le mag n°46

46LE MAGSEMAINE 46 temps forts DU 7 AU 13 NOVEMBRE 2009

SAMEDI 7 ET DIMANCHE 8 NOVEMBRE

Programmation spéciale

Il y a 20 ans… la chute du Mur

FRANCE 5 • SEMAINE 46 DU 7 AU 13 NOVEMBRE 20092

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MARDI 10 NOVEMBRE 21.35Han, le prix de la liberté

Ils sont des centaines chaquesemaine à essayer de fuir l’une despires dictatures que le mondemoderne a connues. Pour échapper à la privation de liberté et à la famine,les fugitifs nord-coréens sont prêts à affronter mille dangers.

JEUDI 12 NOVEMBRE 21.35Un soir au musée

Au musée Fabre de Montpellier,Laurence Piquet présente desépisodes inédits de la série Enquêted’art consacrés à deux de ses piècesmaîtresses : Vénus et Adonis deNicolas Poussin et L’Hiver de JeanAntoine Houdon.

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La grille des soirées 3-4

Programmation spécialeIl y a 20 ans… la chute du Mur

Après la chute du Mur 5-6-7

Le Mur dans les têtes 8-9

Dispositif France Télévisions 10

Han, le prix de la liberté 11-12

Empreintes

Jean-Claude Carrière,l’enchanteur 13-14

Un soir au musée

Enquête d’art 15

La grille desprogrammes 16-17

Contacts 18

Temps forts Sommaire

© Crédit photo de couverture : Looks Films

fictiondocumentaire magazine jeunesseprogramme

courtinformation

VENDREDI 13 NOVEMBRE 20.35 / DIMANCHE 15 NOVEMBRE 07.55

Jean-Claude Carrière, l’enchanteurConteur des temps modernes, Jean-Claude Carrière a donné toute la mesure de son talent au cinéma, comme à la télévision, au théâtre ou encore dans sesouvrages. Parole lui est donnée pour évoquer les moments clés de sa vie.


Soirées Semaine 46

documentaire magazine fictionjeunesseprogramme

court

SAMEDI 7 NOVEMBRE

DIMANCHE 8 NOVEMBRE

Fiction avec Thomas Hugues

20.35Le Doc du dimancheA la découverte de Thoiry*Bienvenue à Thoiry, le premierparc animalier de France, créé par le comte Paul de La Panouse dans son immensepropriété familiale...* Titre provisoire.

21.30Après la chute du MurFrance 5 célèbre le 20e anniversaire de la chute du mur de Berlin avec undocumentaire-fiction en deuxparties, Après la chute du Mur, suivi du documentaireLe Mur dans les têtes.

20.35Voici venir l’orageSuite de la saga d’une grande famille russe prise dans latourmente de l’histoire du XXe siècle. Retour sur la révolutionde 1905, la Première Guerre mondiale, la révolutionbolchevique, le krach boursier de 1929, l’arrivée de Hitler aupouvoir, la Seconde Guerre mondiale... Une fiction signée Nina Companeez et interprétée par Anouk Grinberg, NatachaRégnier, Bruno Todeschini, Anne Brochet...

Le Doc du dimanche avec Claire Fournier / Histoire avec Fabrice d’Almeida

20.35Echappées bellesA la veille de lacommémoration de la chute du mur de Berlin, la réalisatrice Anne Poiret est partie en Allemagne sur La Route du rideau de fer.

21.30 Touentou, fille du feuEn Chine, les Moso formentune société matriarcale.A travers le portrait deTouentou, ce film révèle uneorganisation où les hommesjouent un rôle secondaire… ©

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Fiction avec Thomas Hugues

21.55C’est notreaffaire Chaque semaine,Claire Fournier livredes conseils pourconsommer malin.

21.25Silence,ça pousse !Avec Noëlle Bréhamet Stéphane Marie,jardins, balcons etterrasses ne sontjamais en friche.

20.35QuestionmaisonStéphane Thebaut atoujours une solutionpour aménager aumieux le moindrerecoin de la maison.

FRANCE 5 • SEMAINE 10 DU 1ER AU 7 MARS 2008

Soirées


Soirées Semaine 46

MERCREDI 11 NOVEMBRE La Maison France 5 avec Stéphane Thebaut

20.35La GrandeLibrairieAuteurs en vogue ou moinsconnus, romans ou essais...sur le plateau de La GrandeLibrairie, François Busnelaccueille ceux par qui arrivele plaisir de lire.

21.35Un soir au musée Laurence Piquet investit le musée Fabre deMontpellier et lève le voile sur un tableau de NicolasPoussin et une sculpture de Jean Antoine Houdon.

JEUDI 12 NOVEMBRE Arts et culture avec Laurence Piquet

21.30Café PicoulyFaire le point sur l’actualitéculturelle, c’est ce quepropose chaque semaineDaniel Picouly. L’écrivainreçoit ses invités dans le cadreconvivial du Café Charbon.

VENDREDI 13 NOVEMBRE

21.35Han, le prixde la libertéFuir vers le sud, voilà le rêvede milliers de Nord-Coréens.Contraints de traverserclandestinement la Chine, lescandidats à l’exil affrontentmille dangers avant detrouver, enfin, la liberté.

20.35Guy Martin, unartiste en cuisine Voyage initiatique etgastronomique dans les pasde l’un des maîtres de lacuisine française. Rencontreavec le grand chef etdécouverte de l’homme.

Le Monde en face avec Carole GaesslerMARDI 10 NOVEMBRE

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courtinformation

Le Monde en face avec Carole Gaessler

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Jean-ClaudeCarrièrel’enchanteurEcrivain, conteur, scénariste,acteur, voyageur... Homme detous les offices, Jean-ClaudeCarrière se raconte.

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Il y a 20 ans…la chute du MurPour commémorer le 20e anniversaire de la chute du mur de Berlin, le 9 novembre prochain, France Télévisions se mobilise. France 5propose une spéciale Echappées belles et une soirée exceptionnelle ledimanche 8 novembre présentée par Fabrice d’Almeida. Au programme : à 21 h 30 un documentaire-fiction, Après la chute du Mur, et à 23 h 20 le documentaire Le Mur dans les têtes. Deux films inédits pour revenirsur ce tournant de l’histoire contemporaine. ©

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DOCUMENTAIRE-FICTIONDURÉE 2 X 52’ RÉALISATION ULRIKE BIEHOUNEK (DOCUMENTAIRE), JAN PETER ET MIRA THIEL (FICTION) PRODUCTION FTV PÔLE FRANCE 5/LOOKS FILM & TV/ARD ALLEMAGNE ANNÉE 2009

«Quand le Mur est tombé,c’était comme si quelqu’unnous disait : “Tu vas allersur Mars” », se souvient

Silke Möllmann, étudiante à Berlin-Est en1989 et tombée amoureuse d’un Allemandde l’Ouest. Sa « petite » histoire, commeune dizaine d’autres, est relatée dans cedocumentaire-fiction pour illustrer lagrande histoire. Des instantanés person-nels, plus humains, plus nuancés aussi, quirendent compte de la vie d’un soldat del’armée de l’Allemagne de l’Est, d’une jour-naliste, d’un couple d’ouvriers ou du maired’un village… Le 9 novembre 1989, le Mur tombe, boule-versant le destin de 17 millions de per-sonnes qui, après quarante ans de dicta-

ture, découvrent ou retrouvent la liberté des’exprimer, d’entreprendre et de voyager.L’euphorie gagne la population, l’avenirs’annonce radieux. Mais, très vite, laconfiance laisse place au doute : pour denombreux Est-Allemands, dont la vie étaitentièrement encadrée par le Parti, le mondes’écroule. De nombreux changementsinterviennent dès 1990 : boom de la presse,nouvelle monnaie, ouverture des archivesde la Stasi (police politique de la RDA),choix de Berlin comme nouvelle capitale…

Le prix à payerLa réunification des deux Allemagnessemble inéluctable. Sous l’impulsion duchancelier Helmut Kohl, l’union politiqueet monétaire est signée le 3 octobre

1990, à peine un an après la chute du Mur.Il n’y a plus qu’une Allemagne, mais à quelprix ? La mise en application du capita-lisme ne se fait pas sans heurts. A l’Est,les entreprises et les biens immobilierssont bradés, le chômage explose, lasituation économique est désastreuse,les références et la mémoire de la popu-lation sont dénigrées. Aujourd’hui, vingt ans après la restaurationde l’unité du pays, l’Allemagne de l’Est esttoujours vivante dans les esprits. Certainsversent même dans l’Ostalgie, la nostalgiedu régime communiste. Tant bien que mal,les Ossis (Allemands de l’Est) et les Wes-sis (de l’Ouest) ont fini par se rassembler,à défaut de se ressembler.

Stéphanie Thonnet

Après la chute du Mur

Programmation spécialeDIMANCHE 8 NOVEMBRE 21.30 ET 22.25

Revisiter la grande histoire de la réunification allemande via des histoires personnelles et touchantesde citoyens : tel est le parti pris de ce documentaire-fiction en deux épisodes — Les Chemins dela liberté et La Réunification à tout prix. Enrichi d’images d’archives exceptionnelles, il pose unregard neuf sur les événements qui ont changé le visage de l’Allemagne de 1989 à aujourd’hui.

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Où étiez-vous en novembre 1989 ? Gunnar Dedio : Le 9 novembre était unjeudi, et tous les jeudis à Rostock, où j’ha-bitais, il y avait des manifestations d’oppo-sition au régime, comme dans toutes lesvilles d’Allemagne de l’Est. En rentrant dela manif avec mon voisin, on a entendu à laradio que le Mur tombait. On ne pouvaitpas le croire, on était convaincus quec’était un malentendu, une rumeur. Le len-demain, mes parents et moi sommes allésen Trabant faire la fête à Lübeck, ville-fron-tière. La fête a duré tout le week-end.

La notion de fête est très présente dansle film, du moins dans la première par-tie. Mais les lendemains furent difficiles,avec un véritable bouleversement éco-nomique… G. D. : La gueule de bois est arrivée assezrapidement. Les premiers jours, c’était unetrès grosse fête, mais ce fut vite trop pourles habitants de l’Ouest. Des millions depersonnes sont allées à l’Ouest pourregarder, consommer… Dans les premiersjours, la RFA a distribué 100 marks à cha-cun des visiteur s de l ’Est. I l y avaitd’énormes bouchons dans les rues, pasassez de place pour loger tout le monde.Quand, politiquement, on a vu que ça coû-tait énormément d’argent, c’est devenuencore plus compliqué. Maintenant, àl’Est, tout est neuf, tout a été rénové : lesmaisons, les rues, le téléphone, lesusines. A l’Ouest, l’état des infrastructuresest pire qu’à l’Est, ce qui crée des pro-blèmes. Aujourd’hui encore, le chômageest plus élevé à l’Est, et il reste un res-sentiment chez pas mal de gens, mêmevingt ans après.

Pour ce documentaire-fiction, commentavez-vous trouvé les témoins qui racon-tent des histoires personnelles ? G. D. : Nous voulions, pour le 20e anniver-saire de la chute du Mur, faire un film surce qui s’est passé après, puisque leschoses les plus intéressantes ont eu lieu àpartir de ce moment-là. Comment fait-on

pour changer la vie, l’histoire, l’idéologiedes 17 millions d’habitants de la RDA ? Ona travaillé pendant plus de deux ans avecune douzaine de chercheurs, on a inter-viewé des centaines de témoins pour trou-ver des petites histoires qui puissent, depart leur dramaturgie et historiquement,s’insérer dans le documentaire.

Comme l’explique le documentaire, aumilieu des années 1990, plus de 50 %des habitants de l’ex-Allemagne de l’Estne se disaient pas Allemands mais Alle-mands de l’Est. Qu’en est-il aujourd’hui,notamment dans la jeune génération ? G. D. : Après la chute du Mur, les gensn’osaient pas déclarer : « Je suis d’Alle-magne de l’Est », parce que ça revenait àdire : « Je suis inférieur, je ne suis rien, je

ne connais rien. » C’était comme si onbalayait 17 millions de biographies endénigrant ce que les Allemands de l’Estavaient fait. Au milieu des années 1990,ces derniers ont revendiqué leurs ori-gines en achetant des produits de l’Est.Aujourd’hui, même ceux nés plus tard, lesétudiants, qui n’ont aucun souvenir de l’Al-lemagne de l’Est, se déclarent commeétant de l’Est ou de l’Ouest. Pour moi,c’est inquiétant. J’espérais qu’avec lanouvelle génération les différences s’ef-faceraient, mais malheureusement cen’est pas le cas… Une anecdote récentem’a redonné un peu d’espoir. Ma fille de 9ans, qui apprend l’histoire de l’Allemagneà l’école, m’a demandé : « Papa, je saisplus : toi, tu es de l’Ouest ou de l’Est ? »

Propos recueillis par Stéphanie Thonnet

Programmation spécialeAprès la chute du Mur

Entretien avec Gunnar Dedio, producteurNé en Allemagne de l’Est, Gunnar Dedio a vécu les événements de l’automne 1989 au plus près,l’année de ses 20 ans… Le projet du documentaire-fiction Après la chute du Mur, développé parsa société de production Looks Film, a demandé plus de deux ans de travail.

Après la chute du Mur, les gens n’osaient pasdéclarer : « Je suis d’Allemagne de l’Est », parceque ça revenait à dire : « Je suis inférieur, je ne suisrien, je ne connais rien. »

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DOCUMENTAIREDURÉE 52’ RÉALISATION ROMAIN CLÉMENT PRODUCTION FTV PÔLE FRANCE 5/MAXIMAL PRODUCTIONS ANNÉE 2009

Programmation spécialeDIMANCHE 8 NOVEMBRE 23.20

Vingt ans après la réunification, comment les Allemands de l’Est se sont-ilsadaptés à l’Occident ? Avec beaucoup de difficultés apparemment. Le réalisateur Romain Clément s’est envolé pour Berlin et ses alentours à la rencontre d’hommes et de femmes nostalgiques de la RDA.

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Le Mur dansles têtes


De quoi parle votre documentaire ?Romain Clément : Le Mur dans les têtesest une photographie de l’Allemagne del’Est aujourd’hui. Comment s’est-elle inté-grée, vingt ans après la chute du Mur, àl’Allemagne réunifiée ? A-t-elle trouvé sesmarques ? Quelle place tient-elle exacte-ment dans le pays ? Et comment Alle-mands de l’Est et Allemands de l’Ouestcohabitent-ils désormais ? Les réponsessont plus que nuancées. A l’heure du chô-mage et de la crise, les Allemands de l’Estsont nombreux à regretter le temps de laRDA. Depuis le début des années 2000,la mode est à l’« Ostalgie ».

Qu’entendez-vous par « Ostalgie » ?R. C. : Le film Good Bye Lenin ! retranscritbien cette idée-là. C’est la nostalgie del’Allemagne de l’Est, d’une époque idéali-sée. Elle se manifeste dans une quêteéperdue d’objets d’avant la chute du Mur,que ce soit des produits de consomma-tion courante, des voitures, des pro-grammes télévisés ou des chansons… Ilexiste même, à une centaine de kilomètresde Berlin, un camping où se réunissentdes Ostalgiques avec leur Trabant.

La période n’était pourtant pas si idéale…R. C. : Certes, mais les Ossis ont beau-coup perdu en 1989. Notamment entermes économiques et sociaux. Ilsgagnent aujourd’hui souvent moins queleurs anciens voisins et ne profitent plusdes avantages que pouvait proposer lerégime. Ils se sentent des citoyens deseconde zone, des laissés-pour-compte.Quant à leur identité, à leurs valeurs, ellesont été diluées dans celles de l’Allemagnede l’Ouest. Ils ont en quelque sorte été« colonisés ».En fin de compte, les Allemands de l’Estsouffrent de ne pas avoir eu en main lesclés de leur destin. L’Ouest a tout décidéà leur place, rejetant sans nuances toutce qui venait de l’Est. Leurs rues ont étérebaptisées, leurs immeubles rasés,leurs intérieurs transformés, leurs habi-tudes ont dû se conformer à celles desWessis. En quelques années, ils ont étépropulsés dans un monde nouveau, dia-métralement différent. Un véritable choc !

« Pourquoi ne pas avoir pris le meilleurdes deux ? » pensent-ils. En définitive, lagreffe entre les deux Allemagnes nesemble pas avoir pris. Aujourd’hui, lesOssis de plus de 25 ans ne se mélangentd’ailleurs pas aux Wessis. Comme l’in-dique le titre de notre documentaire, leMur est toujours dans les têtes…

Qui avez-vous rencontré pour illustrerce sujet ?R. C. : Nous avons rencontré des hommeset des femmes qui vivent de l’Ostalgie : desrestaurateurs et leurs clients, des collec-tionneurs d’objets divers et notamment deTrabant. Nous avons également interviewéun historien qui, à l’époque de la RDA, étaitpromis à un brillant avenir, mais qui,aujourd’hui, vend des meubles…

Propos recueillis par Isabelle Ducrocq

Programmation spécialeLe Mur dans les têtes

ET AUSSI…• Sur France 5Echappées belles Cette semaine, Sophie Jovillard inviteles téléspectateurs à parcourir lesdeux mille kilomètres du rideau de fer

afin de rencontrer ceux qui ont vécu, de près ou de loin, cette tragique pagede l’histoire.Diffusions : samedi 7 novembre à 20 h 35et dimanche 8 novembre à 11 heures.

• Sur france5.frDans Le Wiki des documentaires, lesinternautes pourront consulter un dossierconsacré au documentaire Après la chutedu Mur, ainsi que la note d’intention duproducteur, des photos, des extraits etdes bonus vidéo exclusifs.• Sur curiosphere.tv, les internautesretrouveront : — 10 modules d’animation adaptés de laBD Marzi, qui retrace la vie d’une jeunePolonaise dans les années 80 ;— 8 modules documentaires dressant unportrait de Marzena Sowa, l’auteur de laBD Marzi ;— des archives vidéo de l’INA sur lachute du bloc de l’Est ;— un dossier thématique sur la chute dumur de Berlin ;— et, en parallèle, à l’occasion duFestival international du film d’histoirede Pessac, curiosphere.tv crée unesphère « histoire ».

Entretien avec Romain Clément, réalisateur

A l’heure du chômage et de la crise, les Allemandsde l’Est sont nombreux à regretter le temps de laRDA. Depuis le début des années 2000, la modeest à l’« Ostalgie ».

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Le dispositif sur les autres chaînes du groupeA l’occasion de la commémoration de la chute du mur de Berlin, les chaînes du groupe France Télévisions se mobilisentégalement. Tour d’horizon des différents rendez-vous.

France 2• Un mur à Berlin. Ce documentaire dePatrick Rotman, qui réunit acteurs ettémoins de la chute du Mur, déroule desarchives en partie inédites.Diffusion : mardi 3 novembre à 20 h 35.• Gorbatchev-Védrine : une histoireinédite du Mur. Face à Hubert Védrine,ancien ministre des Affaires étrangères,Mikhaïl Gorbatchev revient sur les quatreannées (1985-1989) qui ont précédé lachute du Mur.Diffusion : jeudi 5 novembre à 20 h 55.• Tout au long de la journée du 9 novembre,la rédaction de France 2 propose des édi-tions spéciales en direct de Berlin.

France 3• Les Dernières Heures du Mur. Ce docu-mentaire-fiction retrace les événementsqui ont conduit à la chute du Mur, le 9novembre 1989.• Mur de Berlin : les grandes évasions. En1961, le régime autoritaire d’Allemagne del’Est décide de construire le mur de Berlin.Des milliers de citoyens est-allemandsvont alors chercher à passer à l’Ouest.Diffusion : dimanche 1er novembre à 22 h 50.• Le Dossier Stasi : Hans Kramer. Ce docu-mentaire retrace l’histoire d’une amitié. Cellede Peter, un jeune homme critique vis-à-visdu régime, et Harmut, connu sous le nom decode de Hans Kramer, qui travailla pour laStasi. Réussiront-ils à rester amis ?Diffusion : dimanche 1er novembre 23 h 40.• Les Sentinelles de la guerre froide. Cedocumentaire révèle pour la toute premièrefois des documents tournés par trois mis-sions militaires alliées — française, britan-nique et américaine. Une cinquantained’hommes qui ont été accrédités auprès ducommandement des forces soviétiquesstationnées en Allemagne de l’Est…

France 4• Rachid en Russie. Comment vit-on enRussie depuis la chute du Mur et la fin del’URSS ? Rachid Djaïndani va tenter derépondre à cette question.Diffusion : mardi 3 novembre à 20 h 35.©

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DOCUMENTAIREDURÉE 52’ RÉALISATION ALEXANDRE DEREIMS PRODUCTION PREMIÈRE NOUVELLE/JAVA FILMS ANNÉE 2008

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Fuir la dictature pour simplement ne pas mourir de faim, c’est ce à quoi aspirent des milliers de Nord-Coréens. Un pas que seule une minorité d’entre eux ose franchir, trop souvent au prixde leur vie. Récit d’un voyage désespéré vers la liberté.

Han, le prix de la liberté


Des images diffusées sur Internetpar une association humani-taire. Terribles. A l’écran, unejeune femme humiliée, frappée

par un homme en uniforme tandis qu’unautre assiste à la scène, impassible. Celase passe en Corée du Nord et l ’onapprend vite que la vie de la prisonnièrene tient qu’à un fil, ou plutôt au bon vou-loir de ses bourreaux. Son crime : avoirtenté de fuir le paradis de Kim Jong-il,maître incontesté de la pire dictature de laplanète. Essayer d’échapper à la famineen se réfugiant dans une autre dictaturetoute prête à vous réexpédier chez vousvers une mort certaine, voilà qui ne se faitpas ! Tous savent qu’en cas d’arrestationils risquent, après des interrogatoiresmusclés, soit l’exécution soit l’envoi dansun camp de rééducation dont i ls nereviendront peut-être jamais. Et pourtant,mus par le désespoir, hommes, femmes,enfants, jeunes ou vieux, ils n’hésitent pasà tenter leur chance.

Si près et pourtant si loinRendez-vous en Mandchourie dans leYanbian, une région interdite aux journa-listes, avec M. Park. Un faux nom pour unvrai expatrié. La rencontre a lieu le longde la frontière avec la Corée du Nord, làoù une petite rivière sépare les deux pays.Rien qu’une courte distance à parcourir.« Elle est peu profonde, on peut traverserà pied », explique M. Park, qui a quitté laCorée du Nord il y a dix ans, laissant derrière lui sa famille. Même s’il abhorresa terre natale « à cause de la folie d’unhomme, d’une idéologie, qui (l’) empêchede revoir ceux qu’(il) aime », les regretsfont surface : « Ils sont si proches… J’aimerais retraverser, y retourner et quece jour arrive le plus vite possible. » En

attendant, M. Park est devenu passeur.Pour gagner sa vie mais surtout pouraider ses compatriotes.

La longue route de la libertéChaque mois, plusieurs centaines deNord-Coréens tentent d’échapper à la ter-reur et à la pauvreté. Leur rêve : rejoindre lepays frère, la Corée du Sud. Pour ce faire, il

leur faut commencer par tromper la vigi-lance des gardes frontières et des snip-pers embusqués. Ensuite, un véritable par-cours du combattant les attend. Du côtéchinois, un large panneau donne le ton. Il yest écrit qu’il est interdit d’héberger lesréfugiés, interdit de leur donner de l’argent,interdit de les embaucher… Et les autoritésde la République populaire sont sans pitié.Les clandestins doivent donc parcourir lesmilliers de kilomètres qui les séparent dusud, en évitant à tout prix les contrôles poli-ciers et les délateurs. Mais pas seulement. Les femmes risquent aussi de se faire attra-per par la mafia chinoise et d’être mariéesde force ou vendues comme prostituées.M. Park estime qu’à peine un réfugié surdeux réussit à atteindre la Corée du Sudsans se faire arrêter. Certains ont de lachance, d’autres meurent pour le droitinaliénable de vivre comme des hommes.

Beatriz Loiseau

Han, le prix de la liberté

« Ma mère et mon fils sont si proches… J’aimeraisretraverser, y retourner et que ce jour arrive le plusvite possible. » En attendant, M. Park est devenupasseur. Pour gagner sa vie mais surtout pouraider ses compatriotes.

PAROLES DE RÉFUGIÉS« Je suis resté prisonnier trois ans au camp (de rééducation) dans des conditionsextrêmement difficiles, au point de devoir manger des rats pour survivre. Mais pire que si on m’avait coupé les bras et les jambes, c’est que j’avais perdu tout espoirde sortir vivant de cet enfer… »« … En 1994, 1995, on l’appelle la Marche difficile, il y a eu beaucoup de morts, les gens mangeaient de la chair humaine, c’est en train de recommencer, ça va être pire qu’il y a dix ans. »« Quand j’étais en Corée du Nord, je vivais dans un orphelinat. Un jour, une de mesamies me dit : “Tu ne voudrais pas aller en Chine ?” Je lui ai répondu : “Si on se faitprendre, on sera exécutées.” Ma camarade m’a dit : “De toute façon on va mourir.”Alors on a traversé. Si j’étais restée en Corée du Nord, je serais morte de faim. »

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Ecrivain, conteur, dramaturge, scénariste, acteur, voyageur… Jean-ClaudeCarrière explore inlassablement tous les univers. Dans la maison familiale de son village natal à Colombières-sur-Orb, dans l’Hérault, à Paris ou encoreen Inde, il raconte ses souvenirs d’enfance, sa passion pour les livres, sesrencontres déterminantes avec Jacques Tati, Luis Buñuel ou encore Peter Brook.

COLLECTION DOCUMENTAIREDURÉE 52’ RÉALISATION DANIELLE JAEGGI PRODUCTION FRANCE TÉLÉVISIONS/KUIV ANNÉE 2009

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l’enchanteur


Jean-Claude Carrière, l’enchanteur

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“J’ai des boîtes pleines de petits bouts de papiers pliés sur lesquels il y a dessituations, des indications, des images.J’essaie de les mettre en scène. Ça, c’est pour favoriser, exciter le travail del’imagination, qui est un muscle paresseux.(…) C’est une manière de l’entraîner.

Mes parents me considéraient comme propriétaire d’un petit territoire auquel ils n’avaient pasaccès. Mon père et ma mère ne pouvaient pas corriger mes dessins ou me dire : « Cette histoirene vaut rien. » Ils m’ont laissé grandir comme une fleur inhabituelle dans ce milieu.

Mes parents (Ndlr : ils étaient paysans) avaient l’un et l’autre un certificat d’études. Ils ontété évidemment très heureux que je travaille bien à l’école, et mes deux institutrices les ontconvaincus de me faire passer une bourse. Après quoi, ils ont quitté Colombières pour queje puisse étudier à Paris. Ce futcertainement un déracinementextraordinaire pour eux, à la fin de la guerre, d’aller tenir un cafédans une banlieue parisienne.

Le monde où nous vivons, c’est comme un cadeau qui est offert àtout cinéaste, à tout auteur qui sait écouter, regarder, réfléchir un peuet imaginer. A partir de cette matière première qui nous est donnée,alors là — c’est le grand rôle de Luis Buñuel dans ma vie — il faut

imaginer, porter en soitoutes les possibilités du monde.

Je me dis quelquefois que si je me sens si bienen Inde, c’est peut-être parce que je me trouvedans un pays où précisément la fiction, l’inventionancienne, durable et constamment renouvelée, a une place aussi importante ; d’une certainefaçon, l’Inde justifie mon travail.

C’est incroyable ce que nous avons fait comme exercices avec PeterBrook. Trente-quatre ans de travail à ses côtés, comme dramaturge,auteur, collaborateur étroit, à voyager et faire mille choses avec lui.C’est ça que je retiens de lui avant tout : une exploration étonnante de toutes les possibilités qu’offre la planète.

Ce que j’aime particulièrement à Mahabalipuram, c’est qu’on a élevé des temples à despersonnages du Mahabharata. Chaque fois que je viens ici, c’est tout Le Mahabharata quirechante en moi, tous les épisodes que je connais, que j’ai écrits et réécrits tant de fois…

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Raconter l’histoire d’une œuvre, retracer son parcours — de sa découverte à son arrivée dans un musée —, à travers les nombreux témoignages de spécialistes, telle

est l’ambition d’Enquête d’art, qui s’enrichit de deux épisodes inédits. Premier rendez-vous avec « Vénus et Adonis de Poussin ». Comment Clovis Whitfield, ungaleriste londonien, a-t-il découvert, en 1980 et de façon totalement inattendue, que deuxpeintures réunies (Paysage au dieu-fleuve et Vénus et Adonis) ne faisaient qu’une seuleet même toile disparue au milieu du XVIIIe siècle ? Cet opus retrace l’incroyable destinéede cette œuvre de jeunesse exécutée par le peintre français passionné par l’Antiquité etinspiré par l’art italien. Il explique comment ce chef-d’œuvre malmené a retrouvé uneunité parfaite deux siècles plus tard !

Voluptueux hiverSecond rendez-vous avec « L’Hiver de Jean Antoine Houdon ». Appelée aussi La Frileuse, cette sculpture exécutée en 1783 pour le compte d’un riche amateur d’artreprésente une jeune femme vêtue d’un simple châle révélant des fesses volup-tueuses. Cette allégorie avant-gardiste de l’hiver crée le scandale sous l’AncienRégime. Il faut attendre la Révolution pour qu’enfin elle soit exposée au Louvre, auSalon de 1791. La Frileuse rencontre un tel succès qu’elle va être éditée dans toutesles tailles et les matières. Aujourd’hui, l’original, donné par le descendant de celui quiavait passé commande auprès de Houdon, est exposé au musée Fabre.

Ariane DadierLES INVITÉSLaurence Piquet recevra notamment le directeur du musée Fabre de Montpellier,Michel Hilaire, et l’artiste nîmois Claude Viallat.


MAGAZINE DURÉE 20’ PRÉSENTATION LAURENCE PIQUET RÉALISATION CATHERINE AVENTURIER PRODUCTION MFPSÉRIE DOCUMENTAIREDURÉE 2 X 26’ AUTEURE FRANÇOISE DOCQUIERT RÉALISATION KATIA CHAPOUTIER/MATHILDE DESCHAMPS PRODUCTION FRANCE TÉLÉVISIONS/ECLECTIC PRODUCTION ANNÉE 2009

JEUDI 12 NOVEMBRE 21.35

Un soir au musée

Enquête d’art

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Laurence Piquet tisse sa toile au musée Fabre de Montpellier et présente des opus de la collectionEnquête d’art consacrés à deux de ses pièces emblématiques : Vénus et Adonis, de NicolasPoussin (1594-1665), et L’Hiver, de Jean Antoine Houdon (1741-1828).

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ON


06.30 Les Joubert-de Caunes, album de famille

07.25 Silence, ça pousse !

07.55 50 ans de culture

08.00 Empreintes : Guy Bedos,un rire de résistance

09.00 La Grande Librairie

10.00 Fourchette & sac à dos

11.00 Echappées belles

12.05 Les Escapades de Petitrenaud

12.35 Médias, le magazine

13.45 Superscience

14.50 Au cœur des tribus

15.45 Explora

16.40 Le Doc du dimanche :A la découverte de Thoiry*

17.40 C politique

19.00 La Traversée du miroir


19.55 Dans le secretdes pierres

20.25 Avis de sorties

20.35 Le Doc du dimanche :

A la découverte de

Thoiry*

21.30 Après la chute du mur

Les Chemins de la

liberté

22.25 Après la chute du mur

La Réunification

à tout prix

23.20 Le Mur dans les têtes

00.15 Big bang sur la FM

01.05 Opération Moïse

SAMEDI 7 DIMANCHE 8 LUNDI 9

Grille 24 / 24S

emai

ne

46

05.35 C dans l’air

06.45 Debout les Zouzous

09.50 C’est notre affaire


11.05 Question maison

11.55 C à vous

12.55 Les Escapadesde Petitrenaud

13.25 Talents des cités

13.30 7 minutes pour une vie

14.05 Crash Science

15.00 Jangal enquête

15.55 Carnets d’expédition

16.50 Empreintes

16.55 Planète bleue

17.55 Cinémas

19.00 Revu & corrigé


20.35 Echappées belles

21.30 Touentou, fille du feu

22.25 A vous de voir

22.50 Les Secrets de cuisinede la Cité interdite

23.40 Le Bal du siècle

00.35 Galilée, la naissanced’une étoile

01.25 Le Trésor des roisde Bactriane

02.20 Un refuge pour les orangs-outans

05.50 La Bible dévoilée

06.40 L’Emploi par le Net


08.25 L’Œil et la Main

08.55 Les Maternelles

10.05 Allô Rufo

10.15 Barcelone*

11.10 Le Défi des manchotsempereurs

12.05 Midi les Zouzous

13.30 Le Magazine de la santé

14.25 Allô, docteurs

15.00 Les Flamants roses dulac Nakuru


16.30 Les Derniers Traqueursaustraliens

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!


19.00 C à vous

19.55 Rendez-vous avecle dragon

20.20 C à dire ?!

20.35 Voici venir l’orage


23.35 De Gaulle : naissance d’un mythe

00.25 Népal, enfants dansla guerre

01.20 Mèches d’or

02.10 Un refuge pour lesorangs-outans

Emission sous-titrée par télétexte pour les sourds et les malentendants.


courtinformation

* Titre provisoire.





10.05 Allô Rufo



11.20 Les Détectives de la nature




15.00 Colibris : le mondefascinant des oiseaux-mouches

15.30 Les Envahisseurs invisibles

16.25 Toumaï, enquête sur notre origine…

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!


19.00 C à vous

19.55 La Isla de la Natividad

20.20 C à dire ?!

20.35 Guy Martin, un artiste

en cuisine

21.35 Han, le prix

de la liberté



23.45 Profession avocat

00.40 Dans le secret des pierres

01.30 Chasseur de nazis —Un portrait de TuviahFriedmann

02.20 Un refuge pourles orangs-outans


MARDI 10 MERCREDI 11 JEUDI 12 VENDREDI 13





10.05 Allô Rufo

10.15 Fourchette & sac à dos

11.10 La Grande Marche des éléphants




15.00 Koalas : une affairede famille

15.30 Au royaume du marlin

16.25 Kheops révélée

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!


19.00 C à vous

19.50 L’Ours brun : roi de la forêt

20.20 C à dire ?!

20.35 Question maison


21.55 C’est notre affaire


23.30 La Faim des paysans

00.25 Les Aventuriersde la perle noire

01.15 Bébés animaux

02.05 Les Envahisseurs invisibles





10.05 Allô Rufo


11.10 Les Requins de l’îleCocos




15.00 Les Lynx : l’école maternelle des prédateurs

15.30 Carnets du Mexique

16.25 A la découverte de Thoiry*

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!


19.00 C à vous

19.55 Les Marmottes au paysdes extrêmes

20.20 C à dire ?!

20.35 La Grande Librairie


21.35 Un soir au musée :

Enquête d’art


23.55 Les Peuples du Soleil

00.45 L’Argent — Un peu, beaucoup, à la folie

01.40 Les Sentiers chinoisde la réussite





10.05 Allô Rufo

10.15 Au cœur des tribus

11.10 Félin pour l’autre




14.55 Empreintes

15.05 Sangliers : nés pourêtre sauvages


16.30 Superscience

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!


19.00 C à vous

19.55 Pingouins : vivreau-dessous de zéro

20.20 C à dire ?!

20.35 Empreintes :

Jean-Claude Carrière, l’enchanteur

21.30 Café Picouly


23.50 La 2e Guerre mondiale en couleur

00.40 Mémoire pour devenir

01.35 Pandamania aprèsle tremblement de terre

02.20 Les Report-Terre

* Titre provisoire.

Grille 24 / 24 documentaire magazine fictionjeunesseprogramme

courtinformation


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Ont participé à ce numéro

Stéphanie Chaix, Stéphanie Thonnet

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Graphisme

Michaël Isler 92 [email protected]

Société nationale de programmesFrance 5

10, rue Horace-Vernet92785 Issy-les-Moulineaux Cedex 9ISSN 1761-9211 N° AIP 0000471

Directeur de la publication

Patrick de Carolis

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K & D Média

Relations téléspectateurs0 890 71 05 05 (0,15 ¤ TTC/min)