Fia Fil à News

Guadeloupe - Martinique - Guyane

Les attentats qui ont frappé Paris vendredi soir ont été menés en six lieux différents, faisant au moins 120 morts, selon les autorités.

Bataclan : 82 mortsPlusieurs hommes armés à visage découvert font irruption et ou-vrent le feu, aux cris de “Allah Ak-bar”, dans la salle de spectacle du Bataclan où se produit le goupe de blues américain Eagles of Death Metal. Une prise d’otages de près de trois heures a lieu. Au moins 82 personnes sont tuées.

Stade de France : 4 mortsSimultanément, une première explosion se produit à 21H20 aux abords du Stade de France. Le président français François Hollande, qui assistait à un match de football France-Allemagne, est immédiatement évacué, les entrées et sorties du stade sont bouclées. Trois explosions reten-tissent au total autour de l’en-ceinte sportive. Une personne est morte, ainsi que trois kamikazes.

Rue de Charonne : 18 mortsDans l’est de Paris, rue de Charonne, 18 personnes ont péri

dans une scène de guerre. Un homme dit avoir entendu des tirs pendant “deux, trois minutes”, “des rafales”. “J’ai vu plusieurs corps à terre, ensanglantés”, lâche-t-il. Selon lui, un café et un restaurant japonais ont été la cible des tirs, juste en face du foyer Palais de la femme.

Rue Alibert : au moins 12 mortsUn peu plus au nord, une fusillade éclate à l’angle des rues Bichat et Alibert, sur la terrasse du restau-rant Le Petit Cambodge. Bilan: au moins douze morts.

Rue de la Fontaine au roi : au moins cinq morts

A quelques centaines de mètres du Bata-clan, rue de la Fon-taine au roi, la ter-rasse d’une pizzeria,

La Casa Nostra, est visée. Cinq personnes

sont abattues par plusieurs rafales d’une “mitrailleuse automa-tique”, selon un témoin, Mathieu, 35 ans.

Boulevard Voltaire : un mortUne attaque a également eu lieu boulevard Voltaire, pas très loin du Bataclan. Le kamikaze est mort.

Carte des attentats PARIS Le figaro

EditorialUn vendredi noir s’est abattu sur Paris, ou quelques illuminés mais le sont ils vraiment , ont décidé • que certains d’entre nous ne devraient

pas vivre, • que certains d’entre nous devraient

vivre traumatisés dans leur chair le restant de leur vie,

• que certains d’entre nous devraient les détester eux et ceux qui les arment dans leur folie,

• que certains d’entre nous devraient profiter de ces moments douloureux pour faire les amalgames classiques,

• que certains d’entre nous se laisse-raient aller à la suspiscion sans azi-muts....

Bref , la bétise humaine au summum de sa gloire. Tuer des innoncents pour...mais oui d’ail-leurs pour quoi donc?En quoi le paisible citoyen est il responsable de...mais responsable de quoi donc?Combien même... Nous est il possible de nous identifier à un combat , à une reven-dication , à une aspiration dont les ressorts principaux sont celles d’ôter la vie , • à celui qui dans un café regarde son

match de foot , • à celui qui avec sa copine dine tranquil-

lement en amoureux , • à celui qui dans une salle écoute de la

musique. Tout ca pour rien car on le sait , la liberté , la vraie celle là , finit toujours par triompher Tel est le message que nous ANTILLAIS FRANCAIS, ici, làbas et partout ailleurs, vous faisant parvenir ou que vous soyez.

2Flash Info Antilles N°02Fil à News Novembre 2016

Flash Info Antilles Fil à News des Antilles GuyaneSamedi 14 Novembre 2016

Raisins clairs de la colère... FlA - Filanews

Cette semaine sur la page FIA Filanews alerté par les lecteurs sur la situation qui prévalait sur la plage des raisins secs à Saint François en Guadeloupe, Le maire Mr Bernier à tenu à faire le point, suivi de cela par une partie de nos candidats en lice pour les régionales.En effet la plage des raisins clairs étaient devenue au fil du temps, un lieu d’étalage des ossements de nos ancêtres, que tout le monde pouvait piétiner, quand certains n’utilisaient pas les ossements pour faire joujou avec leur chien, un lieu que nous ne respections pas et ou ca ne gênait presque plus personne de bronzés ou de se baigner à coté des dits ossements.

La nature ayant ses droits , celle ci avec le temps avait détruit les travaux de protection mis en place jadis par la commune et la région pour stabiliser la partie du terrain comportant ce cimetière devenu “marin “ des esclaves .

Sauf que la mairie bien qu’ ‘au courant de cette situation a pensé probablement de bonne foi, que le bon sens des individus suffirait à préserver ce “site”.En tout cas depuis notre interpellation, le lieu est balisé et interdit au public en attendant que des mesures plus pérennes soient prises.La mairie avec l’aide de la région va mettre en place un projet partenariat afin que les ossements récuperés sur le site alimentent le Mémorial ACTe.L’indignation qui a été celle de tous les guadeloupéens permettra peut être et surement que ce genre de situation n’existe plus au 21 siècle et surtout pas la ou on est entrain de mettre en place un projet caribéen sur la mémoire de l ‘esclavage.On imagine Jessie Jackson sortant du MACTe, allant se baigner à la plage des raisins secs et découvrant là des crânes blanchies des esclaves ....

vol de carburantEn un an et demi, un employé à la mairie du Gros-Morne en Martinique a volé près de 30.000 euros de carburant au dépend de la Mairie .

attentats paris

Eric Jalton est profondément touché par cette tragédie et

compatit à la douleur des vic-times et de leurs proches ». Il en appelle enfin « au sursaut des valeurs humaines et répub-licaines pour la paix et l’unité menacées par cette violence cynique et innommable ».

cannabis au vauclinUne vingtaine de pied de can-nabis retrouvée dans un appar-tement au quartier concorde au Vauclin en Martinique .Cette production servait à alimenter le trafic dans le même quartier.

mortd’un gynecologue

Mort d’un Gynécoloque à Oia-poque au Bresil frontière GUY-ANE, il serait tombé du ponton ou il se trouvait en voulant déplacer sa pirogue.Son corps aété rammené à Saint Georges ou une enquête est en cours pour déterminé les causes ex-actes du décès.

3Flash Info Antilles N°02Fil à News Novembre 2016

Flash Info Antilles Fil à News des Antilles Guyane

Flash Info Antilles Fil à News des Antilles Guyane

Flash Info Antilles N°02Fil à News Novembre 2016

Samedi 14 Novembre 2016

Darbousier au coeur de l‘immigration

attentats paris iiIl ne faut pas s’agenouiller face à la barbarie », a dit le président du conseil général de Guyane Alain Tien-LiongIl s’est présenté à la tribune avec un brassard noir. Il a de-mandé au public de faire une chaîne et de respecter une min-ute de silence.

attentats paris iiiJe suis profondément choquée et attristée par les informations

et les images qui nous parvi-ennent de Paris. Toutes mes pensées vont aux familles des victimes, aux rescapés et aux forces de l’ordre qui sont à pied d’œuvre.Josette manin CG martinique

attentats paris ivLe bilan des attentats du 13 no-vembre sont très lourds .Près de 130 morts sans compter ceux des blesses dont le pro-

nostic vital est engagé.

illetrisme en guyaneUn tiers de la population de la Guyane est dans l’illetrisme et les solutions apportées jusq’à présent semble ne pas être en mesure de résoudre le prob-lème.

Programme darbousier au MACTe

Vendredi 20 novembre 18h45 : 1854/1855 : An I de l’immigration indienne en Guadeloupe... Pourquoi ? Comment ?

19h45 : De l’Afrique à la Gua-deloupe: Histoire des travail-leurs africains “engagés” après l’abolition de l’esclavage.

Memorial Acte 97110 POINTE A PITRE Tél : +590 (0)5 90 25 16 00

Du vendredi 30 octobre au samedi 21 novembre 2015, le Mémorial ACTe Gua-deloupe vous propose de découvrir la nouvelle exposition “Darboussier au cœur des migrations” ainsi qu’un cycle de con-férences pour approfondir la thématique.

L’exposition vous propose une immersion dans l’usine Darboussier et son contexte historique à travers des centaines de cli-chés et portraits depuis le daguerrotype ou l’albumine jusqu’aux cartes numériques contemporaines.L’usine est ainsi dépeinte de sa création à sa fermeture 111 ans plus tard, à travers

les deux capitaines d’industrie fondateurs de l’usine mais également via la mémoire d’anciens employés ou de descendants de migrants.

Portraits, interviews, témoignages, le par-cours de l’exposition évoque le contexte global de l’économie mondiale dans lequel vont naître Usine et Migrations. Celui où les besoins en matières premières de la révolution industrielle européenne provo-quent d’importants transferts de popula-tions auxquels participent les quatre con-tinents (Madère, Inde, Congo, Vietnam, Japon). Entrée 5 €

4Flash Info Antilles N°02Fil à News Novembre 2016

Flash Info Antilles Fil à News des Antilles GuyaneSamedi 14 Novembre 2016

30kg de cocainesaisie en Martinique

La voiture du fils du Président impliqué dans un Braquage à Paramaribo France antilles Guyane

Tranquillement ce Sexagénaire, à la fin de ses vacances sur la Martinique, s ‘apprête à prendre son vol pour Paris, quand il est interpellé par les services de douane ce mer-credi 11 novembre. à l’aéroport Aimé Césaire.Dans ses bagages rien moins que 30 kg de cocaïne qu’ ‘il s’apprêtait à convoyer en métropole au moment de son interpellation.Pour ce monsieur les vacances venaient de prendre une tournure carcérale à 19h00.La Martinique semble en ce moment devenir une plaque tournante de l’entrée de la drogue sur la métropole et c’est donc suite à une enquête minutieuse des services antidrogue et des services douaniers de l’aéroport de Martinique que l’arrestation a pu se faire .La personne interpellée faisait l’objet d’une enquête suivie depuis un moment par les divers services de police.Ce sexagénaire a été remis aux autorités judiciaires pour les biens de l ’enquête et au niveau des douanes on se félicite de cette nouvelle saisie qui permet de perturber l ‘un des nombreux réseaux qui semblent fleurir en ce moment entre la Martinique et la métropole.

Mardi 11 nov deux personnes ont été tuées par la police surinamaise lors d’une tentative de braquage, à Paramaribo. Deux policiers ont été également été blessés. Les voleurs étaient armés de grenades et d’un AK47. Le nom du fils adoptif du président Désiré Bouterse apparaît dans l’affaire.Scène de far-west hier matin à Blauwgrond, quartier paisible du nord de Paramaribo. Alors que des hommes lourdement armés viennent de commettre un braquage, l’unité d’arrestation (A Team) de la police surinamaise se lance à leur poursuite. Dans leur fuite, les suspects sortent leurs armes à feu, dont 1 AK47, et tirent sur les policiers. Une grenade sera même lancée en di-rection de la voiture des forces de l’ordre, sans exploser.

La course-poursuite prend fin à la rue Bonis-traat. Un des fuyards est tué, deux autres sont blessés, dont l’un mourra à l’hôpital. Deux agents de police sont également blessés par balle. Leurs vies ne sont pas en danger. Dans le coffre de la voiture des braqueurs, sont re-trouvés des uniformes complets de police, des armes lourdes et des gyrophares. Ce n’est pas tout : après vérifications, il s’avère que la voiture des braqueurs appartient en fait au fils adoptif de Désiré Bouterse, Romano Meriba. Au Suri-name c’est le scoop. Ce dernier clame son inno-cence. Dans une interview donnée à la chaine d’État SRS, Meriba explique avoir prêté sa voi-ture à des amis une semaine avant, « pour un déménagement ». « Je n’ai jamais été impliqué dans le braquage », a déclaré le fils adoptif de Bouterse.

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Je n’ai jamais été impliqué dans le braquage », a déclaré le fils adoptif de Bouterse.