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Dossier de presse Octobre 2012 La coopérative, maillon essentiel de la filière fruits & légumes frais Zoom sur la pomme et le raisin

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Dossier de presse • Octobre 2012

La coopérative, maillon essentiel de la filière

fruits & légumes frais

Zoom sur la pomme et le raisin

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La coopérative, maillon essentiel de la filière fruits & légumes frais.

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LA COOPÉRATIVE ET L’EXPÉDITEUR : NETTOYER, STOCKER, TRIER, CALIBRER, ÉTIQUETER, EMBALLER, COMMERCIALISER, EXPÉDIER, ACHEMINER

Après la récolte, c’est à l’expéditeur ou la coopérative, entreprise créée par des producteurs, de s’occuper des fruits et des légumes frais. Ils sont un maillon central de la chaîne, un point de passage indispensable entre la production et la vente (en gros ou au détail).

Leur rôle est de collecter les produits auprès des producteurs ou des organisations de producteurs, de les préparer à leur mise en vente, de les proposer et les acheminer à leurs clients (grossistes, centrales d’achat, marchés étrangers).

Ils ont aussi un rôle de conseiller auprès des producteurs pour les aider à adapter leurs produits aux attentes des consommateurs, mais également auprès des clients (les grossistes, les marchés étrangers, …) afin de les orienter dans le choix des produits et la manière de les vendre.

Leur travail dit « travail en station » demande de la minutie, car il implique de nombreuses opérations et manipulations qui doivent être réalisées avec soin pour ne pas altérer la qualité des produits.

Quand les fruits et légumes frais arrivent en station, ils sont triés, calibrés (rangés par taille), stockés et conditionnés (c’est-à-dire emballés), étiquetés, afin d’être transportés aux quatre coins du pays ou du monde tout en préservant leur qualité, leur goût et leur fraîcheur !

Beaucoup de personnes sont donc nécessaires au bon déroulement de ces étapes même si les machines apportent une aide essentielle.

A propos d’Interfel

Créée en 1976, Interfel rassemble et représente les métiers de la production jusqu’à la distribution des fruits et légumes frais. Elle est reconnue comme seule Interprofession nationale pour les fruits et légumes frais par les Pouvoirs Publics qui lui délèguent le pouvoir d’élaborer des accords interprofessionnels qui font force de loi. Interfel est reconnue, dans le cadre de l’OCM, par l’Union européenne depuis le 21 novembre 1996.

Préambule

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BLUE WHALE, union de coopératives fruitières

STANOR, coopérative de pommes

ANTOINE DELvOLvÉ, producteur de pommes

FRANCOISE ROCH, productrice de raisin

LA POMME fruit préféré des Français

LE RAISIN savoir-faire & tradition

Informations pratiques

Sommaire

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Un groupement de producteurs du Sud de la France et une S.A.SAujourd’hui, Blue Whale est une union de coopératives fruitières. Sur un marché encore très atomisé, Blue Whale est un exemple réussi de filière intégrée ; c’est l’un des plus importants et des plus performants acteurs de la filière fruitière, au rayonnement international. Production, stockage/conditionnement des fruits et commercialisation : le groupe maîtrise les 3 métiers de la chaîne. A chaque métier correspond une structure juridique particulière :• Des producteurs : 200 fruiticulteurs fournissent

la matière première et gèrent l’activité de leur verger en nom propre. Le groupe Blue Whale a deux engagements moraux vis-à-vis d’eux : vendre la totalité de leur production au meilleur prix et orienter les programmes de plantation et de cueillette en fonction de l’évolution de la demande.

• Des coopératives : le stockage, la préparation des commandes et le conditionnement sont réalisés au sein de 6 coopératives adhérentes : STANOR, KIWICOOP, QUERCY SOLEIL, NOvACOOP, TROIS DOMAINES dans le Lot-et-Garonne, les DEUX vALLEES dans le Tarn.

• Des partenaires : Domaine St Georges (Alpes de Haute-Provence), GRANLOT (Lot-et-Garonne), vERGERS DE LA COURTOISE et FRUCA (vaucluse), SCEA BURATTI (Tarn-et-Garonne), OP vALDIPOM (val de Loire) contribuent également à l’approvisionnement.

• Une S.A.S (Société par Actions Simplifiées) : 16 commerciaux sont regroupés au sein de BLUE WHALE S.A.S dont le siège est à Montauban. Cinq d’entre eux suivent les clients français, les 11 autres se consacrent aux marchés export.

Bureaux d’achat :• Blue Whale Provence, implantée à Avignon (84),

permet au groupe d’apporter un approvisionnement précoce à ses clients ;

• Blue Whale val de Loire, implantée au Lude (72), augmente la gamme variétale proposée.

Filiales : • UC COOPEX : filiale industrie ;• Embadif pour la création et la gestion

des emballages ;• Promofel pour la promotion des ventes

dans la GMS France.

BLUE WHALE, union de coopératives fruitières

UNE LOgIQUE DE FILIèRE

La stratégie d’intégration des filières s’élabore au sein du Conseil d’Administration de Blue Whale où siègent les membres des coopératives fondatrices. L’une des clés de la réussite du Groupe réside certainement dans la mixité entre producteurs, cadres de stations fruitières et commerciaux. Elle permet de concilier les impératifs de rentabilité d’un grand groupe agro-alimentaire tout en assurant la défense des intérêts de chaque producteur.

Blue Whale est née en 1970 de la volonté d’une poignée de producteurs du Sud-Ouest de la France qui se sont regroupés en GIE (Groupement d’Intérêt Economique) afin de faire face à la naissance rapide de nouveaux marchés au Moyen-Orient et aux Etats-Unis. Son nom, dont la traduction littérale est « baleine bleue », fait référence aux importantes quantités expédiées exclusivement par voie maritime. Grâce à cette démarche très innovante pour l’époque, le groupe fait alors figure de précurseur.

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Le verger Blue WhaleLe groupe Blue Whale totalise 136 exploitations. La taille moyenne des vergers atteint 18,8 ha ; soit plus du double de la moyenne française qui s’établit à 7,10 ha.La pomme, cultivée dans 95 exploitations, représente près de 2 200 ha plantés.Le kiwi est la deuxième espèce la plus représentée avec 260 ha répartis dans 55 vergers.La cueillette des fruits, réalisée intégralement à la main, s’étale d’août à novembre et marque le début des campagnes.Les dates de cueillette sont déterminées en fonction de critères techniques permettant d’évaluer le degré de maturité des fruits :• La fermeté du fruit est contrôlée à l’aide d’un pénétromètre ;• Le niveau de maturité est contrôlé en surveillant la régression de l’amidon dans le fruit ;• La teneur en sucre se mesure à l’aide d’un réfractomètre.

Des considérations d’ordre commercial entrent également en jeu. En effet, les goûts des consommateurs (couleur, calibre, …) peuvent varier d’un pays à l’autre, voire même d’un distributeur à l’autre, en fonction du positionnement marketing.

DANS LES STATIONS DE STOCKAGE-CONDITIONNEMENTDe l’arrivée des fruits à la station au départ en camion, un process en cinq étapes est mis en œuvre :

1. L’agréage : cette opération consiste en un contrôle systématique des fruits à leur entrée en station fruitière. Sont notamment contrôlés : l’aspect visuel (coloration, mâchures, défauts épidermiques, …), l’acidité, la régression d’amidon, le taux de sucre. L’agréage permet, en amont, de modifier les conditions de cueillette et, en aval, de mieux gérer les lots et leur conservation.

2. Le stockage : il se fait en chambres réfrigérées dont la capacité atteint 3 000 m3. La conservation se fait en froid normal (chambres de passage) pour les fruits destinés à une expédition rapide ou en Atmosphère Contrôlée (AC) pour les fruits destinés à un stockage plus long. Dans ce domaine, d’importants investissements ont récemment été réalisés afin de moderniser les conditions de conservation. La mise en place du nouveau procédé Extrême ULO permet une meilleure préservation des qualités organoleptiques des produits, en stoppant la respiration du fruit. Ce procédé innovant devrait équiper 70 % des installations frigorifiques du groupe d’ici à 3 ans.

3. Le calibrage : là encore, la haute technologie est au rendez-vous. Des calibreuses tricolorimétriques informatisées permettent un tri rigoureux des fruits. Un ordinateur gère simultanément les poids, le tri colorimétrique et le marquage des pallox (caisse-palette contenant environ 340 kg). Des caméras visualisent les pommes individuellement. Les fruits sont ensuite orientés vers un canal présélectionné en fonction du calibre et des taux de coloration. Les stations sont robotisées pour simplifier la manutention.

4. Le conditionnement : après un triage séparant les différentes catégories, les fruits sont lavés, lustrés et séchés ; des options cirage et stickage assurent la finition sur les lignes de 1ère catégorie. A l’intérieur des stations fruitières et à chaque étape du processus, un contrôle qualité sévère est effectué par échantillonnage.

5. L’expédition : afin de maintenir la chaîne du froid, tous les produits finis sont stockés par palette dans des chambres froides d’expédition. Les quais des halls d’expédition sont eux-mêmes réfrigérés. Un système de pesage automatisé permet d’élaborer en temps réel les bons de livraison.

Du verger à la livraison, Blue Whale maîtrise l’ensemble de la chaîne. Au quotidien, la stratégie de filière se concrétise par une rigueur accrue aux plans technique et gestion, grâce à la présence de spécialistes à chaque étape de la fabrication. Cette organisation permet à Blue Whale de garantir à ses clients une grande sécurité tant en termes d’approvisionnement - critère primordial aux yeux de la grande distribution - que de qualité des produits vendus et d’offre variétale.

BLUE WHALE, union de coopératives fruitières

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La R&D : clé de voûte de l’innovation 1. Pourriez-vous nous présenter en

quelques mots le service Recherche & Développement de Blue Whale ?

Notre service de R&D emploie une dizaine de personnes et absorbe 1,5 % du chiffre d’affaires annuel. Il pilote notamment les plantations expérimentales et les programmes de lutte raisonnée. Au niveau de la production, un vaste programme de rénovation des vergers a été mis en œuvre depuis 10 ans au rythme annuel de 5 à 7 %, afin d’adapter les gammes à l’évolution des goûts des consommateurs.

2. Concrètement, comment cela se traduit-il ?

Si l’on prend l’exemple de la pomme, nous avons totalement modifié notre politique variétale sur ce produit. En effet, la baisse des achats de pommes en Golden est une tendance lourde et dans le même temps s’est opéré un véritable «boom» des variétés bicolores. Afin de suivre cette évolution, notre groupe s’est engagé dans une vaste politique de rénovation de ses vergers. En tout premier lieu, la pomme Golden a fait l’objet d’un important programme d’arrachage.

variété dominante en 1990 avec 40 % de surface plantée, elle ne représente plus aujourd’hui que 10 % des pommiers Blue Whale. Parallèlement, les surfaces replantées ont été consacrées à la culture de pommes bicolores, ce groupe passant de 10 % en 1990 à 43,6 % en 2012. Trois variétés ont été privilégiées : Gala (23,6 % de surfaces plantées), Fuji (13,3 %) et Braeburn (6,7 %). Et un effort tout particulier a été fait sur Pink Lady® (12,4 %) qui propulse Blue Whale au 1er rang des metteurs en marché Pink Lady français. Enfin, Blue Whale a également misé sur une variété 100 % française : Ariane (5 %) et développe le verger BIO avec la variété Delisdor. 30 nouvelles variétés sont à l’étude sur des parcelles expérimentales.

3. Votre R&D se focalise sur la pomme ?Non, nous avons également entrepris des efforts sur la prune et le kiwi, très dynamiques en terme de consommation, mais dans une moindre mesure. Nous plantons de nouvelles variétés ; d’autres sont à l’état expérimental.

L’engagement qualité et le respect de l’environnement

Le groupe Blue Whale s’est engagé dans une démarche qualité depuis plus de 10 ans avec les certifications Agri Confiance® et Global Gap en verger, BRC (British Retail Consortium) en station de conditionnement et Iso 9001 pour le service commercial.

Au quotidien, la démarche qualité se traduit à tous les stades de la fabrication et le respect de l’environnement est une préoccupation journalière de Blue Whale.

• Dans les vergers Afin de lutter contre la prolifération de maladies (tavelure et oïdium dans les pommiers) et d’insectes indésirables (puceron, carpocapse) tout en préservant l’environnement, Blue Whale poursuit un vaste programme d’agriculture raisonnée. Avec les techniques de « confusion sexuelle » pour la réduction des traitements insecticides et les vergers Insect Proof, le développement des nichoirs qui favorisent la flore, des variétés résistant à la tavelure (exemple : Ariane), la gestion de l’eau par tensiomètre pour la régulation de l’irrigation, Blue Whale répond à un double objectif : satisfaire ses clients dans une perspective de développement durable.

BLUE WHALE, union de coopératives fruitières

3 questions à Claude RehlingerPrésident de Blue Whale

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• La traçabilité est une étape importante, un logiciel a été créé et permet aux fruiticulteurs d’être en liaison directe et en temps réel avec les techniciens, les stations fruitières et Blue Whale. Cela permet ainsi à chaque producteur d’enregistrer au jour le jour les interventions faites sur leur verger, de bénéficier en permanence d’informations de la part des techniciens et de disposer d’un inventaire centralisé avec des statistiques concernant la production et les pratiques culturales. Cela permet une meilleure maîtrise des dates de récolte, mais également un contrôle en temps réel et la prévention d’éventuelles non-conformités.

Autre fléau, la grêle, qui représente un grave danger pour les récoltes. Dans son souci permanent de sécuriser l’approvisionnement de ses clients, le groupe Blue Whale a investi depuis 20 ans dans l’installation de filets paragrêles. Aujourd’hui, 82 % des vergers de pommiers sont couverts et 46 % sont protégés contre le gel.

• Dans les stations fruitières Les lots de fruits sont contrôlés en permanence. Ils sont soumis à un agréage à leur entrée dans les stations fruitières. Des cahiers des charges très précis, au niveau de la spécification des produits souhaités par le client, de la classification des fruits, du type d’emballage et du respect des délais ont été élaborés. Un contrôle systématique du produit est pratiqué en fin de conditionnement.

En station fruitière également, des efforts importants sont faits pour préserver l’environnement grâce,

notamment, à la récupération et au traitement des eaux usées, à la collecte des déchets organiques, à des systèmes de filtration d’eau des canaux de pré-calibrage, au remplacement du fréon par l’ammoniaque pour les installations frigorifiques.

• A la livraison Le respect des délais constitue un élément primordial dans la démarche qualité. Des fiches palettes sont remises aux clients leur permettant une identification rapide des produits. Cette recherche permanente de la qualité induit d’importants investissements au niveau des coopératives afin d’optimiser la conservation et le conditionnement des fruits. Toutes les stations du groupe Blue Whale bénéficient aujourd’hui des nouvelles technologies de pointe.

BLUE WHALE, union de coopératives fruitières

La traçabilité

2PALOX ENTREE

STATION STOCkAgE

4CONDITIONNEMENT

COLIS

3PRE CALIBRE

PALOX

5EXPEDITION

PALETTE

1

VERgERS

garantir

la qualité

de produit

garantir

l’origine

du fruit

Suivi informatiqueBlue Whale Tracen° de production

n° de passageparcelle

variétédate de récolte

particularités

Fiche paletteavec code barre n° produitBlue Whaleet n° uniquede palette SSCC

Colis avec code barre n° article Blue Whale + n° lot + date de fabrication

N° producteur - Parcelle - variété calibre - Colo - Code barre

Enregistrement destraitements post-récolte

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BLUE WhALE EN BREF

• Siège social à Montauban• Président : Claude Rehlinger • Directeur : Alain Vialaret• Chiffre d’affaires : 165 millions d’euros en 2011/2012• Effectifs : 70 personnes au siège social, 2 000 personnes dans le groupe• 6 coopératives adhérentes regroupant 200 producteurs• 3 fournisseurs actionnaires• 1 société par actions simplifiées : BLUE WhALE SAS• Filiales : Embadif et Promofel• 180 000 tonnes de fruits commercialisés dont 70 % destinées à l’exportation• Pommes : 165 000 tonnes en 2011 • Kiwis : 6 000 tonnes en 2011• Prunes : 3 200 tonnes en 2011• Raisins : 1 000 tonnes en 2011• Poires : 1 000 tonnes en 2011• Fraises : 600 tonnes en 2011• 1er exportateur français de pommes avec + de 20 % des parts de marché

des volumes expédiés à l’étranger (663 000 tonnes en 2010/2011).• 70 pays clients répartis en Europe, dans les pays de l’Est,

en Asie, au Moyen Orient, en Afrique ou en Amérique du Sud.

CONTACT

BP 417 – MIN 82004 Montauban Cedex Tél : 05 63 21 56 56 Email : [email protected] : www.blue-whale.com

BLUE WHALE, union de coopératives fruitières

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Stanor, qui signifie « station de normalisation », a été créée en 1960 à Moissac (Tarn-et-Garonne). 52 ans plus tard, elle regroupe dans un système coopératif 24 producteurs adhérents répartis sur 1 000 hectares.

Stanor, qui a réalisé en 2011 un chiffre d’affaires de 31 millions d’euros, assure le stockage, le conditionnement et l’expédition des pommes. Son volume de production a atteint 58 000 tonnes en 2011. Leur commercialisation est assurée par Blue Whale. 85 % de sa production est destinée au marché du fruit frais ; 15 % aux industriels de l’agroalimentaire.Stanor réalise un programme d’investissements pour accroître sa capacité de stockage et de conditionnement : extension de ses capacités de stockage frigorifique avec la construction d’un nouveau bâtiment, aménagement de la calibreuse et mise en place d’une nouvelle ligne d’emballage automatique. La coopérative dispose de 160 chambres froides permettant de stocker 40 000 tonnes de pommes. L’effectif moyen annuel de la coopérative est de 158 emplois équivalents temps plein, dont 72 salariés permanents.

1. Qu’apporte votre coopérative à ses producteurs adhérents ?

Tout d’abord, un cadre de travail, grâce au support des services technique et qualité. Le technicien Stanor passe chez les adhérents, les conseille sur la conduite de leurs vergers et préconise des solutions unanimement adoptées. Il édite par ailleurs un bulletin de conseil technique avec les autres techniciens Blue Whale, permettant la diffusion des bonnes pratiques culturales et leur uniformisation. Stanor guide enfin ses adhérents dans toutes leurs démarches, qu’elles soient administratives ou liées à la plantation ou au renouvellement des parcelles.

2. Quelle place la traçabilité occupe-t-elle dans votre métier au quotidien ? Comment se traduit-elle ?

Tous les emballages qui sortent de chez nous portent une étiquette avec numéro et heure de fabrication, numéro du producteur et ligne de production. A partir de ces informations, on peut remonter jusqu’au numéro de lot ayant servi à la fabrication, chaque lot étant identifié par un code-barres, ainsi que jusqu’au frigo par lequel le produit est passé. On peut également remonter jusqu’au numéro de lot de réception du produit qui renseigne sur sa date de réception, son producteur et même la parcelle dont il provient chez ce dernier.

On peut enfin connaître le cahier cultural du produit, c’est-à-dire savoir quelles interventions ont été faites et par qui. Stanor suit cette traçabilité de manière informatique en scannant les codes-barres à chaque étape du process.

3. Que vous apporte l’adhésion à un groupe tel que Blue Whale ?

Tout d’abord, l’accès au marché. Le premier souci de la coopérative est le débouché : savoir comment vendre et à qui. Dans le Sud-Ouest, la consommation de pommes est faible. Il y a peu de débouchés au niveau local. Stanor a besoin de débouchés nationaux et internationaux et Blue Whale les lui fournit. Avec Blue Whale, nous avons trouvé le moyen d’accéder aux marchés de 70 pays, ce que nous n’aurions jamais pu faire seuls ! Le groupe nous offre des opportunités commerciales et une liberté d’arbitrage, car nous restons libres d’y répondre ou non. C’est par ailleurs pour nous la sécurité des paiements dans des délais fixes et très raisonnables. Enfin, Blue Whale offre à Stanor une ouverture sur le monde qui nous en apprend beaucoup sur les modes de consommation à l’étranger, la façon dont la production et la distribution y sont organisées, les avancées de la concurrence, etc. Des ressources très précieuses !

STANOR, coopérative de pommes

3 questions à Christophe BellocPrésident de Stanor

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STANOR, coopérative de pommes

CONTACT

STANORChristophe Belloc, PrésidentZI Saint Michel82 201 Moissac cedex05 63 04 60 [email protected]

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Variété Superficie(en hectares)

Production(en tonnes)

Gala 12,5 ha 900 t

Golden 5 ha 450 t

Fuji précoce 2,5 ha 150 t

Jazz 9 ha 350 t

Ariane 8 ha 450 t

Braeburn 3 ha 200 t

Granny Smith 1,5 ha 40 t

Fuji 5 ha 250 t

Pink Lady 2,5 ha 120 t

Avec la diversité variétale qui s’est considérablement développée (9 variétés produites sur l’exploitation d’Antoine Delvolvé), le métier de producteur de pommes s’échelonne désormais sur quasiment toute l’année. La plantation s’étale de novembre à février, 5 à 7 % du verger devant être renouvelé chaque année. Puis commence le travail de taille des arbres qui se poursuit jusqu’à la fin mars, avant de désherber, traiter, éclaircir, vérifier les systèmes d’irrigation (indispensables pour des cultures en coteaux) et de commencer à dérouler les kilomètres de filets paragrêles qui préservent les pommes des intempéries. La floraison débute en avril, puis les pétales tombent. Commence

alors la très longue phase d’éclaircissage qui permet de faire tomber l’excédent de fruits. C’est une étape qui nécessite beaucoup de main-d’œuvre, mais qui est indispensable, un pommier ne pouvant supporter plus de 180 à 200 fruits, soit 30 kg par an. Au mois de juillet, le travail consiste essentiellement à vérifier le bon fonctionnement de l’irrigation. La cueillette débute le 20 août : 20 à 30 % de la récolte s’effectue en septembre, qui est donc un mois très chargé. Puis la charge de travail diminue progressivement jusqu’au 15 novembre où elle s’arrête. Et le cycle recommence !

ANTOINE DELvOLvÉ, producteur de pommes

Antoine Delvolvé est un producteur expérimenté. Installé depuis 50 ans sur la seule exploitation de pommes adhérente à la Stanor située en coteaux, il gère aujourd’hui 50 hectares de pommiers qui fournissent 2 700 à 3 000 tonnes de pommes par an en moyenne. Pour cela, il travaille avec sa femme et 6 permanents équivalents temps-plein. Lors de la récolte, ce ne sont pas moins de 45 saisonniers qui viennent lui prêter main forte !

Antoine Delvolvé et son fils Martin

qui a pris la relève sur une partie de

l’exploitation

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1. Adhérez-vous à une coopérative ? Si oui, pourquoi avez-vous fait ce choix ?

J’adhère à la Stanor. Pour moi, ce choix a été évident pour une simple et bonne raison : j’étais incapable de construire ma propre station ni de vendre un fruit ! Le produire, oui, mais le conserver et le vendre, absolument pas ! Pour moi, ce sont des métiers bien distincts, chacun sa compétence. Et puis les choses se sont faites naturellement, dans la mesure où, rapidement après mon installation, je me suis lié d’amitié avec une personne très douée commercialement, qui a participé à la fondation de la Stanor et de Blue Whale.

2. Que vous apporte-t-elle ?Tout d’abord, et ce n’est pas rien, elle vend bien mes produits ! Ensuite, elle m’apporte une expertise technique indispensable et un réseau, des contacts, des relations qui sont nécessaires pour durer. La coopérative, c’est le dynamisme collectif, la volonté d’évoluer, d’anticiper, de tester et une véritable ouverture sur le monde. La coopérative permet aussi des économies d’échelle non négligeables et la force du nombre nous ouvre les portes de certains marchés qu’individuellement ne pourrions jamais toucher.

CONTACT

Antoine Delvolvé255 Chemin de Delizy82 200 Moissac05 63 04 06 [email protected]

2 questions à Antoine Delvolvé

Antoine Delvolvé, producteur de pommes

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La coopérative, maillon essentiel de la filière fruits & légumes frais.

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Grappe parfaitement positionnée et conformée.

Grappe ayant besoin de passer par l’étape du ciselage afin d’en retirer les grains abîmés.

Chez Françoise Roch, le métier d’agricultrice est une vocation. Originaire de Corse, de parents non agriculteurs, rien ne la prédestinait à produire du raisin dans le Tarn-et-Garonne. Mais de rencontres en opportunités, après des études agricoles, elle réussit à s’installer sur les coteaux de Moissac où elle partage une exploitation en GAEC avec deux associés et 4 salariés saisonniers réguliers. 60 hectares au total, dont 15 en fruits : raisin (6 hectares - 80 tonnes), prune (4 ha - 120 t), pomme (4 ha - 200 t), kiwi (1 ha - 15 t) et cerise (1 ha - 8 t).

Le travail demandé pour la production de raisin de table est considérable (1 000 heures/hectare). Cette culture cousue main demande une attention permanente et un véritable savoir-faire. En hiver, il faut sortir les sarments inutiles, flécher ou palisser les sarments gardés, c’est-à-dire les positionner sur un fil de fer à une certaine hauteur pour accueillir la future récolte. Au printemps, il faut ébourgeonner, c’est-à-dire faire tomber les bourgeons en excédent puis, de mi-mai à mi-juin, palisser les nouveaux sarments de la vigne, afin qu’ils poussent correctement. Début juin débute la floraison, au terme de laquelle il faut mettre en place les grappes de raisin pour qu’elles soient facile à cueillir. Il faut limiter au maximum les manipulations, qui présentent l’inconvénient de retirer la pruine (fine pellicule protectrice) des grains et les font briller, ce qui dévalorise le raisin. Il est également nécessaire de retirer les feuilles pour aérer les grappes et d’écimer, c’est-à-dire de stopper la pousse des sarments. Mi-juillet, se pose la question du volume de production (cahier des charges

AOP : 12 tonnes par hectare maximum). Les grappes sont comptées pour estimer la charge : les moins belles sont systématiquement sorties. La récolte s’étend sur un mois, de début septembre à début octobre. Elle se fait lorsque les grains ont atteint un certain taux de sucre (17 %), en plusieurs passages, afin de ne cueillir que les raisins mûrs. Cette étape nécessite un personnel très expérimenté pour savoir quelles grappes récolter et pour les cueillir sans les endommager. Une fois récolté, le raisin est ciselé immédiatement s’il doit être commercialisé ou mis en chambre froide s’il doit attendre. Le ciselage/emballage est donc l’ultime étape, qui intervient juste avant la commercialisation. Les ciseleurs ôtent avec un petit ciseau tous les grains ayant un défaut, sans endommager les grains environnants, tout en veillant à ne pas toucher à la pruine. Dix salariés supplémentaires viennent prêter main forte sur l’exploitation pour le ciselage et l’emballage. Deux trieuses pour une emballeuse sont nécessaires lorsque le raisin n’est pas trop abîmé.

1. Adhérez-vous à une coopérative ? Si oui, pourquoi avez-vous fait ce choix ?

Oui, je suis adhérente à Quercy Soleil, dont je suis d’ailleurs la Présidente. J’ai fait le choix de la coopérative en 1994, après avoir eu une expérience malheureuse avec un négociant qui se chargeait de la commercialisation de mon raisin. Il a eu des difficultés financières et a déposé le bilan, emportant avec lui 40 % de mon chiffre d’affaires… J’ai cherché un moyen de me mettre à l’abri de ce genre de déconvenues et la coopérative m’est apparue comme la meilleure solution. Par ailleurs, dans une coopérative, tous les adhérents sont logés à la

même enseigne et rémunérés de façon identique, à marchandisage égale en qualité. Cette « sécurité » me correspondait mieux.

2. Que vous apporte-t-elle ?Pour moi, producteur et coopérative ne sont pas dissociés : la coopérative est la continuité logique de mon exploitation. Au lieu d’avoir investi chez moi uniquement, j’ai investi avec d’autres qui partagent la même vision. Cette mutualisation nous permet de bénéficier d’un outil beaucoup plus puissant et performant. La coopérative anticipe, a toujours un temps d’avance, ce qui ne serait pas mon cas si je travaillais seule.

2 questions à Françoise Roch

FRANçOISE ROCH, productrice de raisin et Présidente de Quercy Soleil

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La coopérative, maillon essentiel de la filière fruits & légumes frais.

P. 14 • Dossier de presse Octobre 2012

Françoise Roch, productrice de raisin

QUERCY SOLEIL, L’AUTRE COOPÉRATIVE DE POMMES DE MOISSAC

Quercy Soleil est le fruit d’un rapprochement en 2000 entre deux coopératives voisines sur la zone industrielle Saint-Michel, la Sancam (créée dans les années 60) et la Coofel, fondée en 1980, toutes deux adhérentes au groupe Blue Whale. C’est aujourd’hui la seule coopérative du groupe Blue Whale à faire du fruit d’été : 10 000 tonnes de pommes, 2 000 tonnes de prunes, 1 000 tonnes de raisin et 100 tonnes de cerises pour un chiffre d’affaires de 14 millions d’euros. C’est aussi la seule coopérative du groupe à avoir pour adhérents des exploitations petites à moyennes, de 10 hectares environ, qui n’ont pas de salarié permanent et n’ont pas fait le choix de la spécialisation. 38 producteurs, répartis sur 400 hectares environ, adhèrent à la coopérative. Quercy Soleil sert également de plate-forme d’expédition pour Blue Whale dans le Sud-Ouest : 8 tonnes de fruits y passent pour agréage, allotement et expédition. La coopérative travaille aussi à la demande avec certains producteurs qui ne veulent lui fournir que certaines variétés.Les capacités de stockage de Quercy Soleil s’élèvent à 8 000 tonnes. Son effectif moyen annuel est de 90 emplois équivalents temps plein, dont 60 salariés permanents. 85 % de sa production est destinée au marché du fruit frais ; 15 % aux industriels de l’agroalimentaire.

CONTACT

Françoise Roch820 chemin de Labarthe Montescot82 200 Moissac06 23 16 25 [email protected]

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La coopérative, maillon essentiel de la filière fruits & légumes frais.

P. 15 • Dossier de presse Octobre 2012

LA POMME

Fruit préféré des Français

Achat, conservation et préparationLors de l’achat, la pomme doit être exempte de tâches et brunissures.Elle se conserve bien et longtemps : 2 ou 3 jours à l’air ambiant ; au réfrigérateur pour une conservation plus longue.Il existe une infinie variété de pommes à croquer. Pour la préparation culinaire de mets salés, on choisira des pommes acidulées, à la chair ferme (Boskoop, Canada, Braeburn, Granny Smith, etc.). Compter une pomme par personne. Pour les plats sucrés, on préfèrera des pommes douces à chair fondante (Golden, Reinettes, Gala, Fuji, etc.). Pour une tarte aux pommes de 8 à 10 personnes, prévoir un bon kilo de pommes.

NutritionFruit santé par excellence, la pomme est énergétique (53 Kcal aux 100 g), hydratante, bien pourvue en vitamines, sels minéraux et fibres (1,95 g / 100 g). Pour conjuguer plaisir et santé, rien de tel que de croquer dans une pomme ! Une pomme, c’est déjà l’une des 5 portions de fruits et légumes recommandées par le PNNS. La pomme peut se déguster aussi bien crue que cuite, en apéritif, en entrée, en accompagnement de mets salés ou en dessert. Elle rentre dans de très nombreuses recettes traditionnelles ou originales, sucrées ou salées.Source : Ciqual 2012http://www.mangerbouger.fr

Culture La France est, avec la Pologne et l’Italie, l’un des trois principaux producteurs européens de pommes. A eux seuls, ces trois pays représentent plus de la moitié de la production de l’UE.La production française de pommes se concentre principalement sur trois bassins : l’Ouest, le Sud-Ouest et le Sud-Est de la France. Quatre départements représentent à eux seuls 40 % de la production nationale : le Tarn-et-Garonne (11 %), le Maine-et-Loire (11 %), les Bouches-du-Rhône (10 %) et le vaucluse (8 %). Les importations françaises permettent principalement de couvrir la contre-saison (printemps et été) pour les variétés qui n’ont pas un potentiel de conservation suffisant.Il existe une multitude de variétés de pommes que l’on peut répartir selon leur coloration, leur saveur, leur utilisation et leur période de commercialisation.

Production française en 2011 : 1,7 millions de tonnes

(source : Prognosfruit)

Bassins de production : Ouest, Sud-Ouest, Sud-EstDisponibilité : toute l’annéePleine saison : d’octobre à mars-avrilPrix moyen : 1,57 €/kg en 2011 (source : Kantar Worldpanel)

Conservation : une semaine au réfrigérateurConsommation en frais : 16,2 kg / ménage en 2011 (consommation à domicile, source : Kantar Worldpanel)

Nutrition : 100 g de pommes représentent 53 kcal (source : Ciqual 2012).

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Savoir-faire et tradition

Achat, conservation et préparationLors de l’achat, la pruine (fine pellicule qui entoure chaque grain de raisin) ainsi que la rafle (ensemble du pédoncule et des pédicelles qui soutiennent les grains du raisin ou des groseilles) verte et ferme sont gages de fraîcheur. Comme fruit de table, il faut compter une belle grappe pour deux personnes (soit 200 à 250 g).A l’air libre, le raisin s’abîme très vite. Mais il se conserve parfaitement dans le bac à légumes du réfrigérateur, dans une boîte hermétique qui évite la déshydratation. Pour bénéficier de tous ses arômes, mieux vaut le sortir une heure avant dégustation. Eviter les allers et retours au réfrigérateur.Cru ou cuit, le raisin convient aussi bien aux préparations salées que sucrées : salades, fromage, viandes, charcuterie, mais aussi gratins, compote, tartes, fromage blanc… Néanmoins, on ne résiste pas à le picorer « nature » à tout moment de la journée !

NutritionRiche en jus désaltérant, le raisin blanc est constitué de plus de 80 g d’eau pour 100 g et possède des sucres simples (fructose et glucose) accompagnés de minéraux variés (potassium notamment avec 212 mg / 100 g) et vitamines. Le PNNS recommande de consommer au moins 5 fruits et légumes par jour. Une portion de 80 à 100 g de raisin, soit l’équivalent de la taille d’un poing ou de deux cuillères à soupe pleines, correspond à l’une de ces 5 portions recommandées.Source : Ciqual 2012http://www.mangerbouger.fr

Culture Le raisin français provient de Provence, du Languedoc et du Sud-Ouest. Les coteaux de Moissac dans le Tarn-et-Garonne et du ventoux dans le vaucluse sont en particulier réputés pour leurs terroirs de qualité. 63 % du tonnage consommé est importé (soit 140 000 tonnes), l’Italie représentant 70 % de ces volumes (source : Agreste).

Le raisin demande un climat tempéré avec un ensoleillement estival favorable à la maturation et des pluies hivernales avec peu de gel. La première récolte intervient 3 ans minimum après la plantation et s’effectue manuellement. Conditionné « bord champ », le raisin est parfois retravaillé (Chasselas AOP de Moissac) et ciselé après récolte pour retirer les grains abîmés ou déformés.Plusieurs variétés de raisin précoces ouvrent la saison : Prima, Cardinal, Lival, Ora, suivi de Danlas et du Centennial (variété apyrène). Trois grandes variétés prédominent en France : l’AOP « Muscat du ventoux » (obtenue en 1999), l’AOP « Chasselas de Moissac » (1996) et « Alphonse Lavallée ».

Production française en 2011 : 52 834 tonnes (source : Agreste 2011)

Bassins de production : Sud-Est et Sud-Ouest Disponibilité : toute l’année Pleine saison : d’août à mi-novembre Prix moyen : 2,44 € / kg (source : Kantar Worldpanel 2011)

Conservation : dans une boîte hermétique rangée dans le bac à légumes du réfrigérateur Consommation en frais : 3,67 kg par ménage et par an. Un ménage est composé de 2,3 personnes (sources : Kantar Worldpanel 2011).

Nutrition : 100 g de raisin représentent 70 kcal (source : Ciqual 2012).

LE RAISIN

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INFORMATIONS PRATIQUES

Contacts

De Bouche à OreillesClaire Bouc - 06 84 59 91 21 - [email protected]

Interfel Julie Serero - 01 49 49 15 10 - [email protected] Julie Froucht - 01 49 49 15 20 - [email protected]

Association interprofessionnelle des fruits et légumes frais19 rue de la Pépinière75008 ParisTél : 01 49 49 15 15www.interfel.com www.lesfruitsetlegumesfrais.com

Dossier de presse • Octobre 2012

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