journal irl n°3

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JUST READ IT IN’TECH REAL LIFE - DEC 2012 L R I Focus PRP DOSSIER SPECIAL INTERNATIONAL I nfographie Nerds vs Geeks

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Journal de l'école IN'TECH INFO

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JUST READ IT

IN’T

ECH

REAL

LIF

E - D

EC 2

012

LRI

Focus PRP

DOSSIER SPECIAL INTERNATIONAL

InfographieNerds vs Geeks

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IN'TECH REAL LIFE - 2

...PH0T0 DU M0IS

Lancement des préventes Rêve d’Amis pour la pièce de théâtre “Rame” en exclusivité à l’ESIEA le 14 décembre

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IN'TECH REAL LIFE - 3

... EDIT0

Quoi de mieux pour booster son profil que de partir travailler à l’étranger ? Afin de vous donner envie de partir si ce n’est déjà le cas, nous avons regroupé des témoignages d’anciens élèves qui ont franchi le pas.

Dans un marché de l’emploi de plus en plus tourné vers l’international, travailler à l’étranger comporte de nombreux avantages.

En premier lieu, ce travail vous permettra d’améliorer votre capacité à utiliser une langue étrangère dans le milieu professionnel. Niveau et automatismes que l’on ne peut acquérir avec les cours de langues suivis pendant le cursus scolaire.

Au niveau professionnel, vous devrez vous confronter à une autre façon de travailler, à une différence culturelle. Vous développerez ainsi de nouveaux savoirs, savoirs faire et savoirs être qui amélioreront votre adaptabilité en entreprise.

Partir travailler à l’étranger est aussi un moyen de vous faire connaître, de constituer votre propre réseau professionnel et au-delà de l’aspect purement linguistique et professionnel, cela démontre une certaine autonomie et un goût pour les challenges.

Alors n’hésitez plus, venez voyager avec nous !

“Voyager, c’est naître et mourir à chaque instant.”Victor HUGO

Camille

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SAV0IR... ...

LE RESTE... ...

S’AMUSER... ...

6 Dossier du mois L’international

20 Focus PRP/PI Buzz sur les projets des étudiants

19 Infographie Nerds vs Geeks

22 The English Post Borgen

2 Photo du mois

3 Edito

5 News La dose de culture du mois

23 Sandbox Les trucs à tester

Quelle sera votre destination ? La série du mois Prêts pour la bataille ?

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IN'TECH REAL LIFE - 5

... NEWS

Le jeudi 7 décembre 2012 à 16h33 commencera la 10ème nuit de l’info (http://www.nuitdelinfo.com).

Le principe est simple : Un thème va être décidé pour la nuit et les entreprises partenaires de l’évènement nous lancerons des défis. Nous aurons toute la nuit pour enréaliser le plus possible. Nous devrons donc passer par toutes les étapes pour accomplir notre tâche, phase avant-projet, marketing, développement, etc., dansl’optique que vendredi 8 au lever du soleil (8h11) les divers projets seront accomplis.

Nous espérons vous y retrouver nombreux.

Notre école a le plaisir de participer au challenge CGI (http://www.challenges-citoyens-cgi.com) via le groupe PRP Rêve d’Amis.

Pour ceux qui ne connaissent pas, le challenge CGIpermet de récompenser les projets accès sur l’éduca-tion, la solidarité internationale ou encore le handi-cap en finançant les projets récompensés à hauteur de 2500€. La limite d’inscription est le 14 décembre 2012, les résultats et la remise des prix auront eu lieu le jeudi 21 mars 2013.

Nous leur souhaitons donc bonne chance.

Comme vous le savez tous, la fin du monde aura lieu à la fin du mois, le 21 ou 23 décembre 2012. Votre envoyé spécial ici présent doit vous faire part de sa découverte à ce sujet : d’après le calendrier Mayas, cette date ne définit pas la fin du monde, seulement le début d’un nouveau cycle. C’est donc l’équivalent de notre année 2000 chez les Mayas.

Nous vous prions donc de garder votre calme, et d’éviter de vendre tous vos biens pour profiter de vos trois dernières semaines à vivre.

Tout amateur de Tolkien attend avec impatience cenouveau film. The Hobbit va nous permettre de part-ager la vie de Bilbon Saquet 60 ans avant la trilogie du Seigneur des Anneaux. Ce dernier sera amené, par hasard, à rejoindre la quête du nain Thorin pour ret-rouver le territoire de ses ancêtres.

La sortie est prévue pour le 12 décembre 2012, es-pérons qu’il répondra à toutes nos attentes.

La nuit de l’info 2012

La fin du monde

Le Hobbit : un voyage inattendu

Rêve d’Amis au Challenge CGI

Papa Romain

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... D0SSIER

Ce mois-ci, IRL vous fait voyager…

Vous envisagez de partir faire un stage ou de travailler à l’étranger, ce dossier est fait pour vous ! Vous n’envisagez pas de partir à l’étranger, ce dossier est aussi fait pour vous !

À IN’TECH INFO, le semestre 6 est réservé au stage en entreprise. Ici vous trouverez un certain nombre d’informations utiles qui peuvent préparer à cette aventure ainsi que des pistes qui pourront vous aider dans votre réflexion. Les amateurs de voyages risquent aussi de trouver satisfaction dans ce dossier, anecdotes et témoignages au programme !

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Pour trouver son stage, il a diversifié ses méthodes de recherche. C’est une bonne solution car cela ne faitévidemment qu’augmenter les chances d’aboutir !

Parcourir Internet est déjà un bon début mais il a parallèlement fait appel à ses contacts. « J’ai pas mal d’amisJaponais et ai aussi fait fonctionner mon réseau pour tenter un pistonnage. »

Mais finalement, une candidature spontanée postée sur Internet fut retenue.

« Il existe des réseaux performants de recherche d’emploi pour à peu près tous les pays.

Axel RIFFARD est un étudiant de semestre 5 en IL. Pour son semestre 6,il s’est déniché un stage à l’autre bout du monde… Tous les détails dans ce dossier !

Pour Axel, l’idée de partir à l’étranger n’était pas ce qui l’attirait le plus. L’étranger, c’est vaste. Mais il avait un pays en tête et une certaine atti-rance pour ce dernier. Je ne pense pas qu’il soit le seul !

« On m’aurait proposé un stage dans un pays que je ne connais pas, je ne sais pas si j’aurais accepté. »

Le pays de son choix, c’est le Japon !

« J’ai toujours gardé dans le coin de ma tête l’idée d’aller vivre là-bas, et tandis j’étais dans le rêve et le fantasme à l’époque de mes 10 ans, je me suis peu à peu rendu compte que je pouvais monter un projet professionnel viable pour aller vivre au Japon. Ce stage est ma dernière possibilité d’avoir une « version d’essai » de la vie professionnelle au Japon avant que je m’y lance pour de vrai. C’était donc une opportunité à saisir. De plus, je suis déjà allé trois fois au Japon, je ne m’y sentirai donc pas en territoire inconnu. »

... AVANT LE DEPART ...

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Il suffit donc d’y faire de la veille de manière prolongée, et on arrive forcément à trouver une opportunité intéres-sante, surtout dans un domaine aussi international que l’informatique. »

Un entretien via Skype le 15 Novembre et voilà : il vient de décrocher un stage de 6 mois chez Gameloft Tokyo.Bravo !

Mais en quoi son stage va-t-il consister exactement ? « Je vais développer sur une nouvelle IP de Gameloft. Je ne sais pas exactement quelle sera ma mission pour l’in-

stant, mais on s’oriente vers du core programming pour un jeu social à destination du marché mobile local, via la plateforme GREE, aussi puissante là-bas que peut l’être Steam chez nous ».

Quant à la question linguistique, il ne se fait pas trop de souci et nous non plus ! Il faut souligner qu’il est titulaire

d’une licence d’anglais couplée d’un très bon score au TOEIC. « Travailler en anglais ne m’a jamais posé de problème ».

Ce n’est pas tout car il est par ailleurs familier avec la langue du pays du soleil levant ! « Je pratique le Japonais depuis pas mal

d’années maintenant et j’ai l’occasion de le pratiquer de manière quotidienne ».

Il semble déjà prêt, comme s’il partait demain ! Plus sérieusement, son stage commence le 1er Mars 2013 et se termine le 25 Août 2013. Il va d’ailleurs probable-ment arriver quelques jours plus tôt afin de s’installer et prendre ses marques !

« Même si j’ai l’accord tacite de Gameloft, il me reste pas mal de paramètres à régler : mon visa en premier lieu, qui est ex-trêmement dur à obtenir » En effet, lesdémarches administratives sont mal-heureusement souvent longues et parfois compliquées ! Courage et patience sont les maîtres mots !

Un dernier mot ou une confession à partager ?« Pas vraiment non, le Japon est un pays extrêmement sûr et dont j’ai l’habitude, donc je ne m’en fais pas beaucoup.

Ah, si. Le café Japonais n’est pas bon du tout, George Clooney n’en reviendrait pas. Et ça, c’est grave ! »Leur thé doit être fameux par contre !

Nous te souhaitons de passer un super séjour, de bien travailler et de trouver ce que tu cherches là-bas ;-)

Martin

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Quatre anciens étudiants travaillant actuellement à l’étranger ont accepté de nous décrire leurs parcours et de répondre à quelques questions sur leur vie loin de France.Voici un condensé de leurs expériences et conseils sur ce grand saut tenté par quelques aventuriers !

... TEMOIGNAGES ...

Age Promotion Filière Pays

Benjamin PONS 31 ITI03M SR Argentine

Guillaume HOSTELET 31 ITI03M IL Singapour

Franck ADVILLE 30 ITI04S IL Philippines

Antoine MOREAU 28 ITI04M SR USA

Pourquoi êtes-vous partis à l’étranger et pourquoi dans ce pays

Les raisons d’un départ peuvent être diverses. Une attirance particulière pour un pays, l’envie de découvrir une nouvelle culture ou d’améliorer son niveau linguistique, des opportunités professionnelles intéressantes, les argu-ments sont nombreux. Cependant, envisager un éloignement sur une longue période reste une décision complexe et un choix très personnel.

Voici la réponse de Benjamin PONS qui est parti travailler en Amérique Latine : « J’étais passionné de voyages et je cherchais à joindre l’utile (expérience professionnelle/gagne-pain) à l’agréable : découvrir de nouveaux horizons, de nouvelles cultures, apprendre de nouvelles langues ou en améliorer la pratique. J’ai donc postulé à une offre en Argentine.

Excepté quelques clichés (viande, tango, Maradona…), je ne connaissais pas du tout ce pays-là, mais Buenos Aires raisonnait déjà à mes oreilles comme un appel à découvrir de « meilleurs airs » ou en tout cas à en changer ! L’éloi-gnement géographique et la zone de compétence promise (Chili, Uruguay, Pérou et Bolivie) n’ont fait qu’accroître mon enthousiasme pour le poste proposé. L’idée de travailler dans plusieurs pays hispanophones de l’Amérique du Sud me paraissait idéale pour améliorer mon Espagnol et m’imprégner des mœurs latino-américaines. »

Guillaume HOSTELET a, quant à lui, opté pour l’Asie : « J’ai décidé de partir à l’étranger d’une part pour voir ce qui se faisait ailleurs, n’ayant jamais réellement fait de longs voyages ou séjours à l’étranger auparavant. Je suis parti à Singapour car je voulais partir en dehors de l’Europe et dans un pays anglophone.

Je voulais tenter cette expérience personnelle, convaincu que cela constituerait un atout non négligeable pour mon CV. Partir à l’étranger implique une volonté et une capacité de s’adapter, de comprendre et de réfléchir sur soi-même et ce qui nous entoure tant professionnellement que personnellement. »

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Franck ADVILLE est parti aux Philippines avec l’objectif de prendre un peu d’air et de recul vis-à-vis du mode de vie parisien. « La France me fatiguait surtout à Paris les gens sont fermés, arrogants, stressés. Ils ne sourient jamais. »

Antoine MOREAU, d’origine américaine, a naturellement choisi d’aller travailler aux USA.

Comment avez-vous trouvé votre job

Question cruciale pour toute personne envisageant sérieusement un tel projet.

Antoine a réussi à obtenir son emploi en faisant jouer ses contacts aux USA.

Guillaume est parti en VIE (Volontariat International en Entreprise) en août 2008.« J’avais fait mon stage et mon alternance pour la Société Générale. Ils proposaient différents VIE, j’ai postulé, le manager connaissait mon manager précédent. Et voilà. »

Nous vous renvoyons à la page 16 de ce numéro pour des informations plus précises sur cette question.

Pouvez-vous nous décrire en quelques lignes en quoi consiste votre job

Benjamin était lui parti en tant que Volontaire International en Administration. Son job d’informaticien pour laDirection Générale du Trésor dépendait du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie de Bercy.

Concrètement, voici quelques unes de ses missions : - En charge du SI des Services Économiques en Argentine, Chili, Pérou, Uruguay et Bolivie ; - Élaboration et mise en place de politiques de sécurité ; - Évaluation des besoins informatiques et téléphoniques ; - Relations avec opérateurs et fournisseurs locaux.

Guillaume : Je m’occupais de la plate-forme Microsoft SharePoint « pour la région Asie-Pacifique au sein d’une large équipe qui s’occupait des différents moyens de communication électronique (email, messagerie interne et Blackberry notamment). J’étais en charge de tout ce qui concernait l’administration de la plate-forme SharePoint, les développe-ments et tout ce qui est gestion de la maintenance, mise à jour, BCP/DRP* et – moins fun, soyons honnêtes – support deuxième niveau aux utilisateurs. »

*Business Continuity Plan (BCP)Ce plan est mis en œuvre à l’échelle de l’organisation, et vise à assurer la continuité globale des opérations après désastre (incendie, inondation, coupure électrique de longue durée, ...). Ce plan couvre tous les processus opérationnels de l’entreprise, et donc englobe les activités techniques IT de reprise décrites ci-dessous. Disaster Recovery Plan (DRP)Il s’agit d’un plan de secours permettant à l’organisation de garantir la reprise des activités informatiques après un désastre. Ce plan est essentiellement technique et est mis en œuvre par le département informatique.

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Antoine MOREAU, d’origine américaine, a naturellement choisi d’aller travailler aux USA.

Franck : « Je travaillais directement dans les locaux du gouvernement aux Philippines, j’étais chef de projet pour installer un outil de gestion de documents. Je me suis retrouvé seul intermédiaire français, à la tête du projet auxPhilippines, négociant directement avec les responsables gouvernementaux. J’ai aussi du recruter une équipe de Philippins à manager avec l’ensemble du projet. »

Antoine : « Je travaillais dans le département R&D de Bombardier Transport* (métro automa-tique) pour mettre en place une solution de transmission de vidéo sans fil. »*Bombardier Transport est une multinationale canadienne produisant des avions et des trains. Ils ont notamment participé à la fabrication des

métros de Toronto, Montréal, New York et Londres.

Quel était votre niveau d’anglais (ou autre langue) avant le départ

Benjamin avait 780 au TOEIC. Même si l’anglais est utilisé partout ou presque, quand on travaille sur le continent sud-américain, maîtriser l’espagnol ne semble pas être une mauvaise idée !

« J’avais de frêles bases scolaires en Espagnol à mon arrivée sur le continent, je sais maintenant reconnaître un accent Argentin d’un Chilien ou d’un Péruvien ! Je peux me targuer d’un Espagnol courant sur mon CV.»

Guillaume : « Mon niveau d’anglais était plutôt correct, mais il s’est amélioré surtout au niveau du courant. Par contre, je ne me suis toujours pas départi de mon accent français ! »

Antoine quant à lui s’est présenté comme bilingue sans doute en raison de ses origines américaines.

La culture du pays a-t-elle été un frein au début

Et maintenant, laissons leur la parole !Benjamin : « Non, le pays est majoritairement Européen en terme de population, un dicton populaire dit que les Mexi-

cains descendent des Mayas, que les Péruviens descendent des Incas et que les Argentins eux descendent des bateaux... »

Franck : « Je pense que ça dépend des gens. Moi j’aime ces conditions de vie où le pays ne suit pas un code de con-duite à la lettre, ça permet de faire un peu ce qu’on veut, contrairement à la France où je ne me sentais pas vraiment libre. »

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Guillaume : « Non, pas vraiment de « frein culturel ». Peut-être est-ce lié au fait que l’entreprise est française… Cependant, mon équipe ne comptait aucun Français. Je travaillais avec des Chinois, Japonais, Indiens, Philippins, etc. dispatchés un peu partout en Asie-Pacifique (Singapour, Hong Kong, Tokyo, Bangalore et Sydney) et je travaillais très rarement « avec Paris ». Mon manager « N+1 » était à Tokyo. Mon « N+2 » était Français, et basé à Singapour.

Singapour est un pays quand même très occidentalisé comparé au reste de l’Asie, habitué aux étrangers puisque plus de 25% de la main d’œuvre (qualifiée ou non) est étrangère. Cela dit, les traditions ont une part encore très im-portante dans la vie des gens et, même s’il va aussi chez McDonald’s, un Chinois (ou un Malais ou un Indien) ne sera jamais un Occidental. Les gens ont leur identité et en tant qu’étranger, c’est à moi de m’adapter, de réfléchir et de me remettre en cause si besoin est.»

Qu’est-ce qui vous a le plus frappé, étonné, surpris

Guillaume : « Les gens mangent à toute heure du jour et de la nuit. Aller au restaurant à 15h30 ou 2h du matin, c’est normal. Les gens ne montrent pas ce qu’ils ressentent, ne s’expriment pas lorsqu’un problème survient ce qui peut parfois être gênant pour la compréhension mutuelle. J’ai trouvé là-bas beaucoup plus de respect pour les choses et les gens que nous pouvons en avoir en Occident.

Professionnellement, les gens accordent encore au travail une valeur que nous n’accordons plus. Ils sont fiers de ce qu’ils accomplissent. J’oserai presque dire qu’ils vivent pour pouvoir travailler quand nous vivons pour pouvoir être en vacances. Par contre, ce n’est pas ce qui les empêche d’avoir zéro fidélité pour leur entreprise alors que nous sommes généralement beaucoup plus attachés à l’entreprise pour laquelle nous travaillons et à la « culture » de l’entreprise en général. La flexibilité du marché du travail est considérable, pour les employeurs comme pour les salariés. On peut se faire licencier très facilement, mais on peut également quitter l’entreprise du jour au lendemain et laisser le projet

Singapour by night

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Benjamin : « La beauté du pays, sa taille, sa vigueur, ses habitants, leur proximité culturelle avec nous. Vous seriez surpris de voir la capacité de sa population à se relever et à garder la tête haute, à panser les blessures du passé et à essayer d’aller de l’avant. L’Argentine recèle des paysages magnifiques et tout aussi uniques tels que les Glaciers d’El Calafate, la ville la plus australe du monde Ushuaia, le plus haut sommet des deux Amériques l’Aconcagua ou encore les magnifiques chutes d’Iguazu qu’elle partage avec le Brésil, et qui n’ont rien à envier aux chutes du Niagara. »

et les collègues en plan parce que le concurrent offre 50 dollars de plus que l’employeur actuel, et ça ne choque per-sonne... »

Franck : « La corruption ! Tout le monde y a accès ici, donc ce n’est pas vraiment caché du coup les gens ne la voient pas comme du banditisme. C’est plus comme du business. »

El Calafate - Les glaciers de Patagonie

Les chutes d’Iguazu - une merveille naturelle située à la frontière du Brésil et de l’Argentine

Qu’avez-vous tiré de cette expérience

Guillaume : « Professionnellement, du positif. Personnellement, que du positif. Au bout des deux ans de mon VIE, je n’ai pas souhaité rentrer en France. J’ai cherché un autre job sur place. J’ai récemment commencé mon 3ème emploi à Singapour. Aujourd’hui, cela fait donc 4 ans et demi que je suis parti et je ne suis pas pressé de rentrer.

Ce que je vais dire ici est très personnel et pas forcément consensuel mais n’engage clairement que moi. Malgré mes 4 ans et quelques à l’étranger, j’ai tout de même une expérience très faible de l’étranger : Je ne connais pas l’Amérique. Je ne connais pas l’Afrique. Et même si j’ai pas mal voyagé en Asie, je n’ai vécu qu’à Singapour. Mais de ce que j’ai vu, de ce que j’ai vécu, de mes expériences et de mes discussions avec d’autres Occidentaux vivant dans la région, j’ai le

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sentiment et la conviction que l’avenir est ici et pas en Europe. Dans un sens, c’est un peu triste pour nous mais tout va si vite ici. Tout change si vite. Les gens agissent alors qu’en Europe – et notamment en France ! – j’ai l’impression que les gens tournent en rond.

Professionnellement, en Asie d’une manière générale, toutes les opportunités sont offertes à celui qui se donne la peine d’y travailler. Ce n’est plus le cas en Europe (ce qui explique sans doute pourquoi les gens pensent plus aux va-cances qu’au travail comme je le disais plus haut !) »

Benjamin : « Professionnellement, une indépendance et une autodiscipline. Mon manager était au Brésil, il fallait trouver un juste équilibre pour ne pas tomber dans l’isolement. Je m’en suis plutôt bien sorti grâce à la communi-cation et les moyens mis en œuvre comme conf-call, Office Communicator, téléphone, e-mails… J’ai par ailleurs puaméliorer tous mes domaines de compétence Microsoft (Active Directory, Exchange, WSUS…), mes expériences précé-dentes ayant été plutôt effectuées sur des systèmes GNU/Linux ou AIX.

Personnellement : des amitiés, un amour du pays (j’y retournerai), une façon de vivre, la langue, la musique, la bonne viande, la façon de la faire et de la manger (l’Asado), le fanatisme des supporters de foot, les souvenirs, les voyages, le virus du voyage… »

Si vous pouviez tout refaire, repartiriez-vousà l’étranger pour effectuer votre stage/job

Les réponses sont unanimes à cette question : « Plutôt deux fois qu’une ! »

L’asado (grillade) - plat national en Argentine

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Un dernier conseil ou une recommandation pour des étudiants qui souhaiteraient tenter l’aventure

Guillaume : « Foncez ! Vous êtes jeunes, pas d’attache, pas de famille à nourrir alors vous n’avez rien à perdre et tout à gagner ! Le jour du départ vous aurez la boule au ventre et vous demanderez sûrement si vous ne faîtes pas la connerie de votre vie mais c’est normal. Et croyez-moi, vous ne le regretterez pas ! Personnellement, il n’y a pas de meilleur moyen pour se connaître soi-même que le recul que peut apporter une expérience différente, dans un milieu différent avec des gens différents. Cela met les choses en perspective.

Professionnellement, l’expérience peut-être bonne ou mauvaise, cela dépend du boulot que l’on trouve. Mais on peut aussi tomber sur un boulot nul en France. La difficulté peut surtout venir de la langue car à moins de travailler dans un endroit perdu pour une petite PME locale qui ne vise que le marché local, les codes du travail dans toutes les grandes entreprises sont tout de même très internationalisés. Avec pas ou peu d’expérience sur le marché français, l’adaptation ne demandera pas forcément grand effort. Certains pays peuvent être plus ou moins faciles alors pour mettre toutes ses chances de son côté, il vaut mieux choisir un pays que l’on connaît déjà au moins un peu. »

Benjamin : « Beaucoup sont restés sur place après une expérience à l’étranger, et beaucoup ne rêvent que derepartir ! »

Franck : « C’est impossible de partir si on a trop de choses qui nous lient à la France. Donc attention nos habitudes et nos liens de familles ou d’amis, il vaut mieux les oublier un moment ! Mais le bon côté des choses, c’est que lorsque vous êtes à l’étranger et bien c’est vous l’étranger et tout le monde sera ouvert à vous parler ou à vous aider. »

Antoine quant à lui conseille surtout de se lancer : « Faut y aller et ne pas réfléchir ! »

Martin

C’est exactement le genre d’attitude à adopter quand vous êtes à la porte de l’avion, les pieds dans le vide et que vous vous apprêtez à sauter en parachute… Parfois, il faut juste y aller !Mais cela ne veut pas dire qu’on peut se dispenser de préparation. La préparation est l’étape primordiale dans ce type de projet et détermine grandement sa réussite. C’est ce que nous allons voir dans la dernière partie de ce dossier.

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IN'TECH REAL LIFE - 16

...B0N PLANS...

Dans cette section, nous allons vous faire partager plusieurs bons plans pour trouver un job, un stage à l’étranger, voyager ou tout simplement améliorer votre niveau de langue !

Stages / Jobs

5 idées à garder en tête :- S’y prendre tôt (minimum 6 mois à 1 an à l’avance),- Soigner son CV,- Envoyer des centaines de candidatures,- Patience et persévérance,- Se méfier des arnaques.

Faire jouer son réseau de contacts semble être le moyen le plus efficace pour trouver un job, à l’étranger ou non. Cependant, tout le monde n’a pas toujours la possibilité de se faire « pistonner » par une de cesconnais-sances. Mais si par chance c’est votre cas et que vous cherchez un emploi, vous pouvez commencer par informer vos contacts en leur envoyant un email avec un descriptif de vos compétences, ce que vous cherchez comme poste et votre CV en pièce jointe.

Et n’hésitez pas si vous en avez la possibilité à faire appel aux contacts de vos contacts.

Le V.I consiste en une mission payée d’une durée entre 6 à 24 mois dans une entreprise française (V.I.E) ou dans une administration (V.I.A) à l’étranger renouvelable une seule fois dans la limite des deux ans. Tous les types de poste sont recherchés mais l’informatique reste parmi les spécialisations les plus demandées. 42% des départs se font en Europe, il existe cependant des missions dans le monde entier. Si vous souhaitez bénéficier de cette opportunité, vous pouvez trouver votre mission sur le site www.civiweb.com ou en envoyant directement votre candidature aux entreprises qui vous intéressent.

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IN'TECH REAL LIFE - 17

« Le Club TELI est une association Loi 1901 sans but lucratif d’aide à la mobilité internationale créée il y a 20 ans. »

Concrètement, il s’agit d’un site à caractère communautaire qui regroupe plusieurs milliers d’adhérents afin de partager les « bons plans » de toutes sortes. Etant membre moi même, je vais vous décrire quelques services auxquels vous pouvez avoir accès en tant qu’adhérant :

- Vous recevrez par mail de façon récurrente une newsletter complète avec un dossier sur un pays. Sélection d’of-fres de jobs, stages, bénévolats dans tous les domaines et à tous les niveaux d’études et d’expérience. Les anciennes newsletters sont archivées et disponibles en téléchargement sur le forum.

- Vous avez la possibilité de demander de l’aide et des conseils sur les lettres de motivation et le CV.- Une « Lettre de l’emploi à l’étranger » avec les dernières offres est envoyée par mail aux adhérents tous les 3 mois.- Il y a un tchat qui permet aux membres de demander conseil directement au staff ou de partager son expérience

avec les autres membres du club.- Il existe aussi des avantages réservés aux membres (hébergement, assurance, restaurant…) grâce aux nombreux

partenaires du club TELI.- Pour ceux qui veulent approfondir, des feedbacks et des témoignages des membres du site sont régulièrement

publiés sur le forum (tour du monde, arnaques…).

Et pleins d’autres rubriques à découvrir sur ce site qui regorge d’informations pratiques pour les amateurs de voyages et autres amoureux de l’étranger ! La communauté est plutôt active et franchement serviable. L’adhésion annuelle coûte 40 euros.

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IN'TECH REAL LIFE - 18

Dans cette partie, vous trouverez deux suggestions efficaces pour améliorer votre niveau dans la langue étrangère que vous souhaitez tout en vous faisant des contacts !

Langues étrangères

Pour ceux qui ne connaissent pas les Auberges de Jeunesse (Youth Hostels à l’étranger), il s’agit d’hébergements implantés dans le monde entier destinés aux jeunes et d’ailleurs aussi parfois aux moins jeunes. Ces auberges sont assezvivantes en général et facilitent les rencontres car les chambres accueillent sou-vent plusieurs personnes. Il existe aussi des salles communes (salon, coin cuisine, terrasse…) et plusieurs « points info » qui répertorient les différentes activités aux alentours. La nuit coûte entre 15 et 25 € dans la plupart des pays.

Le Polyglot club est un site que nous avons découvert il y a peu. Le principe est simple :Organiser des meetings à Paris (et dans d’autres villes d’Europe) toutes les semaines ouverts à tous, dans des cafés ou bars afin de pratiquer une langue étrangère. L’entrée est gratuite à condition de commander au moins 1 conso (ce qui semble raisonnable, le bar étant généralement réservé uniquement pour la soirée en question). Il s’agit là d’un moyen peu coûteux et de proximité pour se faire des contacts internationaux et surtout améliorer son niveau de langue. Les soirées sont dédiées à une langue unique ou multi-langues excepté le français.

Le prochain meeting se passera le 1er décembre 2012 au Majesty Lounge Bar, 35 rue de Rivoli.

Martin

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IN'TECH REAL LIFE - 19

... INF0GRAPHIE

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IN'TECH REAL LIFE - 20

... F0CUS PRP/PI

Le don d’organes reste, à ce jour, quelque chose de mal connu du grand public. Bien sûr, la majorité des gens a une connaissance élé-mentaire de ce geste, mais pour beaucoup, certaines questions rest-ent en suspens.

Sommes-nous tous donneurs d’organes ? Comment se déroulent les greffes ? Respecte-t-on l’intégrité de mon corps post-mortem ? Quels organes peuvent être greffés ? Peut-on donner des organes de son vivant ?

Toutes ces questions, appréhensions et doutes seront, nous l’es-pérons, levés à l’issue de notre événement Give’4’Life :

Nous vous invitons à nous rejoindre courant décembre pour assister à une conférence sur le don d’organes et à obte-nir une carte symbolique de donneur d’organes… Sans oublier un déjeuner préparé par nos soins !

Notre partenariat avec l’Agence de la biomédecine nous permettra de vous proposer une conférence riche, ludique et interactive, donnée par des spécialistes du sujet.

Nous souhaitons vous sensibiliser à la greffe d’organes, un geste médical, ainsi qu’au don d’organes, un geste humain… Car on peut tous en avoir besoin un jour… Pour la solidarité… Pour sauver des vies de la manière la plus simple qui soit !

Secure My Linux (alias SML), est projet industriel de semestres 4 et 5 en système et réseaux, qui est composé deDamien GOLDENBERG, Etienne GOT ainsi que Brice GUEGAN.

Ce projet propose de pouvoir sécuriser un serveur linux rapidement et simplement, sans avoir de connaissance en sécurité informatique. Nous avons pour but de pouvoir proposer différents moyens de sécuriser son serveur en étant le moins intrusif possible.

SML est un projet open source distribué sous licence « GNU GPLv3», il sera sous la forme d’un package Debian et dis-ponible sur un launchpad, qui contiendra l’ensemble des scripts afin de sécuriser le serveur, une interface de gestion, ainsi qu’un « mini serveur » perl afin de faire fonctionner cette application.

SML sera distribué dans un premier temps pour des serveurs tournant sur la distribution Debian, puis par la suite sera développé pour les autres distributions (Fedora, Red Hat …).

Prochainement, pour plus d’info le site de Secure My Linux sera disponible sur sml.zbouby.fr.

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IN'TECH REAL LIFE - 21

L’informatique pour tous les âges ...

... avec le groupe EDUC’INFO ! Ce groupe PRP de Semestre 3 s’est donné le défi de montrer une nouvelle approche de l’informatique aux enfants dyslexiques de l’hôpital du Kremlin-Bicêtre.

Pourquoi avoir choisi ce projet ?Cette action nous tient particulièrement à cœur car

l’informatique nous a pris très jeunes, et cette passion n’a pas d’âge. C’est quelque chose qui attire sans cesse la cu-riosité et on adore ça. Lorsque nous avons ouvert une tour sous leurs yeux, ils voulaient savoir à quoi tous ces câbles servaient ! Aussi, ces enfants sont dyslexiques. Cela signi-fie qu’ils ont des difficultés avec les langues, et l’informa-tique est une autre manière de structurer sa pensée. Ils ont besoin d’autonomie et nous leur en donnons.

En quoi votre approche est-elle différente des courstraditionnels ?

Nos ateliers sont interactifs. Nous essayons de lier l’utile à l’agréable en mettant en pratique leurs connais-sances dès le début. Nous mettons l’aspect ludique en valeur, sans jamais nous éloigner de notre objectif : leur donner les outils nécessaires pour travailler sur un ordi-nateur. Par exemple, nous les initions à Word, aux mises en page, au traitement de l’image...

Leur dyslexie est-elle un obstacle dans leur apprentis-sage ?

Non. Cela aurait été un obstacle si nous avions préparé des cours magistraux. Ici, nous misons sur la qualité et non sur la quantité. Le professeur doit s’adapter aux besoins individuels de chaque élève. Chaque cours est conçu pour développer leur créativité. Le dernier atelier leur permet d’emporter leur création chez eux. Notre but est qu’il se souviennent de ce cours comme un moment instructif et agréable. Il s’agit pour nous d’un réel défi en matière de pédagogie.

Jules ouvrant une tour devant ses élèves.

Membres de EDUC’INFO : Jules BOURREAU, Thérence BEGO DAYO, Franck BONTEMPS, Michel GILLE, Sabrina MUSTAFIC et Silvija JUNG.

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IN'TECH REAL LIFE - 22

... THE ENGLISH P0ST

I’m going to talk about a political series which surprisingly turns out to be Danish. To the few of you who are still reading this, Borgen1 is about the accession of the Prime Minister Birgitte Nyborg, head of the centrist party. Through-out the first season, the series describes the political battles and personal sacrifices Birgitte Nyborg must do to keep her power and use it for the best.

In the first place, what I liked is that it changes from what we usually see on TV: it shows the mysteries of politics2 but not in a completely negative way. Let’s be honest, if we had “a” Birgitte Nyborg in France, I think many of us would be reconciled with the politics. She has the courage to defend her beliefs, her ideas: when she speaks, we quaver with3 her and do not find ourselves with a Manichean power.

In addition, despite the fact that the series is about the Danish Government, it addresses current issues (economic with the health reform and social with the matter of ecology) in an understandable way. The scriptwriters have made the effort to deal quite objectively with the issues and dilemmas facing the characters according to their function.

All in all, the episodes of Borgen were produced in the similar way than thrillers. That is to say, they were able to balance the moments of political or journalistic tension with the more intimate moments that reveal a little more about the characters personalities. The characters are also realistic: Birgitte Nyborg, a woman of character with ide-alistic temperament, Kasper Juul, the spin-doctor4 torn by his inner demons, Kathrine Fønsmark a political journalist whose ethical issues worries and many other characters equally endearing revolve around the Borgen galaxy.

Season 2 began airing on November 22 on Arte.

Camille

1 Borgen (« Le Château ») est le surnom que les Danois donnent au siège du Parlement et aux bureaux du Premier ministre à Copenhague, situés au Château de Christiansborg. 2 The mysteries of politics = les arcanes de la politique 3 To quaver with = vibrer (d’émotion) 4 Spin-doctor : conseiller en communication et marketing politique agissant pour le compte d’une personnalité politique, le plus souvent lors de campagnes électorales.

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... SANDB0X

Le logiciel utilitaire du mois : OSForensics

OSForensics est un utilitaire fonctionnant sous Windows et permettant desurveiller de manière très approfondie le contenu d’une machine. Organisé autour d’un système de fichiers, les différents modules du logiciel vous permettront d’ex-plorer la mémoire, de rechercher et filtrer des fichiers, de rechercher et récupérer les fichiers effacés, d’analyser et de rechercher les mots de passe du système… Ceci n’est qu’un petit aperçu des fonctionnalités de ce logiciel, vous trouverez la liste complète sur www.osforensics.com.

Le plugin du mois : HackBar

HackBar (uniquement disponible sous Firefox) est une extension réservée aux développeurs et administra-teurs de site qui permet de tester des injections SQL, des failles XSS, encoder/décoder une url, envoyer des données de formulaire (GET/POST) et plein d’autres choses encore liées à la sécurité générale des sites.

Le gadget du mois : Laserguns

Si vous voulez vous entraîner dans les couloirs avant de participer au Laser In Tech, voici l’accessoire qu’il vous faut ! Grâce aux 2 laserguns, vous pourrez jouer à une véritable chasse à l’homme dans les locaux d’IN’TECH. Apprenez à vous déplacer sans vous faire repérer au ris-que de recevoir une décharge électrique !

http://mycrazystuff.com/gadget-original/414-laserguns-electrochoc.html

Remerciements

C’était notre troisième et dernier numéro ! Nous sommes très contents d’avoir pu partager avec vous cetteexpérience.Nous tenons à remercier l’équipe pédagogique et plus particulièrement Catherine Dorignac, Eric Lalitte, René-Louis Nicolas, Patrice Thiré, Christine Brouste, Sarah Alcide qui a fait paraître le journal sur le site et la page Facebook de l’école et Brigitte Soto qui a transmis notre journal aux anciens de l’école. Nous remercions également Axel Riffard, Franck Adville, Benjamin Pons, Guillaume Hostelet et Antoine Moreau qui nous ont permis de rédiger le dossier sur l’international ainsi que tous les étudiants qui nous ont encouragés et pris part au journal tout au long de ce projet.

Solution de l’énigme du numéro précédent

Personne n’ayant trouvé la bonne réponse, nous vous dévoilons la solution de l’énigme : Quelle branche du chemin mène vers votre village ?

Camille