la route des 4 châteaux de 2012 · le parcours est revenu sur la petite route du château bien...

La Route des 4 Châteaux de 2012 (Chevreuse, le 25 novembre 2012)

Vue par Atomic (Abuel) JF

La Route des Quatre Châteaux 2012 vue par Atomic Abuel JF Chapitre 1 : de Chevreuse à Herbouvilliers

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Dimanche matin, le 25 novembre dernier, mes compagnons de course étaient sympathiques, la lumière était belle, les vues étaient superbes, variées et exceptionnelles, j’ai, donc une nouvelle fois cédée à la folie de prendre des photos dans une course rapide (pour moi) afin de la raconter ensuite à ma façon. Cette course, c’était la Route des 4 Châteaux, à Chevreuse, très populaire et très demandée (les inscriptions, limitées à 2700 coureurs, sont closes 3 mois avant le départ) et déjà mythique après 13 superbes éditions. Bien que mon club, le JDM Bures, n’a jamais manqué d’y envoyer nombre de ses membres, je me refusais depuis 10 ans à participer à cette fête, trop courte, trop rapide et puis…c’est difficile de constater qu’on est devenu bien lent après être monté sur le podium.

12 Novembre 1999, Podium V2 de la première édition de la R4C.

Je l’avais emporté en 1 h environ, devant Philippe déjà infatigable.

La boucle, de 16,6 km de long, plus courte que l’an dernier, promène les coureurs sur des chemins forestiers et sur des petites routes, de prairies en villages et de parcs en forêts. Il y a juste assez de dénivelé et de passage boueux pour qu’ils portent des chaussures de trails. La course offre l’exceptionnelle occasion de traverser les superbes parcs privés des 4 châteaux de Mauvières, Breteuil, Méridon et Coubertin. On ne grimpe pas jusqu’au cinquième château, la forteresse médiévale de la Madeleine, qui surplombe encore joliment (et comme au Moyen Âge) la bonne ville de Chevreuse. Autre belle idée : l’organisation donne à sa course les couleurs des anciens temps, peut-être pour montrer que près de 10 siècles se sont écoulés entre la construction de la Madeleine et celle de Méridon. Beaucoup des 300 bénévoles à l’accueil et sur le parcours portaient des vêtements médiévaux. Les gens de Breteuil étaient, eux, vêtus à la mode du début du 16eme siècle, l’époque où fut construit le château. Beaucoup de JDM étaient venus courir à Chevreuse : Cédric, Gilles, Yves, François et Geneviève.

Et aussi Annick, Anne-Marie, Monique, Frédérique, Soizic, Philippe, Pierre et Remi. J’en ai compté 14.

Que d’autres amis se trouvaient là !

Comme ceux de Castel Trail (Gometz le Châtel)


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9h25, un groupe de musique folk et des cracheurs de feu se produisaient devant l’aire de départ, sur la place de la Mairie.

Les coureurs très intéressés par le spectacle ne se pressaient pas sous la banderole de départ.

9h35, départ des filles. Les premières se sont défoncées pour se dégager de la foule (700 concurrentes).


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Oh JF, nous

sommes là !

Les sectateurs n’entendaient que le martèlement des chaussures sur le pavé et ne voyaient que des regards fixés vers l’avant. On est sérieux au départ des 4 châteaux, ce n’est pas la foule bruyante du départ de l’Ecotrail, ou de celui de la TDS.

Par hasard, j’ai saisi Anne-Marie et Annick. Elles paraissent aussi déterminées que leurs voisines.

Mais, j’ai bien visé Geneviève sur mon écran.

Il n’a fallu qu’une minute pour que toutes les dames passent.

N’ayant rien à faire dans les premiers rangs, je me suis faufilé vers l’arrière de la foule des hommes, jusqu’à ce que des JDM m’interpellent.

JDM, JDM.


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9h45. Je n’ai rien entendu : quelques secondes me furent nécessaires pour me rendre compte que le départ avait été donné. Personne ne bougeait. Puis soudain, la route étant libre, ce fut la ruée.

Le géant n’a pas marché bien loin sur ses échasses. Il peinait déjà beaucoup après 200 pas.

10h52, j’ai, à ma grande surprise, rattrapé Gilles et Rémi, juste après que nous soyons passés devant les dernières maisons de Chevreuse, à 1200 m du départ.

Merci JF.

La route lisse et plate me permettait d’avoir une foulée courte et rasante qui me maintenait sans peine à 5 minutes au km. Bien longtemps que je n’avais pas tenu le 12 km/h.

9h58, début du parc à l’anglaise du château de Mauvières. Vastes pelouses et larges allées plates, la foule avançait sans gêne.

Rémi et Gilles me suivaient à quelques pas. Je n’ai pas eu le temps de les apercevoir quand je me suis retourné pour la photo.

Je ne savais pas que Rémi était si fringant. Il allait le confirmer.


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La façade côté jardin du château, et, sur la pelouse, des sonneurs de trompe de chasse qui nous ont salués de mâles et profondes sonneries.

Le comte Zaroff a-t-il lancé la chasse à courre après tout ce gibier arpentant ses pelouses? Annick, qui était passée là 10 min plus tôt, écrit dans son beau CR de la course (blog du JDM), qu’elle y a pensé.

J’avais eu la même idée, 8 ans auparavant pendant le trail d’Auffargis en entendant ces sonneries dans les bois au nord de Dampierre. Mais j’étais seul. Brrrr !

Le peloton, encore très dense, vu des pavées de la façade côté jardin. C’était le troisième kilomètre.

Le château de Mauvières, construit au XVIIIème siècle, est maintenant, une magnifique hôtellerie où se font de grandes réceptions et non la sinistre demeure gothique du maléfique comte chasseur d’hommes.

La traversée de la Grande Cour, côté sud du château.


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Geneviève était sortie du domaine de Mauvières, 8 minutes avant moi.

Photo R4C. Photo R4C.

Gilles est passé là quelques secondes après moi.

Le peloton était toujours bien groupé sur la longue allée d’accès au château. Il y a trouvé sa première difficulté : une aimable petite montée.

Jérôme (1h23) et Thierry (1h22) revenaient alors très vite sur le papy photographe. Il ne les pas revus.

5 minutes plus tard (10h12), nous en étions un peu après le cinquième kilomètre, à la Rimonière. Sam (1h35) qui me suivait alors, apparemment sans difficulté, allait connaître un gros coup de mou.


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Un peu plus loin et 7 minutes plus tôt un photographe officiel a montré le passage de Monique.

C’était juste avant qu’on tourne à droite sur la petite route qui conduit à la place de l’église de Choisel.

Combien de fois les JDM sont-ils passé sur ce joli bout de route en Raid 28 et en rando de nuit ou de jour !

Mes poursuivants du moment sur la place de l’église. On y a rattrapé les premières dames.

Photo R4C.

Photo R4C.

De l’autre côté de la place, le portail du parc du château de Breteuil était ouvert pour la course.


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Photo R4C.

Derrière le portail, il y a une belle allée que nous avons remontée face au soleil de fin d’automne.

Au même endroit, 7 minutes plus tôt, un photographe officiel a saisi Anne-Marie entrant dans le parc.

Qui était donc cette dame en bleu qui faisait se fendre en deux files, la foule d’hommes pressés ?

C’était Geneviève. Coup d’œil en arrière. Thierry (872) a un peu coincé plus loin pour boucler la Route en 1h42.

Le 1er des 2 ravitos de la course était à 100 pas. Des centaines de gobelets en plastique jonchaient le sol. Eh les coureurs, à quoi servent donc les poubelles ? Il y a à peine moins de monde à l’Ecotrail et quasiment pas de gobelets par terre aux ravitos !

Jérôme (557) a fait le parcours en 1h32.


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Le sixième kilomètre était au pied de la Grande Côte du parcours : environ 50 m à monter en 500 m, entre le fond du vallon et le plateau.

Les bienfaits de mon entraînement à la montée de cet été en montagne (11 000 m en 12 jours étaient bien loin. Comment allais-je grimper là haut ?

Coup d’œil en bas, sur les gens attaquant le premier lacet de la montée.

J’ai eu, en effet, du mal à monter en courant comme faisait si bien mes compagnons de la Route.

Si je m’écoutais, je marcherais.

Dans l’épisode, il y en a plus qui m’ont doublé que j’en ai doublé.

10h25, enfin, le plateau ! Des gens d’épée saluaient les coureurs devant les douves du château de Breteuil.

L’élégant château de Breteuil, tout d’ardoises, de tuiles et de pierre, à la mode du temps du Roi Louis XIII, resplendissait au pâle soleil de novembre. Merci, mesdames, messieurs de l’organisation, cette seule vision justifiait le parcours.


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Tient donc mais ce sont Portos et D’Artagnan ! Où sont donc les deux autres ? Et les gardes du cardinal ?

Il y avait bien deux musiciens qui jouaient des airs d’un temps plus récents.

J’ai cru reconnaître une célèbre évocation des ponts de Paris où Julot rencontrait Nini.

Photo R4C.

Photo R4C.

Photo R4C.

Photo R4C.


Devant le château, les photographes de l’organisation ont photographié à cœur joie tout ce qui passait devant leurs objectifs, dont des JDM.

Annick et le troubadour (sans son luth) qui l’a accompagnée un bon bout de chemin, sont passés à 10h12, 12 minutes avant moi.

Cédric venait une poignée de secondes après moi.

40 secondes après que j’aie photographié le château, passait Gilles. Trois minutes plus tard, c’était au tout de Geneviève.


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A 10h32, on a vu le maillot jaune de François.

Enfin, le dernier des JDM était salué par les «Lames du Roy» à 12h36.

Je reviens à ma course. Dans la belle allée du château, je me suis retourné pour montrer le peloton.

J’ai eu le temps de voir Cédric revenir.

Pas de barrière horaire aujourd’hui, le temps des photos ne te mettra pas hors délai.

J’ai, en effet, été éliminé à la 2eme barrière horaire du TGV 2011 pour, entre autres raisons, avoir pris trop de photos. Mais l’affront a été lavé en 2012. (Voir le blog du JDM).

Pas question que je m’accroche à la foulée d’un jeune endurant comme Cédric, néanmoins, profitant d’un passage boueux, je suis repassé devant pour la photo.

C’est vrai que je n’aime pas autant la boue que toi.

Après la traversée du hameau d’Herbouvilliers, le parcours nous a conduits, plein sud, dans la forêt de Méridon aux larges allées. Nous étions près du dixième kilomètre. J’y perdu, Cédric, de vue.

La Route des Quatre Châteaux 2012 vue par Atomic Abuel JF Chapitre 2 : d’ Herbouvilliers à Chevreuse

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Sur la grande allée forestière qui conduit droit sur le château de Méridon, 2 gars papotaient dur derrière moi. Intrigué, je me suis retourné.

C’étaient Alban, le 671, (1h29), et Thierry, le 678, (1h26) du club des Foulées d’Angervilliers.

On cause des Foulées de Courson de dimanche dernier.

Par des pelouses et des allées, le parcours contournait le château de Méridon du côté nord. C’était l’occasion de voir la face du château la moins connue par les randonneurs.

Les allées du parc n’étaient pas trop abîmées par la foule des coureurs, en revanche, après le passage de la moitié du peloton (1000 hommes et femmes), où je me trouvais, la pelouse ressemblait, déjà, à celle du stade de France après un match de rugby des Français contre les Anglais, un jour de pluie.

Le château a été construit au XIXème par les Breteuil sur les ruines d’un château féodal.

C’était tellement labouré qu’on pourra y semer directement le nouveau gazon au printemps prochain.

Le parcours est revenu sur la petite route du château bien connue (combien de JDM en Raid 28, en entraînement ou en randos a-t-elle vus ?).

Le second ravito de la Route, c’était installé dans l’abri (aussi bien connu) de l’entrée du bois de Vossery. En raison des nombreuses filles rattrapées par les gars, il y avait encore plus de monde qu’au premier ravito.

Thierry avait lâché Alban. Et tout là-bas, Remi (en orange) était encore là.


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Pas de photos dans la longue allée plate qui traverse le bois de Vossery d’Ouest en Est, j’étais tout à ma lutte avec Hervé (1h28mn32). Un papy qui m’avait largué vers le km 5.

Je ne lui avais grignoté qu’une dizaine de mètres sur le plat. La fameuse, parce que délicate descente, à l’Est du bois allait-elle nous départager ? Il était possible que j’y sois avantagé.

Comme beaucoup de JDM, j’aime, en effet, les descentes pentues et techniques (sauf au dessus de 1500 m d’altitude).

Dès les premiers pas dans le passage, j’avais avalé une quinzaine de coureurs dont Hervé.

Hervé, c’est l’homme en veste jaune et aux cheveux blancs.

Je lui ai pris une vingtaine de secondes dans la descente. Puis l’écart s’est stabilisé. Heureusement pour moi qu’il y avait cette descente !

Un photographe de la Route était là. Il a, entre autres concurrents, photographié 2 JDM derrière moi : Philippe.

Et François.

Attention, je double à votre droite.



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J’ai poursuivi allègrement la descente en doublant tout le monde.

Sauf quand je buttais sur un bouchon provoqué par groupes de gens gênés par la boue, les cailloux et la pente. Ce que j’aime, moi !

Le peloton s’est singulièrement étiré là où il était facile de courir et cela sur un front de 3 à 4 coureurs, sur la piste de l’ancien chemin de fer puis sur la route de la ferme de Coubertin.

Nouveau privilège de la Route des 4 châteaux, la visite du parc du château de Coubertin.

Mais, dommage pour moi, j’y étais beaucoup moins à mon aise pour doubler du monde et même qu’on me doublait à nouveau.

L’encadrement des chemins à suivre par les coureurs, à l’aide de bandes de rubalise m’a rappelé mes nombreux cross du temps lointain d’avant les courses « vertes » et autres trails.

Le parcours nous a permis d’admirer la superbe façade côté jardin du château construit au XVIIème.

Notre course était rythmée par la batterie d’un groupe de rock installé sur les marches du grand perron.


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L’organisation de la course avait placé un photographe (ou des photographes) à côté de l’orchestre pour montrer tous les coureurs de la course….. dont les 14 JDM.

Annick est passée la première des JDM à 10h50.




Suivie de ses anges gardiens Marc et Jean-Christophe.

7 minutes plus tard, Anne-Marie passait devant les marches.

Puis vint Cédric à 11h04. Il venait de doubler Soizic qui le suivait, alors, de quelques mètres.

J’ai été photographié à 11h04, 35 secondes derrière Cédric.

Rémi n’était qu’à 25 secondes derrière moi.

A moins d’une minute derrière, on a vu Frédérique, toujours souriante à 1500 m de l’arrivée.

Photo R4C.

Photo R4C.


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Photo R4C. Photo R4C. Photo R4C.


Photo R4C.

Monique est passée 2 minutes plus tard à 11h07.

Gilles, photographié 10 secondes plus tard, devait les voir.

Philippe est passé à 11h12, 5 minutes après Gilles.

Le photographe a attendu encore 8 minutes pour prendre François.

Geneviève le suivait à 6 minutes.

Yves fermait le défilé des JDM à 11h28.

Coup d’œil en arrière dans la grande d’allée d’accès au château pour montrer sa balle façade classique.

Juste derrière moi, venaient : Claude (1h40), la dame au coupe-vent noué à la taille, Olivier (1h28) et Jean-Luc (1h28).

Photo R4C.

5 minutes plus tard, c’était le tour de Pierre.


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Devant, il y avait aussi une belle vue de l’allée majestueuse et, derrière les arbres, la prairie de Coubertin avec ses célèbres vaches et les coureurs lancés sur la piste cyclable pour leur dernier effort.

Pour moi aussi, c’était le sprint final. Je m’étais donné l’objectif raisonnable de ne pas me faire doubler et de prendre 2 photos.

La deuxième photo, pour montrer le château de la Madeleine et ses vieilles pierres veillant sur la vallée.

Et puis le sourire de Soizic qui vaut bien plus qu’une entorse à la règle que je m’étais donnée. Je ne n’avais pas reconnue Soizic. C’est elle qui m’a interpellé.

C’était ma dernière photo en course, j’avais accepté le défit de Gilles (871). Le dernier kilomètre vit donc, entre autres belles bagarres, celle de JF et de Gilles.

Sur une courte distance, je peux encore courir assez vite. Mon démarrage à 100 m de l’arche a laissé Gilles sur le séant.

J’ai couru les 4 Châteaux en 1h28min11s, 25 min de plus qu’il y à 13 ans. Bof! Classé à mi peloton.


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Je n’ai attendu Gilles, le notre, que 3 minutes.

Au bas des descentes de montagne, il m’attend, lui, beaucoup plus longtemps.

Gilles était bien content de sa Route.

Sur les terres de Monsieur de Coubertin, participer, c’était l’essentiel.

Bernard, comme Marc et Jean-Christophe était venu à pied de Bures pour faire le lièvre.

C’était notre sortie JDM du dimanche.

Soizic et Monique, toutes heureuses avec leur gobelet-trophée recyclable.

Dans la prochaine course on gagnera des coupes recyclables.

Quatre des six filles du JDM qui ont courues la Route des quatre châteaux.

Hugo (1h31) et sa maman gazelle.


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Mes humbles, respectueuses (et un peu envieuses) félicitations aux meilleurs hommes et femmes de la Route et aux presque 1000 coureurs, hommes et femmes qui ont fait mieux que moi. Mes chaleureuses félicitations aux autres, en particulier à ceux qui ont fermé la marche. Je connais cela, étant le dernier (de ceux qui ont fini) du Tour des Glaciers de la Vanoise le premier juillet dernier. Perfs des JDM : Annick : 1h24min55s Frédérique : 1h25min57s Cédric : 1h27min23s JF : 1h28min11s Rémi : 1h28min33s Gilles : 1h31min04s Anne-Marie : 1h32min37s Philippe : 1h37min34s Soizic : 1h39min53s Pierre : 1h43min24s Monique : 1h43min38s François : 1h45min53s Yves : 1h55min31s Geneviève : 2h06min31s

Je me permets au nom des JDM d’adresser mille remerciements (au moins) à l’organisation de la Route des 4 châteaux. Mille remerciements pour l’énorme boulot qui a conduit à ce si beau résultat :

• Accueil fluide, sympathique et confortable, • Parcours impeccablement tracé, sportif,

varié et traversant des sites forestiers ou historiques remarquables de beauté et d’élégance,

• Manifestations artistiques musicales et autres, originales et amusantes, au départ, sur le parcours et à l’arrivée,

• Ravitaillements sur le parcours et à l’arrivée, richement fournis en quantité et en variétés,

• Et, ce qui ne gâche rien, belle ambiance dans le peloton, au bord du chemin et dans les hameaux traversés,

• Il y avait même du beau temps frais. A l’année prochaine, si je le peux. Atomic Abuel JF, les Ulis, le 5 décembre 2012

Remerciements et félicitations aux coureurs déguisés. Quel courage il a fallu aux éléphants et au loup garou pour supporter leurs déguisements lourds et étouffants pendant près de 2 heures de course !

Photo R4C.

Photo R4C.

Remerciements et félicitations à l’organisation et aux bénévoles.

Longue vie à la R4C.

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