Le journal du collège FAYENCE

LLLLes es es es petitspetitspetitspetits scoopsscoopsscoopsscoops

N°1 –mai 2014

Miami

PORTRAIT

Cuisinier

CPE

La semaine des Maths

Short story inédite Cuisne, ciné

Les grottes de St Cézaire

Micro-trottoir

Le marché de Noël

REPORTAGE

CULTURE

VOYAGE

Festival du livre de Fayence

Georgia : Avez-vous toujours été Conseillère

Principale d’éducation ?

Mme Saudé : Oui, c’est ma douzième année.

Morgane : Où avez-vous travaillé?

Mme Saudé : J’ai travaillé en région parisienne,

dans les Bouches du Rhône, à Aix en Provence,

à Marseille et dans le Var (ici à Fayence).

Georgia : Quel lieu de travail avez-vous préféré?

Mme Saudé : Je suis bien à Fayence !

Morgane : Que vouliez-vous faire avant d’être

Conseillère Principale D’éducation?

Mme Saudé : Au départ, je voulais être institu-

trice mais je me suis rendue compte que ce n’é-

tait pas ce que je voulais faire, que je n’aimais

pas. Comme j’aime bien les enfants, j’ai décidé

d’être Conseillère Principale d’éducation.

Georgia : Vos études sont-elles été longues ?

Mme Saudé : Non, j’ai fait 3 ans d’études après

Mme SAUDEMme SAUDE LES ITWLES ITW

Du mois

le bac.

Morgane : Est-ce que des personnes vous ont aidée à devenir Conseil-

lère Principale d’éducation ?

Mme Saudé : Non, je l’ai fait toute seule !

Georgia : Aimez-vous ce métier ?

Mme Saudé : Oui, je l’aime beaucoup !

Morgane : Pourquoi?

Mme Saudé : J’aime pouvoir parler avec les enfants et j’aime aussi le

fait de ne pas savoir ce que l’on va faire dans la journée quand on se lè-

ve le matin.

Georgia : Est-ce que vous vous entendez bien avec le personnel du col-

lège (ou adultes) ?

Mme Saudé : Oui, on s’entend bien. En fait, on parle beaucoup !

Morgane : Souhaitez-vous rester au collège pour les années à venir ?

Mme Saudé: Oui, je me sens bien à Fayence !!!!

ITW et photo de Georgia et Morgane

Mme Saudé CPE du collège

Marie Mauron dans son bureau

Laurent Laurent OLIVIEROLIVIER

Guillaume : La cuisine était-elle votre passion

quand vous étiez enfant ?

M.O : Non mais cela m’a permis de voyager dans le

monde.

Nikolas : A quel âge avez-vous commencé à cuisi-

ner ?

M.O : J’ai commencé à cuisiner à 15 ans.

Guillaume : Quelles écoles avez-vous fréquentées

pour faire ce métier ?

M.O : J’ai fréquenté trois lycées hôteliers pour un

total de cinq ans d’études.

Nikolas : Vouliez-vous être chef dans un grand res-

taurant ?

M.O : Non, ce n’était pas mon objectif.

Guillaume : Avez-vous envie de changer de mé-

tier ?

M.O : Non, mon métier actuel me convient.

Nikolas : La nourriture que nous mangeons est-elle

toujours faite maison ?

M.O : Ce n’est pas toujours fait maison pour des

raisons de temps et de personnel. Nous essayons

de travailler de plus en plus avec des produits frais.

Guillaume : Votre entourage vous a-t-il soutenu ?

M.O : Oui, mon entourage m’a soutenu dans ce

projet.

Nikolas : Admirez-vous d’autres chefs cuisiniers ?

M.O : Oui, les chefs qui travaillent avec des pro-

duits frais.

Guillaume : Avez-vous fait un autre métier

avant ?

M.O : Non, la cuisine a toujours été mon seul

métier.

M. Laurent Olivier

Chef cuisinier du collège Marie Mauron

Par Nikolas et Guillaume Photos : Marisa et Marie

L e dimanche 15 décembre, toute la jour-

née, il y avait un marché de Noël à Fayen-

ce. Là-bas, on pouvait trouver une chora-

le qui jouait des musiques provençales,

des peluches géantes avec lesquelles, les petits

comme les grands, pouvaient prendre des pho-

tos et des stands de Noël où l’on vendait des bi-

joux, des huiles essentielles, des épices, des po-

teries et d’autres objets de Noël.

Le collège était représenté par M. Martron, sa fil-

le et Mme. Breyton. Ce stand avait pour but de

financer les voyages scolaires grâce à la vente

d’objets de décoration de Noël et de cartes de

vœux

En bref, il y avait des stands pour satisfaire petits

et grands !

Marché de Noel Marché de Noel à Fayenceà Fayence

CantonCanton DeDe

FayenceFayence

Texte et photos de Georgia

ReportageReportage

MICRO TROTTOIR… MICRO TROTTOIR… Côté PROFS / Côté élèvesCôté PROFS / Côté élèves

Audrey :

La politique ne m’intéresse

pas. Toutes ces personnes

qui font de la politique le font

pour le pouvoir et l’argent

mais je vote pour le moins

mauvais. En tout cas, je ne

pense pas qu’il y ait un rap-

port.

M. Derroiné :

Les élections municipales

concernent une commune, la ville

dans laquelle on vit. Tout dépend si

les électeurs ont jugé que les amé-

nagements qui ont été faits sont

conformes à leurs attentes. Si c’est

le cas, ils pourront reconduire le

maire et l’équipe municipale. Mais

je pence que cela n’a pas d’influen-

ce avec les affaires politique en

France est dans le monde. »

Qu’estQu’estQu’estQu’est----

ce ce ce ce

qui qui qui qui

vous vous vous vous

Mme Valet, (CDI) :

L’accord de partenariat tran-satlantique (APT) négocié depuis juillet 2013 par les Etats-Unis et l’Union euro-

péenne. Je le trouve dange-reux pour la santé de tous

les citoyens européens

Par Cyrvan et Nikolas.

1.

2.

Georgia Duvois, 6°3 :

« Mon arrivée au collège. »

Alexia Poujol, 5°4 :

« Le cancer de ma petite cousine Flavie. »

Suzy Primet , 5°4 :

« Ma participation à un concours de dan-

se . »

Guillaume Miralles, 4°6 :

« La sortie du jeux vidéo BATTELFIELD

Marisa Orton, 3°2 : « Mon entrée

au Club Journal. »

D urant la semaine du 19 novembre,

toutes les classes de 5e sont allées à

la grotte de Saint-Vallier au nord de

Grasse, accompagnées de Mme Ron-

chietto, Mme Verger, M. Costa, M. Yoala et des

parents d’élèves.

A leur arrivée, un guide leur a expliqué com-

ment la grotte a été découverte. C’est un berger

qui a indiqué sa présence à des spéléologues.

Le 6 avril 1958, la grotte a finalement été explo-

rée pour la première fois.

Puis, les élèves ont commencé leur visite en

passant par un petit tunnel qui s’ouvre sur un

vaste dédale de galeries. Ils ont pu admirer les

stalagmites et les stalactites qui sont des

concrétions calcaires.

Dans l’après-midi, ils se sont rendus au plateau

de Caussols où se trouvent les restes d’un bloc

de calcaire. A la fin de la journée, ils sont ren-

trés en bus, pleins de bons souvenirs. Jean Baptiste 5°3

SORTIE des 5SORTIE des 5ee

Grottes de st cézaire Grottes de st cézaire -- Plateau de CaussolsPlateau de Caussols

ReportageReportage

Photos des Grottes de CC

BY Sylvain Gamel , FLICKR

Photo : Wikipédia

Q ui a eu l'idée de la se-

maine des maths ?

C'est l'ensemble des

collègues. C'est

plus spécialement Madame

Breyton, professeur de

mathématiques dans no-

tre collège.

Pour l’organisation,

c’est Madame

Breyton et Mada-

me Sonnois. Pen-

dant notre emploi de temps, on

s'est permis un peu de les aider, de

les épauler.

La semaine des maths a été créée

en 2012. Elle en est à sa troisième

édition cette année et s’est dérou-

lée du 17 au 22 mars.

Elle est mise en place pour remoti-

ver les élèves , pour leur redonner

le goût de la recherche, voir cette

discipline de manière ludique , avec

un autre regard...

Beaucoup d’élèves trouvent que

c'est une bonne idée, mais c'est

dommage qu'il y ait peu de mo-

ments pendant la journée pour fai-

re telle ou telle activité: résolution

d’énigmes et de problèmes. Les

contraintes de l'emploi du

temps des uns et des autres

ne permettent pas toujours

d’y participer.

Cette année, c’est surtout

les pavages dans la petite

cour qui ont marqué les élèves.

Une journaliste du rectorat est ve-

nue faire une interview de Mme

Breyton.

Semaine des mathsSemaine des maths Par Nicolas

ReportageReportage

Photo de Marie Valet

La classe de 5°3 accompagnée par Mme

Lemaire s’est rendue au salon des mé-

tiers du livre de Fayence le vendredi 22 novembre 2013.

Les élèves ont participé à une activité sur l’écriture d’un

scénario avec M. Philippe Perret, scénariste et romancier.

L es élèves croyaient qu’un scénario serait très simple à écrire

mais, suite à cette intervention de 2 heures, ils ont compris

que ce n’était pas aussi facile à faire. Un scénario est une suite

d’indications écrites les unes après les autres. Il faut penser

absolument à tous les détails comme par

exemple le lieu où le caméraman doit se

placer, les vêtements pour la costumière ou

encore de nombreux éléments pour plein

d’autres personnes. Il faut aussi penser au

coût des scènes.

D’autres classes (des 6èmes, 5èmes et

4èmes) ont participé à d’autres activités comme la fabrication de pa-

pier végétal, la lecture de contes africains par Momar, la calligraphie

ou encore la reliure. Toute la

journée était dédiée à l’ac-

cueil des élèves.

Texte et photos de Laureen et

Chloé

Le salon du livreLe salon du livre

de Fayencede Fayence

ReportageReportage

Sortie le : 11 décembre 2013.

Réalisé par : Peter Jackon.

Avec: Martin Freeman, Richard Armitage, Ian Mckillen.

Genre: fantastique et aventure.

Nationalité: American, Néo-Zélandais.

Résumé:

D ans leur recherche du

trésor de l’ancien roi des

Nains, Bilbo et ses com-

pagnons, les nains, sont

dirigés par le magicien Gandalf. Pour

parvenir à leur but, ils devront affron-

ter un terrible dragon et surmonter de

nombreux obstacles. Ce film d’heroïc

fantasy a été sélectionné par la rédac-

tion car il est plein d’actions et de re-

bondissements.

Le HobbitLe Hobbit la Désolation la Désolation

de Smaugde Smaug

Par Laureen et JB

CCCC UUUU L L L L TTTTUUUURRRR EEEE

CCCCCCCC iiiiiiii nnnnnnnn éé

M y brother Jonas was very sagacious

1 at

playing pranks2. Throughout the year,

he came up with practical joke after

practical joke; whether it was to gal-

vanize his classmates, consternate his teachers, or –this being

his favorite motive- to traumatize me into making a fool of

myself. He had come up with everything, from a classroom

full of ribbetting3 frogs, to having floods of soggy

4 cornflakes

raining down through the ceiling of the auditorium during last

year’s back-to-school assembly. Jonas was a troublesome

trickster, a crazy criminal, a legendary genius. Perhaps that

was what the principal saw in him when she agreed, time and

time again, not to expel him.

Naturally, there was one day of the year, one gloriously mag-

nificent day, when Jonas’ skills were truly appreciated. One

day when he could be the legend he strived to be. Halloween.

It was the day Jonas lived for- a day dedicated purely to the

champion pranksters of this world. It was the day on which

they, the few of them who weren’t held back by the clutches5

of civilization, pushed themselves harder than ever before…

It was Halloween eve6. All over the town, realistic skeletons

An Original SHORTSTORY in english

By Marisa ORTON

My brother Jonas

LEXIQUE :

1. sagacious : fort,

intelligent

2. pranks : blagues

3. ribbetting :

croassantes

4. soggy : imbibées

5. clutches : les griffes

6. eve : la veille

CCCCCCCC UUUUUUUU L L L L L L L L TTTTTTTTUUUUUUUURRRRRRRR EEEEEEEE

LLLL eeee CCCC tttt UUUU RRRR eeee

were being set out on lawns and evil-faced jack-o-lanterns

haunted every doorstep in the neighborhood. There was an

eerie7 silence veiled over the town, as if the ghouls

8 had al-

ready arrived and put us all under a ghastly9 trance. It was,

after all, the night when all the Halloween fiends10

perfected

t h e i r p l a n s .

So, while all the notably more interesting people were plan-

ning the Halloween of their lives, I was turning off my bedside

light, because although I was quite sure Jonas didn’t know

this, our whole school had important exams on the day of Hal-

loween. Curling up in a ball under my covers, I snuggled my

head into the pillow11

.

From downstairs, I could hear a soft; steady thudding12

, as if

my dad was pacing around in his hobnail boots. Each thud was

perfectly timed and calmly slow. Despite thinking the noise

distracting, I didn’t think much of it and subconsciously sup-

posed it would soon end.

Yet, it didn’t. Almost ten minutes later, the careful, steady

thuds hadn’t faltered once. They just continue, incessantly a

permanent pounding in my head. There was something eerie

about the perfection of the hard footsteps, and the calmness,

for some reason, sent a shiver darting up13

my spine.

Then, suddenly, as if the owner of the footsteps had realized

the presence of something it wanted, the thudding became

louder. Harder. And somehow, even more precise. I could

hear it coming up the stairs, one calm, marauding14

pace at a

time. Approaching.

Fast.

LEXIQUE :

7. eerie: surnaturel,

étrange

8. ghouls : goule,

déterreurs de

cadavres

9. ghastly : horrible

10. fiends : ennemis

11. pillow : oreiller

12. thunding : bruit

sourd

13. darting up :

s’élançant le long de

14. marauding :

menaçant

Photos et images :

Images ClippArt

Office.com

Sizzle! All of a sudden, I heard a long, drawn-out crack almost

right beside me and I jumped. For a second, my bedside light

seemed to have turned itself on; bright light flooded over my

room and then CRASH ! The bedside light shook, sizzled15

and

then erupted into what looked like a million pieces, sending

shards splintering all over the room. Screaming, I closed my

eyes and ducked16

under the bed.

I didn’t know how long it was before I dared to open my eyes

again. The splintering had stopped and for some reason, the

pounding footsteps seemed to have died out at the same

time. Huddling17

under my bed, it could have been forever be-

fore I opened my eyes. Everything was dark. Darkness had en-

veloped my world, but there was no more noise. At least

there were no more exploding electrical devices. Shuddering, I

concluded I was safe.

Jonas! I realized abruptly. He had to be behind all this! Cursing

under my breath and crawling slowly out from under my bed,

I promised myself to make him pay for this. He would be so

dead when I caught him! To think he thought he could catch

me out if he were to make his move before Halloween actu-

ally came around! I was horrified and furious that I’d almost

fallen for one of my brother’s pre-Halloween pranks.

That as when I heard a whisper, so close to my ear that it

would have been mistaken for a soft draught of wind had eve-

rything not been so remarkably silent around me. I couldn’t

make out what it had said, but it was definitely a voice. Right

by my ear. I turned sharply to the side and it was at that mo-

ment that I came face to face with a pair of unblinking assail-

ant’s orange eyes.

I shot out from under my bed so quickly then

that I felt as if there was a rocket behind me.

Enveloped by darkness, I felt like I was suffocat-

ing18

and trapped, deathly emprisoned and most

of all, uncontrollably furious. Why did Jonas

have to be so clever? I felt my way to the wall,

tripping over floor-clutter thrice and groped19

for the light switch. I was absolutely sure that I

would spot Jonas, cackling like a hyena, when I

turned the light on.

Perhaps that was why I let out such a piercing scream when I

saw a chain-entwined, glowing-white ghoul blinking back20

at

me.

LEXIQUE :

15. sizzeled : grésilla

16. to duck : plonger

17. huddling : blottie

18 : suffocating : quand

on n’arrive pas respirer

19. to grope : tâtonner

20 to blink back :

clignoter, papillonner

By Marisa ORTON

Recettes de cuisineRecettes de cuisine

Par Morgane

CCCCCCCC UUUUUUUU L L L L L L L L TTTTTTTTUUUUUUUURRRRRRRR EEEEEEEE

CCCC UUUU IIII SSSS IIII NNNN EEEE

Voici une recette de cuisine facile et rapide

Il vous faut :

-du pain rassit

-du roquefort

-de l’emmental

-du rondelet au bleu

-du gorgonzola

-3 œufs

- 25ml de lait

Pain perdu aux 4 fromagesPain perdu aux 4 fromages

M ettre dans une assiette creu-

se, les œufs et les battre.

Ajouter le lait. Faire fondre

les fromages dans un réci-

pient adapté. Couper le pain en tranches de

2 cm. Ajouter les fromages fondus avec le lait

et les œufs. Mettre la poêle à chauffer et

ajouter une noix de beurre. Faire imbiber dans le liquide et le faire cuire

dans la poêle jusqu’ a qu’il soit doré de chaque côté. Bon appétit !

Texte Morgane

Photo : Wikipédia

Un élève du collège est

parti à Miami pendant un

mois et nous lui avons posé des

questions :

Qu’est-ce qui t’a marqué du-

rant ton voyage?

HK : Ce qui m’a marqué, c’ est

le quartier du Street Art : c’est

un quartier où les artistes s’expri-

ment sur les murs en faisant des

tags.

Qu’as-tu visité d’autre cette an-

née et les années précédentes ?

HK : j’ai visité un marché d’art, le

Boat Show, le centre-ville

de Miami et j’ai pris le

train qui passe à l’inté-

rieur de Miami. Et pour

les années précédentes

où j’y suis allé aussi : Key

West, c’est une île reliée

à Miami par des ponts.

Que penses-tu de l’en-

vironnement de Miami ?

HK : C’est une ville riche sur

le plan culturel et j’aime l’ar-

chitecture des bâtiments.

C’est une ville très agréable

à vivre. Et j’ ai beaucoup ap-

précié le temps chaud.

Interview de JB

VVVVoooo YYYY AAAA GGGG EEEE

STREET ART

LE TRAIN URBAIN

KEY WEST

Maison de Miami

Beach

Copyright Flickr—Wallyg –CC BY-SA

3 P

ho

tos d

e W

ikip

éd

ia

Bélier : travail : vous allez gagner de l’argent sans

rien faire cette semaine.

Taureau : santé : vous aurez une forme olympique

samedi entre 11h45 et 12h45.

Gémeau : amour : ce matin, vous trouverez l’amour

en bas de chez vous en ouvrant la porte.

Cancer : santé : vous risquez d’attraper la maladie de

votre signe (apportez un mouchoir).

Lion : santé : vous allez vous mettre à rugir de plaisir

devant les nouvelles céréales Noil (100 % cool).

Vierge : amour : vous resterez solo cette semaine.

Balance : travail : vos résultats seront stables pen-

dant quatre jours.

Scorpion : Santé : munissez-vous d un aspi-venin lors

des sorties extérieures.

Sagittaire : travail : vous allez vous prendre une flè-

che en plein cœur si vous vous agitez trop cette se-

maine.

Verseau : santé : attention au rhume, munissez-

vous d’un parapluie, l’arroseur peut être arrosé.

Poisson : santé : si vous buvez trop d’eau, vous allez

gonfler comme un poisson lune (ne pas manger trop

de poisson cette semaine).

HoroscopeHoroscopeHoroscopeHoroscopeHoroscopeHoroscopeHoroscopeHoroscope

Par Nikolas

Ima

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rt Office

.com

JeuxJeuxJeuxJeuxJeuxJeuxJeuxJeux RRRRébus 1bus 1bus 1bus 1RRRRébus 1bus 1bus 1bus 1

RRRRébus 2bus 2bus 2bus 2RRRRébus 2bus 2bus 2bus 2

Solutions :

rébus 1 : Bonjour c’est le club journal.

Rébus 2 : C’est des rébus difficiles !

8 4 2 9

9 1

1 3 2 7

5 1 4 8

3

1 7 9 2

5 4 3 8

3 4

4 6 3 1

JeuxJeuxJeuxJeuxJeuxJeuxJeuxJeux SUDOKUSUDOKUSUDOKUSUDOKUSUDOKUSUDOKUSUDOKUSUDOKU A toi de

jouer !

Proposés par

Chloé

E F J M T R O J E E M O N T A G N E L Y

J P L O I Ç P Z R D H T T I S Ç H N M E

W L E O N R B M D P N M B A L L I I R A

S R Q Q L V X Y J O Y V L M J Ç F O K O

O I R P D W J X I K Z G U Q K I K C E B

A S F B D Y U T P Y R Ç X C Q B H M M U

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S I H O W T L I V H E G N O M I D K I P

C P V Q S B G R Z C U M U I A V Y V F N

L R B Q L V D A H N Ç I N H B R T D H H

N J S R U P F A F A L E F L S E O C Ç Z

V S V D G W R B E L E R G R S N K I X G

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H M R K V H O X I A L S H B T N I P A S

H T I R X Ç J J Q Y O G J M M Ç M T N I

NEIGE

LUGE

FROID

SKI

PISTE

STATION

AVALANCHE

NOEL

GLACE

SAPIN

GIVRE

MONTAGNE

FLOCON

GRELE

VERGLAS

BROUILLARD

GANTS

CHEMINEE

ECHARPE

JeuxJeuxJeuxJeuxJeuxJeuxJeuxJeux MotsMotsMotsMotsMotsMotsMotsMots--------mmmmé lllléssssmmmmé lllléssss

Hiver Hiver Hiver Hiver Hiver Hiver Hiver Hiver

Proposé par Chloé

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rt Office

.com

Deux chômeurs marseillais dis-

cutent :

- Je vais ouvrir un restaurant à

Paris pour gagner de l'argent,

ça s'appellera ma queue Mickey

- Ça ne marchera jamais avec

un nom comme ça !

- Pourquoi, il y a bien un restau-

rant qui s'appelle ma queue

Donald (Mac Donald).

Au restaurant, le gar-

çon demande au client:

- Comment avez-vous

trouvé le beefsteak?

- Tout à fait par hasard,

en soulevant une frite!

Vous êtes au volant d'une voitu-

re et vous roulez à vitesse cons-

t a n t e . .

A votre droite, le vide... A votre

gauche, un camion de pompiers

qui roule à la même vitesse et

dans la même direction que

v o u s .

Devant vous, un cochon, qui est

plus gros que votre voiture !

Derrière vous, un hélicoptère

qui vous suit, en rase-motte.

Le cochon et l'hélicoptère vont

à la même vitesse que vous?

Face à tous ces éléments, com-

ment faites-vous pour vous ar-

r ê t e r ?

C'est simple, vous descendez du

manège !

- Bonjour, avez-vous

amené au zoo le

pingouin que vous

avez trouvé dans la

rue?

- Oui, il a bien aimé,

mais aujourd'hui on

va au cinéma.

Une femme discute

avec une amie :

- "J'ai un mari en

or."

L'autre lui répond :

"moi, le mien, il est

en taule."

Deux asticots

se retrouvent

dans une

pomme :

- Tiens ! Je na

savais pas que

vous habitiez

le quartier !

Allô Police ! Je viens d'écraser

un poulet. Que dois-je faire ?

- Et bien , plumez-le et faites-

le cuire à thermostat 6.

- Ah bon ! Et qu'est-ce que je

fais de la moto ?

A la piscine, un nageur se fait enguirlander par-

ce qu'il a fait pipi dans l'eau.

- Mais enfin, proteste-t-il, vous exagérez, je ne

suis pas le seul à faire ça!

- Si, monsieur, du haut du plongeoir, vous êtes

le seul!

JeuxJeuxJeuxJeuxJeuxJeuxJeuxJeux HumourHumourHumourHumourHumourHumourHumourHumour

Proposées par Nicolas

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Ont participé à ce numéro du club journal

Georgia, Chloé, JB, Laureen, Hugo, Cyrvan, Nicolas, Guillaume,

Marisa, Darja, Nikolas et Morgane

Avec la complicité de

Mme PUGINIER et Mme VALET

Directeur de la publication : Mme Lamblé

Maquette : Nicolas, Guillaume et Marie

Photos : Photos de Une : CC -BY Sylvain Gamel , Flickr

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