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Groupe Bureau Veritas
Radioprotection en raffinerie
Abidjan, les 27 et 28 Février 2008
B . DIAWARA / V .GUILBERT / D . MARTIN
2 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Sommaire
► Groupe Bureau Veritas - Introduction
► Maîtrise des risques ionnisants en Afrique .
► Bureau Veritas en Afrique - Exemple de la Côte-d’Ivoire
► Bureau Veritas et HSE interne
► Comité de Gouvernance en Radioprotection
Groupe Bureau Veritas - Introduction
4 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Bureau Veritas en bref
►Société fondée en 1828
►Un leader mondial des services
d’évaluation de conformité et de
certification appliqués aux domaines de
la qualité, de la santé, de la sécurité, de
l’environnement et de la responsabilité
sociale ("QHSE") Un chiffre d’affaires 2006 de 2,1 Md€
Un réseau de plus de 700 bureaux dans 140 pays
Plus de 33 000 collaborateurs
►Huit métiers globaux offrant un
ensemble complet de services Services proposés : inspection, audit, tests en laboratoires, certification,
classification, assistance à la gestion des risques, externalisation, conseil et
formation
►280 000 clients à travers tous les
secteurs d'activité
Marine 11%
Inspection &
Vérification en
Service
13%
Certification
11%
HSE²
10%
Industrie
13%
Services aux
Gouvernements 8%
Biens de
Consommation
14%
Construction
20%
Asie-Pacifique &
Moyen-Orient
22%
Reste de
l'Europe
22%
Amériques
18%
France
33%
Afrique 5%
1. Décomposition du chiffre d’affaires 2006.
2. Hygiène, Sécurité et Environnement.
Une présence mondiale1
Huit métiers globaux1
5 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Un portefeuille d’activités équilibré
Marine ► Classification des navires, certification des équipements destinés aux navires et des infrastructures maritimes,
conseil et assistance technique
Industrie
Inspection & Vérification en Service (IVS)
Construction
Hygiène, Sécurité et Environnement (HSE)
Certification
Biens de Consommation
Services aux Gouvernements et Commerce International (GSIT)
► Évaluation de conformité des équipements et installations industriels à la réglementation ou aux spécifications
du client, depuis l’étude de faisabilité jusqu’à la mise hors service
► Ces services incluent la revue de plans, l’inspection en atelier ou sur site, la gestion de l’intégrité des actifs, la
certification des produits et les tests et mesures liés aux produits, tels que les tests non destructifs
► Inspection périodique d’équipements et installations techniques afin d’évaluer leur conformité à la
réglementation ou aux exigences propres au client
► Services applicables aux installations électriques, systèmes de sécurité incendie, appareils de levage et
équipements sous pression, ainsi qu’aux machines
► Inspections, audits, mesures et tests en matière d’hygiène et santé, sécurité et environnement
► Assistance technique et conseil afin d’aider les entreprises à définir leur stratégie et améliorer leurs
performances HSE
► Évaluation de conformité d’ouvrages à construire aux réglementations locales et aux codes d’urbanisme,
depuis la conception jusqu’à l’achèvement des travaux
► Services incluant la revue de plans, l’analyse de conformité aux codes d’urbanisme, le contrôle technique, la
coordination de la sécurité sur site, les tests des matériaux de construction, l'assistance à la gestion d'actifs
et les due diligence technique
► Certification des systèmes et processus de gestion en matière de qualité, d’hygiène et santé, de sécurité,
d’environnement et de responsabilité sociale, selon des normes publiquement reconnues
► Service d’audits seconde partie basés sur des standards définis par le client ou Bureau Veritas
► Tests, inspection et certification de biens de consommation, incluant textiles, biens durables, jouets, produits
électroniques et électriques
► Audits d'usines, audits de responsabilité sociale, formation
► Services aux gouvernements : inspections avant expédition, inspection par scanner, vérification de la conformité
des produits importés
► Commerce international : assurance quantité/qualité de matières premières, services liés à l'automobile
6 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Une présence mondiale
Asie & Moyen-Orient
150 sites, dont 31
laboratoires
8 700 collaborateurs
France
175 sites, dont 6
laboratoires
6 400 collaborateurs
Amériques
130 sites, dont 26
laboratoires
5 000 collaborateurs
Europe (hors France)
195 sites, dont 19
laboratoires
9 000 collaborateurs
Afrique
50 sites, dont 5
laboratoires
1 000 collaborateurs
Un réseau mondial de plus de 700 implantations dans 140 pays
7 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
I&F
Australie
Historique de Bureau Veritas
1910 1929 1984 1988 1995 1998 2002 2004
Prise
de contrôle
de Wendel sur
Bureau Veritas
Marine
Industrie
Construction
GSIT
Biens de
consom-
mation
Plateforme
HSE mondiale
Investissement
initial de Wendel
dans Bureau
Veritas
Introduction
en Bourse
Certification
2007 1828
Biens de
Consommation
USA et Chine
Expansion en Asie
et Europe de l'Est
I&F
USA
I&F
Allemagne
1993 2001 2006
Expansion
en Afrique I&F
Chine I&F
R-U
Note: I&F = Industrie & Facilities (pôle Industrie & Infrastructures).
1996
Fusion
avec CEP
(France)
Une notoriété, un réseau et un portefeuille d’activités qui s’appuient sur 180 années d’expérience
8 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
53 59 62
86
106
137
171
204
244
268
36
0
50
100
150
200
250
300
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007E
Résu
ltat
op
érati
on
nel
aju
sté
(M
€)
455
619695 722
850
1 012
1 846
1 145
1 283
1 422
1 647
200
500
800
1 100
1 400
1 700
2 000
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
2003
2004
2005
2006
2007E
CA
(M
€)
Une stratégie de forte croissance
Evolution du chiffre d'affaires depuis 1996 Evolution du résultat opérationnel ajusté depuis 1996
2067 310
9 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Marine Services aux
Gouvernements et commerce international
Organisation
Président du Directoire
► Huit activités globales, gérées à travers quatre divisions globales
► Toutes les unités sont gérées selon une organisation matricielle
Une organisation conçue pour soutenir la
croissance et favoriser l’excellence
opérationnelle
Organisation & ressources
humaines
Finance, juridique,
gestion du risque,
systèmes d’information
Certifica-
tion
Cons-
truction
HSE IVS Industrie Produits de consommation
Europe
Etats-Unis
Chine
Asie du Sud
Europe
Moyen-
Orient et
Afrique
Amériques
Asie
Pacifique
Europe du Sud
Europe du Nord et de l’Est
Moyen-Orient, Inde, Russie and Afrique
Amérique du Nord
Amérique latine
Asie Pacifique
Europe
Amérique du
Nord
Amérique
latine
Asie
Moyen-
Orient
Industrie & infrastructures
10 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Rio de Janeiro
Technical Disciplines : Structures, Naval Architecture, Mooring, Hydrodynamics, Piping,
Electricity & Automation,Safety,Process,Integrity Managment (RBI /RCM), NDT
Technical Services : Design Verification, Audits, Training, Independent Studies, Certification,
Assistance & Consulting,Shop Inspection
Macaé
Oil & Gas Expertise Mondiale
Principaux Centres Techniques
Houston
Aberdeen
Abu Dhabi
(50 collaborateurs)
Shanghai
Kuala Lumpur
& Singapore
Pusan Teheran
Dept . Industrie / CEP.I
340 spécialistes CND /métallurgie
CTI Paris
80 personnes
11 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Bureau Veritas en Afrique
Abidjan
Pointe-Noire
50 sites, dont 5
laboratoires
1 000 collaborateurs
CND / radio.
DIS/CEP Industrie.
Support à BV Afrique : coaching, audit, formation
• Gilles Mannessiez : pays francophones
• Terry Panell: pays anglophones
12 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Bureau Veritas en Afrique
North Africa
François Grimbert
Africa Vincent Guilbert
Ethic Manager
Jean-Jacques Boyer
Human Resources:
Olivier Peyrot
RFC
Philippe Dréan
West Africa
Vincent Guilbert
GSIT
QHSE & Risk
André Cadiou
DFI
S&E Africa
Mysore Ravi
Technical. Centers
Central Africa
Jean-Micchel Garnier
Angola (S.Trombetta)
Algeria (F. Grimbert)
Morocco (O. Benaicha)
Tunisia (L. Abid)
Libya
Senegal (O. Dieng)
Côte d’Ivoire (B. Diawara)
Nigeria (C. Loft)
Gabon (JM. Garnier)
Congo (C. De Vryes)
Cameroun (JC.
Octor)
South Africa (M. Ravi)
East Africa suresh)
Oil & Gaz KVCC : Angola
CER
-French sp. countries: O. Benaicha (Maroc)
-Other countries: M. Ravi (Kenya)
ITD
-Oil: M. Boris Dimitrov
-Wood : C. Duhesme
-Agro: B. Pitou
CTC:
Eq. Guinea
(I. Kebe)
RCA (Verdier)
Tchad (H. Moussa)
RDC (D.
Vibar)
Mali
(H. Chassagne)
Bénin
(R. De-Geloes)
Ghana (B. Smith)
Namibia (M. Ravi)
BUREAU VERITAS EN AFRIQUE
Maîtrise des risques ionnisants en raffinerie activité de radiographie industrielle
14 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
► Marché des Contrôles Non Destructifs ( CND ) limité
Peu de retour d’expérience
Tendance à la routine
Tarifs pratiqués très bas
Organisations souvent isolées
► Environnement réglementaire
Réglementations locales faibles voire inexistantes
Contrôle externe très peu contraignant / Europe
► Equipements
Des équipements vieillissants parfois obsolètes , et souvent recyclés en Afrique
Entretien à distance très contraignant (recharges en Europe ou en Afrique du Sud)
► RH Compétences : rares et insuffisamment formées et contrôlées
Afrique: environnement à risque pour la radiographie
15 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Faute de réglementation Nationale : Adopter des valeurs de dosimétrie Européennes
Par ANNEE : en millisieverts (mSv) ( REM)
•Hommes et Femmes •Etudiants et
apprentis
de 16 à 18 ans
•Public et
travailleurs
non exposés catégorie A( les radiologues)
Catégorie B
(raffinerie)
•Condition
normale de
travail
•Exposition
exceptionnelle
•R231-79
•tissus en
profondeur
(corps entier)
20 (2) 40 (4) 6 ( 0,6) 6 (0,6) 1 (0,1)
•peau mains -
avant-bras -
chevilles –
pieds
500 (*) ( 50) 1000 (*) (100) 150 (*) (15) 150 (*) (15) 50 (*) (5)
•Cristallin
(œil) 150 (15) 300 (30) 45 (4,5) 50 (5) 15 (1,5)
•(*) : Valeur moyenne pour 1cm2 de peau, quelle que soit la surface exposée.
16 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Les principaux projecteurs de Gammagraphie rencontrés en Afrique
► GAM 80/120 ( maxi 4,4 TBq)
TIF et TIF-F
(maxi 3,7TBq)
SU 100 Maxi 3,7 TBq
APPAREIL GAMMATEC
D’ AFRIQUE DU SUD
Modèles 880 ( 4,7 TBq)
élite ( 1,85 TBq)
Gam Gen GC 100 ….etc
17 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Les avantages du projecteur type GAM 80 / 120 : une bonne
visualisation de la situation : le choix de BUREAU VERITAS
► Signal vert :
• Le projecteur est en position de stockage,
la source rentrée et l’appareil verrouillé.
Signal jaune :
• Le projecteur est sur le chantier, la source rentrée et l’appareil déverrouillé par sa clé de sécurité individuelle.
• Signal rouge : ATTENTION DANGER
• L’exposition peut être réalisée, l’obturateur est ouvert après action sur le loquet d’armement prévu à cet effet, la source est éjectée ou prête à être éjectée.
Signal rouge, point blanc :
• En phase d’incident, la rentrée du porte-source est incomplète ( ceci attire l’attention du radiologue qui doit reagir )
18 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Les principaux matériels de Gammagraphie
La télécommande :
en service , elle doit être le
plus rectiligne possible
La gaine d’éjection
Le projecteur ; également
nommé le conteneur
NB : CES 3 ELEMENTS DOIVENT ETRE ENTRETENUS ET REVISES REGULIEREMENT
19 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
L’objet de tous les risques …… Le porte source et sa source
d’iridium 192
► Le porte source : il doit être changé à chaque rechargement
La Source d’iridium 192 Le vrai danger ……
20 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Formation minimum des radiologues :
► La formation doit permettre au radiologue d’acquérir les compétences en
radioprotection nécéssaires à la prévention du risque associé à l’appareil qu’il met en œuvre ;
à ce titre , il doit être apte à assurer sa propre sécurité et celle d’autrui .
► Module théorique ;
1) Rayonnements ionisants : les sources d’exposition , les effets biologiques pour l’homme .
2) Radioprotection des travailleurs :
la détection des rayonnements X ou Gamma :
les calculs simples de débit de dose et de protection.
3) La réglementation :
Les principes de la radioprotection : la justification l’optimisation et la limitation
Module pratique ;
1)connaitre les matériels utilisés et leur entretien /maintenance ;
2) connaitre les moyens de suivi dosimétrique , et de mesure de radiations ;
3) établir la délimitation et le balisage de la zone controlée / ( DD< 25µSV/h soit 2,5mR/h ) ;
4) Savoir gérer une situation radiologique dégradée ou accidentelle
5) Avoir le reflexe de vérifier la bonne rentrée de source au radiamètre après chaque ejection
21 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Donner aux radiologues des principes de prévention simples
par la bonne gestion :
► Du TEMPS:
1) bien préparer sa mission afin de minimiser la présence en zone irradiante ;
2) Choisir la source de rayonnement la mieux adaptée ( si possible inférieur à
50 Curies soit 1,85 TBq ) en adéquation avec les épaisseurs à radiographier;
De la DISTANCE :
Toujours s’éloigner au maximum de la source durant l’irradiation ( loi de l’inverse du
carré de la distance). Par principe , baliser au minimum à 20 m
Eviter autant que possible les co-activités génératrices de risques .
► Des ECRANS ( et collimateurs ):
1) se servir des écrans naturels de l’installation afin de se protéger
principe des « épaisseurs moitiés » à savoir pour l’Iridium 192 :
4 mm de plomb ; 13 mm d’acier ; 80 mm de béton
2) préconiser FORTEMENT l’emploi des collimateurs adaptés qui limitent les rayonnements superflus et réduisent la taille du faisceau
22 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
obligation dosimétrique minimum pour les radiologues
► Chaque radiologue doit être , équipé :
1) de sa dosimétrie passive ; dosifilm mensuel qui pourra être . . envoyée d’urgence au développement en cas de doute.
2) de sa dosimétrie active , tel dosimètres électroniques opérationels qui permet le suivi journalier de la dosimétrie et qui ont un réglage de seuil d’alarme sonore ( de 7,5µSv/h à 4mSv /h ).
Le responsable local , tient à jour la dosimétrie active et passive de ses radiologues , afin d’anticiper les éventuels dépassements , et de mieux répartir les missions « dosantes » .
Ces enregistrements sont consultables par le spécialiste radioprotection BV lors de ses audits .
NB: ils sont transmis au medecin du travail local
23 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Consignes en cas d’incident ( Humain, Matériel , environnemental )
► 1)Eloigner les personnes présentes
► 2) Baliser « large » avec son radiamètre
► 3) Alerter immédiatement sa Personne Compétente en Radioprotection , ET prévenir le responsable de la raffinerie ;
ensuite , respecter les 2 principes suivants
A) Assurer la sécurité des tiers :
tout faire pour arrêter ou limiter l’irradiation , et ceci sans panique ;
B) assurer la sécurité des radiologues eux-mêmes :
.s’éloigner au maximum , se placer derriére des écrans du site …. .consulter régulierement son dosimètre electronique .utiliser en permanence le radiamètre pour mesurer en temps réel les débits de dose en un endroit donné .
.
24 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
1. Décrochement ou rupture du porte source ou endommagement de la boucle
Cet incident grave est devenu tout à fait exceptionnel compte tenu de la révision périodique des projecteurs et de leurs accessoires et l'utilisation
des raccords à boule. Un tel incident est détecté en premier lieu par l'alarme sonore du radiamètre portatif qui met en évidence que la source
est restée dans l'embout d'éjection ou dans la gaine d'éjection après l'opération de "rentrée de source". En second lieu, le voyant à l'arrière
du projecteur ne se met pas au "vert".
La méthode de "récupération de la source" est la suivante :
préparer le matériel de récupération (feuille de plastique 1 à 2 m², pot de récupération, pince de manipulation de 2 m),
réfléchir au calme aux "étapes de la récupération" et aux endroits où seront placés le pot de récupération et la feuille plastique,
vérifier que l'on a son dosimètre passif. Noter les indications de ses dosimètres électroniques
Toutes les actions suivantes seront exécutées rapidement mais dans le calme. A chaque étape de la récupération, lors du retour à l'abri, il faut
vérifier les indications des dosimètres électroniques afin de contrôler la dose reçue :
poser la feuille de plastique près du projecteur, poser le pot de récupération (ouvert) à 2 ou 3 mètres de distance,
retour à l'abri,
retour au projecteur avec la pince de 2 m. Désaccoupler la gaine d'éjection,
avec la pince de 2 m, saisir la gaine par son raccord rapide, la poser sur le plastique,
retour à l'abri,
retour près de la gaine. Avec la pince de 2 m, la saisir par l'embout d'irradiation. La soulever, faire tomber le porte source sur le plastique. Lâcher
la gaine en dehors du plastique. Visualiser la position du porte source,
retour à l'abri,
revenir près du porte source avec la pince de 2 m. Saisir le porte source par le milieu. Le déposer dans le pot de récupération, source en premier,
refermer le pot de récupération,
Mettre en sécurité le pot de récupération. Vérifier "son" débit,
Contrôler sa propre dosimétrie.
A signaler que si l'on n'a pas de pot de récupération on peut se servir du projecteur proprement dit. Cela nécessite de :
- récupérer le projecteur et l'embout d'irradiation (après avoir fait tomber le porte source sur la feuille de plastique),
- les ramener à l'abri. Couper l'embout d'irradiation à quelques centimètres du raccord rapide. Fixer ce dernier sur le projecteur. Adapter un
entonnoir sur le bout dépassant,
- ramener le projecteur ainsi équipé près du porte source, le mettre en position verticale (s'exercer auparavant),
- avec la pince de 2 m, prendre le porte source, le faire tomber dans l'entonnoir (source en haut),
- avec une tige de diamètre 5 à 6 mm, enfoncer le porte source dans le projecteur.
EXEMPLE DE TRAITEMENT D’INCIDENTS AVEC UN PROJECTEUR GAMMA (1/2)
25 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
EXEMPLE DE TRAITEMENT D’INCIDENTS GAMMA ( 2/2)
2. Ecrasement de la gaine d'éjection Suite à un écrasement accidentel de la gaine d'éjection, on ne peut rentrer la source. Les gestes à entreprendre seront :
Evaluer la position de la source avec le compteur de la télécommande (donne la distance entre la source proprement dite et le centre du projecteur/
1 tour de manivelle = 25 cm),
Remplir des sacs de sable ou de grenaille et de les poser sur la partie de la gaine d'éjection où se trouve la source (généralement sur l'embout
d'éjection),
Avec une grosse cisaille ou un coupe boulon, sectionner la gaine et le câble Téléflex entre l'obstacle et l'embout d'éjection,
Avec une grosse pince multiprise, "réa rondir" la section coupée de gaine (la gaine aura sans doute été aplatie lors du cisaillement),
Avec la pince de 2 m, sortir le câble et le porte source et les poser par terre,
Reprendre le porte source et l'introduire dans le pot de récupération préalablement équipé d'un entonnoir.
3. Incidents de télécommande Ces incidents, moins graves que les précédents ont toujours pour origine un mauvais état de la télécommande. En cas d'endommagement, changer
la télécommande, et identifier la télécommande défectueuse par une étiquette « HS ».
Ils se manifestent par un point dur et voire l’ impossibilité de manœuvre de la télécommande, soit à la sortie, soit à la rentrée de la source.
1 : Impossibilité de sortir la source du projecteur :
Vérifier que l'obturateur du GAM est bien totalement "ouvert" et que les gaines sont bien connectées (raccords rapides),
Re-verrouiller l'appareil, déconnecter la télécommande,
La vérifier "à vide", la nettoyer si nécessaire.
2 : Impossibilité de mettre la source en position d'irradiation :
Si le porte source se bloque en position intermédiaire, ne pas insister,
Ramener le porte source dans le projecteur,
Déconnecter gaine d'éjection et télécommande,
Vérifier l’état du matériel (écrasement de la gaine d'éjection, raccords détériorés) et le fonctionnement de la télécommande. Changer la
télécommande si nécessaire.
3 :impossibilité de rentrer la source :
Causes probables : détérioration du boîtier ou des gaines de la télécommande ou un écrasement accidentel ou à une courbure excessive de la gaine
d'éjection.
Se mettre à l'abri d'un écran,
Démonter le boîtier de la télécommande,.
Tirer le câble Téléflex à la main jusqu'à la rentrée du porte source et fermeture de l'obturateur.
Si cette dernière opération s'avère impossible :
Relever sa dosimétrie (dosimètre électronique),
Aller près du GAM pour déconnecter la télécommande et tirer la gaine pour mettre à nu le câble Téléflex,
Tirer ce câble (en s'éloignant au fur et à mesure du projecteur) jusqu'à la rentrée du porte source et la fermeture de l'obturateur,
Relever sa dosimétrie.
26 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
SENSIBILISATION DU RADIOLOGUE
VIGILANCE
Environnement
-Accessibilité
-Ambiances physiques
(éclairage, …hauteur..)
-Débit de dose ambiant
Equipements
-Connaissance usage normal
-Connaissance Incidents,
blocage,
- Collimateur
Connaissance
de ses Propres
limites :
-Travail de nuit (phases
de micro-sommeil)
-Routine
-Fatigue
-Pénibilité (effort-
postures)
-Interruptions
-Conditions de
récupération (sommeil,
alimentation,
médicaments …)
Organisation durant les tirs
-Intrusion dans le balisage ;
-Recherche d’information-documents
-Attentes – Nouvelles demandes
- Isolement organisationnel
le quotidien :
-Changement de sites et
temps de transfert
- Instabilité des collectifs
-Pression temporelle :
préparation, Nb de tirs,
etc.)
-Pression organisationnelle
(attendus des autres acteurs)
Facteurs de
dégradation de la
vigilance
Aléas
27 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Réduire les risques: un partenariat à 3:
prestataire, client, Tutelle Nationale .
► Prestataire de services CND
Ressources humaines :
• Recrutement , formation, qualification, certification évaluation périodique et recyclage
• Supervisions / Audits ;
Equipements:
• Harmonisation et rajeunissement du parc de sources (GAM 80 et GAM 120). Tout nouvel équipement doit subir une évaluation et approbation avant mise en service par personne compétente (CEP Industrie).
• Suivi strict des programmes de maintenance constructeurs .
Sécurité: renforcement des procédures:
• En l’absence de réglementation , adopter des règles internationales
• Respect absolu de ces procédures (radiamètres, dosimètres individuels, stockage, transport…). Vérification par audits.
Organisation:
• Rattachement à un centre technique support
• Système de management QHSE en place: certifiable ISO 9001
• Facteur primordial: supervision des inspecteurs et audits .
• Faciliter la tâche des radiologues qui sont soumis à bon nombre de pressions .
28 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
► Clients chez qui ont lieu les prestations de CND:
Evaluation des fournisseurs par des audits périodiques et des vérifications « surprise » sur site
Mise en place de procédures en radioprotection équivalentes à celles des prestataires
Sensibilisation et formation du personnel pouvant être concerné (service inspection, gardiennage, HSE…)
Transparence et dialogue permanent avec le prestataire , en totale déconnexion avec l’aspect financier .
. Plannification efficace et précise sans grandes possibilités d’aléas
► La tutelle Nationale:
Définit la réglementation applicable et son cadre
Doit en contrôler la mise en œuvre
En cas de moyens limités , doit s’appuyer sur un partenariat avec le prestataire et le client (audits conjoints, participations aux formations)
Réduire les risques suite : prestataire, client, Tutelle .
29 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Mesures immédiates prises suite accident de Dakar
► Mesures immédiates prises en zone Afrique
• Arrêt immédiat du CND par gammagraphie à BV Sénégal
• Suspension temporaire de l’activité CND par gammagraphie dans le cadre du renforcement des procédures et des systèmes qualité et HSE du Groupe en Afrique.
• Retrait immédiat du service de tous les équipements de type TIF et TIF-F
► Plan d’action “Afrique”
• Renforcement du système QHSE en cohérence avec les directives du Groupe.
• Supervision activités CND par spécialistes du groupe ( CEP Industrie )
• Ressources humaines: recrutement , formation, qualifications, évaluation , recyclage périodique
• Equipements:
Projecteurs et Sources: harmonisation du parc avec appareil GAM 80 / 120
Radioprotection: radiamètres et dosimètres
• Procédures locales remises à jour , y compris pour la maintenance
• Organisation: système du management QHSE
30 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
► Reprise des activités CND par gammagraphie en Côte d’Ivoire
• Avec les sources exclusivement de type GAM 80 et 120
• Après un recyclage à la radioprotection reprenant l’intégralité du programme « Camari »*
• réalisé par un formateur de CEP Industrie,
• au profit de tous les opérateurs BV ainsi que de 3 inspecteurs CND de la SIR
• Validé par un test d’évaluation
• Après le suivi par le responsable CND d’une formation qualifiante « personne compétente » réalisée en France par le département industrie spécialisé
• Après mise à jour et validation par la Direction technique Industrie des instructions de travail fixant les conditions de réalisation des missions de CND
• Qualifications : 1 Cofrend 2 , 2 ASNT niveau 2 + 1 Cofrend 2 en cours de recrutement
• Audit annuel par la Direction Technique INDUSTRIE de BV France
* Certificat d’Aptitude à la Manipulation d’Appareils à Rayonnements Ionisants
Reprise du CND par Gammagraphie
31 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
► Démarrage d’un service CND à Pointe Noire (Congo) en mai 2007
• Support de la Direction Technique Industrie et du Département Industrie
Spécialisé qui fournit les projecteurs GAM .
• Responsable Industrie recruté le 1 Mars en tant que personne compétente
(recommandé par Total).
• Procédures identiques à celles en vigueur en Côte d’Ivoire.
• Recrutement de 4 opérateurs ASNT Niveau 2, dont 2 suivront des formations
COFREND en cours d’année en vue d’être certifiés COFREND 2. Tous
suivront une formation en radio protection de type « Camari »
• Un opérateur COFREND 2 du Département Industrie Spécialisé évaluera le
nouveau service avant le début des opérations et l’audit programmé par Total
Congo. Il assurera le démarrage de l’activité pendant le temps jugé
nécessaire
• En « régime de croisière », il est prévu un audit de surveillance annuel par
DT/IND
Reprise du CND par Gammagraphie
Exemple pratique: Côte d’Ivoire
BUREAU VERITAS EN AFRIQUE
33 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Administrateur Général
B. DIAWARA
Resp. département I&F
MEDOUNE DIOP
Resp. Activité IVS
RAOUL KOUAKOU
Resp. Activité CND
MEDOUNE DIOP
Resp. Activité CERTIFICATION
ADAMA YEO
Agents de Contrôle CND
ALAIN KASSI
SONGUIDA SORO
FOKOUO KOUAKOU
FIACRE FANOU
RICHARD BOSSET SIBIRI KONE
Opérateurs CND
BONI VANIE BI
Resp. QHSE
ADAMA YEO
Assistante
ANTOINNETTE FAYE
Inspecteurs
BERTIN EHOUNOU
VASSIRIKI BAMBA
SOPOUDE KONE
FIACRE FANOU
Techniciens
ERIC DIZON SIBIRI KONE
Auditeurs / Consultant
Organisation I&F de Bureau Véritas Cote d’IVOIRE
34 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
NOMS DU PERSONNEL
PROCEDES DE CONTROLES NON DESTRUCTIFS
Radioprotec
tion Mesure
d’épaisseur
UT-TG
Radiographie
RT
Ultrason
UT
Magnétoscopi
e
MT
Ressuage
PT
Médoune DIOP µ C 2COFREND C 2 COFREND µ X
Fokouo KOUAKOU µ C 1 ASNT X 2
Interne (CEP)
X 1
Interne (CEP) X
SORO Songuida µ C 2 ASNT X 2
Interne (CEP)
X 2
Interne (CEP) X
Alain KASSI µ C 2 ASNT C 2 ASNT µ X
Vanié Bi BONI µ
Richard BOSSET µ C 1 ASNT µ
Sibiri KONE C 1 ASNT C 1 ASNT C 1 ASNT X
FANOU Fiacre C 1 ASNT C 1 ASNT
C 2 ASNT X 1
Interne (CEP) X
BAMBA VASSIRIKI C 1 ASNT C 1 ASNT X
YAO AKAFFOU HERVE C 1 ASNT
KONAN KOFFI JESUS C 1 ASNT
LAGBO NIAMBA MOISE C 1 ASNT
LIEHOUN SAMOU FELIX C 1 ASNT
Légende : X est Qualifié : C est certifié : µ sait le faire(en attente de qualification) : en formation
Qualifications du personnel CND de BV.CI
35 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
► Les procédures de travail mise en place:
• Procédure d’organisation de la radioprotection
• Consignes de radioprotection du personnel
• Procédure d’entretien et de suivi du matériel et équipement de travail
• Procédure de qualification et de certification des agents CND
► Formations réalisées en 2007/2008
• Formation de la Personne Compétente en Radioprotection
• Formation en radioprotection (Agents BV et Agents SIR)
• Formation niveau 1 en radiographie
• Formation niveau 1 en ultrason
• Formation niveau 2 en Ultrason
► Les audits réalisés en 2007:
• Audit métier de l’activité CND réalisé par Mannessiez
• Audit de renouvellement certificat ISO 9001/ 2000 par BSI
• Audit du système qualité par le directeur qualité du groupe
• Audit interne de l’activité CND radiographie par le RQHSE
Management de la qualité mis en place
36 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
► 2 sources de rayonnement gamma de type GAM 80
► Les télécommandes
► Les gaines d’éjection
► 3 radiamètres
► 2 dosimètres électroniques dans les locaux sensibles
► Rouleaux de bande balises
► Lampes de signalisation
► Un laboratoire de développement de film
► Un camion laboratoire équipé d’un bunker pour le stockage de la
source
► Des dosimètres individuels pour chaque agent CND
Le matériel NDT de BVCI
37 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Les règles simplifiées de transport du projecteur chargé
► Avant le départ le radiologue doit:
• Contrôler que la source radioactive est en position stockage dans le GAM.
• Vérifier le verrouillage et conserver sur lui la clé du projecteur.
• S'assurer de la présence et du bon fonctionnement du radiamètre, des matériels de balisage et de radioprotection , ainsi que de l’extincteur .
• S’assurer du port de son dosimètre personnel ,ainsi que celui de son aide
• Arrimer solidement le projecteur ( GAM) au véhicule .
Pendant le transport le radiologue doit:
• Respecter le code de la route,
• Respecter les règlements concernant le transport de matières dangereuses.
• Eviter dans la mesure du possible des arrêts prolongés à proximité des lieux d’habitation ou de lieux de concentration de population.
• Ne pas quitter le véhicule et le laisser sans surveillance ; En cas d’urgence s’assurer avant de le quitter que celui-ci est bien fermé à clé.
38 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
LE CONTENU DU PROTOCOLE
► Déclenchement d’une intervention
• Toute demande d’intervention doit être formalisée sur le formulaire préétabli et
approuvé par les responsables SIR habilités
► Préparation du chantier
• Le responsable de chantier BV prend contact avec l’inspecteur SIR chargé de
l’affaire
• Le plan de prévention établi, doit préciser les personnes à contacter en cas
d’incident ET mentionne l’entrée sur le site d’une source ionissante
• L’autorisation de travail SIR doit être visé à chaque quart et à chaque opération
de tir par le contremaître prévention sécurité (CPS) et le chef opérateur (CO)
• L’ordre chronologiques des visa doit être précisée sur le formulaire d’autorisation
de travail
• La validation du balisage par l’agent de sécurité SIR doit être matérialisée sur la
fiche de travail
Protocole d’intervention dans une raffinerie: cas de la SIR
39 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
► Exécution de l’intervention
• Informer la salle de contrôle du démarrage des tirs
• En cas d’interruption de l’intervention par le CO, les actions suivantes doivent être menées:
- Dépose des balises
- Confirmation de l’arrêt de l’intervention au CO
- Rendre la radio et faire viser les documents de travail
• La reprise de l’intervention doit se faire avec une nouvelle fiche d’autorisation de travail qui devra suivre les mêmes règles de visa.
► Clôture du chantier
• Le dépôt des balises est réalisé par Bureau Veritas
• La fin de l’intervention est confirmée au CO par Bureau Veritas
• BV doit rendre la radio et faire viser les documents de travail
• Le CO informe l’agent de sécurité de la fin de l’intervention ( date et heure )
• La sécurité SIR doit déposer ses balises avant le retrait de BV du chantier
► Le responsable de chantier BV transmet les résultats de contrôle
EXCLUSIVEMENT à son correspondant du service inspection
Protocole d’intervention dans une raffinerie: cas de la SIR
Bureau Veritas et HSE Interne
41 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Réalisations en matière de gestion interne de la HSE
au sein du Groupe en 2007 – tableau de synthèse
► Mise à jour de la déclaration HSE
► Embauche d’un directeur HSE interne de Groupe, à plein temps
► Etablissement d’un comité de Réseau HSE
► Définition des objectifs HSE du Groupe pour 2008
► Réalisation d’une analyse des risques (gravité, fréquence…) par pays, division et ligne d’activité
► Développement et mise en application d’un plan de Gouvernance en matière de radiations ionisantes. Animation du comité correspondant.
► Etablissement d’une norme pour la déclaration des accidents
► Lancement d’une initiative Groupe en matière d’économies d’énergie et de réduction des déchets pour 2008 (10 sites dans le monde - env. 5000 employés)
► Identification des initiatives ISO14001 & OHSAS 18001 pour 2008
► Certification ISO14001 des sites de Londres
► Certification OHSAS 18001 d’un site en Colombie
42 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Gravité élevée, faible probabilité
►Activité en Espace Confiné
►Travail en hauteur
►Source de radiations ionisantes
►Sécurité électrique
Faible/moyenne gravité, forte probabilité
► Utilisation des équipements du client
► Conduite automobile
► Travail sur le site du client
► Travail sur les chantiers de construction
Sujets à traiter en priorité dans le cadre du Programme Interne HSE
8 domaines cible prioritaires
création du comité rayonnements ionisants
For the benefit of business and people
Comité de Gouvernance en Radioprotection de Bureau Veritas
• Objectifs et domaine d’application du programme de gouvernance
• Gestion des autorisations
• Support au réseau
44 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Objectifs du programme de gouvernance
► Mettre en place un processus systématique d’autorisation initiale de la part du Comité pour les services comprenant l’utilisation de sources ionisantes aux clients
► S’assurer que l’utilisation des sources satisfait au minimum les exigences des standards du Groupe et des législations locales et nationales. Ce programme comprend les services sous-traités.
► Développer un processus de renouvellement des autorisations sous la responsabilité du comité de Gouvernance du Groupe.
► Développer la politique et les procédures HSE sur les Rayonnements Ionisants de Bureau Veritas dans le but de définir un standard minimum au niveau mondial.
45 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Domaine d’application du programme
► Réduire le risque d’accidents liés aux rayonnements ionisants pour les salariés de Bureau Veritas ou/et des tierces parties.
► Créer une liste de renseignements devant être soumise au groupe préalablement à la délivrance de l’autorisation d’opérer.
► Fournir une assistance en radioprotection aux pays afin d’opérer en conformité avec les exigences.
► Autoriser ou refuser les autorisations d’opérer avec des sources émettant des rayonnements ionisants.
► Gérer le programme d’audits internes et externes des activités utilisant des rayonnements ionisants.
46 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Processus d’autorisation interne
► Autorisation initiale:
Toute nouvelle utilisation d’équipement émettant des rayonnements ionisants dans un pays/bureau requiert l’autorisation du Groupe
Tous les équipements existants ont été soumis à l’autorisation du Groupe à la fin de 2007 en suivant le processus suivant:
• Un questionnaire abordant le stockage, le transport, le traitement et l’utilisation de matériel émettant des rayonnements ionisants.
• Un audit interne sous la responsabilité du réseau QHSE
• Analyse des résultats d’audits par le département QHSE du Groupe
• Autorisation de poursuite du travail délivrée par le comité de Gouvernance
► Renouvellement d’autorisation:
Audits périodiques de conformité avec la législation, la Politique et les procédures Groupe sont réalisées à partir de 2008
• Les Pays/Divisions doivent réussir l’audit afin de poursuivre la fourniture des services et l’utilisation de l’équipement.
• Cycle de 3 an
47 Présentation du Groupe Bureau Veritas – février 2008
Support au réseau
► Le réseau:
Un groupe d’experts HSE en radioprotection fournira un support continu quelque soit l’emplacement dans le monde.
Réseau d’expertise interne (1 expert par continent)
► Type de support:
Interprétation des exigences législatives et de Bureau Veritas
Formation sur les rayonnements ionisants
Application des exigences dans les opérations
Analyse des questionnaires d’audit
Réalisation d’audits internes des opérations
Conseil interne auprès du Comité de Gouvernance