expposition pépinière

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PEPINIERE 你 好 Une proposition de l'association ERRANCE Exposition du 25 janvier au 23 février 2013 Lavitrine Emmanuel ADELMANT / Cheng ZHANG/ Jean – Baptiste CLAVE/ Dali WU /Laure JAUDON /Jié GAO / Quingmei YAO/ Wenbo GONG / Yang LU/ Zhenchen LIU/

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Livret de présetnation de l'exposition Pépinière

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Page 1: Expposition Pépinière

PEPINIERE 你 好Une proposition de l'association ERRANCE

Exposition du 25 janvier au 23 février 2013

Lavitrine

Emmanuel ADELMANT / Cheng ZHANG/ Jean – Baptiste CLAVE/ Dali WU /Laure JAUDON /Jié GAO / Quingmei YAO/

Wenbo GONG / Yang LU/ Zhenchen LIU/

Page 2: Expposition Pépinière

LAC & S invite l'association Errance

PEPINIERE 你 好Une proposition de Cheng Xiang En prospecteur actif, LAC & S permet depuis 30 ans à de jeunes plasticiens de montrer leur travail et ouvre ainsi un espace important de diffusion à une scène émergente de la création contemporaine.Pour cette première exposition de l'année 2013 et dans la volonté de prolonger une fois de plus son soutien à la jeune création, LAC & S a proposé à l'association Errance, collectif d'artistes français et chinois, d'investir son lieu LAVITRINE avec une sélection d’œuvres de 11 plasticiens représentant une très jeune scène artistique multiculturelle et internationale.

Cette exposition intitulée « Pépinière 你 好 » se construit autour de plusieurs supports artistiques ; installation, sculpture, photographie et surtout vidéo. Ainsi, la multiplicité des médiums utilisés est aussi étendue que la variété des recherches plastiques de ces artistes qui vivent et travaillent à Limoges, Nice, Paris ou en Chine.

Page 3: Expposition Pépinière

Emmanuel ADELMANTNé en 1977, vit et travaille à Limoges

L’œuvre proposée par Emmanuel Adelmant pour Pépinière vient réactiver une démarche artistique, entamée il y a plus de dix ans, qui questionne le choix et le non choix, le fini et le non fini, le temps et l'espace. L'artiste propose en effet à Lavitrine de mettre en espace un monument en commémoration aux scolytes, petits insectes xylophages, qui tracent dans le bois des sillons laissant ainsi des empreintes rappelant les cartes topographiques. Les scolytes pénètrent en effet le bois malade ou mort, attirés par une hormone de stress générés par ces arbres affaiblis qui deviennent le support de leur propre subsistance. Leur habitat faisant également office de nourriture.Par transposition, les scolytes sont comme les créateurs d'un nouveau paysage à l'échelle d'un arbre, allégorie pour Emmanuel Adelmant de l'homme dans la ville et son architecture. Ainsi, l'artiste a souhaité les replacer dans un nouveau contexte, celui de l'Homme. « d'où cette volonté d'amener une chose vers un autre, vers un autre statut, par transposition, transformation, mutation ». L'intention d'Adelmant est devenue par la même celle de leur rendre hommage au travers de l'édification d'un monument.« Sans début, ni fin, une circulation infinie par les ombres »Cinq morceaux de bois, recueillis en forêt et sur lesquels l'artiste a procédé à un long travail de nettoyage et de restauration pour rendre visible les sillons creusés par les insectes, sont disposés en semi équilibre sur le mûr et la vitrine. Par la présence des pointes, chaque objet conduit le regard vers ses ombres portées. Inclinés de biais, le monument amène ses ombres peintes à circuler du bas vers le haut et du haut vers le bas. Les ombres polarisent ainsi le regard qui va cherche le bas, en dessous ou même le dedans de l’objet vu et perçu. Le croisement des images d'ombre sont réalisées de telle manière à ce que les cinq morceaux de bois, distinctement posés, s'unissent en un seul et même objet. L’œil englobe le tout grâce à ces liens peints en noir.« Ensuite ils ne sont ni à considérer comme piédestal, gradins, socles ou pilotis à la Le Corbusier dans le cas d’un monument à la verticale, ni à considérer comme esplanade, perspective, terre plein dans le cas d’un monument à l’horizontal. Il s’agit par contre d’une masse mise en valeur par du vide comme dans tout monument ou objets sculpturaux. Je ne le considère pas comme étant un anti‐monument non plus. C’est un monument‐trace (entre autre) porteur d’une intentionnalité. »

Monument aux scolytes, et autres considérations, 2012bois, enduit, vernis, peinture acrylique, courbes de niveaux de Limoges, dimensions variables, © E. Adelmant

Page 4: Expposition Pépinière

Jean-Baptiste CLAVENé en 1987, vit et travaille à LimogesAprès avoir exposé Flower Power à Lavitrine en août 2012 ainsi qu'un ensemble d’œuvres au Centre d'art contemporain de Meymac dans le cadre de l'exposition collective Première fin 2012, Jean-Baptiste Clavé revient suite à l'invitation de l'association Errance et continue de questionner le champ sculptural.Il présente « Appui tête », une pièce composite par l'assemblage spontané de différents matériaux. La porcelaine d'une part pour la demi sphère servant d'appui-tête et ayant subi trois opérations : le rétrécissement de la base, un premier enfoncement vers le bas réalisé avec la tête et enfin un autre enfoncement réalisé dans la même direction et représentant la fosse ente la nuque et la protubérance occipitale externe. Le côté irradiant de la porcelaine est interrompu par des marques de crayons à papier et de crayons de couleur. D'autre part, l'artiste a utilisé deux blocs de liège et une tige d'acier gainé.« Questionner les formes par l'association automatique a permit, de la même manière que les dadaïstes et les surréalistes excellent dans les jeux de langage, le développement de l'assemblage. Celui-ci a amené cette pièce fragile, ce qui pourrait donc révéler des couches successives de complexité. Cette pratique du collage révèle dans la sculpture, une liberté de sens, de significations plus ample, plus immédiate que le permet le langage. Le titre appuie-tête évoque la sculpture primitive, et par là, que dans de nombreux musées, les objets primitifs africains, sont présentés sans forcément saisir les valeurs d'explications et de justifications des visions cosmogoniques qui y sont contenues. »

Appui- tête, 2012porcelaine, liège compressé, acier, gaine caoutchouc 42x29x25,5 cm © J-B Clavé

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Jié GAONé en 1979, vit et travaille entre Paris et Pékin

Avec sa vidéo « Le premier film du monde, un pari sur le cheval, 1872 », Gao Jié s’empare, pour les monter en boucle dans une vidéo d’une minute, de quelques-unes des images réalisées par Muybridge en 1877-78. Ainsi voit-on défiler sous nos yeux le cheval dont le galop est devenu pour l’oeil humain et pour la première fois, réellement visible dans tous ses détails. L’image remplit ici encore, mais cette fois par son accumulation quasi filmique, sa fonction d’instrument de découverte et de connaissance. En effet, nul n’avait, et pour cause, pu examiner à la loupe le galop du cheval et donc nul n’avait, avant ces premières images, pu déterminer avec certitude si le cheval quittait terre ou s’il avait toujours l’une ou l’autre de ses pattes posées au sol. On connaît désormais la réponse. Ici, ce que l’on redécouvre, c’est, non pas une vérité devenue commune, mais un état occulté par le développement même de la connaissance, celui dans lequel nous nous trouvions lorsque nous n’avions pas la possibilité de voir à travers le dispositif de l’appareil. Gao Jié a effacé les pattes du cheval. Nous nous voyons projetés dans l’état du spectateur cherchant encore à comprendre …

Le premier film du monde, un pari sur le cheval, 1879, 2012Vidéo 1' , © J. Gao

Page 6: Expposition Pépinière

Gong WENBONé en 1982, vit et travaille à Shenyang, Chine

“En Chine, des chantiers ont été couverts par des tôles bleues. Sont-elles présentes pour l’esthétique ou seulement pour abriter des regards extérieurs? A l’intérieur, ce sont surtout des habitations ou des centres commerciaux qui sont en construction. Le prix du mètre carré de ces cubes de béton est souvent considéré à tort comme le prix à payer pour avoir une famille. Or la maison n'est pas la famille. Les tôles bleues cachent donc moins ces cubes en béton que les espoirs qui y sont attachés L’objectif de cette vidéo est centré sur le bleu, la vue obstruée, mais aussi comme il n’existe pas – bleu incrustation. En revanche, on entend le bruit du marché environnant et l’on essaie de percevoir notre environnement en utilisant un autre sens.”

Le bleu, 2012Vidéo, 3'45, © G. Wenbo

Page 7: Expposition Pépinière

Laure JAUDONNée en 1985, vit et travaille à Corte ( Corse )Laure Jaudon présente un film composé à partir de photographies et d'entretiens réalisés lors d'une résidence artistique au sein du maison de retraite.« La maison de retraite est le lieu, où proche d’une fin de vie, le corps et l’âme attei gnent une forme de mort intérieure, de par la caractéristique d’une structure faite pour un groupe où l’individu se retrouve en errance. En rencontrant 3 résidents d’une maison de retraite, autour d’une question commune « Est ce que vous rêvez encore? », je me suis posée la question de ce que peut signifier les deux mots suivant : être vivant. Le montage propose des moments où l’image photographique disparaît, devient somnolente, et où alors la parole propose dans ce noir, un rapprochement avec l’état du rêve, de l’intimité des projections, et d’une fragilité de l’instant. »

Sans titre, 2012Vidéo, 11'55

Page 8: Expposition Pépinière

Tao LIUNé en 1985, vit et travaille à Shanghai

Ce sont deux photographies de la série «The Weak Road » que l'exposition Pépinière propose à la découverte du public. Les photographies en noir et blanc et très graphiques du jeune Tao Liu explorent l'isolement inhérent à la démolition des habitats traditionnels chinois au profit d'une reconstruction d'un paysage urbain contemporain. C'est d'abord un paysage de désolation qui attrape le regard. Au premier plan dominent des maisons abandonnées, détruites ou en passe de l'être, des ruines et gravas au milieu desquels se tient un humain, toujours nu, comme abandonné en spectateur impuissant.. Au second plan, c'est la Chine moderne qui domine avec ses immeubles contemporains témoins d'une urbanisation massive d'un pays en plein essor économique.

The weak road, 2012Photographies 40 x65 cm, © T.Liu

Page 9: Expposition Pépinière

Yang LUVit et travaille à ShanghaiLa vidéo présentée par Lu Yang est un hommage à la série culte japonnaise Neon Genesis

Evangelion! (litt. l'évangile du nouveau siècle3), souvent abrégé Evangelion.La série, diffusée au Japon entre 1995 et 1996 a tout de suite connu un grand succès et a déchaîné les passions, réputée pour la haute qualité de son animation et son scénario alambiqué. Evangelion surprend en s'aventurant dans l'introspection, thème jusque là assez rare dans l'animation. La série aura été autant plébiscitée pour ses grandes scènes d'actions (parfois très sanglantes) que pour ses réflexions.En 2015, soit 15 après le Second Impact, un cataclysme planétaire provoqué par une explosion en Antarctique, la ville forteresse Tokyo-3 est menacée par les Anges, des êtres gigantesques détruisant tout sur leur passage. Pour les combattre, l'organisation secrète NERV a mis au point des Evangelions, appelés aussi Eva, d'immenses créatures bio-mécaniques pilotées par de jeunes adolescents. Dans The Beast, qui allie danse contemporaine, haute couture et médecine traditionnelle chinoise, dont la bande son a été réalisée par le compositeur et performeur basé à New York, Du Yun, Yang Lu revisite une scène iconique de la série où le personnage appelé Sachiel premier ange à attaquer les humains en 2015, se transforme en bête. Évoluant gracieusement sur une bande son d'opéras, l'ange vêtu de vêtements haute couture se transforme en bête furieuse en subissant la douloureuse thérapie traditionnelle chinoise des bols de feu placés sur la peau aux endroits d'acupuncture. L'esthétique du film, se transforme en même temps que le personnage, reprenant les codes du film d'espionnage ou du jeu vidéo

The Beast, 2012Vidéo 6'19, © Y.Lu

Page 10: Expposition Pépinière

Dali WU Née en 1987, vit et travaille à StrasbourgAprès la Chine, Wu Dali poursuit ses études en France et découvre plusieurs médiums, photo, installation, dessin, performance...Elle utilise fréquemment dans ses œuvres des matières organiques et la lumière comme incarnation de la connaissance. Ici, c'est Labyrinthèque que l'artiste présente, une installation composée d'une bibliothèque enveloppée, comme cachée et dont les livres ne sont donc pas accessibles. Pour Dali Wu, la connaissance se présente comme un labyrinthe auquel l'Homme ne peut véritablement accéder que s'il l'appréhende en profondeur.

Page 11: Expposition Pépinière

Qingmei YAO Né en 1982, vit et travaille à Nice

Actuellement en cinquième année à l'Ecole Nationale d'art « La Villa Arson » à Nice, Qingmei Qinmei Yao présente pour Pépinière, Troisième couplet, trace vidéo d'une performance réalisée le 16 mars 2012 sur le circuit du Grand Prix de Monaco.L’intervention Troisième couplet de L’Internationale solo à Monaco est considérée par l'artiste comme une action très passive. Se greffant dans un corps d’une idéaliste obstinée, manifestant en solitaire, Yao Qingmei se questionne sur l’art-action à la recherche de l’idéologie soi-disant post-communiste. Concernant l’impôt et la répartition de la richesse, le troisième couplet, dont les paroles sont soupçonnées d’être anarchistes pourtant très réelles, curieusement, n’a jamais été chanté lors des manifestations. Le chanter à Monaco, fameux paradis fiscal, révèle la réalité dissimulée de ce lieu où ses habitants n’ont jamais entendu cette chanson, tandis que l’action est elle-même absurde, ambitieuse et naïve face d’une réalité imposante. Suite aux deux tours du circuit du Grand Prix formule F1, la voiture équipée du haut-parleur diffusant le chant s’est arrêtée devant la place de Casino. Cette action s’est vite terminée après l’intervention de deux policiers. La vidéo est un sous-titrage de l’enregistrement prévu d’une conversation inattendue. La discussion, armée des langages propre au milieu, ballotée entre l’art et le politique, met le doigt sur leur fissure où se réfugie l’artiste.

Performance: L’internationale soloPerformeur: YAO QingmeiDate: le 16 Mars 2012L’itinéraire: circuit du Grand Prix de MonacoLieu symbolique: Place du Casino La performance commence à 12:30, au départ du circuit (Bd Albert 1er)

Le troisième couplet Vidéo sous-titrage de la bande de son enregistrée après l’action L’internationale solo à Monaco , 201212'30 , © Q.Yao

Page 12: Expposition Pépinière

Zhang CHENG Né en 1982 , vit et travaille à Shanghaï

Zhang Cheng s’intéresse aux problématiques de la mise en œuvre plastique du son. Il tente en effet au travers de plusieurs médiums et démarches artistiques de retranscrire plastiquement le son. Pour Pépinière, il présente une installation institulée Recording Vinyls composées de 4 dessins et métronomes. L'artiste a tenté de dessiner les sons en même temps que le support sur lesquels il est enregistré, soit le disque. Chaque coup de crayon matérialise un son tandis que le blanc le silence. Il symbolise ainsi le processus d'enregistrement d'un microsillon pour sur lequel le son est dessiné. Ainsi l'enregistrement devient un geste plastique.Dans Recording Vinyls, la longueur de chaque trait défini la longueur du son et l'espace entre eux est indissociable. Le geste suit un rythme constant « dans ce processus d'enregistrement à la fois humain et analogique. »

Recording vinyls, 20114 dessins stylo, métronomes, © Z. Cheng

Page 13: Expposition Pépinière

Liu ZHENCHENNé en 1976, vit et travaille en Paris, Hambourg et Shanghai100 ans après le Titanic, un des plus impressionnants et luxueux bateaux de croisière, le Queen Mary 2, part pour une traversée transatlantique vers New York au crépuscule. "L' adieu" est un seul plan au ralenti des passagers disant adieu au continent.

L'adieu, 2012Vidéo 18'36, © L.Zhenchen

Page 14: Expposition Pépinière

ERRANCEL'association Errance créée en 2012 par de jeunes plasticiens issus de l'ENSA s'est donnée comme mission de créer un réseau actif d’échanges, d’information et d’incitation à la réalisation des projets innovants artistiques sur le territoire de la région limousin ; interventions artistiques telles que expositions, conférences, ateliers, échanges culturels ; l’association regroupant de jeunes artistes et designers élabore des événements ; l’association favorise les échanges des artistes, designers et de jeunes diplômés des écoles d’art en chine et en France ; elle encourage ainsi l’accomplissement de ses membres et de leurs projets par l’entraide et les relations culturelles ; l’association favorise les créations, les recherches en céramique et porcelaine.

Page 15: Expposition Pépinière

LAC & S - LAVITRINE

Créée en 1983 à l'occasion de l'organisation d'un symposium de sculptures sur l’Île de Vassivière l'association LAC & S (Limousin Art Contemporain et Sculptures ) est un collectif d'artistes œuvrant depuis 2003 au sein de la galerie LAVITRINE à Limoges. LAC & S s’engage dans le champs de l’art à une mise en relation au monde et à l’émergence d’un autre « regard » par sa programmation annuelle qui s'articule autour de six expositions par an. L'espace de 200 m2 permet d'ouvrir le champ des possibles en terme de présentation d’œuvres. Outre les expositions au sein de la galerie, elle offre, notamment au travers de sa vitrine ouverte sur la rue, un lien direct avec le passant, le promeneur... MISSIONS

L’ensemble des activités de l’association Art Contemporain & Sculptures s’articule sur des enjeux de soutien à la présentation, à la production, à la médiation d'œuvres d’artistes engagés dans une démarche de recherche et de création ancrée dans un temps présent.Consciente de sa situation de lieu d’art contemporain installé en province, elle prend en compte la relation entre l’ici et l’ailleurs, du local au global. Les réseaux d’idées, les géographies, les affinités esthétiques constituent autant d’enjeux de croisements pour une émulation et un soutien à la jeune création. Entre œuvres, artistes et publics, se tissent les activités privilégiées de l’association. LAC & S mène une politique de soutien à la création contemporaine en renouvelant chaque année son dispositif d'accueil d'artistes et de commissaires indépendants, ainsi que de diffusion de l'art contemporain grâce à ses expositions personnelles ou collectives et ses publications.Soucieuse de favoriser l’accès du plus grand nombre à l’art contemporain, un médiateur se tient à la disposition des visiteurs pour dialoguer autour des œuvres. Ces visites (gratuites, sans réservation et accessibles à tous) visent à faciliter l’approche des œuvres par une phase d’observation et de questionnements. Par ailleurs, des rencontres (conférences, présentations, visites ) organisées entre les publics et les artistes, favorisent les débats et les échanges.PARTENAIRES

L'association LAC & S- LAVITRINE est soutenu par le Ministère de la culture et de la communication – DRAC Limousin, La Région Limousin et la Ville de Limoges.