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LADIES NIGHT

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Entertainment & Humor


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Ladies Night on tour

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LADIES NIGHT

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Une belle soirée! En bonne compagnie. Ils sont nombreux ces petits coins de Belgique où l’usine a fermé, où s’est retrouvé sans emploi et sans avenir plus d’une génération d’hommes.A la Capac, en fin de droits, dépendants du CPAS, coincés entre Bobonne qui râle de devoir faire bouillir la marmite et le gamin qui veut une console Wii, difficile d’avoir encore un peu de amour-propre.Désoeuvrés, démoralisés, leur fierté dans les chaussettes, que leur reste-t-il ?Le bistrot de Mimich, les copains, la complicité autour d’un verre de bière et … la frime.Chacun essaie de cacher sa détresse sous des allures de matamore.Mais entre un fils qu’on ne peut plus voir, un taf au noir, une épouse à qui on arrive quasi plus à faire l’amour, orgueil viril et mâle prestance se transforment très vite en honte, épaules voûtées et air de chien battu.

Au détour d’une nouvelle et vaine plongée dans les offres d’emploi, le passage dans leur ville des Chippendales leur donne l’idée d’un pari fou. Faire la même chose, à leur échelle, dans l’arrière-salle du bistrot.Impossible ? Que nenni ! Mais … à quel prix?

Devenir strip-teaseur, même pour un soir, il faut oser et avoir vraiment la gnac. Ils ont entre 30 et 50 ans, ne sont plus des Apollons.Ventres dodus, poignées d’amour et

_ Un des plus beaux succès de la Comédiede Bruxelles _ Nos meilleurs comédiens belges sortent le grand jeu.

confortables bourrelets ont, chez beaucoup, remplacés, les émoustillantes tablettes de chocolat et les solides biscoteaux.Des affriolants Chippendales aux prolos Metallo Boys, il y a tout un monde.

Voilà donc le challenge doublé.En plus d’oser enlever le dernier rempart, l’habit protecteur, le képi salvateur, ces six copains affrontent une totale remise en question de leur apparence physique, de leurs performances et de leur capacité à encore séduire.Tous suintent le drame, la déchéance morale, l’alcoolisme, les problèmes financiers, les envies de suicide, l’incompréhension, le sentiment d’inutilité. Même pour le fun, les spectatrices se pousseront-elles au portillon s’ils ne parviennent pas à offrir leurs un peu de rêve, de magie et d’illusion, dans un quotidien très sombre ?

Ladies Night est une pièce connue qui a eu également les honneurs du cinéma avec le film Full Monty.

La casquette de metteur en scène solidement vissée sur la tête, Daniel Hanssens a choisi des comédiens réputés.

Gageure, folie ou clairvoyance ?

Les habitués des grandes scènes risquent d’être étonnés de voir ainsi leurs acteurs fétiches sans guère d’inhibitions (visibles).Si les dernières minutes valent leur pesant d’ambiance, d’amusement, de rires, de

cris (féminins) et de sifflements, découvrir les talents de chauffeur de salle de Michel Hynderickx, le jeu de jambes de Philippe Résimont, la pugnacité de Georges Lini aux abdominaux, la crête jaune et l’accent de Bruce Ellison, le visage rieur de Frederik Haùgness, les bouderies de Pierre Pigeolet, le côté attendrissant nounours d’Éric de Staercke et la poigne de fer de Rosalia Cuevas méritent eux aussi le détour.

Ladies Night entremêle harmonieusement l’humour, la tendresse, les considérations réalistes sur la vie actuelle au théâtre, à la danse et au strip-tease.

Daniel Hanssens et sa petite troupe lui ont insufflé une pointe supplémentaire de folie et de délire.

Solidement ancré dans le réalisme et sa cruauté, le dialogue est vif et moderne.Mais derrière la difficulté physique de certains rôles, le naturel est tel que les comédiens paraissent s’amuser et être réellement une bande de potes.Cette sensation ajoutée au désopilant de la pièce, aux instants gags et à ce zeste d’extravagance qui semble flotter dans l’air font de Ladies Night une bonne soirée à passer… en bonne compagnie.

_ Muriel Hublet

_ 19 OOO spectateurs ravis

Merci pour l’excellente soirée d’hier.Un bon bol de rire partagé...En souhaitant que la pièce rencontre le succès qu’elle mérite. _Emmanuelle L. (le 7 octobre 08)

Un grand merci à toute la Compagnie pour la soirée d’hier. Rire de si bon coeur, ça fait vraiment du bien! Belle journée à vous._ Anne P. (le 7 octobre 08)

Ce fut génial !!!!!! Nous espérons sincèrement (mais en fait nous en sommes dores et déjà sûrs) que la pièce sera un succès. Superbe travail d’acteur, de mise en scène. Une soirée mémorable qui présage de nombreuses soirées mémorables _ Elizabeth M (le 7 octobre 08)

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Une pièce de Anthony McCarten, Stephen Sinclair et Jacques CollardAdaptation française Alain Helle

Glenda / Rosalia CuevasGeorges / Georges LiniMimich / Michel HynderickxFred / Frederik HaùgnessPhilippe / Philippe RésimontPierre / Pierre PigeoletBruce / Bruce EllisonEric / Eric de Staercke

Mise en scène / Daniel HanssensAssistanat / Thomas Demaret Chorégraphies / Bruce EllisonDécor / Francesco Déleo et Yves HauwaertCostumes / Cloé XhauflaireLumière / Yves Hauwaert et Laurent Kaye Direction technique / Yves HauwaertRégie / Thibaut GodimusConstruction décor / Thibaut Godimus et Yves Hauwaert

L’équipe Argan42Daniel Hanssens, directionLaurent Cools, Secrétaire généralSophie Sourdiaucourt, organisationYves Hauwaert, régie générale

Chaussé de Mons, 12561070 BruxellesPresse / Agence CINNADiffusion / www.argan42.beGraphisme / Coast (www.coastdesign.be)Site internet / Adrénaline (www.adrenaline.be)Photos / Luc Tourlouse © Argan425

Distribution /Ladies Night /

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ILS EN ONT SOUS LA CEINTURE !

Catherine Makereel dans le SoirSamedi 11 octobre 2008

SEPT COMéDIENS DéBALLENT TOUT LE PAqUET… D’éNERGIE! LA TOTALE DE « LADIES NIGHT » vA CARTONNER.

Est-ce le réchauffement climatique ou le strip-tease de ces messieurs ? Toujours est-il que la température est montée de plusieurs degrés dans la salle du Pathé Palace mardi soir pour la première de Ladies Night, la pièce qui inspira le film The Full Monty. Sans faire durer le suspense plus longtemps, et puisque c’est là le clou du spectacle, disons-le tout net : oui, ils ont osé ! Avec une aisance qu’on ne leur soupçonnait pas, Georges Lini, Eric De Staercke, Michel Hinderycks, Frederik Haugness, Philippe Résimont, Pierre Pigeolet et Bruce Ellison ont déchaîné le public – surtout les filles – dans un savoureux numéro de flics en chaleur. Même la casquette a valsé !Pourtant, ce qui nous a séduit, ce n’est pas tant leur talent de Chippendales, mais la sincérité et la bonhomie de leur jeu tout au long de la pièce. Touchants de ringardise et joyeusement ridicules de machisme, les comédiens font honneur à la bande de « losers » rendus mythiques par Robert Carlyle et compagnie à l’écran.

Apprendre à s’effeuiller

Se basant sur la pièce d’origine, Ladies Night, Daniel Hanssens met en scène cette histoire de chômeurs à la reconversion plutôt inattendue en s’attachant à leur personnalité plutôt qu’à leurs fesses. Dans un décor de café démodé, on fait connaissance avec la bande. Il y a Georges, la pile électrique qui cherche à se faire de l’argent pour payer la pension alimentaire et revoir son fils. Il y a Eric, le complexé du groupe, amoureux de sa femme et angoissé par une mécanique érectile trop performante. Philippe, le fan de

Ladies Night / La critique à la création

rock, sentimental caché sous des dehors de macho étouffé par une épouse nymphomane. Fred, le timide, terrorisé par les filles. Bruce, le fêlé de la bande, blessé dans son amour-propre parce que sa mère et ses sœurs doivent le nourrir. Pierre, pour qui les Chippendales sont des « tapettes » mais qui finira par se joindre à l’aventure. Et Mimiche, le barman qui va leur prêter sa salle, les financer et les présenter à Glenda (Rosalia Cuevas), ancienne danseuse qui saura les mener à la baguette pour leur apprendre à s’effeuiller.

Les décors mobiles nous entraînent du bar au minuscule appart de Georges, du gymnase au rideau de paillettes qui s’ouvrira sur nos mâles. Si les dialogues paraissent lourds et grossiers au début, ils laissent bientôt percer la fragilité de ces êtres. De leur maladresse naissent de nombreuses scènes hilarantes, entre l’arrivée des huissiers lorsque les gars s’entraînent à se mettre en caleçon et les premiers pas de danse de ces hommes empotés. Au final, le très divertissant Ladies Night nous change des Bourses déprimées !

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Rosalia, le seul personnage féminin de la pièce. Contrairement aux mecs de la troupe est la seule qui change son nom pour le spectacle. Elle est Glenda. Un «chic fille» comme dit Mimich. L’ex-danseuse reconvertie en coach pour apprentis chippendales. Et c’est peu dire qu’il y a du travail... Elle hésitera beaucoup. Dira non d’abord, puis se laissera toucher par ce projet dingue.Pourquoi? Elle a peut-être besoin d’une aventure comme ça aussi. En grande professionnelle, elle va leur apprendre à bouger mais surtout les encourager à le faire et à y croire.

Rosalia Cuevas / Glenda

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Georges Lini / Georges

Georges Lini, ce serait Gaz (Robert Carlisle) dans le film : le meneur qui va lancer l’idée en riant puis se dire qu’après tout… pourquoi pas?Le comédien n’a pas revu le film pour ne pas se laisser influencer. Ce qui le marque dans

“Ladies’Night” c’est que “dans les rires énormes qu’elle suscite, c’est une pièce profonde. On a tous ressenti qu’en dessous de ces scènes de danse désopilantes, il y a une détresse et par là une motivation extrême de ces hommes. J’aime l’atmosphère des pièces anglo-saxonnes comme celle-ci, où l’aspect social se mêle à un humour déconcertant.”

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voici Mimiche, le barman, celui qui va aider à réaliser le rêve de ses potes.

“Je leur prête une salle, j’achète les costumes et finalement, je les rejoins, convaincu par leur démarche. Il y a un souffle d’énergie terrible dans cette histoire qui se passe dans une région industrielle dévastée où plus rien ne se passe. Destination naufrage… Et là un jour, Georges a un projet. Il y croit tellement, il a une telle force de persuasion, il donne tellement d’énergie que chacun ne peut plus que dire “oui”. Je trouve ça beau cette reconquête de soi, Cette scène marque l’avant et l’après…”

Michel Hynderickx / Mimich

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Frederik Haùgness / Fred

Fred est le timide de l’équipe, celui qui habite chez maman, par choix ou par dépit de ne se trouver personne, on ne sait pas trop…“La scène qui me marque le plus, c’est celle où notre petite équipe regarde la célèbre audition de “Flashdance”. Nos personnages se disent qu’ils vont trouver là ce qu’ils doivent faire… Il y a de tels silences, de tels échanges de regards durant cette scène ! C’est le moment où ces bonhommes vont se dire que ça n’est finalement pas si facile de faire le chippendale…J’aime cette pièce pour son côté tellement humain : ces six-là, ce sont moins des chômeurs que des hommes qui vont peu à peu se retrouver une identité grâce à un boulot, quel qu’il soit finalement.”

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Phil, c’est le fan de rock genre Iron Maiden qui a de gros problèmes de couple : sa femme étant plutôt nymphomane. Mais il l’adore alors qu’elle le considère comme un minable. Alors se joindre au groupe, pour lui, c’est aller au bout d’une idée pour une fois et du même coup retrouver de la fierté… plus que la fortune d’ailleurs.

“La scène qui me secoue c’est quand Bruce lui avoue qu’il se sent sale de faire ce qu’il fait alors que son père et son grand-père étaient, eux, mineurs.Un travail difficile mais qu’ils faisaient avec cœur pour nourrir la famille…”

“On les a en nous ces personnages, on doit être 100 % sincère pour jouer cette pièce. Ce qui ne nous empêche pas d’être dans une ambiance

“vestiaire de foot” durant les répétitions parfois et c’est assez… extraordinaire !

Philippe Résimont / Philippe

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Pierre Pigeolet / Pierre

Pierre va hésiter longuement à se glisser dans l’aventure. “Dans la pièce, mon personnage ne comprend pas ce qui les pousse vers ça, il n’est pas pris dans le mouvement, c’est une question d’orgueil pour lui. Complètement rejeté et seul, il va ouvrir les yeux sur le but de ce projet : retrouver une vie sociale normale, s’en sortir ensemble… Et Pierre se mettra à danser sous les ordres de Glenda, comme ses autres potes !”“Jouer cette pièce, c’est un bonheur de comédien total. Elle est intelligente, drôle, poignante… Et on forme une bande comme cela se passe rarement au théâtre. quel plaisir fou !”

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Le fêlé du groupe, c’est Bruce. S’il avait un peu d’argent,il serait en forme mais là, il a surtout sa place au bar et une brioche en pleine croissance.Bruce Ellison, lui, comédien et chorégraphe s’est occupé de la chorégraphie de “Ladies’ Night”. “Il y a du boulot mais j’ai l’habitude de faire danser les foules lors de bals populaires alors ces six-là, vous pensez ! Et puis j’ai des trucs et astuces pour les aider mais globalement, ils sont à fond dans leur personnage quand ils dansent !La scène qui me reste en tête ? Lorsque Glenda nous demande de faire des pompes… C’est vraiment physique, on arrive à peine à dix, c’est crevant !”

Bruce Ellison / Bruce

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Eric De Staercke / Eric

Eric, c’est le bouboule de l’histoire. Cet homme-là n’est pas à l’aise avec son corps… Un rien lui provoque une érection alors, pensez… une foule de femmes en délire et sa femme qui plus est ! D’un autre côté, il est tellement désespéré, il a tellement envie de montrer à celle-ci qu’il peut arriver à quelque chose dans la vie qu’il se lance dans l’aventure.Sa scène de prédilection : quand il s’ouvre de son “problème” auprès d’un de ses potes, celui-ci lui conseille de penser à des choses basiques genre moteur… ou chasse et pêche. “Et là mon personnage hausse les épaules. quoi, même ça ?, lui répond l’autre. Oui… Mais attention, c’est médical, je réponds gêné.”

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UNE BANDE DE POTES AU CHôMAGE SE TRANSFORMENT EN CHIPPENDALES.SEPT COMéDIENS SE LA JOUENT FULL MONTY.Ladies Night », à Bruxelles et à NamurPar Catherine Makereel, Le Soir, 1er octobre 2008.

Vont le faire ? Vont pas le faire ? Ce qui est sûr, c’est que les places aux premiers rangs vont s’arracher comme des petits pains pour Ladies Night, la pièce qui inspira The Full Monty au cinéma. Au-delà des corps virils de nos comédiens belges, le spectacle recèle d’autres atouts de taille. Dont la présence aux manettes de Daniel Hanssens, grand habitué des versions théâtrales de succès télévisés : on lui doit notamment la mise en scène des mémorables Dîner de cons et La Cage aux Folles.

Aujourd’hui, cet artiste hyperkinétique – le soir, il joue dans Hygiène de l’assassin au Public – met en scène une comédie de renommée internationale. Et il suffit d’assister aux répétitions pour comprendre que ce

Avant-papier à la création /

Ladies Night ne devrait pas faire chavirer que les dames.

Alors que retentit le « Hot Stuff » de Donna Summer, voilà que le pied de Georges Lini se met à battre la cadence, que le genou d’Eric de Staercke gigote, que Philippe Résimont laisse échapper un déhanchement communicatif, pour finir dans une chorégraphie des plus sexy. Impossible alors d’éviter un sourire ou de battre du pied à son tour. On aura reconnu la scène des apprentis stripteaseurs dans la file des pointeurs au chômage, même si elle est transposée ici dans un bar. « La pièce diffère un peu du film, précise le metteur en scène. Mais on retrouve la même intrigue, que nous avons adaptée au contexte belge, avec l’Orbem, le CPAS et le café de quartier comme on en trouve dans la banlieue de Bruxelles. »

L’histoire est connue. Dans une ville ouvrière, une bande de copains se lance un défi : faire un strip-tease pour « gagner de la thune » et se prouver qu’ils sont encore capables d’exister. Qui dit strip-tease dit voyeurisme ; l’affiche joue d’ailleurs là-dessus.Nombreux sont ceux qui viendront voir avant tout six hommes se mettre à nu, et c’est justement là que Daniel Hanssens veut surprendre : « Si on joue ça uniquement sur le strip-tease, on se plante. La nudité n’est pas le propos. Ce sont avant tout des paumés qui veulent s’en sortir. Ils sont à bout, ne savent plus payer leurs traites, craignent que leur femme les quitte. Se mettre à nu sera

pour eux comme une nouvelle naissance, une manière de se refaire une place dans la société. A l’heure où le taux de chômage ne cesse de grimper, cette pièce est terriblement actuelle. »Pour son casting de rêve, Daniel Hanssens a fait appel à des familles théâtrales très différentes, de Pierre Pigeolet, abonné aux Galeries, à Georges Lini, meneur du Zone Urbaine Théâtre.

« On était tout courbaturés »

Même Philippe Résimont, encore dans le plâtre cet été suite à une chute alors qu’il jouait Le Bossu à Villers-la-Ville, a accéléré sa rééducation pour pouvoir rejoindre la bande. Il n’aurait manqué ça pour rien au monde. Et aujourd’hui, ses collègues le placent numéro 1 pour ce qui est du rythme dans la peau. C’est que chaque jour, entraînés par Bruce Ellison, les comédiens peaufinent leur « choré ».

« A la fin des premiers entraînements, on était tout courbaturés ; on aurait dit la scène du film », se souvient Michel Hinderyckx. « On s’est beaucoup servi de nos propres expériences, renchérit le metteur en scène. Le théâtre est un milieu précaire, et on a tous vécu l’humiliation des files du chômage. Et puis, en mars, pour faire l’affiche, j’ai dû leur dire : “Allez les gars, à poil !” Ils ne pouvaient plus reculer, exactement comme dans la pièce ! »

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L’équipe Argan42

Daniel Hanssens, directionChaussé de Mons, 12561070 Bruxelles02 523 37 700475 673 [email protected]

Photos et autres infos sur le spectacle sur www.argan42.be

Photos / Luc Tourlouse © Argan42

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Contacts /Ladies Night est disponible en tournée en mars-avril 2011

Prix de cession pour une représentation: € 9 000 Ce spectacle bénéficie de la reconnaissance Art&vie.

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