ayn rand decarpentry durville garnier
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La vertu d’égoïsme de Ayn Rand
DECARPENTRY - DURVILLE - GARNIER
PlanPlan
I. Éthique et pensée de l'homme1. Ethique de l’homme2. La pensée de l’homme
II. L’Homme ne peut survivre qu’en tant qu’Homme
1. La survie de L’Homme2. Valeurs de l’éthique objective
III. Principe social fondamental de l’éthique objective
1. Les émotions2. Les principes de l’éthique objectiviste3. Les principes du gouvernement et de la société
INTRODUCTION
Ayn Rand a dit : « Ma philosophie, par essence, est le concept de l'homme en tant qu'être héroïque, avec son propre bonheur comme objectif moral de sa vie, avec l'accomplissement productif comme sa plus noble activité, et la raison son seul absolu. »
C’est pourquoi à travers « La vertu d’égoïsme », l’auteur présente plusieurs idées importantes de la philosophie objectiviste, en particulier la défense de l'égoïsme comme code d'éthique rationnel, l'abandon de l'altruisme, la nature d'un « bon » gouvernement et l'éloge de la raison.
1. L’Ethique de L'Homme :
C’est un code de valeur pour guider les choix et actions de l’homme, qui determine le but et le cours de sa vie.
L’éthique en tant que science a pour objet la découverte et la définition d’un tel code.
La raison est le moyen fondamentale de la survie de l’Homme
I. Éthique et pensée de l'homme
Origine de ce concept de valeur (Bon et Mauvais)
OUIntervention humaine arbitraire, un concept n’ayant aucune relation avec les faits de la réalité
Fondé sur un fait métaphysique, une condition invariable de l’existence de l’homme
L’Ethique irrationnel?
La plupart des philosophes affirment que la raison est en faillite, que l’éthique se situe hors des limites de la raison.
Une éthique rationnelle ne peut etre formulé.
L’Homme doit etre guider par autre chose que la raison et donc par l’irrationnel
Tous les moralistes comtemporains s’entendent tous pour dire que l’éthique est une question subjective et que trois choses ne font pas parti de son domain: la raison, l’esprit et la réalité.
2. La Pensée de l’Homme
L’Homme doir de lui-même découvrir les regles de la pensée et les lois de la pensée pour diriger sa pensée.
La nature donne à l’Homme seulement un potentiel (sa conscience) et le matériel (l’ensemble de l’univers).
Tout ce dont il a besoin doit être appris découvert et produit par lui-même.
Il existe plusieurs méthode de survie chez l’Homme
Celle des etres rationnels qui utilisent la reflexion et effectue un travail productif.
Celle des persones qui ne font qu’imiter les etres rationnels, il fuit leur responsabilité d’etre conscient
Celle des personnes tentant de survivre au moyen de la force brute ou par la fraude. Ils n’existent qu’en détruisant les autres
II.1.L’Homme ne peut survivre qu’en tant qu’Homme
1. La survie de L’Homme :
L’Homme ne peut survivre comme un animal dont sa conscience n’intègre pas l’ensemble de la durée de sa vie.
La vie de l’homme est un tout continu, l’Homme porte en lui toutes ces expériences passées.
L’Homme choisi et peut modifier sa voie, ses objectifs, ses valeurs dans l’unique but que ces actions ne le conduisent pas à sa propre perte.
C’est par choix que l’homme doit etre homme et s’il décide de vivre comme un sous homme il ne serra qu’un sous homme.
2. Valeurs de l’éthique objective.2. Valeurs de l’éthique objective.
Afin d’accomplir sa vie, l’homme doit posséder des valeurs qui correspondent à la cause de
ses actions:
RaisonIntentionnalit
éEstime de soi
=> Vertus
Rationalité
La raison constitue la source des vertus de
l’homme
Productivité
Le travail est le processus par lequel l’esprit de l’homme entretient sa vie. Il
permet de se réaliser.Fait appel à son caractères, à ses
capacités
Fierté
L’homme doit acquérir des qualités de
caractère afin de rendre sa vie digne d’être maintenue (grâce au travail)
Pour se considérer soi-même comme notre plus grande valeur en réalisant
notre propre perfection morale.
III. Principe social III. Principe social fondamental de l’éthique fondamental de l’éthique
objective.objective.
1. Les émotions1. Les émotions
L’homme doit vivre pour son propre intérêt , sans toute fois oublier les autres.La survie de l’homme ne dépend pas la « vie » et la « mort » mais de ses émotions:
Bonheur= réussite de la
vie
SouffranceSignal
d’avertissement de la défaite et
de la mort
Les émotions favorisent le développement des valeurs de l’homme ou de ce qui le menace.
2. Les principes de l’éthique objectiviste
L’égoïsme rationnel = valeurs requises pour la survie de l’homme
Principe de l’échange = principe de la justice :
- Être aimer pour ses vertus aimer c’est valoriser
Les hommes peuvent vivre en société uniquement si leur code de conduite est basé sur l’égoïsme rationnel et la justice : l’éthique objectiviste
Principe politique fondamental de l’éthique objectiviste :
- Égalité et respect
Légitime défense Meurtre
Valeurs découlant des désirs, émotions, aspirations, caprices, besoin irrationnels
Ce qui est bon pour l’homme
Intérêts rationnels, pas de conflits d’intérêts
3. Les principes du gouvernement et de la société
Un gouvernement a pour but moral la protection des droits de L’Homme :
Protection de la violence physique
Protéger son droit à la vie, à la liberté, à la propriété et à la poursuite de son propre bonheur
• L’éthique objectiviste est le fondement moral du système politico-économique, en contradiction avec le capitalisme américain.
• Capitalisme pur : non contrôlé ni réglementé, séparation de l’état et de l’économique
Etat Eglise
Système de l’avenir
CONCLUSION
L’éthique objectiviste forme ce que l’on appelle la morale de la vie qui est en désaccord avec les trois écoles de la théorie éthique : la mystique, la sociale et la subjectivité. Ces trois dernières représentent nul autre que la morale de la mort.Comme le dit si bien John Galt aux moralistes : « Vous avez utilisé la crainte comme arme et apporté la mort à l’homme comme châtiment d’avoir rejeté votre morale. Nous lui offrons la vie comme récompense pour accepter la notre. »Ainsi, Ayn Rand montre à travers cet écrit une excellente approche de la pensée forte, singulière et redoutablement actuelle d’une des plus notables et influentes figures de la vie intellectuelle américaine du milieu du XXe siècle.