ancrée dans les murs, à des pfofondeurs val'iablesselon la nature de la maçonnerie. Ces caiculs se compliquent dès qu'il s'agitd'implanter une cheminée (et un conduit de fumée correspondant) qui re-présentera une charge ponctueile supplémentaire.Ces points éclaircis, Ia mise en œuvre sera plus simple, méme si elle fait

intervenir la construction d'un coffrage complexe.

PLANCHER EN B/TON SUR POUTRELLES11 présente principalement I'intérét de dispenser des longs travaux pré-

paratoires de coffrage. Les poutrelles sont ici I'élément porteur intermé-diaire du plancher. Ces poutrelles, en treillis métalliqtles, erl béton armé ouen béton précontraint erl forme de T, Ou encore en terre cuite, comportentun canal central où du béton a été coulé.R

emarqueContre Ies remon-

tées capillaires11 existe des produits

qui constituent de vérita-b/es tarrières corlrre /esremontées capj//akes, ap-pe/ées aussi ht/frl/d/ré as-censbrpae//es. Ces pro-(jud.s sont injectés dans lemur Jar)s lequel IIs se po-Iymérisent. // se formeainsi (/r?e résine (?tp' re-potksse /'eat?.

D'autres produits isolants que votlstrouverez dans tous Ies commerces spé-cialisés, vous aideroqt à réaliser un ouvragede qualité et bien protégé de I'humidité :par exemple, des panneaux isolants en po-lystyrène, que i'on pose, dans Ie cas d'unedalle sans vide sanitaire, sur Ie hérisson.par-dessus Ie film de polyéthylène. Pourfaciliter la pose, on peut alors égaliser Iasurface du hérisson avec du sable,

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Une telle solution laisse aussi un vide sanitaire (avec les avantages quenous avons évoqués plus haut) : elle demande une très graode attentiondans Ia mlse en place des poutrelles et beaucoup de précautions dans I'ins-tallation des étals rlécessaires au soutien du chantier.

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1peot présenter des p??cor?-' rvén/ents c/ar/cl/s Jlf9'c!/e- '. i ;mens st-/rrporllata/esI( (amendelnertts ctlosldé- 1'

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Page 25: Maconnerie - cloisons - carrelage

Une dalle en béton peut être coulée à I'intérieur comme à i'extérieur dela maison dans Ies conditions iqdiquées plus haut et une fois les prépara-tifs terminés.Si Ia dal'e doit étre coulée à I'intérieur, commencez par déterminer quel-

ques repères sur Ies murs de Ia pièce. Le sOl étant pour I'instant inégal etprovisoire, servez-vous d'un niveau à fioles pour prendre ces repères, quidoivent ôtre situés à 1 m du sol fini, Dans vos calculs. tenez compte du faitqtl'il faudra inslaller un hérisson si vous intervenez sur un soI en terre bat-tue ', ajoutez à cela I'épaisseur de la dalle (souvent 8 cm) et celle de la cha-pe en cimenl (2 cm) qu'il faudra couier par-dessus.Tracez ensuite sur Ies murs (au cordeau à poudre) Ia iigne reliant Ies fe-

pères pfis à 1 m du sO1 fini.Ces préparatifs vont vous permettre. dans un premier temps, de creuser

Ie sol afin de disposer la couche de graviers Ou de tout-venant (grosse gra.nulométrie) qui vont former Ie hérisson. Si vous devez incorporer Ies fluides(canalisatiens). prévoyez leur emplacement maintenant.

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LE HE' RISSON

11 constitue une couchedrainante (prévenant 1es fe-montées capillaires) et unsupport en même temps. Si leplancher ne doit pas suppor-1er de charges trop lourdes,vous pourrez remplacer le hé-risson par une couche de sa-bIe et de graviers, bien ratis-sée et bien damée (tassée).Remplissez blen I'excava-

tion de pierres, de graviers oude tout-venant et de sable surenviron 10 cm. Comblez Iesvides et tassez fortementpour que I'ensemble soit bienferme et homogène.

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LE COFFRAGE11 est indispensable si Ia

dalle doit reposer sur deuxappuis Iatéraux (au-dessusd'un vide sanitaire) ou si elleest située à I'extérieur. L.ecoffrage soutlent et contientle béton pendant tout Ietemps de séchage. 11 doitêtre solide tout en ne com-podant qtl'un minimum dejoints ', stable. étanche. ré-sistant à I'humidlté contenuedans le béton. 11 doit aussicorrespondre exactementaux dimensions de Ia dalle àcouler.Utilisez des feuilies de

contreplaqué spécial (qualltémarlne ou CTB-X). Mieuxvaut se servir de grandes pla-ques de bois posées sur destraverses plutôt que d'avoirplusieurs jonctions qu$ de-manderaierlt beaucoup detemps de préparatlon (cloua-ge) et qui pourraient pré-senter des défauts de liaison.d'où une mauvaise étan-chéité.

PRE' PARATION DU BE'TON

L'empioi d'une bétonnière est indispensable vu Ia quantité de béton né-cessaire. Faites vos calcuis à partir de l'épaisseur de Ia dalle voulue et vousvous en rendrez vite compte ! Ce calcul vous permettra de déduire les quan-tités de ciment. de sable et de graviers nécessaires. Prévoyez 0,50 m3 desable. 0,75 ms de gravier et 300 à 350 kg de ciment (ciment Podiand artlfi-ciel) par mètre cube de béton.

FERRAILLAGE DU BéTON11 n'est pas toujours né-

cessaire de coffrer une dalle.Les fers renforcent Ia rigiditédu béton et sont, pour cetteraison, surtout utiles si iadalle est suspendue au-des-sus d'un vide sanitaire ou si-tuée erl étage, ou encore sielje dolt subir des efforls im-portants. Dans ce cas, elleest coffrée et ferraillée. Uneallée de jardin en béton de50 cm de large doit être cof-frée mais n'a pas besoin d'êtreferraillée. h l'inverse, pour unchemin de roulement, pré-voyez une dalle armée de1 0 cm d'épaisseur. Une telleépaisseur. renforcée de I'ar-mature, résislera au poidsd'une voiture.L'armature est constituée

de fers disposés perpendi-culairemerlt Ies uns par rap-port aux autres et ligaturésensemble (les Iigatures doi-vent être tourrlées vers l'in-térieur).On peut également utili-

ser un treillis soudé commearmature.

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Remarquem -Un tlor? ylayage do/r

l assurer une Hg/kTfltj sll%t'-l sante pour tpe I'ovvrage.Ol's d(I cotp/ape el Iors C'/tzséchage, ne st-/ln/sse at/-culle c/ièétnrrnalrr?,

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S$ la dalle est coulée surun fllm de polyéthylène, pla-cez I'armature sur Ie film,Les fers doivent être en effetbien enrobés dans ie béton(à 3 cm de Ia surface finie).Pour cela, placez par en-lroits quelques petites calespour surésever I'armature. Parailleurs, si la da6le est coprée.ne mettez jamais l'armatureen contact avec Ie coffrage.Là aussi, piacez quelquescales pour les désolidariser.Ces cales. impossibles à re-tiref après le coulage du bé-ton, seront quelques petitespierres de calibre adapté oudes boudins de mortier ra-pide,Enfin, enduisez ies faces

intérieures du coffrage d'huilespéciale afin de facillter Iedécoffrage.

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COULAGE DE LADALLEAvant de couler te béton,

placez sur Ie s(7l cles guidesqui vous aideront à z< tirer nala dalle, c'est-à-dire à ijgail-ser Ia couche de bétos. Daqsce btlt, ces guides sont deIongues lattes de bols c)u desprofilés métalliques de sec-tion carrée disposés parailè-Iement et installés de sorleque Ieur chant supérieur soktau niveau de celui que I'ondésire donner à Ia dalie. IRé-giez leur hauteur en !es pla-çant sur des piots de bétonde sode qu'elles soient bienhorizontales ' vérifiez-le avecun niveau tl bulles. Mettezautant de lattes que la Iar-geur de la pièce I'exige : neIes espacez pas trop pourtravailler plus facilement (î .'.Déversez Ie béton sur Ie

sol. en commençant par Iefond de Ia pièce car vous al-Iez lravalller en progressantttt reculons. vers l'entrée deIa pièce. Tassez Ie bijton dumieux que vous pourrez puisfaites glisser la règle sur IesIattes guides. en tirant i'ex-cédent de bétc)n vers vous(2 p .Retirez !es Iattes guides

(.')) avant que le béton ne dur-cisse complètement.

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Comblez Ies vides ainsicréés en vous déppaçant ;àreculons dans I'espace 1i-bére (-1 'Si vous avez prevtl une

chape de tpnktltln, llssez som-malrernellt à ia taloclle ' darqsce cas. ha chape de cimentviendra. ern finltlon rattraperles petites Inégalttes.

NoteS1 .le bétfnl'î esl c(()(J(('

Ja.r's tlf? coth'cygle. ''i dr-l//èt/'e k'//a/'t:? a/i'n de lljer?renîolz' !()t// PJ 'espace, sanszdi?. e! d'ètle ?.?/eJ'? L)Lï)133-pact. Cela s 'ob lrefl f e r'(rafïpan t d'cnr/erp?e/-?r f'i?sz'obtés c/'tl cofl'age avec t /??fnalllet.

m - -.- t' éhehhlon :77 II Gare â la perlte ! I)

.La dalie t# t??1e cour ex- i1i lyr/'euce sel'a rèallsce de /a l' ' I; Inèfne faço/? Que ce//e

Ii c8 'Lj ç; t) J?,t? (? (? /r? ! (# c/i? ti rt?, lp?r(é?/6l il fl? tz l Ibli (/tl r? r7t??' (ilï t? ill Iéoère per?le et prévoir 1i ''écoulenîe:ït des eaux

. !tk celre pente sera cfe I'or- 1DE' COFFRAGE l d;e cfe g z .a otv,vm. 1q

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ju.. .- - -..--- - - -Le décoffrage Intervient lorsque ie bijton

a suffisamment durci Le temps de séchage peut varser selon Ies condltionsatmosphérlqtles. St la température n'est pas desceqdue au-dessous de8 =C. vous pourrez décoflrer la dalle 8 Jours après Ie couiage. Ces délaispeuvent être rédults s'il fait chaud. S1 le temps est sec ()u s'$I fait du vent.protégez la dalle en Ia recouvrant car l'eau contenue dans Ie béton s'éva-porerait trop rapidement. ce qul peut nuire à Ia qualité de Ia conslructior!.Un décoffrage trop raplde provoque des épaufrures (petites cavltes) et

Ia formatlon de petltes fissures en surface : un décoffrage trop tardlf estpi us d iffic i le .

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Une chape de ciment a pour fonction de rattraper Ies inégalilés de Iadalle. Cette dernlère. quoique de nlveau et plane. n'a etè que sommaire-ment Iissèe. La chape est donc, en queique sorte. la couche tinare de ladalle. Une chape est faite de modier qui se prépare avec du ciment et dusable. Dans le cas de rénovatloo d'une dalle ancienne. c)n peut aussi utili-ser des produits autellssants (dlts aussi de r' ragreage h>) faciles tl preparer(mélange avec de I'eau et malaxage) et à appllquer (volr plus loln)Une chape est la semelle sur laquelle le revêtement de sclj est posé. Elle

dott présenter une epaisseur de 2 cm Pour Ia realiser. prchcédez de iamême façon que pour Ia dalle. Mettez en place des Iattes guldes ou deScales de niveau. Basez-vous sur les repères de niveau tracés au début destravaux (voir plus haut) et toulours en place.Déversez ie mortier. tirez-le a Ia règle de maçon, et Iissez-te. Laissez sé-

cher huit jours. Tenez Ia pièce aérée et arrosez Ie so1 de temps en tempss'il fait chaud .' une évaporatlon trop rapsde peut en effet entraîner la for-matton de flssures dues atI craquèlement.

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; Veillez .'i votre sécuritéh Ne r%glèt?z pas 'ztllrta sécurité .' pa marp//tt/a-! .. tiLm des malik/lattx et des (?lpl//s compol-le uni h rlombre de r'/àtpes

, lî:spltbw-vou's J&s pré-certa/ .j

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; Cç-jution.'? t-/tke prelloerèt syzsltirsal/r/tztamir! f(4s pl't)-.. h tesslofmels. Les rép/es dél prudence s()/?! stlt/kze/ll !

. . '.' .. . '' ' affaire Je jlon sess dass I'orgallîsatlon dL/ c'/lar)-,f ; t'' '''-: k tter et Jes Sravaux. 11 Jle rau! pas Ies cor?s/c/ijre/'

x .'F. '1% ; comme t/fve contrainte

, ppa/s co,'??/??t? tw? moyen '. . q. j,.j ..-?:', .x. ' 2 pot/r obtel?ir de me///eurs rèsultats.b'

' ' -Q%t ' '' k Pot-tez un casc/tke e! des ahat/ssures rep?-l h. . . . . t ......, f ' .ij, '. ' ' zF? )'$ , ' >'z i forcées (p/ voos p/o/tityero/r! des c/pt/les de plt-s-2. % ' ',..kr :24, 1 j .v..--.. .- * res et autres maténàt/x, Par mesure c/e pruden- .' i

''. . 'i ce, conservez ceb étzt//pernen! dt/rarlt les érapesl de constructlon.i

. .ë - Sl vous Jek'ez travailler en hauteuf éap- q' tes-le stJ/' an so/jde éclvfaudage. Pas d'ë(7/tJ///- !i $

,'- l brisme / 'l Ne lalssez pas rrafrler kos outijs sar le ;

l chant/ec Prenez garde er? palllculier aux J?/s' '. l d'allmentation des fr/ac/p/laes électroportatives .' t .(perceuse. metp/et/se, etc.) : faltes-les cherlwner

) ert hauteur pour vous éviter de k'tx/.'.r prendre /esI p/'eds dedans ou de Ies secr/bpner

' ) - Soyez vinilant au raccordeinent des ou- '' 1 tils èlectrhues : s 'ds sont tnra/lc/lf)s Lb /'ex/ér/etzl t!

/ es! vital (we cela se rasse sur une prse él(ar?-$ /' y' j : . 'che raccorc/ée ,à la terre. N lbte. I-/tanez pmats '1 sv'r t/r? ovtll - pour cr/a/lger une r'nèc/?e ou tkr/e i.1

$1 pame, par exemple - sarls l'avotr Jtptlramc/pt!,. . I Xprè.s utilisatilm, tvtn/-anc/ae.ir ?es almaretis et ;

; , '. '. '. ! ' ? ' ' .. z ' ral?gez-les. 5. ' 1

x' * -- ' / ' ' i - Lors dtp manlement Jes Ou(11.'? te/s Lpe /e.S l' jtzu $ t;' I tzoches, ciseaux, massettes, Jncarle/ers, erc., por- l

't**'-' .b.';:..kCL V ' tez de préffjrence des parprs er des lunettes de 'r 'Q rscc . '';-

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zu I - tecgop. si vocs creusez une sa/potie ou s/ j' y.c . t op .:,.:----- - $ p4..>%- =.. .; I vous ouvrez t/r?e cavité Je scetlement

, léchez r. ' ji de d:dtzre t'etnolacement d'ijkzerptsed's condt///s I- Cè'St/&S i électrinues encastrés. k'ots appcljcferez de porter 1-- i-abtettes c/e ,0,0- l ;I ('ies tyanrs s/ par ?'pttiparc'/e la polnle c/e /a brocher6itl!/C)/r l 1

- ctlattssu.nes Je l Venait 'ù heurter tJ/'? Câble SO&s lfr?s/O?'. . . 7!stcLl:t'îe l - De Ia rlqérr?e taçon. taites allerqt/br? agx ca- l

- Garl/s Je lnanti- nalisatlons erplerrfries (lors de la prëptiral/tm des j'6','lt/Or' folîdations). l-es car?alàal/br?s é/6i-ll/-/c/t/es sont s?L 1i

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L ES M U !q S E N PAR PAl N GS

Les parpaiqlgs sont largement utilisés (parfois abusivement 1) pour Iesmurets extérieurs gros œuvre. comme pour de nombreuses séparatlonsintérieures. 11 est vrai que ces èiéments sont mosns chers que les brsques.qu'iis sont légers et donc faciles tt manipuler. et que leurs dimensions per-mettent de travalller rapldemelltLes principes généraux de mlse en œuvre sont Ies mèmes que pour Ies

briques. Les parpaings sont toujours montés à joints rompus (ou croisés) etau mortler.

IMPLANTATION D'UNE CLOISON INT/RIEUREMARCHE h SUIVRE

Remarque --.-. ; t ' . 1 T . '' ' tfl $ -x- *....''.-'' ' '

/- rracat'?e de niveaki réftke/nce 7 r'?? ) k )7' 2( !.').' h / , t f ''! ? l J h.rq'?J x J'. ? t, t '.' ) 1 ; (? t .' if' .'., :,..,, . .c. .. . ... . s..-, . ,. ?, .; ,:-,...e' .c? 'es/ pas 'mpérattf. rpa/'s // peut par la

:' t': . ... .... ' ' -. ;, . ' t' .-. ' S'uite rnrésterl/e?- u'r7 grand J'rnltkéf si vous' . iIf,'fy.' ''L'r' :'.'ç T ' (Jt.' .f. ! Jysjr'ez poser Lirle c/lcapf je jil/l/()r1 Jyrl

carrelaoe' etc.

Les chants des élémentssont profilés ce qui permetd'obtenir facilement d'excei-ientes liaisons entre Ies ran-gées. 11 est indlspensable decontrôser I'horizontalité et tavedicalité pour chaque é1é-ment mis en place. La coupedes parpaings se fait à Iamassette et au clseau. ou aumartelet .

NoteLe caleplnage .' c'est

l'actlon de relevez ca/cu-/ec reporter et lracer /esmesures Ja/ls /e dorfminede pa construct'on.

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ques) , certasns tabricants ontprévu Ie positionnement, entre deux rangées de brsques. d'une bande deIatne de roche. Dans ce cas. le joint se fera de pad et d'autre de Ia bandeisolante.

Pour les joints, on Iaisseun intervatle de 1 à 2 cmentre Ies briques 1 cm surdes murs en briques appa-rentes. non destinés tl êtreenduits , 1 .5 cm pour 1es bri-ques ordina ires : 2 cm pourles murs en parpaings, quise ra e n d u lt .

LES JOINTS

POUR AVOIR DES JOINTS R/GULIERSS'il doivent rester apparents, les joints doivent étfe réguliers pour pré-

senter un beI aspect. Le mieux est d'utiliser des petltes baguettes de sec-tion carrée que l'0n place sur le bord de Ia rangée que l'on vient de metlreen place (une de chaque côté). Par Ia suite, on peut ainsi remplir au mor-tier l'intervalle entre Ies baguetles. Otez ces baguettes dès que Ie motliercommence à prendre. solt environ 45 minutes après Ia pose. On peut éga -lement utiliser des petites cales de 1 cm de hauteur que I'on met en placepour chaque brique. Les professionnels travaillent évidemment au jugerparce que I'utilisation des baguettes fait perdre du temps. Elle donne ce-pendant I'avantage d'obtenlr des joints parfaitement réguliers.

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LA FINITION DES JOINTSLorsque Ie mur est entièrement monté. Ies joints sont en creux (vide

laissé entre 1es baguettes). Potlr obtenir un effet décoratif . on doit doncexécuter un jointoiement de f inition consistant à. placer un peu de morlier etù former ie joint. Les joints peuvent ètre circulaires en creux. erl sifflet (enbiaish. en refend (droits), ou moulurés selon différents profils. I$s ne doiveqtjamais faire sailiie. Pour faire le joint. commencez par bl'osser ie fond avecune brosse dure puis tt Ie mouiller, Déposez ensuite un cordon de morlierfin dans Ie creux. el donnez-lui sa forme en lissant avec un fer àt joint. Pourcertains murs décoratifs, on utilise un mclrtier blanc tou coloré de diversesntlances). Nettoyez Ie parement des briques de toutes 1es bavures de ci-ment fe plus vite possible '. elles seront plus factles tt élimjner.

LA RINOVATION DES JOINTSLes travaux de rénovation entra?nent inévitablemenl Ia réfection des

joints. Une opératioq qui a tout à Ia fois tln but esthétique et utile puis-qtl'else contrfbue à renforcer le mur.Faites tomber te vieux mortier des joints avec un burin (e1 une massette)

sur une profondeur de 1 à 2 cm environ. Brossez enstlite pour faire tombertoutes les poussières et arrosez Ie mur copieusement pour que la maçon-nerie sèche n'absorbe pas l'eau de gâchage du nouveau modier de join-toiement. Bourfez enstlite 1es joints dtl nouveau mortier, enlebzez l'excédentet formez ies joints comme indiqué précédemment.

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POUR COUPER UNEBRIQUEColnlmencez par marquer

Ie tralt de ia coupe à la craieet creusez tlne entaille sur @esquatre taces ktt petits coupsde la panne du martelet debriqueleur. Séparez ensuiteIes deux morceatlx avec leciseau de briqueteur. d'unbon coup de massette.Un disque à tronçonner

est lrès appréciable pour iacoupe des matériaux creuxson emplos est .'k recomman-der à ceux qui n'auralent pasencore l'expérience du mar-telet .

1.. t. w xa U---.. -., -. A - .., .. . t ,-.4 w' I:c vz t -,. -. .: 7... '..J wo ,.c. zo

La technique est la même que pous' un mUr de briques pielnes. Le travailest cependant plus facite et va plus vite puisque Ies éiéments sont plus gfos.Les constructions de briques creuses sont destinèes à être enduites 7 on peut

donc adopter une épaisseurde 2 cm pour Ies joints.Remarque

,L. appareiliage se fait à IaPour combattre les efflorescences nrecque tioints rompus)

. puis-/? s 'ap/'! Jes lraces Illartchâtres (?Lp ap- - - 'que les briques creuses separii/ssest parfas stkr Ies paremerlls Jes posent loujours en longueurmtkrs en br/ty/es, pierres. tléltln et mêrre (en panneresse)

, jamais eqplâtre. 11 s 'ag/! Je se/st Corltenus Jé7/ls Ie iargeur (en boutisse). Vu lamodlèr ()t# remontent ilr? sulface pors d(? largeur des briques

. on poseséc/?ap'e .' ils stw?t vèhiculés pa/' /'eatp un double cordon de modierqua?lLl ce//e-o s '#raptnre. Pour les erp/e- onctueux de chaque côté deveç ()5 peut esséikeer Ie /ahzape à I'eau .- ta rangée Snfél ieure. et 0r1claire (7(7/ /es (Xssot/r. S? Ies eff/orescen- place Ies briques dessus ences persistent, tkll/sez de I'eau ac/d/rrll- Ies calant à petits coups dupée d'ac/de chlorhytïlriqLle ,f) 5 t?t l I O %.1 ma nche de 1 a true i te

.h pt:l suite (/e ce traitement, r/ncez abon- I pour 1es cloisons i nté-Jarnrpepf (') I'eaL) c/ahe. // faut kfkz/ler zwe C.j rieures. les briques creuses1 'eat/ J?c/c/t/iie ne ptln#lr'e trop ortl/tlndë-' sont montées soit au plâtre,ment Jar?s pa maçonnerie. soit au mortier

.

Page 34: Maconnerie - cloisons - carrelage
Page 35: Maconnerie - cloisons - carrelage

LE DEGRV DE STABILITV AU FEU (S F)C'est Ie temps pendant Iequel un élément podeur assure sa fonction

(sa résistance mécanique sous une charge).

LE DEGRV PARE-FLAMME (P.F.)C'est le temps pendant Iequel un élément de construction est stable

au feu, étanche aux flammes, aux gaz chauds ou inflammables.

LE DEGR: COUPE-FEU (C F.)C'est le temps pendant Iequel un élément de construction est stable

au feu, pare-flamme el où l'élévation de température. côté non exposé aufeu, ne dépasse pas 140 QC en moyenne ou 180 OC en un point.

De par les qualités propres à son constituant principal (1e plâtre)1son mode de fabrication industriel (stabilités dimentionnelles, équer-rage, emboîtements extrêmement précis) sa structure microporeuse,sa mise en œuvre aisée et I'obtention d'une surface de paroi propre etlisse (prête à être décorée), le carreau de plâtre offre des qualités trèsimportantes de sécurité et de confort dans Ie domaine du bâtiment,que Ia construction soit neuve, en réhabilitation ou en rénovation.Ses principales qualités sont :- la protection contre l'incendie,- I'isolation phonique,- I'isolation tbermique,- Ia régulation hygrométrique,- la facilité et Ia rapidité de mise en œuvre,- l'aspect des surfaces.

Les fabricants de carreaux de plâtfe I'appellent qq affaiblissement acous-tique '' . C'est un indice qui correspond à une mesure effectuée en Iabo-ratoire et qui exprime I'isolement correspondant t! un seul élément deIa construction. La valeur de cet indice est généralement exprimée end B (A) r .C'est la forte densité naturelle du cafreatl qtli Iui confère une bonne

isolation sonore.A titre d'exemple, un cloisonnement double prenant erl sandwich une

laine minérale entraînera, outre Urle bonne isolation thermique, I'obtentiond'une isolation phonique confodable voire exigente.

* CSB = Décibel . c'est i'unrté de mesure du brultJB (A) = Décibel A est une mesure physFoioglque quë permet de quantlfler un n1-

veau de brud tei qutti est perçu par I'orelise Le dB #A) expt ime par unevafeur un niveau Je bruit ou d Isolemeqt

Le carreau de pftitre est incombustible et offre une grande résistanceaux flammes. Les molécules d'eau qtl'il contlent s'oppose à I'élévation età Ia propagation de la chaleur. Cette spécificité Iui confère des perfor-mances exceptionnelles telle sa réaction au feu. il est classé M0 incom-bustible.

LA RE'SISTANCE AU FEULe temps pendant iequel les éléments de construction conservent leurs

caractéristiques mécaniques et d'isolation détermine la résistance aufeu d'un matériau.

LE COEFFICIENT DE CONDUCTIVIT; THERMIQUEC'est Ia microporosité naturelle due au gàchage et au séchage du car-

reau Iors de sa fabrication qui confère à ce matériau son faible coefficientde conductivité thermique. 11 s'exprime par la lettre lv (Lambda).

h en W/m O(3

Plus Lambda est petit, plus Ie matériau est isolant.

Page 36: Maconnerie - cloisons - carrelage

LA RéSISTANCE THERMIQUEC'est Ia capacité de résistance d'un matériau au passage du froid ou

de la chaleur. Elle s'exprlme par la iettre R.

IR = valeur résistance thermique en m? ocMl

Plus R est grand, plus Ie matériau est isolant.

NofeI-ln carreau de plntre Je 1 O cm d'tipa/sset//' correspond e5 isolation

f/lerm/kgi) .:) (1n mur erp bétol) de 50 cm.

Gràce à Ia porosité du plàtre. ie carreau est un très bon régulateurd'hygrométrie. 11 est en effet capable d'absorber l'excès d'humidité am-biante mais aussi de la restituer lorsque S'air ambiant est trop sec.

La fabrpcation industrielle des carreaux de plâtre Ieur confère un équer-rage padait, urle grande stabilité dimensionnelle, des emboîtements àrainures et Ianguettes très précis, permettant une mise en œuvre simple,rapide. avec url outillage réduit au minimum

C'est gr âce aux qualités énumérées au paragraphe précédent et avecun peu de soin lors de la pose. que I'on peut réaliser des cloisons ou desparois padaitement rectilignes et verticales.En outre. Ies faces des carreaux étant (par fabrication) parfaitement

lisses, ()n arrive. en soignant le jointoyage, à obtenir des surfaces par-faitement planes et Iisses pouvant recevoir après un temps de séchagetrès court (24 tt 48 hetlres') toutes formes de revétement mtlrai : carrelage,papier pelnt. peinture. etc

De couleur blanche, ii existe en 6 épaisseurs différentes permettantIa réalisatlon de (

contre-cloisons de doublage,cloisons de distribution

. En épaisseur 40 mm : il seraréservé, associé tt un isolant,au montage d'une contre-cloi-son de doublage.

. En épaisseur 50 et 60 mmil sera utilisé en contre-cloisonde doublage et en cioison dedistrtbution.

. En épaisseur 70, 80 et100 mm : il sefa utillsé en cloi-soo de distribution et en cloi-son séparative. Pour la cloi-son séparative, i! faudrait pri-vilégier le 1 00 mm. Dcloisons séparatives,gaines techniques.

Page 37: Maconnerie - cloisons - carrelage

PRINCIPALES CARACT/RISTIQUESDU CARREAU STANDARD

lpaisseur du 1 !40 50 60 j 70 i 80 100

carreau en mm t ;

Dimenslon I 66 x 50 i : 66 x 50 j 166 x 50 I ë 66 x 50 ; ! 66 x 50 j 50 x 50en cm j 50 x 60 ! . 50 x 60

i 1 66 x 38- 1..-.. - )-- , .--.-9. j. -i

. ; j a4poids moyen en kg i I ë 23 j j ajd'un carreau ; i i 21 j t

l ; 261 r - t-- l-- --! t h 2Poids moyen en kg j j

.. 40 50 60 $ 70 ; 80 100ya t, m j y : !

Dureté superficielle ' j2 55 i z 55 a 55 z 55 z 55 z 55en shore (E) j 1Résistance au feu ' '1 '

1 h ' 2 h 2 h 3 h 3 h 4 hdegré coupe-feu ( l g I! : .

Indice d'affaiblisse- : ë .30 34ment acoustique : : 2 38

: 31 à 33 ; j 34 à 37 'CIB (A) .j j.....y...- )

Résistance thef- ! l l q. oc/w 0,1 1 i 0,14 0,17 j 0,20 r 0,23 0,29mique mê 1 I q

-

@ dReprise en eau j 1 j'k 1 > 50 % E > 50 % > 50 % I > 50 %en poids après > 50 % j > 50 cl ;

. 1 i2 h d immersion j 1 ë E

Ahen t jof? I - - .---.-=I-o/'s de Jka colîs:ructon d 't/rpe c/oison. ?/ faut respecter des J/r7?e/?s/or?s i

1//)7p'les en hat/letpc en distal?ce kltlrr/2'(?rlra/i? ou en stp/-face. (;ul tzanerll en t'tpaisseur et r-'l ? lype Je carreaux (Jl///sés. 1toilction de I

1Fot?l L'lépassement Jes ppatylet-//'s ou distances /#'n//es, honkoIltales (')t./ i

' Fsor? Jes rallhssekîrs. // 1e/J sulface dekzr'a bmpèrativeînent lllégrer (') /a c?o ien exlste 3 rkres ('volr ct?ap/rre poteau.f /'a/d/sseurs. paç?e 4,7. i

TABLEAUX DES DIMENSIONS OU SURFACES LIMITESENTRE POTEAUX, PAROIS PERPENDICULAIRES,

RETOUR DE CLOISON OU éLéMENTS RAIDISSEURS

DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUXSTANDARD

é aisseur en rnm 40 ' 50 et 60 ! 70 et 80 1 100P:! '

Hauteur standard en m 2.60 2.60 : 3 . 4iDistance horizontale ! '4 5 ' 6 j 8entre raidisseurs en m 8

' i

11 est toutefois possibie de dépasser ces hauteurs ou distanceshorizontales sous réserve de respecter Ia surface entre élémentsraidisseurs

TOLIRANCES DIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUXSTANDARD

é :palsseur en mm 40 50 et 60 70 et 80 . 100

Hauteur tolérée maxlmum . :Y g 2 3,90 5.20en m

-- (D ; ., spm s jDi

stance horizontale maxi- g. , g j gy 1, (; gtl j.j j 5, ,mum en m . % .g i :

.. . ... . . . s; i . .. . . .... . .- .... . . éik : t... .--- ...... ......j . .Surface maximum entre t:j q '-' I :

. D u? !raidisseurs en m' 1 .

11 est possible toutefois pour certains types de carreaux, de dé-passer ces tolérances dimensionnelles (voir pages 44 et 56).

Exemple . des carreaux standard cle 60 nlm permettent de réallserdes clossons Jusqu'à 3.40 m de haut

t') L.:des clolsons de 5,75 m de Iongs tda sdlrface entre raidisseufs ne depasse pas 1 3 m .

Dans notre exemple. si I'on a tlrle hauteur à clolsonner de 3 40 rn. orlne pourra dresser la cloison que sur une Iongueur de 3.80 m sl l'olq n'kn-tercale pas de raidissetlr. pour respecter 1es 1 3 m de surface nqaxirriLlr'nentre raldisseurs.

1 33.40 x X = 1 3 X = ........ = 3.82

3.40

Page 38: Maconnerie - cloisons - carrelage

PRINCIPALES CARACT/RISTIQUESDU CARREAU HYDROFUGZ

De couleur bleu clair il existe en 4 épaisseurs différentes. Créé pourles pièces humides privatives, il est hydrofugé dans la masse, Sa priseerl eau après 2 heures d immersion est inférieure à 5 %.11 est préconisé pour toutes Ies cloisons de doublage et de distribu-

tion dans Ia salle de bains et Ia cuisine.11 est également recclmmandé en cloisonnement pour tous 1es locaux

pouvant étre exposés à I'humidité sans ruissellement de Iongue du-rée : cave. garage, sous-sol, etc.1! peut être utilisé en habillage de baignoire. en support d'évier ou de

Iavabo. en plan de travail.

Remarque

11 est f()l-lelre/ll con-se///ë, en prtéïze/-lf/t)s d 'f-/r?iiye? ltuel r/st/t-/e d '/hor?t/a-tion (rupture de cartallsa-!or?. déljïorde:lîent d 'tpr?lavabo, fllite c/'tkr? /ak/e-jtnge' /(?/ée d'url chal lffe-eat/'. elc.7, de poser descarreatyx /Jycfrtlftpgtjs pourctqmst/lt/er Ia prerp/ère ran-(2de (rallnée tlasse) de lat () tLj 1: !6i (/4?:1 (?l()ILî tlr? tr tirll(?b''L; l/'/t; t? 1/t)/'1, (T/é? S; ii/rhéi/'ét tliïït)c't/ Lle dclt/fn/ape avant ouapr#s pe cclt//atye Jes cha-pes.

épaisseur du carreau en mm 50 1 60 70 , 100

1 j 66 x so1 I 66 x so 1 so s 50! 66 x 50 (Dimension en cm 66 x 50

1 j 50 x 50 1 66 x 38i j so x etli 1

1 34i tPoids moyen en kg h y 25

d'un carreau : 257; 31;

? 51 @ 60 72 1 02Poids moyen en kg au mL-j rDureté superficielle j j2 55 z 55 z 55 2 55

en shore C j j j. . - . - . y- - ..-.nésistance au feu p ,2 ln ! 2 h 3 h 1 4 hdegré coupe-feu ; l j;

Indice d'affaiblissement 1 1 130 ë 33 j 34 1 38acoustique dB (A) , 1i

- - - - -- - - --

Résistance thermique () j4 1 () j 7 l () x (lyzgma ocm ' i ' I ' i'

. ) ,1iReprise en eau en poids oy $ < 5 oyo 1 < 5 o/o < 5 o,?t, < 5 o 1après 2 h d immersion I( t

'

TABLEAUX DES DIMENSIONS OU SURFACES LIMITESENTRE éL/MENTS RAIDISSEURS

DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUXHYDROFUG/S

épaisseur en mm 50 i 60 l 70 ,1 100j -.-- -. - I k

Hauteur standard en m 2,60 i 2,60 3 , 4. ; 1

*

iitance horizontale q l q k jq 1, aentre raidisseurs en m = l = t %' 1,

NoteLe collage d6).s carreaux tlydrclétkgés doit se fal/e ak'ec une C0//& spl-

ola/te pcltu'r carreaux hydrofugés.

Page 39: Maconnerie - cloisons - carrelage

K LCRANCES DIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUXHYDROFUGtS

lpaisseur en mm s0 : 60 i 70 l 100; 1 iI 1 IHauteur tolérée maximum

3,40 l 3,40 ! 3,90 l 5,20en m -- .. . I iLp-t.!- . - . ë ': I !Distance horizontaie maxi- 5 75 i 6,90 2mum en m - - ' ' , !r :7 k--. - -.. - -- - ---- 1 : -

Su/ace maximum entre @ i1 3 13 ! 18 32raidisseurs en m2 j

PRINCIPALES CARACTéRISTIQUESDU CARREAU HAUTEMENT HYDROFUG/

épaisseur du carreau en mm 70 ' 10û

66 x 5066 x 50Dimension en cm 50 x 5050 x 50 66 x 38

40, 28 ;Poids moyen en kg d un carreau 3021 ;

30

Poids moyen en kg au m2 84 120

Dureté superficielle en shore C > 80 > 80

Résistance au feu degré coupe-feu 3 h ' 4 h

Indice d'affaiblissement acoustique CIB (A) 35 ' 39i

Résistance thermique m'' OC/W 0.14 i 0.20.i--

Reprise en eau en poids après 2 h< 2, 5 % < 2.5 %d'immersion .

TABLEAUX DES DIM ENSIONS OU SURFACES LIMITESENTRE éL/MENTS RAIDISSEURS

DIMENSIONNEMENT STAjDARD DES CLOISONS EN CARREAUXHAUTEMENT HYDROFUGES

épaisseur en mm 70 i 10n'2 - ' '- - '

Hauteur standard en m 3 4

Distance horizontale entre raidisseurs en m 6 i 8

TOL/RANCES DIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUXHAUTEMENT HYDROFUG/S

épaisseur en mm 70 100

Hauteur tolérée maximum en m 3,90 5,20

i 9 20Distance horizontale maximum en m 6 90 ., I

k.--. .1 jSurïace maximum entre raidisseurs en m;' 18 ' 321

De couleur vert clair. ilexiste en 2 épaisseurs.Cfèé spijcilsquement pour

résister à un usage inten-sif à I'eau. il est hautementhydrofugé dans Ia masse.Sa reprise en eau. après2 heures d'rmmersion, estInférleure à 2,5 *,0.11 est surtout prèconisé

pour Ies bâtiments collec-tifs et industriels.11 est capable de résister

à une forte exposition tlI'humidité alnsi qu'à desruissellements directs,mais sans pression . pou-vant attetndre jusqu'à 3 heu-res par pérkode de 24 heu-res sous réserve qu'il soitrevêtu de carrelage.En outre, sa haute den-

sité $ui confère (Jne for'te ré-sistance aux chocs.

NoteLe coliage cfes carreaux hautement

byc/roftppés doit se fo/r'e avec une co//ehydrofuge. spéalqt/e aux carreaux hat/-tement hydraft/pés.

Page 40: Maconnerie - cloisons - carrelage

TABLEAUX DES DIMqNSIONS OU SURFACES LIMITESENTRE ELEMENTS RAIDISSEURS

DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUXALV/OLES

épaisseur en mm 60 70 I 100

Hatltetlr stacdard en m 2,60 ) 3 @ 42Distance horizontale entre raidisseurs 15 1 6 j 8en m k !

TOLCRANCES DIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUXALV*OL*S

épaisseur en mm 60 p 70 i 100i !

'

Hauteur tolérée maximum en m 3,40 l 3,90 i 5,20.h )

Distance horizontale maximum en m 5,75 i 6,90 ! 9,201 i!Surface maximum entre raidisseurs

13 18 ) 32en m2 lr )

Dimensions et surfaces limites sont Ies mémes pour la verslon alvéoléeque pour Sa version standard.

11 est commerc/alàsé en 2 versions différentes :- de couleur blanche dans sa vel-sion standard.- de couleur bleu clair dans sa version hydrofugée.

11 existe en 3 épaisseurs. qui offrent uln gain de poids de 20 à 30 % parrapped à un carreau de piàlre massif. 11 est allégé par des évidementsbien calculés capables de conjuguer Iégèreté et solidité.11 est particulièremerlt adapté aux travaux de réhabilitation ou de ré-

novation et destlné aux cloisons Iégères de distribution ou de doublageparlout o61 I'on doit éviter la surcharge des structures (aménagement decombles. redistrpbulion de volume sur des planchers ancjens).

PRINCIPALES CARACTéRISTIQUESDU CARREAU ALV/OLE

Version standard Version hydrofugéer 1 è =Epaisseur du ë t60 j 70 100 60 . 70 100Carreau e1) mm j l

i 66 x so7' E 66 x so kDimension 66 x 50 i ( 66 x so 66 x 50 l 66 x soen cm 9 40 x 60 ( h 40 x 60 p. . ....-.--..-.---.-.-.--.-. . .. . -. --- ..-------.---y .-........--------;----.-----.-. --- -----j.....-..--..-------i .---( ' 1 8 iPoids moyen en kg j 18 j j

, 17 j 25 17 I 25d un carreau ë 13 . ( 13

Poids moyen en kg 'r isl I 54 75 51 1 54 75

ja u m ? j-

jl i iDurelé superficielle r

22 55 q z 55 1 2 55 u 55 ( 2: 55 ' k 55en shore C t .'Résistance au feu i

1 h I 2 h 3 h 1 h 1 2 h 3 hdegré coupe-feu ..j q

. l .Indice d atfaiblisse- r j32 ( ! 32 (ment acoustique , 30' 32 à 34 : 32 à 34

d: (A) tRésistance ther- k 0,23 I 4 0,230

,20 j I 0,32 0,20 j () z:j j 0,32mique m' OC/W 0,23 ,i

'

! j

'

hReprise en eau l j l t1 1 1 oen poids après > 50 % i > 50 oo ' > 50 % < 5 % ) < 5 % I < 5 z'o2 13 d'immersion I 1I I Q

Page 41: Maconnerie - cloisons - carrelage

De couleur rose, i) exisleen 2 épaisseurs. Son ex-ceptionnelle dureté super-ficielle, sa résislance à Iacompression et sa très hau-te densité le destinent plusparticulièrement à la réalisa-tlon de cloisons de distribu-tion. de doublage et de sé-paration soumises à despassages fréquents : bâti-ments collectifs, industriels,scolaires. ùospitaliers.

TABLEAUX DES DIMENSIONS OU SURFACES LIMITESENTRE éLéMENTS RAIDISSEURS

DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUXHAUTE DENSIT/

épaisseur en mm 70 ; 100.. .- -- -. .-.- 7

Hauteur standard en m 3 t 4i

idisseurs en m 6 1 8Distance horizontale entre ra;

TOLCRANCES DIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUXHAUTE DENSIT/

ipaîsseur en mm 70 ; 100- . . . , W ..

Hauteur tolérée maximum en m 3,90 5,20l

Distance horizontale maximum en m 6,90 t 9,20:. . . . . Ws i . . , . . . . . - . y ' 'Surface maximum entre raidisseurs en m'' 18 i 32

PRINCIPALES CARACTéRISTIQUES DUCARREAU HAUTE DENSIT; ou TR/S HAUTE DURETE

lpaisseur du carreau en mm 70 I lcc#.......---- ...--..--..-. -..i 66 x 50

Dimension en cm 66 x 50 l 66 x 38j

, i 40Poids moyen en kg d un carreau 28 .1 30

poids moven en kg au m2 84 i 12o1.

Dureté superficielle en shore C 2: 80 ! 2: 80

Résistance au feu degré coupe-feu 3 h l 4 ht-.-..--- -.-.-.. -------..--

lndice d'affaiblissement acoustique dB (A) 35 1 41

Résistance thermique m2 OCIVI 0,14 1 0 201--.. -- -....----

' -.---- -----

ès 2 h 1Reprise en eau en poids apr< 30 % 1 < 30 %

j'immersion I

Ils sont :- de couleur violette

pour les carreaux à âmesisolantes,

- de couleur beigepour Ies carreaux allégésdans Ia masse.1Is sont disponibles en

4 épaisseurs : 60. 70, 100et 150 mm et sont compo-sés suivant ies fabricants de4 isolants dipérents :

- Ie polystyrène ex-trudé

- Ie polystyrëne ex-pansé,

- Ia Iaine de roche,- Ies billes de polysty-

rène.

Page 42: Maconnerie - cloisons - carrelage

PRINCIPALES CARACT/RISTIQUESDES CARREAUX LéGEBS ET ISOLANTS

.#ePolystyrène Polystyrène Laine de 4èexpansé extrudé roche

D.) '-'---- 'Epaisseur du i j ii 70 100 1 50 7û J 1p0 ! 15p 70 1(* 150 70carreau 60 t

1 l Ien mm y y' j

7- ë j jEpaisseur de y'isolant 30 1 40 i 70 l 1(o 40 1 7o 1 (o 4: E 7c ! (ol

j j ! y Ien mm l j 1 j l ; i-1..- . -..--- --. --. --. ---. . ; j:6 66 1 66 66 66 1 66 66 66 66 1 6: 666 j j

. tDimension x x j x x x t X 1 X K x ( X xen cm 50 I 50 j 50 50 50 1 50 j 50 50 50 50 50

poids moyen ) l p 1 I'u n 1 1 ( 1 1 tj 1 a lj 1 8 1 1 ,s ( 1 2 11 1 9 ! 4 i ! s 1, 24 1 :.ren kg d

,

'

- , ; 1carreau t jPoids moyen L I j ,

33 j 33 36 1 54 35 1 36 j 57 42 45 72 39en kg au m2 (....j.. I( , f

'

! t

'

Durelé t j t ,1 j' z 55j 2: 55 2 55 2 55 '( k 551 2t 55 1 55! k 55 j a 55 2: 55superficielle z 55; t 1

en shore c 1 1 j ! ,Résistance 'j j 1

. 1 laau feu 3/4 f 3/4 3/4 1 tl 3/4 i 3/4 ;1 h 1 /2 h 1 in j 1 /2 2 h 2 h 3 h 1 hdegré h l hl ' i 1 (coupe-feu

. urIndice d affai- j j j jlblissement j ! j a:27 27 27 31 27 28 32 29 30 33acoustique 4 j jd B ( A ) t i t.iRésistance i 1 1 1

i 1 i t jo j 9: 2,z0 o,stlaermique o,7s 1 ,65 2,30 1,40 ;2,40 3,45 1 , ,i ; l I

mzocAN r ! ) j1. -- .-p ..---- j.------l---- --... ' ----- ---

Reprise i j j 1,1 i 1 len eau I j

> 50 > 50 > 50 > 50 > 50 T > 50 > 50 > 50 > 50 > 50 > 50e n p o i d s o j o % lj ogo % i o/o 1 % % ogo ozo ozoaprès 2 h r ; . j'immersion I k q 1 jd

? l fLes carreaux Ségers et isodants présentent un gain de poids de plus de

50 % par rapport à un carreau standard.Ils sont particulièrement adaplés à Ia réalisation de doublage de murs

et de cloisonnements isolants légers en construction neuve rénovationou réhabilitation (cloisons iégères séparatives en combles, cloisons iso-jantes entre pièces habitées et pièces non chauffées, etc ).Ces 4 types de carreaux offrent de bonnes qualités thermiques.

DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUXL/GERS ET ISOLANTS

.8.!!Polystyrène Polystyrène Laine de Xèexpansé extrudé roche iè

G

ipaisseur l 160 l 70 1 100 I 150 70 100 150 70 100 1K 79en mm ! 1 i

i 1Hauteur ( # jtandard 2,60 1 2,60 ! 3 1 4 2

,60 ' 3 4 2,60 4 2,69S j i ! l len m j j j j ëDistance hori- t t p 1 jzontale entre f f ) f .5 2 j 6 8 . 6 8 5 j 6 1 8 5raidisseurs ji

(en m ! , 1 l

TOLéRANCES DIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUXL*GERS ET ISOLANTS

@.:.zPolystyrène Polystyrène Laine de :èexpansé extrudé roche

CL' isseur 7- 'f ' iERa r 7: j jcc jstl 7z 1(m jsn 7: j jt)c jsc 7960en mm @

qHauteur tolé- 1 g jée maxi- 2,60 1 3.40 i 3,90 5,20 3,40 t 3,90 l 5,20 3,40 3,90 lj 5,20 3,40r 1 1

' !mum en m : ! j1 . - - z,- ., - ;. ..- .g--jo u - . - j 1

Distance bori- ) lzontale ma- 5 l 5,75j 6,90 9,20 5,75 6,90 9,20 5,751 6,90 9,20 5,75ximum en .

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'-' j Isurface maxi- j î t ) jmum entre ( 1 t j :? ,a13 1 3 i 18 j 32 13 18 32 1 3 1 8 j 3raidisseurs p j j l jen m2 l , ik

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( Ces carreaux ne peuvent pas ëlre utilisès dans le rrlcrrage de clolàonsl imuteurs rlzo/r pages 44 et 56?.de prarldest

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jj/?p ' Xr 4+ . e - '' .'a- 'h/ Y +. ' ' * < . '' ''' ' ' ' '' . ..

LLIB' ra// c? 'L //') cnzrreav /ecke/ .b .. ' ,t /a sot/oe - 'el Jse,ar s

. ,'?7l(?.')l''e d artte G/l-/ cn/'reat; ''C O ? ) .S ! ! ; ( i f:l 6) ?rJ kT). / ' ,.A-u t / p (? /j -S *t vre'l e elrt)il nl? ,%.

Page 43: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Si la sudace (et donc Ia distance horizontate ou ia hauteur limite) estsupérieure aux dimensions autorisées, il faudra intégrer à Ia cloison desraidisseurs.

11 en existe trois ty-pes :

Ies raidisseursen bois (1 ),

Ies raidisseursmétalliques (2),

les raidisseursen carreaux de plâ-tre (3).Les deux premiers

seront d'une épais-seur correspondanta I'épaisseur du car-reau de plâtre utilisé.iIs seronl implantés(sur le traçage au sol)avant monlage de lacloison et fixés enpartie basse à Ia dal-Ie et en partie hauteau pjafond par deséquerres métalliques

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colle

3 .

Le chapitre précédent donne (sous forme de tableaux), pclur chaque typede carreaux, une hauteur et une distance horizontale de cloisonnementstandard et une tolérance limite.

Note11 est rotlàeftl/à possible (:g Jépasser /es tolérances /l7?/res dimension-

nelles c/ar?s /e cas de c/tl/scrs de grandes hauteurs (par exenwle cageJ'esca//er), ces dîmenslons seronr donrtées er? f/h de c/pap/t/ee. papes 56 e!57),

Les dimensions limites d'une cloison varient en fonction :- de I'épaisseur du carreau et de son t'ype,- de Ia hauteur de cloisonnement.- de Ia distance horizontale de cloison.- ou de Ia surface de cloison entre éléments d'appui

. mur pefpendiculaire . fetour de cloison

. poteaux . ou éléments raidisseurs(voir exemple de calcul, page 37)

. , . . .d. cur. . . L.. : :. . . . ? . . . ,. r47/ ? S

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is Fnse borisontolel/mr/e

Page 44: Maconnerie - cloisons - carrelage

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CAS PARTICULIERSCAS DES CLOISONS N'ALLANT PAS JUSOU'AU PLAFONDUn raidisseur horizontal sera positionné sur Ie dessus de la cloison

dans Ie cas où cette dernière serait montée :- avec des carreaux d'Une épaisseur inférieure tt 1 00 mm,- et d'une longueur supérieure à 2 m.

Ce raidissetlr horizonta!sera constitué soit par unprofilé métallique. soit parun tasseau en bois d'uneépaisseur d'au moins 3 cmet d'une iargeur identique à''èpaisseur du carreaa. 1) serafixé en bout par 2 équerresau gros ceuvre.

Ce tasseau horlzontal sera renforcé par2 Iattes de 4,5 cm de hauteur, vissées Iaté-ralement de paf't et d'autre du tasseau demanière à constituer un U .Ce raidisseur horizontal alnsi constitu#

sera fixé sur Ie haut de Ia cloison tous Iesmètres environ par chevilles et vis.

CAS DES CLOISONS DF GRANDEHAUTEURLes hauteurs et surfaces données ci-

après sofnt valables pour tous les types decarreaux de plâtre, à l'exception des car-reaux légers isolants.Voir aussl mise en œuvre d'une cloison

de grande hauleur, pages 1 99 et 200.

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ipaisseur du q l i60 . 70 I 80 i 100carreau en mm 2 p j

Hauteur maximale ) ! j8 9 : 9 j 1 2en m

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. 1 . i

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Surface maximale ( @ jentre raidisseurs I @ 1

10 ' 14 i 14 ) 25ou mur de gros ( ( iœuvre en f'na E j :

CAS DES CLOISONS EN SURPLOMBCe sont !es clpisons qui viennent en bord de trémle' en bord de mez-

zanine. etc.Elles cécessitent tln renfod plaqué sur l'épaisseur de la dalle et dé-

bordant sur le premier rang de carreaux.Cette sorte de butée peut très bien être coqstftuée par tlrle planche dont

l'épalsseur sera d'au moins 15 mm, et s0n débord sur Ie carreau d'envlron1 00 f'nm. Cette planche sera sofidarisée Suf Ie chant de la datfe et stlr !eScarreaux par chevillage et vissage.

. ruttentlr-o/, .' ' ' LeS CIOISORS e,9 sur-# 9

'. .i ' . ..w b ' plomb I1e doivent en au-. . z a;. . o ,# . ,w t

' lt,l- ' -Y ' *# ' ) cun cas être dressées. . .# .-. ; t ' ' avec O'eS carfeaux d'unev ... .. # I

..à.. ' b ' l épaisseur inférieure â%, . # . @

t 70 mm.

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r 7-,-l.

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CAS DES CLOISONSEN éPIUn raidisseur dott obli-

gatoirement être fixé enbout de cloison en épi.

Page 45: Maconnerie - cloisons - carrelage

INSTRUMENTS DE GUIDAGE VERTICAL ET D'APPUI

.

%

-- 2 ou 3 règles téléscopiques (piges, vérin montésur ressort) qui permettront un guidage vedical lors dumontage des carreaux, ainsi qu'un appui.Ces règles Ou vèrins téléscoplques appelés aussi pigessont constitués par deux fers carrés couiissant l'un dansi'autre et montés sur fessort. permettant alnsi de se bloquersous plaforld (Ie fessort permettant un coulissage Variable).Ces piges conviennent donc à une utilisatlon quelle quesoit ia hauteur sous ptafond (généralemerlt de 2,1 0 à 2,80 menviron),h défaut de ces piges. et si vous ne voulez pas investlrdans ce type de matériel pour Ia réalisation ponctuelie elpeut-être unique d'une cloison, vous pouvez très bien lesremplacer par des tasseaux en bois de bonne section(6 x 4 cm par exemple) et parfaitement rectilignes.Dans ce cas, après 1es avoir coupés à une Iongueur

correspondant ,'j la hauteur sous platond moins 5 mm en-viron. vous assurerez leur blocage au soi et sous plafondpar de petites cales biseautées.

OUTILLAGE ET USTENSILES DIVERS- Marteau de maçon, hachette de plâtrier, burin.- Truelles, Iisseuse, spatule. - Scie à grosse denture.- Auge ou seau. - Quelques petits serre-joints.

11 se trouve pratiquement chez tous 1es bons bricoleurs. A défaut, 11 peuts'acquérir à peu de trais.

INSTRUMENTS DE TRACAGE ET DE MESURE- 1 règle de maçon en aluminium de 1,50 à 2 m (qui permettra de vé-

rlfier l'aiignement des rangées en cours de montage, et de tracer).- 1 cordeau à poudre (pour les traçages au s0I et au plafclnd).- 1 double mètre, - 1 crayon.- 1 fiI à plomb. - 1 niveau à bulles.

Page 46: Maconnerie - cloisons - carrelage

LA BANDE X JOINT(oU CALICOTI ET .BANDE h CUEILLIE 'En rouleaux de 75 mm de

Iargeur, iIs serviront à la fini-tion des angles rentrantsverticaux, et à la finition desliaisons sous plafond.

CORNI/RESD'ANGLESSAILLANTSEn métal galvanisé ou

en aluminim de 25 mm x25 mm x 2,50 m, elles assu-reront en finition la protec-tion des angles saillants.11 existe également de la

bande armée en rouleau(appelée aussi Flex Corner),elle assure Ia mème fonctionque précédemmenl.

. .a: . 'hC 2 '' '

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e' * ' ' 'h'h 4. J '' V. wv*: k. ..#

j $'.:) cj t é o io . , , j)n q. erj. J c .zk. x., v, u.2. /Da ïtes' a sciz//e ' r're clJ et

1./6T5()7

11 est commercialisé en 40. 50, 60. 70.80 et 1 00 mm d'épaisseur avec deux hau-teurs d'aile. 25 et 85 mm.En privatif, dans Ies pièces humides,

la pose d'un U en P.V.C. évite les remon-tées capillaires dans ia première rangéede carreaux de la cloison. 11 protège égale-ment d'éventuelles dégradations, Ie bas decloison.En domaine privatif pour Ies pièces

humides. Ia pose d'un U en plastique n'estpas nécessaire dans le cas de l'utilisa-tion de carreaux hydrofugés ou haute-ment hydrofugés.

.-( Altenfiot; l -.Sl Ia cb/sorl a une /c)/?-

gueur ('/ponàrrlla/e) supé-r/èJ?'e iLb .3, 50 m, pe U er?R ttc. J?e pet-lt pas tll/'eutilisé.

LE U EN P.V.C.

LA BANDE RE'SILIANTE EN LIE' GE

Elle existe en 40, 50, 60. 70. 80 et 100 mm de Jargeur pour une épais-seur de 10 mm.Cetle bande résiliante permet d'absorber les éventuelles dilatations,

chocs, vibrations, légères déformations, et d'éviter alosi !es risques ulté-rieurs de fissurage,

La bande résiliante se colle en liaisonentre

Ie plafond et le haut de Ia cloison,entre Ie dessus des huisseries de

portes en bois et Ieurs retombées verti-cales sur 20 à 30 cm,

- sur toute la hauteur de part etd'autre des raidisseurs métalliques ouen bois

entre le mur d'appui (grt?s œuvreou porteur) et Ia cloison sur toute Ia hau-teur dans le cas d'une liaison avec unestructure particulièrement déformable(par exemple structure métallique) ou dansIe cas d'une cloison morltée sous une ter-rasse.

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LA PATTE X VISSER ETTTE A' SCELLEMENTLA PA

Elle sert à solidariser Ie dormant deshuisseries en bois avec Ia cloison. 3 ou4 pattes à vis sont nécessaires par mon-tant vertical. Cette pièce d'attache en L estvissée d'un côté dans le dormant, et clouéede I'autre dans Ie carreau.Le positionnement des pattes se fait à

hauteur des paumelles de la porte. Eilessont fixées au niveau des joints des car-reaux, progressivement, au fur et à me-sure de l'élévation de la cloison.La solidarisation des huisseries mé-

talliques avec Ia cloison est réalisée quantà elle avec des pattes à scellement cou-iissantes (elles sont généralement livréesavec I'huisserie métallique). Voir page 52.

1

Page 47: Maconnerie - cloisons - carrelage

LES LIAISONS AVECLE SOLSi le sol est trop irrégu-

Iier ou pas horizontal il fau-dra réaliser un solin en bé-

, #%.k.'-- ton d'une jargeur correspon-. . v u j.- y .. . . - :.? ;>+y't , . . , . . , ,' - ,J*q.,r''.*=-x.: r M ' c a n ! a I é pa i S Se U r d U C a.r re a U. .k , ;.Vv

,- . , (-lsqi..af?.k e . de plâtre utilisé.. ys x.e . <s....- -- Si Ie sol est constitué

par un plancher ancien, ilfaudra mettre en place unelisse en bois d'une largeurau moins égale à I'épaisseurdu carreau utilisé.

. ' . :!.

Le so/pr? peo't ijjya/e/nerll élre constitué par un *assemblage de lasseats.r formant t?fJ U. '

En habitations privatives, dans 1es piëces dites humides (salle debains, cuisine W.C.), il est foëement conseillé de réaliser au moins Iapremière rangée de la cloison en carreaux hydrofugés. Dans ce cas Iescarreaux sont directement collés sur Ie sol (avec la colle spéciale pour car-reaux hydrofugés), Voir aussi remarque page 38.Si vous décidez d'utiliser Ie carreau standard, il sera dans ce cas posé

dans un profilé P.V.C. en U à la condition que la longueur de la cloisonn'excède pas 3,50 m.

LES LIAISONS AVEC LE PLAFOND

PLAFOND EN DALLE DE BéTON OU POUTRELLES AVECHOURDIS OU BRIQUESLa Ilaison peut se faire de 2 manières différentes :- Par collage sous plafond d'une bande résiliante de Iiège (de lar-

geur égale à I'épaisseur du carreau utilisé). L'interstice entre Ia bande rési-

liante et Ie haut de Ia cloisonsera comblé par un mélangeconstitué à 50 % de colle àcarreau et 50 % de plâtre.Après durcissement (1 5 à30 minutes environ), I'excé-dent sera gratté tt la Iisseuseen suivant la face du carreau(voir photos page 55).

e . . . . î le . .. : j. .. . . . r .:. 1. .;.,. -.*-t w%. ès 7 - - r,x .*. ' . s . t ' Y ; t-z r ..v.. , . zuzva - . tiz

. . . . : . . ' .'.rt% - 1:7. V . . . . -. ' *...,j- .% i . t;x4. ' e . i . -w . . 4 '*'k' :1-+ -,. -*:,e- . r.' ' 'N -.-. - .) .

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La finition sera re' alise' e par '!a pose d'unebande a' cueillie.

- Par injection de mousse de poly-uréthane entre Ie haut de Ia cloison et Ieplafond. 11 n'est, dans ce cas pas néces-saire de poser une bande résillante en llège.Veillez également à ce que Ie haut de lacloison et Ie plafond soient dépoussiérés.2 à 3 heures après I'expansion de Ia mous-se. l'excédent sera coupé au cutter ou à laspatule. Un jointoyage sera réalisé avec dela colle à carreaux ou à joints et Ia finitionpar Ia pose d'une bande à cueillie.

IDLAFOND EN PLAQUE DE PLATRELa pose d'une bande de Iiège n'est

pas nécessaire, I'interstice sera comblépar bourrage d'un mélange 50 % colle,50 % plâlre.La mousse polyuréthane est prohi-

bée en raison du risque de trancher dansles plaques de plâtre Iors de Ia coupe del'excédent de mousse expansée.La pose d'une bande à cueillie termine-

ra Ia finition.

JAttenù-on ! -t ' ' 1Quel que so/! /e maté- '(1

.1 Ilàu compcsanl Je plafond. 1r 1

,1 / espace entre fe plafond l' t /a clernière rangée de l! edoit pas pf?.e II carceaux ne

l érieur ..) 2 ..) t? cm ma- Isgpl 1ximum.

NotePour une bonne tenue

de Ia c/tnàon, /7 es! lhîpor-tant cgtpe /e collage de Iatlarpde résiliante se fassest/r un p/afcmd parfaite-mer?t dépoussiéré. 11 enest Je même, lors dubourrage de I'interstlùe,que ce dernjer se fassesur une rangée de car-reavx fora/emer?l emmptede '< sciure )) de plâtre.

AstucePour faclllter ja m?àe ep p/ace du derrlfer rang Je carreaux, a/r?-s/ cy/e /e

remplissage de I'interstice entre le p/aécwd et le haut des carreaux, on peuttalller en biseau Ie c/narlf de ces derniers.

RemarqueEn rcmcl/cm de /a hauteur restant enlre pe plafond et / 'avant-jernière ran-

gée de carreaux, // est tot/à à fait poss/tl/e, 6)1 mêrne conseillé, de position-ner ?es carreaux k'ert/ca/e/perpl.

Page 48: Maconnerie - cloisons - carrelage

LES LIAISONS VERTICALES

LE! LIAISONS AVEC DES CLOISONS EN CARREAUX DEPLATRE

V Eiles peuven! se réaliser de 3 manièresdifférentes :. Par collage direct, le carreau étant en-duit sur toute sa hauteur (1 ).. Par pénétration traversante : une ran-gée sur deux. le carreau traverse de parten paf't la cloison, toutes 1es sudacesen contact seront encollées. La partiede tenon qui s'encastre sera sciée et en-Ievée (2),. Par pénétration à mi-carreau ' unerangée sur deux. le carreau traverse àmi-épaisseur Ia cloison. Toutes lessurfaces en contact seront encellées.La paqie de lenon qui s'encastre serasciée et enlevée.

Z' zJ'vz'

Réalisation de l'entaillage à mi-carreau :- Tracez au crayon Ia saignée sur la hauteur du cafreau, la Sargeur cor-resp/fadra à l'épaisseur du carreau, plus 0,5 cm (3).

-- Tracez Ca profondeur de la saignée à mi-épaisseur du chant du car-reau (3).

- Sciez /es t'clrcis de la saignée sur le tracé (plusieurs sciages jnter-médiaires faciliteront Ie dégagement) (4 et 5).

- Dégagez I'entaille au burin et au marteau (6).

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LES LIAISONS AVEC LES HUISSERIESUn soin padiculier sera requis pour Ia

réalisation des Iiaisons avec les huisseries,qu'elles soient métalliques Ou en bois, en rai-son de Ieur exposition évidente aux chocs.

LES LIAISONS AVECUNE CLOISON ENPLAQUE DE PLATRELes carreaux seront collés

directement sur Ia plaquesi cette dernière est brute.Si Ia plaque de plâtre est

enduite peinte, etc., il fau-dra Ia gratter.

Remarque- Ltlrs do n'ltmfage de /a cloiso'î.

vous couperez les carreaux de le//e ma-rnèrtl Qpe I'intervalle entre Ie mt/r d'appuiet le car/'eatp soit d' 7 cm maxilnum, Cetje/r/e/- sera iùourré .fl /a colle.

- & I'intervalle esr comprlà erllre ? el3 cm rpamhstyfr?, tl sera corrlblé ayec tmmèlange moitié colle, f'r/ctr/é plâtre.

- S?' I'intervalle est /rrlportanl, 11 rat/-dra découper t/5 morceau de carreatzl1L)lèn c/épot/ssxrij à intercaller en prë-voyant un pëty a' 'environ 7 cm rruz'/àr/fa'?.'rlpour ?a cole.

NoteTous Ies angles ren-

trants seront g'arrpts'. en //-nition, tj't-me barïde à jointcollée.

j ' oNote'implantatlon d'une huissene fllcps ou i?- r . .

métal) doit se trouver à au rntl/r?s 'lO c/'Fl rni- ' 2çtimum d'wr?e cloison perpendifwlaire à e//e, K .1

I ? -%: . ... kJ' ''' !

af/h d en assurer (:7/ une par/. son bon en- ' 'r..k..;-.= * . .Acrage et de donner d autre part, une bonne 'c' ',';.. . .; > +/-?k/d/lë el vn t30l? rrlartien à la ()/()/ts()r?. .v.- .. .

l . '--UN MUR EN BRIQUES it

OU EN B/TON -. S- Si le mur est brut, le ), ô. . t -carreau sera collé directe- r- - .-p, iz# . j ' ' .

ment sur Ia brique ou le tbéton (dépoussiéré). ' ' . ,

- Si le mur est déjà en- 'duit, il faudra Ie '' piqueter'h '. '.

(Ie piquetage permet une ' ,wAbonne accroche de la c0llel. .

Page 49: Maconnerie - cloisons - carrelage

Le choix de I'épaisseur de I'huisserie devra correspondre à l'épais-seur du carreau utilisé (ex. : pour un carreau de 70 mm d'épaisseur, il fau-dra une huisserie d'épaisseur 70 mm).

- Liaison avec 1es huisseries en bois RemarqueLe carreatl Sera encollé sur toute sa mmandé,/1 es( retlohauteur et encastré dans 1@s montants . / s éventuefspour pa///6'r ede l'huisserie. risques de ô'sstpral/bq deLa solidarisation de l'huisserie avec leS dlune bande rési-garniçangs successifs de Carreaux se fera par / cforrrtartt Je J'/yujs-r Ilànte eI'intermédiaire de pattes à Visser (3 Ou . r tovte ja lon-sef/e. Su4 suffisent par montant) fixées au niveau rtjo jnagta a/n-gzleul efp p,'Rdes joints des carreaux à hauteur des . 20 jj L)c cm 1ess? qble &tJ/-ommelles (voir chapitre << Matériaux et jatyaux

.P rrlontarltsmatériel Comglérfhentaires o , gage 461.

Patte Je sobdansatioll in tz/s-ser en fornle o'e L.

- Liaison avec Ies huisseries métalli-quesLe montant de I'huisserie sera bien en-

collé et viendra recevoir dans son évide-ment le carreau (iaissez refluer ia colle). Lasolidarisation de I'huisserie avec Ies rangssuccessifs de carreaux, se fera par I'inter-médiaire d'une patte métallique coulis-sante à sceliement (3ou 4 suffisent par mon-tant) positionnée au niveau des joints descarreaux à hauteur des paumelles (cespattes métalliques sont généralement livréesavec I'huisserie).

z'

t' .+ . ' x.v. s.j .

A . . . z. %.'ul s. 'e' N 'e < 'Q= g + x .

Le premier travail à. effectuer avant la pose de totll carreau est Ie tra-çage. 1! est très impodant, car de ce tracé dépendronl I'implantation et l'ali-gnement de votre future ctoison, ainsl que I'emplacement des huisseries

LE TRACAGE1 ,4 1 f?rn/n/acer?pent soz' ?/)a/te..'ra. cez a?-/ corùeal i (') povöre / 'a. !' -gnemenî de /'a clokson.

>j. 44

2. Ttacez t?n deuxtème rra/r. pla-rallèle at./ prelnlèl'. Jl. ,% d/sl&/l(:;(?

' ' i / YSCW çie ' ' ' ' 'Colrespolîf/î ?! Q 't?JJé)iLb C/()/S(?rl -.J P' .'

z.k<< ,

3. F/eacez ailisi tolls les er/lp/ace .lnel?ïs des tNtl/sorps,

4. lzressrez e! JN J. rn /ez /'er??p/a-C eln Or?à. 4eS Jhtz/ss erie s.

:.7% .w> - '. . x .

. y . :.- G;x '

4.

Page 50: Maconnerie - cloisons - carrelage

Le traçage d'une cloison perpendiculaire pose padois queiques problè-mes, pour être sûr d'avoif un angle droit padait surtout si l'on ne possèdepas d'équerre suffisamment grande. L'astuce, dans ce cas. consiste tt appli-quer de maniére pratique une des propriétés du triangle rectangle, à sa-voir Ie théorème de Pythagore.

Exemple de contrôle d'un tra-cé d'angle droit, en application duthéorème de Pythagore

- Tracez un repère à 30 cm surun des côtés (1 ).

- Tracez un repère à 40 cm surI'autre côté (2).

- Mesurez Ia distance entre 1es2 repères, elles doit ètre de 50 cmt3j.

'-421' ,

/' . jk . '

1$. . ie ./ -aLe carré de l'hypoténuse

est ëga/ à Ia somme descarrés des cltgs de I'angledroit .

En pratique, comment seservir de ce théorème ?Le point A est le départ de

votre cloison perpendiculaire àtracer.

- Marquez un point C à30 cm du point A.

- Tracez une Iigne A1-A2parallèle tl AC tt une distance de40 cm.

- Tracez une ligne CB de50 cm de long, de manière à cequ'elle coupe Ia ligne A1-A2. /l'intersection de ces 2 lignes,vous obtenez le point B. 11 voussuffit de relier le point A au pointB pour être sûr d'obtenir un tra-cé de votre cloison parfaitementà angle droit.Cette application du théo-

rème de Pythagore vous permetde faire deux choses :

- d'une part, de tracer unangle droit sans équerre,

- mais aussi, d'autre pad,de vérifier si un tracé fait àl'équerre, par exemple, estcorrect.En application utilisez des

Iongueurs simples, comme parexemple :

- 30, 40 et 50 cm.- 60y 80 et 100 cm.- 1,20) 1,60 et 2 m.- 3, 4 et 5 m.

MISE EN G UVRE DES CARREAUX

1 . .:1. Lhplomb Je ka clolso'r? sefa d(7/l/ld.:) par deuxp/ges (prl/tles ctlnsllrut')s îlar (3+27.: fers tlacri?t?coullssant i 'u/7 c/ar?s l''akitre et monîes sta'r res-stlrfs/'. Ces p/gtas pet//er?! ètre remp/actjes pardetp tasseaox e/7 LlL/l.'? r7e borme .'9e&l/'()l9. plkrta/l6'-n?e/?! r'ccl//fg/nils. //s seronl mk? przlt?rlus cltms ce caspar des rlelfles tla/es bîseautees.

BC2 = AB2 + AC2

trocl de la....-- clofson

2. Posisniwez Ies p/ges de ma -ntère paria/lerrerql verhcale a /'a-de (7 'url n/kzeau tj hulles.

Page 51: Maconnerie - cloisons - carrelage

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5 65 'Ctlprp/nencez fa pose pa r .u'r) carreau erpl/er. ccl.qrre u'n rntpr. en ayarnr déptElsë..7 rll/rlci?s corchns I'J.C? celle rstc' f(avs bords t?'e ''a .ri-)2nu.''e) st/v' /e dessoo'î (ldt.? ca:leal.j elst/r sor cha ?n! vert/ca!Petite astuce .' sfz//c/ar/sez a lz? c'/tye l'e ct7.'/'ï?a. u a tzec /??? pept s(?rr'.ce.r/rll.

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C.tqj /'c'. Itl?f /)c?rJ (2 6? (ït? E9 ) ()éI)!é;.

Départ de cloison perpendiculaire1 1. S.ç t?/â t''/eflar'! Q'te (-?r.?/s()/: perpelîLtcu-/a/r(). r'aszfz-t'.' (?t zs/eltt lre de po/re? Jo/! ver3lrse t'Feeffer stl.r .'a cttsoo e!? ctat./rs de ITIILIn-laf/e e! clt/e lztat/s at/ez c/ec/tlé de /a I eall-Se'rr pa: perpedrafrp') traversante. prtjkok./ezp't?s evidellèents /' ? ,''aîà.LI- ee stkr 2 3

6. Cclntrr?ts'ez I1) pr ose e/-, el?b'-lo (J/s'a?7*t u.4ecolle ï'a fanr-zuelle fl'es ctnrreatkpr.

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Page 52: Maconnerie - cloisons - carrelage

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15 Lkessez far (hnco//e.r stlcces-t;/ k'ti?/' ?5't.?r 7k# /(? tl 6J'/'(iF' ? ? (7/'? lél zél/éq t-'J?.v -t eckt.a fï:onst:tkaat'lt le t'/eflgrl deo'(?..'st-)!? l'leri?eib($cL lla:re. fJ'3 lla///ez''es Jtépafyez:r les bol'ds cftq ralnures1-3/éR:9/ (I(1Lè /i) 16311()?: Jl L/(1/' ()i)/'/'r1*)!ll'i?I11 Jr (?r)i)lrë.7/?t?J? (Jt? l''qïvlLb rrk f?llt >..ct7 -Lziyr.sz? c) t.

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20. et 21 . Dlspesez a chatpwe rangee G?e c'arreat/x (meflalle 'fe scf#rz'rrep'pl.

Liaison d'une cloison perpendiculaire assemblée é mi-carreau r''krrr auss?7i?91 3 0)TZ Degllge.Y ? /?) ek'/(Jel'f1t.)r7! L?Lil' IJSe (/604/-e/la isselal' Lkv' Car/'tnéitk aï.7 maY/'.r??t//N.

23. 6)! 24. U.':e rangee str' deux. le car-.?'69ûi(k' lCê? (/6JCé9IJ 11 rr3/- ig Llqliiq 69 (IL1.F f:7. ()lL)13? ()Jl;n 6?rhrg ()?? Li:ï?LiI<ï(rqt. /EF.?7 çlçllll?.z 7t:?'()t?l?? i?rp t rrlt/-leS /eS pairles d?rl ccJ?) lac'l

Page 53: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Cloison en angle saillant avec portesur le retour

25 L-lressez fa langee tlasse en ver///ar:rson alîTemens et sia ve?licallttj.

26.26. . 2F. et 2.9. 'qéa//sez / 'Jîryg/e par rz har-p&ge '> Comme Ie r''orpfr/i')! /es p,*()/s I.')h()-l(?s.

2828. Le retour Je doison de parl et (J hti-Jre de p'ot/kzerlure se fera ef) colltintlitéavec /e reste (% Ia c/ctsco rarlgée alnr'ésrangee. Certéprles huissenes lstlo/.S Otp' ??%-tat: pettkeé)! se nîettre er? place apr't's /acor?slrtkcr/ozrl (je 7a Clolson. F'erlsear 3Ll /et7tbnctlonrlel 3 u'l 4 crp enttrol) ce )'etI serac/r'.n/;,/é. l'ors Je Ia ptlse c'e / '/lspsser/e. ti IaJrousse polyurèttlane.

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,34 es 35 l-'?tjal?sez l '/rnprps/e c/ta Ia ptlr!eak'ec aeux car/ enu: Lïkvkzoupes e!? L. Leurl'lnta/r?r/tflll perlufar?l /a pr/se oe pa cdle silraréalse gr/ice h J /??e J'al/e e?? il()ls tltp IesSot///e/lclu.

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Page 54: Maconnerie - cloisons - carrelage

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36. r?emlz//ssez somnlatrement .res e'z/-Lîie.rnenls at/ p/J. tre37. Pose;l e! r'rla- intenez plal' ag ratage laccl/nf#'re c/ 'arpg/e.

38. e! 39 Remplllsez,Se2' er egàltsez ,/'J?. /7gd't?.

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2 ''' Préparation de I'enduit de fissage.

j , cyfjs y vey. o4.3 et 4#. Ct7'rl?fne LL)OL1r 13 CO !e' Sat/ptlt/tro' Zl Q DfLlt.'cire OJI ?'OSNE't:lIr:l /7'! le t-klsat/e Oat.'-&Ot7(?''P (YOCO-* .<. j. . , . . '

> .. ...x .v ( pfse pa y. je yaty/cano$'' . . . ' ' ' '4' ; . , 45 SrASSL?Z f?ne/'g7/()&t:.?'# '

. 'h4 ,! b h '/ - '< Illet''lt OCC/V Qbtelhc USS /.1210. # . -' V .<.. '.'. .. ' j/ .z:, . jy r7 )()g) Lj;)Lt (at L);:(u.tq;(?j)L;L,... . ; . . . . ()ç

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Page 55: Maconnerie - cloisons - carrelage

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- , :,,gnèe ,-,?ar.'/'srr.e ave ,es . -b.. - .- . . -,,e,.?! .o- ,-.-obi-lk,c..,-e. .,0,,-Cge :!i s - - - .lolnts kzemcauv Appllqllez par - '* Se2' ' D/'6.'r' êe' .'776..'a' /''t.76l '

. w 'L ' . ' r . ..Lllçltk? ï? r? 6:2/:4kn. '? l l-Aîq/'î Jn qè.'î éi?r6??' réz . v ', /.lC?r:L7f0J 'J '-l(.'6?IL;L:'LïLb ?à7.''RL' 'z j,..y .z . ) , v ( ? c. r o't )r)tili?. ? : . ' '. rtaél Lï(''l1.S ' t7tF'q 59 fgu/tl. '

. . 21 l /; LtL)f.;.LtjLt( (? Arf...(?(j(?p.yjt)/r().49. Raclez / excecde/?l. '50. Llssez ft-/sqt/ 'à c??.)lernl/i'7r'/J'tpne suface Oarfalernerlt plalle. Q.

54.

1 cct r . '-' *.7%..g . . u . . . . . . A e- hugr.. '. g z = py'w-

.- ë t . ' ... ...55 I o a 20 rn//pt./ri?s ' . ' ' -' ' ' . ...........'--. ' *' 1A 7 ' '/ës taro' (ce (emps es? '* s'M'm 'J?

.wlorlcl/(7rl de /t? telnphra' ''--ture de la p'J/tZeyi, grallez ' ''-f ql'exce'del'ît en St//ïzar?! ' j

? j ' . . ' ?t? /6C ;8 //SSCt./SC 18 fato . 't/ Ctsf/fat/. t OSL?Z 6'? ? .;. p j')i$IOO ://')e OLîrlcle a L?L1e:'l- h

j ' .île. . (. .- .Z 55

Liaison avec le plafondkz/cl// pcpes 4 7.

51 . Fl,collez 7a banje resf//carl! 12.(a'zec la co//e à carreauxi.52. CoVe'z- /a bande rés//ét.lr)li?

. . . sots le plafonzl' -* ' - 53 Schu/wez et clclrrtl/ez I'.'l1ter-

. . 'C t.. stçize enlre pe c'/afcb'7tJ el le 'fpaty!

k..... .. . , . tjy ,.. ,. , de la cloiso'è avec u/?n nî a;#' ge ccvpsr/lc/e t'l 5L) % zie colle et

. . 50 ?rf.p de p/érce, o'es 2 ccllés Je Ia3 ' Jl&r'tA'5 .

La gaine technique estdestinée à dissimuler à lavue, tt contenir et à fairepasser Ies diverses colonnesverticales d'alimentation etd'évacuation d'une habitation(arrivée d'eau sanitaire, éva-cuation des eaux ménagèreset eaux vannes, conduite degaz, éiectricitéxaa).

Exemple de construction dtunegaine technique é 2 faces

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Page 56: Maconnerie - cloisons - carrelage

Exemple de construction d'unegaine technique â 3 faces

Cette gaine techqiquepouvant contenir des ma-tières inflammables, il estpar conséquent impératifqulelle puisse garantir unerésistance au feu et pourcela, il est nécessaire de res-pecter un montage obéis-sant à certaines normes :

- Ses dimensions in-térieures doivent être infé-rieures ou égales à 60 x120 cm.

- Sa hauteur ne doitpas dépasser 3,50 m entredeux étages.

- Elle peut être réali-sée en carreaux standardde 50 à 100 mm.

- Elle peut être mon-tée en 2, 3 ou 4 faces.

- Les an:les sont réa-Iisés par harpage (voir des-sins ci-contre).

- Les joints des car-reaux sont décalés unecangée sur deux.

- La bande résiliantede liaison entre Ie haut deIa dernière rangée de car-reaux et Ie plafond serad'une épaisseur d'1 cm etd'une masse volumiqueégale à 300 kg/m3.

Exemple de construction d'unegaine technique J 4 faces

Les pages 36 tl 42 développenlpotlf chaque type de carreaux Iesdimensionnements standard au-torisés ainsi que Ies tolérances di-mensionnelles, 11 est toulefois p0s-sible. dans certains cas particulierstelle tlne cage d'escalier, dedépasser ces hauteurs u Iimites >'à la condition express que Ia sur-face entre murs d'appui ou entreraidisseurs ne soit pas supérieureà celle donnée par ie tableau ci-dessous.

Jttention-I Tous Ies types de carreauxl ,, d une épalsseur éga/e ou stppë-

! neure .') 6 cm peuvertt J'lre utilisés j1 pov:r one cloison de grande hao-'exception des carreaux 1I teur .'j I

1 léqers isolants. !1 -''' i

épaisseur des carreaux en mm 60 i 70 et 80 ( 100i

Surface maximale entre raidisseurs l10 14 25en m2 î

1Hauteur maximale en m 8 9 1 12t

Application pratiqueSupposons que votre cloison doit se dresser sur 8.20 m (rez-de-chaus-

sée. premier étage. mezzanine en combles).Vous optez pour un carreau standard de 80 mm d'épaisseur.Le premier raidisseur devra se trouver à 1,70 m du mur d'appui (voir

aussi calcul, page 37).Comment trouver cette distance ?

Page 57: Maconnerie - cloisons - carrelage

Explication par Ie calcul

Longueur maxlmum SurfaceHauteur à de Ia clolson maximumclolsonner entre raidisseur autortsée(à détermlner)8,20 m K X =

14X = = 1y708,20

i1 Votre cloison potkrra élre Jressf)e ygscptk 'à une hauteur de 8,20 m a ia !i condition impérative c?tk 'a% inclue un ofl des raidisseurs â inter- I

'égubers d'1, 70 m. ivalles /1

Dimensions des saiqnées autoriséespour des carreaux d'épaisseur 60 70 et 80 mm

mlgi. 0.Km otz dA mlzl'.' 5m ' * Y W' 7' - zl. . y x--> * (

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. , Nst, t' mini. 4.$0m. i ' ' -w. Imini. Q:pm. l j xwt j ' ' 1 ' ) xwtxx

- xi. 4.20 m. ' . ' 'e z/. qpm...z '

La pose de conduits électriques est liée à des règles strictes définies parIa norme.

Sécurité -lLe conduit encastré se pose dans une saignée faite selon Ies rê-i

Wes suivantes : 9' --- L'encastl'emelkt en tracé oblique est interdit. lI1 - d-es e/lcastrer7perlfs horizontaux sont interdits au-dessus et au-j dessous des ouvertures. 1,- Les ctrt-/tk/ls ne do/tzer?l pas comporter de raccords sur leurlparcours erlcastrf, f'l I'excepthr) r-?iq Geux r?t:ll/assl?/rt?s iù la /((M?rJl/(?r? ahzec'tas plà/?c/?ers. ' l

- Les saignées horizontales sont interdites dans Ies carreaux jen p//i//'e de 50 mm d'épaisseur. lj - Les sa/g/pées I3(:t st?l?! exècutées :/t2 'ap//s séchage corrplet (Jes I/()JJ?rs e/ racct-y/s.

.- Les sa/grqttes sollt éllrttcultjes /? Ihide de machines spéciales érainurer per.rpe/lar)! de réçjer (Je mallière préc/se /a profondeklr de /a sa/-1pro. e. I- Le recouvrement du conduit après rebouchage aoit ilrre au jminimum de 4 mm. # sel'a taxectp/ë akzec de la crw//e Jatlleau page 582. l

L'évidement pot/c /es boîtes d'encastrement ou Ies boîtes de l- jdén'vation s/ féira ii Ja scfe ctoche. f

Dimensions des saignées autoriséespour des carreaux d'épaisseur JOO mrrl

-muxi. z c'n. 1, ' p9ni. 5m. ' '

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La ctlle Jr- e C) 0-0 ?'n es r l'lL'v''ihte. ar'>.lt/1'J. t? tv tz i?//i? qrl ' /. z-?L) JT7 c7.. t-'9 r?'7

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Page 58: Maconnerie - cloisons - carrelage

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NoteLes safgnées

pratiquées dansdu carreau Iégerisolant ferol?t /1/7-jet Ju Jépcèl d'unccgdco de colle erppourtour et dar)s lefor?tf de /à salnnèeatl moment de Iarnjse en place Jt/Conöuit.

TABLEAU DES PROFONDEURS MAXIMUM AUTORIS/ESEN FONCTION DE L'éPAISSEUR DES CARREAUX UTILISES

épaisseur de Ia cloison i50 1 60 70 100en mm jProfondeur maximum de ; j20

j 20 20 25(a saîgnée en mm

Diamètre extérieur maximum l1 6 é 16 r 16 20des conduits en mm 1

La méthode de fixation d'objets sur une cloisorl en carreaux de plàtre dé-pend du type de charge.On peut considérer qu'il y a 2 types de charges : la charge ponctuelle

et Ia charge filante.La charge ponctuelleC'est Ia charge maximale (à ne

pas dépasser) en un point.Le poids de I'Qbjet (en kg) multi-

plié par Ia distance (en m) de l'axede I'objet à Ia cloison doit ètre infé-rieur ou égal à 30 kg par mètre.

e = 0,30 mP = 1* kgM = e x P s; J0 kgim% #

Page 59: Maconnerie - cloisons - carrelage

La charge filanteC'est la charge répartie

sur l'ensemble de I'objet àfixer.Elle doit être inférieure ou

égale à 1 5 kg pour 1 m li-néaire de cloison.

l 4g m. o -- .- - - - ..y. .0,#......-- . - - - .- .....oav ' :

. .t'*

1 ()#j,,1 Qt%I 1 x: yyyjI

e = 0,20 mp = 75 kgM = e x15 kglm

LA FIXATION D'OBJETS LéGERS (iusqu'à 15 kg)En carreaux pleins elle se fera par I'intermédlaire de crochets à tableaux

maintenus par 1 à 3 pointes en acier.

1 pointe en acier Jztirrr'elt2f.?e suspecslLïm tJ6? 5 kg.

2 pointes en acier permettent , /Llne susptwptî/tlr? de 10 kg.

3 pointes en acier pfgl'rpefle/'l!tv'Ile stysper/srp Ue 15 kg. z.

. .. '. . . t7

LA FIXATION D'OBJETS DE POIDS MOYENSùusqu'à 30 kg)En carreaux pieins, elie

se fera par l'intermédiaire dechevllles classiques ou à ex-pansion, ou par des chevitles ' ' 'autoforeuses.

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1 C/ltf?k'W/s Q-vosslLittes el q'lBxpartslon

2. (Dletzlzres a(, r/o/'eë./ses.1 . 2

LA FIXATION D'OBJETS LOURDS (supérieurs à 30 kg)

consok steporrpkqy(k ?pz l

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I '7>s i. - - - - -62 ! tk#- - - - - -. . r* t ;

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ArT*!'Fzmm

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Elle peut être réaliséede 2 manières différentes :. Par une fixation traver-sante métallique commeIe montre le dessin. L'évi-dement du mur côté pla-que se fera au burin ouavec un vieux ciseau àbols. Le creux restant se-ra bourré au plâtre jus-qu'à affleurement.

. Par une incorporationd'un taquet en bois dansIe carreau. La profondeurde l'évidement ne devrapas être supérieur à iamoitié de l'épaisseur ducarreau. L'évldement tail-Ié en trapèze tout commeIe taquet, sera bourré auplâtre.

. - tcqvet en b&sj .. . ,, .j0ï50 , ws a booI1.

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rrc.g a/ pâtre). .

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ILïi,kL é? r? :9 ; ) t;l i7 1' .''? (; ( ) ' /E; r9.c:7 !/ t9?-: (;$ 'ttr'? !(T? ('/ t''tï? l (?/ ? ,ljt t'?? t;

NoteLes fixations, pour des

charges supérieures J)l 5 kg, dans Ies carreauxaVyptjs inolants s'e ferontpar taquet en bols #lcchr-porè.Les lkat/tvps, pour des

cturpes supèrieures /1? 5 #p, Jar?s Jes carreauxa/vèo/és se feront par bka-tions traversantes ot/ parfatwers ert tno/ls.

A.

Page 60: Maconnerie - cloisons - carrelage
Page 61: Maconnerie - cloisons - carrelage

La plaque de plâtre résistant au feu est, quant à elle, de couleur rose.

La plaque de plâtre présente des bords Iongitudinaux amincis (sur laface beige-lvolre) spéclalement conçus pour facliktef le traitement des jointsentre 2 plaques consécutives D'0ù le nom de B.A. (bord amlncls) sulvi d'unnombre qui indique I'épaisseur de Ia plaque (B.A. 13. B.A. 1 8, etc.)Piusieurs types de plaques existent )- Ia plaque standard.- la plaque hydrofugée tou marine),- Ia plaque spécial cintrage,- deux plaques prenant en sandwich une structure alvéolaire,- Ia plaque pour rénover un sol,- Ia plaque associée à un isolant collé (plaque de plàtre + polysty-

rène expansé c)u extfudé ou mousse polytlréthane c)u Iaine minérale).- Ia plaque rainurée décorative pour la correction acoustique.- la plaque résistant au feu, etc.

L'objet du présent chapitre n'étant que de traiter les cloisons (dansIe domaine privatif), seuls Ies 3 types de plaques suivants seront abor-dés :

- Ia plaque standard,- la piaque hydrofugée,- Ia plaque spécial cintrage.

Elle est commercialisée en plusieurs Iongueurs, Iargeurs et épais-seurs. Elle est constituée d'une âme en plâtre protégée par 2 pare-ments en carton spécial qui lui donnent rigidité et sudace plane etIisse.Créée i! y a 50 ans environ, elle n'est constituée que de matériaux na-

turels (plâtre et carlon) sans danger pour Sa santé, Sa composltion Iui con-fère des qualités certaines à I'isolation thermique et phonique (associéeà Un isolant) et à Ia protection contre I'humidité.Sa surface étant plane et Iisse, elle offre, apfès traitement des joints et

application d'une sous-couche de pelrlture, une face prête à recevoir enfinition un revêtement mural, papier peint, tissu, fibre, peintufe Ou carfe-.age .

La plaque de plàtre présente 2 faces de couleurs dsfféfentes :- une face recouverte d'un carton de couleur beige-ivoire, c'est la

face avant ou extérieure de Ia plaque (celle qui recevra en finition la déco-fatlon) '

- une face recouverte d'un carton de couleur grise. c'est Ia face ar-rière ou Intérieure de Ia plaque (ceile qui sera adossée pour vissage à lastfucture métallique).La plaque bydrofugée est de couleur vert clair pour sa face avant et

gris-vert pour sa face arrière,

Page 62: Maconnerie - cloisons - carrelage

PRINCIPALES éPAISSEURS, DIMEjSIONS ET POIDSDES PLAQUES DE PLATRE

1 @ Dimensions l Poids! lpaisseurs 1Types de plaques j ! courantes l en kg

en mm ( j zI en m au m1 5

:.A 6 ) 1,ap x a,ca ! .s,2l B.A. lo .i 1 ,2o x 2,00 iE B A lo r 1 ao x 2,40 1I B A. lo j 1 ,2o x 2,50 !;

B.A lo r 1,20 x 2,60 jk-.- - - .- -- - ...,. ---.y -.-I B A 13 *-'1 1

,2o x 2,401 B.A. 13 l 1 ,20 x 2,s0 l1 ! 1 x x apo 5BA. ,3 , j1 1 10,2B

.A. 13 ( 1 ,20 x 2,80 j1 B.A. 13 t 1,20 x 3,00 $11 j

J B.A. 13 l 1,20 x 3,60Plaques standard ..).)----.....-.-- -

. .t .--. .-. --.-...-@ O 60 x 2,50 1I B.A. 13 ,

1 ! l 10,2B.A. 13 j 0,90 x 2,501 . i

1 B A 15 j 1 ,20 x 2,50 i

j . . j j z j! B.A. 15 j 1 ,20 x 3,00 é 'r- -..-.- ------ - .-- ..--y-- -.B A. 18 1 1 20 x 2,50 j. j , r y4,gB

.A. 18 2 1,20 x 3,00

j B.A. 23 1 1 ,20 x 2,50J 0 90 x 2,50 1t B

.A. 23 ,1 j1 B.A, 23 ) 0,90 x 3,00t

- .- -- - - . ) - - 1. -

Plaques hydrofugées 1 B,A. 13 ! 1 ,20 x 2,50 1I 1

)ou marines (pour ( B.A. 13 j 1 ,20 x 2,60, jIes pièces d eau - h B.A, 13 j 1,20 x 3,00 j

salle de bains - l B.A. 13 l 0,60 x 2,50 1cuisine - W.C.) : i !

;ë Plaques : Cloison j. jy---- -- ---.---2-- .i 1 20 x 2,50 iPanneau constitué de ; 9

,5 l 50 , , , x.aIaques de plâtre l 9,s 1 so i o,6o x a,so 'j ' ' '2 p jà bords amincis y----.- -1-- ' --- ---j--12 5 1 72 ! 1 20 x 2

,50 i 22,4prenant en sandwich C ' ( f ,) - E iune structure 1! :

alvéolaire ï ; ! I) : h

' Eparsseur reeile 1 2 15 rnnn

PRINCIPELa réalisation de cloisons avec des plaques de plàtre consiste à visser

ces dernières sur une ossature métallique constituée par des rails ho-rizontaux et des montants verticaux (profilés en acier galvanisé), assem-blés par vissage suivant cedaines règles (distance appelée entraxe entremofltants verticaux) dépendant essentiellement de Ia hauteur sous plafondà réaliser.

Pool' '''e ''-f''?t.)/prage d 't/?'?e s?r? ,p/'(:? ciolson (7/e p-lase ôtptlr/t; 't'.12. (î0 .n-, rle haut. etkr/. Ies montants verticaux s(l/Tl uniquesel J/spclst)s a t/'') enfraxe de 60 cm. Ct?s c/ercpè/'s ssoîît erz'-/-loirtis (7'ar7s a'etix ca/'s ilorizo/îta. t/x :''.sol et ,r.l.?aJr;/ lL'b.Lc'/'s(2tJe fa hauteur stlë/s Dlafonlj es! plus l'rrlportante.

,l' st-l/'a alors .l'liècessa/re J' e rigidifier I'ossature o' ? ;.)?'(.)ctt'-t.-ïéqd :' ? ( ('.7.(? .11 7 174,) 1ï1 r ? I é) /'t? é) t i / !.'é? /-) lé'? '

..-. réduire I'entraxe de 2 montants verticaux con-sécutifs é 40 cm.

- doubler Ies montants verticaux en Ies position-nant dos .,:1 dos d/lou'/clurs avec t?/' elitraze de (q() c??)).

- réduire I'entraxe des montants verticaux li 40 cmtout en Ies doublant t't7'c)s à (J'os7.

Pour tous Ies exemples de montages de cloisons décrits aux pages 64à 68, des tableaux donnent 1es hauteurs maximales de cloisons à respecter

NoteLes rrlclr/taqts de Ihr-

getkrs 48, 70 et 90 mmperrrlelter)l de réailner paremboîtement un Jf-/l?c rec-(angulake (?tJ aora 1& rë-sistance J't?rq molqtantdouble tout 6'n présentantI'encombrement d'tlrlmontartt s'Fmp/e.Ceffe astuce per/wer

également p/b/alenl/aq d'urtmontant J'er7rtycé, dans Iecas de montage d'ht-psse-rie avec pclrte p/ejne.

Page 63: Maconnerie - cloisons - carrelage

Avant d'aborder le problème des diverses possibilités de réalisationde cloisons en fonction des pedormances qu'on en attend, voyons Iesdifférents profilés standard disponibles sur Ie marché, nécessaires à Iaconstruction de I'ossature sur Iaquelle viendront se visser Ies plaques deplâtre.

LEs PROFILéS EN ACIER GALVANIS; : RAILS ETMONTANTS

DIFFERENTES LARGEURS ET LONGUEURSDES PROFILéS

1 Larqeurs en mm i uongueurs en m! '''' 1

Rails 1 a6 i a

1 48 1 3

1 zo r 3p -- q -.-- -- -------.-------l j

Montants i 36 l 2,49 - 2,59 - 2,79l i 2,99 - 3,1 9 - 3,39p 48 l 2,49 - 2,59 - 2,7gl E' 2 99 - a,19 - 3,391 ,

'

j' i 3,59 - 3,99i 70 I 2 49 - 2,59 - a,g9j ! '

a s9 - a,(sl ,

1 90 1 2,49 - 2,99 - 3,591 3 991 i - 1 . . Deux r'lnfnrqrét.rlrs ae At? /'7)r7l

tEy'ptl()JtGs d' os :?. dtls (7'J7r)sù.,') ra :1 c'e /-Q cf'rl';

@ :%to'î((?o s: s//?4 'n/e''' L-Ie a? O /47. 'n/ . . u. , t 2 ., LJe,'nkboites ûatz.rv tprl rail' dea c. ,)q?.?)

2 '/?'s a t/l:?. J3 erc euses 7. T I-'- CI-l-ôïe ''rtorl7p e/''e JDo/rlle o'-'lokij'. u.

:?. 'VZ' f'-: (tLlt (? r) i? rtl (lt/él é?tq V-f 'Lî. rcrn f7' B 1?' c) ' ) '4e /V7 (î? / e .f7'()r#5 i , . hr F.w rta . u -..,rlou' :'r p''a j4a qlolî 'Jes ra. /?.s et tl'tt?sb .

nlfLvîtbzl ?'? ts

r

Page 64: Maconnerie - cloisons - carrelage

LA CLOISON DE DISP IBUTION CONFORT jN 72 MMD'/PAISSEUR MONTEE SUR OSSATURE METALLIQUEDE 36 MM SANS LAINE MIN/RALE

rail de 56mm.-... .

' moltknt

.. de s6mm.

.. N

')

4 plsue :&%

mil de z*mm.

Les 2 exemples (desstnde gauche et dessln enpage de droite), montrentdeux constructioqs quasimentidentiques hormls que, dansIa coflstruction de droite, unpanneau semi-rigide isolantacoustique en laiqe mknéralea été inséré entre les plaques(je plâtre, ce qui modlfie con-sidérablement Ies isolationsacoustiques et thermiques(voir tableau comparatif ci-contre).CONSTRUCTIONCette cloison est construt-

te avec une ossature constp-tuée de rails de 36 mmd'épaisseur et des montantsde 36 mm d'épaisseur. Deuxplaques de plâtre de 1 8 mmd'épaisseur viennent s'y vis-ser.La mlse en œuvfe de la

cloison plaque de plâtre vis-sée sur ossature métalllqtlesera décrite pages 70 à 75.

LA CLOISON DITE DE fqDISTRIBUTION COURANTE'.Elle sert à diviser un espace intérieur d'un même logement.L'exigence d'isolation acoustique n'est pas prioritaire.

LA CLOISON DITE DE t' DISTRIBUTION CONFORT',Tout en étant destinée à diviser l'espace d'un même logement elle

apporte des pertormances plus grandes en matière de :- résistance mécanique.- rigidité.- isolement acoustique (1a parole, à niveau de conversation normale,

est rendue tl pelne perceptlble et inintelligible d'une pièce à l'autre).

LA CLOISON DITE DE 'IDISTRIBUTION GRANDCONFORT',Uadjonction d'une laine minérale (prise en sandwich) améliore très

senskblement I'isolation acoustique (ta vofx, ét niveau de conversation nor-male, n'est plus perçue d'une pièce ''j I'autre).

LA CLOISON DITE (t SE'PARATIVE D'APPARTEMENT''Destinée à séparer deux logements dans un mëme bâtiment. elle est

construite sur Ie principe de 2 ossatures parallëles non reliées ce qui as-sure une indépendance mécanique aux 2 côtés de la cioison. Cette par-ticularité de construction fait croître 1es performances acoustiques, lesbrulls de la vie courante ne sont pas perçus d'un iogement à I'autre.

LA CLOISON DITE 44 TECHNIQUE>'Elle est essentiellement destinée à cacher l'incorporation totale de

toutes les canalisations d'arrlvées d'eaux sanitaires et d'évacuations(W.C.. lavabo. bidet) et de permettre la fixation des sanitaires suspen-dus. Iavabo, bidet. W C. avec résefvoir encastré. cuvette suspendue (avecintégratlon de la colonne d'eau vanne).

LA BANQUETTE TECHNIQUECe n'est pas à preprement parler une clois/n, ptlisqu'elle se rajoute en

appui à un mur ou à une autre cloisen.Elle permet. essentiellement en rénovation d'assurer Ies mèmes fonc-

t'ons que la cloison technique avec en plus (question de goùt..,) Ia créa-tion d'une tablette.

PRINCIPAUX AVANTAGES

Page 65: Maconnerie - cloisons - carrelage

LA CLOIP N DE DISTRIBUTION GRAND CONFORT EN72 MM D'EPAISSEUR MONT/E SUR OSSAJUREMCTALLIQUE DE 36 MM AVEC LAINE MINERALE

CARACT/RISTIQUESDEs CLINSONS

U ''Cpaisseur en mm ï 7az IPoids en kg/m I 30

Hauteur maximum jen m I

I- Montant 91simple 1. entraxe 0,60 I 2,6. entraxe 0,40 i 2 91 '

- Montant - ldouble i. entrae 0,60 j 3,1. entraxe 0,40 $ 3 4

j I

ISOLATIONACOUSTIQUE

1R en dB (A)- sans laine i:minérale ; 39- avec Iaine )minérale de !)30 mm (1) j 44

ISOLATIONTHERMIQUE

K en W/m2 K o l;- sans laine jminérale j 2,11

- avec laine ,minérale de j

!30 n) n) (1) 9 0,9

( 1 ) Panneau acousttque faule ouserrljvrrgide R = 0.77 m' K''W

12) La performance de la patt?, est ca.racterksee par ia rt'skstance thefml.que B dë cette flarol. Stlmme des ré.ststances des dlfferents éltrrlents decette paroi FI s'exprrme efl m K&,'fR = 1/K Pjus R est grand, meilleu-re est Ia pedormance thermique

mil de :65 mm..- .. .

?. vonbnf

de 36mm

kqnq .x' ' j.. Ml?l2rJ e

.. l

4 pkque ô.A. dô ...-

rall de 56 mm. - .

PRINCI PAUX AVANTAG ES. Tous les avantages précédemmentcités avec en plus une très bonne iso-lation acoustique. Pour ne pas rompreIe niveau acoustique acquis, il est for-tement conseillé de mettre en placedes portes pleines avec des joints iso-phoniques.

. Le niveau d'isolation thermique per-rnet un chauffage modulé pièce parpièce.

LA CLOISON DE DISTRIBUTION CONFORT EN 98 MMD'éPAISSEUR MONT/E SUR OSSATURE M/TALLIQUEDE 48 MM SANS LAINE MINéRALE

rail #e (8mn,.-.Lfj.

. Mo tont. de ls.m.: ''ss% xx-

. zycyze, >,A.45

' -Nx ,'x l .h.xsx

. ; . .vh ,z,''

.

2 ?lavh :.A.,15

rail de #8mm '

Comme precédemment.Ies 2 exemples ci-contre deconstructlon sont tdentlqtpeshormis qtle celui de droitecomporte une laine minéralede 45 rnm d'épaisseur.

CONSTRUCTIONCette cloison est réalisée

avec des raiis et des mon-tants de 48 mm d'épaisseur.Deux fois 2 plaques

B.A. 1 3 de parl et d'autre del'ossature vlennent s'y visser.

P R I NC I PAUX AVANTAG ES. Performances plus élevées que celles citées en pages 64 colonne dedroite et 65 colonne de gauche sur Ie plan de l'isolation acoustique etthermique.

. Possibillté de réalsser des cloisons de 4 m de hauteur (sous réserve bleflsûr de doubler !es montants verticaux et de Ies placer à un entraxe de40 cm).

Page 66: Maconnerie - cloisons - carrelage

I!$d 'r . . fq ... k,' . ,W. p .

; C.

. #c.. . . . x .. jy , < .

LA CLOISON DE DISTRIBUTION GRAND CONFORT EN98 MM D'iPAISSEUR MONTéE SUR OSSAJUREMéTALLIQUE DE 48 MM AVEC LAINE MINERALE

CARACT*RISTIQUESDEs CLOISONS

épaisseur en mm ! 98l

poids en kg/mz i 421

Hauteur maximum yen m 1

1- Montant (simple

i 3. entraxe 0,60. entraxe 0,40 1 3,3

. .n !- Montant !double ' l

I. entraxe 0,60 k 3,6. entraxe 0,40 j 4ISOLATIONACOUSTIQUE

R en dB (A) jJ- sans laine

minérale I 42- avec Iaine jminérate de (45 mm (1) f 48

ISOLATIONTHERMIQUE

K en w/mz K ;h- sans Iaine kminérale i 1 ,9I

- avec iaine !minérale de !45 mm (1) ; 0,7

f 1 ) Parlfvatl DCOUStIQVIP fotilé ()t;seml.l/glile F? = 1 .07 rn K/'W

tail (/e 48mm. . .

. yinq. '

miMc16 m>/W( i,sm.

/ , . . '

'/> ues .--2 ( j u

rail d6 48mm.' '' '

PRINCIPAUX AVANTAGES. Dans un même Iogement c'est Ia cloi-sOn haut de gamme. Ses performan-ces acoustiques permetteqt de sépa-rer les activités jour/nuit. L'utilisationde portes pleines à joint isophonpqueest fortement recommandé.

. La Iimite de hauleur d'emploi est éle-vée.

. La bonne isolatlon lhermique permetde couper le chauffage dans une piècesans perturber le confort et Ia régula-tion de l'autre.

LA CLOISON DE DISTRIBUTION CONFORT qN 120 MMD'éPAISSEUR MONTéE SUR OSSATURE METALLIQUEDE 90 MM SANS LAINE MIN/RALE

r/// ye Somm.

#y.. lh,j.js

. . ntant& s0 mm.

1 d 50 6*1 V -- ''--f. 1 *

tat'l de 5t) mm..-''

CONSTRUCTIONCette cloison es1 réalisée

avec des montants et desrails de 90 mm d'épaisseur.Les montants verticaux

sont doublés (dos à dos).L'ossature est parée d'une

piaque de plâtre B.A. 1 5 dechaque côté.

PRINCIPAUX AVANTAGES. Tous Ies avantages des cloisons précédentes,

. La fode inertie des montants permet à ce type de cloison des hauteurslimites d'emploi très èlevèes.

. Polds au m' relativement faible.

. Une bonne isolation acoustique (voir tableau ci-contre page 67 cosonnede gauche).

Page 67: Maconnerie - cloisons - carrelage

l')1 .1 ..-l

' t l .

' . .. j '. ' '. . (L .' . ' 1.' % * W '% . u

LA CLOISON DE DISTRIBUTION 9RAND CONFORTEN 140 MM D'/PAISSEUR MONTEE SUR OSSATUREMITALLIQUE DE 90 MM AVEC LAINE MINéRALE

CARACT/RISTIQUES DESCLOISONS

Cpaisseur en m m 7-,20 j 14op .1-Q

jPoids en kg/m2 ! 25 421.

Hauteur maximum 1 ilen m ! j

I !- Montantf' .-..7 1 !simple ''-- &. i I. entraxe 0,60 1 3,7 I 4,41

4 1 I 4,9. entraxe 0,40 ,1 !- Montant ' 3 O ' '

. 1 Idouble - 4 .., é I. entraxe 0.60 i 4,4 ! 5,2

1 4 8 5 8. entraxe 0,40 , ,1

ISOLATION ACOUSTIQUE

R en dB (A) 1j j- sans iaine ! k

1 : j -minérale 3f g- avec Iaine 1 ?inérale de ' im j

; 53100 mm (1) j - ,

ISOLATION THERMIQUEc K l T--K en W/m l

!- sans Iaine 1 iEminéraie 1 2,2 j -

laine i @- avec 2 (minérale de ! k1 00 mm (1 ) i - lj 0,35

( 1 ) Pafnseakl atrtlstlqtlil rtltalé ()LJ Seml.rlgldeR = 2.65 r'l' K/W

. Très grande hauteur limited'emploi.

. Très bonnes performances d'isofation acoustique et thermique.

. lmportanl vlde Interne permettant de placer de nombreux réseauy sa-nitaires et électriques.

? ?lalues ).A,1J;'

tnil de b0mm..-..

:

'

'

.. monkztde S0 mm.

à/be ip/rérd/e

k'1 FCIUM ' '6Z.1J

twil de S0 mm. . -'''

CONSTRUCTION

La cloison ci-dessus est réaliséeavec des montants et des rails de90 mm d'épaisseur.L'ossature est parée de deux fois

deux plaques de plâtre de 1 3 mm.

PRINCIPAUX AVANTAGES

LA CLOISON SéPARATIVE D'APPARTEMENT EN 140 MMD'#PAISSEUR MONTéE SUR UNE OSSATUREMETALLIQUE ALTERNéE AVEC RAILS Dq 90 MM ETMONTANTS DE 70 MM AVEC LAINE MINERALE

CARACT/RISTIQUESDE LA CLOISON

; = -' -Epaisseur en mm i 1402 r 46Poids en kg/m

!'t --'-Hauteur maximum 4en m !

I- Montant jL

. .-..1 !simple 1entraxe 0,60 j 2,8

- Monhnt t idouble *-.- -= jentraxe 0,60 i 3,3l

ISOLATIONACOUSTIQUE

R en dB (A) .avec laine minérale '

t 60de 70 mm (1)!

ISOLATIONTHERMIQUEa K 7K en W/m

iavec Iaine minéralede 70 mm f1) 0,55

4 1 h Paflrleau acoustgque roule c)usemi-rltllcje Fè = 1 .67 m' KJW

2 ?lape; b.A.,15rail 4 S0.m. 'îx

' ? monknï ..l. dn yg mma :

Iqlàe mfnzre/e

f .,.-/ z/.,,, . '

t p/c' 'f ves '>.A.15

rafl (8e 90 mm. -..-',

j z x 4 2.56i .: i: a !. ,)'à' . k '

l g'-. - . .- -. 1! x 4 $! ,!;

PRINCIPAUX AVANTAGES. L'alternance des montants ver-ticaux fait que 1es parementsopposés sont mécaniquementindépendants I'un de l'autre.

. Le poids, pour une épaisseurde cloison de 1 40 mm, n'estque de 46 kg au mE !

CONSTRUCTIONLa cloison ci-dessus est réaiisée

avec un rail de 90 mm dans Iequelsont vissés des montants verticauxde 70 mm de manière aiternative(un montant prend appui sur Ia gau-che de I'aile du rail Ie suivant prendappui sur Ia droite et ainsi de sulte).

Page 68: Maconnerie - cloisons - carrelage

LA CLOISON SIPARATIVE D'APPARTEMENT EN 200 MMD'#PAISSEUR MONTEE SUR UNE DOUBLE OSSATUREMETALLIQUE INDéPENDANTE DE 2 X 70 MM AVECLAINE MIN/RALE

CARACT/RISTIQUESDE LA CLOISON

Cpaisseur en mm è 2o0Poids en kg/mz l 48

-1--.. ..--imum iHauteur max

;en mlMontant

1ê(' ,. ... .-.''ii.. .. !simple j. entraxe 0,60 I 3.2traxe 0,40 l 3,6* en 1

- Montant ''''r-''x ?.,t..., . . ; ,double v- ë

. entraxe 0,60 3,8traxe 0,40 i 4

,2* On :

ISOLATIONACOUSTIQUE

R en dB (A) 4avec iaine minérale kd 85 mm (1) :1 65e

!

ISOLATIONTHERMIQUE2 K V-K en W/m

!avec laine fntnérale 'de 85 mm (1) 1 0,45

I

P q

72* 1>: mxw s

& Dmq.w

L é/xmlncjk

'

)

.M

1 /2 #qlks'hA'. 45

2 rah de ?o mm. .CONSTRUCTIONLa ciolson ci-dessus est réalisée avec

2 ossatures paraltèles et indépendantes de70 mrn d'#paigseur espacées J'1 cm.2 x 2 plaques de B.A, 1 3 viennent en

parement.

Panneau actlusllqu/.p rotjie (3t1serlll.rk(;l:1i? R = 2.02 :47 l(J$V

PRINCIPAUX AVANTAGES. En aménagement des combles ou en rénovation, la double ossaturepermet de s'adapter aux éventuelles differences de niveau des plan-chers ou des plafonds.

. Les per-formances acoustlques et thernltques sont senslblemenl amé-llorées par les 80 mm de lame d'air.

. L'inerlie des montants autorise une Iimite d'emploi élevée.

1 et 2 : CLOISONS S/PARATIVES / OSSATURE ALTERN/E3, 4 et 5 : CLOISONS S/PARATIVES X OSSATURE DOUBLE

5 : 1 j '. 2, - i s cj/ irum.EXEMPLES j o E i i! % E t $ v ! : r''-- j q gwE2 :9 -s 1 3 G s l .42 g E 3 = = tn w .D E I o x r jy N ! o . c y .1 *p = f .1 E RcoNsTnucTloNs i X c ( e) z E I zm 7 * O o Io : O t cl o o E ! .52 o .: s œ( i *d q i q: a: ; a; 4) q'

1 j?. x 11. .5 g ë jI 1- . . j 48 j ; E

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AUTRES EXEMPLES DE CLOISONS SéPARATIVESD'APPARTEMENT

Page 69: Maconnerie - cloisons - carrelage

LA CLOISON TECHNIQUECONSTRUCTIONLa cloison est réaiisée sur une double ossature comportarlt des mon-

laqts spéciaux renforcés de 48 mm et des supports sanitaires spécifiques.2 x 2 plaques de B.A. 13 hydrofugées (marlne).

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PR I NC l PAUX AVANTAG ES. Rutes 1es canalisations sont encastrées.. La cloison peut recevoir, quel que soit Ie fabricant. des appareils sa-nitaires suspendus (sous réserve qu'ils soient conformes aux normeseuropéennes).

. La cioison peut supporter des charges supérieures à 400 kg (appareilssanitaires).

. Très bon isolement aux bruits d'écoulement des fluides.

. Grande sécurlté en ambiance humlde grâce aux plaques hydrotugées.

. Tous les sanitaires étant suspendus. Ie sol es1 entièrement dégagé, cequi procure facilité d'entretien et hygiène et une mise en valeur descarrelages cerlaine,

LA BANQUETTE TECHNIQUECONSTRUCTIONElle est identique à celle de ia cloison technique (mêmes profilés et sup-

ports) à la différence près qu'elle est accollée à un mur otl 41 une cloisonsans aller jusqu'à plafond.

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P R I NC I PAUX AVANTAG ES. De grandes possibilités d'aménagement sur mesure.. En rénovation elle permet I'encastrement des canalisations sanitaires.. La banquette technpque permet de recevoir, quel que solt Ie fabrlcant desappareljs sanitaires suspendus (conformes aux normes européennes).

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Page 70: Maconnerie - cloisons - carrelage

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A' LA S C l E E' 1' N E

Si la pose de Ia plaque doit com-porter des découpes en angies (pas-sage de poutres ou de canaflsations)celles-ci se feront bien évidemmentà la scie.

MANUTENTION DES PLAQUES . g....':z.'. - ' -b .;'.k>' t . èrl .

La plaque de piâtre se transporte sur - .. (chant, c'est-à-dire verticalement, sa grandelongueur parallèle au sOl, Paur le Jéplace-ment à une personne, d'une plaque, i! existeun accessoire spécialement conçu, consll- 'tué d'une ff poignée-manche )' reliée à un .k.L.crochet. Le déplacement tt 2 personnes 'j $

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d une plaque se fait toujours sur chant. . @'. . . y. .y.. ' y-.. lt *; . - . ..' '% ï .. =' '' X'. gtap ! ' .. :

STOCKAGE DES PLAQUES . ''/w'u .

Les plaques doivent tottours *tre sto-ckées à plat à l'abri des intempéries, surun sol parfaitement horizontal. La pile doitreposer sur des carlets d'au moins 1 0 cmde Iarge, espacées au plus de 40 cm (dansces conditions, il est possible de superpo-ser jusqu'à 5 piles de plaques).

Notel-es travaux de cloison-

nement ne peuvent ilreentrepris tpe Iorsluu /esplafotms sont posës e! /esdoublages de mtzrs exté-rieurs lerrrl/hés.

COMMENT COUPER UNEPLAQUE ?Cela peut se faire de 2 maniè-

res : au cutter ou à ia scie égoïne.

AU CUTTER

JXCOJ L1(.t Cr'(3 /tJ J ) tzù-)S L'ICCOL .,470. S .7' t is'( .'77LZ)t) t/fi)El (li? tif/'él 6à:l. /Zh()6)/J?C1/'ri (?;T L?(Ir ?i? */'Li(? é?o'r')e r'eg/t? /??e?J1//.'()t ze. ylvet'' Ie .'-'t/ $?'e ;' erl:7. r?/:) t tt t', ( (j? t // ti/dl ?:2 é? '' 762 (2/ 7 kïï'r ? / ti/t'? /'c;? ? (?L)?. /t:?.iïq l 7 ! Ji /lJi? zèr rtq' tr Lï1 qr (:1.,7 i ? t ,/fi r-l I('î r ('ç? t:/ (:i ?b' 2 é() (T ï?hetge (?e la plaplle .'' I ).zqï! t./t? é ,'.1; t;/',.t;/r-? (.7.33 t?- .@r t ;/ '.' il ) f? tc'. ? t )/f? .L?1. ) /'/) é? i.'i ? n? .menl Jrar/o'e. p/ac (?z ja p/aque en !'.7tJ/'!e-a-fauv. e 1) ba/t'../ b'.fe latvt? é:?!' ca sê.x.t.)z (1 t7/ 'coo.o sec J'2')

DéCOUPE DES BOîTIERS éLECTRIQUES

* * . JIv- :

DISPOSITION DESPLAQUESLeS plaques sont toujours dispo-

Sées de manlère tl ce qUe Ies jointsen correspondance avec Llrl m#memontant soient alternés d'un pare-ment à l'autre

RemarqueLes plaqves de p/llrc se cou-

penl J) hauteur sotls plafondmo/r?s 1 cr4?. Les plaowes da/esltovcher Ie p/aforlct /e iell (1 CrT?Jesl Iatsé e/: c'a/-l/'e basse. Lors de/a pose. // faudra lrrlerca/er tz'rpeca/e (:/ ' 7 crp entre le soI et Ie tldsöe /a piLznt-'e (7t/ titîlYer tpr? (7:.//.,/'spécial appefré sotllève p/atpe.

La 4èco(17e se fait à la scie clo-che. Vous uliliserez des boîtiers àgriffes spécialement conçus poufIa plaque de plâtre lnterrupteurs. prl-ses de courant ou petites boîtes deconnexions utlfisent Ie méme boîtler

Page 71: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Lors du montage d'unecloison à double parement,Ia deuxième plaque est dé-calée par rapport à la pre-mière.La jonction entre 2 pla-

ques se tait toujours sur unmontant.Les vis sont espacées

entre elles de 30 cm et sontdisposées à 1 cm minimumdes bords de plaque.Lorsque Ies montants sont

doubles, le vissage se faitalternativement sur chaquemontant.

Cloison simpleparement

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./ 'aur/'e pt-lt/r Iijln/cat/tle el

Jéca/fl's entre /ae ! Ia ,?clt/c/?e.

Cloison doubleparement

VISSAGE DES PLAQUESUtillsez des vis autoperceuses de type T.T.P.C. (Tète Trompette Pointe

CIou).En vissage sur profilé métallique, la Iongueur

de Ia vis doit être égale à I'épaisseur de la pla-

j que + 1 cm ; en vissage sur un profilé en bois,lt-is sa Iongueur doit être de I'épaisseur de la plaque+ 2 cm.

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LES LIAISONS AVEC LE SOLEq domaine privatif, dans Ies pièces humides il est forlement recom-

mandé d'utiliser des plaques hydrofugées (dites marines). Elles sont in-contournables pour les parois soumises au ruissellement.

Exenwles de montaqes, en pied de cloison, pour une paroinon soumise au ruissellement

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Exemples de montages, en pied de cloison, pour une paroisoumise au ruissel?ement

LES LIAISONS EN T ET EN ANGLE

Llaçson en 'P

Page 72: Maconnerie - cloisons - carrelage

LES LIAISONS EN L

LES LIAISONS AVEC UN PROFILE' ME'TALLIQUE OUEN ARRE-T DE CLOISON

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r LES LIAISONS AVEC UNE HUISSERIEt. . *) METALLIOUEf-u a

af.Suivant fe fabricant, certaines huisseries m1 fiI soudé à j'inté-- ! liques présentent un contre-pro

rieur des montants, permettant le vissage directd'un montant (!).

Si I'huissefie ne possède pas ce contre-profil, Ia Iiaison se fera par I'in-termédiaire d'un tasseau en bois encastré dans Ia cloison (2), el vissé àl'ossature ou dans l'huisserie (3).

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LES LIAISONS AVEC UNE HUISSERIE EN BOISLa solidarisatlon de chaque montanl de l'huisserie à I'Ossature sera as-

surée par 4 vis dont 1 en pied.

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Arrét de closot) par' tprle balàde c?eIa/atltki?.

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LE CINTRAGE DES PLAQUES DE PLA-TRELa plaque de plâtre ne permet pas uniquement de réaliser des cloi-

sons rectilignes, elle offre également Ia possibilité de créer des arron-dis par la réalisation de cloisons courbes (ou des voûtes cintrées, mais cen'est pas I'objet du présent ouvrage).

à I'inverse de Ia cloison rect'-Nole li ne oqj la longueur de la plaqueSetp/es 3 Jpasselprs de pla- est généralement disposée vertica-

ques ccmkfeflser?f et permeflenl lement, en cloison courbe le déve-fe cintrage : Ia p/acpe spéok'?i c/h- Ioppement du cintrage sera réa-trage e/n 6 f'nf'n e! 1es p/atwes Iisé avec des plaques mises enstandard en 10 rr?rrl e! 13 mrr?, œuvre horizontalement.

Un rayon minimum de cintrage est toutefois conseillé, il est de :- 0,90 m (plaque à l'état sec). 0,65 m (à I'état humide) et 0,40 m (à

I'état humlde avec préformage), pour une B.A. 6,- 1,60 m (à l'état sec), 1,20 m (à l'état humide) et 0,70 rrl (.'j l'état

humide avec préformage), pour une B.A- 10- 2 m (à I'état sec), 1,50 m (à I'état humide) et 0,90 m (à I'état humi-

de avec préformage), pour une B.A. 13 et ce dans Ie sens de Ia longueur

Page 73: Maconnerie - cloisons - carrelage

Plus le rayon de cintrage est petit, plus la mise en œuvre de Ia pla-que est délicate. h l'évidence, il est beaucoup plus aisé de cintrer une pla-que de Iargeur réduite. La B.A. 13 étant fabriquée en Iargeur de 0,60 m.il faudra donc, de préférence, privilégier ce choix.

POz1l' un rayon supérieur â 2 m, le cintrage de Ia B.A. 13 se ré?/!sans précaution particulière. lcluplffos, l'entraxe maximum des mon-tants verticaux /? respecter sera de 40 cm.

P()tk'?' un rayon compris entre f,-uk.-2 m et 1,50 m, Ia plaque B.A. 13 Q ..;sera posée surz tréteaux /égêre- -)

,)'-kment écarlés. et mouillée parpro-, t . 'ï

jection d eau c'l 2a brosse (?tk pnorn/- )J/f/(je Lb / 'éponge. L'entraxe entre #.r , ..montants verticaux se/'a de 30 cmau maximum .Ptlur un rayon compris entre

1,50 et 0,90 m, toujours en mouil- iIIant et en aidant au préformagede la plaque. l'entraxe entre mon-tants verticaux sera de 20 cm aumaximum.

MISE EN G UVRE DE L'OSSATURE MéTALLIQUE ENCOURBELe traçage au sol de l'arcondi de fa cloison sera effectué avec Un compas

de tortune réalisé avec un clou (Ou vis) et une ficelle reliée à un crayon (leclou ou Ia vis servant de pointe sèche).

DITERMINATION DU CENTRE DE L'ARC DE CERCLE ATRACEBProlongez Ie tracé des cloisons, I'intersection des Iignes A-O et B-O dé-

termine Ie point 0. Prenez comme rayon Ia distance O-A ou O-B (qui doitêtre la même) dans Ia limite minimum de 0,70 m (pour une B.A. 1 0).Tfacez un 1.'' arc de cercle A1-

A2, pointe du compas de fortune enA.Tracez un 2* arc de cercle B1 -

82, pointe du compas en B.L'intersection des 2 arcs de cercleA1-A2 et B1 -B2 vous donne lecentre de I'arc de cercle de votre fu-ture cloison cintrée, Ie point C. BCe centre C trouvé tracez, tou-

jours avec votre compas, l'arc A-B.

Le report du point C au plafond se fera à I'aide du fil à plomb. Ce pointmarqué au plafond, tracez sur ce dernier, toujours avec votre compas, l'ar-rondi haut de Ia cloison.Les traçages bas et haut réalisés, il vous reste à fixer Ies profilés de

sol et de plafond qui maintiendront les montants verticaux.Ces profilés pourront être soit :- un rail qui sera cisaillé sur une aile et Ie fond tous les 8 à 10 cm

environ (1 ),

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- deux cornières positionnéesface à face de manière tt former unU, et entaillées tous 1es 8 à 10 cmsur une aile comme Ie montrent lesdessins 2 et 3.Le cisaillage vous donnera au-

tomatiquement un cintrage natu-rel, il ne vous reste plus qu'à fixerpar vissage (1 vls entre 2 entasrles),Ie raii ou Ies cornières en suivantpadaitement Ie tracé au soI et auplafond, précédemment effectué,Les montants verticaux position-

nès dans ,es prefiiés bas et haut (aub0n entraxe), Ie vissage des plaquespeut commencer. Pour cela, posi-tionnez et maintenez provisoire-ment votre plaque avec des petitsserre-joints et démarrez le vlssageà I'une des extrémités et en pro-gressant montant après montantà raison de 2 vis minimum par mon-tant et 3 en bout (4).

Page 74: Maconnerie - cloisons - carrelage

Remarque --- --Pour /'tltnre/?r/br? d 'une

pa/-fa/le contlnuité Ja/'?s /aceurbure, il est recom-mandé d'assembler /esbouts dtl plaque er? partierec////lgr?e (17. 1'1 est Jécclr:-sellé d 'effectuer t#? rac-cord en part/e cirltrée, car/e méplat ainsi criitj e&ltrès J//f/c//e tj rattraper,rr/lrne e?7 chargeal?t at.kjoibtoyage. E'/1 cloisonscj/plrtjt?s at/ec parementdouble (2 p/a4ues super-pclséesyl, Ies ytl/rlls verti-cau'x sont O/ii//kaltlkfrr?erp/décalés d'at./ moins ul?mtl/-lta/l/.

MIIE EN GUVRE D'UNE CLOISON EN PLAQUES DEPLATRE SUR UNE OSSATURE MéTALLIQUE mc 7 ..

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Page 75: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Page 76: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Page 77: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Grecs et Romains recouvraient déjà Ieur solde mosaïques... ! C'est dire que le carrelagen'est pas un matériau récent. L'homme a detout temps utilisé 1es carreaux de céramiqueou Ie dallage en pierres naturelles, pour desquestions d'esthétique ailiées au pratique.

XPour bien choisirson carrelage

11 faut savoir qu'un carrelage ne se cholsit pasqu'à l'œis pour sa beauté, mais qu'il doit aussirépondre tt d'autres critères en fonction deI'endroit : couloir, salle à manger. salon, cui-sine. salle de bains. W.-C., terrasse. balcon.escalier, etc. et du lieu où il sera posé : 'nté-riet/r Ou extérieur.En epet, selon leur méthode de fabrication etde finitions. Ies carrelages présentent des ca-ractéristiques très diKérentes de résistance àl'usure (trafic des personnes, encrassement),aux poinçonnements et chocs, tl I'eau (etdonc au gel) et aux agents chimiques.C'est ainsi que pour faciliter Ie choix des parli-culiers, I'AFNOR (Association française de nor-malisatiorl) en concertation avec #es fabricants.a défini un classement (appelé UPEC) selondes critères de résistanee du matériau par rap-port atlx tf agressions '? extérieures.

Quelle quantité de carreaux acheter ?l-cr?pt/etFr .4 lar'ge/,'' o'e ,'a prece volls t?or7rpera

ya surface tn'e Ia Jl/t?c(). c'est fa base de lacommande, ?-?7(a/s' ? ,%Li( majorer ctalle ,'.7a se.pa/- l'??'6?ca. &l/()rl. de 5 J 10 %, pour Ies rta/scllpsqst//'tzét/ll6?.s .'

- ? totllbreLlses coupes- chutes ':-/ta coLlpes 7/lt?s&,()/tl.rla/xe.s.- casse,- é'ztarlfëke/'s défauts,- impossibilité de racheter des ca/wealz(? 'tk'cl lïthlne /(a1 C)u' i arrf)l o' '(7r)6) fadlr/ca//tlrl,

- i?! rfserve de ClLiellue.'? ca/Teaë/vv pc)&/' t/r?p'elpp/acerpe/ep/ fubur de carreaux cassgs()Li prd-'sel?taml dt.?s éclats slllte é) fï-les tl/lt''-teS (/'otllr(?/s.

Le classement UPECCe classement est fondé sur quatre critèressymbolisés par quatre lettres. Chaque cri-tère (donc chaque iettre) se décline ensuite parun chiffre en différents niveaux qui correspon-

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AVANT-PROPOS

Quelques règles de base//' Jat i1 s'atzc'/r h'ue Ies grands carreaux t?//7!

é) ?-tlsér''zé?/' (?i'-lx g rar?cïes st.rr/aces et ablx p/ect?sa'e grar/des c?'prflle/ls/tl/Ds Er? effe! ptlses c/apsul,e p/ilce ou t?.q coLijoiî' ex/pu': ou o'ar?s un /:)-cal /? Iî?Lt'ltl'.oles recr//?s et tfrzh/'tlc/?er?le.r?ls. I'/s eJq-traà'leraler)f c/'e nolnbre: fses. e/ stlt/kzerpl ines-thétiques coupes.Les petits carreaux stlrlt. çt/arnl a eux p/t/rtf)r

tïes//rpd's aux petites pièces.p'/ rpt /! p/'/'//.@ g/er ,'es carreaux c/ajrs pot-/r ?es

pièces sombres (?- / 1es plus petites, //.S Lfon-.r)f?r()?)! Ilillusion G?tu? !es éc//arrcp/ el L1e r/es ag/'éir')-q'hr

Page 78: Maconnerie - cloisons - carrelage

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dent 4 la capacité de résistance du produitainsi qu'aux exigences auxquelles doit satis-faire la réalisation. Plus le chiflre est grand,plus le produit est performant.Ce classement est ie suivant '.U : pour usage du matériau. donc Ie change-ment d'aspect dfl à l'usure par le frottement despieds et I'encrassement. Les chiffres affectésà cette lettre vont de 1 tt 4.

* (-12 correspond Li un usage rnodéré* U2s* correspond à un usage modérémais de qualité supérieure,* 173 correspond à un usage normat. voireimpodant.* U3s* correspond à url tlsage normal. koireimportant, mais de qualité supérteufe.* U4 correspond à un usage intense.- La lettre S qut accompagne parfoks le tlhlffre

Note Clofrespond à un surclassement qualltatlt dansk j ( ? ! t. la catégor3e: $: f illt.t.t'llli r1l

tq .,;';'.f!t!t1, ., t('!.1:, dt-.. It' P ; pour Ie poinçonnement dth généralement., .-t. ryh, 'rlts .@t, s. )1 ( h). ,1 à t'écrasement sous Ie poids des pieds du mo-. lt.t',t.c ;.)[email protected]:!(!Lit%:. ))'k) bilier et aux talons aiguilles,. ptieltt-s . .ly r tli,ttpt. 'ntt' 1 Les chiffres affectés à. la lettre vont de 1 tl 4.':ntll it s ft-)t .plïkx (t @i. ,t,It,). @' P1 correspond ,'j des docaux sans pléli-#tn.'rl t''k IlyaI.'d ï),:!I'o . :lktlt- : lt lFu rl i) rrl t) rl t ( tli rtl tl 1ë1 tit) r' rtl () tilill rl i, 3..., it 't.) .:t.ll .lrtxt-rhrl.f .4)1:, I t,. * 172 correspond à des Iocaux où $es con-.rt,k..t''1 tdtz ;)t;L)I1..' i' E' pl p ! traintes statiques ne dépassent pas 20 kg1 5 t'1 A. C U' ; h 1 1 . 'i 2 1 (1 t L t'n t)l 1 h vl E 1 l ' Y U O rll 2 .t/( lqtr ,t ,lt., * P3 correspond à des locaux soumis à.t'., . (. ::) sst . r 'lio ; ) t ( 'ht. . r ! 'A tâ 2 deS circulations de chaises à roulettes ou

.'r è îtL!,t'.'thttl) kit ' I 'brlt'i l t411 * P4 Corfespond à des tocaux trés solrici-l'.t 1 .1 ..i''1 ri rtlltc ta'? ;)1t'tct ' tés Sans être toutefois Induslriels.p p',ta!.1 '. , t j ' ', ' i p r .371 I tö,' E : pour eau. Cette lettre lndique la présencaL.':a(è.)1lcI s t'ar : rlsstpt, t'tt' à plus ou moins fréquente d'eau tou d'humidiléF. >.Ir lr L t'es t t>t ( 't1 Arxlt hl 1! / lin. Iitj () tt t'(? r)1 r (ltill rl ) 6) tp r Ii) ï; ()1t r (EI kNq3 r ! eb' 'kàt. h rltl r po tl : 6 h t $ ti Les chitf reS affectés à Cette lettre Vont de;lL1 r7 )t L.f 1 8. 1'(.1 J1! ql fxt 'IL11 (il 1 () tl :3:' )t'tl1 . 1 t 2 ' ' lt h r . t Iht Jyltn iAt @ E0 correspond à une présence d'eal.l aC-('t . j'kltj: ! '' ttit *1 11 1tR t1 t'tl It%! . ()i(1 () r) t (liiil' ) r 'tl k è: t@e '4( :: ' ï<h lLf tl ts k-ït k * E1 correspond à une présent;e d'eau OC-(' ?.) tgs, . r 1 leâ r I r t '.tztte: () r tls; casionnelle (nettoyrage htimide) .' ' l ; hl It '. ?'I h . i ï I t ;) 1. iî 1 k . r tï * E2 correspond à. une prijsence d 'eau ré-h th (t %! Tsehl 1: q1. l !)tN!1 lt R ,7 l(1i@4 tllitl r ()(J .. lt;?kt: ; )('.t r' ' ''- E 1 lthr tyta' t. t4t * E3 cofrespond tt une présence d'eau trèslt'' L. ('. . ' Isn: . . i l ' r''k l .1 f réquente ou constante

C : pour I'emploi de substances chimiques Oude détachants domestiques pouvant provoquerdes taches.

Les chipres afïectés à cette Iettre vont de0 tl 3.* C0 correspond à une présence d'agentschimiques exceptionqelle.* C1 correspond tl une présence d'agentschimiques occasionnelle ou accidentelle.. C2 correspond à une présence ou à Ia ma-nipulation d'agents chimiques courante.@ C3 cgrrespond à ane présence constantede produits spéciaux.

Fort de ces renseignements techniques, som-me toute un peu abstraits stlr le classementUPEC, voilà ce qu'i! recommande en outre pourdes pièces bien précises.

Endroits et lieux ' Classement!

Pièoes d'eau @ Salle de bains, douche, ;l U2 P2 E2 C1.ou de service W.-C. I:

i. salle Je baiqs sur .:support en bois' ou ! 1.)2 P2 E3 C1 .en dérivés de bois. !

l Culsine et coin cuisine, t U2 s P2 E2 C2.Pièces dites sèches 1 Salle à manger, salon. j

? entrée. coutoif en rez-de- (l '.chaussée. et toutesj pièces comportant une t7 orte donnant sur S'exté- @I P E u2s :2 E1 Cl0.rieur (jarciin terrasse ou :q

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: balcon)./ Escatler dont se revéfe- ':menl de marche habille E!j le nez de mafche .

j Pièces sans accès à 11 l'extérieur, couloir de ii i L)2 02 E1 C0.clrculalion en étage, ëescalier. ?

Extérieur Terrasse, balcon, Ioggia, j' trée. 1 1-13 P3 E3 C2.seuil d en I

* Quapd un local ciasse E2 repose sul' un planchir en bels ou Sur des panneaux Cieparticules, l'eyigence passe a Q3.

Page 79: Maconnerie - cloisons - carrelage

Le CA T.A G E '> -

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Réglementation sur les bruitsLe classement UPEC a élé renforcé par IeCentre Scientitique et Technique du Bàtiment(CSTB) par I'adjonction de Ia Iettre A qui in-diquera Ia conformité du revêtement à Ia ré-glementation sur les bruits d'impacts. Cettedonnée pfend en compte Ies capacjtés du re-vêtemenl tt absorber Ie bruit des impacts.L.e bruit est calculé en décibeis (dB). La normefrançaise se base sur I'indice delta L et es1 ex-primée en (JB (A).La norme européenne se base sur l'indicedesta Lw et est exprimée en dB.

Le classem ent PEICe classement ne s'applique qu'aux grèsémaillés.11 existe une simplification du classementUPEC, c'est le classement PEl qui introduit unenotion de cjasse. Ainsi les carrelages ont étéclassés par catégorjes en fonction de l'usagede la pièce.- La classe I comprend les carrelages desti-nés aux pièces n'ouvrant pas sur I'extérieur(éventuellement 1es salles de bains).

- La classe 11 inclut sensiblement les revête-ments destlnés aux mêmes pièces que Ia Imais en plus performant.

- La classe IIl comprend les carrelages plusspécialement prévus pour 1es chambres.

- La ciasse IV correspond aux matériaux Iesplus résistants et donc ceux soumis auxcontraintes Ies plus fortes.

Les divers tvpes, caracte' ristiqueset qualite's de carrelage

C'est I'un des types Ies pius anciens des revé-tements de sol en carreaux.Sa relativement faible température de cuisson(environ 900 *C) ne iui confère pas ia capacitéde vltrification qui la rendrait imperméable.De ce fait elle présente I'inconvénient d'êtreporeuse, ce qui ia rend sensible à l'infiltra-tion d'eau (gare au ge1 !) et aux taches de Ii-quides de toute nature. L'autre inconvénientest sa relative fragilité qui Ia rend sensibleaux chocs. De par sa perméabilité, il est doncdéconseillé de I'utiliser en extérieur à causedu gel.Pour une utilisation en intérieur, 11 est toutefoispossible de lui appliquer uo traitement deproduits spécifiques qui Ia fendra beaucoupmoins sensible aux taches el à l'encrassementen général, à condition de renouveler réguliè-rement cette opération, Par contre la rusticitédu produit, ies diverses formes et tailles descarreaux commercialisés. les nombreusescouleurs et nuances des flammages en fontun outil de décoration offrant de très largespossibilités, surtout dal)s Ies styles campa-gnards,

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La terre cuite

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Elle est aussi appelée demi-grès. Sa tempéra- ..k' ' k. ' 'g*''Ord re d e 1 000 *C . ce i. $V -' t1.(.-..

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ture de cuisson est de lqui ne la vitrifie que partiellement. Pour cela, 'elle est essentiellement destinée à un usageintérieur. Sa relative mauvaise résistance àI'abrasion Ia destine à des sols peu fréquentésOu à un recouvrement mural,Toutefois, tailles des carreaux, nombreuses cou-

1 Ieurs, impression de motifs. rendus brillants, sa- 'i-okuz céy..!e $'u?,)),t)t:,(?tinés ou flammés lui confèrent des intérêls dé-coratifs rlon négligeables.

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La terre cuite grésée

Page 80: Maconnerie - cloisons - carrelage

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La faibnceElle est obtentle par une cuisson supérieure à 1 000 OC suivie d'un émail-Iage. C'est l'émall. seul, qui la rend imperméable, mais pas à cœur, De cefait efte n'est pas adaptée à une pose en extérieur O(1 l'humidité infiltréeferait écsater le cafreau en cas de ges.L'émail étant relativement tendre, il résiste maI aux chocs, ne supportepar Ies charges jmpodantes et est sensible à l'usure par frotlement.La faïence est donc à poser essentiellement en revêtement mural en cui-sine ou en salle de bains. Uni, imprimé peint, en relief, multicolore. brillant,satiné ou mat. i'nultitormat. le carreau en faïence est I'élément quasi in-contournable de décor en revêtement mural.

Mélange d'arglle et de silice, il est obtenu parune cuisson à environ 1 300 OC qui vitrifie Iematériau. Ce malériau est réduit en poudre,moulé sous haute pression (environ 500 kg aucm'') à la forme et aux dimensions souhaitéespuis recuit.C'est de sa fabrication pafticulière qu'il tire sestrès grancles qtlalités : résistance à l'usurerésistance aux chocs et résistance aux infil-trations d'eau et agents chimiques.Ce produit est donc totlt à fait destiné à uneutilisatiorl en extérieur comme en intérieuren revêtement de sol.11 se décline dans une Iarge gamme de colorismouchetés, unis. nuancés, avec reliet, ou dé-coré par impression, et, dans de nombreux for-mats.

Le grès céram e

La richesse de ses aspects, de ses formats etde sa réslstance lui permedent de s'intégrer àtous Ies styles de décoration et à toutes 1essurfaces.

Obtenu par une fabfication différente (façonnépar étirement) du grès cérame, il présente desqualités de résislance légèrement inférieuresà ce dernier. 11 faut sakfir que. de par sa fabri-cation, il peut préseoter des tolérances di-mentionnelles et des formats irréguliers (pasJérangeant en pose clans le style rustique,mais problématique si l'on désire une pose etdes joints parfaitement alignés).On feliendra que, malgré sa moins bonne ré-sistance à l'usure et aux agents chimiques, jegrès cérame est un bon carrelage en extérieurcomme en intérieur en pose au sol.

Le grès ém ailléC'est un grès cérame ou étiré dont Ia sudacea été recouvede d'une couche d'émail cuit,'j environ 1 000 LC par une technique appeléemono-cuisson. L'émaillage reste une coucherelativement fragile rendant certes Ie carreauimperméable, mals ne présentant pas unetrès grande résistance à l'usure. Si son em-ploi est possible en extéfieur, il vaudrait mieux,quand méme privilégier son utifisation en re-vêtement mural, d'autant plus que I'émaillagepermet de décliner Ie produit dans de multlplescoloris et aspects.

Le grès étiré

Page 81: Maconnerie - cloisons - carrelage

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La pâte de verrelmperméable et très résistante, else est destinée tl un emploi aussi bienen extérieur clu'en intérieur. Elle est commercialisée en panneaux coasti-tués d'éléments de petites dimensions. Sa capacité à réaliser des mosai'-ques ou des frises est remarquable.

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Les émaux de BriareTrès proches de Ia pàte de verre, ils sont imperméables et très durs. llsse présentent également sous forme de panneaux constitués par des petits

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carreaux. Utilisables aussi bien en extérieur qu'en intérieur, i1s permettentde réaliser de superbes sols unis ou de magnifiques compositions demosaïques. Mais... le prix es1 proportionnel à leur beauté... !

ïLes pierres naturelles

11 est impodant de savoir que Ies pierres naturelles. tout comme te carre-Iage. doivent répondre ,'k un certain nombre de critères : dureté (compres-sion), usure (frottements), capillarité (gei, tenue aux produits chimiques etacides, produits ménagers, taches et salissures ménagères diverses).Ainsi. pour une pierre de même nature, suivant sa région de provenance,elle peut présenter des degrés très différents de résistance aux agres-sions extérieures (c'est surtout vrai pour les marbres et Ie granit). La résis-tance d'une pierre est fonction de sa qualité (grains plus ou moins ser-rés) mais aussi de son épaisseur. Lors de l'achat, il faudra vous falre bienconseiller par le spécialiste du magasin.

Le marbreC'est certainement le revêtement Ie plus connu et I'un des plus nobles.Suivant sa provenance. il présente des degrés lrès diflérents de dureté etde porosité.Pierre calcaire. Ie marbre est sensible aux acides : cela peut faire sou-rire... Ce ne sont pas des produits que I'on trouve couramment chez Ie par-ticulier, certes... Mais rares ne sont pas Ies régions touchées par les pluiesacides, d'où la nécessité de ne pas utiliser Ie marbre en extérieur.

Page 82: Maconnerie - cloisons - carrelage

CA R R E IA G E -

De par sa structure (même polie) présentant des pores minuscules, le mar-bre laisse assez facilement s'infiltrer les salissures et I'eau. C'est un ma-tériau relativement tendre.Essentiellement destiné aux revêtements de sols intérieurs, il trouve éga-lement toute sa place en revêtement mural. On dénombfe pltls d'une cen-taine de coloris (et de qualités) différents.Malgré sa noloriété et sa large diffusion, il reste un matériau cher (ce qui estbeau est cher, c'est bien connu. ., !).Le marbre. suivarlt son veinage ou sa couleur. peut s'harmoniser à tous Iesstyles.

L'ardoiseAppelée aussi schiste ardoisier, c'est une roche argileuse imperméabie pré-sentant une bonne résistance. Les carreaux c)u la dalle sont commercialisésavec surface polie ou structurée (avec relief). En dalle, il taudra accepterune cerlaine tolérance dimentionnelle pour l'épaisseur de Ia pierre qui seracompensée paf une épaisseur moindre ou plus importante de Ia colle ou dumortier.Elle convient padaitement en extérieur comme en intérieur, tout en étanlconscient qu'else est senslble aux rayures.

Le granitC'est une roche magmatique très connue Offrant une grande résistance auxiqternpéries.La teinte la plus connue du granil est Ie gris clair à bleuâtre de Bretagne. Maisil se présente aussi suivant sa provenance sous des teintes de : vert foncé.rougeâtre à bruf), rouge foncé (rouge royal). jaune à terre de Sienne, biancà beige.Commercialisé en dalles à surface polle ou structurée (Iéger relief dû au grainde la pierre), Ie granit est glissant par temps de piuie.

Le calcairePierre de tailie par excellence, i! se décline en coloris et en grains très divers.Résistant à I'usure, i! est très sensible au geI et aux agressions environne-mentales (pluies acides, mousses, Iichens, etc.). h réserver à une pose enintérieur ou à des surfaces couvertes (terrasse. préau).

Le grèsPierre sédimentaire présentant des teintes très diverses en fonction de sarégion de provenance : rose à. rouge. jaune ou gris, à presque nolr.Les grès sont assez résistants aux intempéries et à l'usure par frottementmalgré Ieur texture sableuse.Le grès se pose aussi bien en intérleur (couloir, entrée, salle à. manger cam-pagnarde) qu'en extérieur (gare aux glissades en période de ge1.., !).La pierre de grès est commercialisée soit en dalles sciées parfaitement équer-rées et caiibrées ou en dalles brutes polygonales de tailles très différentesavec des épaisseurs pouvant varier de 0 à 10 mm entre elles.

Page 83: Maconnerie - cloisons - carrelage

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- PRELIM INAIRES !Aet CO N TR O LES

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j.l..A PIISE ' ' ' 'îè'C2''A V A N T

IA?0SEAU S0L PRXLIMINTRES

ET CONTRO LESAVAN T I.A POSE

Le carrelage se pose sur une surface rigoureusement horizontale et parfai-tement plane, donc exempte de toutes aspérités et de tous creux.Fort de cela. le premier contrôle à effectuer est l'horizontalité de Ia chape, dela dalle ou du plancher en général.

Contrôle de I'horizontalité

plttc 0 t!C1 rl Ce Contrble Se réalise 3VQC LIIIO rè@lo de maçorl. . , , 1 h ; . yl; . 2 ; . ; , ; . b;. ; tt '' (r . en aluminium posée de Chant et Surmontée

';) (' r': '. f) & '-.wl I r.';) E : :q(1) 6ï:/: , lt; d'un niveau à bbllie. Si le sOf présente Une pente.r ; .) . .' ' ! fr 1.': 'htyi(') '7.h : 1;L' i ; t et c'est le caS de notre exem/le il f audra Sup-;3i'7'C'ù primer et rattraper cette pente en comblant''j;a r'ltq 'r ' :n ' j; ûJ'y 1;) '? 2' ie dévers en cotllant un produit à base de ci-

'2') I ment appeié ragréage. La technique propo-f'. 'ikèr '> !. ) ,7,-,.5 '', ,'2.u' !. ? sée ci-après krt-ls permettra de tracer e1 dtlnc

.' ..'':.!' 1 L-ï); de matérialiser exactement la hauteur à com-bler pour arriver à I'horizontale.

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'rraçage de la Iigne de1 l'nètre

j t.r,. méthodeIbus !es professionnels I'utilisent et y font référence. Cette Iigne horizon-tale est à tracer à 1 m au-dessus du niveau du (( soI fini '' (c'est-à-direaugmenté de l'épaisseur d'une chape éventuelle, du carrelage ou de toutautre revétement de sol futur). La méthode Ia plus simple est de Ia traceravec un niveau à bulle surmontant une règle de maçon en alumjnium.S'il faut décaler et reporter plusieurs fois Ia règle ce n'est pas la solutionIa plus précise, outre Ie fait qu'il faut étre sûr que Ie niveau tl bulle estrç Jgste '), et c'est loin d'être le cas de tous 1es niveatlx... !

L'autre métlnode proposée est l'ulilisation du niveau à fioles de maçon bienplus précis et qui permet de tracer des repérages ou des traits de nlveau pré-cis sur de grandes Iongueurs sous réserve que le tuyau rerianl les 2 fiofes soitassez Iong,

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Page 84: Maconnerie - cloisons - carrelage

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2* méthode : m aniementdu niveau à fioles

Basée sur le principe des vases communi-quants, son utilisation est simple. il faut toule-fois ètre à 2 personnes.Si Ies fioles viennent d'être achetées, reliez Ietuyau trarlsparenl (permet de vérifier qu'il n'y apas de poches d'air dans le tuyau une fois rem-p1i d'eau) aux extrémités des fioies et remplis-sez avec de l'eau.

Page 85: Maconnerie - cloisons - carrelage

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* u .jz .- PRELIM INM RES yA

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zî a llgne dils / .rr esJ rracee stk/' 1es 4 l'r?ors. A' oafttr de cette n-qrle horizor3tïll). 'ztlus ç.)o(ïr-7't?.;?' :'e:'t?ve,' ltlézàe.s' î'e.bn /&v?!de(./?'.$' ri..e /;'?c'#?(7#?&,'' p? Gha. t-?tte'? u:?.'r?fp X ,'??J?.'t; Jk'? :2 $./ 6v7 tD, t .?.'; ;.?Jv?J.t;Su' .'1' X pn6 /r7l('?Y6? feS J7)&b''S.

Quelle que soit la métho-de utilisée pour tracer IaIigne horizontase des 1 m,vous pourrez, à présenten mesurant dans lesquatre angles de la piè-ce, à partir de cetteligne, calculer Ia hauteurexacte du sol.

t--- >: é? ' a m ;:) l tql. ' 'r7r(?I'?)iL1..'' :??n.y( Ik) ' /;?i? L?L.îrbD //((//4 C?4. es , J?? h sL)l .zu 7 rb) 7 o- c?7?-7/?'c'7.rn-,ii2P Lt'l r'6??r)(? r(?' éi / r)3 L?Llf.r'-.l??? Lljiqj t-- (1 ri? (7/6? ?':?r?-/('/e?.Dl9tpl.'. Ji? V IC' L1I 2g//i? .'''OCSI/I'S //0/1& feS I .7) --+ SO/I (z'i 1 tïl- (l.r 7 J '/E;'ét. (1 L/. zr t 'Jr ) ?'( ) I:) ()' .

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3, méthode : Ie niveau IaserAccessibie désormais au grand public, certains ni-veaux Iaser sont désormais à moins de 30 rn .C'est l'outil idéal permettant de matérialiser desrepères pour réaliser des tracés précis. Placé sur untrépied à téte pfvotante avec système de calage d'ho-rizontalité et d'aplomb, il permet par rotation sur 360%de balayer les murs d'un fin rayon de couleur rouge. 41suffit donc de superposer tt ce marquage par rayon untrait de crayon, pour obtenir de loin en Ioin, autant depoints de repères que désirés.

Parte.ï r-k? /'epé/'e i /r? e: rta -tez a? i corlt?at./ a /:)tlt/t3'/'ii /es<&.Dês êàt./rres p'p,rlrs', Cerle .62gne pci. cfb-,e z'lt/ bas G/es 4 ; '?til'sc'e /J0 p/ece. vous Wst /atse-rez /r'n ''lîeelkale.'nenf Ja na u-(L? : i;r t? tev' (1,'18 ? 1 71 'Ltl' () J?. 1' /t? /'éi UJ/I' r'i? éi -gtg . 1/C)t IS J7Oë.?'/6'Z :?OrI713l% -;ct'?.' ?1. st./.fkza/'l! /'t7' procjt.it? f?r Ie.satlreral-, r' rz-tlyt?per )'L.;:?îLILl 'au'? chrx.) çztl/ré? z7 Cr.?z) r; rlrltzlt/i?//t?.me?b?, &&.r L)'e /.7&DtOS zo/'?es.

Page 86: Maconnerie - cloisons - carrelage

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J.lf.' versez Ie p'ag reag e stpr /,nzone i) colnblefL Les Clvlttitesrr auto-lissantes z: t7t? prodo'îrci/?l qt/ '// tza yclcltic/rarel'perlltc e fïïettre er? p/ace.

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Prttparation dtI ragrtlage

Da/ls (::ï prarll seat? propre .k'(? rsez' Ja qual?tisé (:/ 'eat/ pre-co/l/see t'la r Ie fatlf'rarll. De-kf/ft?.,l iel'mterne/'èt /a p(?L;Cl'e(v'(()/?!i?rlt./e da/')S Ie t'94(:2 b'.1oîîs.? 'eL?k.'.

Jzil'/ar'?t..?(:?r le l()u! at'ec (u keîigfB G?i:? rrla/tk Nage ''rorllée StlrtJ?')f? perceutàe Ftlt./vrlt'?z i(? 'v'i1c'- sse /(.)J')r. i? l'usnu 'a O,flgrll/r.)r'?0' 17/961 J7J)lt'? f/'s').s l:qulL'le et !r'i) s/'rJNt')J(7 izkrle Quctp/? grtp/potgt/rle t-.//.1/! Liqlbslster (M. I?L:J /a :')&-lt (). ) . éql t.'/'z''t, r l ! ,''L/.L) tr? t? ! r't p'() ?jL) r? tî: j (.' étk t? î'l (7 ?k J 7 t. ? LL.î /1; t; t'/zr :î. b'Lt.' 7 -ttlelleiner?t reptlser /a pLk. ltaL'lbteîàblqt ?7k al?t (;/(? proctador'azi' ccut/agéi LIIk; rapr'é 0. t)e

Qlne s//lyl./e peple epalsarécp?Iea eff/eorant /a s'ut-faf?e . a ka?p'/ssetpse en lhox. stkfl/rl:i Lb/.()/e/n repa rt/r /& ragréage.

Ret. a/les c-fu proczuv! e? ctlm-piYbtez yt/sc/o 'a Lîrrtver a L.,' na/rJe repe/'age orecéolenlmen:lrace .'t/o.,r pa. ge 1 9). l.a &nt%té Gk; prodult permet J 'obte-rn/- vne swrface sa. rfaîtenlel):lisse er horiztmtale. Res-pectez F?'Tlpti?'al/h,zirne/elê iestemps de séchage a'vqsèl G?eCO r ïïrrlellù'e ! /6'S Ir11. '/i7. CJ',$( L'XCéifWe/éityf'.

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Page 87: Maconnerie - cloisons - carrelage

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En régle générafe. et si la porte est centrée,Ia pose se commence à Ia croisée des mé-dianes d'une pièce, pour que Ies coupes seréalisent en périphérie Ià oil elles se verront1Ie moins. Toutefois si la porte est décalée ousi plusieurs portes donnent sur ia pièce, par-tez du centre du seuil de Ia porte principale,

pour tracer un autre axedécalé perpendiculaire àl'autre médiane.Sur Ie traçage des axes,effectuez un calepinagejc'est-à-dire que vous p0-serez à blanc (en respec-tant la dimension desjoints) toute une série decarreaux pour effectuer

Llerlhez / (kl/-/ilrrage k'.'es

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ta-me' ler'rlh/ïez Ie .''ic/leo L'le Ja..t'Lf(LtL)e 6?,f trth. tlez vn axe X -Lo*./é7 : ? t; () rrv-/v f? é/. (i çî'' J:; :;h : 4'ç:6r'ç/ J r-lz- :t /'t7. I -t'ele a v:6 .') ?u,''s / / tHl F OrerlezJrta rtîibeo' 4e cel a xe ,4 -h e!Jfï?C C?Z 11 /'t?Q tztkllrrt? ()J ca lu ?'(? -Jk /'& de ,' naL?L?'.' i u'..' ) a xe C - DOerp'' erpc'pct?/fé7/zh'6? a ' *-7.$r/ ,4. ..-?FT f-acez t.''') sevr'o rlc? -? b'e /'-' / .D t

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urle recherche du meil-leur positionnementpossible de carreaux en-tiers, quitle à décaler Ié-g#rement J'un des axes.Ne négligez pas non plusla possibilité de tricherlégèrement 1 à 2 mmsur Ia taille des joints.

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/) hi?uteb:l' (ES p''ri//let? Gle / 'a. Xe.trocez t'ls palhhl? ivtzfqral)ibet pl'o/ozQg6'rTie5f l'zetl XSC.9. rrel? ta. (me JllrerNfriè den?.'-&/a' gonalt è.sz ,'% p/tac'ka Reg' lesJe maçol) Ye 2 rrl Ji 2. 5.t? mef t-re bonne grarlG/e écperrevous permellrcvl! de rnalisercfes fracës srtaos.

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Dans ct:rtua//7es clmddïbns'.peta'! élre fr7reressta/nl O'e pra-r/c/ue/' t//y k-lLtotlle ellco/./éd#(:?(sur de Sc/ et Swr ke caneau).ptrlr'sf//-/e le S(?/ es$ lr(?.S Jt. b.%L)r'tlarpl. paz'' lerrips c/léit/t;/ a k'etlCertatns (7J. 'rjreao'x JrfM p.tl 'reLlx. ak'e(l Cerla/hes COlIeS.Cela J:G!7?er de m/etz,t' .réL)(1 'Iel' ie lefpp.'p de pr/se de paL?OI,''e. Déflosi).r aïzec i& rrue//eun JX()9 Je Cfïlle r'epa.rAssez',ena,qsez. ,?J?c/oz I'excez-lent.

S'' '/OUS LïVW Dft/ (v9 'expe-rfl?fpco ell JIOSO, afU6C-IZO/JSçje crf:??Lq;///1:)?1S. //s lzot/s J(:)/7-nerons L/r) écarteprrer?f rebklL'l .Iler 6)?7J/-e (l/laqt?e Calrealî.GtJ/f/ez'- /OIJS Sur /e?; lraitsd 'JA'& mals at/tlbff ert r'(:)&é; X-Llrvrl? St./r' Ll.rlB /'0,(7J'$'E? La /r'&f.?-pe /rtoneree a'/ec t/rl matlleterR CaL7LIIL?hOIiC hzclt/.'i J?eJ'rNeJ-t. ra (;/'e t)/#r) regoier /a ': I1a(t-let/r d'er?fLmcemekît ;, clëy ca/'-lre('J. tk tkplq::) /a Côlle.

Nelfoyez lmftîedlateînenta'zec une èponge 3b'n-?/c/eies fraces 4e colle en stpr-face de carrelage

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Lléposez c/e//cagrnenr a p/arlJO f:ouveatî Clalrfatl. éL1.L?l1- ' '

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sees avec une sparu/e crar'- comnîe mtwer zt'azle ij /a., '

y rï rtje. ''a c,a.'/e. oose .

Com m ent encollerune surface ?

t' Fct'â aki '()rp(? L'Lfe J'a m se. n he-- .. . - - N . z cctfltscjle rtssjo.. . . -.-..-.- stteg pas. œ w - ' remel?t / éqkjelmge tmll'e Car-

Jeat/A', &.k(7r7t?2'-'/()t?S Sllr tzrR&reg' /'g, nsere.z f/tq.s crolhillonsptloe respecter deS jo/rlt...lréguliers.

Page 94: Maconnerie - cloisons - carrelage

u. x u so ya .A x ua PO SE' !

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zr Xl-es coupes périphtlriquesct 1es finitions

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Les outils decoupe

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1..a carrelette /.7e/ tnet de faire(/t?s coupes preoses parrayage dtl carreau jy/éce i:zune rallette ?71&J?Jd/ sur &'r7bras de nkarîœuvre gcd'.'G?tj pardeux az'es Lle ctltp//sfage, Flr;f'r) de course, urle s/mp/epressfly': (?e la Jià/lar/r?e sur /ecal'reau prokoqse Ia cassure(;?& carrelage Ie /O/?g de /'a.réil/t/ct?.

La pjnce d'j grignoter Jlec.î7?ç?$. aprt?s ravLlre er erîza'ckerner?l d't/r?e st/rtace de-terrtl/rîee. (Je Llrlgnotel' er Jefaçonner Jrp///F,r?ptklr6h par ./-/77///.lnètre de pel/les decoupesrrxssage Lie (uyau. rrerrtkp-teur. er(l./.La pointe ii lracer au car-bure laerrlpel de rayer Ie ca/'-re/age powf' /e fragllser et(J' 'autons'.v sa cassurevant /i? lgr?e tracée.

'' La scie circulaire ,'i lame' ' diamantée. Le rre///et.'r !n-

' ' vz 'zest/ssta?ne/lz pour Ia éacf//tii', '4* z' et fa preosfon (Je toutes Ies

- ,-. coupes. '/otks Ia trouverez. z . ...xz'' ' al-/lt erl'zn-or?s de 60 e' il ne

' - fllllt J7toéq l/tlt7 6) 67/1 iD'fibrç/L .. 'Llle fonctioone sor secteu:

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sans aucune prclctcror? depoussltres. fa Jame Aaman-

S tee é/anr constam'neî/t p?Or1-ï gee dans tp'n bac .') eau.

rapidement etprécisémentune coupe

POUI' IXCC?r OVL?C IIC/C/S/OO(ille CO&O6' GQOS tlr? Carreol.iprcciidez Comme sL//f ' .'?u.p'tshrpr-p-sts'z parfai/ement lecarreatp a ccoçer ss'?- le (lar-reau ()'e Ja öernlère Irarityeeetîtlere

Tracer

Dostionrle.;ï 'zf.rFca/lelrlo.r)lGârreaù trnrre le lnur /S()r)erla/sset//' aurêt voleur de /??r-get?r dtk lcL)lrlt plk/p/lér/tpezl.J-rsezr ,:1 t'Dlat t./f) trolsèl'rlecarreaë/ erltler cclmp/èrem6'rlrpOt/ss: CfLllllre .Je IL?&tn'e<3Ll k'er-(IL?al.

/'/ ne k'cltks reste Jli'tJs L;o 'ù9 (ra-cer Ia f/grle a'e ctiupe sur feJeux/èrr)e calreat? en stpkzarllle ctlizr)! dzi carreatl St/pe-rieuz

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Page 95: Maconnerie - cloisons - carrelage

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F/rez Ie l'nalqt:slle L'Dlïlma'?-.::/a?7/ .@a. leuletïe vers ./ 'Ctvartt.?r?!r()()'tJ/si?2' latéralemer?t /ecarreau a c()&J1iM aiustez terraçage en reakage avec /arouletse.

rkt/ssez rpar'c/he versp'ayar7! en aopuya r7l I'nodé-rerrlfgpl. ,/a rotAette 78 iaver/e carreaLi

Exéc uterune coupe

à la carrelette

Tracer une +.Dcoupe en angle '

.. '' L. .1 t Y -ren ran A > >. ... 'ja : % ' VUe F .. .x v . f. ,.... . #v

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Mesurez 1'a /argtatlr ne'ceL?-salre

Placez Ie ca/weaw ctanssens otl 11 dot étre oose. le-co/-lez /a rresczre reievee.X k

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I'Iler c'lty/'l'ip pljir 6'YIX Ci ACt1OF?- :(., . J.1 ' '' .M' / 7 6) 1' t îî-' t, J:) 132 1//'1 6/. t:p t li 67 (;) t/ t9 ./J7' ' 71--

OrQSSiOr; f:lxrotytJi)fa /éi Ca S-s'tp/'e d(I carceat.p Ie ./(lrN Je .@ fh/estlr/'ez pa Içmcueor rye'ces- .. .

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Page 96: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Re;)LlXez St/f X CIW'J'I?iRUf7Jt?st?.X Ce /0 IOIILIUTUL

Dacez ?.:i yécottpe à e/fec-tLil/r

Prtjserlle.r Ie '--arrea t? Liansl.a car/-e/el/e exécute.z Ja pre-r / :.'qb''L? t éi 1t'16? 4é2 : l i) ér /:h/ brç?t ré?.r ? i?CtjïrfL/cll) e! pl'L)CX4eZ Ji 12 (160-.Yfer7)6? COk1Ue t'Ar? respectâl?t./e tracé.

Ajustementd'un carreau

à une huisserieen bois

rR:7s'.'' èvjter c/es jécoupesr??t?/r/J9./i?ê; f?t tkr? jç/ilèt (ï/6)ïyréi .C.VUX. JXOCOEC '1?Orl?1T$e S(7/ICrerlez COO?é'De gtbbal'll t7rp6'Chllte (% Cor/aeo(). XOOI-YZSon epa/ssetlr pdt/s ce//e Lie7a Colle St7r ,1e Jr3(M/,9/7/ O'e/ 'hlilsserte.

Soez au lra/l /è b as Je )' '.htp'/s-senè.

Deg agez les chutes.

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Page 97: Maconnerie - cloisons - carrelage

POSE AU SoL 'X b -- La. -

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Posêllottnez /'i? ca rreau. mar-tpez ka Coupe ptlLt..r Sa ?'2Jr(7-fono'etirL

IRCJ-IOSJ VOl)lèeZ /6' CarreâciJ)OtJJ' l!a Iorgelq ?rEréfi?Z /éiCOL)Oe Jlotkf Sa /(';7/'f76't#'.

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b'Ot/s possedt?' .L'' t7r p6' StJ' Iea carrelaznle 6'./clf?GJe. reb). Y.:rle Jc LJ/U/ ft9 te' p'a/ (9 Ia ''3 ïesl-l) '('E?(j 'ur:e Ut?t). LD( pj'ni?sl cS?. tg#ecltt(?tJ.i k'aigcez lentemel'l?. (n. ?7a. u-teur c/t/ lletltlpr?d rïèalpLlagea/ré/c?,ir /e Sciaae er rez? f-pdez'r/e carreau lcls! en reslanf enaclpw/ sur ye guoe Iatêsbra. r

i'burçlez /6' Carreè?o et &JJe(7-rt/ez /e deLlxibmîe Sc/a. Lle llltlftr'dégager / 'arlgle.

'fDos/roof-lez a'l pb/anc fa. ca ,r-''eau potz'' venfte/' ?' 'exa. k-btoaeo'e /fa zoblt7e.Fz?cez Ia Jeco:/pe a réa//stw'.

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Page 98: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Découpe d'unesudace courbe

Rèalisez le passage detuyaux t?t/ l'évidement d'tkr?tlboîte d'encastrement élec-trique /pr/sia de ct):2r'a!?r.terrup?eur).De?J'ulez ie sc/age (Ja/lsanLlie tvr'? tz/sal'l! /e r

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7)/l&t7cfer?w-cerc/e.

,4 va ncez y'tlsc?t.t 'au ïraçage c'il.'f àrc :26. C'erûs/e Ject///6'zr t7X&J?-lement .''e) carp eau'.

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,.4 t raqt /ez Ie sc/age nans ,%a Jig/ta et p'eo/glqez fa /;;/) (ju

lra/+. de sc/e precedonl.

Ekeo-ulez ()'/il:1 traits de S(7a-ges JJa rol/eles stJ/' orle tlre-?J? 1I6/r$t ()() (1I(1,'è tlïf L/133) ri).

Procejez de rnérr?e sur IaJet-a/èrne port/c?n de choterfslanle.

hfhnez ()ar u,f) 'leael passapc!.lange/lr/e/ Ue /a (Xçöupe St?/'Jé7 /éï çt ) ffq isàrl t'Làl'L?<î1l 7 t ?().pyztS) t é? 3. tT/i?' -1i6: ii ! (? / ? ? fl,rè r .l6ï (2 tG? :''eL? c!t c' /.

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Page 99: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Lasc/ta eiq?ctl'i'Llue Ji Corre-lage Olfre ,'% pclss?'b////éckler stlr? p i/afeat/ el Jca pou-k'(:)/r a/'O& Xallse'' (7/S ()Ou-p&s Sur Ctlarl! 1u.q?CI(: 'a 4,5 '(tl/seatkx pernïe3tarlt c/es as-serNtn/àges elî aràp/ia sal/arlt'./

l.u)ne J'flckerfe Iatèra?e ptyrnt?r/e blocage cl't? p/a/eaf; a ./ z't'-:-g/e souhaite

La barre de seuil

1. 'arrt)r o'es carriarntzxsetp// .ge po-e se l'eallk'?e ak'ecun proble rrerta///qsre en I..er? alvmznium ou e?? laibonéitl/oe/e CoLirammel?t t7J1f'fi) CleSet//l

L.a öarre es? coupee ç'l ya sc/e(j rnétavx J) pa ?arget/r jt.' seulj1:/e por!e e! esr î?oyée Gorlsi'a ca/li?

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* . . f . , . . ' ' ' ' ' .... ,Le jltp/dt':? pL?' Jf7/p//6i # l'.7C&f('? (Jlî .' taot aJss? qo 'soe La barre de seuil prtn/epe le -' '' .- .. . . r.y... ' .Jzll/lta/ (IIIJ?S . . z . x < z,. ' . . . . ' . . r . 'rt .' /7./7, :?u cacreatk et off-e u/r'e ' .-.ë. . . - ...c'- ' 'v .' 2 -preoslol) de couDe tout /1 fa't C J . $ . - . . , ::.,:,- .Wb'r-'.rt .>, +7. . . . . z... . . ..- -. .s...u,..s,,,s .

sa t'Yfafsafète. ''/' n/tion reclf//gf'?ii e! solanée. . '' '- ' . .k'% 3 x,q e.z'-nlr t - w>.K'v'-'f'- :. . ' c . ' - * Jv . esz. wmw

Page 100: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Le jointoiement11 se réalise parfois avec des pàtes toutes prê-tes. mais le plus souvenl avec des produils enpoudre, à délayer dans de l'eau. L'utilisationd'un malaxeur monté sur une perceuse, tour-nant à faible vitesse, assure l'obtention d'unepâte homogène.Blanc et gris sont tes teintes de base du mor-tier pour joint, mais i! existe toutefois une largegamme de mortiers déjà teintés ou de colo-rants à incorporer au modier blanc.

l/ersez st/r i'e s(9/ /a ITltir6i.Préconisations pour Ia largeur des joints . .Fastes b/e'r) ocrletre: Fe z-lro.en fonction de Ia taille ou de Ia nature des / ',terslcesJurr Jarls toos .es /,Carreaux : azec ujrle l'ac/elrt.? el? JaOt/l-- Carreaux jusqu'à 1 0 x 1 0 cm = c/louc.joints de 2 ât 3 mm.

- Carreaux de 10 x 20 cm et 20 x 20 cm =joints de 3 tt 5 mm.

- Carreaux de 30 x 30 cm et supérieurs =joints de 5 à 10 mm.

- Carreaux de terre cuite et de grès étiré =joints de 6 à 15 mm.

l'vlatefel lléc6is'so/r'e f)t)t?'' Iezoprrpso/6'f'Nta/l!

.cac/ez darîs Jtpt/s /es Siir7sa'zec /bt,'!//. repassez sl lbe-rlessa/ri?. e! /a/ssez tllver t/r?oeu d'e fno/'tfe/:

Page 101: Maconnerie - cloisons - carrelage

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aoq/l'lcez souvent i/loclrlc?e elwl w?Lït)Lèt).)L f?zT rrt)t? kil/,rt:? r)(:r7+. F'ill?ta/.

// oourra subs/srer ges pettts//7X;''SI/Cf?S 0t)0 CO,'11bl6/S J)(3J'X &?OX/f'?.?' (30311' )z 'erfîefiLlc'/largez 'tzol/'e Jcl/g'l (f'L;n f-a'euta'e mortler .

i'kil/ttLj kxi);r 1'6:)(3) f? C/iprll éi'I'ttoonge.

Tèerm?nez ''e nettoya. (?e par de(lassage c/'c?,q c/7/rY(7r7 sect

. . . t?t f O.XOZ Ce (Y6mQlor' h J.Y-Jlefxr /JOL/,'' ?'e/N/:l//f' L-.L)çïîiLh''e-te/rle/'?f Je join !.

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Page 102: Maconnerie - cloisons - carrelage

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N'-7J- ''- Dès qu'un soI dépasse Ies5 x 5 m, i! vous faut prè-. ;,t',*'Y.t u' voirau niveau des média-. $ t%

; w.- nes un joint de dilatatiefn' ' réalisé avec du silicone.

A'spergi?z rrifat/erij.rllsr?l ke s1./J'c:?''e al/ec t/r? prtlct/?r k'ca/s-seb'e ck/u'é

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Page 103: Maconnerie - cloisons - carrelage

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La pose desplinthes

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(A rreler un escali er,l1k ) :--

La pose de plinthes secornmence dans Ies an-gles I/rt')r')p'a/ 71 ou sclrta/'.'l;i'Lncollez a 'a slqlart/e rra r7.t é' tq? / 't? ?'.rièl'e (:/ e. /él /:) // ? ) 1/7 t? /:) (r) -sez..la ?) s'(7r? emDlaceçnenl.stir' Jiès crrlps///tarl.ç (poor res-psgler L)r) yclOr?. exercez t./rpfé'Ljyele p resslon. e.'r?(lcf/eJ' unel'lrlt/tze//e p/érp/be, separez parL:$: crosn'/cll) et lacorst-/nzez e/-.vlzbrlflant corlsra/rrnerlr l'ali-gnement J? 'a régr/e.Le pu/rl; entre J'e carre/age dest)/ et k'2 lbln/t?e est r'éa' '?'.&*é at/sl/lcone ce/ut' enrre L'.:eLl,jp/.ylz/pe,'q au l''??(?/'/fer i) !O;r7i#.

Qlle fe nez de marche s//te?1 ilols (:)/.J eî? C.9r&i?/a(F?. Iapose commence par cetélément.

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AE'chantillonnage deplinthes.4 : p//pl/les standaro'8 .' ptnthe a gorkle.8 7 L)(.ia r't-t%? . 'roflL',l p(7:#',.a

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EhlLDllez .'7?én'C/q6' Lnllrcs ola/'-Che t?J7 LlLmlmel,qïa. l71 par /(?nablt.

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Page 104: Maconnerie - cloisons - carrelage

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' le 'ntaz' de ?77t'.?. rclîe c'ts? s(:r pe.6?k* . carreaàt.z

A')! ptlle.èr i'enfcncement c/arls/J2' COl le r7 ' / CLI.rreLI (.7 I.)uht' Q7 (? '/7.C)''! L/Li ?'l i?h- ()'t? .!lléi/e(l/lé? /:,.17/'de pel/ls cotatps zie /Na///i?!

Les colles

Les colles, qu'elles soienl destinées à un car-relage de sQl ou mural, sont nombreuses. 11 fautque vous adaptiez le choix de la colle au sup-port et au type de carreaux (Ia porosité est lrèsinégale en fonction du type de carreaux). Lisez1es recommandations et le mode d'emploi desétiquetages des produils e! respectez impéra-tivement les temps de repos de la colle aprèsbrassage, les déiais de pose après étalementJe la colle, les lemps de séchage. quj peuventvarier en fonction de la température et de I'hy-grométrie ambiante. N'hésitez pas à vous faireconseiller par un vendeur qualifié... !La normalisation européenne a décidé d'uncode de classement de performances de cer-tains prodttits en pcenant en compte la naturedu produit fnormal ou amélioré) et ses earacté-ristiques d'utilisation. Seuls 1es modiers-colleset les adilésifs sans ciment sont concernéspar cette codjfjcation, Le ciment colle caséinéne bénéficie pas de ce codage de certification.

! Premières Iettres avec Cproduits !' secondes lettres

Ieurs chiffres q1 tModiers-colies $ C1 : morlier-colle normal i E : temps ouvert allongéï pour sols intérieurs et tE (permet d'encoller des

1 surfaces plus grandes).h mtirs.f t.C2 : modier-coile amélioré t F : dufcissemenl rapidef (plancher chauffant à. 5 (rédt/it le temps d'intlti-l irculalion d'eau). i lisation d'une pièce).C )t

'

1 c2S : modier-colle amélioré lt T' ) résistant au giissemenljl et déformable l (permet une pose' rte de forts lj murale sans calage).(SUPROfi écarts de lempéra- ëG ) fluide (en pose au soi

,) ture J planchefs i é ente un pouvolrI pr s1 rayonnants, façades), 1 tjlant amélioré)./ mOul .1 D1 : aclhésif normal, J E : lemps ouverl allongé.Adhésifs k

'

T/ D2 : adhésif amélioré T : résistanl au glissemen!;: (résistant à l'eau). p1 ,

Page 105: Maconnerie - cloisons - carrelage

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'votre pre rnler trak/aii corlsistert-i a tracer une ligne rigoureusement hori-zontale, a 1 t7) ftju s()1 flni stlr ies 4 f-ntlrs cli.) ta pie ce. C'est c(). tltle les pro-fessionnels appellent Ia ligne des 1 m..pt?tqe tlprlci. tltne tots trclcée vot ls servira de référence pklëlr tous les tracéset prises de mesures L111é' r'ieurs.

En I'itzghe g'lenetale. Ia pose se commence de part et d'autre d'un axe ver-tical situé au centre du mur, aitnsi Ies coupes se feront dans les angles,1/q oLi elie s se voient le moins.skace z Llr'l axe $/(?fti(.'a!. /AIS atï cerqtrg dt-f muq Traccz tïrl s()- ctlrld axe J-NwD pef-llenci:ctlla. ire ctt AE3 en bas (Je mut'. 1!s se crolser)t eI3 C-b i'). Llne hatitetlr BQ cltlù(?t). u'vaut é1 une hauteur de carreau plus son e- paisseur de joint.' ' ai.. te. n'tj ('.,;1 . c eti'e ha k # ! e l.;J 'sfa fnrtan .-.J a t 1 1..70 i nt l e olj.l s bas ' . ' 'Ce t4e ! 6: c 11 n : a E j e permfat cl e po ser cl t? s t; a l'rea tl 'a' Clnti (7 ,''59 l L% n i -

ve a O CJ : .! c; 1.; l ! . S'l.a rt. ' 2.:) ot lve i r rec (')u 47..a r ', ' 1 >': I:3 o l r() rn o r 41'!n .

Page 106: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Page 107: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Page 108: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Page 109: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Carreler une balgnoire

Manières de carreler une baignoire en fonctiondu positionnement de Ia porle de la sa//e de bains

Porte de la salle de bains faîsant face au grand cdté de Ia bai-gnoire. La /zaopée c?e carreaux au-cïesscs t'/u lyrarn(7' cö/e serraco/'?.sl/rt/ét.? r-rar Pes ca rreitt.x e'clt/t?rs. L-es ct')t//.?es se ///'(.)' J?/ er) ?%1.c)c'e r'rlt//' et au has de /''.:.n- tl//.(ag7E? t'/e Ia ba/tp/Ro/re.

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Page 115: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Les coupes particulie- res

Les Jotlpes droites se forht erh rè-gle pénérate ?li$a carreiette. iklais prlviségïez f'achat (j'LI(3i) scfettjectrlat-le à carrelage avec lame au cliamant.PoLir Lsne soôxanlallne (j'euros elie k/taus rendrates plus grands services. t'l/tarrlrrlertt ptltll' rea-ikser des cOL1r3eS l3f) anoies Ou tlourbes.

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Le jointoiement/

11 se realise parfois avec cles ptltes tclutes prê-tes. r'rlars le pltls sotlvent avec des procitlits enpoucire. /t déiayer dans (je i'eau. L'utilisationd'un malaxeur n'lt-lnté sur une percetlse. tour-nant à faible vitesse, assure I'obtention d'tllnepâte homogène.Blanc et gris sont 1es teintes de base ctu mor-tler Iaotip' j(.alqt. rnais Ii existe toutefois laae larg)egamrne cle mortiers déjà teintés oLi cle colo-rants à incorporer aLl modier blanc.Note

. , . ' .. '1 x .. t .1 1. .. '.r .' t Préconisations pour Ia Iargeur des joints eni..nlr t1u . . : ; !I( :1 g . t' . t fonction de la taille ou de Ia nature des car-! 1 I ! lt ' L . I 2 .1 ! l t : ' I : hl I I I'OaUX :'. ' ' ) I ' .'L; r ' . ! it 1. . ï .; I . Ap . - Carteaplx jusqu'à 10 x 1 0 cm -: : ï :. q..., . 1.L ,; )' I ) I . . ' 't .? joints de 2 à. 3 mm-.. I .ië lt ; . .ë 11 1, 't I . .. !; - Carreaux fje 10 x 20 cm et 20 x 20 ct7l =. .. ,. ; .!'. . . ' r )rt ... ( ; . . .s ' .. ) joints de 3 tt 5 mm.: .. r ' ' . ,t t . ) : ). ?: 1 : . .: r 11 . , - Carreaux (je :$0 x :30 cm et supérieurs =:. . 1 . t t r) 11 ' I ) ! r . 1. ., t .: joints cle 5 t) 10 mm.; ) . 1. 1. )I2 1'.. ', . .' . t . ' ' ' Ir r @ - Carreaux cle terl'e culte et cle grit?s (Airij -. ,'.

' joints de 6 ttt 15 mm.

Recornnèencez I'oo eranc)/'? si nécessatree/? respeclant. f/rpe ?.r?c//rlu4' /'sco Je la/oche?/gfJp('ere.

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Page 117: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Texte : Marcel GUEDJ

LES MAT/RIAUX DE CONSTRUCNONLa terre cuitet-es briquesLes carrepages(Iéments spéciauxLes briques de récupération

Le bétont-es parparngsHourdis. poutrelies et linteaux

La pierreLes pierres calcairest-e marbreL.e granitLe quaroiteLe schlste arcloisierLa IaveQuelques conseils au sujet cles clallages

Les blocs de béton cellulaireLe plâtreLes carreaux de plâtreLes plaques de plâtre

Les éléments modulairesLes plaquettes de parement

LES LIANTS : CIMENT, CHAUXLe ciment

Informations utilesUtiiisations et proporttons tt prévoir

La chauxUtilisatfonsNormes et conclitionnement

LES GRANULATS : SABLE ET GRAVILLONSLe sable

Humidité et foisonnement du sableLes gravillons

LES TECHNIQUES DE BASEPréparer Ie mortier

Ciment ou chaux : le cholx dt1 liaîptQuel sabke empioyer ?EeauLes bonnes proportionsLe Iieu de gâchageLa technique de qâchage

Fabriquer Ie bétonLes composants :ju bétonLe gâchage à la bétonlnière

Le coffrage du bétonLes coffragesLe coulageLe décoffrageLe béton armé

Scellements au motlierLes sols en béton

Les zones sur lesquelles porter son examel?Dipérents Npes (je sols en béton

Couler une dalle en bétonLe hérissonLe coffragePréparation du bétonFerraillage du bétonCoutage de $a dalle

12 OécoffraoeDresser une chape1 2

1:3 Les murs en parpaingsJ,'.q lmkllantation d'urle cloison intérleure

Les joints1 :$14 La pose des briques creuses44 Poar couper ur)e brique

Page 118: Maconnerie - cloisons - carrelage

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Texte : Alain THIéBAUT

LE CARREAU DE PLZTRELa protection contre I'incendieL'isolation phoniqueL'isolation thermiqueLa régulation hygrométriqueLa facilité et Ia rapidité de mise en œuvreUaspect des surfaces

LES PRINCIPAUX W PEM ET CARACTéRIWIQUESDES CARREAUX DE PLATRE

Le carreau standardLe carreau hydrofugéLe carreau hautement hydrofugéLe carreau alvéoléLe carreau haute densité appelé aussi très haute duretéRH.D.)Les carreaux Iégers et isolants

DIMENSIONNEMENT DES CLOISONS ET RAIDISSEURSPoteaux raidisseurs

35353535363636

MISE EN G UVRE DES CARREAUX DE PLXTREPoutillageMatériaux et matériel complémentairesLa réalisation des différents types de liaisonsLa pose des carreauxCas particulier de Ia mise en œuvre d'une gaine techniquevedicaleCas padiculier de Ia mise en œuvre d'une cloison de grandehauteurLa pose de conduits électriques en encastréMéthodes de fixation des charges Iégères à Iourdes

3636388940

LA PLAQUE DE PIATRECaractéristiques de Ia plaque de plâtreLa cloison en plaques de plâtreDivers types de cloisons et Ieurs pedormancesMise en œuvre des plaques de plâtre sur ossature métallique

BibliographieDocumentations techniques

. Caroplatre @ de Platres L-AMBERT et Guide Placoplatre @ (Groupe BP2PIaco),

. Syndicat National des Industries du Plâtre.

Pour ce chapitre, remerciementsUécllteur et l'auteur remercient tout particulièrement :

- La sociélé PLACOPLATRE LAMBERT S.A. pour l'autorisation cie reproductions Cje données techniques et de textes concernant 1es carreaux de pltktre et Iesplaques de plàtre ainsi que Ieurs modes de mises erl œuyre,

- L'entreprise de Plâtrerie HUBER e! fils de Neuve-Eglise pour ieur participation à Ia réalisation des photos des cloisons en carreaux de ptâtre.- L'entreprise de Plâtrerie GONZALES de Sundhoffen pour Ia réalisation des photos cies cloisons en plaques de plâtre- La société SPIELMANN Matériaux de Cofmar pour leurs précieux conseils et Ie prèt de malériels et de matériaux.- Le magasin MR BRICOLAGE de Colmar pour le prêt de l'outillage.

Dessins : iIs ont été réalisés par Benoît ROTH.La plupal't cl'er?tre eux ont pour sources d'inspiratioo et de modèles Ies documentations techniques Caroplatre et Pracoplatre de PLACOPLATRE LAK/IBERTSA.

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Page 119: Maconnerie - cloisons - carrelage

CARRELER* UN SOL* UN M UR

Texte ; Alain THI/BAUT

Avarnt-propos

LE CARRELAGEPour bien choisir son carrelageLe crassement UPECiRéglementation sur Ies bruitsLe classement PE$

Les divers types, caractéristiques et qualités de carrelageLa terre cufteLa terre cuite gréséeLa fai'enceLe grès céramet-e grès étiréL.e qrt)s émailléLa pâte de verreLes émaux cle Briare

Les pierres naturellesLe marbreUardoiseL-e qranitLe clalcaireLe près

I FCSErL SûLPRELIMINAIRES ET CONTRCLESAVANTLAPOSE

Contrôle de I'horizontalitéTraçage de la Iigne de 1 mètre

g o.. myjtjyotje2r' métinocie 7 maniement du niveau à fioles:3 mèthocie : le niveau laser

Préparation du ragréageLes principaux genres de pose des carreaux

7777 LA POSE77 où débuter la pose/9 La ose en diagonalep79 La pose droite79

Comment encoller une surface ?7979 LeS coupes périphériques et Ies finitions80 Les outils cle coupeEgtl Tracer rapiciement el préclsément une coupe8: Exécuter une coupe à la carrelette80 Tracer une coupe en angle rentrafnt81 Ajustement d'un carreau à une lnuisserie en bois8) Découpe d'une surface courbe

La barre de seuil81Le jofntoiement81L.a pose des plinthes82

82 Carreler un escalier82 UOS ClO11eS82

88888990939494949595969899100103103104

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IFOSEMLMLECOMMENTET PAR 00 COMMENCER ?Carreler une fenêtreCarreler une baignoireLes coupes particulièresLe jointoiement

1051 1 11 1 41 1 51 1 6

Pour ce chapitre

Crédit photographique : photos SAER / Alaio TVIIéBAUT,

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Page 120: Maconnerie - cloisons - carrelage

Conna-ltre Ies m ate' r'Iaux de construction,Ies proportions, Ies techniques de base,

savolr couler une dalle dresser un m ur en parpalngsbriques m onter une clolson et re' allsero u en ,

des Ilalsons en carreaux ou en plaques de pla-tre1@OSOr Un Carrelage au SOI Ou au m ur,

SaVOIr OU Com m encer, executer IeS COUPOS,

tai re I e j o 1 nto 1 e m e nt etcj *

L'essentlel de ce que vous devez savolr pourexe' cuter correctem ent un traval'l de m açonnerle,de clolsonnem ent ou de carrelage se trouve

expllque slm plem ent, m als de m anlere preclse,dans cet ouvrage.

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